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Gare saint Charles
Du coté jardin, l'arrivée.
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Gare saint Charles
A la clef de l'arc, un mascaron représente Mercure. Dans les claveaux, des produits de la mer.
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Tête de Mercure.
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Au milieu de l'escalier, deux grand pylônes dont la partie sud s’orne d’une allégorie féminine réalisée par Auguste Carli. Celle de droite symbolise Marseille porte de l'Orient.
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Les socles sont identiques pour chacun des piliers. Ils représentent la proue d’un navire.
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L’allégorie féminine symbolisant la porte de l’Orient est vêtue d’une longue toge. Le bras droit tient un trident et son bras gauche fléchi, la main appuyée sur la hanche, lui donne une attitude volontaire. Sa tête penchée du côté droit, comme pour regarder la ville et le port.
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Gare saint Charles
La proue du navire, d’où émergent trois rames de chaque côté de l’étrave, est ornée d’une tête de bélier. Deux dauphins émergent de l’eau au bord du navire.
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L’allégorie féminine, jambes croisées, est assise sur un siège dont les montants sont décorés de griffons.
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Au sommet de chaque pylône se trouve une lanterne. En dessous, un mascaron antique à partir duquel se déversent des guirlandes de fruits et de fleurs.
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Gare saint Charles
Sur chacune des autres faces des pylônes ont été sculptées par Henri Martin les armoiries d’une ville. Ici, do coté de l'escalier, celles d'Aix-en-Provence .
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Gare saint Charles
Armoiries de Marseille, du coté opposé à la statue.
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Armoiries de Nice sur le coté extérieur.
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De l'autre coté, l’allégorie féminine représentant Marseille colonie grecque, est vêtue d’une chlamyde.
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La statue à une allure hellénique, son profil et sa silhouette évoque la statuaire grecque classique.
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La statue est assise sur un siège antique et tenait dans sa main gauche une statue de la déesse Diane d'Ephèse.
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Armoiries de Lyon du coté de l'escalier.
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Armoiries de Marseille, du coté opposé à la statue.
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Armoiries de Paris, du coté extérieur. Ces trois armoiries évoquent la ligne Paris-Lyon-Marseille.
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Au niveau des trois derniers paliers se trouvent sur les rambardes 6 petits groupes en bronze sculptés par Henri Raybaud représentant les produits de la région Provence. Le fondeur de ces sculptures est François Rudier. Ces bronzes sont inspirés de ceux de Léopold Morice sur le pont Alexandre III. Ce type de putti, ainsi que les postures qu'ils adoptent, évoque la sculpture baroque italienne ainsi que la sculpture française de jardins du XVIIIe siècle.
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A droite de l'escalier, la Moisson.
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A droite, les Fruits.
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En bas, à droite, la Pêche.
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A gauche de l'esdcalier, les Vendanges.
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A gauche, les Fleurs.
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En bas à gauche, la Chasse.
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Premier palier, à gauche.
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Premier palier, à droite.
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Les sculptures des vases d'amortissement représentant quatre enfants, sont dus à Oscar Eichacker.
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De part et d’autre du prermier palier se trouvent deux sculptures de Louis Botinelly qui se font face et représentent les « colonies d’Afrique » pour celle placée à droite et les « colonies d’Asie » pour celle située à gauche. Les colonies sont représentées sous les traits de deux femmes qui se font face, allongées sur une banquette, deux enfants accompagnant chacune d’elles. Ces deux groupes, plus tardifs, ne tirent pas leurs origines du pont Alexandre III mais des expositions coloniales de 1906 et 1922 qui se déroulèrent à Marseille.
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Les Colonies d'Afrique. Les traits du visage, les attributs affichent l'appartenance ethnique.
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Les Colonies d'Afrique. L'accoudoir de la banquette est constitué d'une spirale formée par les cornes d'un crâne de bélier.
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Les Colonies d'Afrique. L'enfant allongé présente un masque africain.
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Les Colonies d'Afrique. L'enfant accroupi présente une défense d'éléphant
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Les Colonies d'Afrique. Derrière la femme, une guenon avec son petit est juchée sur un tronc de palmier
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Gare saint Charles
Les Colonies d'Afrique. Des figuiers de barbarie.
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Les Colonies d'Asie. La femme allongée à le bras droit accoudé au dossier d'une banquette formée de motifs de serpents à sept têtes.
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Les Colonies d'Asie. La femme allongée porte un diadème qui se rapproche des coiffes des danseuses khmères et des divinités hindouistes.
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Les Colonies d'Asie. L'enfant allongé présenté une statuette représentant une divinité hindouiste assise en tailleur. L'enfant accroupi présente une corbeille de fruits exotiques.
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Les Colonies d'Asie. Le bras gauche de la femme, légèrement fléchi, repose sur un lion de type khmer.
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Les Colonies d'Asie. Au pied de l'urne aux motifx stylisés de danseuses khmères, des apsaras, gisent des fruits et des légumes : maïs, ananas, etc.
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Les Colonies d'Asie. Le lion de type khmer.
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Gare saint Charles
Balustrades avec des motifs de feuilles de chênes avec des glands.
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Gare saint Charles
Balustrades avec des motifs de feuilles de chênes avec des glands.
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Gare saint Charles
Les lampadaires seront les premiers de la ville à être alimentés par l'énergie électrique. Ils ont été fondus par Eugène Rudier.
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Pied d'un lampadaire avec un dauphin surmonté d'un trident.
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Gare saint Charles
Les ferronneries sont dues en particulier à l'entreprise Carrera.
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Gare saint Charles
La première gare fut construite en 1848 pour l'ouverture de la ligne PLM (Paris - Lyon - Méditerranée). Le 8 janvier 1848 : inauguration de la gare Saint-Charles, et premier convoi officiel de Marseille à Arles et retour. Mais elle fut réellement terminée en 1858. La gare actuelle fut bâtie de 1893 à 1896 par l'architecte Joseph-Antoine Bouvard.
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Gare saint Charles
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Gare saint Charles
La façade, surmontée par le fronton de la marquise, est ouverte par 11 portes. Au premier étage on peut observer une alternance de panneaux pleins où sont représentés les blasons des villes traversées par le PLM, et de fenêtres.
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Gare saint Charles
Sur ces panneaux, douze blasons représentent les villes.
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Gare saint Charles
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Gare saint Charles
Dijon et Besançon.
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Gare saint Charles
Mâcon et Valence.
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Gare saint Charles
Avignon et Nîmes
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Gare saint Charles
Montpellier et Clermont-Ferrand.
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Gare saint Charles
Nevers et Grenoble.
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Gare saint Charles
Chambéry et Nice
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Gare saint Charles
Nice.
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Gare saint Charles
Monument aux amorts.
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La nouvelle gare.
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La nouvelle gare.
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La nouvelle gare.
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La gare est formée d'un corps de bâtiments en U autour d'une grande verrière
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Gare saint Charles
On retrouve à l'intérieur de la halle, au sommet des façades intérieures, les blasons des différentes villes traversées par le PLM.
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Gare saint Charles
On retrouve à l'intérieur de la halle, au sommet des façades intérieures, les blasons des différentes villes traversées par le PLM.
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Gare saint Charles
La grande halle.
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Gare saint Charles
La galerie marchande.
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Gare saint Charles
Derrière la verrière, la faculté Saint-Charles.
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Hôtel de l'Arbois ou Hôtel des voyageurs Castel et Darde, 1942. Le grand hôtel de la gare, avec près de deux cents chambres, est lié aux embarquements et débarquements du port. L'Arbois se signale surtout par son pan coupé, terminé par une arche monumentale couverte d'un fronton curviligne et cantonnée par deux pilastres surmontés de deux jarres impressionnantes. L'îlot sera complété par les bureaux d'Air France, qui seront transformés en cité administrative après-guerre.
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Ancienne aérogare.
1949/1955 : Castel construit l'établissement administratif d'Air France. Aujourd'hui, c'est la cité administrative DDE/DREAL. A gauche, ancien hôtel de L’Arbois (Castel et Darde, 1942)
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Ancienne aérogare.
"Hall Castel" de l'ancienne aérogare pour Air France. Il sera abandonné en 1961, lors de l'inauguration de l'aérogare de l'aéroport Marseille-Marignane.
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Tunnel boulevard National.
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Tunnel boulevard National.
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Tunnel boulevard National.
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Boulevard de la Liberté.
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Boulevard de la Liberté.
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Boulevard de la Liberté.
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Boulevard de la Liberté.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Ier propriétaire : Bienaimé Boyer. Puis Thérésine Peytral, épouse d'Emile Bodin, fils de l'architecte Charles Bodin (église de ste Marguerite, ste Eusébie, établissements Noilly-Prat, etc). Serait-il l'architecte de cet immeuble ? Le sculpteur pourrait être Antoine Maïssa.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Porte d'entrée cinttrée, à imposte semi-circulaire.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Le panneau central est relié par une guirlande de fleurs aux deux atlantes baroques. Référence à la sculpture.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Au-dessusb de la porte, bas-relief de deux putti entourés d'instruments de dessin, l'un tenant un plan déroulé. Référence à l'architecture.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Un jeune atlante. La gaine est ornée d'un serpent.
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Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Un atlante agé. La gaine est ornée d'une tête de lion.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Les cinq fenêtres des trois premiers étages sont coiffées de frontons triangulaires ou arrondis, celles du quatrième sont surmontées de cartouches enroulés. Tous les frontons des deux premiers étages et les trois centraux du troisième étage sont ornés d'un buste. Ces bustes représentent des personnages féminins ou masculins, jeunes ou âgés. Le balcon du premier étage se continue tout au long de la façade.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Premier étage.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Ier propriétaire : Bienaimé Boyer. Puis Thérésine Peytral, épouse d'Emile Bodin, fils de l'architecte Charles Bodin (église de ste Marguerite, ste Eusébie, établissements Noilly-Prat, etc). Serait-il l'architecte de cet immeuble ? Le sculpteur pourrait être Antoine Maïssa. Premier étage.
Boulevard de la Liberté.
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Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Premier étage.
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Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Premier étage.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Deuxième et troisième étages.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Deuxième étage.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Deuxième étage.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Deuxième étage.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Troisième et quatrième étages.
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Troisième étage
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Boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. 46 bd de la liberté. Troisième étage.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Premier étage.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Premier étage. Un homme et une femme âgés.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Allégorie de la sculpture et de la gravure. Le génie ailé pose sa main droite sur un buste de Milon de Puget, il dévoile de la main gauche un buste, sans doute celui de Louis XIV. À ses pieds un putto grave au stylet un rouleau.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Allégorie de l'architecture et de la peinture. Un génie ailé, âgé et barbu tient dans sa main droite une longue règle placée devant la base d'une colonne et dévoile de sa main gauche les attributs de la peinture. Un putto, debout, avec à ses pieds un marteau, tient une équerre et s'appuie sur un compas.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Deuxième étage.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Allégorie du printemps. Une jeune femme, à la chevelure fleurie, tient deux bouquets de fleurs, un arrosoir posé à ses pieds
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Allégorie de l'été. Une femme mûre, seins nus, à la chevelure tressée en épi, tient une serpe et une corne d'abondance.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Troisième étage.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Troisième étage. Deux hommes barbus.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Allégorie de l'automne. Une femme drapée à l'antique, tient contre elle un pichet, avec à ses pieds un panier de grappes de raisin.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Allégorie de l'hiver. Vieillard barbu, dans un manteau à capuche, se chauffe aux flammes d'un brasier.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Quatrième étage.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Quatrième étage. L'architecture.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Quatrième étage. La musique.
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Angle rue des Héros/boulevard de la Liberté.
Immeuble des arts et des quatre saisons. Façade rue des Héros. Quatrième étage. Console à tête de lion.
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La Vierge Dorée
Œuvre de l'architecte Henry Espérandieu et du sculpteur Eugene Guillaume, le monument de la "vierge dorée" fut érigé en 1857, pour commémorer le dogme de l'immaculée conception promulgué sous le pontificat de Pie IX. A l'origine le monument était situé devant le petit séminaire, là où s'élève aujourd'hui l'escalier de la gare saint Charles. En 1922, il fut déplacé afin de permettre la construction de l'escalier monumental. On releva alors, sur le site actuel, l’ensemble tel qu'il avait été édifié en 1857 : monument, exèdre, grille de clôture, et candélabres.
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La Vierge Dorée
Blason de monseigneur Eugène de Mazenod. La dédicace inscrite en latin sur le piédestal rappelle l'évènement. En voici la traduction: "Charles-Joseph-Eugène de Mazenod, évêque de Marseille, de concert avec le clergé et le peuple de cette cité, ont élevé ce monument éternel de leur foi et de leurs félicitations, à la Vierge Immaculée, en mémoire du décret, proclamé par Pie IX souverain pontife, qu'elle a été conçue sans la tâche du péché d'origine. Ils l'ont dédié l'an de la rédemption du monde 1857 le 6 des ides de décembre".
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La Vierge Dorée
Blason de Marseille.
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La Vierge Dorée
Le piédestal est en pierre de Crussol, la colonne et le piédouche de la statue sont en marbre de Carrare.
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La Vierge Dorée
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La Vierge Dorée
La statue est en alliage de plomb doré à la feuille. La vierge écrase le serpent et tient à la main le lys, symbole de la pureté.
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La Vierge Dorée
La vierge écrase le serpent qui tient dans sa gueule le fruit défendu.
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