<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Chapelle de la Vierge.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Chapelle de la Vierge.
115
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Chapelle de la Vierge. Aux quatre angles, un ange porte un phylactère.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Chapelle de la Vierge. Aux quatre angles, un ange porte un phylactère.
116
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Chapelle de la Vierge. Le Sacré-Coeur.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Chapelle de la Vierge. Le Sacré-Coeur.
117
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Vitrail de A. Lusson, Paris, représentant Pie IX, suivant ses armoiries (1846-1878), à gauche.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Vitrail de A. Lusson, Paris, représentant Pie IX, suivant ses armoiries (1846-1878), à gauche.
118
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Le Sacré-Coeur et un roi de Ftance (Louis IX ?)
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Le Sacré-Coeur et un roi de France (Louis IX ?)
119
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Chapelle Saint-Joseph. A gauche, les statues de Jeanne d'Arc et de sainte Thérése de l'Enfant Jésus ou sainte Thérèse de Lisieux. A droite, celle de la Vierge du jubilé de 1901.
Son autel est en marbre doré surmonté d’une statue de Saint-Joseph tenant par la main l’Enfant-Jésus.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Chapelle Saint-Joseph. A gauche, les statues de Jeanne d'Arc et de sainte Thérése de l'Enfant Jésus ou sainte Thérèse de Lisieux. A droite, celle de la Vierge du jubilé de 1901. Son autel est en marbre doré surmonté d’une statue de Saint-Joseph tenant par la main l’Enfant-Jésus.
120
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Chapelle Saint-Joseph.
Son autel est en marbre doré surmonté d’une statue de Saint-Joseph tenant par la main l’Enfant-Jésus.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Chapelle Saint-Joseph. Son autel est en marbre doré surmonté d’une statue de Saint-Joseph tenant par la main l’Enfant-Jésus.
121
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Buste reliquaire de Sainte-Fortunée.
Ce buste fut créé pour abriter un morceau d'os de la hanche de cette Sainte, d'origine Romaine, que rapporta François d'Attanoux en 1703. Vainqueur d'une bataille, en Italie, on lui offrit cette relique ainsi que son certificat d'authenticité. A son retour à Roquebrune, la Communauté fit fabriquer un buste en tilleul doré, comportant un tiroir, dans lequel fut logé le morceau d'os, qui fut malheureusement volé. Sainte Fortunée fut notamment mise à l'honneur, lorsqu'en 1707, Roquebrune-sur-Argens  fut épargnée, au contraire des villes avoisinantes, des attaques du Duc Victor Amédée de Savoie pour la conquête du trône d'Espagne. Le placard, pratiqué dans le mur, qui abrite ce buste a ses portes toujours ouvertes pour assurer la protection de la Commune, d’où un dicton local, lorsque les gens oubliaient de fermer une porte, « Santo Fortunado es maï durbido » c’est-à-dire « Sainte- Fortunée est encore ouverte ». La sainte était de Césarée de Palestine où elle fut martyrisée sous Dioclétien. Son corps fut sans doute porté à Naples où il aurait été retrouvé en 1564. Son culte s'étendit dans les diocèses voisins et jusqu'en Corse en raison des liens qui unissaient l'île à Naples.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Buste reliquaire de Sainte-Fortunée. Ce buste fut créé pour abriter un morceau d'os de la hanche de cette Sainte, d'origine Romaine, que rapporta François d'Attanoux en 1703. Vainqueur d'une bataille, en Italie, on lui offrit cette relique ainsi que son certificat d'authenticité. A son retour à Roquebrune, la Communauté fit fabriquer un buste en tilleul doré, comportant un tiroir, dans lequel fut logé le morceau d'os, qui fut malheureusement volé. Sainte Fortunée fut notamment mise à l'honneur, lorsqu'en 1707, Roquebrune-sur-Argens fut épargnée, au contraire des villes avoisinantes, des attaques du Duc Victor Amédée de Savoie pour la conquête du trône d'Espagne. Le placard, pratiqué dans le mur, qui abrite ce buste a ses portes toujours ouvertes pour assurer la protection de la Commune, d’où un dicton local, lorsque les gens oubliaient de fermer une porte, « Santo Fortunado es maï durbido » c’est-à-dire « Sainte- Fortunée est encore ouverte ». La sainte était de Césarée de Palestine où elle fut martyrisée sous Dioclétien. Son corps fut sans doute porté à Naples où il aurait été retrouvé en 1564. Son culte s'étendit dans les diocèses voisins et jusqu'en Corse en raison des liens qui unissaient l'île à Naples.
122
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Tryptique de Saint-Honorat, Saint-Aygulf et Saint-Maur. 
Cette peinture, anonyme, en bois porte la date de « 1530 ». Les trois Saints sont auréolés et pourvus de crosses abbatiales ou épiscopales. Saint-Maur porte l’habit monastique ; les deux autres la grande tenue d’évêque, sur fond or.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Tryptique de Saint-Honorat, Saint-Aygulf et Saint-Maur. Cette peinture, anonyme, en bois porte la date de « 1530 ». Les trois Saints sont auréolés et pourvus de crosses abbatiales ou épiscopales. Saint-Maur porte l’habit monastique ; les deux autres la grande tenue d’évêque, sur fond or.
123
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>La Tribune.
Il s'y trouve l'orgue acquis en 2008 par une souscription publique. L'église accueille en effet
un orgue qui provient de l'église de Borken, en Allemagne. Le buffet a été entièrement repensé pour qu'il soit en parfaite harmonie avec le style de l'église. Il comporte 20 jeux répartis sur trois plans sonores, 2 claviers de 56 notes et 1 pédalier de 30 notes. Cet instrument est conçu pour jouer les différents styles de musique baroque.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
La Tribune. Il s'y trouve l'orgue acquis en 2008 par une souscription publique. L'église accueille en effet un orgue qui provient de l'église de Borken, en Allemagne. Le buffet a été entièrement repensé pour qu'il soit en parfaite harmonie avec le style de l'église. Il comporte 20 jeux répartis sur trois plans sonores, 2 claviers de 56 notes et 1 pédalier de 30 notes. Cet instrument est conçu pour jouer les différents styles de musique baroque.
124
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Le chœur est pentagonal. Colonnes, chapiteaux, embrasures de fenêtres sont décorés de motifs géométriques en trompe l’œil, de frises, d’encadrements divers ou de motifs végétaux.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Le chœur est pentagonal. Colonnes, chapiteaux, embrasures de fenêtres sont décorés de motifs géométriques en trompe l’œil, de frises, d’encadrements divers ou de motifs végétaux.
125
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>De part et d'autre du tableau central, représentant sainte Apollonie, sainte Catherine et une sainte, deux tableaux représentant Saint Pierre et Saint Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
De part et d'autre du tableau central, représentant sainte Apollonie, sainte Catherine et une sainte, deux tableaux représentant Saint Pierre et Saint Paul.
126
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Saint-Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Saint-Paul.
127
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Saint-Pierre.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Saint-Pierre.
128
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Les deux grands tableaux : à gauche, l'Assomption de la Vierge et à droite, la Bonne Mort de Saint Joseph.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Les deux grands tableaux : à gauche, l'Assomption de la Vierge et à droite, la Bonne Mort de Saint Joseph.
129
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Sur les battants de la grille de choeur, l'agneau aux sept sceaux.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Sur les battants de la grille de choeur, l'agneau aux sept sceaux.
130
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Le tabernacle.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Le tabernacle.
131
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>A droite, Sainte Catherine d'Alexandrie, avec l'épée, et au fond, la roue. Sur le panneau central, à droite sainte Apolline ou Apollonie avec une tenaille. Au-dessous, une soucoupe avec ses dents.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
A droite, Sainte Catherine d'Alexandrie, avec l'épée, et au fond, la roue. Sur le panneau central, à droite sainte Apolline ou Apollonie avec une tenaille. Au-dessous, une soucoupe avec ses dents.
132
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>A gauche, Sainte Marthe avec la Tarasque à ses pieds. A gauche du panneau central, Sainte Agathe, à ses pieds la soucoupe avec ses seins arrachés. Au centre, une martyre va être couronnée par un ange.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
A gauche, Sainte Marthe avec la Tarasque à ses pieds. A gauche du panneau central, Sainte Agathe, à ses pieds la soucoupe avec ses seins arrachés. Au centre, une martyre va être couronnée par un ange.
133
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Les vitraux du Chœur. Sainte-Marguerite et Saint-Paul. En bas, peinture représentant Saint Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Les vitraux du Chœur. Sainte-Marguerite et Saint-Paul. En bas, peinture représentant Saint Paul.
134
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Les vitraux du Chœur. Saint-Roch et Saint- Maxime.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Les vitraux du Chœur. Saint-Roch et Saint- Maxime.
135
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>Les vitraux du Chœur. Sainte-Catherine et Saint-Pierre. En bas, peinture représentant Saint Pierre.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Les vitraux du Chœur. Sainte-Catherine et Saint-Pierre. En bas, peinture représentant Saint Pierre.
136
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Vitrail de la nef.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Vitrail de la nef.
137
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Au-dessus de l'orgue, vitrail représentant la Vierge supportée par deux anges (Assomption ?).
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Au-dessus de l'orgue, vitrail représentant la Vierge supportée par deux anges (Assomption ?).
138
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Le chemin de croix.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Le chemin de croix.
139
<center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. </center>L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Le chemin de croix.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
L'Église Saint-Pierre-Saint-Paul. Le chemin de croix.
140
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>Autour de l’église s’étendait le quartier des Salles réservé au seigneur, aux prêtres, aux notables et à leurs serviteurs.
Roquebrune-sur-Argens.
Autour de l’église s’étendait le quartier des Salles réservé au seigneur, aux prêtres, aux notables et à leurs serviteurs.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>
Roquebrune-sur-Argens.
142
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>Du côté Nord de l’église, se trouve la place du presbytère. Ce dernier est une ancienne dépendance du château.
Roquebrune-sur-Argens.
Du côté Nord de l’église, se trouve la place du presbytère. Ce dernier est une ancienne dépendance du château.
143
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>Castrum.
La création du Castrum de Roca Bruna date de la fin du Xe siècle, la population vient s’installer sur la hauteur la plus proche et la plus aisément défendable. Cette enceinte fortifiée protégera la population des ravages causés par les guerres civiles et les épidémies. Elle s’agrandira au cours des siècles avec l’augmentation de la population. Le seigneur de Rocabruna au Xie xiècle était Guillaume Dodon.
Roquebrune-sur-Argens.
Castrum. La création du Castrum de Roca Bruna date de la fin du Xe siècle, la population vient s’installer sur la hauteur la plus proche et la plus aisément défendable. Cette enceinte fortifiée protégera la population des ravages causés par les guerres civiles et les épidémies. Elle s’agrandira au cours des siècles avec l’augmentation de la population. Le seigneur de Rocabruna au Xie xiècle était Guillaume Dodon.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>Maison consulaire . Hôtel de Ville, XVIIe.
Roquebrune-sur-Argens.
Maison consulaire . Hôtel de Ville, XVIIe.
145
<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>
Roquebrune-sur-Argens.
146
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>Hospice Saint Jacques, 1635-1892.
Roquebrune-sur-Argens.
Hospice Saint Jacques, 1635-1892.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao, dans l'ancienne chapelle Saint Jacques du XVIIIe siècle, chapelle des hospitaliers.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao, dans l'ancienne chapelle Saint Jacques du XVIIIe siècle, chapelle des hospitaliers.
148
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao est un véritable lieu de pèlerinage. Boîtes anciennes, « réclames » d’époque, objets et gadgets sont exposés dans une scénographie atypique. Des sculptures originales et inédites, réalisées par les chocolatiers, des ouvrages sur le chocolat, sa fabrication et son utilisation, décorent cette véritable caverne aux trésors. Enfin, un espace « Choco- mômes » où vos enfants trouveront de nombreux jeux et y apprendront quelques secrets chocolatés.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao est un véritable lieu de pèlerinage. Boîtes anciennes, « réclames » d’époque, objets et gadgets sont exposés dans une scénographie atypique. Des sculptures originales et inédites, réalisées par les chocolatiers, des ouvrages sur le chocolat, sa fabrication et son utilisation, décorent cette véritable caverne aux trésors. Enfin, un espace « Choco- mômes » où vos enfants trouveront de nombreux jeux et y apprendront quelques secrets chocolatés.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao. Sainte Catherine d'Alexandrie.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao. Sainte Catherine d'Alexandrie.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao. Sainte Philomène.
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La maison du Chocolat et du Cacao. Sainte Philomène.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
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La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
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La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
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La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
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La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens.</center>La maison du Chocolat et du Cacao.
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La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao. Des chocolatières.
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La maison du Chocolat et du Cacao. Des chocolatières.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao.
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La maison du Chocolat et du Cacao.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao. A gauche une bonbonnière en argent,Egypte, fin XIXe siècle. A drote, un sucrier en métal argenté, Angleterre, début CCe siècle..
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao. A gauche une bonbonnière en argent,Egypte, fin XIXe siècle. A drote, un sucrier en métal argenté, Angleterre, début CCe siècle..
171
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La maison du Chocolat et du Cacao. Au fond, à gauche, une petite verseuse chocolatière en porcelaine. A droite, une verseuse chocolatière en argent.
Roquebrune-sur-Argens.
La maison du Chocolat et du Cacao. Au fond, à gauche, une petite verseuse chocolatière en porcelaine. A droite, une verseuse chocolatière en argent.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle Sainte-Anne. Le large portail percé dans sa façade contraste avec son minuscule clocheton.
Roquebrune-sur-Argens.
La chapelle Sainte-Anne. Le large portail percé dans sa façade contraste avec son minuscule clocheton.
173
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle Sainte-Anne. Cet édifice portant à l'origine le nom de la Vierge était fait pour accueillir les pèlerins qui se dirigeaient vers le monastère du Saint-Désert de Notre-Dame-de-Pitié et permettre ainsi le plus grand recueillement. Son rôle était également celui d'un oratoire.
Roquebrune-sur-Argens.
La chapelle Sainte-Anne. Cet édifice portant à l'origine le nom de la Vierge était fait pour accueillir les pèlerins qui se dirigeaient vers le monastère du Saint-Désert de Notre-Dame-de-Pitié et permettre ainsi le plus grand recueillement. Son rôle était également celui d'un oratoire.
174
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>L'aqueduc des 25 ponts qui alimentait en eau la  Ffontaine Vieille. Il est longé par le sentier botanique.
Roquebrune-sur-Argens.
L'aqueduc des 25 ponts qui alimentait en eau la Ffontaine Vieille. Il est longé par le sentier botanique.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>L'aqueduc des 25 ponts qui alimentait en eau la  Ffontaine Vieille. Il est longé par le sentier botanique.
Roquebrune-sur-Argens.
L'aqueduc des 25 ponts qui alimentait en eau la Ffontaine Vieille. Il est longé par le sentier botanique.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>L'aqueduc des 25 ponts qui alimentait en eau la  Ffontaine Vieille. Il est longé par le sentier botanique.
Roquebrune-sur-Argens.
L'aqueduc des 25 ponts qui alimentait en eau la Ffontaine Vieille. Il est longé par le sentier botanique.
177
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>Le sanctuaire Notre-Dame de Pitié. L'architecture du Saint Désert Notre Dame de Pitié, ermitage des frères carmes déchaux, se compose d'un corps de bâtiment principal dans lequel est incluse la chapelle du XVIIe siècle, et de huit cellules séparées: cinq de forme identique bâties sur le périmètre d'un espace carré, deux cellules
Roquebrune-sur-Argens.
Le sanctuaire Notre-Dame de Pitié. L'architecture du Saint Désert Notre Dame de Pitié, ermitage des frères carmes déchaux, se compose d'un corps de bâtiment principal dans lequel est incluse la chapelle du XVIIe siècle, et de huit cellules séparées: cinq de forme identique bâties sur le périmètre d'un espace carré, deux cellules "gémellées" dans une ancienne bergerie et une cellule hors clôture sur la colline de Sainte-Candie. Chaque cellule est entourée par un jardin clos, lieu de rencontre et d'intimité de l'âme avec le Christ. Les cinq cellules de Camaldules ont été construites en 1926: sur un même plan de base celles conçues par saint Romuald au XIe siècle. Elles comportent entre autres un couloir en colimaçon et un bûcher (actuellement atelier) enserrant une pièce de vie et un oratoire où l’ermite prie et peut célébrer l’Eucharistie.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle. Les Saints-Déserts ont été fondés à la fin du XVIe siècle par le Frère Carme Thomas de Jésus. On y mène une vie érémitique (érémos = désert en grec) de prière, de pénitence et de solitude dans le silence et l’entraide fraternelle selon l’esprit des origines du Carmel. Le saint-désert de Roquebrune comporte sept ermitages, comprenant une maisonnette et un jardin clos. Les Frères Carmes y élisent domicile en 1948, succédant aux Frères Camaldules présents depuis 1922.
Roquebrune-sur-Argens.
La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle. Les Saints-Déserts ont été fondés à la fin du XVIe siècle par le Frère Carme Thomas de Jésus. On y mène une vie érémitique (érémos = désert en grec) de prière, de pénitence et de solitude dans le silence et l’entraide fraternelle selon l’esprit des origines du Carmel. Le saint-désert de Roquebrune comporte sept ermitages, comprenant une maisonnette et un jardin clos. Les Frères Carmes y élisent domicile en 1948, succédant aux Frères Camaldules présents depuis 1922.
179
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>XIIIe siècle : Existence présumée d'un lieu de culte dédié à Notre Dame à l'emplacement de la chapelle actuelle.
Fin XVIe siècle : Arrivée de Jean-Baptiste Corsi, ermite génois venu de Lérins. Il meurt vers 1610, et ses restes seront transférés dans la chapelle en 1766.
1649 : Les travaux de construction de la chapelle actuelle sont terminés.
1651: Construction d'un ermitage attenant à la chapelle. Des ermites se succéderont jusqu'en 1704, suivis par des religieux.
1656: Le sanctuaire s'enrichit d'un autel et d'un retable en bois doré encadrant une Pietà offerte, dit-on, par Mazarin.
1707: Adjonction d'une halle (ancienne chapelle des ex-voto) à la chapelle (photo).
Roquebrune-sur-Argens.
XIIIe siècle : Existence présumée d'un lieu de culte dédié à Notre Dame à l'emplacement de la chapelle actuelle. Fin XVIe siècle : Arrivée de Jean-Baptiste Corsi, ermite génois venu de Lérins. Il meurt vers 1610, et ses restes seront transférés dans la chapelle en 1766. 1649 : Les travaux de construction de la chapelle actuelle sont terminés. 1651: Construction d'un ermitage attenant à la chapelle. Des ermites se succéderont jusqu'en 1704, suivis par des religieux. 1656: Le sanctuaire s'enrichit d'un autel et d'un retable en bois doré encadrant une Pietà offerte, dit-on, par Mazarin. 1707: Adjonction d'une halle (ancienne chapelle des ex-voto) à la chapelle (photo).
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.1795: Le sanctuaire ainsi que ses dépendances sont déclarés
Roquebrune-sur-Argens.
La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.1795: Le sanctuaire ainsi que ses dépendances sont déclarés " biens nationaux " et rachetés par la famille Jaubert qui, sous la Restauration, a construit une grande bastide englobant la chapelle. 1920 : La famille Jaubert vend le domaine. 1923: La propriété est acquise par des moines Camaldules, ermites bénédictins venus d'Italie, qui y construisent les ermitages. 1931: 25 mai, Lundi de Pentecôte, couronnement solennel de la Vierge et du Christ de la Pietà. 1947: Départ des Camaldules. Le sanctuaire et la propriété sont rachetés par les Carmes Déchaux. 1948 : À la Pentecôte, inauguration officielle du Saint-Désert Nôtre-Dame de Pitié.
181
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle. Retable du 17ème siècle encadrant une Pietà apparentée à une œuvre du Caravage
Roquebrune-sur-Argens.
La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle. Retable du 17ème siècle encadrant une Pietà apparentée à une œuvre du Caravage
182
<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>L’Ordre des Carmes est né en Palestine au temps des croisades. À la fin du XIIe siècle, des ermites latins se regroupent sur le Mont Carmel au lieu-dit : La Fontaine d’Élie.
Entre 1209 et 1247 est élaborée la Règle du Carmel. Vers 1235, les premiers Carmes arrivent en Occident et doivent passer du statut d’Ermites à celui de Mendiants : en effet, s’ils veulent subsister, il leur faut adopter la vie « mixte », faite de contemplation et .d’apostolat.
XIVe et XVe siècles : Insertion de l’Ordre dans le monde universitaire médiéval.
En 1463 est fondée à Vannes la branche féminine du Carmel par le Bienheureux Jean Soreth (1395-1471) et la Bienheureuse Françoise d’Amboise (1427-1485).
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L’Ordre des Carmes est né en Palestine au temps des croisades. À la fin du XIIe siècle, des ermites latins se regroupent sur le Mont Carmel au lieu-dit : La Fontaine d’Élie. Entre 1209 et 1247 est élaborée la Règle du Carmel. Vers 1235, les premiers Carmes arrivent en Occident et doivent passer du statut d’Ermites à celui de Mendiants : en effet, s’ils veulent subsister, il leur faut adopter la vie « mixte », faite de contemplation et .d’apostolat. XIVe et XVe siècles : Insertion de l’Ordre dans le monde universitaire médiéval. En 1463 est fondée à Vannes la branche féminine du Carmel par le Bienheureux Jean Soreth (1395-1471) et la Bienheureuse Françoise d’Amboise (1427-1485).
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>1515 : Naissance de sainte Thérèse à Avila en Espagne.
1542 : Naissance de saint Jean de la Croix à Fontivéros sur le plateau de Castille.
1562 : Réforme de l’Ordre du Carmel par sainte Thérèse d’Avila (1582) bientôt assistée par saint Jean de la Croix (1591) pour la branche masculine.
XVIe-XVIIe Le Carmel réformé se propage rapidement à travers l’Espagne puis à travers 1’Europe.
Le Carmel comprend désormais deux branches : 
L’Ordre des Carmes Déchaux (O.C.D,)
L’Ordre des Carmes de l’Antique Observance (O. Carm.)
Fr. Thomas de Jésus (1564-1627) Disciple de Jean de la Croix, il fonde le premier Saint-Désert en 1592 à Bolarque (Espagne) pour renouer avec le genre de vie mené par les ermites du Mont Carmel.
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1515 : Naissance de sainte Thérèse à Avila en Espagne. 1542 : Naissance de saint Jean de la Croix à Fontivéros sur le plateau de Castille. 1562 : Réforme de l’Ordre du Carmel par sainte Thérèse d’Avila (1582) bientôt assistée par saint Jean de la Croix (1591) pour la branche masculine. XVIe-XVIIe Le Carmel réformé se propage rapidement à travers l’Espagne puis à travers 1’Europe. Le Carmel comprend désormais deux branches : L’Ordre des Carmes Déchaux (O.C.D,) L’Ordre des Carmes de l’Antique Observance (O. Carm.) Fr. Thomas de Jésus (1564-1627) Disciple de Jean de la Croix, il fonde le premier Saint-Désert en 1592 à Bolarque (Espagne) pour renouer avec le genre de vie mené par les ermites du Mont Carmel.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle.
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle. Saint Joseph avec deux pigeons
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La chapelle du sanctuaire Notre-Dame de Pitié, du XVIIe siècle. Saint Joseph avec deux pigeons
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<center>Roquebrune-sur-Argens. </center>Au carmel, la dévotion à Marie se manifeste notamment par le port du Scapulaire de Notre-Dame du Mont Carmel, signe de consécration à Marie, qu’ils font connaître depuis leurs origines.
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Au carmel, la dévotion à Marie se manifeste notamment par le port du Scapulaire de Notre-Dame du Mont Carmel, signe de consécration à Marie, qu’ils font connaître depuis leurs origines.
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<center>Les orchidées de Michel Vacherot.</center>
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