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Fragment du cénotaphe de Guillaume du Vair. Anonyme. Vers 1621. Pierre calcaire. Le cénotaphe de Guillaume du Vair a disparu sous le Second Empire, lorsque la chapelle de l'Hôtel-Dieu dans laquelle il se trouvait a été rasée. Le blason, ainsi que ce squelette qui surmontait une statue de Guillaume du Vair, constituent des fragments de ce monument.
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Blason de Guillaume du Vair (1556 -1621). En 1596, Guillaume du Vair a été envoyé à Marseille par Henri IV pour y présider la Chambre de justice. Il a contribué à l'apaisement de la ville et a été, pendant vingt ans, premier Président du Parlement de Provence.
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Blason des Andréa. Marbre. Ce magnifique blason conserve des traces de polychromie. Il est celui d'une famille qui a occupé de hautes charges au Parlement d'Aix et à l'Hôtel-de-Ville de Marseille.
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Pierre de fondation de l'église des Augustins 1611. Pierre calcaire.
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Blason de la Rovère (ou Du Roure). Marbre. Cette famille est l’une des plus anciennes d'Europe qui a notamment donné deux papes à l'Eglise.
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Blason de la famille Rémusat (1737 -1750) Musée du Vieux Marseille. Cette famille est l'une des plus anciennes familles nobles de Provence
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Blason de Jacques de Goyon de Matignon. Premier quart du XVIIIe. Marbre. Jacques Goyon de Matignon a été nommé abbé du monastère de Saint-Victor de Marseille en 1703.
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Blason de la famille Martin. 1783. Pierre La famille Martin était une grande famille de négociants marseillais. Blason du Père Taddée Merlat. 1775 -1776. Marbre La Père Taddée Merlat appartenait à l'ordre des Picpus. Ces religieux se sont établis à Marseille avant 1740.
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Pierre de fondation de la maison de Linossier. 1747. L'an du Seigneur 1747, régnant Louis XV roi de France, J.J.P. Linossier, F[ranc] Maçon*, a posé la première pierre de sa maison édifiée sous la direction de Kapeler (sic) architecte. Franc Maçon. Ces lettres sont un exemple de l'écriture cryptée maçonnique du XVIIIe siècle, que l'on trouve également sur des faïences de Marseille. (Source: Régis Bertrand)
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Pierre provenant de l’ancienne église Notre-Dame des Accoules. 1657. Pierre calcaire. Cette pierre rappelle la fondation de la chapelle de Marie, sous le vocable de Reine de la Paix
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Pierre provenant de l’ancienne église Notre-Dame des Accoules. 1657. Pierre calcaire. Cette pierre rappelle la fondation de la chapelle de Marie, sous le vocable de Reine de la Paix
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Portrait de Jean-Baptiste Gault, évêque de Marseille. Jean-Baptiste Faudran XVIIe siècle. Huile sur cuivre. Jean-Baptiste Gault n'aura de cesse, à partir de son arrivée à Marseille en 1643, d'œuvrer pour les forçats de l'arsenal des galères. La présentation du portrait dans un médaillon souten
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Céramiques. Plat creux circulaire, Aubagne. Deuxième moitié du XVIIe siècle. Inscription sur le décor : Joseph Reybaud. Grand plat circulaire, Aubagne ou Saint Zacharie. 1676. 3. Ensemble de céramiques de la vallée de l’Huveaune. Marseille, XVIIe siècle. Assiette et tasse à décor jaspé ( A), tasses à tâches vertes (B), bol à oreille, assiette (C), coupe et plat inspirés des décors « à sgraffite » pisans (D), assiettes à décor de points (E). 4. Céramiques de la vallée du Rhône. XVIIe siècle.
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Céramiques. Plat creux circulaire, Aubagne. Deuxième moitié du XVIIe siècle. Inscription sur le décor : Joseph Reybaud. Grand plat circulaire, Aubagne ou Saint Zacharie. 1676. 3. Ensemble de céramiques de la vallée de l’Huveaune. Marseille, XVIIe siècle. Assiette et tasse à décor jaspé (A), tasses à tâches vertes (B), bols à oreilles (C),
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Céramiques. Assiettes, coupe et plat inspirés des décors « à sgraffite » pisans (D), assiettes à décor de points (E). 4. Céramiques de la vallée du Rhône. XVIIe siècle.
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3. Ensemble de céramiques de la vallée de l’Huveaune. Marseille, XVIIe siècle. Pichet à décor de fleurs de lys (f), pichet (g). 5. Toupins, atelier de Vallauris. Fin du XVIIe siècle – début du XVIIIe siècle. Vallauris était un grand centre de production de céramique culinaire. Plat à barbe.
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Ensemble de céramiques de la vallée de l’Huveaune. Marseille, XVIIe siècle. Pichet à décor de fleurs de lys (f), pichet (g)
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Toupins, atelier de Vallauris. Fin du XVIIe siècle – début du XVIIIe siècle. Vallauris était un grand centre de production de céramique culinaire.
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Toupins, atelier de Vallauris. Fin du XVIIe siècle – début du XVIIIe siècle. Vallauris était un grand centre de production de céramique culinaire.
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Céramiques de Marseille. De haut en bas. 1. Pichets. Vallée de l’Huveaune. 4. Plat. Aubagne. Deuxième moitié du XVIIe siècle. 3. Pichet. Vallée de l’Huveaune. Fouille de la bourse. Troisième quart du XVIIe siècle. 2. Faïence de Saint-Jean-du-Désert. Plat au décor caractéristique de la production de ce centre faïencier marseillais rival de Montpellier et de Moustier, carreaux de pavement. 5. Applique de bénitier. Fouilles de la place Villeneuve – Bargemon. Cette plaque de bénitier au décor jaspé a été produite par les ateliers de la vallée de l’Huveaune. 6. Taraillettes, céramiques de la vallée de l’Huveaune. Fouilles de la place Villeneuve – Bargemon. Troisième quart du XVIIe siècle. Pichets, vases, toupin, sifflet en forme de lapin.
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1. Pichets. Vallée de l’Huveaune.
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3. Pichet. Vallée de l’Huveaune. Fouille de la bourse. Troisième quart du XVIIe siècle. 4. Plat. Aubagne. Deuxième moitié du XVIIe siècle.
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2. Faïence de Saint-Jean-du-Désert. Plat (A) au décor caractéristique de la production de ce centre faïencier marseillais rival de Montpellier et de Moustier, carreaux de pavement (B).
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5. Applique de bénitier. Fouilles de la place Villeneuve – Bargemon. Cette plaque de bénitier au décor jaspé a été produite par les ateliers de la vallée de l’Huveaune. 6. Taraillettes, céramiques de la vallée de l’Huveaune. Fouilles de la place Villeneuve – Bargemon. Troisième quart du XVIIe siècle. Pichets (A), vases (B), toupin (C), sifflet en forme de lapin (D).
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5. Applique de bénitier. Fouilles de la place Villeneuve – Bargemon. Cette plaque de bénitier au décor jaspé a été produite par les ateliers de la vallée de l’Huveaune. 6. Taraillettes, céramiques de la vallée de l’Huveaune. Fouilles de la place Villeneuve – Bargemon. Troisième quart du XVIIe siècle. Pichets (A), vases (B), toupin (C), sifflet en forme de lapin (D).
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6. Taraillettes, céramiques de la vallée de l’Huveaune. Fouilles de la place Villeneuve – Bargemon. Troisième quart du XVIIe siècle. Pichets (A), vases (B), toupin (C), sifflet en forme de lapin (D).
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6. Taraillettes, céramiques de la vallée de l’Huveaune. Fouilles de la place Villeneuve – Bargemon. Troisième quart du XVIIe siècle. Pichets (A), vases (B), toupin (C), sifflet en forme de lapin (D).
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1. Plat à décor de cavalier. Découverte isolée en rade de Marseille. Début du XVIIe siècle. Ce plat au décor violet jaune, est proche des productions italiennes de Montelupo. 4. Céramique pisane « graffite polychrome » 2. Céramique culinaire italienne. Marmite de Sienne à deux anses pincées, jattes de Savone. 8. Céramique de Montelupo. Fin du XVIIe siècle. Ces assiettes et ce pichet sont ornés de décor de feuilles de chêne, caractéristiques de la production de Montelupo. 5. Céramique pisane à décor marbré. Fouilles de la bourse. 3. Céramique « a stecca », Pise. 7. Céramique conventuelle, Ligurie. 6. Applique de bénitier, Ligurie.
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Plat à décor de cavalier. Découverte isolée en rade de Marseille Début du XVIIe siècle. Ce plat au décor violet et jaune, est proche des productions italiennes de Montelupo.
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4. Céramique pisane « graffite polychrome »
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2. Céramique culinaire italienne. Marmite de Sienne à deux anses pincées, jattes de Savone. 8. Céramique de Montelupo. Fin du XVIIe siècle. Ces assiettes et ce pichet sont ornés de décor de feuilles de chêne, caractéristiques de la production de Montelupo. 3. Céramique « a stecca », Pise.
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8. Céramique de Montelupo. Fin du XVIIe siècle. Ces assiettes et ce pichet sont ornés de décor de feuilles de chêne, caractéristiques de la production de Montelupo. 5. Céramique pisane à décor marbré. Fouilles de la bourse. 7. Céramique conventuelle, Ligurie. 6. Applique de bénitier, Ligurie.
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Applique de bénitier.
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La Prédication de Marie Madeleine. Cette œuvre -d'abord attribuée au roi René d'Anjou, (1409-1480), comte de Provence, qui devait terminer sa vie à Marseille – fut ensuite attribuée à Antoine Ronzen dont on suit la trace en Provence de 1508 à 1525. Aujourd'hui, elle est attribué à un collaborateur d'Anton Ronzen 1517. Huile sur bois. C'est une des première vue du site de Marseille et de ce qu'on nomme le Vieux-Port. À l'arrière-plan se reconnaît aisément le couvent de Saint-Victor, la colline de la Garde (dont le relief est largement accentué). A son sommet on distingue le poste de vigie, surmontée de la voile blanche et à son pied, l'anse du Pharo, ("Tête de More "). Au pied du tableau se situe la barque, qui selon la légende, est celle sur laquelle Marie Madeleine est arrivée à Marseille.d'une chapelle et de la tour de la vigie.
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Le tableau représente Marie Madeleine sur la rive gauche, debout contre un mur, au sommet de quelques marches d'escalier, prêchant à un groupe de personnes. Parmi ces auditeurs, on distingue un couple couronné. À l'arrière-plan se reconnaît aisément le couvent de Saint-Victor.
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Sur la rive nord, apparaît l'église Saint-Laurent, les Accoules, la Butte des Moulins dominant la ville et au premier plan le Fort Saint Jean.
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Galère à la fonde en rade de Marseille. École de Pierre Puget. Huile sur toile. L'expression « à la fonde » est utilisé pour désigner une galère qui est au mouillage dans le port, rames levées. Cette toile montre qu'une tente était alors montée au-dessus du pont, afin de protéger l'équipage.
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L'arsenal des galères. Projet d'aménagement de l'arsenal des galères, attribué à Jean-Baptiste de la Rose, 1668, huile sur toile.
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L'Apothéose de Marseille ou Marseille protégée des dieux. Jean-Baptiste de Faudran. 1655-1660. Huile sur toile. La présence de la devise de la ville « sub cujus imperio summa libertas» («sous quel qu'empire que ce soit, la liberté entière») indique que cette toile a été réalisée avant 1660, date de l'entrée de Louis XIV dans Marseille, qui voulait y anéantir toute volonté d'indépendance.
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Carte des îles de Ratonneau, Saint-Jean et Château d'If. Anonyme XVIIIe siècle Lithographie aquarellée
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Plan du Lazaret de Marseille, dit « Les Infirmeries ». Anonyme XVIIIe siècle Dessin à la plume rehaussé d'aquarelle Le lazaret était destiné au séjour en quarantaine des passagers et marchandises soupçonnés d'être porteurs de la peste. Il a été fondé dans le quartier d'Arenc en 1663, et agrandi en 1729. Les aménagements des nouveaux ports de Marseille au XIXe siècle ont amené sa destruction.
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Le Lazaret de Pomègues. Anonyme XVIIIe siècle Aquarelle.
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Eléments provenant de l'épave du Grand-Saint-Antoine. Début du XVIIIe. En bas, Fragments de céramique et Boulets de canon.
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Eléments provenant de l'épave du Grand -Saint-Antoine. Début du XVIIIe Le 25 mai 1720, le Grand-Saint-Antoine accoste à Marseille. Lenu de Syrie, il apporte dans ses cales des étoffes destinées à êre vendues à la foire de Beauc (f).aire. Il est porteur du bacille de la peste. L’épidémie se répand dans la ville en quelques semaines. Ce sera la dernière grande épidémie de peste de France. Elle fit entre 120 000 et 160 000 morts. Le 25 septembre 1720, le régent Philippe d'Orléans ordonne de brûler le navire au large de l'île de Jarre. Réas de poulie (a), battants de cloche (b), Tête de pipe (c). Couvercle d’encrier (d), Tête de gaffe (e), Blocs de cendre (f), Fragments de cordage minéralisé, Fragments de céramique.
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La peste dans la ville de Marseille en 1720. Anonyme. 1755. Huile sur toile. Cette représentation est inspirée du tableau de Michel Serre, conservé au musée Atger de Montpellier. Cette scène représente l'un des épisodes les plus dramatiques de la peste de 1720 : des centaines de cadavres jonchent l'esplanade de la Tourette depuis août et il devient urgent de les évacuer. En septembre, le Chevalier Roze se porte volontaire, avec l'aide des échevins, pour diriger l'opération de déblaiement. A cheval, ils commandent l'enlèvement des cadavres par les galériens, reconnaissables à leur casaque et bonnet rouge. La tour, au premier plan, sert de fosse.
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Apparition du Sacré-Cœur de Jésus. Robert Bichue. 1750. Huile sur toile. Ce tableau illustre l'apparition du Sacré-Cœur de Jésus, invoqué par les échevins et prélats de Marseille lors de la grande peste de 1720, comme le mentionne le texte inscrit sur la toile.
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Buste de Monseigneur de Belsunce. Auguste Ottin. XIXe siècle. Bronze. Nommé évêque de Marseille par le roi en 1709, Henry François-Xavier de Belsunce de Castelmoron (1670 -1755) a occupé ce siège jusqu'à sa mort. La grande Peste qui s'est abattue sur Marseille en 1720 a marqué son épiscopat : son dévouement au peuple a été alors unanimement salué. Au cours d'une cérémonie expiatoire célébrée sur le Grand Cours (aujourd'hui Cours Belsunce), il décide de consacrer la ville au Sacré-Cœur de Jésus.
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Vue du Cours de Marseille, dessiné sur le lieu pendant la peste arrivée en 1720. Jacques Rigaud, 1720, gravure, eau-forte. Jacques Rigaud (1681-1754) est peut-être un témoin direct de l’épidémie de peste tout comme le peintre Michel Serre. Ses gravures du Cours et de l’Hôtel de Ville précisent «dessiné sur le lieu pendant la peste». Ici, au premier plan, une scène de désolation montre des corps entassés sur des charrettes, des malades ou mourants abrités ou non sous des tentes. Monseigneur de Belsunce est représenté accompagné d’autres religieux ainsi que des officiels à cheval. Des cadavres sont évacués des immeubles par les fenêtres à l’aide de cordes. Derrière, des tentes sont dressées le long du Cours. Dans le ciel, des anges brandissent des lances : évocation de la punition divine qui s’abat sur la ville.
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Vue du cours de Marseille. Jacques Rigaud, d'après le tableau de Michel Serre. Gravure sur cuivre. Musée du Vieux Marseille Cette vue est particulièrement intéressante car elle a été dessinée «sur le lieu pendant la peste arrivée en 1720.»
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Vue du Cours de Marseille. XVIIIe siècle. Gravure sur cuivre, inversée.
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Marseille pendant la Peste de 1720. Hyacinthe Aubry-Lecomte d'après le tableau du baron Gérard 1835. Lithographie.
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L'épidémie de 1720 -1725. « Vorstellung des hochst betrübten Zustands zu Marsilien»: Représentation de l'état de grande désolation de Marseille. Après 1720 Gravure sur cuivre. L'épidémie qui a frappé Marseille à partir de 1720 a donné lieu à une abondante production iconographique.
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Instruments médicaux – chirurgicaux ayant servi durant la peste de 1720. Cautères : à bout rond, à bout carré, à bout en clive, à bout plat, à bout cylindrique, bistouri à fourreau, pince, bistouris à lame courte, sonde cannelée, support de sonde. Première page de l’Évangile selon Saint Jean. 1720, Bois, verre. Le capitaine de navire prêtait serment sur ce panneau enchâssant la première page de l’Évangile selon Saint Jean, et jurait que l’état sanitaire de son navire était confirme à celui indiqué sur la patente. A droite, un verre et son étui.
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Mallette de chirurgien présentée avec 6 cautères.
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Pince pour l'extrême onction à distance.(au fond). 1720 (?), étain. Pince pour donner les sacrements la distance 1720 (?), étain doré
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Pince de préhension à distance. Métal. Planche du « guide sanitaire des gouvernements européens ». M Robert, médecin du lazaret de Marseille 1826. Gravures sur cuivre coloriées. Médecin du lazaret (1720), garde de santé et chirurgien (1819). Les costumes étaient en toile cirée ou en cuir marocain. Le masque avait les yeux vitrés, et le nez était assez long pour que l’air passe à travers de nombreux linges imbibés de parfums. Recette du vinaigre des quatre voleurs contre la peste. Vers 1720. Cette recette de macération de plantes et épices antiseptiques fut inscrite dans le codex pharmacopées en 1748. Plaque commémorative évoquant la peste de 1720. 1800, cuivre. Cette plaque est dédiée « à la mémoire des hommes courageux qui s’y dévouèrent. ».
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Planche du « guide sanitaire des gouvernements européens ». M Robert, médecin du lazaret de Marseille 1826. Gravures sur cuivre coloriées. Médecin du lazaret au centre (1720), garde de santé à gauche et chirurgien à droite (1819). Les costumes étaient en toile cirée ou en cuir marocain. Le masque avait les yeux vitrés, et le nez était assez long pour que l’air passe à travers de nombreux linges imbibés de parfums.
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Piège à rat. XVIIe siècle. Fer.
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Perce document pour désinfecter le courrier.
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Première page de l’Évangile selon Saint Jean. 1720, Bois, verre. Le capitaine de navire prêtait serment sur ce panneau enchâssant la première page de l’Évangile selon Saint Jean, et jurait que l’état sanitaire de son navire était confirme à celui indiqué sur la patente.
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Registres des patentes de santé, 1786 – 1806. Fin du XVIIe siècle. La patente de santé est un document établi par les autorités maritimes. Il indique l’état sanitaire du navire, ainsi que celui de son port de provenance. Il doit être présenté par le capitaine lors de son arrivée dans un nouveau port. Le bureau des intendants de la santé de Marseille a été dressé en 1719 sur les plans réalisés par l’ingénieur militaire Mazin.
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7 Patente de santé. 1792. Papier. 8 Acte royal sur l’interdiction de toucher les haillons contaminés par la Peste 1721. Papier.
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Coffret. XVIIIe siècle. Bois de violette, métal. Coffret donné au chevalier Roze par la ville de Marseille en témoignage de reconnaissance. Le Chevalier Roze (1675-1733, Nicolas dit le chevalier) est un négociant marseillais. Il devient noble suite à de hauts faits militaires lors de la guerre de Succession d’Espagne. Durant la peste de 1720, il est nommé commissaire général du quartier de Rive Neuve. Son action héroïque pendant l’épidémie lui vaut la reconnaissance de la ville. Il reçoit ce coffret de très belle facture, aux armes de France gravées sur les ferrures ainsi qu’une rente.
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Foyer pour vapeurs antiseptiques.
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Verre et son étui. Ce verre a été utilisé par la Duchesse d'Angoulême lors de sa venue à Marseille le 15 mai 1823.
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1. Pichets de barque, Céramique de la vallée du Rhône 2. Pot à poulpe 3. Pot à fraises, Aubagne. 4. Pot à raisin, Aubagne. 5. Plat, Vallée de l’Huveaune
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6. Céramiques de Saint-Quentin-la-Poterie Fouilles du port de la Quarantaine, Pomègues. Assiette (a), Toupins (b) 7. Céramiques de la vallée de l'Huveaune Fouilles du port de la Quarantaine, Pomègues. Pots (a), Corne de Saint-Jean (b)
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6. Céramiques de Saint-Quentin-la-Poterie Fouilles du port de la Quarantaine, Pomègues. Assiette (a), Toupins (b) 7. Céramiques de la vallée de l'Huveaune Fouilles du port de la Quarantaine, Pomègues. Pots (a), Corne de Saint-Jean (b)
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Épave du Grande Conglué 4. Céramique d’Albisola. Milieu du XVIIIe siècle. Assiettes à décor d’oiseaux, plat à décor de voyageur. Céramique à décor dit « Spirale Verdi », Montelupo. XVIIIe siècle. Plat à décor de blason jaune et bleu, Rome. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. XVIIIe siècle. Tasses et soucoupes ligures d’inspiration orientale. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. XVIIIe siècle. Assiettes à décor de « tâches de léopard », Istanbul, Sarachane. XVIIIe siècle. Assiettes, Chypre. XVIIIe siècle. Assiettes, Canakkale, kale Sultanie, Dardanelles. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. Milieu du XVIIIe siècle. Fragments de porcelaine, Chine.. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. Milieu du XVIIIe siècle. Assiettes, Grèce. XVIIIe siècle. Tasses à café, Kätahya, Turquie. . Fouilles de la quarantaine, Pomègues. Milieu du XVIIIe siècle.
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Épave du Grande Conglué 4. Céramique d’Albisola. Milieu du XVIIIe siècle. Assiettes à décor d’oiseaux, plat à décor de voyageur. Céramique à décor dit « Spirale Verdi », Montelupo. XVIIIe siècle. Plat à décor de blason jaune et bleu, Rome. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. XVIIIe siècle. Tasses et soucoupes ligures d’inspiration orientale. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. XVIIIe siècle.
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Épave du Grande Conglué 4. Céramique d’Albisola. Milieu du XVIIIe siècle. Assiettes à décor d’oiseaux, plat à décor de voyageur. Céramique à décor dit « Spirale Verdi », Montelupo. XVIIIe siècle. Plat à décor de blason jaune et bleu, Rome. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. XVIIIe siècle. Tasses et soucoupes ligures d’inspiration orientale. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. XVIIIe siècle.
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Céramiques. Assiettes à décor d’oiseaux.
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Céramiques. Plat à décor de voyageur.
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Céramique à décor dit « Spirale Verdi ». Montelupo XVIIIe siècle
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3. Plat à décor de blason jaune et bleu. Rome Fouilles de la quarantaine. Pomègues XVIIIe siècle
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Tasses et soucoupes ligures d'inspiration orientale. Fouilles de la quarantaine. Pomègues XVIIIe siècle
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5. Assiettes à décor de « tâches de léopard », Istanbul, Sarachane. XVIIIe siècle. 6. Assiette, Chypre. XVIIIe siècle. 7. Assiette, Canakkale, kale Sultanie, Dardanelles. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. Milieu du XVIIIe siècle. 8. Assiettes, Grèce. XVIIIe siècle. 9. Tasses à café, Kätahya, Turquie. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. Milieu du XVIIIe siècle. 10. Fragments de porcelaine, Chine. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. Milieu du XVIIIe siècle.
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9. Tasses à café, Kätahya, Turquie. Fouilles de la quarantaine, Pomègues. Milieu du XVIIIe siècle.
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6.- Assiette en faïence polychrome de Montelupo Italie XVIe s. (Fouilles du Fort-Saint-Jean, 1993. Marseille) 7 - Pichet en terre vernissée de Fréjus à décor d'oxydes de fer (vert) et de cuivre (jaune) XVIe s. (Fouilles sous-marines du plateau des Chèvres, Marseille).
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5. - Alambic fabriqué dans les ateliers de potiers de Sainte- Barbe (Marseille), Fac-similé. Fin du XIII s. (Sainte-Barbe, 1991 Marseille). 8. Pichet fabriqué en Provence (Marseille ou Avignon), à décor vert et brun sur émail blanc Première moitié du XIVe s. (Saint- Marcel, Marseille).
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9. Assiettes en terre vernissée à décor floral incisé et polychrome de la vallée de l'Huveaune Milieu du XVIIe s. (La Bourse 1986- 1989, Marseille). 1. Rare exemple de bouteille en verre perdue au fond d'un puits, début du XVIIIe s. (La Bourse, 1979, Marseille). Le verre brisé faisait l’objet d’un commerce afin d’être recyclé.
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Ecuelle en faïence de la région de Valence (Espagne) à décor de lustre métallique XVIe s., (Place Villeneuve-Bargemon, 1995, Marseille)
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Indiernne.
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Gilet de pêcheur, Marseille, exécution début XIXème siècle avec des récupérations du XVIIIème siècle, coton blanc indienne à motifs de fleurs des Indes dérivés des coquecigrues (Fin XVIIIème siècle, en période de pénurie à Marseille, le piqué est récupéré dans une couverture). Revers fond ramoneur (bâton rompu), sans col, ouverture croisée, fermeture par des liens en bourrette de soie bleue (les boutons étaient dangereux pour les pêcheurs,- ils pouvaient se prendre dans les filets qui les auraient entraînés dans la mer).
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Jupon piqué. Fin du XVIIIème siècle. Soie, ouate Il est en taffetas vieil or doublé de taffetas violine, Son décor présente un motif géométrique matelassé à la base du jupon imitant les broderies embouties, la taille a été remontée au XIXe siècle. Dim. hauteur ; 85 cm Mantelet de visite â coqueluchon. Fin du XVIIIe siècle. Coton indienné, futaine imprimée, bourrette de soie Ce mantelet sans volant, cerné d’un padou "caca d'oie" est pourvu d'un coqueluchon à plis rayonnants et fermé par une coulisse à l'encolure. Le décor est imprimé au moule de bois sur coton. Il s'agit d'un ramoneur à petites fleurs polychromes et feuillage kaki sur fond noir. La doublure en futaine écrue, imprimée en rose carminé au moule de bois de motifs en forme de croix, de feuilles et d'haches crétoises est un tissu plus ancien utilisé en remploi. Les haches crétoises et les croisettes pourraient rattacher ce décor à une production des indienneurs arméniens, venus dès 1669, à Marseille pour y enseigner les secrets de fabrication des indiennes fines mordancées. Dim. 82 cm
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Nativité et horloge. Corail.
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Cercle répétiteur de Borda. 1787. Laiton Cet instrument exceptionnel a été conçu par Jean-Charles de Borda et réalisé par Lenoir. En 1790, l'Assemblée décide la création d'une unité de mesure universelle, le mètre, défini comme le dix millionièmes du quart d'un méridien. La mesure du méridien est confiée à deux astronomes, Delambre et Mechain. Entre 1792 et 1799, ils mesurent l'arc du méridien entre Dunkerque et Barcelone, appelé « La Méridienne » Ils effectuent cette mesure par triangulation grâce à ce cercle repétiteur. En extrapolant les résultats de leurs mesures, ils peuvent calculer la longueur d'un quart de méridien. Des quatre instruments utilisés lors de cette expédition, seul cet exemplaire a subsisté: il porte le n°«IIII».
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Ensemble d'objets. Ile de Pomègues, Fouilles du port de la Quarantaine. Boudes de ceintures, Cuillers en métal, Cuillers en bois.
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Pipes provenant des fouilles de la Quarantaine, îles de Pomègues XVII-XIXe siècles.
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Pipes provenant des fouilles de la Quarantaine, îles de Pomègues XVII-XIXe siècles. Pipes hollandaises (a). Dipes turques (b), Pipes italiennes (?) (c). Sifflet, Ile de Pomègues, Fouilles du port de la quarantaine Os et liège
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Nouvelle salle des spectacles. Anonyme. 1787.
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La ville religieuse. Vue d'optique représentant la Major de Marseille. Anonyme XVIIIe siècle. Gravure sur cuivre.
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Vue de la ville de Marseille. Jean Randon. Vers 1694-1695. Gravure sur cuivre. Cette gravure est à vraisemblablement la première commande iconographique des échevins de Marseille. La présence des armes des échevins Bazan, Roland, Fabre, Guintrand et Capus sur le cartouche dans lequel s'inscrit le titre permet de dater cette vue des années 1694-1695.
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Vue et perspective de la “ ville de Marseille et ses environs. Vers 1750 Gravure sur cuivre. Plan levé par Aulagnier, grave par Pierre-Jacques Duret sous la direction de Jean-Philippe Le Bas. Cette vue, prise depuis l’est de la ville, offre une représentation précise du paysage urbain au milieu du XVIIIe siècle, avant les destructions de plusieurs bâtiments durant la Révolution.
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2. Faïence de Gênes. Fouilles de Pomègues XVIIIe siècle. Au XVIIIe siècle, la céramique décorée ligure s'efface au profit d'une production de qualité médiocre, les faïences épaisses a la glaçure blanche fragile, produite a Gênes. Elle est abondante dans les foyers de Marseille .3. Faïence d'Albisola XVIIIe siècle Albisola est l'autre lieu d'une production de faïence aux formes diverse -cafetières (a), tasses (b), assiettes ( c ), plats (d), terrines (e) - que l'on retrouve abondamment a Marseille au XVIIIe siècle. Ce décor brun et noir connaîtra un grand succès. 4. Assiette. XVIIIe siècle. Devant le grand succès rencontrera Marseille et dans la région par les faïences d'Albisola, les ateliers de la vallée de l'Huveaune lancent une production imitant ce décor brun et noir.
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3. Faïence d'Albisola XVIIIe siècle Albisola est l'autre lieu d'une production de faïence aux formes diverse -cafetières (a), tasses (b), assiettes ( c ), plats (d), terrines (e) - que l'on retrouve abondamment a Marseille au XVIIIe siècle. Ce décor brun et noir connaîtra un grand succès.
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Entrée du port de Marseille à main droite. Balthazar Friedrich Leizelt d'après Joseph Vernet 1778 Vue d'optique, gravure sur cuivre coloriée.
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La maison de Pierre Puget. D'après un dessin de Jean-Baptiste Olive Seconde moitié du XIXe siècle Gravure sur bois colorée La maison de Pierre Puget se trouve à l'angle des rues de Rome et de la Palud.
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Les produits du commerce. Céramiques du bassin méditerranéen. Espagne : Jarre à huile, Jarre à olives (a), Carreau pavement (b). Maghreb : Vases et coups (c), Gargoulette et filtres de gargoulettes (d), assiette (e).
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Les produits du commerce. Céramiques du bassin méditerranéen. Maghreb :Gargoulette et filtres de gargoulettes (d).
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Les produits du commerce. Céramiques du bassin méditerranéen. Espagne : Carreau pavement (b).
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Plan géométral de la ville de Marseille ses faubourgs, avec les projets d'agrandissement. Pierron, Lieutenant-colonel du Génie. 1787, d'après un bilan levé en 1785. Gravure sur cuivre coloriée. Ce projet d'agrandissement de la ville, qui ne fut pas retenu, inclut les faubourgs dans l’enceinte de la ville agrandie.
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Fragment de claveau (?). XVIIIe siècle. Ce fragment illustre le décor architectural des demeures marseillaises au XVIIe siècle.
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Fragment de claveau (?). XVIIIe siècle. Ce fragment illustre le décor architectural des demeures marseillaises au XVIIe siècle.
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Faïence de Marseille. XVIIIe siècle Au XVIIIe siècle, la faïence constitue l'une des industries les plus importantes de Marseille. Soupière (a), Assiette au décor au chinois, Fabrique Madeleine Heraud et Louis Leroy (b), Assiette, Fabrique de la veuve Perrin (c), Tasses à café au décor au chinois (d)
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Balance romaine. Bronze, laiton XVIIIe siècle. 1. Pichets de barque, céramique de la vallée du Rhône. Fouilles de la quarantaine, XVIIIe siècle. 2. Pot à poulpe. 3. Pot à fraises, Aubagne. 4. Pot à raisin, Aubagne. 5. Plat, vallée de l’Huveaune.
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7. Céramiques de la vallée de l’Huveaune. Fouilles du port de la quarantaine, Pomègues. Pots (A), Corne de Saint-Jean (B).
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6. Céramiques de Saint-Quentin-la-Poterie. Fouilles du port de la quarantaine, Pomègues.. Assiettes (A), toupins (B).
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8. Compte de fret du navire « le Télémaque ». 1er août 1788.
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Inscription à la gloire de Marseille. Jean Garavaque. 1726. Marbre Cette inscription aurait été composée par l'historien Bougerel. Elle a été gravée par Jean Caravaque, sculpteurs marseillais. Elle lui a été commandée en 1718, pour orner la façade de l'hôtel de ville. Elle faisait partie d'un ensemble composé de deux inscriptions et de deux armoiries: celles de la ville, et celles du duc de Villars, gouverneur de la province. Ces éléments ont été posés en 1726. Ils ont été démontés en 1843, lors de la reconstruction du pavillon ouest.
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Coffre de marine dit « Coffre de Nuremberg ». XVIIIe siècle (?). Métal.
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Figure de proue représentant Pomone. Anonyme XVIIIe siècle. Bois polychrome.
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Figure de proue représentant Pomone. Anonyme XVIIIe siècle. Bois polychrome.
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Marie-Madeleine pénitente. Anonyme. XVIIIe siècle (?). Bas-relief en bois quelques traces de polychromie. Ce bas-relief a été épargné par les destructions iconoclastes révolutionnaires, car il avait été dissimulé dans un mur.
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Maquette de Marseille. François Ferry-Duclaux. 1824. Liège.
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Maquette de Marseille. François Ferry-Duclaux. 1824. Liège.
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Maquette de Marseille. François Ferry-Duclaux. 1824. Liège.
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Maquette de Marseille. François Ferry-Duclaux. 1824. Liège.
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Maquette de Marseille. François Ferry-Duclaux. 1824. Liège.
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Maquette de Marseille. François Ferry-Duclaux. 1824. Liège. Le lazaret d'Arenc.
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Inscription commémorant le traité de Vienne d'octobre 1809. Pierre.
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Santons. La crèche familiale provençale naît à la fin du XVIIIe / siècle, avec les santons / que Jean-Louis Lagnel I (1764-1822) façonne dans / l'argile et reproduit par moulage, sur le modèle des santouns ou «petits saints». La vitrine présente une sélection d'objets datant du XIXe et du XXe siècle.
Crèche à voûte Carton et argile. Ce type de crèche est typique des petites crèches populaires marseillaises des deux premiers tiers du XIXe siècle. Les santons sont peut-être postérieurs et ils n’ont pas été collés à leur emplacement exact. La spécificité de ce type de crèche est que le spectateur se tient au fond de l'étable et que la Trinité (Dieu le père, la colombe du Saint Esprit et l'Enfant Jésus) est représentée.
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Le Général Ménard Saint-Martin et son épouse dans leur intérieur rue de Lodi. Anonyme. Vers 1840. Huile sur toile. Don Gourret-Albertini. Le général Ménard Saint-Martin commandait la garde nationale lors des journées insurrectionnelles de juin 1848. Il fut blessé à la joue.
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Le Plan Lavastre. Ce plan représente les différents lieux qui furent le théâtre des événements insurrectionnels de juin 1848. Ici, la place Castellane et la rue de Rome.
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Le Plan Lavastre. La Canebière et le cours St Louis et le cours Belsunce. Les 22 et 23 juin 1848, 3000 personnes dressent des barricades pour lutter contre la baisse des salaires et la journée de travail de 11 heures. Il y eut 70 morts parmi les soldats et les insurgés, ainsi que de nombreux blessés.
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Le Plan Lavastre. Le cours Belsunce.
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Le Plan Lavastre. La Canebière, les vieux quartiers détruits lors du percement de la rue Impériale à gauche. Au fond, les immeubles du début de la rue Noailles. L'immeuble de droite a été coupé lors du prolongement de la Canebière pour l'aligner avec les immeubles de droite : c'est la maison Figaro, au coin du cours Saint Louis.
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Bas de la Canebière.
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Eglise Saint Férréol, les Augustins.
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Le Plan Lavastre. Les vieux quartiers détruits lors du percement de la rue Impériale.
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La place aux oeufs.
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Eglise Saint Cannat.
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Poissonnières aux halles Delacroix. Edouard Crémieux (1856-1944) Huile sur toile.
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L'arrivée des pêcheurs au quai Saint-Jean. Marius Guidon, 1884. Huile sur toile. Élève du peintre Émile Loubon, Marius Guindon (1831-1918) effectue piusieurs séjours en Italie, où il perfectionne sa technique de peinture de genre. En 1879, il devient professeur à l'École des Beaux-Arts de Marseille, poste qu'il occupera pendant quarante ans. Dans ce tableau, la scène se déroule au bout du quai du port, au pied du quartier Saint-Jean. Le poisson est déchargé depuis des embarcations à voiles latines et placé dans de grandes banastes devant lesquelles les poissonnières ont une discussion animée. Lavé et installé dans des paniers plats, les produits de la pêche seront vendus aux halles Vivaux, aux halles Delacroix ou proposés dans les rues de la ville. À partir des années 1880, une importante immigration Italienne, en provenance surtout de la région de Naples, s’installe dans le quartier habité par des pêcheurs, des poissonnières, des ouvriers du port ou des calfats.
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Buste de Louis-Napoléon Bonaparte. Marie-Louise Lefèvre-Deumier, 1851. Fonte. Le futur Empereur porte la grand croix de la Légion d'honneur. Ce buste officiel fut réalisé en 50 exemplaires pour les villes françaises.
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Balance. Ets Louis Schopper (Leipzig, Allemagne). 1925. Bois et métal. Il s'agit d'un instrument de très haute précision utilisé jusqu'en 1948 par les peseurs jurés pour déterminer le poids des céréales. La mesure de 20 litres, obtenue à l'aide du couteau araseur, était ensuite pesée à gauche sur le plateau.
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Pèse-grains utilisé par les peseurs jurés. Vers 1930 Métal. Sur le quai, une grue prélevait dans la cale du navire les céréales en vrac qu'elle déversait dans une caisse où étaient disposés verticalement des pèse-
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Marseille. Joseph Inguimberty. 1924. Huile sur toile. «Il m'a fallu plus de six mois d'un labeur ininterrompu pour mener cet ouvrage à bonne fin. Chaque jour j'allais sur les quais de la Joliette assister au débarquement des cargos pour prendre d'après nature des croquis d'ouvriers du port et de chevaux. »
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Le Débarquement des arachides. Joseph Inguimberty. 1922. Huile sur toile.
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Maquette du pont à transbordeur. Joseph Tourrel. Bois et métal. Le pont à transbordeur construit par l'ingénieur Ferdinand Arnodin, est inauguré le 23 décembre 1905. Il s'agit alors d'assurer une liaison aisée entre le nord et le sud de la cité pour les piétons et les véhicules. Les translations d'une rive à l'autre s'effectuent, via une nacelle, en une minute et demie par temps calme. Le pont offre un panorama exceptionnel à une cinquantaine de mètres de hauteur, après une ascension de 250 marches. Détruit durant la Seconde Guerre mondiale, sa silhouette a marqué durablement le paysage urbain marseillais.
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Maquette du pont à transbordeur. Joseph Tourrel. Bois et métal. Le pont à transbordeur construit par l'ingénieur Ferdinand Arnodin, est inauguré le 23 décembre 1905. Il s'agit alors d'assurer une liaison aisée entre le nord et le sud de la cité pour les piétons et les véhicules. Les translations d'une rive à l'autre s'effectuent, via une nacelle, en une minute et demie par temps calme. Le pont offre un panorama exceptionnel à une cinquantaine de mètres de hauteur, après une ascension de 250 marches. Détruit durant la Seconde Guerre mondiale, sa silhouette a marqué durablement le paysage urbain marseillais.
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Maquette du pont à transbordeur. Joseph Tourrel. Bois et métal.
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Maquette du pont à transbordeur. Joseph Tourrel. Bois et métal.
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Le Commerce et la Navigation. Eugène Guillaume. 1857.
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Le Commerce et la Navigation. Eugène Guillaume. 1857. Le Commerce. Modèles en plâtre des sculptures commandées le 24 novembre 1857 par la chambre de commerce au sculpteur Eugène Guillaume pour orner la façade du palais de la bourse.
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Le Commerce et la Navigation. Eugène Guillaume. 1857. La Navigation. Modèles en plâtre des sculptures commandées le 24 novembre 1857 par la chambre de commerce au sculpteur Eugène Guillaume pour orner la façade du palais de la bourse.
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Présentoir à pipes «Bonnaud ». Début du XXe siècle. La famille Bonnaud officia pendant plus de 130 ans comme pipier de terre à Marseille, de 1824 à 1956.
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Bougie Fournier.
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Les Grandes Tuileries.
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1. Vermicelles trois-étoiles « Rivoire et Carret » impr Tourangelle (Tours-Marseille) Vers 1900. Affiche lithographiée. A la veille de la première Guerre mondiale, cette marque devient la référence de la pâte alimentaire française. 5. Bouteille de rhum « Jocko » 6. Rhum « Vian-Vieil ». Fin du XIXe siècle Pierre lithographique 7. Bière «Marx». Plaque en tôle émaillée.
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1. Vermicelles trois-étoiles « Rivoire et Carret » impr Tourangelle (Tours-Marseille) Vers 1900. Affiche lithographiée. A la veille de la première Guerre mondiale, cette marque devient la référence de la pâte alimentaire française.
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2. « Rivoire et Carret». 1924. Plaque en tôle émaillée. Cette plaque était fixée sur le dossier d'une banquette de tramway. 3. Boîte de pâtes « Rivoire et Carret » Début du XXe siècle. Rivoire et Carret, entreprise initialement lyonnaise, ouvre un établissement à Saint-Marcel en 1892 afin de se rapprocher de ses sources d'approvisionnement. Avec plus de
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5. Bouteille de rhum "Jocko". 6. Rhum "Vian-Vieil". Fin du XIXe siècle. Pierre lithographique. 7. Bière "Marx". Plaque en tôle émaillée.
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1. Moule à cigares. Début du XXe siècle. Bois. L'industrie des tabacs et des allumettes emploie quatre mille ouvriers dans les années 1870 à Marseille. A dater de 1811 pour les tabacs et de 1872 pour les allumettes, il s'agit d'une production monopolisée par l'État, qui lève l'impôt sur ces denrées de consommation de masse. 2. Boîtes d'allumettes «Amphoux»et «Caussemille Jne et Cie». Vers 1861 3. Ecoteuse de la manufacture des tabacs de la rue Guibal Début du XX siècle. Sétal et bois. 4. Mon succès... La Végétaline. O'Galop, Impr. Marseillaise (Marseille). Vers 1930. Affiche lithographiée. 5. Huile d'olive « le Bosphore » Fin du XIXe siècle. Pierre lithographique^ À l'origine, les fabriques marseillaises traitent les olives de la région. Puis on utilise la noix de coco, la graine de sésame, d'arachide et du coton venues d'Afrique, produits moins chers que l'olive et qui entrent en concurrence avec le colza, produit dans le nord de la France. 6. Bouteille d'un litre d'huile d'arachide « Dulcine » Rocca, Tassy et De Roux. Métal.
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4. Mon succès... La Végétaline. O'Galop, Impr. Marseillaise (Marseille). Vers 1930. Affiche lithographiée. 5. Huile d'olive « le Bosphore » Fin du XIXe siècle. Pierre lithographique^ À l'origine, les fabriques marseillaises traitent les olives de la région. Puis on utilise la noix de coco, la graine de sésame, d'arachide et du coton venues d'Afrique, produits moins chers que l'olive et qui entrent en concurrence avec le colza, produit dans le nord de la France. 6. Bouteille d'un litre d'huile d'arachide « Dulcine » Rocca, Tassy et De Roux. Métal.
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1. Moule à cigares. Début du XXe siècle. Bois. L'industrie des tabacs et des allumettes emploie quatre mille ouvriers dans les années 1870 à Marseille. A dater de 1811 pour les tabacs et de 1872 pour les allumettes, il s'agit d'une production monopolisée par l'État, qui lève l'impôt sur ces denrées de consommation de masse. 2. Boîtes d'allumettes «Amphoux»et «Caussemille Jne et Cie». Vers 1861 3. Ecoteuse de la manufacture des tabacs de la rue Guibal Début du XX siècle. Métal et bois.
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Usine Schlœsing frères et Cie, Marseille Ils n'en ont pas ! Impr. Tourangelle (Tours-Marseille) Début du XXe siècle Affiche lithographiée L'industrie du soufre devient autonome et puissante à la suite de la découverte, dans .les années 1850-1860, des propriétés du soufre dans le traitement d'une maladie récurrente des vignes, l’oïdium.
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4. La Canebière, publicité pour « Picon » V. Palyart et fils (Paris) 1889. Lithographie.
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3. Tuile plate ou à emboîtement «Tuileries de la Méditerranée » Début du XXe siècle. Argile. La tuile à emboîtement a fait le succès et la réputation des tuileries de Marseille. Elle s'est rapidement imposée sur tous les toits du monde grâce à son extrême légèreté, l'économie de matériaux qu'elle permettait et la facilité de sa pose. 4. Boite de tuiles miniatures utilisée par les représentants de commerce. Début XXe siècle. L'industrie tuilière s'est très tôt concentrée au nord de la ville, dans le bassin de Séon (quartiers de l'Estaque, Saint-Henri et Saint-André), localisation présentant de nombreux avantages, notamment la présence d'un gisement d'argile exceptionnel.
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5. Boite de sucre des Raffineries Saint-Louis Vers 1910. Papier et carton. 6. Moule à pain de sucre et pain de sucre. Début du XXe siècle. Métal. Ses objets proviennent de la Générale sucrière.
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1. Savon « le Fer à cheval ». Début du XXe siècle. Plaque en tôle émaillée. 2. Objet publicitaire savon « la Tour ». Début du XXe siècle. Plâtre. 3. Battoir à linge « l'Abat-jour ». Début du XXe siècle. Bois.
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Savon « La Tour ». Leonetto Cappiello, Impr. Devambez (Paris). Début XXe siècle. Affiche lithographiée.
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6. Savons. Début du XXe siècle. À la fin du XIXe siècle les matières premières utilisées changent : soude à l'ammoniaque, huiles « concrètes ». Fe siècle les matières premières utilisées changent : soude à l'ammoniaque, huiles « concrètes ». De 1870 à 1914 la production passe de 40 000 a 120 000 tonnes, soit la moitié de la production française. 7. Boîte à savons « la Marcelle » (Arlaud et Cie, Marseille). 8. Boîte à savons « Mikados ». (Félix Eydoux, Marseille).
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2. Boîte contenant un modèle de savon breveté. Début du XXe siècle. Le brevet de ce savon a été déposé par Rocca, Tassy et De Roux. 3. Savon « le Naturel ». Début du XXe siècle. Plaque en tôle émaillée.
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4. Savon « la Grappe d'or ». Début du XXe siècle. Plaque en tôle émaillée.
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1. Savon « le Chat » extra pur garanti (C. Ferrier et Cie, Marseille). Début du XXe siècle. Affiche lithographiée
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XXIXe fête fédérale de gymnastique. David Dellepiane. 1903. Impr Moullot. Affiche lithographiée.
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Ensemble d'objets issus de l'ancien cimetière des Petites Crottes 1784 - 1905 La construction du prolongement de la ligne du métro marseillais a entraîné une campagne de fouilles archéologiques en 2013 et 2014. Ces dernières ont révélé le cimetière du quartier des Petites Crottes, implanté en 1784, puis agrandi en 1852 et 1866, dans le contexte de la révolution industrielle et de l'arrivée de nouvelles populations, notamment des Italiens. Abandonné en 1905, il sera « curé » durant l'entre-deux guerres.
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Les monnaies sont d'origines diverses et reflètent les changements politiques : Louis XVIII datant de 1820, monnaie de la Deuxième République de 1851, Napoléon III de 1864, un quarter des colonies britanniques de 1903, une monnaie belge et une italienne de la fin du XIXe siècle.
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La plupart des défunts étaient inhumés dans des cercueils en bois, habillés, comme le montrent des boutons en nacre ou en pâte de verre et des agrafes en métal. D'autres objets leur étaient également associés comme des bagues ou des boucles d'oreilles. Des médailles dédiées à la Vierge, des chapelets et des crucifix témoignent d'une grande dévotion. Une médaille à Saint Roch est particulièrement remarquable et peut être rattachée aux grandes épidémies de choléra des années 1834 et 1835. La présence d'un pot de pharmacie en verre contenant les ossements d'un fœtus est inédite.
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Des médailles dédiées à la Vierge, des chapelets et des crucifix témoignent d'une grande dévotion. Une médaille à Saint Roch est particulièrement remarquable et peut être rattachée aux grandes épidémies de choléra des années 1834 et 1835.
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On note également des objets de décoration des tombes comme des fleurs ou des statuettes en céramique, un piédestal en verre noir ou des éléments d'un petit vase en opaline bleue. Un fragment de marbre blanc trouvé dans un des plus riches caveau du cimetière porte un texte de Saint-Paul aux Thessaloniciens.
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Intérieur de l'imprimerie Camoin. V. Cornis. 1861. A la fin du XIXe siècle, l'atelier de fabrication de cartes à jouer était situé au 8 de la rue d'Aubagne. Cinquante-cinq employés y produisaient plus d'un million de jeux par an, soit 20 % de la production française.
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Affiche publicitaire Camoin. Vers 1880. Gravure couleur.
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Tabouret d'ouvrier cartier. XIXe siècle. Bois.
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5. Presse à coinronner, arrondir le coin des cartes. Vers 1880 fer. 6. Cliché, enveloppe de cartes à jouer Manufacture de cartes Levenq-Conver,J.B Camoin Succ. XIXe siècle. Bois. 7. Jeu de cartes n°324 (40 cartes), poker. A. Camoin et Cie. Fin du XIXe siècle. Papier et carton imprimé. Ce jeu porte la mention ««Prix de vente en Tunisie ».
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Filtre Pasteur et cuve de décantation Fin du XIXe siècle. Verre, métal, porcelaine. Equipé d’une bougie en porcelaine, ce système permet de filtrer les liquides et de retenir les micro-organismes contenus dans l'eau.
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Eléments de décor du café-concert l’Alcazar. Vers 1878. Stuc.
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Marseille à travers les âges. Misti, Impr. G. Bataille (Paris). 1895. Affiche lithographiée. Fantaisie locale à grand spectacle. Alcazar.
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Masques mortuaires d'Alexandre Ier de Yougoslavie et de Louis Barthou. François Carli. Plâtre. Le 9 octobre 1934 à Marseille, le roi de Yougoslavie, Alexandre Ier, et le ministre français des Affaires étrangères, Louis Barthou, sont victimes d'un attentat commis par un nationaliste macédonien, en lien avec le mouvement séparatiste croate des Oustachis.
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Chambre de studio en poirier de l'Atelier Nadar. Comptoir français. Début du XXe siècle. Objectif à guillotine 24 x 30 adapté 13 x 18 cm pour la prise de vue des portraits, piétement monté sur roulettes. Nadar installa son studio photographique en 1897 au 21, rue de Noailles, studio repris entre 1899 et 1901 par Fernand Detaille.
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Chambre de studio en poirier de l'Atelier Nadar. Comptoir français. Début du XXe siècle. Le support à crémaillère réglable en chêne permettait au photographe de redresser les perspectives.
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Eléments provenant de l'atelier Nadar. Fin du XIXe siècle et début du XXe siècle. Carton et bois. Bout de balustre : éléments de décor pour la pose en studio (A), chaise de pose (E). Appui-tête à hauteur réglable au moyen d’une rotule (C).
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Lanterne magique. Fin du XIXe siècle. Bois et métal. Cet appareil, très répandu à la fin du XIXe siècle, permet de projeter des images peintes sur verre. Cette lanterne ne possède plus son système d'optique.
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Fanny, film de Marcel Pagnol. Albert Jorio, d'après Henri Cerutti. 1932.
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La plage du Prado à Marseille. Imprimerie Moullot 1889. Lithographie.
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Essai de reconstitution de la ville de Marseille antique. Hippolyte Augier Entre 1860 et 1888 Carton, papier, bois et liège. Brochures publiées par des sociétés savantes marseillaises. Seconde moitié XIXe siècle.
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Maquette d'un Monument au 15e Corps d'armée. A. Lange et Louis Botinelly 1939. Plâtre. Le 15e Corps, essentiellement composé de Provençaux, combat en Lorraine en 1914. Sans réserves ni appui d'artillerie, il est contraint de se replier suite à une contre-offensive allemande et compte plus de 10 000 tués ou blessés durant la journée du 20 août. Accusé à tort d'avoir «lâché pied face à l'ennemi» par le sénateur Gervais, le 15e corps fut l'objet d'un discrédit tout au long de la guerre. Il fut réhabilité, notamment par le ministre Leygues dès 1919, comme étant « digne de notre reconnaissance et de notre admiration».
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Canne sculptée dans les tranchées par Léon-Pierre Boyer. 1915-1916 Bois. Incorporé à Marseille au 112e régiment d’infanterie à l’âge de 17 ans, Léon Boyer est blessé au mollet par éclats d’obus le 22 Juin 1916 à Verdun. L’inscription « Moselle » fait probablement référence à la période où le sergent Boyer combat dans le secteur d’Ajoncourt, d’octobre 1917 à avril 1918.
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Drapeau blanc de la reddition allemande. Août 1944. Tissu et bois. Ce drapeau a été remis à la ville de Marseille par les autorités militaires alliées le 4 septembre 1944. Le panneau sur lequel il est exposé est fabriqué avec du bois pris sur un navire allemand.
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Le Petit Marseillais, votre drapeau Max Ponty, SGPE Hachard et Cie. 1931. Affiche lithographiée. Créé en 1868, Le Petit Marseillais se présentait comme « le plus important des journaux de province avec 14 éditions ».
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La Grève des dockers contre la guerre d'Indochine Antoine Serra 1950 Huile sur toile Dépôt Espace culturel Raul Ricard Dès 1946, le Parti communiste français mène une campagne particulièrement vive contre la guerre d'Indochine et appelle les intellectuels et artistes à lutter avec leurs propres armes. Peintre militant, Antoine Serra propose alors cette toile rappelant le refus des dockers, en solidarité avec les marins, de débarquer des cales les cercueils des soldats morts au combat et d'embarquer de nouvelles troupes sur le paquebot Le Pasteur. Les dockers entament une grève qui durera plusieurs jours. Ces événements ont inspiré d'autres artistes : Riposte, tableau de Boris Taslitzky, conservé à la Tate Modem de Londres, revient sur une grève similaire à Port de Bouc en 1951. Œuvre de propagande, la toile de Serra est très représentative du mouvement du « nouveau réalisme » conduit en France par André Fougeron et fait référence aux réalisations muralistes de Diego Rivera.
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Ville de Marseille. Plan directeur d'aménagement d'extension et d'embellissement.
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Ville de Marseille. Plan directeur d'aménagement d'extension et d'embellissement.
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