Boîte en os.
Fouilles de la rue Jean-François-Leca. Fin du IIIe siècle-début du IVe siècle apr. J.-C.
Les deux compartiments sont fermés par un couvercle coulissant.
Boîte en os. Fouilles de la rue Jean-François-Leca. Fin du IIIe siècle-début du IVe siècle apr. J.-C. Les deux compartiments sont fermés par un couvercle coulissant.
239
6. Boîtes et étuis en bois
Fouilles de la place Jules-Verne, 1992. Ier-IIe siècle apr.J.-C. Buis
Ces petites boîtes, ou pyxides, sont des récipients à fard fabriqués au tour.
6. Boîtes et étuis en bois Fouilles de la place Jules-Verne, 1992. Ier-IIe siècle apr.J.-C. Buis Ces petites boîtes, ou pyxides, sont des récipients à fard fabriqués au tour.
240
7. Bijoux Epoque romaine. Bronze, verre.
7. Bijoux Epoque romaine. Bronze, verre.
241
Fouilles de la bourse. Roue hydraulique du bassin d'eau douce. IVe-Ve siècle ap. J.-C. chataignier, pin, fer. Cette roue à augets sert à utiliser la force motrice de l'eau pour une fonction artisanale inconnue.
Fouilles de la bourse. Roue hydraulique du bassin d'eau douce. IVe-Ve siècle ap. J.-C. chataignier, pin, fer. Cette roue à augets sert à utiliser la force motrice de l'eau pour une fonction artisanale inconnue.
242
Reconstitution de la roue hydraulique.
Reconstitution de la roue hydraulique.
243
Le travail du bois.
Le travail du bois.
244
Le travail du cuir.
Le travail du cuir.
245
Chaussures, semelles et lanières. Fouilles de la Bourse - Port antique, Fouilles de la Place Jules-Verne Epoque romaine. Cuir
Ces objets ont été conservés dans la vase du port romain de Marseille
Chaussures, semelles et lanières. Fouilles de la Bourse - Port antique, Fouilles de la Place Jules-Verne Epoque romaine. Cuir Ces objets ont été conservés dans la vase du port romain de Marseille
246
Le travail du textile et de l'os. La vannerie et le travail du tissu. Époque romaine et Antiquité tardive. Panier en osier (A), Fond de couffin qui contenait de la poix « (B), Bande décorative de laine (C), laine brodée (D).
Le travail du textile et de l'os. La vannerie et le travail du tissu. Époque romaine et Antiquité tardive. Panier en osier (A), Fond de couffin qui contenait de la poix « (B), Bande décorative de laine (C), laine brodée (D).
247
Fouilles de la Bourse. Epoque romaine. Os, bois de cerf élaphe, écaille de tortue. Ces charnières en os, ce peigne en écaille de tortue décoré de motifs gravés, cette défense de sanglier sculptée et incisée, ce bois de cerf élaphe scié attestent la présence d'un atelier de tablettier, un artisan qui travaille l'os, la corne et l'ivoire.
Fouilles de la Bourse. Epoque romaine. Os, bois de cerf élaphe, écaille de tortue. Ces charnières en os, ce peigne en écaille de tortue décoré de motifs gravés, cette défense de sanglier sculptée et incisée, ce bois de cerf élaphe scié attestent la présence d'un atelier de tablettier, un artisan qui travaille l'os, la corne et l'ivoire.
248
Stèle funéraire.
Site archéologique de la Bourse IIe siècle ap. J.-C. Calcaire
Cette inscription mentionne qu'une femme nommée Myrria Hedyle a fait élever cette stèle pour son esclave affranchie Synoris.
Stèle funéraire. Site archéologique de la Bourse IIe siècle ap. J.-C. Calcaire Cette inscription mentionne qu'une femme nommée Myrria Hedyle a fait élever cette stèle pour son esclave affranchie Synoris.
249
Mobilier funéraire.
Site archéologique de la Bourse IVe siècle av. J.-C. Céramique, bois et or. Ce mobilier provient de tombes à incinération dans des sépultures familiales. Elles sont placées dans deux terrasses funéraires situées à l'extérieur de la ville antique. Dans des caissons en pierre, les urnes sont en plomb ou en bronze mais ce sont aussi des vases, hydries, dont l'une comporte une scène d'amazones et amphore. Des perles de collier en terre cuite sont enrobées d'or. Une pyxide, boite en bois, conserve une plaque en or qui présente un dieu Janus à deux têtes.
Mobilier funéraire. Site archéologique de la Bourse IVe siècle av. J.-C. Céramique, bois et or. Ce mobilier provient de tombes à incinération dans des sépultures familiales. Elles sont placées dans deux terrasses funéraires situées à l'extérieur de la ville antique. Dans des caissons en pierre, les urnes sont en plomb ou en bronze mais ce sont aussi des vases, hydries, dont l'une comporte une scène d'amazones et amphore. Des perles de collier en terre cuite sont enrobées d'or. Une pyxide, boite en bois, conserve une plaque en or qui présente un dieu Janus à deux têtes.
250
Mobilier funéraire.
Site archéologique de la Bourse IVe siècle av. J.-C. Céramique, bois et or. Ce mobilier provient de tombes à incinération dans des sépultures familiales. Elles sont placées dans deux terrasses funéraires situées à l'extérieur de la ville antique. Dans des caissons en pierre, les urnes sont en plomb ou en bronze mais ce sont aussi des vases, hydries, dont l'une comporte une scène d'amazones et amphore. Des perles de collier en terre cuite sont enrobées d'or. Une pyxide, boite en bois, conserve une plaque en or qui présente un dieu Janus à deux têtes.
Mobilier funéraire. Site archéologique de la Bourse IVe siècle av. J.-C. Céramique, bois et or. Ce mobilier provient de tombes à incinération dans des sépultures familiales. Elles sont placées dans deux terrasses funéraires situées à l'extérieur de la ville antique. Dans des caissons en pierre, les urnes sont en plomb ou en bronze mais ce sont aussi des vases, hydries, dont l'une comporte une scène d'amazones et amphore. Des perles de collier en terre cuite sont enrobées d'or. Une pyxide, boite en bois, conserve une plaque en or qui présente un dieu Janus à deux têtes.
251
Tête d'homme barbu.
Fouilles de la Bourse, Marseille Ve siècle av. J.-C.
Marbre.
Cette statuette pourrait être une représentation d'Héraclès (Hercule) ou de Dionysos.
Tête d'homme barbu. Fouilles de la Bourse, Marseille Ve siècle av. J.-C. Marbre. Cette statuette pourrait être une représentation d'Héraclès (Hercule) ou de Dionysos.
252
253
Tête féminine en ivoire éléphantin. Fouille de la rue Jean-Flançois-Leca. Seconde moitié du IIIe siècle apr.J.-C. Ivoire.
Cet élément de meuble (literie?) a brûlé lors de l'incendie qui a détruit la maison
Tête féminine en ivoire éléphantin. Fouille de la rue Jean-Flançois-Leca. Seconde moitié du IIIe siècle apr.J.-C. Ivoire. Cet élément de meuble (literie?) a brûlé lors de l'incendie qui a détruit la maison
254
Lampe à décor érotique. Marseille. Epoque romaine. Terre cuite
Lampe à décor érotique. Marseille. Epoque romaine. Terre cuite
255
1. Réceptacles cinéraires, époque romaine.
Surveillance du bassin de carénage, 1829 – 1831. Fin du Ier siècle avant J.-C. – Ier siècle après J.-C. Terre cuite.
Urnes en terre cuite à cuisson oxydante (ollae), dont une contient une carapace de tortue déposée en offrandes.
2. Réceptacles cinéraires, époque romaine.
Découverte de la nécropole du Lazaret, 1865. Ier-IIe siècle apr.J-C. Plomb, verre.
Urnes en plomb de forme cylindrique haute et basse (A, B, urne en verre à anses latérales et couvercle à tenon (C).
3. Réceptacles cinéraires, époque romaine.
Fouilles de la nécropole de la rue Tapis-Vert, 1953. Fin du Ier siècle av.J.-C. Ier siècle apr.J.-C. Terre cuite.
Urne (olla) en terre cuite à cuisson oxydante.
1. Réceptacles cinéraires, époque romaine. Surveillance du bassin de carénage, 1829 – 1831. Fin du Ier siècle avant J.-C. – Ier siècle après J.-C. Terre cuite. Urnes en terre cuite à cuisson oxydante (ollae), dont une contient une carapace de tortue déposée en offrandes. 2. Réceptacles cinéraires, époque romaine. Découverte de la nécropole du Lazaret, 1865. Ier-IIe siècle apr.J-C. Plomb, verre. Urnes en plomb de forme cylindrique haute et basse (A, B, urne en verre à anses latérales et couvercle à tenon (C). 3. Réceptacles cinéraires, époque romaine. Fouilles de la nécropole de la rue Tapis-Vert, 1953. Fin du Ier siècle av.J.-C. Ier siècle apr.J.-C. Terre cuite. Urne (olla) en terre cuite à cuisson oxydante.
256
Réceptacle cinéraires, époque romaine. Surveillance du bassin de carénage, 1829 – 1831. Fin du Ier siècle avant J.-C. – Ier siècle après J.-C. Terre cuite.
Urnes en terre cuite à cuisson oxydante (ollae), dont une contient une carapace de tortue déposée en offrandes.
Réceptacle cinéraires, époque romaine. Surveillance du bassin de carénage, 1829 – 1831. Fin du Ier siècle avant J.-C. – Ier siècle après J.-C. Terre cuite. Urnes en terre cuite à cuisson oxydante (ollae), dont une contient une carapace de tortue déposée en offrandes.
257
Réceptacle cinéraires, époque grecque. 4. Fouilles de la nécropole de la rue Tapis-Vert, 1953.
IVe-IIe siècle av. J.-C. Plomb
Urne en plomb de forme biconique avec couvercle
5. Fouilles de la nécropole de sainte-Barbe, 1991.
IVe-IIe siècle av. J.-C. Terre cuite
Deux urnes en pâte claire, cruches (A), hydrie (B) et une cruche punique importée d’Ibiza (C) recelaient des ossements incinérés d’adultes. Dans la cruche en pâte claire massaliète (D) ont été retrouvés les reste d’un bébé prématuré.
Réceptacle cinéraires, époque grecque. 4. Fouilles de la nécropole de la rue Tapis-Vert, 1953. IVe-IIe siècle av. J.-C. Plomb Urne en plomb de forme biconique avec couvercle 5. Fouilles de la nécropole de sainte-Barbe, 1991. IVe-IIe siècle av. J.-C. Terre cuite Deux urnes en pâte claire, cruches (A), hydrie (B) et une cruche punique importée d’Ibiza (C) recelaient des ossements incinérés d’adultes. Dans la cruche en pâte claire massaliète (D) ont été retrouvés les reste d’un bébé prématuré.
258
Réceptacles cinéraires, époque grecque. 5. Fouilles de la nécropole de sainte-Barbe, 1991.
IVe-IIe siècle av. J.-C. Terre cuite
Deux urnes en pâte claire, cruches (A), hydrie (B) et une cruche punique importée d’Ibiza (C) recelaient des ossements incinérés d’adultes. Dans la cruche en pâte claire massaliète (D) ont été retrouvés les reste d’un bébé prématuré.
Réceptacles cinéraires, époque grecque. 5. Fouilles de la nécropole de sainte-Barbe, 1991. IVe-IIe siècle av. J.-C. Terre cuite Deux urnes en pâte claire, cruches (A), hydrie (B) et une cruche punique importée d’Ibiza (C) recelaient des ossements incinérés d’adultes. Dans la cruche en pâte claire massaliète (D) ont été retrouvés les reste d’un bébé prématuré.
259
Réceptacles cinéraires, époque grecque. 1. Bassin de Carénage, 1829-1831.
IVe-IIe siècle av. J.-C.
Urnes en pâte claire massaliète, cruches ou hydries (A, B, C), Urne en plomb de forme biconique avec couvercle (D).
3. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880.
IVe siècle av.J.-C. Terre cuite
Œnochoé à col biseauté, à décor de jeune fille tenant une œnochoé devant deux éphèbes en costume de guerre, avec cuirasse et chlamyde.
Réceptacles cinéraires, époque grecque. 1. Bassin de Carénage, 1829-1831. IVe-IIe siècle av. J.-C. Urnes en pâte claire massaliète, cruches ou hydries (A, B, C), Urne en plomb de forme biconique avec couvercle (D). 3. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880. IVe siècle av.J.-C. Terre cuite Œnochoé à col biseauté, à décor de jeune fille tenant une œnochoé devant deux éphèbes en costume de guerre, avec cuirasse et chlamyde.
260
Réceptacles cinéraires, époque grecque. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880.
IVe siècle av.J.-C. Terre cuite
Œnochoé à col biseauté, à décor de jeune fille tenant une œnochoé devant deux éphèbes en costume de guerre, avec cuirasse et chlamyde.
Réceptacles cinéraires, époque grecque. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880. IVe siècle av.J.-C. Terre cuite Œnochoé à col biseauté, à décor de jeune fille tenant une œnochoé devant deux éphèbes en costume de guerre, avec cuirasse et chlamyde.
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Réceptacles cinéraires, époque grecque. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880.
IVe siècle av.J.-C. Terre cuite
Œnochoé à col biseauté, à décor de jeune fille tenant une œnochoé devant deux éphèbes en costume de guerre, avec cuirasse et chlamyde.
Réceptacles cinéraires, époque grecque. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880. IVe siècle av.J.-C. Terre cuite Œnochoé à col biseauté, à décor de jeune fille tenant une œnochoé devant deux éphèbes en costume de guerre, avec cuirasse et chlamyde.
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Réceptacles cinéraires, époque grecque. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880.
IVe siècle av.J.-C. Terre cuite
Urnes en céramique attique à figures rouges. Péliké à décor de bacchantes se faisant face, tenant thyrse et canthare.
Réceptacles cinéraires, époque grecque. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880. IVe siècle av.J.-C. Terre cuite Urnes en céramique attique à figures rouges. Péliké à décor de bacchantes se faisant face, tenant thyrse et canthare.
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Réceptacles cinéraires, époque grecque. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880.
IVe siècle av.J.-C. Terre cuite
Urnes en céramique attique à figures rouges.  Au dos : palestrites drapés.
Réceptacles cinéraires, époque grecque. Découvertes nécropole de Saint-Mauront, 1880. IVe siècle av.J.-C. Terre cuite Urnes en céramique attique à figures rouges. Au dos : palestrites drapés.
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Les fortifications de la ville.
Maquette du rempart hellénistique. Hippolyte Augier. Vers 1880.
Il s'agit d'un tronçon du rempart de Marseille mis au jour lors du percement de la rue Colbert dans l’ancienne rue Sainte-Marthe, vers le bas de la butte des Carmes.
Les fortifications de la ville. Maquette du rempart hellénistique. Hippolyte Augier. Vers 1880. Il s'agit d'un tronçon du rempart de Marseille mis au jour lors du percement de la rue Colbert dans l’ancienne rue Sainte-Marthe, vers le bas de la butte des Carmes.
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Stèle à fronton de Zôsimos. Épitaphe en grec. Rue des Minimes, aujourd’hui des trois Frères Barthélemy, 1882. IIIe siècle après J.-C. Marbre. Traduction : «Zôsimos, excellent, adieu ».
Stèle à fronton de Zôsimos. Épitaphe en grec. Rue des Minimes, aujourd’hui des trois Frères Barthélemy, 1882. IIIe siècle après J.-C. Marbre. Traduction : «Zôsimos, excellent, adieu ».
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Statuette de kouros.
Statuette de kouros.
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1. Fragments d'enduits muraux peints
Fouilles de la rue Jean-François-Leca, 1992
IIIe siècle apr. J.-C. Mortier polychrome
Perdrix et plante dans un compartiment rectangulaire bordé de bandes rouge et verte. Portrait, peut-être une divinité ou une allégorie, dans un médaillon bordé de bleu pâle.
2. Lampes à huile pour l'éclairage
Marseille Epoque romaine Terre cuite
3. Vases miniatures, kilykes
Pistoles. Début du Ier siècle apr. J.-C. Terre cuite
Dépôt de fondation retrouvé dans une petite cavité aménagée dans un sol de béton de maison.
4. Fragment de tuile de toiture, tegula, avec marque. Époque romaine Terre cuite
Le nom du potier, Glaios, est frappé en lettres grecques à l'envers.
5. Reconstitution de toiture
Epave, pointe de la Luque B Ier-IIe siècle apr. J.-C. Terre cuite
Assemblage de tuiles plates (tegulae) et rondes formant la toiture des maisons.
1. Fragments d'enduits muraux peints Fouilles de la rue Jean-François-Leca, 1992 IIIe siècle apr. J.-C. Mortier polychrome Perdrix et plante dans un compartiment rectangulaire bordé de bandes rouge et verte. Portrait, peut-être une divinité ou une allégorie, dans un médaillon bordé de bleu pâle. 2. Lampes à huile pour l'éclairage Marseille Epoque romaine Terre cuite 3. Vases miniatures, kilykes Pistoles. Début du Ier siècle apr. J.-C. Terre cuite Dépôt de fondation retrouvé dans une petite cavité aménagée dans un sol de béton de maison. 4. Fragment de tuile de toiture, tegula, avec marque. Époque romaine Terre cuite Le nom du potier, Glaios, est frappé en lettres grecques à l'envers. 5. Reconstitution de toiture Epave, pointe de la Luque B Ier-IIe siècle apr. J.-C. Terre cuite Assemblage de tuiles plates (tegulae) et rondes formant la toiture des maisons.
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Fragments d'enduits muraux peints
Fouilles de la rue Jean-François-Leca, 1992
IIIe siècle apr. J.-C. Mortier polychrome
Perdrix et plante dans un compartiment rectangulaire bordé de bandes rouge et verte. Portrait, peut-être une divinité ou une allégorie, dans un médaillon bordé de bleu pâle.
Fragments d'enduits muraux peints Fouilles de la rue Jean-François-Leca, 1992 IIIe siècle apr. J.-C. Mortier polychrome Perdrix et plante dans un compartiment rectangulaire bordé de bandes rouge et verte. Portrait, peut-être une divinité ou une allégorie, dans un médaillon bordé de bleu pâle.
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Lampes à huile pour l'éclairage.
Marseille. Epoque romaine. Terre cuite.
Lampes à huile pour l'éclairage. Marseille. Epoque romaine. Terre cuite.
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Lampes à huile pour l'éclairage.
Marseille. Epoque romaine. Terre cuite.
Lampes à huile pour l'éclairage. Marseille. Epoque romaine. Terre cuite.
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L’urbanisme, une refonte de la ville, mais de quelle ampleur ? Buste dit de Milon. Rue des Grands Carmes, 1825. Ier – IIe siècle après J.-C. Calcaire rose du cap Couronne. Ce buste d’homme barbu et chevelu reposant sur le sommet d’une demi-colonne est réemployé dans la façade d’une maison détruite en 1825.
Buste masculin imberbe. Rue de la République, 1896 Ier IIe siècle apr.J.-C. Marbre de Carrare. Il s'agit sans doute un buste funéraire provenant de la nécropole romaine du Lazaret.
Pied monumental, marbre de paros ?
Pied sur socle, marbre.
Pied de statue féminine. Anse des Catalans. Epoque hellénistique ou romaine. Le pied est chaussé d’une sandale finement ciselée.
L’urbanisme, une refonte de la ville, mais de quelle ampleur ? Buste dit de Milon. Rue des Grands Carmes, 1825. Ier – IIe siècle après J.-C. Calcaire rose du cap Couronne. Ce buste d’homme barbu et chevelu reposant sur le sommet d’une demi-colonne est réemployé dans la façade d’une maison détruite en 1825. Buste masculin imberbe. Rue de la République, 1896 Ier IIe siècle apr.J.-C. Marbre de Carrare. Il s'agit sans doute un buste funéraire provenant de la nécropole romaine du Lazaret. Pied monumental, marbre de paros ? Pied sur socle, marbre. Pied de statue féminine. Anse des Catalans. Epoque hellénistique ou romaine. Le pied est chaussé d’une sandale finement ciselée.
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Buste dit de Milon. Rue des Grands Carmes, 1825. Ier – IIe siècle après J.-C. Calcaire rose du cap Couronne. Ce buste d’homme barbu et chevelu reposant sur le sommet d’une demi-colonne est réemployé dans la façade d’une maison détruite en 1825.
Buste dit de Milon. Rue des Grands Carmes, 1825. Ier – IIe siècle après J.-C. Calcaire rose du cap Couronne. Ce buste d’homme barbu et chevelu reposant sur le sommet d’une demi-colonne est réemployé dans la façade d’une maison détruite en 1825.
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Tête féminine miniature. Fouilles de la place des Pistoles, 1989 IIe siècle apr.J.-C. Terre cuite à engobe rouge.
Tête féminine miniature. Fouilles de la place des Pistoles, 1989 IIe siècle apr.J.-C. Terre cuite à engobe rouge.
280
Tête de silène antique. Époque hellénistique ou romaine. Calcaire blanc.
2. Statuette de Cybèle assise. Butte des Carmes, 1897. Époque romaine. Marbre. La divinité, dont la tête est brisée, est assise sur un trône au montant orné de lions.
3. Buste d’Athéna. Fouilles du tunnel de la Major, 2008. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. La déesse est identifiée grâce à l’égide (sorte de cuirasse donnée par Zeus à sa fille Athéna) qu’elle porte sur le dos et la poitrine : une peau de chèvre avec frange de serpent ou pouvoir d’invulnérabilité.
4. Statuette d’Esculape. Rue de la république – boulevard des Dames. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. Esculape – Asclépios, Dieu de la Médecine.
5. Deux statuettes. Epave Planier, Marseille. Début du Ier siècle après J.-C. Pin pignon. Citoyen romain habillé en toge. L’adolescent porte au cou un pendentif pour éloigner les mauvais esprits : la bulla, signalant qu’il est romain et libre. Sa toge relevée montre une cavité destinée à emboîter un phallus.
Tête de silène antique. Époque hellénistique ou romaine. Calcaire blanc. 2. Statuette de Cybèle assise. Butte des Carmes, 1897. Époque romaine. Marbre. La divinité, dont la tête est brisée, est assise sur un trône au montant orné de lions. 3. Buste d’Athéna. Fouilles du tunnel de la Major, 2008. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. La déesse est identifiée grâce à l’égide (sorte de cuirasse donnée par Zeus à sa fille Athéna) qu’elle porte sur le dos et la poitrine : une peau de chèvre avec frange de serpent ou pouvoir d’invulnérabilité. 4. Statuette d’Esculape. Rue de la république – boulevard des Dames. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. Esculape – Asclépios, Dieu de la Médecine. 5. Deux statuettes. Epave Planier, Marseille. Début du Ier siècle après J.-C. Pin pignon. Citoyen romain habillé en toge. L’adolescent porte au cou un pendentif pour éloigner les mauvais esprits : la bulla, signalant qu’il est romain et libre. Sa toge relevée montre une cavité destinée à emboîter un phallus.
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Tête de silène antique. Époque hellénistique ou romaine. Calcaire blanc.
Tête de silène antique. Époque hellénistique ou romaine. Calcaire blanc.
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Statuette de Cybèle assise. Butte des Carmes, 1897. Époque romaine. Marbre. La divinité, dont la tête est brisée, est assise sur un trône au montant orné de lions.
Statuette de Cybèle assise. Butte des Carmes, 1897. Époque romaine. Marbre. La divinité, dont la tête est brisée, est assise sur un trône au montant orné de lions.
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2. Statuette de Cybèle assise. Butte des Carmes, 1897. Époque romaine. Marbre. La divinité, dont la tête est brisée, est assise sur un trône au montant orné de lions.
3. Buste d’Athéna. Fouilles du tunnel de la Major, 2008. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. La déesse est identifiée grâce à l’égide (sorte de cuirasse donnée par Zeus à sa fille Athéna) qu’elle porte sur le dos et la poitrine : une peau de chèvre avec frange de serpent ou pouvoir d’invulnérabilité.
2. Statuette de Cybèle assise. Butte des Carmes, 1897. Époque romaine. Marbre. La divinité, dont la tête est brisée, est assise sur un trône au montant orné de lions. 3. Buste d’Athéna. Fouilles du tunnel de la Major, 2008. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. La déesse est identifiée grâce à l’égide (sorte de cuirasse donnée par Zeus à sa fille Athéna) qu’elle porte sur le dos et la poitrine : une peau de chèvre avec frange de serpent ou pouvoir d’invulnérabilité.
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3. Buste d’Athéna. Fouilles du tunnel de la Major, 2008. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. La déesse est identifiée grâce à l’égide (sorte de cuirasse donnée par Zeus à sa fille Athéna) qu’elle porte sur le dos et la poitrine : une peau de chèvre avec frange de serpent ou pouvoir d’invulnérabilité.
3. Buste d’Athéna. Fouilles du tunnel de la Major, 2008. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. La déesse est identifiée grâce à l’égide (sorte de cuirasse donnée par Zeus à sa fille Athéna) qu’elle porte sur le dos et la poitrine : une peau de chèvre avec frange de serpent ou pouvoir d’invulnérabilité.
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4. Statuette d’Esculape. Rue de la république – boulevard des Dames. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. Esculape – Asclépios, Dieu de la Médecine.
4. Statuette d’Esculape. Rue de la république – boulevard des Dames. Ier – IIe siècle après J.-C. Marbre. Esculape – Asclépios, Dieu de la Médecine.
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5. Deux statuettes. Epave Planier, Marseille. Début du Ier siècle après J.-C. Pin pignon. Citoyen romain habillé en toge. L’adolescent porte au cou un pendentif pour éloigner les mauvais esprits : la bulla, signalant qu’il est romain et libre. Sa toge relevée montre une cavité destinée à emboîter un phallus.
5. Deux statuettes. Epave Planier, Marseille. Début du Ier siècle après J.-C. Pin pignon. Citoyen romain habillé en toge. L’adolescent porte au cou un pendentif pour éloigner les mauvais esprits : la bulla, signalant qu’il est romain et libre. Sa toge relevée montre une cavité destinée à emboîter un phallus.
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5. Deux statuettes. Epave Planier, Marseille. Début du Ier siècle après J.-C. Pin pignon. Citoyen romain habillé en toge.
5. Deux statuettes. Epave Planier, Marseille. Début du Ier siècle après J.-C. Pin pignon. Citoyen romain habillé en toge.
288
Masques de théâtre. Époque romaine. Terre cuite.
Retrouvés à l'angle de la rue Four-du-Chapître et de la rue de la Cathédrale en 1958 (A), et rue Impériale aujourd'hui rue de la République au XIXe siècle (B)
Masques de théâtre. Époque romaine. Terre cuite. Retrouvés à l'angle de la rue Four-du-Chapître et de la rue de la Cathédrale en 1958 (A), et rue Impériale aujourd'hui rue de la République au XIXe siècle (B)
289
Verre soufflé dans un moule à motifs d'amandes et bandeaux végétaux. Ier-IIe siècle. Fouilles de la place Jules Verne.
Verre soufflé dans un moule à motifs d'amandes et bandeaux végétaux. Ier-IIe siècle. Fouilles de la place Jules Verne.
290
Lampe à huile à motifs de divinité. Bassin de Carénage, 1829 – 1831.
Ier – IIe siècle après J.-C. Terre cuite.
Hermès au caducée.
Lampe à huile à motifs de divinité. Bassin de Carénage, 1829 – 1831. Ier – IIe siècle après J.-C. Terre cuite. Hermès au caducée.
291
Pierre de fondation de la maison de Louis Meyfredy. 1747
Cette pierre comprend des symboles alchimiques (hiéroglyphes astrologiques et alchimiques se référant aux planètes/métaux).
L'inscription «C. IDERFIEM. SI VOLA.» soit être lue à rebours: «à Louis Meifreidi C ». Louis Meyfreydi a vraisemblablement placé sa maison sous la protection du Sacré-Cœur, représenté sur la pierre.
Pierre de fondation de la maison de Louis Meyfredy. 1747 Cette pierre comprend des symboles alchimiques (hiéroglyphes astrologiques et alchimiques se référant aux planètes/métaux). L'inscription «C. IDERFIEM. SI VOLA.» soit être lue à rebours: «à Louis Meifreidi C ». Louis Meyfreydi a vraisemblablement placé sa maison sous la protection du Sacré-Cœur, représenté sur la pierre.
292
Borne milliaire dédiée à Constantin II. Fouilles de la Bourse, aujourd'hui Port antique, avril 1968
IVe siècle apr. J.-C. Marbre
Découverte devant la voie d'entrée de la ville antique. Traduction : Au très noble César Flavius Claudius Constantin le Jeune, fils de l'empereur Flavius Valerius Constantin, pieux, heureux, invincible, auguste.
Borne milliaire dédiée à Constantin II. Fouilles de la Bourse, aujourd'hui Port antique, avril 1968 IVe siècle apr. J.-C. Marbre Découverte devant la voie d'entrée de la ville antique. Traduction : Au très noble César Flavius Claudius Constantin le Jeune, fils de l'empereur Flavius Valerius Constantin, pieux, heureux, invincible, auguste.
293
Bloc d'architrave de monument funéraire inscrit mentionnant la via Aquensis. Surveillance du bassin de Carénage, 1829-1831. Ier siècle après J.-C. Calcaire. Traduction : «Etrilia Laeta, épouse de Syriacus, originaire d'Italica en Espagne bétique. Cet emplacement a été accordé par la municipalité. À Marseille, sur la route d'Aix. »
Bloc d'architrave de monument funéraire inscrit mentionnant la via Aquensis. Surveillance du bassin de Carénage, 1829-1831. Ier siècle après J.-C. Calcaire. Traduction : «Etrilia Laeta, épouse de Syriacus, originaire d'Italica en Espagne bétique. Cet emplacement a été accordé par la municipalité. À Marseille, sur la route d'Aix. »
294
Inscription monumentale fragmentaire grecque. Découvertes de la Major, XIXe siècle. IIe siècle après J.-C. calcaire rose. Bloc retaillé en forme de sarcophage à couvercle à six acrotères. Traduction : OSTADIO. L'interprétation n'est pas certaine : dédicace de stade, non retrouvé, ou référence à un culte de Dionysos.
Inscription monumentale fragmentaire grecque. Découvertes de la Major, XIXe siècle. IIe siècle après J.-C. calcaire rose. Bloc retaillé en forme de sarcophage à couvercle à six acrotères. Traduction : OSTADIO. L'interprétation n'est pas certaine : dédicace de stade, non retrouvé, ou référence à un culte de Dionysos.
295
Panneaux de mosaïque, l'un à décor de dauphin, perles et pirouettes, l'autret à décor géométrique. Découvertes de la Major, XIXe siècle. Ier siècle apr.J.-C.
Ces deux panneaux furent découverts lors de la construction de l'actuelle cathédrale de la Major.  Ils appartiendraiten à un grand pavement de sol à décor composé en noir et blanc.
 Panneau avec dauphin : Opus tesselatum, tesselles et mortier de pose. 
Paneau à décor géométrique : Opus siqninum, béton de tuileau hydraulique. Composition principale à fleurette centrée et triangles noirs inscrits dans deux hexagones bordés de perles et pirouettes.
Panneaux de mosaïque, l'un à décor de dauphin, perles et pirouettes, l'autret à décor géométrique. Découvertes de la Major, XIXe siècle. Ier siècle apr.J.-C. Ces deux panneaux furent découverts lors de la construction de l'actuelle cathédrale de la Major. Ils appartiendraiten à un grand pavement de sol à décor composé en noir et blanc. Panneau avec dauphin : Opus tesselatum, tesselles et mortier de pose. Paneau à décor géométrique : Opus siqninum, béton de tuileau hydraulique. Composition principale à fleurette centrée et triangles noirs inscrits dans deux hexagones bordés de perles et pirouettes.
296
Statue d'Apollon ou de Dionysos. Anse des Catalans, 2004. 
Époque hellénistique ou romaine. Marbre.
Personnage d'aspect efféminé et juvénile, boucles de cheveux sur l'épaule.
Statue d'Apollon ou de Dionysos. Anse des Catalans, 2004. Époque hellénistique ou romaine. Marbre. Personnage d'aspect efféminé et juvénile, boucles de cheveux sur l'épaule.
297
Autel à double bas-relief et dédicace. Place de Lenche, ancienne rue des Radeaux, 1614.
Ier-IIe siècle apr. J.-C. Marbre
Des personnages (Artémis, Diane?) avec chien devant un petit autel, puis une barque avec deux passagers. L'inscription, en latin, est de lecture difficile : « Vatenius [?] Marcarita [?] Neontius [?] ont offert volontiers [ce monument].»
Autel à double bas-relief et dédicace. Place de Lenche, ancienne rue des Radeaux, 1614. Ier-IIe siècle apr. J.-C. Marbre Des personnages (Artémis, Diane?) avec chien devant un petit autel, puis une barque avec deux passagers. L'inscription, en latin, est de lecture difficile : « Vatenius [?] Marcarita [?] Neontius [?] ont offert volontiers [ce monument].»
298
299
Épitaphe d’Athénadès. Surveillance du bassin de Carénage, 1829-1831. Fin du IIe siècle-début du IIIe siècle après J.-C. marbre. Traduction : «Athénaès, fils de Dioskoridès, professeur de lettres latines. » Cette plaque funéraire atteste la persistance de la langue grecque en pleine période romaine. Les noms cités sont également grecs.
Épitaphe d’Athénadès. Surveillance du bassin de Carénage, 1829-1831. Fin du IIe siècle-début du IIIe siècle après J.-C. marbre. Traduction : «Athénaès, fils de Dioskoridès, professeur de lettres latines. » Cette plaque funéraire atteste la persistance de la langue grecque en pleine période romaine. Les noms cités sont également grecs.
300
Épitaphe de Neikostratrus. Rue Neuve Sainte-Catherine, 1877. Fine du Ier siècle-début du IIe siècle après J.-C. marbre traduction : « Titus Pompeius Apollônides à Titus Flavius Neikostratrus, son professeur, en souvenir. » Dédicace à un précepteur qui aurait été trouvée en remploi comme couvercle d’urne funéraire.
Épitaphe de Neikostratrus. Rue Neuve Sainte-Catherine, 1877. Fine du Ier siècle-début du IIe siècle après J.-C. marbre traduction : « Titus Pompeius Apollônides à Titus Flavius Neikostratrus, son professeur, en souvenir. » Dédicace à un précepteur qui aurait été trouvée en remploi comme couvercle d’urne funéraire.
301
Deux ampoules à eulogie de saint Ménas. Découvertes anciennes du cimetière Saint-Charles, avant 1904.
IVe-VIIe siècle Terre cuite
Décors d'inscription en grec au nom de saint Ménas, martyr chrétien d'Egypte, « AGIOS MHNAS », ainsi que de scène de Daniel dans la fosse aux lions et de saint Ménas bras étendus en orant accompagné de son attribut un chameau.
Deux ampoules à eulogie de saint Ménas. Découvertes anciennes du cimetière Saint-Charles, avant 1904. IVe-VIIe siècle Terre cuite Décors d'inscription en grec au nom de saint Ménas, martyr chrétien d'Egypte, « AGIOS MHNAS », ainsi que de scène de Daniel dans la fosse aux lions et de saint Ménas bras étendus en orant accompagné de son attribut un chameau.
302
Épitaphe de Fedula. Fouilles du bassin de Carénage, 1829-1831.
Ve siècle Marbre
Le texte est l'évocation de la défunte Fedula, accompagnée de citations de psaumes. « Ici dans la paix repose Fedula de bonne mémoire. À quelque moment que je t'invoque, exauce-moi. Voici que je te connais, puisque tu es mon Dieu. Entre tes mains, je remets mon esprit. »
Épitaphe de Fedula. Fouilles du bassin de Carénage, 1829-1831. Ve siècle Marbre Le texte est l'évocation de la défunte Fedula, accompagnée de citations de psaumes. « Ici dans la paix repose Fedula de bonne mémoire. À quelque moment que je t'invoque, exauce-moi. Voici que je te connais, puisque tu es mon Dieu. Entre tes mains, je remets mon esprit. »
303
Deux monnaies de fouilles. Fouilles de la place Jules Verne, 1992. IVe – VIe siècle.
Or.
Monnaie à l’effigie de Maxime, empereur d’Occident (383 – 388) (A), et de Justin II, empereur d’Orient (565 – 578) (B).
Deux monnaies de fouilles. Fouilles de la place Jules Verne, 1992. IVe – VIe siècle. Or. Monnaie à l’effigie de Maxime, empereur d’Occident (383 – 388) (A), et de Justin II, empereur d’Orient (565 – 578) (B).
304
Monnaie à l’effigie de Maxime, empereur d’Occident (383 – 388)
Monnaie à l’effigie de Maxime, empereur d’Occident (383 – 388)
305
Monnaie de Justin II, empereur d’Orient (565 – 578).
Monnaie de Justin II, empereur d’Orient (565 – 578).
306
Balles de fronde. Fouilles place du Général De Gaulle, 1992. Ve siècle-VIe siècle. Cet ensemble de projectiles a été retrouvé dans un niveau de destruction.
Balles de fronde. Fouilles place du Général De Gaulle, 1992. Ve siècle-VIe siècle. Cet ensemble de projectiles a été retrouvé dans un niveau de destruction.
307
Boulets de siège. Fouilles de la bourse, port antique, 1967-1984.
Boulets de siège. Fouilles de la bourse, port antique, 1967-1984.
308
Cinq monnaies. Dynastie des Constantin. IVe siècle. Bronze. Constantin Ier, 307-337. Crispus 317-326. Constantin II 317-337. Constance II 324-337. Constant 337-350.
Cinq monnaies. Dynastie des Constantin. IVe siècle. Bronze. Constantin Ier, 307-337. Crispus 317-326. Constantin II 317-337. Constance II 324-337. Constant 337-350.
309
Fragment de pilier de chancel décoré.
Fouilles de la Major, 2000 Ve-VIIe siècle
Décor de rinceaux garnis de feuilles de vigne et de grappes de raisins. Le bloc a été retaillé pour être employé comme seuil dans une
Fragment de pilier de chancel décoré. Fouilles de la Major, 2000 Ve-VIIe siècle Décor de rinceaux garnis de feuilles de vigne et de grappes de raisins. Le bloc a été retaillé pour être employé comme seuil dans une
310
Fragment de linteau décoré. Deux fragments de panneaux de chancel décorés.
Fragment de linteau décoré. Deux fragments de panneaux de chancel décorés.
311
Fragment de linteau décoré et de panneau de chancel décoré. Linteau attribué à Saint-Victor. Fin du VIIIe siècle-IXe siècle Marbre. Sous une suite d'arcades à trois fils reposant sur des pilastres rectangulaires ont été placés des motifs de palmettes, des fleurons et une croix.
Panneau attribué à Saint-Victor. Fin du VIIIe siècle-IXe siècle Marbre de Carrare. Composition géométrique de motifs floraux et rosaces et de deux croix fleuronnées. Dans les écoinçons ont été placés des palmettes et des fleurons; au centre, des grappes de raisin.
Fragment de linteau décoré et de panneau de chancel décoré. Linteau attribué à Saint-Victor. Fin du VIIIe siècle-IXe siècle Marbre. Sous une suite d'arcades à trois fils reposant sur des pilastres rectangulaires ont été placés des motifs de palmettes, des fleurons et une croix. Panneau attribué à Saint-Victor. Fin du VIIIe siècle-IXe siècle Marbre de Carrare. Composition géométrique de motifs floraux et rosaces et de deux croix fleuronnées. Dans les écoinçons ont été placés des palmettes et des fleurons; au centre, des grappes de raisin.
312
Fragment de panneau de chancel décoré. Démolition du fort Notre-Dame-de-la-Garde, attribué à Saint-Victor. Fin du VIIIe siècle-IXe siècle Marbre de Carrare. Composition de boucles à trois fils formant des cercles et demi-cercles, bordée de rinceaux de spirales perlées et hachurées. Grappes de raisin dans l'écoinçon.
Fragment de panneau de chancel décoré. Démolition du fort Notre-Dame-de-la-Garde, attribué à Saint-Victor. Fin du VIIIe siècle-IXe siècle Marbre de Carrare. Composition de boucles à trois fils formant des cercles et demi-cercles, bordée de rinceaux de spirales perlées et hachurées. Grappes de raisin dans l'écoinçon.
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314
Coffret avec balance. Épave de la Palud, île de Port-Cros (Var) VIe siècle. Petit coffre en bois, poids en bronze. Coffret à trébuchet contenant une balance de précision et des poids dont l'un représente deux empereurs, soit Justin 1er et Justinien (527), soit Justin II (565-578) et Sophie.
Coffret avec balance. Épave de la Palud, île de Port-Cros (Var) VIe siècle. Petit coffre en bois, poids en bronze. Coffret à trébuchet contenant une balance de précision et des poids dont l'un représente deux empereurs, soit Justin 1er et Justinien (527), soit Justin II (565-578) et Sophie.
315
Plaques de coffret avec inscription. Fouilles de la rue de la cathédrale, 1987. Ve-VIe siècle. Os. Décor de coffret en tabletterie, inscrit d'un nom d'origine germanique «ARNEBERGA », sans doute la propriétaire de l'objet.
Plaques de coffret avec inscription. Fouilles de la rue de la cathédrale, 1987. Ve-VIe siècle. Os. Décor de coffret en tabletterie, inscrit d'un nom d'origine germanique «ARNEBERGA », sans doute la propriétaire de l'objet.
316
Peigne. Fouilles de la rue de la cathédrale, 1987. Ve siècle. Os.
Peigne. Fouilles de la rue de la cathédrale, 1987. Ve siècle. Os.
317
Trois éléments de charnières. Fouilles de la rue de la cathédrale, 1987. Ve-VIe siècle. Os.
Trois éléments de charnières. Fouilles de la rue de la cathédrale, 1987. Ve-VIe siècle. Os.
318
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Deux sarcophages en calcaire rose étaient enserrés à l’intérieur du chancel marbre. Chacun de ces sarcophages renfermait un cercueil de plomb à couvercle emboîté. À l’intérieur de ces derniers reposaient deux individus adultes masculins dont l’analyse se poursuit actuellement. Aucun apparat ou mobilier particulier ne figurait dans ces cercueils en plomb. L’examen des défunts n’a pas permis de préciser leur statut (donateurs ? Éminents personnages ? Saints ?).
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Deux sarcophages en calcaire rose étaient enserrés à l’intérieur du chancel marbre. Chacun de ces sarcophages renfermait un cercueil de plomb à couvercle emboîté. À l’intérieur de ces derniers reposaient deux individus adultes masculins dont l’analyse se poursuit actuellement. Aucun apparat ou mobilier particulier ne figurait dans ces cercueils en plomb. L’examen des défunts n’a pas permis de préciser leur statut (donateurs ? Éminents personnages ? Saints ?).
319
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Sarcophages ensevelis dans le chœur. Ve-VIe siècle. Calcaire rose de la Couronne, Martigues. Les 27 cuves et 25 couvercles présentés se pressent autour de la tombe vénérée, une memoria, ornée de marbres blancs et polychromes. La basilique a été bâtie en un site qui était peut-être déjà dédié à un édifice funéraire. La présence sur le site de murs antérieurs et de blocs architecturaux ainsi que la proximité d’une nécropole antique attestée par ailleurs permettent d’envisager la présence préalable d’un mausolée du début de l’empire Romain.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Sarcophages ensevelis dans le chœur. Ve-VIe siècle. Calcaire rose de la Couronne, Martigues. Les 27 cuves et 25 couvercles présentés se pressent autour de la tombe vénérée, une memoria, ornée de marbres blancs et polychromes. La basilique a été bâtie en un site qui était peut-être déjà dédié à un édifice funéraire. La présence sur le site de murs antérieurs et de blocs architecturaux ainsi que la proximité d’une nécropole antique attestée par ailleurs permettent d’envisager la présence préalable d’un mausolée du début de l’empire Romain.
320
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. L’église de la fin de l’empire Romain a probablement dès sa consécration une vocation funéraire au regard de la tombe privilégiée (mémoria) installée dans son chœur. Le développement du culte autour de cette tombe a ensuite suscité chez les fidèles de l’époque un engouement fort pour être inhumés à proximité de celle-ci. Ce sont pas moins de 228 tombes qui ont été recensées autour de cette mémoria, aussi bien à l’intérieur de l’église qu’à l’extérieur. Le phénomène de « tumulatio ad sanctos » a rarement été aussi bien mis en évidence. Ces sépultures, pour la plupart orientés ouest – est, ont pris plusieurs formes. Les réceptacles funéraires les plus nombreux sont les amphores puis les sarcophages et les tombes sous tuiles. Les fosses en pleine terre et les cercueils de bois sont beaucoup moins nombreux (23 en tout).
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. L’église de la fin de l’empire Romain a probablement dès sa consécration une vocation funéraire au regard de la tombe privilégiée (mémoria) installée dans son chœur. Le développement du culte autour de cette tombe a ensuite suscité chez les fidèles de l’époque un engouement fort pour être inhumés à proximité de celle-ci. Ce sont pas moins de 228 tombes qui ont été recensées autour de cette mémoria, aussi bien à l’intérieur de l’église qu’à l’extérieur. Le phénomène de « tumulatio ad sanctos » a rarement été aussi bien mis en évidence. Ces sépultures, pour la plupart orientés ouest – est, ont pris plusieurs formes. Les réceptacles funéraires les plus nombreux sont les amphores puis les sarcophages et les tombes sous tuiles. Les fosses en pleine terre et les cercueils de bois sont beaucoup moins nombreux (23 en tout).
321
La memoria est une tombe double privilégiée qui se dressait à proximité immédiate de l’autel dans le chœur de la basilique. Elle était constituée de deux sarcophages placés côte à côte et regroupés par une même parure luxueuse. Le dispositif permettait aux pèlerins d’obtenir de huile sanctifiée au contact de ces sépultures.
Dans chacune des dalles de marbre recouvrant les sarcophages était percé un orifice circulaire équipé d’un entonnoir. L’extrémité de chaque entonnoir été équipé d’un embout en bronze qui perçait ensuite le sarcophage en pierre et arrivait au-dessus des cercueils en plomb à hauteur de la tête des défunts.
Par ce biais, le liquide versé par chaque pèlerin coulait sur le cercueil en plomb, se sanctifiait et ressortait du sarcophage par un exutoire où l’on pouvait le récupérer précieusement dans une ampoule en verre.
Cette pratique est abandonnée quand le rehaussement du sol condamne cet exutoire. La vénération des fidèles s’attache alors plus à l’inhumation à proximité de cette tombe.
La memoria est une tombe double privilégiée qui se dressait à proximité immédiate de l’autel dans le chœur de la basilique. Elle était constituée de deux sarcophages placés côte à côte et regroupés par une même parure luxueuse. Le dispositif permettait aux pèlerins d’obtenir de huile sanctifiée au contact de ces sépultures. Dans chacune des dalles de marbre recouvrant les sarcophages était percé un orifice circulaire équipé d’un entonnoir. L’extrémité de chaque entonnoir été équipé d’un embout en bronze qui perçait ensuite le sarcophage en pierre et arrivait au-dessus des cercueils en plomb à hauteur de la tête des défunts. Par ce biais, le liquide versé par chaque pèlerin coulait sur le cercueil en plomb, se sanctifiait et ressortait du sarcophage par un exutoire où l’on pouvait le récupérer précieusement dans une ampoule en verre. Cette pratique est abandonnée quand le rehaussement du sol condamne cet exutoire. La vénération des fidèles s’attache alors plus à l’inhumation à proximité de cette tombe.
322
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Les vestiges reconstitués appartiennent au chœur d'une église paléochrétienne inconnue mise au jour lors de fouilles en 2003 - 2004.
Situé en dehors des remparts au nord de la cité, cet édifice funéraire compte une tombe remarquable où reposent deux défunts. Ornée de chancels de marbre, elle est placée à gauche de l'autel lui-même au centre de l'abside. Là se déroulent des pratiques connues par les textes, mais dont le monument offre une attestation unique en Occident : les fidèles se procurent une huile sanctifiée au contact des corps dans la tombe et des reliques placées sous l'autel.
Une accumulation de tombes en sarcophages ou en tuiles, une tumulatio ad sanctos, se développe dans le chœur, dans la nef et à l'extérieur de l'édifice où de nombreuses amphores sont utilisées comme cercueils pour des enfants parmi des tombes d'hommes et de femmes de tous âges.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Les vestiges reconstitués appartiennent au chœur d'une église paléochrétienne inconnue mise au jour lors de fouilles en 2003 - 2004. Situé en dehors des remparts au nord de la cité, cet édifice funéraire compte une tombe remarquable où reposent deux défunts. Ornée de chancels de marbre, elle est placée à gauche de l'autel lui-même au centre de l'abside. Là se déroulent des pratiques connues par les textes, mais dont le monument offre une attestation unique en Occident : les fidèles se procurent une huile sanctifiée au contact des corps dans la tombe et des reliques placées sous l'autel. Une accumulation de tombes en sarcophages ou en tuiles, une tumulatio ad sanctos, se développe dans le chœur, dans la nef et à l'extérieur de l'édifice où de nombreuses amphores sont utilisées comme cercueils pour des enfants parmi des tombes d'hommes et de femmes de tous âges.
323
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Le chœur de l’église est légèrement surélevé par rapport à la nef. Quelques marches permettent d’accéder à cet espace situé dans l’abside semi-circulaire de la basilique. Dans une première phase, ce cœur est assez dégagé et n’y trônent que l’autel et la tombe privilégiée. Les pratiques liturgiques générées par ces deux structures et nécessitant l’approche de pèlerins d’officiants sont alors possibles. Ces pratiques évoluent car l’accès à ces structures se modifie sous l’action combinée d’un exhaussement de sol et d’une accumulation de sépultures dans leur environnement immédiat.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Le chœur de l’église est légèrement surélevé par rapport à la nef. Quelques marches permettent d’accéder à cet espace situé dans l’abside semi-circulaire de la basilique. Dans une première phase, ce cœur est assez dégagé et n’y trônent que l’autel et la tombe privilégiée. Les pratiques liturgiques générées par ces deux structures et nécessitant l’approche de pèlerins d’officiants sont alors possibles. Ces pratiques évoluent car l’accès à ces structures se modifie sous l’action combinée d’un exhaussement de sol et d’une accumulation de sépultures dans leur environnement immédiat.
324
Si les 63 sarcophages en calcaire ne constituent pas les réceptacles funéraires les plus nombreux sur l’ensemble du site de la basilique, dans le chœur ce sont eux qui s’imposent... et se superposent. Ces sarcophages ne sont pas décorés. Ils sont fermés par des couvercles qui présentent une double pente et six acrotères. Certains de ces sarcophages ont contenu plusieurs défunts installés à des périodes différentes et après une réduction de corps parfois. Seuls les sarcophages de la memoria contenaient des cercueils en plomb.
Si les 63 sarcophages en calcaire ne constituent pas les réceptacles funéraires les plus nombreux sur l’ensemble du site de la basilique, dans le chœur ce sont eux qui s’imposent... et se superposent. Ces sarcophages ne sont pas décorés. Ils sont fermés par des couvercles qui présentent une double pente et six acrotères. Certains de ces sarcophages ont contenu plusieurs défunts installés à des périodes différentes et après une réduction de corps parfois. Seuls les sarcophages de la memoria contenaient des cercueils en plomb.
325
Au fond, à gauche, la memoria avec à droite l'autel.
La tombe double était ceinturée d’un chancel (barrière liturgique) en marbre qui venait s’insérer dans des gorges aménagées dans quatre piliers d’angle et dans une base courant tout autour des de sarcophages. Cette tombe haute de 1 mètre et en position surélevée grâce à son implantation sur le chœur était résolument destinée à être vue depuis la nef. Les chancels ouest et sud, tournés vers l’auditoire et les fidèles, étaient de belles plaques de marbre blanc monolithes qui étaient ornées d’un décor d’écailles alors que les chancels nord et est, c’est-à-dire ceux qui étaient tournés vers les officiants, étaient constitués de plusieurs plaques de marbre non décorées et de couleurs différentes.
Au fond, à gauche, la memoria avec à droite l'autel. La tombe double était ceinturée d’un chancel (barrière liturgique) en marbre qui venait s’insérer dans des gorges aménagées dans quatre piliers d’angle et dans une base courant tout autour des de sarcophages. Cette tombe haute de 1 mètre et en position surélevée grâce à son implantation sur le chœur était résolument destinée à être vue depuis la nef. Les chancels ouest et sud, tournés vers l’auditoire et les fidèles, étaient de belles plaques de marbre blanc monolithes qui étaient ornées d’un décor d’écailles alors que les chancels nord et est, c’est-à-dire ceux qui étaient tournés vers les officiants, étaient constitués de plusieurs plaques de marbre non décorées et de couleurs différentes.
326
Memoria, tombe vénérée à marbres polychromes et décorés
Marbres divers : Carrare, Proconèse, Pentélique, Annaba, Pyrénées, Provence et calcaire rose de la Couronne, Martigues. 
Un placage de marbres, dont les deux chancels ouest et sud à décor de cercles sécants ou écailles, ornait les deux sépultures privilégiées et vénérées inhumées dans des cercueils de plomb et de calcaire.
Memoria, tombe vénérée à marbres polychromes et décorés Marbres divers : Carrare, Proconèse, Pentélique, Annaba, Pyrénées, Provence et calcaire rose de la Couronne, Martigues. Un placage de marbres, dont les deux chancels ouest et sud à décor de cercles sécants ou écailles, ornait les deux sépultures privilégiées et vénérées inhumées dans des cercueils de plomb et de calcaire.
327
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Placage de marbres à décor de cercles sécants ou écailles.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Placage de marbres à décor de cercles sécants ou écailles.
328
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. La memoria, avec devant une tombe sous tuile. Tombes d'enfants en bâtières ou coffre de tuiles. Tuiles plates, tegulae, et tuiles rondes, imbrices, constituent la maison des jeunes défunts mis en terre entre les sarcophages.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. La memoria, avec devant une tombe sous tuile. Tombes d'enfants en bâtières ou coffre de tuiles. Tuiles plates, tegulae, et tuiles rondes, imbrices, constituent la maison des jeunes défunts mis en terre entre les sarcophages.
329
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Les tombes sous tuiles.
Le principe de la tombe sous tuiles consiste à recouvrir un défunt d’un toit protecteur constitué, comme sur une maison, de tuiles plates et de tuiles courbes. Les tuiles étaient ensuite maintenues en place à l’aide d’éléments pesants qui étaient des cailloux essentiellement. Ce type de tombe sous tuiles a été recensé à plus de 40 reprises sur l’ensemble du site de la basilique de Malaval. Parfois les tuiles sont installées en bâtière (toit à double pente), parfois à plat (toit plat).
Certaines de ces tombes concernaient des enfants. Elles ne comportaient alors que deux longueurs de tuiles. Quand elles protégeaient des adultes, elles étaient doublées pour atteindre quatre longueurs ou cinq de tuiles. Dans un cas, une stèle en marbre au nom de Stéfanus avait été utilisée en réemploi.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Les tombes sous tuiles. Le principe de la tombe sous tuiles consiste à recouvrir un défunt d’un toit protecteur constitué, comme sur une maison, de tuiles plates et de tuiles courbes. Les tuiles étaient ensuite maintenues en place à l’aide d’éléments pesants qui étaient des cailloux essentiellement. Ce type de tombe sous tuiles a été recensé à plus de 40 reprises sur l’ensemble du site de la basilique de Malaval. Parfois les tuiles sont installées en bâtière (toit à double pente), parfois à plat (toit plat). Certaines de ces tombes concernaient des enfants. Elles ne comportaient alors que deux longueurs de tuiles. Quand elles protégeaient des adultes, elles étaient doublées pour atteindre quatre longueurs ou cinq de tuiles. Dans un cas, une stèle en marbre au nom de Stéfanus avait été utilisée en réemploi.
330
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Certaines de ces tombes concernaient des enfants. Elles ne comportaient alors que deux longueurs de tuiles. Quand elles protégeaient des adultes, elles étaient doublées pour atteindre quatre longueurs ou cinq de tuiles. Dans un cas, une stèle en marbre au nom de Stéfanus avait été utilisée en réemploi.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Certaines de ces tombes concernaient des enfants. Elles ne comportaient alors que deux longueurs de tuiles. Quand elles protégeaient des adultes, elles étaient doublées pour atteindre quatre longueurs ou cinq de tuiles. Dans un cas, une stèle en marbre au nom de Stéfanus avait été utilisée en réemploi.
331
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Tombe en batière.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Tombe en batière.
332
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Base du second état de l'autel, la table est manquante. Ve siècle Fondations et reliquaire en calcaire rose, base en marbre de Carrare. Musée d'Histoire de Marseille
Sous la base en marbre installée lors du surélèvement du sol de l'abside se trouvait le caisson originel, à compartiment, qui recelait les saintes reliques récupérées dans l'Antiquité.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Base du second état de l'autel, la table est manquante. Ve siècle Fondations et reliquaire en calcaire rose, base en marbre de Carrare. Musée d'Histoire de Marseille Sous la base en marbre installée lors du surélèvement du sol de l'abside se trouvait le caisson originel, à compartiment, qui recelait les saintes reliques récupérées dans l'Antiquité.
333
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. L'autel.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. L'autel.
334
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. L'autel. Sous la base en marbre installée lors du surélèvement du sol de l'abside se trouvait le caisson originel, à compartiment, qui recelait les saintes reliques récupérées dans l'Antiquité.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. L'autel. Sous la base en marbre installée lors du surélèvement du sol de l'abside se trouvait le caisson originel, à compartiment, qui recelait les saintes reliques récupérées dans l'Antiquité.
335
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Au sol, la tombe où fut retrouvée la stèle Stefanus.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Au sol, la tombe où fut retrouvée la stèle Stefanus.
336
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Tombe en amphore. Fouilles de la rue Malaval, 2003-2004. Ve siècle. Terre cuite produite en Afrique du Nord. La tombe T196 recelait les restes inhumés d'un nouveau-né, le col de l'amphore n'a pas été retrouvé.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Tombe en amphore. Fouilles de la rue Malaval, 2003-2004. Ve siècle. Terre cuite produite en Afrique du Nord. La tombe T196 recelait les restes inhumés d'un nouveau-né, le col de l'amphore n'a pas été retrouvé.
337
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Stèle de Stefanus retrouvée en remploi sur une tombe d'enfant. VIe siècle. Marbre de Carrare. «Ici repose dans la paix de bonne mémoire Stefanus, qui vécut plus ou moins dix-sept ans; il s'en est allé le septième jour avant les kalendes d'octobre [un 26 septembre], l'année neuvième de l'indiction.»
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Stèle de Stefanus retrouvée en remploi sur une tombe d'enfant. VIe siècle. Marbre de Carrare. «Ici repose dans la paix de bonne mémoire Stefanus, qui vécut plus ou moins dix-sept ans; il s'en est allé le septième jour avant les kalendes d'octobre [un 26 septembre], l'année neuvième de l'indiction.»
338
Mobiliers divers. Fouilles de la rue Malaval, 2003-2004. Seconde moitié du IVe siècle-Ve siècle Verre, terre cuite, alliage cuivreux.
Boucle de ceinture et agrafe de vêtement retrouvé dans une tombe d'adulte. Bague à décor chrétien, chrisme, retrouvée portée sur un adulte. Médaillon retrouvé porté au cou d'un adulte.
Mobiliers divers. Fouilles de la rue Malaval, 2003-2004. Seconde moitié du IVe siècle-Ve siècle Verre, terre cuite, alliage cuivreux. Boucle de ceinture et agrafe de vêtement retrouvé dans une tombe d'adulte. Bague à décor chrétien, chrisme, retrouvée portée sur un adulte. Médaillon retrouvé porté au cou d'un adulte.
339
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle.
340
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle.
341
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle.
342
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Cruche bleue à une anse, seconde moitié du quatrième siècle (?) retrouvée dans une tombe d’enfant.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Cruche bleue à une anse, seconde moitié du quatrième siècle (?) retrouvée dans une tombe d’enfant.
343
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Cruche bleue à une anse, seconde moitié du quatrième siècle (?) retrouvée dans une tombe d’enfant.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Cruche bleue à une anse, seconde moitié du quatrième siècle (?) retrouvée dans une tombe d’enfant.
344
Fouilles de la rue Malaval, 2003-2004. Seconde moitié du lVe siècle-Ve siècle. Pot à parfum en terre cuite.
Fouilles de la rue Malaval, 2003-2004. Seconde moitié du lVe siècle-Ve siècle. Pot à parfum en terre cuite.
345
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Monnaie déposée en offrande dans une tombe (A), Monnaies déposées en offrande dans la memoria (B et C), et en dépôt de fondation du reliquaire (D et E). Alliage cuivreux.
L'église funéraire de la rue Malaval, Ve et VIe siècle. Monnaie déposée en offrande dans une tombe (A), Monnaies déposées en offrande dans la memoria (B et C), et en dépôt de fondation du reliquaire (D et E). Alliage cuivreux.
346
Eléments architecturaux décorés. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
Ve siècle - IXe siècle Marbre, marbre de Carrare
Pilier de chancel orné de rinceaux végétaux (A) Éléments de chancels ou de parois à motifs végétaux (B à I)
Fragment de reliquaire
Fouilles de l’Abbaye Saint-Victor, années 1970, Cour sud.
Ve siècle. Calcaire rose de la Couronne.
Ce bloc avec cavité qui recelait les reliques était destiné à être placé sous un autel. Il était fermé d’une plaque de pierre amovible posée dans la feuillure.
Eléments architecturaux décorés. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. Ve siècle - IXe siècle Marbre, marbre de Carrare Pilier de chancel orné de rinceaux végétaux (A) Éléments de chancels ou de parois à motifs végétaux (B à I) Fragment de reliquaire Fouilles de l’Abbaye Saint-Victor, années 1970, Cour sud. Ve siècle. Calcaire rose de la Couronne. Ce bloc avec cavité qui recelait les reliques était destiné à être placé sous un autel. Il était fermé d’une plaque de pierre amovible posée dans la feuillure.
347
Eléments de sarcophages décorés. 
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
IVe siècle. Marbres divers
Ce lot se compose de fragments de cuves et de couvercles ornés de motifs divers : panneau d'écailles (A), bas-reliefs figurés (B à F)
Eléments de sarcophages décorés. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. IVe siècle. Marbres divers Ce lot se compose de fragments de cuves et de couvercles ornés de motifs divers : panneau d'écailles (A), bas-reliefs figurés (B à F)
348
Céramiques d'importations médiévales. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
XIIIe siècle Terre cuite émaillée.
Céramiques d'importations médiévales. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. XIIIe siècle Terre cuite émaillée.
349
Céramiques d'importations médiévales. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
XIIIe siècle Terre cuite émaillée.
Céramiques d'importations médiévales. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. XIIIe siècle Terre cuite émaillée.
350
Amphore à inhumation. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
Ve siècle Terre-cuite
Amphore africaine (Tombe T48) découpée au niveau de l’épaulement pour l'introduction d'un cadavre d'enfant. Le col était ensuite remis en place pour fermer ce cercueil en terre cuite.
Amphore à inhumation. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. Ve siècle Terre-cuite Amphore africaine (Tombe T48) découpée au niveau de l’épaulement pour l'introduction d'un cadavre d'enfant. Le col était ensuite remis en place pour fermer ce cercueil en terre cuite.
351
Verreries paléochrétiennes. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
Ve siècle Verre
Fiole simple (A), lampe à suspension (B), fiole à décor anthropomorphe biface (C).
Verreries paléochrétiennes. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. Ve siècle Verre Fiole simple (A), lampe à suspension (B), fiole à décor anthropomorphe biface (C).
352
Verreries paléochrétiennes. Fiole a décor anthropomorphe biface (C).
Verreries paléochrétiennes. Fiole a décor anthropomorphe biface (C).
353
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Le sarcophage de la Traditio legis contenait la sépulture habillée et partiellement embaumée d'une jeune femme portant une croix d'or sur le front, objet attribué à l'orfèvrerie méditerranéenne du VIe siècle.
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Le sarcophage de la Traditio legis contenait la sépulture habillée et partiellement embaumée d'une jeune femme portant une croix d'or sur le front, objet attribué à l'orfèvrerie méditerranéenne du VIe siècle.
354
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Le sarcophage de la Traditio legis contenait la sépulture habillée et partiellement embaumée d'une jeune femme portant une croix d'or sur le front, objet attribué à l'orfèvrerie méditerranéenne du VIe siècle.
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Le sarcophage de la Traditio legis contenait la sépulture habillée et partiellement embaumée d'une jeune femme portant une croix d'or sur le front, objet attribué à l'orfèvrerie méditerranéenne du VIe siècle.
355
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Le sarcophage de la Traditio legis contenait la sépulture habillée et partiellement embaumée d'une jeune femme portant une croix d'or sur le front, objet attribué à l'orfèvrerie méditerranéenne du VIe siècle.
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Le sarcophage de la Traditio legis contenait la sépulture habillée et partiellement embaumée d'une jeune femme portant une croix d'or sur le front, objet attribué à l'orfèvrerie méditerranéenne du VIe siècle.
356
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Bijoux retrouvés dans des sépultures. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
VIe siècle. Or.
« Encolpium » en or, en forme de croix pattée, de type syro-palestinien ou byzantin (A). Ce bijou était posé sur le front de la jeune fille du tombeau de la Traditio legis.
Bague en or à décor de filigrane surmontée de deux sertissures comportant deux perles de collier bleu foncé (B). Cette bague était portée à la main gauche par le défunt du sarcophage V, un homme âgé de 40 à 60 ans.
Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Bijoux retrouvés dans des sépultures. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Or. « Encolpium » en or, en forme de croix pattée, de type syro-palestinien ou byzantin (A). Ce bijou était posé sur le front de la jeune fille du tombeau de la Traditio legis. Bague en or à décor de filigrane surmontée de deux sertissures comportant deux perles de collier bleu foncé (B). Cette bague était portée à la main gauche par le défunt du sarcophage V, un homme âgé de 40 à 60 ans.
357
Bijoux retrouvés dans des sépultures. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
VIe siècle. Or.
« Encolpium » en or, en forme de croix pattée, de type syro-palestinien ou byzantin (A). Ce bijou était posé sur le front de la jeune fille du tombeau de la Traditio legis.
Bijoux retrouvés dans des sépultures. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Or. « Encolpium » en or, en forme de croix pattée, de type syro-palestinien ou byzantin (A). Ce bijou était posé sur le front de la jeune fille du tombeau de la Traditio legis.
358
Bijoux retrouvés dans des sépultures. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970.
VIe siècle. Or.
Bague en or à décor de filigrane surmontée de deux sertissures comportant deux perles de collier bleu foncé (B). Cette bague était portée à la main gauche par le défunt du sarcophage V, un homme âgé de 40 à 60 ans.
Bijoux retrouvés dans des sépultures. Fouilles de l'Abbaye Saint-Victor, années 1970. VIe siècle. Or. Bague en or à décor de filigrane surmontée de deux sertissures comportant deux perles de collier bleu foncé (B). Cette bague était portée à la main gauche par le défunt du sarcophage V, un homme âgé de 40 à 60 ans.
359
Maquette de la nef huissière, dite de Saint-Louis, La Montjoie, 1270. Louis Damonte. Bois, toile. Reproduction hypothétique à l’échelle 1/40.
Son nom vient de la porte (huis) ouverte sur son flanc pour les chevaux. Vaisseau rond à voile triangulaire, dirigée par de longues rames fixées sur la poupe. Les passagers, 200 au maximum, étaient embarqués selon leur niveau social : cales, pont, entreponts où château.
Maquette de la nef huissière, dite de Saint-Louis, La Montjoie, 1270. Louis Damonte. Bois, toile. Reproduction hypothétique à l’échelle 1/40. Son nom vient de la porte (huis) ouverte sur son flanc pour les chevaux. Vaisseau rond à voile triangulaire, dirigée par de longues rames fixées sur la poupe. Les passagers, 200 au maximum, étaient embarqués selon leur niveau social : cales, pont, entreponts où château.
360
Stèle funéraire.
Ancienne cathédrale Notre-Dame-de-la-Major.
XIIe siècle. Marbre.
Stèle funéraire. Ancienne cathédrale Notre-Dame-de-la-Major. XIIe siècle. Marbre.
361
Mobilier de l'épave Plane III. Ile Plane, rade de Marseille. Xe siècle. Céramique.
Au VIIIe siècle, les Arabes font des razzias en Provence où ils s'installent .Matériel mis au jour dans cette épave sarrasine. Tinaja jarre (A) Col (B) et fond de jarre (C) Amphores (D) Jarre à bec trilobé (E) Vase à filtre (F), Fragment de vase à filtre (G) Lampes à huilé (H) Meules (I) filtre à sept trous (J) col de cruche (K).
Mobilier de l'épave Plane III. Ile Plane, rade de Marseille. Xe siècle. Céramique. Au VIIIe siècle, les Arabes font des razzias en Provence où ils s'installent .Matériel mis au jour dans cette épave sarrasine. Tinaja jarre (A) Col (B) et fond de jarre (C) Amphores (D) Jarre à bec trilobé (E) Vase à filtre (F), Fragment de vase à filtre (G) Lampes à huilé (H) Meules (I) filtre à sept trous (J) col de cruche (K).
362
Mobilier de l'épave de Plane III dite «sarrasine »
Rade de Marseille. Ile Plane,
Xe siècle. Céramique.
Au VIIIe siècle, les Arabes font des razzias en Provence où ils s'installent Matériel mise au jour dans cette épave sarrasine. Tinaja jarre (A), col (B) et fond de jarre (C), amphores (D), jarre à bec trilobé (E), vase à filtre (F), fragment de vase à filtre (G), lampes à huile (H), meul (I), filtre à sept trous (J), col de cruche (K).
Mobilier de l'épave de Plane III dite «sarrasine » Rade de Marseille. Ile Plane, Xe siècle. Céramique. Au VIIIe siècle, les Arabes font des razzias en Provence où ils s'installent Matériel mise au jour dans cette épave sarrasine. Tinaja jarre (A), col (B) et fond de jarre (C), amphores (D), jarre à bec trilobé (E), vase à filtre (F), fragment de vase à filtre (G), lampes à huile (H), meul (I), filtre à sept trous (J), col de cruche (K).
363
Mobilier de l'épave Plane III. Ile Plane, rade de Marseille. Xe siècle. Céramique.
Au VIIIe siècle, les Arabes font des razzias en Provence où ils s'installent .Matériel mis au jour dans cette épave sarrasine. Col (B) et fond de jarre (C) Amphores (D) col de cruche (K).
Mobilier de l'épave Plane III. Ile Plane, rade de Marseille. Xe siècle. Céramique. Au VIIIe siècle, les Arabes font des razzias en Provence où ils s'installent .Matériel mis au jour dans cette épave sarrasine. Col (B) et fond de jarre (C) Amphores (D) col de cruche (K).
364
Céramiques. A gauche. Importation du Maghreb. Fouilles de la rue de la Cathédrale, quartier Sainte-Barbe. XIIe – XIIIe siècle.
Jarre glaçurée à décor estampe de tradition islamique, elle appartient au répertoire des jarres dite de l’Alhambra (A). Coupe à décor bleu de cobalt et brun de manganèse (B) bord de récipient (C). coupe à décor de poisson, bleu de cobalt et manganèse (E), Bol décor de poisson, manganèse (E), coupe décor bleu de cobalt et manganèse (F), fragment de plat décor bleu de cobalt et manganèse (G).
A droite. Importation d'Italie
Place de la Cathédrale, place Jules-verne, place Général de Gaulle, rade de Marseille. XIIIe-XIVe siècles. 
Cruche à décor bleu et brun, production de majolique archaïque de la région florentine (A), Cruches à décor vert et brun, Pise (B), Cruche à bec en entonnoir à décor vert et brun-du Latium (C), Coupe creuse à décor de spirales et damier (D), Rebord de coupe creuse de Ligurie (E), Fond de coupe à motif d'oiseau et serpent (F), fond de coupe à décor d'oiseau vert et brun (G), Coupelle (H), Bol émaillé à décor bleu de chevrons e de fleurs (I), Salciera de Gela (J), Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
Céramiques. A gauche. Importation du Maghreb. Fouilles de la rue de la Cathédrale, quartier Sainte-Barbe. XIIe – XIIIe siècle. Jarre glaçurée à décor estampe de tradition islamique, elle appartient au répertoire des jarres dite de l’Alhambra (A). Coupe à décor bleu de cobalt et brun de manganèse (B) bord de récipient (C). coupe à décor de poisson, bleu de cobalt et manganèse (E), Bol décor de poisson, manganèse (E), coupe décor bleu de cobalt et manganèse (F), fragment de plat décor bleu de cobalt et manganèse (G). A droite. Importation d'Italie Place de la Cathédrale, place Jules-verne, place Général de Gaulle, rade de Marseille. XIIIe-XIVe siècles. Cruche à décor bleu et brun, production de majolique archaïque de la région florentine (A), Cruches à décor vert et brun, Pise (B), Cruche à bec en entonnoir à décor vert et brun-du Latium (C), Coupe creuse à décor de spirales et damier (D), Rebord de coupe creuse de Ligurie (E), Fond de coupe à motif d'oiseau et serpent (F), fond de coupe à décor d'oiseau vert et brun (G), Coupelle (H), Bol émaillé à décor bleu de chevrons e de fleurs (I), Salciera de Gela (J), Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
365
Céramiques. Importation du Maghreb. Fouilles de la rue de la Cathédrale, quartier Sainte-Barbe. XIIe – XIIIe siècle.
Jarre glaçurée à décor estampe de tradition islamique, elle appartient au répertoire des jarres dite de l’Alhambra (A). Coupe à décor bleu de cobalt et brun de manganèse (B) bord de récipient (C). Coupe à décor de poisson, bleu de cobalt et manganèse (E), Bol décor de poisson, manganèse (E), coupe décor bleu de cobalt et manganèse (F), fragment de plat décor bleu de cobalt et manganèse (G).
Céramiques. Importation du Maghreb. Fouilles de la rue de la Cathédrale, quartier Sainte-Barbe. XIIe – XIIIe siècle. Jarre glaçurée à décor estampe de tradition islamique, elle appartient au répertoire des jarres dite de l’Alhambra (A). Coupe à décor bleu de cobalt et brun de manganèse (B) bord de récipient (C). Coupe à décor de poisson, bleu de cobalt et manganèse (E), Bol décor de poisson, manganèse (E), coupe décor bleu de cobalt et manganèse (F), fragment de plat décor bleu de cobalt et manganèse (G).
366
Céramiques. Importation d'Italie
Place de la Cathédrale, place Jules-verne, place Général de Gaulle, rade de Marseille. XIIIe-XIVe siècles. 
Cruche à décor bleu et brun, production de majolique archaïque de la région florentine (A), Cruches à décor vert et brun, Pise (B), Cruche à bec en entonnoir à décor vert et brun-du Latium (C), Coupe creuse à décor de spirales et damier (D), Rebord de coupe creuse de Ligurie (E), Fond de coupe à motif d'oiseau et serpent (F), fond de coupe à décor d'oiseau vert et brun (G), Coupelle (H), Bol émaillé à décor bleu de chevrons e de fleurs (I), Salciera de Gela (J), Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
Céramiques. Importation d'Italie Place de la Cathédrale, place Jules-verne, place Général de Gaulle, rade de Marseille. XIIIe-XIVe siècles. Cruche à décor bleu et brun, production de majolique archaïque de la région florentine (A), Cruches à décor vert et brun, Pise (B), Cruche à bec en entonnoir à décor vert et brun-du Latium (C), Coupe creuse à décor de spirales et damier (D), Rebord de coupe creuse de Ligurie (E), Fond de coupe à motif d'oiseau et serpent (F), fond de coupe à décor d'oiseau vert et brun (G), Coupelle (H), Bol émaillé à décor bleu de chevrons e de fleurs (I), Salciera de Gela (J), Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
367
Cruche à bec en entonnoir à décor vert et brun-du Latium, Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
Cruche à bec en entonnoir à décor vert et brun-du Latium, Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
368
Coupelle (H), Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
Coupelle (H), Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
369
Céramique. Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
Céramique. Salciera de gela à décor vert et brun d’oiseau tenant dans son bec un ver (K).
370
Cruche à décor vert et brun, Pise.
Cruche à décor vert et brun, Pise.
371
Cruche à décor bleu et brun, production de majolique archaïque de la région florentine.
Cruche à décor bleu et brun, production de majolique archaïque de la région florentine.
372
373
La céramique de table. Coupe, coupelles et bols. Atelier sainte-barbe. XIIIe – XIVe siècle. Céramique.
La céramique de table. Coupe, coupelles et bols. Atelier sainte-barbe. XIIIe – XIVe siècle. Céramique.
374
La céramique de table. Atelier Sainte-Barbe XIIIe – XIVe siècle. Céramique.
Vases à corps globulaires et large ouverture, elles ont été trouvées en grande quantité. Les plus anciennes sont un biscuit (A), ou recouverte d’une glaçure monochrome (B). Les plus récentes sont ornées de tétons (C) ou de motifs géométriques verts et bruns.
La céramique de table. Atelier Sainte-Barbe XIIIe – XIVe siècle. Céramique. Vases à corps globulaires et large ouverture, elles ont été trouvées en grande quantité. Les plus anciennes sont un biscuit (A), ou recouverte d’une glaçure monochrome (B). Les plus récentes sont ornées de tétons (C) ou de motifs géométriques verts et bruns.
375
Vases à corps globulaires et large ouverture, elles ont été trouvées en grande quantité. Les plus récentes sont ornées de tétons (C) ou de motifs géométriques verts et bruns.
Vases à corps globulaires et large ouverture, elles ont été trouvées en grande quantité. Les plus récentes sont ornées de tétons (C) ou de motifs géométriques verts et bruns.
376
Vases à corps globulaires et large ouverture, elles ont été trouvées en grande quantité. Les plus anciennes sont  recouverte d’une glaçure monochrome (B).
Vases à corps globulaires et large ouverture, elles ont été trouvées en grande quantité. Les plus anciennes sont recouverte d’une glaçure monochrome (B).
377
Les vases à eaux: l’aiguière et l’aquamanile. Atelier Sainte-Barbe XIIIe – XIVe siècle. Céramique.
L’aiguière est un vase à panse globulaire surmonté d’un long col sans bec (A), s’ouvrant en collerette et fermé par un petit couvercle (B). Elle a un bec verseur sur la panse. L’aquamanile reconstitué (C), présente une panse globulaire, pourvue d’un bec verseur zoomorphe (D), et surmontée d’un col cylindrique fermé par un couvercle (E).
Les vases à eaux: l’aiguière et l’aquamanile. Atelier Sainte-Barbe XIIIe – XIVe siècle. Céramique. L’aiguière est un vase à panse globulaire surmonté d’un long col sans bec (A), s’ouvrant en collerette et fermé par un petit couvercle (B). Elle a un bec verseur sur la panse. L’aquamanile reconstitué (C), présente une panse globulaire, pourvue d’un bec verseur zoomorphe (D), et surmontée d’un col cylindrique fermé par un couvercle (E).
378
Becs verseurs zoomorphes.
Becs verseurs zoomorphes.
379
L’aiguière est un vase à panse globulaire surmontée d’un long col sans bec (A) s’ouvrant en collerette et fermé par un petit couvercle.
L’aiguière est un vase à panse globulaire surmontée d’un long col sans bec (A) s’ouvrant en collerette et fermé par un petit couvercle.
380
L'aquamanile reconstitué, présente une panse globulaire, pourvue d'un bec verseur zoomorphe, et surmontée d'un haut col cylindrique fermé par un couvercle.
L'aquamanile reconstitué, présente une panse globulaire, pourvue d'un bec verseur zoomorphe, et surmontée d'un haut col cylindrique fermé par un couvercle.
381
Vaisselle de table. Atelier Sainte-Barbe, Saint-Marcel, Jules-Verne XIIIe-XIVe siècles Céramique et bois
Une planche posée sur des tréteaux sert de table. Pichets (A), Cruches (B), Coupes (C), Coupelles (D), pour les sauces et épices (E), Bols (F) pour les mets liquides que l’on prend avec une cuillère. La viande est posée sur une tranche de pain et coupée au couteau. On n'utilise pas d'assiette.
Vaisselle de table. Atelier Sainte-Barbe, Saint-Marcel, Jules-Verne XIIIe-XIVe siècles Céramique et bois Une planche posée sur des tréteaux sert de table. Pichets (A), Cruches (B), Coupes (C), Coupelles (D), pour les sauces et épices (E), Bols (F) pour les mets liquides que l’on prend avec une cuillère. La viande est posée sur une tranche de pain et coupée au couteau. On n'utilise pas d'assiette.
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Vaisselle de table. Atelier Sainte-Barbe, Saint-Marcel, Jules-Verne XIIIe-XIVe siècles Céramique et bois
Une planche posée sur des tréteaux sert de table. Pichets (A), Cruches (B).
Vaisselle de table. Atelier Sainte-Barbe, Saint-Marcel, Jules-Verne XIIIe-XIVe siècles Céramique et bois Une planche posée sur des tréteaux sert de table. Pichets (A), Cruches (B).
383
Vaisselle de table. Cruche de gauche en pâte calcaire claire. Les décors sous glaçures sont faits au vert de cuivre et au brun de manganèse. Production du bourg des potiers. Bien conservée, elle a été trouvée en fouille à Saint Marcel.
Vaisselle de table. Cruche de gauche en pâte calcaire claire. Les décors sous glaçures sont faits au vert de cuivre et au brun de manganèse. Production du bourg des potiers. Bien conservée, elle a été trouvée en fouille à Saint Marcel.
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Vaisselle de table. Atelier Sainte-Barbe, Saint-Marcel, Jules-Verne XIIIe-XIVe siècles Céramique et bois
Coupelles (D), pour les sauces et épices (E), Bols (F) pour les mets liquides que l’on prend avec une cuillère. La viande est posée sur une tranche de pain et coupée au couteau. On n'utilise pas d'assiette.
Vaisselle de table. Atelier Sainte-Barbe, Saint-Marcel, Jules-Verne XIIIe-XIVe siècles Céramique et bois Coupelles (D), pour les sauces et épices (E), Bols (F) pour les mets liquides que l’on prend avec une cuillère. La viande est posée sur une tranche de pain et coupée au couteau. On n'utilise pas d'assiette.
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1. Stockage et transport.
Atelier Sainte Barbe. XIIIe-XIVe siècles.
Bouteilles-bonbonnes (A), grands vases à liquide piriformes dotés d'un goulot sans anse, ni bec, ni glaçure. Jarre à goulot (B) plus grosse que les précédentes, pourvue d'une ouverture entre les deux anses, d'un goulot, sans glaçure. Jarre-marmite (C) pâte rouge, glaçure interne, deux anses, stockage grain. Jarre à ailerons (D) réplique des jarres de l’Alhambra à l'état de biscuit, Cruche à anse (E) en panier, production tardive jamais sans glaçure, goulot verseur.
1. Stockage et transport. Atelier Sainte Barbe. XIIIe-XIVe siècles. Bouteilles-bonbonnes (A), grands vases à liquide piriformes dotés d'un goulot sans anse, ni bec, ni glaçure. Jarre à goulot (B) plus grosse que les précédentes, pourvue d'une ouverture entre les deux anses, d'un goulot, sans glaçure. Jarre-marmite (C) pâte rouge, glaçure interne, deux anses, stockage grain. Jarre à ailerons (D) réplique des jarres de l’Alhambra à l'état de biscuit, Cruche à anse (E) en panier, production tardive jamais sans glaçure, goulot verseur.
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2. Bassin à deux anses. 
Atelier Sainte-Barbe.
XIV siècle.
De forme tronconique, muni de deux anses, il se caractérise par un décor exceptionnel. Largement ouvert, sans couverte, il présente sur le pourtour douze médaillons à visage humain et sert peut-être à contenir des plantes comme le basilic.
2. Bassin à deux anses. Atelier Sainte-Barbe. XIV siècle. De forme tronconique, muni de deux anses, il se caractérise par un décor exceptionnel. Largement ouvert, sans couverte, il présente sur le pourtour douze médaillons à visage humain et sert peut-être à contenir des plantes comme le basilic.
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3. Bassins.
Atelier Sainte-Barbe XIVe siècle
Céramique.
Grands bassins larges, bas, sans glaçure ils sont attestés durant toute la période ; bord déversé, formes lourdes. Usages multiples, comme nos bassines en plastique.
8. Tirelires.
Atelier Sainte-Barbe XIIIe-XIVe siècles. Céramique.
Petits pots sphériques fermés et coupés par une fente sous le bouton sommital, sans glaçure, peu d'évolution des formes. Essentielles à l'économie des familles, elles sont produites en quantité durant toute la durée de l'activité du bourg.
9.  Luminaire
Atelier Sainte Barbe XIIIe-XIVe siècles Céramique
Peu nombreuses, les lampes sont de deux types : Lampe apode (A), coupelle à lèvre pincée pour recevoir la méché, avec ou sans anse. Elle remplace à partir de 1200 celle à long bec, Lampe sur pied (B) plus élaborée.
3. Bassins. Atelier Sainte-Barbe XIVe siècle Céramique. Grands bassins larges, bas, sans glaçure ils sont attestés durant toute la période ; bord déversé, formes lourdes. Usages multiples, comme nos bassines en plastique. 8. Tirelires. Atelier Sainte-Barbe XIIIe-XIVe siècles. Céramique. Petits pots sphériques fermés et coupés par une fente sous le bouton sommital, sans glaçure, peu d'évolution des formes. Essentielles à l'économie des familles, elles sont produites en quantité durant toute la durée de l'activité du bourg. 9. Luminaire Atelier Sainte Barbe XIIIe-XIVe siècles Céramique Peu nombreuses, les lampes sont de deux types : Lampe apode (A), coupelle à lèvre pincée pour recevoir la méché, avec ou sans anse. Elle remplace à partir de 1200 celle à long bec, Lampe sur pied (B) plus élaborée.
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4. Chopes-mesures. Atelier Sainte-Barbe. XIIIe-XIVe siècles.
Petits vases de différentes formes, taille standardisée et décroissante avec anse, avec ou sans bec. Mesures de capacité pour les liquides, les grains et les épices, certaines de ces chopes sont estampillées d'une crosse. Une autre série, sans marque ni taille standardisée, sert pour prélever ( ?)
9.  Luminaire
Atelier Sainte Barbe XIIIe-XIVe siècles Céramique
Peu nombreuses, les lampes sont de deux types : Lampe apode (A), coupelle à lèvre pincée pour recevoir la méché, avec ou sans anse. Elle remplace à partir de 1200 celle à long bec, Lampe sur pied (B) plus élaborée.
10. Albarello.  Atelier Sainte-Barbe XIIIe-XIVe siècles Céramique 
Pot à pharmacie, cylindrique, destiné à contenir les produits précieux des apothicaires, toujours avec glaçure et décoré de motifs. Peu répandu au Moyen Age, il connaît un grand développement à la Renaissance.
13. Petits pots. Atelier Sainte XIIIe-XIVe siècles.  Céramique.
Trois séries de petites dimensions sans revêtement. Bas et globulaires (A)  hypothèse d'utilisation : godets d'apothicaire. Godets cylindriques (B) à fond plat et large pour des produits précieux, Petits vases galbés (C) pour des parfums ou des substances rares.
4. Chopes-mesures. Atelier Sainte-Barbe. XIIIe-XIVe siècles. Petits vases de différentes formes, taille standardisée et décroissante avec anse, avec ou sans bec. Mesures de capacité pour les liquides, les grains et les épices, certaines de ces chopes sont estampillées d'une crosse. Une autre série, sans marque ni taille standardisée, sert pour prélever ( ?) 9. Luminaire Atelier Sainte Barbe XIIIe-XIVe siècles Céramique Peu nombreuses, les lampes sont de deux types : Lampe apode (A), coupelle à lèvre pincée pour recevoir la méché, avec ou sans anse. Elle remplace à partir de 1200 celle à long bec, Lampe sur pied (B) plus élaborée. 10. Albarello. Atelier Sainte-Barbe XIIIe-XIVe siècles Céramique Pot à pharmacie, cylindrique, destiné à contenir les produits précieux des apothicaires, toujours avec glaçure et décoré de motifs. Peu répandu au Moyen Age, il connaît un grand développement à la Renaissance. 13. Petits pots. Atelier Sainte XIIIe-XIVe siècles. Céramique. Trois séries de petites dimensions sans revêtement. Bas et globulaires (A) hypothèse d'utilisation : godets d'apothicaire. Godets cylindriques (B) à fond plat et large pour des produits précieux, Petits vases galbés (C) pour des parfums ou des substances rares.
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5. Passoire-filtre.
Atelier Sainte-Barbe. XIIIe-XIVe siècles. Céramique.
Vase pour filtrer ou égoutter. Sans glaçure. Forme incomplète, ce qu'il en reste fait penser à un vase à panse globulaire : arrosoir ou un couscoussier ?
6. Écuelle basse. Atelier Sainte-Barbe. XIVe siècle. Céramique. Elle appartient à la dernière période de production de l'atelier. Petite, basse, sans glaçure, ses usages sont multiples, aussi bien pour les hommes que les animaux.
9.  Luminaire.
Lampe sur pied (B) plus élaborée.
10. Albarello.  Atelier Sainte-Barbe XIIIe-XIVe siècles Céramique 
Pot à pharmacie, cylindrique, destiné à contenir les produits précieux des apothicaires, toujours avec glaçure et décoré de motifs. Peu répandu au Moyen Age, il connaît un grand développement à la Renaissance.
5. Passoire-filtre. Atelier Sainte-Barbe. XIIIe-XIVe siècles. Céramique. Vase pour filtrer ou égoutter. Sans glaçure. Forme incomplète, ce qu'il en reste fait penser à un vase à panse globulaire : arrosoir ou un couscoussier ? 6. Écuelle basse. Atelier Sainte-Barbe. XIVe siècle. Céramique. Elle appartient à la dernière période de production de l'atelier. Petite, basse, sans glaçure, ses usages sont multiples, aussi bien pour les hommes que les animaux. 9. Luminaire. Lampe sur pied (B) plus élaborée. 10. Albarello. Atelier Sainte-Barbe XIIIe-XIVe siècles Céramique Pot à pharmacie, cylindrique, destiné à contenir les produits précieux des apothicaires, toujours avec glaçure et décoré de motifs. Peu répandu au Moyen Age, il connaît un grand développement à la Renaissance.
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5. Passoire-filtre.
Atelier Sainte-Barbe. XIIIe-XIVe siècles. Céramique.
Vase pour filtrer ou égoutter. Sans glaçure. Forme incomplète, ce qu'il en reste fait penser à un vase à panse globulaire : arrosoir ou un couscoussier ?7. Perles. Atelier Sainte-Barbe XIIIe-XIVe siècles. Treize petits disques de terre sont interprétés comme des perles, des fusaïoles ou des billes. Ces objets sont fréquents au Moyen Âge, ils sont en terre cuite ou en pierre ; ici deux portent des traces de glaçure.
13. Petits pots. Atelier Sainte XIIIe-XIVe siècles.  Céramique.
Trois séries de petites dimensions sans revêtement. Bas et globulaires (A)  hypothèse d'utilisation : godets d'apothicaire. Godets cylindriques (B) à fond plat et large pour des produits précieux, Petits vases galbés (C) pour des parfums ou des substances rares.
5. Passoire-filtre. Atelier Sainte-Barbe. XIIIe-XIVe siècles. Céramique. Vase pour filtrer ou égoutter. Sans glaçure. Forme incomplète, ce qu'il en reste fait penser à un vase à panse globulaire : arrosoir ou un couscoussier ?7. Perles. Atelier Sainte-Barbe XIIIe-XIVe siècles. Treize petits disques de terre sont interprétés comme des perles, des fusaïoles ou des billes. Ces objets sont fréquents au Moyen Âge, ils sont en terre cuite ou en pierre ; ici deux portent des traces de glaçure. 13. Petits pots. Atelier Sainte XIIIe-XIVe siècles. Céramique. Trois séries de petites dimensions sans revêtement. Bas et globulaires (A) hypothèse d'utilisation : godets d'apothicaire. Godets cylindriques (B) à fond plat et large pour des produits précieux, Petits vases galbés (C) pour des parfums ou des substances rares.
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2. Carreaux de pavement à motif unique
Atelier Sainte-Barbe XIIIe siècle Céramique
Ce sont les plus anciens. Un motif unique, fait de quatre lobes entre lesquels se trouve un fleuron, est dessiné à l'oxyde de manganèse, coloré à l'oxyde de cuivre. En argile calcaire, ils sont fabriqués au moule, 12 cm de côté par 1,1 à 1,3 cm d'épaisseur.
3. Zellige
Place Général-de-Gaulle XIVe siècle Céramique
Carreau en pâte claire, découpé en forme d'étoile à huit branches, décoré en brun. Ce type de carreau entre dans les compositions décoratives des murs et des sols. Par son décor et sa pâte, on peut l'attribuer aux ateliers Sainte-Barbe.
4. Carreaux de pavement monochromes et historiés
Atelier Sainte Barbe
XIVe siècle Céramique
Seconde série, ils sont plus grands: 15cm de côté par 1,7 cm d'épaisseur. Certains sont historiés de vert et brun parfois jaune, d'autres qui leur sont associés sont monochromes blanc ou brun. Ils sont fabriqués au moule, en argile calcaire.
2. Carreaux de pavement à motif unique Atelier Sainte-Barbe XIIIe siècle Céramique Ce sont les plus anciens. Un motif unique, fait de quatre lobes entre lesquels se trouve un fleuron, est dessiné à l'oxyde de manganèse, coloré à l'oxyde de cuivre. En argile calcaire, ils sont fabriqués au moule, 12 cm de côté par 1,1 à 1,3 cm d'épaisseur. 3. Zellige Place Général-de-Gaulle XIVe siècle Céramique Carreau en pâte claire, découpé en forme d'étoile à huit branches, décoré en brun. Ce type de carreau entre dans les compositions décoratives des murs et des sols. Par son décor et sa pâte, on peut l'attribuer aux ateliers Sainte-Barbe. 4. Carreaux de pavement monochromes et historiés Atelier Sainte Barbe XIVe siècle Céramique Seconde série, ils sont plus grands: 15cm de côté par 1,7 cm d'épaisseur. Certains sont historiés de vert et brun parfois jaune, d'autres qui leur sont associés sont monochromes blanc ou brun. Ils sont fabriqués au moule, en argile calcaire.
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Carreau de pavement à décor, vert et brun, d'aigle. Atelier Sainte-Barbe. XIVe siècle. Céramique
Sur les carreaux historiés, le motif est au centre, cerné par deux bandes. Chaque motif se rattache aux quatre grands thèmes du répertoire des carrelages : bestiaire, motifs héraldiques, personnages, motifs végétaux et géométriques. L'aigle est un thème héraldique universel. Quatre carreaux présentant ce décor ont été trouvés sur ce site. Les aigles sont toujours représentées à destre (tête à droite). Les ailes aux longues pennes sont déployées symétriquement, les pattes sont ancrées de part
Carreau de pavement à décor, vert et brun, d'aigle. Atelier Sainte-Barbe. XIVe siècle. Céramique Sur les carreaux historiés, le motif est au centre, cerné par deux bandes. Chaque motif se rattache aux quatre grands thèmes du répertoire des carrelages : bestiaire, motifs héraldiques, personnages, motifs végétaux et géométriques. L'aigle est un thème héraldique universel. Quatre carreaux présentant ce décor ont été trouvés sur ce site. Les aigles sont toujours représentées à destre (tête à droite). Les ailes aux longues pennes sont déployées symétriquement, les pattes sont ancrées de part
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Maquette du bourg des potiers du XIIIe siècle.
Pierre Vallauri. 1995. Résine.
Mentionné dès 1264, le bourg des Olliers est situé au nord de la ville. De part et d'autre d'une voie, les bâtiments abritent des ateliers structurés en espaces ouverts pour le stockage, le séchage et le puits, et en espaces couverts pour le façonnage, la cuisson avec onze fours dont trois à oxyde.
Maquette du bourg des potiers du XIIIe siècle. Pierre Vallauri. 1995. Résine. Mentionné dès 1264, le bourg des Olliers est situé au nord de la ville. De part et d'autre d'une voie, les bâtiments abritent des ateliers structurés en espaces ouverts pour le stockage, le séchage et le puits, et en espaces couverts pour le façonnage, la cuisson avec onze fours dont trois à oxyde.
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Maquette du bourg des potiers du XIIIe siècle.
Pierre Vallauri. 1995. Résine.
Mentionné dès 1264, le bourg des Olliers est situé au nord de la ville. De part et d'autre d'une voie, les bâtiments abritent des ateliers structurés en espaces ouverts pour le stockage, le séchage et le puits, et en espaces couverts pour le façonnage, la cuisson avec onze fours dont trois à oxyde.
Maquette du bourg des potiers du XIIIe siècle. Pierre Vallauri. 1995. Résine. Mentionné dès 1264, le bourg des Olliers est situé au nord de la ville. De part et d'autre d'une voie, les bâtiments abritent des ateliers structurés en espaces ouverts pour le stockage, le séchage et le puits, et en espaces couverts pour le façonnage, la cuisson avec onze fours dont trois à oxyde.
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Four à barres.
Pierre Vallauri l995.
Résine, échelle 1/10. Atelier Sainte-Barbe.
La chambre de cuisson est munie de sept rangées de barres-étagères sur lesquelles on pose des pièces émaillées, séparées par des pernettes, éléments tripodes qui empêchent les pièces de se coller. Le chargement s'effectue depuis le fond pour les poteries les plus grossières, par le haut pour les plus fines.
Four à barres. Pierre Vallauri l995. Résine, échelle 1/10. Atelier Sainte-Barbe. La chambre de cuisson est munie de sept rangées de barres-étagères sur lesquelles on pose des pièces émaillées, séparées par des pernettes, éléments tripodes qui empêchent les pièces de se coller. Le chargement s'effectue depuis le fond pour les poteries les plus grossières, par le haut pour les plus fines.
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Four 12 à barres.
Atelier Mérindol 1993.
Plâtre et structure métallique.
Atelier Sainte-Barbe.
Four à tirage vertical sans sole fixe à paroi percée de trous pour recevoir des barres de terre cuite. Deux  rangées ont été retrouvées en place. Ce four, dont la technique est d'origine islamique, est le seul de ce type connu à ce jour en France. Grâce aux fours semblables découverts en Espagne, on peut en faire une restitution.
Four 12 à barres. Atelier Mérindol 1993. Plâtre et structure métallique. Atelier Sainte-Barbe. Four à tirage vertical sans sole fixe à paroi percée de trous pour recevoir des barres de terre cuite. Deux rangées ont été retrouvées en place. Ce four, dont la technique est d'origine islamique, est le seul de ce type connu à ce jour en France. Grâce aux fours semblables découverts en Espagne, on peut en faire une restitution.
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Moulage du four 93 à sole en briques.
Atelier Mérindol 1993.
Plâtre et structure métallique.
Atelier Sainte-Barbe.
Un des derniers fours implantés dans l'atelier. Cylindrique, à tirage vertical et à demi enterré, il est réalisé en brique crue, englobé dans une construction en pierre. La sole repose sur un pilier central servant d'appui à des arcs rayonnants. Il a produit des carreaux de pavement.
Moulage du four 93 à sole en briques. Atelier Mérindol 1993. Plâtre et structure métallique. Atelier Sainte-Barbe. Un des derniers fours implantés dans l'atelier. Cylindrique, à tirage vertical et à demi enterré, il est réalisé en brique crue, englobé dans une construction en pierre. La sole repose sur un pilier central servant d'appui à des arcs rayonnants. Il a produit des carreaux de pavement.
398
Enseigne d'un établissement de bains ou étuve. Rue des Grands-Carmes XIIIe siècle Calcaire rose de La Couronne. Sculpture en ronde bosse représentant deux personnages émergeant à mi-corps d'une petite cuve. Le traitement des visages et des coiffures donne la datation. Dans les villes au Moyen Age, ces établissements, nombreux, étaient des lieux de tolérance sur le plan de la morale sexuelle.
Enseigne d'un établissement de bains ou étuve. Rue des Grands-Carmes XIIIe siècle Calcaire rose de La Couronne. Sculpture en ronde bosse représentant deux personnages émergeant à mi-corps d'une petite cuve. Le traitement des visages et des coiffures donne la datation. Dans les villes au Moyen Age, ces établissements, nombreux, étaient des lieux de tolérance sur le plan de la morale sexuelle.
399
Statue féminine. Fin XIIIe- début XIVe siècle Pierre. Cette «vierge gothique», d'origine inconnue, provient peut-être d'une église de Marseille. Debout, légèrement déhanchée, elle est vêtue d'un long et large surcot serré à la taille par une ceinture et dotée en partie haute d'un fermail. Sur sa chevelure longue séparée en deux est posée une couronne.
Statue féminine. Fin XIIIe- début XIVe siècle Pierre. Cette «vierge gothique», d'origine inconnue, provient peut-être d'une église de Marseille. Debout, légèrement déhanchée, elle est vêtue d'un long et large surcot serré à la taille par une ceinture et dotée en partie haute d'un fermail. Sur sa chevelure longue séparée en deux est posée une couronne.
400
Maquette de Marseille au Moyen Age. Marc Bouiron, Thierry Pécout, société Acte II 2010. Carton, résine, bois. Echelle 1/1000.
Représentation de Marseille au milieu du XIVe siècle, avant 1357, date à laquelle les faubourgs sont rasés dans le contexte de la guerre de Cent Ans. Cependant l'abbaye Saint-Victor est représentée dans son état de la fin du siècle.
Maquette de Marseille au Moyen Age. Marc Bouiron, Thierry Pécout, société Acte II 2010. Carton, résine, bois. Echelle 1/1000. Représentation de Marseille au milieu du XIVe siècle, avant 1357, date à laquelle les faubourgs sont rasés dans le contexte de la guerre de Cent Ans. Cependant l'abbaye Saint-Victor est représentée dans son état de la fin du siècle.
401
Portrait du roi René. Anonyme Inconnue Huile sur bois. L'image de René d'Anjou (1409-1480) dernier souverain de la Provence indépendante nous est| bien connue par les portraits réalisés de son vivant, souvent repris du XVIe au XIXe siècle. Comme dans le retable du Buisson ardent, il porte un bonnet et une houppelande à grand revers d'hermine mouchetée.
Portrait du roi René. Anonyme Inconnue Huile sur bois. L'image de René d'Anjou (1409-1480) dernier souverain de la Provence indépendante nous est| bien connue par les portraits réalisés de son vivant, souvent repris du XVIe au XIXe siècle. Comme dans le retable du Buisson ardent, il porte un bonnet et une houppelande à grand revers d'hermine mouchetée.
402
403
404
Pierre de fondation de l'église des Accoules. Deux colonnes à décor de feuillages.  Anonyme XIIIe siècle Marbre blanc. Inscription provenant d'un des piliers de l'ancienne église Notre-Dame-des-Accoules. Elle rend hommage, en vers, à la restauration de l'église en 1205 par les citoyens de Marseille et les dons d'Hermeline de Baux, abbesse du monastère Saint-Sauveur.
Deux colonnes à décor de feuillages. XVIe- XVIIe siècles Calcaire.
Pierre de fondation de l'église des Accoules. Deux colonnes à décor de feuillages. Anonyme XIIIe siècle Marbre blanc. Inscription provenant d'un des piliers de l'ancienne église Notre-Dame-des-Accoules. Elle rend hommage, en vers, à la restauration de l'église en 1205 par les citoyens de Marseille et les dons d'Hermeline de Baux, abbesse du monastère Saint-Sauveur. Deux colonnes à décor de feuillages. XVIe- XVIIe siècles Calcaire.
405
Pierre de fondation de l'église des Accoules. Anonyme XIIIe siècle Marbre blanc. Inscription provenant d'un des piliers de l'ancienne église Notre-Dame-des-Accoules. Elle rend hommage, en vers, à la restauration de l'église en 1205 par les citoyens de Marseille et les dons d'Hermeline de Baux, abbesse du monastère Saint-Sauveur.
Pierre de fondation de l'église des Accoules. Anonyme XIIIe siècle Marbre blanc. Inscription provenant d'un des piliers de l'ancienne église Notre-Dame-des-Accoules. Elle rend hommage, en vers, à la restauration de l'église en 1205 par les citoyens de Marseille et les dons d'Hermeline de Baux, abbesse du monastère Saint-Sauveur.
406
Deux colonnes à décor de feuillages. XVIe- XVIIe siècles Calcaire.
Deux colonnes à décor de feuillages. XVIe- XVIIe siècles Calcaire.
407
Maquette de la Vieille Major. Hippolyte Augier Seconde moitié du XIXe siècle Bois, liège. La cathédrale de la Vieille Major, trésor de l'art roman, fut en partie détruite pour laisser place à la nouvelle cathédrale. On peut voir son portail renaissance.
Maquette de la Vieille Major. Hippolyte Augier Seconde moitié du XIXe siècle Bois, liège. La cathédrale de la Vieille Major, trésor de l'art roman, fut en partie détruite pour laisser place à la nouvelle cathédrale. On peut voir son portail renaissance.
408
Chapiteaux. Anonyme. Rue Colbert, hôtel-Dieu XIIIe siècle Calcaire et marbre. Ensemble de neuf petits chapiteaux à crochets. Ils ont été découverts en deux temps et en deux lieux, au XIXe siècle rue Colbert, en 1947 sur les pentes de l'hôtel-Dieu, près de la Grand-Rue.
Chapiteaux. Anonyme. Rue Colbert, hôtel-Dieu XIIIe siècle Calcaire et marbre. Ensemble de neuf petits chapiteaux à crochets. Ils ont été découverts en deux temps et en deux lieux, au XIXe siècle rue Colbert, en 1947 sur les pentes de l'hôtel-Dieu, près de la Grand-Rue.
409
Objets liturgiques. XIVe-XVe siècles Émaux et métal. Coffret, custode, croix, calice, baiser de paix.
Objets liturgiques. XIVe-XVe siècles Émaux et métal. Coffret, custode, croix, calice, baiser de paix.
410
Objets liturgiques. XIVe-XVe siècles Émaux et métal. Coffret, custode, croix, calice, baiser de paix.
Objets liturgiques. XIVe-XVe siècles Émaux et métal. Coffret, custode, croix, calice, baiser de paix.
411
Objets liturgiques. XIVe-XVe siècles Émaux et métal. Coffret, custode, croix, calice.
Objets liturgiques. XIVe-XVe siècles Émaux et métal. Coffret, custode, croix, calice.
412
Objets liturgiques. XIVe-XVe siècles Émaux et métal. Coffret, calice
Objets liturgiques. XIVe-XVe siècles Émaux et métal. Coffret, calice
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Pietà entre Saint François (à gauche) et Saint Jérôme (à droite), 1515. Auteur Etienne Peson (1480/90-1551) Panneau peint sur bois. Rare témoignage conservé de l'œuvre abondante d'Etienne Peson. Le prix-fait, du 16 mars 1515, nous dit que c'est la commande d'un calfat pour le couvent des Cordeliers de Saint-Jérôme, il en donne le sujet. Une Pietà au centre et les saints Jérôme et François de part et d'autre. Saint Jean et Marie Jacobé. La Vierge Marie et Marie Cléophée. Marie Madeleine. De part et d'autre, Joseph d'Arimathie et Nicomède.
Pietà entre Saint François (à gauche) et Saint Jérôme (à droite), 1515. Auteur Etienne Peson (1480/90-1551) Panneau peint sur bois. Rare témoignage conservé de l'œuvre abondante d'Etienne Peson. Le prix-fait, du 16 mars 1515, nous dit que c'est la commande d'un calfat pour le couvent des Cordeliers de Saint-Jérôme, il en donne le sujet. Une Pietà au centre et les saints Jérôme et François de part et d'autre. Saint Jean et Marie Jacobé. La Vierge Marie et Marie Cléophée. Marie Madeleine. De part et d'autre, Joseph d'Arimathie et Nicomède.
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Saint Louis d'Anjou (Brignoles, 1274-1297). Vicente Carducci XVIe-XVIIe siècles Peinture sur bois. «Saint Louis évêque de Marseille renonça à trois couronnes et ressuscita douze morts. » Patron des otages et des prisonniers, le fils de Charles II d'Anjou, comte de Provence, mène très jeune une vie de dévotion. Otage pendant sept ans du roi d'Aragon, il entre, à sa libération, chez les Franciscains et est fait évêque de Toulouse.
Saint Louis d'Anjou (Brignoles, 1274-1297). Vicente Carducci XVIe-XVIIe siècles Peinture sur bois. «Saint Louis évêque de Marseille renonça à trois couronnes et ressuscita douze morts. » Patron des otages et des prisonniers, le fils de Charles II d'Anjou, comte de Provence, mène très jeune une vie de dévotion. Otage pendant sept ans du roi d'Aragon, il entre, à sa libération, chez les Franciscains et est fait évêque de Toulouse.
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Statue polychrome de saint Jean l’évangéliste. Anonyme XIIe siècle Marbre polychrome. Elle provient d'une église de Marseille. Sur le livre, on peut lire les premiers mots du quatrième Évangile: «Au commencement était le verbe », ce qui laisse penser à une représentation de saint Jean l'évangéliste. Dans les orifices de la chasuble devaient se trouver des ornements.
Statue polychrome de saint Jean l’évangéliste. Anonyme XIIe siècle Marbre polychrome. Elle provient d'une église de Marseille. Sur le livre, on peut lire les premiers mots du quatrième Évangile: «Au commencement était le verbe », ce qui laisse penser à une représentation de saint Jean l'évangéliste. Dans les orifices de la chasuble devaient se trouver des ornements.
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Place de l'église Saint-Martin. Jules-Géraud Saliège XIXe siècle Peinture sur toile. L'entrée principale de l'église donnait sur la place du Mont-de-Piété. Sa démolition est liée au deuxième grand projet d'urbanisme de la fin du XIXe siècle , le percement de l’axe est-ouest, de la rue Impériale (1862-1864) à la place des Capucines. Cette magnifique église fut rasée en 1887.
Place de l'église Saint-Martin. Jules-Géraud Saliège XIXe siècle Peinture sur toile. L'entrée principale de l'église donnait sur la place du Mont-de-Piété. Sa démolition est liée au deuxième grand projet d'urbanisme de la fin du XIXe siècle , le percement de l’axe est-ouest, de la rue Impériale (1862-1864) à la place des Capucines. Cette magnifique église fut rasée en 1887.
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XVIIIe siècle Pierre. Autel miniature faisant penser au chef-d'œuvre que l'apprenti réalise pour accéder à la maîtrise.
L'église Saint-Martin est une des plus anciennes églises de la ville, mentionnée dans les textes dès le XIe siècle. Elle est reconstruite au XIIe siècle, puis au début du XVIe siècle en style gothique, grâce à la générosité d'un paroissien, Barthélémy Reynaud, pour accompagner l'augmentation de la population de la paroisse. C'est une église à trois nefs de 1300m², pouvant accueillir 2200fidèles. On vante le style harmonieux de sa façade à la superbe rosace, la magnificence et l'originalité des chapiteaux tous différents, décorés des figures des vices et des vertus, de blasons, d'animaux et de végétaux terrestres et marins.
Au XVIIe siècle, paroisse la plus riche et la plus importante de Marseille, elle porte provisoirement le titre de cathédrale, qu'elle perd plus tard au XIXe siècle au profit de la Major. Son chœur est achevé, elle est agrandie par l'ajout de deux nefs au nord.
Malgré cette riche histoire, l'opposition de la population, du clergé, les articles des érudits, elle est détruite en 1884 lors du percement de la rue Colbert
C'est avec l'église des Accoules démolie par la tourmente révolutionnaire, l'une des rares églises gothiques de Marseille. Une partie de ce qui a été sauvé est présentée ici en deux espaces distincts, l'un concernant le Moyen Âge, l'autre, la période moderne.
XVIIIe siècle Pierre. Autel miniature faisant penser au chef-d'œuvre que l'apprenti réalise pour accéder à la maîtrise. L'église Saint-Martin est une des plus anciennes églises de la ville, mentionnée dans les textes dès le XIe siècle. Elle est reconstruite au XIIe siècle, puis au début du XVIe siècle en style gothique, grâce à la générosité d'un paroissien, Barthélémy Reynaud, pour accompagner l'augmentation de la population de la paroisse. C'est une église à trois nefs de 1300m², pouvant accueillir 2200fidèles. On vante le style harmonieux de sa façade à la superbe rosace, la magnificence et l'originalité des chapiteaux tous différents, décorés des figures des vices et des vertus, de blasons, d'animaux et de végétaux terrestres et marins. Au XVIIe siècle, paroisse la plus riche et la plus importante de Marseille, elle porte provisoirement le titre de cathédrale, qu'elle perd plus tard au XIXe siècle au profit de la Major. Son chœur est achevé, elle est agrandie par l'ajout de deux nefs au nord. Malgré cette riche histoire, l'opposition de la population, du clergé, les articles des érudits, elle est détruite en 1884 lors du percement de la rue Colbert C'est avec l'église des Accoules démolie par la tourmente révolutionnaire, l'une des rares églises gothiques de Marseille. Une partie de ce qui a été sauvé est présentée ici en deux espaces distincts, l'un concernant le Moyen Âge, l'autre, la période moderne.
418
Statue de Notre-Dame-du-Bon-Voyage. XVIIe siècle Pierre. Statue vénérée par les marins, elle se dressait à proximité de l'église Saint-Martin, dans une chapelle. Lors de la destruction de cette dernière, elle a été transférée dans l'église.
Statue de Notre-Dame-du-Bon-Voyage. XVIIe siècle Pierre. Statue vénérée par les marins, elle se dressait à proximité de l'église Saint-Martin, dans une chapelle. Lors de la destruction de cette dernière, elle a été transférée dans l'église.
419
Statue de Barthélémy Reynaud et une console. Anonyme Marseille Début XVIe siècle Pierre polychrome
Cette statue, qui se trouvait en entrant à gauche dans l'église, est celle du personnage qui, grâce à ses dons, a permis la reconstruction de l'église au début du XVIe siècle. Son visage a disparu. Elle repose sur un socle où une date a été gravée postérieurement.
Statue de Barthélémy Reynaud et une console. Anonyme Marseille Début XVIe siècle Pierre polychrome Cette statue, qui se trouvait en entrant à gauche dans l'église, est celle du personnage qui, grâce à ses dons, a permis la reconstruction de l'église au début du XVIe siècle. Son visage a disparu. Elle repose sur un socle où une date a été gravée postérieurement.
420
Gargouille. XVIIIe siècle Calcaire
Elément servant à l'écoulement des eaux des toitures, que l'on trouve dans beaucoup d'églises médiévales, figurant des monstres bouche ouverte. On peut en voir en place sur la maquette de l'église.
Gargouille. XVIIIe siècle Calcaire Elément servant à l'écoulement des eaux des toitures, que l'on trouve dans beaucoup d'églises médiévales, figurant des monstres bouche ouverte. On peut en voir en place sur la maquette de l'église.
421
Pierre tombale de monseigneur Gault. XVIIIe siècle. Pierre. 
L'église Saint-Martin a reçu les sépultures de nombreux personnages insignes de Marseille, dont monseigneur Gault. Il n'a été évêque que durant quelques mois, mais il a fait l'objet d'une véritable vénération populaire. De nombreux miracles lui ont été attribués.
Pierre tombale de monseigneur Gault. XVIIIe siècle. Pierre. L'église Saint-Martin a reçu les sépultures de nombreux personnages insignes de Marseille, dont monseigneur Gault. Il n'a été évêque que durant quelques mois, mais il a fait l'objet d'une véritable vénération populaire. De nombreux miracles lui ont été attribués.
422
Maquette de l'église Saint-Martin,
XVIe siècle.
Hippolyte Auqie.r Seconde moitié du XIXe siècle. Bois, liège.
Cette maquette suggère l'organisation intérieure de cette église de style gothique flamboyant: trois nefs séparées en six travées, sans transept, à chevet plat. Ceinte de contreforts massifs, portant des gargouilles. On y entre par une porte à baies géminées, surmontée de la rose centrale.
Maquette de l'église Saint-Martin, XVIe siècle. Hippolyte Auqie.r Seconde moitié du XIXe siècle. Bois, liège. Cette maquette suggère l'organisation intérieure de cette église de style gothique flamboyant: trois nefs séparées en six travées, sans transept, à chevet plat. Ceinte de contreforts massifs, portant des gargouilles. On y entre par une porte à baies géminées, surmontée de la rose centrale.
423
Mobilier de l'église st Martin. Groupe de quatre anges en mandorle. XVIIe siècle Marbre. 
Deux têtes d'anges. XVIIe siècle. Marbre. 
Deux têtes de chérubins. XVII siècle. Marbre. 
Groupe de trois anges. XVI siècle Marbre. 
Partie supérieure d'une gloire: groupe de deux anges. XVII siècle. Marbre.
Mobilier de l'église st Martin. Groupe de quatre anges en mandorle. XVIIe siècle Marbre. Deux têtes d'anges. XVIIe siècle. Marbre. Deux têtes de chérubins. XVII siècle. Marbre. Groupe de trois anges. XVI siècle Marbre. Partie supérieure d'une gloire: groupe de deux anges. XVII siècle. Marbre.
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Mobilier de l'église st Martin. Partie supérieure d'une gloire : groupe de deux anges. XVII siècle Marbre.
Mobilier de l'église st Martin. Partie supérieure d'une gloire : groupe de deux anges. XVII siècle Marbre.
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Mobilier de l'église st Martin. Deux têtes d'anges. XVIIe siècle. Marbre.
Mobilier de l'église st Martin. Deux têtes d'anges. XVIIe siècle. Marbre.
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Mobilier de l'église st Martin. Deux têtes de chérubins. XVII siècle. Marbre.
Mobilier de l'église st Martin. Deux têtes de chérubins. XVII siècle. Marbre.
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Mobilier de l'église st Martin. Groupe de quatre anges en mandorle. XVIIe siècle. Marbre.
Mobilier de l'église st Martin. Groupe de quatre anges en mandorle. XVIIe siècle. Marbre.
428
Mobilier de l'église st Martin. Groupe de trois anges. XVI siècle. Marbre.
Mobilier de l'église st Martin. Groupe de trois anges. XVI siècle. Marbre.
429
Mobilier de l'église st Martin. Gloire en bois doré, avec le calice en forme de soleil qui apparaît sur un fond de nuées. Anonyme XVIIe siècle.
Anges en bois doré.
Mobilier de l'église st Martin. Gloire en bois doré, avec le calice en forme de soleil qui apparaît sur un fond de nuées. Anonyme XVIIe siècle. Anges en bois doré.
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Mobilier de l'église st Martin. 
Ange en bois doré.
Mobilier de l'église st Martin. Ange en bois doré.
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Mobilier de l'église st Martin. 
Ange en bois doré.
Mobilier de l'église st Martin. Ange en bois doré.
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Mobilier de l'église st Martin. Gloire en bois doré, avec le calice en forme de soleil qui apparaît sur un fond de nuées. Anonyme XVIIe siècle.
Mobilier de l'église st Martin. Gloire en bois doré, avec le calice en forme de soleil qui apparaît sur un fond de nuées. Anonyme XVIIe siècle.
433
Mobilier de l'église st Martin. Anges en bois situés au-dessus de l'orgue.
Mobilier de l'église st Martin. Anges en bois situés au-dessus de l'orgue.
434
Mobilier de l'église st Martin. Anges en bois situés au-dessus de l'orgue.
Mobilier de l'église st Martin. Anges en bois situés au-dessus de l'orgue.
435
Mobilier de l'église st Martin. Anges en bois situés au-dessus de l'orgue.
Mobilier de l'église st Martin. Anges en bois situés au-dessus de l'orgue.
436
Mobilier de l'église st Martin. Anges en bois situés au-dessus de l'orgue.
Mobilier de l'église st Martin. Anges en bois situés au-dessus de l'orgue.
437
Mandorle ou gloire. Duparc XVIIIe siècle Marbre. Située au-dessus de l'autel principal, son centre recevait le tabernacle. Un des chefs-d'œuvre de cet édifice, caractéristique de l'esprit du baroque qui joue avec le mouvement, auquel les nuées se prêtent particulièrement, et les jeux d'ombre et de lumière.
Mandorle ou gloire. Duparc XVIIIe siècle Marbre. Située au-dessus de l'autel principal, son centre recevait le tabernacle. Un des chefs-d'œuvre de cet édifice, caractéristique de l'esprit du baroque qui joue avec le mouvement, auquel les nuées se prêtent particulièrement, et les jeux d'ombre et de lumière.
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Bénitier et sa base Marbre.
Cette vasque flanquée de têtes est la cuve d'un bénitier qui est supporté par la colonne décorée de têtes d'angelot et de draperies. Dans l’église, les deux bénitiers se faisaient face.
Bénitier et sa base Marbre. Cette vasque flanquée de têtes est la cuve d'un bénitier qui est supporté par la colonne décorée de têtes d'angelot et de draperies. Dans l’église, les deux bénitiers se faisaient face.
439
Deux anges tenant une urne. XVIIe siècle Marbre.
Cette sculpture est la base d'un bénitier. Grâce au photographe Adolphe Terris (1820-1900), à qui la municipalité a passé commande pour conserver la trace des chantiers et travaux en cours, on peut replacer le mobilier de cette église et reconstituer les éléments séparés.
Deux anges tenant une urne. XVIIe siècle Marbre. Cette sculpture est la base d'un bénitier. Grâce au photographe Adolphe Terris (1820-1900), à qui la municipalité a passé commande pour conserver la trace des chantiers et travaux en cours, on peut replacer le mobilier de cette église et reconstituer les éléments séparés.
440
Chapiteau. XVIe siècle Calcaire de La Couronne. Chapiteau provenant d'un pilastre d'angle, représentant une tête de chien entre deux flambeaux.
Chapiteau. XVIe siècle Calcaire de La Couronne. Chapiteau provenant d'un pilastre d'angle, représentant une tête de chien entre deux flambeaux.
441
Chapiteau. XVIe siècle Calcaire de La Couronne. Chapiteau à deux registres, à décor végétal de feuilles de vigne en partie supérieure.
Chapiteau. XVIe siècle Calcaire de La Couronne. Chapiteau à deux registres, à décor végétal de feuilles de vigne en partie supérieure.
442
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau triple orné, au centre, d'une tête de mort.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau triple orné, au centre, d'une tête de mort.
443
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau très important pour l'histoire de cet édifice: en e ffet, sur un volume on peut y voir les initiales BR, du donateur Barthélémy Reynaud, et la date de 1510, date à laquelle il meurt après avoir tester en faveur de la fabrique de Saint-Martin.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau très important pour l'histoire de cet édifice: en e ffet, sur un volume on peut y voir les initiales BR, du donateur Barthélémy Reynaud, et la date de 1510, date à laquelle il meurt après avoir tester en faveur de la fabrique de Saint-Martin.
444
Chapiteau. XVIe siècle Calcaire de La Couronne. L’iconographie de ce chapiteau a été identifiée comme la représentation de la luxure.
Chapiteau. XVIe siècle Calcaire de La Couronne. L’iconographie de ce chapiteau a été identifiée comme la représentation de la luxure.
445
Chapiteau. XVIe siècle Calcaire de La Couronne. Chapiteau présentant une patte de griffon et un homme nu vu de dos.
Chapiteau. XVIe siècle Calcaire de La Couronne. Chapiteau présentant une patte de griffon et un homme nu vu de dos.
446
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau présentant une tête de mort, thème classique dans la dévotion religieuse.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau présentant une tête de mort, thème classique dans la dévotion religieuse.
447
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau orné d'un animal fantastique.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau orné d'un animal fantastique.
448
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau triple avec une tête de lion. Les quatre chapiteaux appartenant à la collection du musée des Beaux-Arts de Marseille sont particulièrement bien conservés car ils ont toujours été déposés dans des réserves. Les autres ont parfois servi de bancs dans le square de la place de la Rotonde à Marseille.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau triple avec une tête de lion. Les quatre chapiteaux appartenant à la collection du musée des Beaux-Arts de Marseille sont particulièrement bien conservés car ils ont toujours été déposés dans des réserves. Les autres ont parfois servi de bancs dans le square de la place de la Rotonde à Marseille.
449
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau orné d'hommes et de griffons affrontés.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau orné d'hommes et de griffons affrontés.
450
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.  Chapiteau décoré avec une alternance de grappes de raisin.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau décoré avec une alternance de grappes de raisin.
451
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau simple décoré de deux têtes de chien de part et d'autre d'une couronne de lauriers portant une inscription.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau simple décoré de deux têtes de chien de part et d'autre d'une couronne de lauriers portant une inscription.
452
Chapiteau triple. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau triple. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
453
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne.
Chapiteau représentant des animaux fantastiques.
Chapiteau. XVIe siècle. Calcaire de La Couronne. Chapiteau représentant des animaux fantastiques.
454
Boiseries du buffet d'orgues. XVIIe siècle.
Les photographies que Terris a faites de l'intérieur de l'église avant sa destruction nous permettent de voir le mobilier, dont les magnifiques buffets d'orgues.
Boiseries du buffet d'orgues. XVIIe siècle. Les photographies que Terris a faites de l'intérieur de l'église avant sa destruction nous permettent de voir le mobilier, dont les magnifiques buffets d'orgues.
455
Les fastes de la Renaissance.
Maquette du fort et de la chapelle de Notre-Dame de la Garde Hippolyte Augier seconde moitié du XIXe siècle. Bois, papier.
Les fastes de la Renaissance. Maquette du fort et de la chapelle de Notre-Dame de la Garde Hippolyte Augier seconde moitié du XIXe siècle. Bois, papier.
456
Les fastes de la Renaissance.
Maquette du fort et de la chapelle de Notre-Dame de la Garde Hippolyte Augier seconde moitié du XIXe siècle. Bois, papier.
Les fastes de la Renaissance. Maquette du fort et de la chapelle de Notre-Dame de la Garde Hippolyte Augier seconde moitié du XIXe siècle. Bois, papier.
457
Pierre de Libertat. Vers 1599. Marbre. Cette statue rend hommage à Pierre Bayon, dit de Libertat (1562 - 1597), «  héros » qui a libéré la ville de la tyrannie du consul Charles de Casaulx en l'assassinant le 11 février 1596. L'inscription est de Lazare de Cordier, avocat de la ville.
Pierre de Libertat. Vers 1599. Marbre. Cette statue rend hommage à Pierre Bayon, dit de Libertat (1562 - 1597), « héros » qui a libéré la ville de la tyrannie du consul Charles de Casaulx en l'assassinant le 11 février 1596. L'inscription est de Lazare de Cordier, avocat de la ville.
458
Pierre de fondation de la maison de Charles de Casaulx. 1594. Pierre calcaire. Cette pierre a été découverte en 1829 lors des travaux de la place de l'Hôtel de Ville. La maison de Casaulx a été rasée immédiatement après son assassinat par Pierre Bayon dit de Libertat en 1396.
Pierre de fondation de la maison de Charles de Casaulx. 1594. Pierre calcaire. Cette pierre a été découverte en 1829 lors des travaux de la place de l'Hôtel de Ville. La maison de Casaulx a été rasée immédiatement après son assassinat par Pierre Bayon dit de Libertat en 1396.
459
La Provence présentée à Louis XI par Palamède de Forbin. J. David d'après Antoine-Gabriel Goyrand 1785.
Gravure sur cuivre.
Frontispice de l'ouvrage Essai sur l'histoire de Provence suivi d'une notice sur des provençaux célèbres, tome premier.
Cette gravure du XVIIIe siècle illustre le moment durant lequel Louis XI, Roi de France, devient Comte de Provence, (en janvier 1452).
La Provence présentée à Louis XI par Palamède de Forbin. J. David d'après Antoine-Gabriel Goyrand 1785. Gravure sur cuivre. Frontispice de l'ouvrage Essai sur l'histoire de Provence suivi d'une notice sur des provençaux célèbres, tome premier. Cette gravure du XVIIIe siècle illustre le moment durant lequel Louis XI, Roi de France, devient Comte de Provence, (en janvier 1452).
460
Plaque sculptée. Anonyme. Découverte au pied de la Tour des Trinitaires XVIe siècle (?) Ardoise. Ce bas-relief représenterait le Christ en croix entouré d'une Vierge à l'Enfant et de Saint Jean-Baptiste. Cette œuvre porte des traces de polychromie.
Plaque sculptée. Anonyme. Découverte au pied de la Tour des Trinitaires XVIe siècle (?) Ardoise. Ce bas-relief représenterait le Christ en croix entouré d'une Vierge à l'Enfant et de Saint Jean-Baptiste. Cette œuvre porte des traces de polychromie.
461
Carreaux émaillés. Attribués à François Auriol Vers 1576. Ces carreaux ont été exécutés pour une chapelle d’Aix-en-Provence, aujourd'hui disparue, celle des Pénitents blancs de l’Observance. Ils ont été découverts dans une chapelle de Pertuis.
Carreaux émaillés. Attribués à François Auriol Vers 1576. Ces carreaux ont été exécutés pour une chapelle d’Aix-en-Provence, aujourd'hui disparue, celle des Pénitents blancs de l’Observance. Ils ont été découverts dans une chapelle de Pertuis.
462
Vaisselle de Fréjus, cargaison de l’épave du Plateau des Chèvres. Découverte au large de Marseille, île Plane. Première moitié du XVIe siècle. Céramique.
Similaire à la cargaison de l’épave des Sardinaux, celle de l’épave du Plateau des Chèvres est en moins bon état en raison notamment des pillages qu’elle a subis.
Vaisselle de Fréjus, cargaison de l’épave du Plateau des Chèvres. Découverte au large de Marseille, île Plane. Première moitié du XVIe siècle. Céramique. Similaire à la cargaison de l’épave des Sardinaux, celle de l’épave du Plateau des Chèvres est en moins bon état en raison notamment des pillages qu’elle a subis.
463
464
465
Jarre de Biot.
Loys Accaron. Seconde moitié du XVIe siècle. Céramique. L’auteur de cette jarre a pu être identifié grâce au cachet apposé sous le col. Ces jarres étaient destinées à stocker les produits de consommation, notamment pour l’exportation.
Jarre de Biot. Loys Accaron. Seconde moitié du XVIe siècle. Céramique. L’auteur de cette jarre a pu être identifié grâce au cachet apposé sous le col. Ces jarres étaient destinées à stocker les produits de consommation, notamment pour l’exportation.
466
Jarre de Biot.
Loys Accaron. Seconde moitié du XVIe siècle. Céramique. L’auteur de cette jarre a pu „ être identifié grâce au cachet apposé sous le col. Ces jarres étaient destinées à stocker les produits de consommation, notamment pour l’exportation.
Jarre de Biot. Loys Accaron. Seconde moitié du XVIe siècle. Céramique. L’auteur de cette jarre a pu „ être identifié grâce au cachet apposé sous le col. Ces jarres étaient destinées à stocker les produits de consommation, notamment pour l’exportation.
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Double florin de la république de Gênes – Conrad II. Fouille César. 1580.
Double florin de la république de Gênes – Conrad II. Fouille César. 1580.
468
Ducat de Charles-Emmanuel Ier de Savoie. Fouille César. De. Fouille César. 1581.
Ducat de Charles-Emmanuel Ier de Savoie. Fouille César. De. Fouille César. 1581.
469
Portrait de Louis XIV. Français Girardon Marbre 
Grand sculpteur du règne de Louis XIV, François Girardon a réalisé de nombreuses œuvres représentant le Roi Soleil.
Portrait de Louis XIV. Français Girardon Marbre Grand sculpteur du règne de Louis XIV, François Girardon a réalisé de nombreuses œuvres représentant le Roi Soleil.
470
Blason de l'Hôtel Dieu. Après 1595 Pierre calcaire. Ce blason réunit les emblèmes de l’Hôpital du Saint-Esprit (la colombe et la croix patriarcale) et ceux de l'hôpital Saint-Jacques de Galice (les coquilles). De la fusion de ces deux institutions est né l'Hôtel Dieu.
Blason de l'Hôtel Dieu. Après 1595 Pierre calcaire. Ce blason réunit les emblèmes de l’Hôpital du Saint-Esprit (la colombe et la croix patriarcale) et ceux de l'hôpital Saint-Jacques de Galice (les coquilles). De la fusion de ces deux institutions est né l'Hôtel Dieu.
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Une Vierge.
Une Vierge.
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Mortier. XVIe siècle Bronze
Ce mortier d'apothicaire au décor exceptionnel provient de l’Hôtel-Dieu.
Mortier. XVIe siècle Bronze Ce mortier d'apothicaire au décor exceptionnel provient de l’Hôtel-Dieu.
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Mortier. XVIe siècle Bronze
Ce mortier d'apothicaire au décor exceptionnel provient de l’Hôtel-Dieu.
Mortier. XVIe siècle Bronze Ce mortier d'apothicaire au décor exceptionnel provient de l’Hôtel-Dieu.
474
Mortier. XVIe siècle Bronze
Ce mortier d'apothicaire au décor exceptionnel provient de l’Hôtel-Dieu.
Mortier. XVIe siècle Bronze Ce mortier d'apothicaire au décor exceptionnel provient de l’Hôtel-Dieu.
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Reliquaire de l'ordre des trinitaires. Anonyme XVIIe siècle. Bois polychrome. Lors des razzias en Méditerranée des prisonniers destinés à l'esclavage et aux galères étaient capturés. Une des missions de l'Ordre des Trinitaires, à la croix bleue et rouge, était le rachat des chrétiens au Levant et en Barbarie.
Reliquaire de l'ordre des trinitaires. Anonyme XVIIe siècle. Bois polychrome. Lors des razzias en Méditerranée des prisonniers destinés à l'esclavage et aux galères étaient capturés. Une des missions de l'Ordre des Trinitaires, à la croix bleue et rouge, était le rachat des chrétiens au Levant et en Barbarie.
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