Au-dessus, le tableau d’autel est divisé en deux reliefs.
En bas, le sujet central évoque une scène religieuse qui rappelle les personnages d’une Déposition ou d’une Mise au tombeau. En son centre, sont représentées trois femmes pleurant sous le voile du deuil, qui évoquent irrésistiblement la mère et les deux tantes cherchant la tombe du père dans L’Acacia. À leur droite, la mère et une petite fille (avec une coupe de cheveux à la mode des années vingt), à leur gauche le père et un jeune garçon représenté à l’âge qu’avait Claude Simon lors de l’inauguration du monument. En couronnement, sous l’inscription en capitales colorées de rouge : MORTS POUR LA PATRIE, est figurée une ascension du soldat mort, casqué, les yeux vides, comme porté par les Anges dans un cadre rectangulaire qui rappelle la forme d’une tombe.
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Monument aux morts
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Monument aux morts
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Monument aux morts
Fresque en mosaïque représentant l'Abondance et la Paix.
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Monument aux morts
Fresque en mosaïque représentant l'Abondance et la Paix.
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Stèle à la mémoire du Général Leclerc
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Le palais des congrès
Construit dans les années 70, il a fait l’objet en 2001 d’une rénovation lourde qui le rend méconnaissable. Grâce à l’architecte Alain Sarfati, il s’impose aujourd’hui par son architecture moderne et lumineuse. Au rez de chaussée, l'auditorium Charles Trénet dispose d'une capacité de 1100 places dont 750 au par terre et 300 au balcon, équipé d'une scène de 80 m².
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Monument à la mémoire de la résistance et de la déportation.
Il se trouve à côté du palais des congrès. C'est l'oeuvre du sculpteur Marcel Gili et de l’architecte Cyprien Lloansi, érigé en 1970.
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Monument à la mémoire de la résistance et de la déportation.
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Monument à la mémoire de la résistance et de la déportation.
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Monument à la mémoire de la résistance et de la déportation.
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Monument à la mémoire de la résistance et de la déportation.
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Monument à la mémoire de la résistance et de la déportation.
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Monument à la mémoire de la résistance et de la déportation.
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Square Bir Hakeim
Montanyes regalades son les del Canigo... Sculpteur : Raymond Sudre, 1910.
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Square Bir Hakeim
Les plus vieux platanes (1809) près de la fontaine Belloc.
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Square Bir Hakeim
Fontaine Belloc. Le groupe représente une femme debout sur un rocher (Le Printemps) et au-dessous d’elle un personnage assis qui la contemple (Bacchus). Dans un mouvement gracieux, la jeune fille s’élance dans les vignes tandis que le dieu Bacchus tend vers elle son thyrse
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Square Bir Hakeim
Matériaux : marbre blanc de Carrare (groupe), marbre rose de Villefranche-de-Conflent (socle)
Hauteur sans le socle : 5 m
Date de réalisation : de 1899 à 1904
Date d’installation : 1905
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Square Bir Hakeim
Fontaine Belloc.
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Square Bir Hakeim
un Gingko Biloba de 3.80 m de circonférence pour 30 m de haut et, à son pied, un camélia.
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La place Molière
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La place Molière
L’escalier Molière, construit dans les années 1920, franchit les remparts entre le couvent des Minimes et celui des Dominicains.
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Les remparts
Il s’agit d’un fragment de la troisième enceinte de la ville, construite à partir du XIIIe siècle et maintes fois remaniée, notamment par Vauban.
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La maison du peintre Louis Bausil.
Edifiée en 1925 par Raoul Castan, architecte toulousain, elle assemble un volume cylindrique qui prolonge une des tours de l'ancienne muraille et abrite la résidence et l'atelier du peintre avec un ensemble de corps cubiques, côté rue Rabelais. La structure en béton et le langage architectural d'une extrême pureté formelle et décorative annoncent une modernité radicale. Raoul Castan applique ici le principe théorique qu'il avait lui-même établi : « Le nudisme est une réaction contre le mauvais goût.. Aujourd'hui l'homme civilisé et cultivé a le goût des formes simples ».
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La maison du peintre Louis Bausil.
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La maison du peintre Louis Bausil.
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Les remparts
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Place de l'ancien manège découvert
Jacques le Conquérant cantonna les Juifs de la Ville sur les pentes du Puig Saint-Jacques dans un quartier réservé, le call, qui avait sa propre enceinte et ses portes d'accés à la ville. Ils subirent plusieurs pogroms, notamment celui de 1391. Les dernières familles furent expulsées en 1493, Perpignan faisant partie de la couronne d'Aragon. Le call fut détruit, ses maisons démolies ou réutilisées. Les juifs qui restèrent, appelés conversos, convertis au catholicisme, eurent pour lieu de culte la Chapelle de Bethléem, dite Convessaria.
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Ancienne poudrière.
Des édifices militaires français Perpignan, disputée entre la France et l'Espagne du 15e au 17e siècle, fut une ville militaire. Edifiée sous Vauban, c'est la seule des nombreuses poudrières destinées à servir l'artillerie de la place-forte qui subsiste.
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La Caserne Gallien
Bâtiments de l'Académie royale militaire, fondée en 1751 afin de former les jeunes nobles de la province aux métiers des armes. Bâtie dans les locaux d'une ancienne fonderie de canons, elle comprenait un manège intérieur et un autre extérieur situé devant le rempart. Supprimée en 1789, transformée en Caserne de l'Académie en 1810 puis Caserne Gallieni en 1921, elle a été rétrocédée à la commune en 1966.
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Couvent des Dominicains
Les Dominicains sont établis à Saint-Jacques en 1240 pour encadrer la population installée hors de la première enceinte. La grande église gothique couverte en charpente, un des deux cloitres et la chapelle capitulaire nous sont parvenus assez bien conservés, malgré des incendies dévastateurs et une longue occupation de l'Armée en partie dès avant la Révolution française. Paradoxalement l'occupation militaire a sauvegardé cet ensemble remarquable, le seul des quatre couvents des ordres mendiants qui nous soit parvenu. L'église, devenue propriété de la ville, fut restaurée dans les années 1980.
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Couvent des Dominicains
Les premières fondations de l'église des Dominicains remontent au 13ème siècle lorsque le roi d'Aragon Jacques Le Conquérant offre à l'ordre de saint Dominique un ancien hôpital des lépreux pour le transformer en maison religieuse. Rapidement une église, un cloître et une grande salle capitulaire sont érigés. Début du 14ème siècle des travaux et aménagements sont entrepris et l'église reconstruite plus large et plus haute pour s'enrichir d'un décor sculpté. L'église à nef unique est flanquée de chapelles privées logées entre ses contreforts et la nef couverte de charpente sur arcs diaphragmes maçonnés.
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Un couvent de la Contre-Réforme.
Les Minimes, dont l’ordre fut fondé en 1493 par saint François de Paule étaient aussi appelés « Frères de la Victoire » depuis 1480. Ils édifièrent en 1575 ce couvent sur une partie de l'ancien quartier juif, dédièrent l'église à Notre-Dame-de-la-Victoire, et élevèrent en 1617 un grand cloître à double étage construit en brique et relativement bien conservé. La Manutention militaire s'y établit au 19e siècle. Depuis son acquisition par la commune à la fin du 20e siècle, le cloîtr
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Tour du couvent des Frères déchaux.
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Maison en terre.
Sous les rois d'Aragon, l’urbanisation de ce quartier démarra sur le Puig, colline dominant la ville, autour de l'église. Au milieu de ses maisons à un étage, aux murs en terre surélevés par la suite, s'élevèrent cinq grands couvents, des casernes, l’Université et des hôtels particuliers. Les Juifs y vécurent pendant trois siècles dans leur call. Quartier des lépreux, il fut ensuite peuplé de moines, tisserands, jardiniers, militaires et prostituées, artisans et ouvriers dont les célèbres « paperettes » de l'usine JOB. Au 19e siècle, les premiers gitans s'y installèrent et les années 1960 virent l'arrivée des maghrébins.
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Une caserne de Vauban.
Au milieu du 13e siècle, l'urbanisation et la construction du couvent des Dominicains repoussa les lépreux sur le puig où l'arrivée des tisserands un siècle plus tard les rejeta sur le chemin de Canet.
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Une caserne de Vauban.
A la fin du 14e siècle le puig était habité. Des joutes ou tournois s'y déroulèrent au 16e. Pendant le siège de Perpignan de 1642, de nombreuses maisons furent ruinées ce qui permit le dégagement d'une place et la construction d'une caserne selon un plan-type de Vauban.
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Une caserne de Vauban.
Les belles arcades de la cour intérieure furent édifiées sous Louis-Philippe. Ensemble d'habitat social depuis le 20e siècle.
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Eglise Saint Jacques
Les hauteurs qui s'étendaient à l'est de la ville, au-delà de l'enceinte, portaient le nom de "Puig des Lépreux". Selon une tradition, c'est là que ce serait élevée dès le 12e siècle une petite église dédiée à Saint-Jacques et desservie par un chanoine de Saint-Jean-le-Vieux. Eglise à nef unique flanquée de chapelles entre contreforts, son architecture est typique du gothique méridional. Saint-Jacques est la première église construite pour accompagner l'expansion urbaine du XIIIe siècle.
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Eglise Saint Jacques
L'édifice actuel, une nef unique avec chapelles latérales, présente peu de traces de la première période (essentiellement parties du mur méridional et transept sud), le reste ayant été reconstruit au 14e siècle. Le chevet fut réédifié par la confrérie des jardiniers (hortolans) de 1395 à 1400. Les tisserands qui, avec les hortolans, avaient beaucoup contribué au peuplement du quartier et à l'œuvre de l'église, construisirent, en 1394, leur chapelle de confrérie.
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Eglise Saint Jacques
Le clocher, qui devait dater de la fin du 13e siècle, fut démoli jusqu'au niveau des cloches en 1540. Après un incendie accidentel en 1545, il fut reconstruit en 1546. Menaçant ruine au 19e siècle, il fut entièrement réédifié en briques en 1846.
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Eglise Saint Jacques
Le portail en marbre blanc de Céret, en plein cintre, qui s'ouvre sur la façade méridionale, et le portique qui le précède, datent du début du 14e siècle et proviennent probablement de l'église de Sainte-Marie de la Real. Ils n'occuperaient cet emplacement que depuis environ 1633. Le toit du préau est supporté par de gros piliers octogonaux en marbre blanc, non monolytes, restes de l'ancien cloître qui entourait le cimetière primitif voisin.
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Eglise Saint Jacques
Au dessus du portail subsiste le sommet de l'arcade en tiers-point du portail originel provenant de l'église de St Jean de Dieu.
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Eglise Saint Jacques
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Eglise Saint Jacques
Mosaïque d'Isaac Mizrahi.
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Eglise Saint Jacques
Saint Jacques allait être durant toute la Reconquista le symbole et le saint patron de la lutte contre l'Infidèle. Il apparut miraculeusement et pour intervenir aux côtés des chrétiens et aurait reçu pour cette raison le surnom de Matamoros, «tueur de Maures». Sa statue le montre monté sur un cheval blanc, frappant de son épée un ou plusieurs guerriers musulmans. Cette figure de saint Jacques Matamore date de la bataille de Clavijo, qui opposa en 844 le roi des Asturies à l'émir de Cordoue. Vitrail d'Etienne et Mouilleron, peintres-verriers de Bar-le-Duc, 1897.
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Eglise Saint Jacques
Eglise à nef unique flanquée de chapelles entre contreforts, son architecture est typique du gothique méridional. Saint-Jacques est la première église construite pour accompagner l'expansion urbaine du XIIIe siècle.
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Eglise Saint Jacques
Vers la fin du 17ème siècle, une chapelle indépendante de l'église médiévale est érigée à l'ouest de la nef pour la confrérie de la Sanch, ou Confrérie du Précieux Sang de Jésus-Christ fondée en 1416 par saint Vincent Ferrier. Elle est adossée à l'ouest de l’église, avant de lui être rattachée sous le Second Empire par la suppression du mur séparant les deux édifices. Donc le visiteur peut voir deux retables de maître-autel qui se font face. Aujourd'hui, l'Eglise Saint Jacques est toujours le point de départ de la poignante procession de la Sanch chaque vendredi Saint à Perpignan. La procession de la Sanch est une tradition religieuse catalane célébrant la passion du Christ depuis le XVe siècle.
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Eglise Saint Jacques
A l'origine, la nef était couverte d'une charpente apparente sur arcs diaphragmes. En 1785, elle reçut des croisées d'ogives et des voûtes à la catalane, en briques posées à plat.
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Eglise Saint Jacques
La nef unique, adaptée au culte et à la prédication, était couverte à l'origine d'une charpente apparente sur arcs diaphragmes. Les voûtes actuelles en plâtre datent de 1785, de même que les oculi percés au-dessus des chapelles latérales.
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Eglise Saint Jacques
Les chapelles latérales ont été construites dans le courant du XIVe siècle pour accueillir les sépultures de familles ou les dévotions des confréries des tisserands et des jardiniers.
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Eglise Saint Jacques
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Eglise Saint Jacques
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Eglise Saint Jacques
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Eglise Saint Jacques
La chapelle des âmes du Purgatoire abrite un retable unique en son genre.
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Eglise Saint Jacques
La chapelle des âmes du Purgatoire.
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La chapelle des âmes du Purgatoire.
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La chapelle des âmes du Purgatoire.
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La chapelle des âmes du Purgatoire.
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Retable de saint Liboire, bois sculpté peint et doré, début 18e siècle. Statues de saint Liboire, quatrième évêque du Mans, saint thaumaturge et saint Michel et saint Raphaël. Les axes verticaux : un central et deux latéraux, ils sont séparés par des colonnes et des pilastres. La division horizontale est faite par frises, moulures et entablements. Le socle se trouve sur une base en pierre.
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Eglise Saint Jacques
Dans le premier registre trois niches abritent les sculptures de saint Liboire représenté avec ses habits épiscopaux (au centre) , l'archange saint Michel luttant contre le démon (à gauche), l'archange Raphaël conduisant le jeune Tobie par la main (à droite).
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Eglise Saint Jacques
Sur l'entablement on trouve un médaillon sur un piedestal avec deux anges porteurs de flambeau.
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Retable de la chapelle du Rosaire. Provient de l'ancien couvent Saint-Dominique. Sculpté par Lazare Tremullas, 1643, peint par Pierre Godanyor, 1658 (contrat).
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Eglise Saint Jacques
Retable de la chapelle du Rosaire. Cinq panneaux dans le sens vertical. Au centre : en haut, le Christ en croix, bas-relief, en bas, la statue de la Vierge, sous un dôme. A droite : de bas en haut, l'Annonciation, la Nativité et Jésus au Temple. A gauche : l'Ascension, la Pentecôte et le Couronnement de la Vierge. Sur les côtés en retour : à droite, la Présentation au Temple, la Visitation ; à gauche, la Résurrection du Christ, l'Assomption de la Vierge. Au dessous : de gauche à droite, la Flagellation, Jésus au jardin des Oliviers, le Couronnement d'épines et le portement de croix. Etant trop grand pour la chapelle, ce retable a été replié à droite et à gauche sur les côtés de la chapelle.
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Eglise Saint Jacques
La statue de la Vierge, sous un dôme.
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Eglise Saint Jacques
Au centre : en haut, le Christ en croix, bas-relief, en bas, la statue de la Vierge, sous un dôme. A droite : de bas en haut, l'Annonciation, la Nativité et Jésus au Temple (caché). A gauche : l'Ascension, la Pentecôte et le Couronnement de la Vierge (caché).
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Eglise Saint Jacques
Chapelle du Corpus.
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Eglise Saint Jacques
La Cène peinte par Gamelin au XVIIIe siècle.
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Adoration de l'Eucharistie.
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Triomphe de l'Eucharistie.
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Retable de saint Jacques.
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Eglise Saint Jacques
Le retable actuel date des années 1760. Il est l'oeuvre de Chauvenet. Ce retable appartient au type « à baldaquin », qui s’est largement développé en Roussillon au XVIIIème siècle, à la suite de l’érection de celui de la cathédrale d’Elne (1721-1724). Plus exactement le retable s’organise ici en forme de portique autour d’une niche centrale où se dresse la statue de Saint-Jacques entre Saint-Pierre et Saint-Jean l’Evangéliste : la statue plus petite de Saint-Gaudérique apparaît au Couronnement.
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Eglise Saint Jacques
Saint Pierre.
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Saint Jacques.
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Saint Jean.
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Saint-Gaudérique avec le soc de la charrue.
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A la clé de voûte du choeur, saint Jacques et les blasons de la confrérie des jardiniers
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En haut : sainte Constance, saint Felix. En bas : saint Abdon et sainte Claire.
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En haut : saint Raymond, sainte Marthe. En bas : Vierge Immaculée et saint Joseph.
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La sainte Famille.
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En haut : sainte Elisabeth, sainte Paule. En bas : saint Paul et saint Pierre.
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En haut : sainte Perpétue, saint Gaspard. En bas : saint François et saint Augustin.
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Les sept douleurs.
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La célèbre Croix des Improperis, celle qui ouvre chaque année la procession de la Sanch.
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Croix de Mission.
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Christ de Charles V.
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Les anciens fonts baptismaux en pierre du XIIIème siècle.
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La chapelle des tisserands a conservé son admirable retable sculpté datant probablement de la décennie 1480-1490. C’est le fameux retable connu sous le vocable de la Vierge de l’Espérance, la Vierge enceinte. C'est l'oeuvre probable du sculpteur Jean Raholf.
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La Descente de Croix, entourée de personnages de l'ancien testament. le deuxième à gauche est David, le dernier à droite, Moïse.
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Eglise Saint Jacques
A gauche de haut en bas : l'Annonciation, l'Adoration des rois Mages, la Pentecôte. Au centre, le couronnement de la Vierge, la Vierge de l'espérance. A droite, la Nativité, la Présentation de Jésus au Temple, la Dormition de la Vierge. A gauche, saint Luc, à droite, saint Jean-Baptiste.
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Le retable de Notre-Dame de l'Espérance.
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L'Annonciation, l'Adoration des rois Mages, la Pentecôte. Saint Luc.
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Saint Luc.
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Le retable de Notre-Dame de l'Espérance. Vierge de l'espérance
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Saint Jean-Baptiste.
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La Nativité, la Présentation de Jésus au Temple, la Dormition de la Vierge. Saint Jean-Baptiste.
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Le retable de Notre-Dame de l'Espérance.
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A gauche, l'Adoration des rois Mages, la Pentecôte. Au centre, la Vierge de l'espérance. A droite, la Présentation de Jésus au Temple, la Dormition de la Vierge.
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A gauche, l'Annonciation. Au centre, le couronnement de la Vierge. A droite, la Nativité.
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Tout en haut, Dieu le Père, entouré de saint Pierre et saint Paul.
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Le retable de Notre-Dame de l'Espérance.
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Armoiries des Tisserands ?
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Boiseries du XIXe.
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Saint Joseph.
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Eglise Saint Jacques
Entre 1808 et 1816, le grand orgue est construit par les frères Grinda après le saccage de l'église pendant la Révolution. Il est restauré en 1905 par la manufacture Cavaillé-Coll-Mutin. Ce très bel instrument comporte une trentaine de registres répartis sur trois claviers manuels et pédaliers. Dans l'ensemble, il est resté homogène et n'a subi que peu de modifications de sorte que son esthétique symphonique est restée intacte.
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Dévôt-Christ de procession.
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saint Joseph.
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Eglise Saint Jacques
Reproduction de la satue de saint Jacques le Majeur. Anciennement dans un enfeu, sous le porche de l'église. Statue centrale et seul vestige de l'ancien retable du maître-autel, sculpté en 1450 par le sculpteur perpignanais Jean Raholf et doré en 1463 par le peintre perpignanais André Fabrègues.
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Eglise Saint Jacques
Vers la fin du 17ème siècle, une chapelle indépendante de l'église médiévale est érigée à l'ouest de la nef pour la confrérie de la Sanch, ou Confrérie du Précieux Sang de Jésus-Christ fondée en 1416 par saint Vincent Ferrier. Elle est adossée à l'ouest de l’église, avant de lui être rattachée sous le Second Empire par la suppression du mur séparant les deux édifices. Donc le visiteur peut voir deux retables de maître-autel qui se font face. Aujourd'hui, l'Eglise Saint Jacques est toujours le point de départ de la poignante procession de la Sanch chaque vendredi Saint à Perpignan. La procession de la Sanch est une tradition religieuse catalane célébrant la passion du Christ depuis le XVe siècle. Le retable du Rosaire (XVIIe siècle), est l'œuvre remarquable de Lazare Tremullas le Vieux.