Parc avec architecture. Jean-Baptiste Coste
MARSEILLE. 1746 - PARIS, 1819
Plume et encre brune, rehauts d'aquarelle sur papier
MARSEILLE. MUSÉE GROBET-LABADIÉ.
Parc avec architecture. Jean-Baptiste Coste MARSEILLE. 1746 - PARIS, 1819 Plume et encre brune, rehauts d'aquarelle sur papier MARSEILLE. MUSÉE GROBET-LABADIÉ.
190
Famille près d’un cours d’eau. JOSEPH-ANTOINE DAVID, DIT David de Marseille
MARSEILLE. 1 725 - MARSEILLE. 1789
vers 1770-1775
Plume et encre noire, rehauts de lavis gris sur papier
MARSEILLE. MUSÉE DES BEAUX-ARTS
Famille près d’un cours d’eau. JOSEPH-ANTOINE DAVID, DIT David de Marseille MARSEILLE. 1 725 - MARSEILLE. 1789 vers 1770-1775 Plume et encre noire, rehauts de lavis gris sur papier MARSEILLE. MUSÉE DES BEAUX-ARTS
191
Pêcheurs dans un ruisseau,. JOSEPH-ANTOINE DAVID, DIT David de Marseille
MARSEILLE. 1 725 - MARSEILLE. 1789
vers 1770-1775
Plume et encre noire, rehauts de lavis gris sur papier
MARSEILLE. MUSÉE DES BEAUX-ARTS
Pêcheurs dans un ruisseau,. JOSEPH-ANTOINE DAVID, DIT David de Marseille MARSEILLE. 1 725 - MARSEILLE. 1789 vers 1770-1775 Plume et encre noire, rehauts de lavis gris sur papier MARSEILLE. MUSÉE DES BEAUX-ARTS
192
La grande arche ou le Colisée à Rome.. Jean Antoine Constantin dit Constantin d’Aix.
Marseille, 1756 – Aix-en-Provence, 1844.
Vers 1777 – 1780.
Plume et encre noire, lavis gris sur traits au crayon noir sur papier.
Marseille, musée des Beaux-Arts.
La grande arche ou le Colisée à Rome.. Jean Antoine Constantin dit Constantin d’Aix. Marseille, 1756 – Aix-en-Provence, 1844. Vers 1777 – 1780. Plume et encre noire, lavis gris sur traits au crayon noir sur papier. Marseille, musée des Beaux-Arts.
193
Suppliante. André-Jean Lebrun
PARIS. 1 737 - WILNO [POLOGNE], 181
Sanguine sur papier
Marseille, musée des Beaux-Arts.
Suppliante. André-Jean Lebrun PARIS. 1 737 - WILNO [POLOGNE], 181 Sanguine sur papier Marseille, musée des Beaux-Arts.
194
A la demande de Dandre Bardon, l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris décidait le 24 novembre 1753 de faire don d'une série de 21 académies réalisées par ses professeurs, pour servir de modèles aux élèves de la toute nouvelle école de dessin de Marseille. Elles étaient accompagnées d'un écrit de Dandré Bardon intitulé : Observations sur la manière de poser et dessiner le modèle rédigé à l'attention des professeurs et élèves marseillais. Dans un des paragraphes de son texte, il légitimait cet envoi : Tout ce que peuvent offrir de frappant et d'instructif, la variété, la singularité, la beauté des attitudes, la noblesse, l'élégance la finesse des contours, la précision des détails, la douceur et la fierté du crayon la vérité des effets, la dégradation des lumières, l'intelligence des fonds, enfin tout ce qui concourt a la perfection du dessein se trouve écrit d'une manière bien nette et bien distinguée dans ces magnifiques chefs d'œuvre de l'art Ils seront, je l'espère, l'objet des études de cette nouvelle Ecole, ainsi que l'admiration des étrangers et des vrais connaisseurs.<br>
A ce jour, sur les vingt et une académies seules huit ont été retrouvées et repérées, quatre sont présentées à l'exposition. Elles portent toutes un numéro d'ordre (de 1 à 21) suivant la liste établie par Dandré Bardon, précédé des initiales: A R.N. (ou parfois Acad. Roy. N.) pour Académie Royale N°. attestant ainsi l'origine prestigieuse de ces dessins.
A la demande de Dandre Bardon, l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris décidait le 24 novembre 1753 de faire don d'une série de 21 académies réalisées par ses professeurs, pour servir de modèles aux élèves de la toute nouvelle école de dessin de Marseille. Elles étaient accompagnées d'un écrit de Dandré Bardon intitulé : Observations sur la manière de poser et dessiner le modèle rédigé à l'attention des professeurs et élèves marseillais. Dans un des paragraphes de son texte, il légitimait cet envoi : Tout ce que peuvent offrir de frappant et d'instructif, la variété, la singularité, la beauté des attitudes, la noblesse, l'élégance la finesse des contours, la précision des détails, la douceur et la fierté du crayon la vérité des effets, la dégradation des lumières, l'intelligence des fonds, enfin tout ce qui concourt a la perfection du dessein se trouve écrit d'une manière bien nette et bien distinguée dans ces magnifiques chefs d'œuvre de l'art Ils seront, je l'espère, l'objet des études de cette nouvelle Ecole, ainsi que l'admiration des étrangers et des vrais connaisseurs.
A ce jour, sur les vingt et une académies seules huit ont été retrouvées et repérées, quatre sont présentées à l'exposition. Elles portent toutes un numéro d'ordre (de 1 à 21) suivant la liste établie par Dandré Bardon, précédé des initiales: A R.N. (ou parfois Acad. Roy. N.) pour Académie Royale N°. attestant ainsi l'origine prestigieuse de ces dessins.
195
Alexandre-Charles Renaud. Spoix (Côte-d’Or). 1756 - Vienne (Autriche), 1817 ?
Projet pour le tombeau de Mme Abraham Fontanel, 1797-1798. Terre cuite.
Montpellier. Musée Fabre.
Alexandre-Charles Renaud. Spoix (Côte-d’Or). 1756 - Vienne (Autriche), 1817 ? Projet pour le tombeau de Mme Abraham Fontanel, 1797-1798. Terre cuite. Montpellier. Musée Fabre.
196
Alexandre-Charles Renaud. Coriolan abandonnant le siège de Rome à la requête de son épouse et de sa mère, vers 1790. Marbre. Aix-en-Provence. Musée Granet.
Alexandre-Charles Renaud. Coriolan abandonnant le siège de Rome à la requête de son épouse et de sa mère, vers 1790. Marbre. Aix-en-Provence. Musée Granet.
197
Alexandre-Charles Renaud. Spoix (Côte-d’Or). 1756 - Vienne (Autriche), 1817 ?	
Le Triomphe de la République, 1794-1795. Plâtre. Marseille. Musée des Beaux-Arts
Alexandre-Charles Renaud. Spoix (Côte-d’Or). 1756 - Vienne (Autriche), 1817 ? Le Triomphe de la République, 1794-1795. Plâtre. Marseille. Musée des Beaux-Arts
198
Jean-Joseph Foucou. Riez. 1739 - Paris. 1821
Le Peuple français ramené à la paix ou Hercule à la croisée des chemins
Terre cuite. Marseille. Musée des Beaux-Arts.
Jean-Joseph Foucou. Riez. 1739 - Paris. 1821 Le Peuple français ramené à la paix ou Hercule à la croisée des chemins Terre cuite. Marseille. Musée des Beaux-Arts.
199
Jean-Joseph FOUCOU
Riez 1739-Paris 1821
Vénus sortant du bain
Marbre
Jean-Joseph FOUCOU Riez 1739-Paris 1821 Vénus sortant du bain Marbre
200
Jean-Joseph Foucou. Riez. 1739 - Paris. 1821. Bacchante portant un satyre enfant. 1777. Marbre. Marseille. Musée des Beaux-Arts.
Jean-Joseph Foucou. Riez. 1739 - Paris. 1821. Bacchante portant un satyre enfant. 1777. Marbre. Marseille. Musée des Beaux-Arts.
201
Jean-Joseph Foucou. Riez. 1739 - Paris. 1821
Faune au chevreau.
1774. Marbre. Marseille. Musée des Beaux-Arts.
Jean-Joseph Foucou. Riez. 1739 - Paris. 1821 Faune au chevreau. 1774. Marbre. Marseille. Musée des Beaux-Arts.
202
Jean-Joseph Foucou. Riez. 1739 - Paris. 1821. Un fleuve 
1785. Marbre. Paris, musée du Louvre.
Jean-Joseph Foucou. Riez. 1739 - Paris. 1821. Un fleuve 1785. Marbre. Paris, musée du Louvre.
203
Etienne Dantoine. Carpentras, 1737 - Marseille. 1809
L'Amour et l'amitié, monument funéraire à la mémoire d'une jeune fille,
1775. Marbre. Montpellier. Musée Fabre.
Etienne Dantoine. Carpentras, 1737 - Marseille. 1809 L'Amour et l'amitié, monument funéraire à la mémoire d'une jeune fille, 1775. Marbre. Montpellier. Musée Fabre.
204
Claude Dejoux. Vadans (Jura), 1732 – Paris, 1816.
Saint Sébastien.
1779. Marbre. Paris, musée du Louvre
Claude Dejoux. Vadans (Jura), 1732 – Paris, 1816. Saint Sébastien. 1779. Marbre. Paris, musée du Louvre
205
Académie d’homme debout. Charles Nicolas Cochin.
Paris, 1715 – Paris, 1790.
Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier.
Rouen, bibliothèque patrimoniale Jacques Villon.
Académie d’homme debout. Charles Nicolas Cochin. Paris, 1715 – Paris, 1790. Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier. Rouen, bibliothèque patrimoniale Jacques Villon.
206
Académie d'homme. Jean-Baptiste Oudry
PARIS. 1686 - BEAUVAIS. 1755
Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier brun 
MARSEILLE. MUSÉE DES BEAUX-ARTS
Académie d'homme. Jean-Baptiste Oudry PARIS. 1686 - BEAUVAIS. 1755 Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier brun MARSEILLE. MUSÉE DES BEAUX-ARTS
207
Académie d’homme, un fleuve 1685. François Verdier.
Paris, 1651 – Paris, 1730.
Sanguine, rehauts de craie blanche sur papier. Paris, collection particulière.
Académie d’homme, un fleuve 1685. François Verdier. Paris, 1651 – Paris, 1730. Sanguine, rehauts de craie blanche sur papier. Paris, collection particulière.
208
Double académie. Jean Jouvenet
ROUEN, 1644 - PARIS, 1717
1684
Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier beige.
Rouen, bibliothèque patrimoniale Jacques Villon.
Double académie. Jean Jouvenet ROUEN, 1644 - PARIS, 1717 1684 Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier beige. Rouen, bibliothèque patrimoniale Jacques Villon.
209
Académie d'homme assis. Pierre Puget
MARSEILLE. 1620 - MARSEILLE. 1694
Sanguine sur papier
MARSEILLE. MUSÉE DES BEAUX-ARTS.
Académie d'homme assis. Pierre Puget MARSEILLE. 1620 - MARSEILLE. 1694 Sanguine sur papier MARSEILLE. MUSÉE DES BEAUX-ARTS.
210
Académie d’homme assis de trois quarts à droite, la tête vue de face. Charles Joseph Natoye.
Nîmes, 1700 – Castel Gandolfo, 1777.
Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier bleu gris.
Digne-les-Bains, musée Gassendi.
Académie d’homme assis de trois quarts à droite, la tête vue de face. Charles Joseph Natoye. Nîmes, 1700 – Castel Gandolfo, 1777. Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier bleu gris. Digne-les-Bains, musée Gassendi.
211
Académie d’homme assis. Charles-Amédée-Philippe VANLOO
Rivoli (Italie), 1719 – Paris, 1795.
Fusain, rehauts de craie blanche sur papier verger 
Digne-les-Bains, musée Gassendi.
Académie d’homme assis. Charles-Amédée-Philippe VANLOO Rivoli (Italie), 1719 – Paris, 1795. Fusain, rehauts de craie blanche sur papier verger Digne-les-Bains, musée Gassendi.
212
Académie d’homme assis. Michel-François Dandré-Bardon
AIX-EN-PROVENCE. 1700 - PARIS. 1783
Pierre noire, rehauts de craie blanche à l'estompe sur papier vergé brun
MONTPELLIER. MUSÉE FABRE.
Académie d’homme assis. Michel-François Dandré-Bardon AIX-EN-PROVENCE. 1700 - PARIS. 1783 Pierre noire, rehauts de craie blanche à l'estompe sur papier vergé brun MONTPELLIER. MUSÉE FABRE.
213
Académie d’homme allongé. Jean-Baptiste Giry
Marseille, 1733 – Marseille 1809.
1787.
Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier bleuté.
Marseille, musée des beaux-arts.
Académie d’homme allongé. Jean-Baptiste Giry Marseille, 1733 – Marseille 1809. 1787. Pierre noire, rehauts de craie blanche sur papier bleuté. Marseille, musée des beaux-arts.
214
Simon Julien dit Julien de Toulon. Toulon, 1735 - Paris, 1800. Tithon et l'Aurore. 1789. Huile sur toile. Caen. Musée des Beaux-Arts. Simon Julien naquit à Toulon en 1735, et compta parmi les premiers élèves qui assistèrent, en septembre 1752, à l'acte d’établissement de l'Académie de peinture de Marseille. Quatrième prix en 1753, il obtint le second prix en 1755. Parti à Paris, il suivit l'enseignement de Dandré-Bardon et remporta le grand Prix en 1760. Trois ans après, il partit enfin pour l'Italie, non sans faire étape à l'Académie de Marseille, en novembre 1763, devancé par une flatteuse lettre de Dandré-Bardon : C'est le premier élève qui soit sorti de votre école, et le seul pour qui je me sois intéressé avec un succès complet Tithon et l'Aurore fut le sujet de son morceau de réception à l'académie royale. Tithon prince troyen d'une grande beauté fut enlevé par Eos déesse de l'Aurore. Elle demanda à Zeus de conférer l'immortalité à son jeune amant mais omit d'y faire associer l'éternelle jeunesse. Tithon devenu immortel, ne cessa de vieillir et fut finalement abandonné par la déesse.
Simon Julien dit Julien de Toulon. Toulon, 1735 - Paris, 1800. Tithon et l'Aurore. 1789. Huile sur toile. Caen. Musée des Beaux-Arts. Simon Julien naquit à Toulon en 1735, et compta parmi les premiers élèves qui assistèrent, en septembre 1752, à l'acte d’établissement de l'Académie de peinture de Marseille. Quatrième prix en 1753, il obtint le second prix en 1755. Parti à Paris, il suivit l'enseignement de Dandré-Bardon et remporta le grand Prix en 1760. Trois ans après, il partit enfin pour l'Italie, non sans faire étape à l'Académie de Marseille, en novembre 1763, devancé par une flatteuse lettre de Dandré-Bardon : C'est le premier élève qui soit sorti de votre école, et le seul pour qui je me sois intéressé avec un succès complet Tithon et l'Aurore fut le sujet de son morceau de réception à l'académie royale. Tithon prince troyen d'une grande beauté fut enlevé par Eos déesse de l'Aurore. Elle demanda à Zeus de conférer l'immortalité à son jeune amant mais omit d'y faire associer l'éternelle jeunesse. Tithon devenu immortel, ne cessa de vieillir et fut finalement abandonné par la déesse.
215
Simon Julien dit Julien de Toulon. Toulon, 1735 - Paris, 1800
Les Frères de Joseph apportant à leur père la tunique tachée de sang de Joseph
Huile sur toile. Bayonne, musée Bonnat-Helleul, dépôt du musée du Louvre en 1997.
Simon Julien dit Julien de Toulon. Toulon, 1735 - Paris, 1800 Les Frères de Joseph apportant à leur père la tunique tachée de sang de Joseph Huile sur toile. Bayonne, musée Bonnat-Helleul, dépôt du musée du Louvre en 1997.
216
Simon Julien dit Julien de Toulon. Toulon, 1735 - Paris, 1800
Portrait de Laurent Julien et de Geneviève Declar. Huile sur toile. Toulon. Musée d'Art
Simon Julien dit Julien de Toulon. Toulon, 1735 - Paris, 1800 Portrait de Laurent Julien et de Geneviève Declar. Huile sur toile. Toulon. Musée d'Art
217
Michel-Honoré Bounieu. Marseille. 1760 - Paris. 1816
Les apprêts du pot-au-feu.
Huile sur toile. Paris, musée du Louvre.
Michel-Honoré Bounieu. Marseille. 1760 - Paris. 1816 Les apprêts du pot-au-feu. Huile sur toile. Paris, musée du Louvre.
218
Michel-Honoré Bounieu. Marseille. 1760 - Paris. 1816
Portrait de Louis Antoine de Bourbon, duc d’Angoulême.
1776 – 1777. Huile sur toile. Paris, musée Cognacq-Jay.
Michel-Honoré Bounieu. Marseille. 1760 - Paris. 1816 Portrait de Louis Antoine de Bourbon, duc d’Angoulême. 1776 – 1777. Huile sur toile. Paris, musée Cognacq-Jay.
219
Michel-Honoré Bounieu. Marseille. 1760 - Paris. 1816
Enlèvement du soulier de Rhodope, 1769
Huile sur toile. Bordeaux. Musée des Beaux-Arts. Après avoir obtenu, en 1756, un second prix à l'école de dessin de l'académie, Bounieu fut estimé assez talentueux pour être envoyé à Paris poursuivre son apprentissage auprès de Jean-Baptiste-Marie Pierre. En août 1767, il fut agréé par l'Académie royale. À compter de 1772, il enseigna jusqu'à la Révolution le dessin à l'École des arts et métiers. Bounieu pratiqua tous les genres, la nature morte, imitant parfois Chardin, la peinture d'histoire religieuse ou mythologique et le portrait. En 1769, il proposa au Salon un sujet de l'histoire antique, tiré du livre de Mme Dacier, Les Poésies d'Anacréon et de Sapho, paru en 1696. Un aigle qui avait emporté le soulier de la courtisane égyptienne Rodhope alors qu'elle prenait son bain, le porta jusqu'à Memphis où il le laissa tomber sur les genoux du pharaon Psammeticus. Le roi fit rechercher la propriétaire du joli soulier et l'épousa.
Michel-Honoré Bounieu. Marseille. 1760 - Paris. 1816 Enlèvement du soulier de Rhodope, 1769 Huile sur toile. Bordeaux. Musée des Beaux-Arts. Après avoir obtenu, en 1756, un second prix à l'école de dessin de l'académie, Bounieu fut estimé assez talentueux pour être envoyé à Paris poursuivre son apprentissage auprès de Jean-Baptiste-Marie Pierre. En août 1767, il fut agréé par l'Académie royale. À compter de 1772, il enseigna jusqu'à la Révolution le dessin à l'École des arts et métiers. Bounieu pratiqua tous les genres, la nature morte, imitant parfois Chardin, la peinture d'histoire religieuse ou mythologique et le portrait. En 1769, il proposa au Salon un sujet de l'histoire antique, tiré du livre de Mme Dacier, Les Poésies d'Anacréon et de Sapho, paru en 1696. Un aigle qui avait emporté le soulier de la courtisane égyptienne Rodhope alors qu'elle prenait son bain, le porta jusqu'à Memphis où il le laissa tomber sur les genoux du pharaon Psammeticus. Le roi fit rechercher la propriétaire du joli soulier et l'épousa.
220
Jean-Jacques Forty. Marseille. 1743 - Aix-en-Provence. 1801
Jacob reconnaissant la robe ensanglantée de son fils Joseph,
1791. Huile sur toile. Minneapolis Institute of Art. Jean-Jacques, fils de l'ornemaniste marseillais Jean-François Forty, entre à l'école de dessin de l'académie en 1760, et reçoit la même année un second prix. Il sera l'un des élèves méritant de l'académie de peinture de Marseille puisqu'il finira par être agréé à Académie royale à Paris en tant que peintre 'histoire en 1788. Jacob reconnaissant la robe ensanglantée de Joseph, peint en 1791 est son morceau de réception. Il sera l'un des derniers académiciens reçus avant la suppression de l’académie.
Jean-Jacques Forty. Marseille. 1743 - Aix-en-Provence. 1801 Jacob reconnaissant la robe ensanglantée de son fils Joseph, 1791. Huile sur toile. Minneapolis Institute of Art. Jean-Jacques, fils de l'ornemaniste marseillais Jean-François Forty, entre à l'école de dessin de l'académie en 1760, et reçoit la même année un second prix. Il sera l'un des élèves méritant de l'académie de peinture de Marseille puisqu'il finira par être agréé à Académie royale à Paris en tant que peintre 'histoire en 1788. Jacob reconnaissant la robe ensanglantée de Joseph, peint en 1791 est son morceau de réception. Il sera l'un des derniers académiciens reçus avant la suppression de l’académie.
221
Jacob reconnaissant la robe ensanglantée de son fils Joseph,
Jacob reconnaissant la robe ensanglantée de son fils Joseph,
222
Jean-Jacques Forty. Paris. 1696 - Paris. 1772
Portrait du comte de Saint-Florentin,
1748. Huile sur toile. Marseille. Musée des Beaux-Arts
Jean-Jacques Forty. Paris. 1696 - Paris. 1772 Portrait du comte de Saint-Florentin, 1748. Huile sur toile. Marseille. Musée des Beaux-Arts
223
DE L'ECOLE ACADEMIQUE DE DESSIN A L'ACADEMIE DE PEINTURE ET SCULPTURE DE MARSEILLE. À Marseille, vers 1745-1750, quelques artistes regroupés  autour du  sculpteur Jean-Michel Verdiguier prirent l'habitude de dessiner devant un modèle vivant pour se perfectionner dans leurs arts. L'idée de créer alors une école académique basée sur l'enseignement du dessin prit rapidement corps, avec sans doute le soutien et l'aide du peintre Michel Dandré-Bardon. Cela fut chose faite dès l'été 1752. Le 28 décembre suivant, le duc de Villars, gouverneur de Provence, autorisait et confirmait officiellement son établissement et en devenait le protecteur. Après l'instauration de statuts et d'un premier règlement, la séance inaugurale de l'école eut lieu en janvier 1753 dans une salle de l'arsenal, en présence des autorités de la ville, de l'intendant de la Provence, des membres de l'Académie de Belles-Lettres, entourés des professeurs et des élèves.<br>
Outre les cours dispensés par des enseignants spécialisés, l'Ecole académique, appelée plus tard Académie de peinture et de sculpture, était aussi composée d'artistes (les associés académiciens) ou de personnalités publiques de premier rang, de province et de Paris (les amateurs honoraires) capables d'apporter leur soutien artistique, moral ou financier, tel le comte de Saint-Florentin (futur duc de la Vrillière) qui fut un défenseur influent de l'École auprès de la Cour et des ministres du Roi.<br>
L'école était dirigée par des directeurs désignés parmi les professeurs qui assuraient cette fonction alternativement, et par un directeur perpétuel, choisi parmi les membres de l'Académie royale de peinture et de sculpture qui supervisait le bon fonctionnement de l'École depuis Paris en prodiguant conseils et remarques. Dandré-Bardon fut le premier véritable directeur perpétuel de 1754 à 1783. Il sera remplacé à ce poste par le premier peintre du Roi, Jean-Baptiste-Marie Pierre, de 1784 à 1789. Son adjoint Jean-Jacques Bachelier, s'acquitta ensuite seul de cette tâche à partir de 1790 jusqu'à la suppression des académies en 1793.
DE L'ECOLE ACADEMIQUE DE DESSIN A L'ACADEMIE DE PEINTURE ET SCULPTURE DE MARSEILLE. À Marseille, vers 1745-1750, quelques artistes regroupés autour du sculpteur Jean-Michel Verdiguier prirent l'habitude de dessiner devant un modèle vivant pour se perfectionner dans leurs arts. L'idée de créer alors une école académique basée sur l'enseignement du dessin prit rapidement corps, avec sans doute le soutien et l'aide du peintre Michel Dandré-Bardon. Cela fut chose faite dès l'été 1752. Le 28 décembre suivant, le duc de Villars, gouverneur de Provence, autorisait et confirmait officiellement son établissement et en devenait le protecteur. Après l'instauration de statuts et d'un premier règlement, la séance inaugurale de l'école eut lieu en janvier 1753 dans une salle de l'arsenal, en présence des autorités de la ville, de l'intendant de la Provence, des membres de l'Académie de Belles-Lettres, entourés des professeurs et des élèves.
Outre les cours dispensés par des enseignants spécialisés, l'Ecole académique, appelée plus tard Académie de peinture et de sculpture, était aussi composée d'artistes (les associés académiciens) ou de personnalités publiques de premier rang, de province et de Paris (les amateurs honoraires) capables d'apporter leur soutien artistique, moral ou financier, tel le comte de Saint-Florentin (futur duc de la Vrillière) qui fut un défenseur influent de l'École auprès de la Cour et des ministres du Roi.
L'école était dirigée par des directeurs désignés parmi les professeurs qui assuraient cette fonction alternativement, et par un directeur perpétuel, choisi parmi les membres de l'Académie royale de peinture et de sculpture qui supervisait le bon fonctionnement de l'École depuis Paris en prodiguant conseils et remarques. Dandré-Bardon fut le premier véritable directeur perpétuel de 1754 à 1783. Il sera remplacé à ce poste par le premier peintre du Roi, Jean-Baptiste-Marie Pierre, de 1784 à 1789. Son adjoint Jean-Jacques Bachelier, s'acquitta ensuite seul de cette tâche à partir de 1790 jusqu'à la suppression des académies en 1793.
224
Louis Tocqué. Paris. 1696 - Paris. 1772
Portrait du comte de Saint-Florentin,
1748. Huile sur toile. Marseille. Musée des Beaux-Arts. Louis Phélypaux, comte de Saint-Florentin, ensuite duc de la Vrillière (1705-1777), fut secrétaire des ordres du Roi, secrétaire de la maison du Roi à partir de 1749, puis ministre d'État de 1761 à 1775. Durant ses années de présence à la Cour, il favorisa et protégea le commerce à Marseille qui relevait de sa sphère d'administration. Par l'entremise de l'Intendant de la Provence et de Dandré-Bardon, il appuiera les démarches de l'Académie de dessin et de peinture de Marseille pour l'obtention de ses lettres patentes octroyées finalement en 1780.
En 1748, en reconnaissance de son action efficace envers Marseille, et en remerciement des services rendus, la ville commanda auprès du peintre Louis Tocqué, ce grand portrait d'apparat, qui trôna à l'hôtel de ville jusqu'à la Révolution.
Louis Tocqué. Paris. 1696 - Paris. 1772 Portrait du comte de Saint-Florentin, 1748. Huile sur toile. Marseille. Musée des Beaux-Arts. Louis Phélypaux, comte de Saint-Florentin, ensuite duc de la Vrillière (1705-1777), fut secrétaire des ordres du Roi, secrétaire de la maison du Roi à partir de 1749, puis ministre d'État de 1761 à 1775. Durant ses années de présence à la Cour, il favorisa et protégea le commerce à Marseille qui relevait de sa sphère d'administration. Par l'entremise de l'Intendant de la Provence et de Dandré-Bardon, il appuiera les démarches de l'Académie de dessin et de peinture de Marseille pour l'obtention de ses lettres patentes octroyées finalement en 1780. En 1748, en reconnaissance de son action efficace envers Marseille, et en remerciement des services rendus, la ville commanda auprès du peintre Louis Tocqué, ce grand portrait d'apparat, qui trôna à l'hôtel de ville jusqu'à la Révolution.
225
Guillaume Voiriot. Paris. 1713 - Paris. 1799
Portrait de Jean-Baptiste-Marie Pierre, 1755-1756. Huile sur toile. Versailles. Musée National des Châteaux de Versailles et de Trianon.  Dépôt Du Musée du Louvre. Premier peintre du Roi depuis 1770, Jean-Baptiste Marie Pierre prit la direction de l'Académie de peinture et de sculpture de Marseille à la mort de Dandré-Bardon en 1783. Contrairement à son prédécesseur, son action et son investissement personnel furent plus modestes. Pour l'aider dans cette fonction, il prit comme adjoint, Jean-Jacques Bachelier, un de ses anciens élèves et fondateur de l'École gratuite de dessin à Paris en 1753.
Guillaume Voiriot. Paris. 1713 - Paris. 1799 Portrait de Jean-Baptiste-Marie Pierre, 1755-1756. Huile sur toile. Versailles. Musée National des Châteaux de Versailles et de Trianon. Dépôt Du Musée du Louvre. Premier peintre du Roi depuis 1770, Jean-Baptiste Marie Pierre prit la direction de l'Académie de peinture et de sculpture de Marseille à la mort de Dandré-Bardon en 1783. Contrairement à son prédécesseur, son action et son investissement personnel furent plus modestes. Pour l'aider dans cette fonction, il prit comme adjoint, Jean-Jacques Bachelier, un de ses anciens élèves et fondateur de l'École gratuite de dessin à Paris en 1753.
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Alexandre Roslin. Malmö [Suède], 1718 - Paris. 1793
Portrait de Michel-François Dandré-Bardon,
1756. Huile sur toile. Versailles. Musée National des Châteaux de Versailles et de Trianon. Dandré-Bardon a été le Directeur perpétuel de l'académie de peinture et de sculpture de Marseille de 1754 à sa mort en 1783. Par ses activités d'enseignement et de théoricien plus que par sa peinture, il fut une des figures de premier plan des institutions artistiques de son temps. Depuis Paris, où ce provençal s'était établi et fait carrière, il soutint, conseilla et défendit l'académie de peinture de Marseille, dont il fut l'irremplaçable figure tutélaire.
Alexandre Roslin. Malmö [Suède], 1718 - Paris. 1793 Portrait de Michel-François Dandré-Bardon, 1756. Huile sur toile. Versailles. Musée National des Châteaux de Versailles et de Trianon. Dandré-Bardon a été le Directeur perpétuel de l'académie de peinture et de sculpture de Marseille de 1754 à sa mort en 1783. Par ses activités d'enseignement et de théoricien plus que par sa peinture, il fut une des figures de premier plan des institutions artistiques de son temps. Depuis Paris, où ce provençal s'était établi et fait carrière, il soutint, conseilla et défendit l'académie de peinture de Marseille, dont il fut l'irremplaçable figure tutélaire.
227
Maurice-Quentin de La Tour. Saint-Quentin. 1704 - Saint-Quentin. 1788
Portrait d'Honoré-Armand, duc de Villars, 1743. Pastel sur papier. Aix-en-Provence. Musée Granet. Le duc de Villars a été gouverneur de Provence de 1734 à 1770. Protecteur de l'Académie des Belles Lettres de Marseille à la mort de son père, il devint également en décembre 1752, celui de la nouvelle école de dessin, qui ne portait pas encore officiellement le nom d'académie. Tout au long de ces années, il veillera à la bonne marche de cet établissement, soutenant avec bienveillance les demandes des directeurs, notamment pour qu'ils obtiennent les lettres patentes officialisant leur institution et trouvent des locaux pour accueillir leur académie. A sa mort le titre de protecteur sera transmis au directeur des bâtiments du Roi.
Maurice-Quentin de La Tour. Saint-Quentin. 1704 - Saint-Quentin. 1788 Portrait d'Honoré-Armand, duc de Villars, 1743. Pastel sur papier. Aix-en-Provence. Musée Granet. Le duc de Villars a été gouverneur de Provence de 1734 à 1770. Protecteur de l'Académie des Belles Lettres de Marseille à la mort de son père, il devint également en décembre 1752, celui de la nouvelle école de dessin, qui ne portait pas encore officiellement le nom d'académie. Tout au long de ces années, il veillera à la bonne marche de cet établissement, soutenant avec bienveillance les demandes des directeurs, notamment pour qu'ils obtiennent les lettres patentes officialisant leur institution et trouvent des locaux pour accueillir leur académie. A sa mort le titre de protecteur sera transmis au directeur des bâtiments du Roi.
228
Jean-Baptiste Tierce. Rouen, 1737 – Florence, 1794 ?
Ruine de Paestum.
Huile sur toile. Toulouse, musée des Augustins.
Jean-Baptiste Tierce. Rouen, 1737 – Florence, 1794 ? Ruine de Paestum. Huile sur toile. Toulouse, musée des Augustins.
229
Jean-Baptiste Tierce. Rouen, 1737 – Florence, 1794 ?
Une tempête.
Huile sur toile. Toulouse, musée des Augustins.
Jean-Baptiste Tierce. Rouen, 1737 – Florence, 1794 ? Une tempête. Huile sur toile. Toulouse, musée des Augustins.
230
Une tempête.
Une tempête.
231
Charles-François Grenier De Lacroix, dit Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin. Vers 1782
Paysage maritime méridional au matin.
1750. Huile sur toile. Staatliche Kunsthalle.
Charles-François Grenier De Lacroix, dit Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin. Vers 1782 Paysage maritime méridional au matin. 1750. Huile sur toile. Staatliche Kunsthalle.
232
Paysage maritime méridional au matin.
Paysage maritime méridional au matin.
233
Charles-François Grenier De Lacroix, dit Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin. Vers 1782
Bord de mer
Huile sur bois
Marseille. Musée des Beaux-Arts.
Charles-François Grenier De Lacroix, dit Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin. Vers 1782 Bord de mer Huile sur bois Marseille. Musée des Beaux-Arts.
234
Charles-François Grenier De Lacroix, dit Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin. Vers 1782
Marine avec le temple de l’acide bille à Tivoli. 
Huile sur bois
Attribué au musée du Louvre par l’Office des biens et intérêts privés 1951. Déposé au musée de l’hôtel Sandelin à Saint-Omer par arrêté du ministère d’État aux affaires culturelles du 8 avril 1959. Saint-Omer, musée de l’hôtel Sandelin.
Charles-François Grenier De Lacroix, dit Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin. Vers 1782 Marine avec le temple de l’acide bille à Tivoli. Huile sur bois Attribué au musée du Louvre par l’Office des biens et intérêts privés 1951. Déposé au musée de l’hôtel Sandelin à Saint-Omer par arrêté du ministère d’État aux affaires culturelles du 8 avril 1959. Saint-Omer, musée de l’hôtel Sandelin.
235
Marine avec le temple de l’acide bille à Tivoli.
Marine avec le temple de l’acide bille à Tivoli.
236
Charles-François Grenier De Lacroix, dit Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin. Vers 1782
Marine de nuit,
Vers 1765
Huile sur bois
Dijon. Musée des Beaux-Arts.
Charles-François Grenier De Lacroix, dit Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin. Vers 1782 Marine de nuit, Vers 1765 Huile sur bois Dijon. Musée des Beaux-Arts.
237
Marine de nuit
Marine de nuit
238
Philippe-Jacques de Loutherbourg. Strasbourg, 1740 – Chiswick (Royaume-Uni), 1812. 
Naufrage.
1769. Huile sur toile. Musée de Dieppe.
Philippe-Jacques de Loutherbourg. Strasbourg, 1740 – Chiswick (Royaume-Uni), 1812. Naufrage. 1769. Huile sur toile. Musée de Dieppe.
239
Naufrage.
Naufrage.
240
Joseph Vernet.  Avignon, 1714 – Paris, 1789. Une Tempête. Huile sur toile. Marseille. Musée des Beaux-Arts.
Joseph Vernet. Avignon, 1714 – Paris, 1789. Une Tempête. Huile sur toile. Marseille. Musée des Beaux-Arts.
241
Une Tempête.
Une Tempête.
242
Joseph Vernet. Avignon, 1714 – Paris, 1789.
Marine par temps calme.
Vers 1748. Lille, palais des Beaux-Arts.
Joseph Vernet. Avignon, 1714 – Paris, 1789. Marine par temps calme. Vers 1748. Lille, palais des Beaux-Arts.
243
Marine par temps calme.
Marine par temps calme.
244
Joseph Vernet. Avignon, 1714 – Paris, 1789.
Les Baigneuses.
Huile sur toile. Nîmes, musée des Beaux-Arts.
Joseph Vernet. Avignon, 1714 – Paris, 1789. Les Baigneuses. Huile sur toile. Nîmes, musée des Beaux-Arts.
245
Les Baigneuses.
Les Baigneuses.
246
Jean Henry. dit Henry d'Arles. Arles. 1734 - Marseille. 1784.
Paysage côtier sous un orage,
1758. Huile sur toile Valence. Musée de Valence. En octobre 1753 le peintre Joseph Vernet s'installe pour quelques mois à Marseille pour réaliser, dans le cadre de la fameuse commande royale de la série des ports de France qui lui a été confiée, les deux tableaux qui vont être consacrés à la représentation du port de Marseille. Ces toiles qui connaîtront un grand succès fixent désormais la manière de représenter la ville résumée à son port. Dès 1756 le peintre Joseph Kapeller s'en inspire pour son morceau de réception à l'Académie de peinture de Marseille : Le Port de Marseille lors de l'embarquement des munitions pour l'expédition de l'île Minorque.
Le court séjour de Vernet, qui est déjà un peintre célèbre et connu des amateurs marseillais parmi lesquels il compte déjà des clients, va susciter un engouement général. On retrouve les tableaux du maître dans les plus grandes collections marseillaises de l'époque, celles des Borély, (Tempête, Marseille, musée des Beaux-Arts), de Nicolas Poulhariez {Tempête, Accrington, Hayworth art Gallery) ou de Pierre Augustin Guys. Les artistes comme Kapeller, Lacroix de Marseille, Henry d'Arles, Volaire, David de Marseille, vont à sa suite, multiplier les thèmes de prédilection du grand maître : vues de ports, tempêtes et naufrages, paysages aux ruines antiques. L'influence de Vernet est si forte sur le milieu local qu'elle se retrouve jusque dans le décor des productions faïencières de Marseille.
Jean Henry. dit Henry d'Arles. Arles. 1734 - Marseille. 1784. Paysage côtier sous un orage, 1758. Huile sur toile Valence. Musée de Valence. En octobre 1753 le peintre Joseph Vernet s'installe pour quelques mois à Marseille pour réaliser, dans le cadre de la fameuse commande royale de la série des ports de France qui lui a été confiée, les deux tableaux qui vont être consacrés à la représentation du port de Marseille. Ces toiles qui connaîtront un grand succès fixent désormais la manière de représenter la ville résumée à son port. Dès 1756 le peintre Joseph Kapeller s'en inspire pour son morceau de réception à l'Académie de peinture de Marseille : Le Port de Marseille lors de l'embarquement des munitions pour l'expédition de l'île Minorque. Le court séjour de Vernet, qui est déjà un peintre célèbre et connu des amateurs marseillais parmi lesquels il compte déjà des clients, va susciter un engouement général. On retrouve les tableaux du maître dans les plus grandes collections marseillaises de l'époque, celles des Borély, (Tempête, Marseille, musée des Beaux-Arts), de Nicolas Poulhariez {Tempête, Accrington, Hayworth art Gallery) ou de Pierre Augustin Guys. Les artistes comme Kapeller, Lacroix de Marseille, Henry d'Arles, Volaire, David de Marseille, vont à sa suite, multiplier les thèmes de prédilection du grand maître : vues de ports, tempêtes et naufrages, paysages aux ruines antiques. L'influence de Vernet est si forte sur le milieu local qu'elle se retrouve jusque dans le décor des productions faïencières de Marseille.
247
Aulagnier. Marseille, ? – Marseille, 1767.
Les perspectives de la ville de Marseille et de ses environs prises du côté de la belle vue de la plaine Saint Michel.
Vers 1750 – 1760. Gravure sur cuivre. Marseille, Chambre de Commerce et d’Industrie, musée de la Marine et de l’Economie.
Aulagnier. Marseille, ? – Marseille, 1767. Les perspectives de la ville de Marseille et de ses environs prises du côté de la belle vue de la plaine Saint Michel. Vers 1750 – 1760. Gravure sur cuivre. Marseille, Chambre de Commerce et d’Industrie, musée de la Marine et de l’Economie.
248
Joseph Vernet. La Tempête. 1754. Huile sur toile. Accrington, Haworth Art Gallery. Lors de ses différents séjours à Marseille (1752 et 1753), Vernet reçut la commande de tableaux de la part de plusieurs collectionneurs. Nicolas de Poulhariez, un riche négociant, lui achète deux toiles : Les Baigneuses et Le Lever de soleil. Dans les collections de cet amateur figurent également une Vue de Gênes et cette tempête. Cette œuvre n'aurait pas été exécutée directement pour le négociant, mais cédée à celui-ci par un autre amateur. Quelques années plus tard, en 1759, Poulhariez achètera encore deux autres tableaux de Vernet : La Pêche à la ligne et le Retour de la pêche.
La Tempête, datée de 1754 est l’une des plus belles marines de Vernet. Sa composition sera reprise en partie par ses élèves ou ses émules tel Henry d'Arles qui s'en est sans doute inspiré pour son morceau de réception à l'Académie de Marseille en 1756.
Joseph Vernet. La Tempête. 1754. Huile sur toile. Accrington, Haworth Art Gallery. Lors de ses différents séjours à Marseille (1752 et 1753), Vernet reçut la commande de tableaux de la part de plusieurs collectionneurs. Nicolas de Poulhariez, un riche négociant, lui achète deux toiles : Les Baigneuses et Le Lever de soleil. Dans les collections de cet amateur figurent également une Vue de Gênes et cette tempête. Cette œuvre n'aurait pas été exécutée directement pour le négociant, mais cédée à celui-ci par un autre amateur. Quelques années plus tard, en 1759, Poulhariez achètera encore deux autres tableaux de Vernet : La Pêche à la ligne et le Retour de la pêche. La Tempête, datée de 1754 est l’une des plus belles marines de Vernet. Sa composition sera reprise en partie par ses élèves ou ses émules tel Henry d'Arles qui s'en est sans doute inspiré pour son morceau de réception à l'Académie de Marseille en 1756.
249
La Tempête.
La Tempête.
250
Jean Henry dit Henry d'Arles. Arles, 1734 – Marseille, 1784.
Tempête, 1756. Huile sur toile. Marseille. Musée des Beaux-Arts. Appelé à Marseille par le peintre Kapeller, Jean Henry dit Henry d'Arles, assista aux premiers pas de l'école de dessin de l'académie en tant qu'élève et obtint le premier prix lors de la première remise des récompenses en 1753. Il devint l'aide de Vernet quand celui-ci travailla à la réalisation de ses vues du port de Marseille et resta marqué à jamais par cet apprentissage. Après un premier voyage en Italie, revenu à Marseille en 1756, il présenta à l'académie comme morceau de réception ce tableau, véritable hommage à l'art de Vernet.
Jean Henry dit Henry d'Arles. Arles, 1734 – Marseille, 1784. Tempête, 1756. Huile sur toile. Marseille. Musée des Beaux-Arts. Appelé à Marseille par le peintre Kapeller, Jean Henry dit Henry d'Arles, assista aux premiers pas de l'école de dessin de l'académie en tant qu'élève et obtint le premier prix lors de la première remise des récompenses en 1753. Il devint l'aide de Vernet quand celui-ci travailla à la réalisation de ses vues du port de Marseille et resta marqué à jamais par cet apprentissage. Après un premier voyage en Italie, revenu à Marseille en 1756, il présenta à l'académie comme morceau de réception ce tableau, véritable hommage à l'art de Vernet.
251
Tempête
Tempête
252
Pierre Joseph Wallaert. Le naufrage.
Pierre Joseph Wallaert. Le naufrage.
253
Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin, Vers 1782
Paysage animé
Huile sur toile. Besançon, musée des beaux-arts.
Lacroix de Marseille. Marseille. Vers 1700 - Berlin, Vers 1782 Paysage animé Huile sur toile. Besançon, musée des beaux-arts.
254
Paysage animé
Paysage animé
255
Joseph Vernet. Avignon, 1714 – Paris, 1789.
Les cascatelles de Tivoli.
Huile sur toile. Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la ville de Paris.
Joseph Vernet. Avignon, 1714 – Paris, 1789. Les cascatelles de Tivoli. Huile sur toile. Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la ville de Paris.
256
Les cascatelles de Tivoli.
Les cascatelles de Tivoli.
257
La Cascade. 1768, huile sur toile.
Pierre-Jacques Volaire, Toulon, 1729 - Naples, 1799.
Toulon, musée d'Art.
La Cascade. 1768, huile sur toile. Pierre-Jacques Volaire, Toulon, 1729 - Naples, 1799. Toulon, musée d'Art.
258
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La Cascade. 1768, huile sur toile.
Pierre-Jacques Volaire, Toulon, 1729 - Naples, 1799.
Toulon, musée d'Art.
La Cascade. 1768, huile sur toile. Pierre-Jacques Volaire, Toulon, 1729 - Naples, 1799. Toulon, musée d'Art.
260
Alphonse Moutte. Marseille, 1840-1913. Le déjeuner des pêcheurs ou la régalade, 1882. Huile sur toile.
Alphonse Moutte. Marseille, 1840-1913. Le déjeuner des pêcheurs ou la régalade, 1882. Huile sur toile.
261
Alphonse Moutte. Le débarquement des blés, 1876.
Alphonse Moutte. Le débarquement des blés, 1876.
262
Jules Laurens. Tête de voie romaine en Bithynie.
Jules Laurens. Tête de voie romaine en Bithynie.
263
Félix Ziem. Beaune, 1821-Paris, 1911. Cléopâtre. Huile sur toile.
Félix Ziem. Beaune, 1821-Paris, 1911. Cléopâtre. Huile sur toile.
264
Félix Ziem. Beaune, 1821-Paris, 1911. Vue de Venise ou bucentaure. Huile sur toile.
Félix Ziem. Beaune, 1821-Paris, 1911. Vue de Venise ou bucentaure. Huile sur toile.
265
Félix Ziem. Beaune, 1821-Paris, 1911. Quai du port à Marseille, 1858. Huile sur toile.
Félix Ziem. Beaune, 1821-Paris, 1911. Quai du port à Marseille, 1858. Huile sur toile.
266
Paul GUIGOU
Villars, 1834 – Paris, 1871.
Les Collines d’Allauch
1862
Huile sur toile
D’origine méridionale, élève d'Émile Loubon, Guigou s'installe à Paris dans I les années 1860. Il fréquente les peintres impressionnistes, mais n'est pas influencé par leur recherche. S'il peint lui aussi en plein air, il préfère traduire l’aridité des paysages provençaux à la manière de son maître Loubon.
L’enseignement de Loubon transparaît dans la composition dynamique du paysage. L’ordonnance de la nature se voit recomposée en de savantes successions de plans. Les tons sourds et les empâtements des premiers plans s’évanouissent vers le lointain, en tonalités fluides et lumineuses. Le paysage s’élargit en une vision panoramique largement ouverte pour découvrir une vaste plaine. En renversant la perspective traditionnelle, le point de fuite n’est plus à chercher au fond du tableau mais au bout du chemin.
Paul GUIGOU Villars, 1834 – Paris, 1871. Les Collines d’Allauch 1862 Huile sur toile D’origine méridionale, élève d'Émile Loubon, Guigou s'installe à Paris dans I les années 1860. Il fréquente les peintres impressionnistes, mais n'est pas influencé par leur recherche. S'il peint lui aussi en plein air, il préfère traduire l’aridité des paysages provençaux à la manière de son maître Loubon. L’enseignement de Loubon transparaît dans la composition dynamique du paysage. L’ordonnance de la nature se voit recomposée en de savantes successions de plans. Les tons sourds et les empâtements des premiers plans s’évanouissent vers le lointain, en tonalités fluides et lumineuses. Le paysage s’élargit en une vision panoramique largement ouverte pour découvrir une vaste plaine. En renversant la perspective traditionnelle, le point de fuite n’est plus à chercher au fond du tableau mais au bout du chemin.
267
Paul GUIGOU
Villars, 1834 – Paris, 1871.
Les Collines d’Allauch
1862
Huile sur toile
D’origine méridionale, élève d'Émile Loubon, Guigou s'installe à Paris dans I les années 1860. Il fréquente les peintres impressionnistes, mais n'est pas influencé par leur recherche. S'il peint lui aussi en plein air, il préfère traduire l’aridité des paysages provençaux à la manière de son maître Loubon.
L’enseignement de Loubon transparaît dans la composition dynamique du paysage. L’ordonnance de la nature se voit recomposée en de savantes successions de plans. Les tons sourds et les empâtements des premiers plans s’évanouissent vers le lointain, en tonalités fluides et lumineuses. Le paysage s’élargit en une vision panoramique largement ouverte pour découvrir une vaste plaine. En renversant la perspective traditionnelle, le point de fuite n’est plus à chercher au fond du tableau mais au bout du chemin.
Paul GUIGOU Villars, 1834 – Paris, 1871. Les Collines d’Allauch 1862 Huile sur toile D’origine méridionale, élève d'Émile Loubon, Guigou s'installe à Paris dans I les années 1860. Il fréquente les peintres impressionnistes, mais n'est pas influencé par leur recherche. S'il peint lui aussi en plein air, il préfère traduire l’aridité des paysages provençaux à la manière de son maître Loubon. L’enseignement de Loubon transparaît dans la composition dynamique du paysage. L’ordonnance de la nature se voit recomposée en de savantes successions de plans. Les tons sourds et les empâtements des premiers plans s’évanouissent vers le lointain, en tonalités fluides et lumineuses. Le paysage s’élargit en une vision panoramique largement ouverte pour découvrir une vaste plaine. En renversant la perspective traditionnelle, le point de fuite n’est plus à chercher au fond du tableau mais au bout du chemin.
268
Paul GUIGOU
Villars, 1834 – Paris, 1871.
Vue de La Canebière et des Allées de Meilhan
Huile sur toile
Paul GUIGOU Villars, 1834 – Paris, 1871. Vue de La Canebière et des Allées de Meilhan Huile sur toile
269
Paul Guigou. Les grands saules, 1864.
Paul Guigou. Les grands saules, 1864.
270
Paul Guigou. Plan d'Orgon, 1871. Plan d'Orgon, 1871
Paul Guigou. Plan d'Orgon, 1871. Plan d'Orgon, 1871
271
Paul Guigou. La Roque-d'Anthéron, 1867.
Paul Guigou. La Roque-d'Anthéron, 1867.
272
Paul Guigou. Les Martigues, Triel-sur-Seine 1865, petite route dans les pins 1859.
Paul Guigou. Les Martigues, Triel-sur-Seine 1865, petite route dans les pins 1859.
273
Émile LOUBON
Aix-en-Provence. 1809- Marseille, 1863
Troupeau dans un cirque montagneux
Huile sur toile
Émile LOUBON Aix-en-Provence. 1809- Marseille, 1863 Troupeau dans un cirque montagneux Huile sur toile
274
Émile Loubon. Paysage avec troupeau dans un cirque montagneux.
Émile Loubon. Paysage avec troupeau dans un cirque montagneux.
275
Émile Charles Joseph Loubon. Vue de Marseille prise des Aygalades un jour de marché, 1853.
Émile Charles Joseph Loubon. Vue de Marseille prise des Aygalades un jour de marché, 1853.
276
Émile Charles Joseph Loubon. La route d'Antibes à Nice
Émile Charles Joseph Loubon. La route d'Antibes à Nice
277
Philippe de Champaigne. Le Ravissement de sainte Madeleine. 1656. Huile sur toile.
Philippe de Champaigne. Le Ravissement de sainte Madeleine. 1656. Huile sur toile.
278
Paul Rubens.
Pierre Paul Rubens. Siegen 1577-Anvers 1640. La Chasse au sanglier. Vers 1615-1616, huile sur toile.
279
Paul Rubens. L'adoration des bergers. Vers 1617- 1619.
Paul Rubens. L'adoration des bergers. Vers 1617- 1619.
280
Paul Rubens. La résurrection du Christ. Vers 1616 – 1619
Paul Rubens. La résurrection du Christ. Vers 1616 – 1619
281
Barbieri dit Le Guerquin. (Cento, 1591-Bologne, 1666). Les Adieux de Caton d'Utique à son fils. 1631. Huile sur toile.
Barbieri dit Le Guerquin. (Cento, 1591-Bologne, 1666). Les Adieux de Caton d'Utique à son fils. 1631. Huile sur toile.
282
Armoiries de l'hôtel de ville.
283
Jean-Louis Nicolas Jaley.  Paris,1802-Neuilly-sur-Seine, 1866. La rêverie.
Jean-Louis Nicolas Jaley. Paris,1802-Neuilly-sur-Seine, 1866. La rêverie.
284
Jean-Louis Nicolas Jaley.  Paris,1802-Neuilly-sur-Seine, 1866. La rêverie.
Jean-Louis Nicolas Jaley. Paris,1802-Neuilly-sur-Seine, 1866. La rêverie.
285
Jean-Louis Nicolas Jaley.  Paris,1802-Neuilly-sur-Seine, 1866. La rêverie.
Jean-Louis Nicolas Jaley. Paris,1802-Neuilly-sur-Seine, 1866. La rêverie.
286
Le moineau de Lesbie. François Truphème.
Le moineau de Lesbie. François Truphème.
287
Le moineau de Lesbie. François Truphème.
Le moineau de Lesbie. François Truphème.
288
Le moineau de Lesbie. François Truphème.
Le moineau de Lesbie. François Truphème.
289
Albert Ernest Carrier-Belleuse. Anizy-le-Câteau, 1824- Sèvres, 1887. Psyché abandonnés. 1871. Marbre
Albert Ernest Carrier-Belleuse. Anizy-le-Câteau, 1824- Sèvres, 1887. Psyché abandonnés. 1871. Marbre
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Albert Ernest Carrier-Belleuse. Anizy-le-Câteau, 1824- Sèvres, 1887. Psyché abandonnés. 1871. Marbre
Albert Ernest Carrier-Belleuse. Anizy-le-Câteau, 1824- Sèvres, 1887. Psyché abandonnés. 1871. Marbre
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Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
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Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
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Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
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Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
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Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
Christophe Veyrier. Vierge à l'enfant.
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Barthélémy-François CHARDIGNY
Rouen, 1757 - Paris, 1813
La Cueillette des \ olives
Marbre
Chardigny obtient le Grand Prix de sculpture en 1782. De retour de Rome, il s’installe en Provence et travaillera principalement entre Aix et Marseille. Il fut de la Révolution à l'Empire, l'un des sculpteurs les plus actifs à Marseille.
En 1802, il reçoit du Préfet Charles Delacroix, le père du célèbre peintre, la commande de deux bas-reliefs pour la fontaine du Commerce sur la place des Fainéants à Marseille.
Us célèbrent deux des sources de richesses de Marseille, la mer et la terre. Au lieu de scènes allégoriques habituelles,
Chardigny choisit de représenter une image contemporaine de l’agriculture et de la pêche en Provence au XVIIIe siècle
Barthélémy-François CHARDIGNY Rouen, 1757 - Paris, 1813 La Cueillette des \ olives Marbre Chardigny obtient le Grand Prix de sculpture en 1782. De retour de Rome, il s’installe en Provence et travaillera principalement entre Aix et Marseille. Il fut de la Révolution à l'Empire, l'un des sculpteurs les plus actifs à Marseille. En 1802, il reçoit du Préfet Charles Delacroix, le père du célèbre peintre, la commande de deux bas-reliefs pour la fontaine du Commerce sur la place des Fainéants à Marseille. Us célèbrent deux des sources de richesses de Marseille, la mer et la terre. Au lieu de scènes allégoriques habituelles, Chardigny choisit de représenter une image contemporaine de l’agriculture et de la pêche en Provence au XVIIIe siècle
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Barthélémy-François CHARDIGNY
Rouen, 1757 - Paris, 1813
La Cueillette des  olives
Marbre
Chardigny obtient le Grand Prix de sculpture en 1782. De retour de Rome, il s’installe en Provence et travaillera principalement entre Aix et Marseille. Il fut de la Révolution à l'Empire, l'un des sculpteurs les plus actifs à Marseille.
En 1802, il reçoit du Préfet Charles Delacroix, le père du célèbre peintre, la commande de deux bas-reliefs pour la fontaine du Commerce sur la place des Fainéants à Marseille.
Ils célèbrent deux des sources de richesses de Marseille, la mer et la terre. Au lieu de scènes allégoriques habituelles,
Chardigny choisit de représenter une image contemporaine de l’agriculture et de la pêche en Provence au XVIIIe siècle
Barthélémy-François CHARDIGNY Rouen, 1757 - Paris, 1813 La Cueillette des olives Marbre Chardigny obtient le Grand Prix de sculpture en 1782. De retour de Rome, il s’installe en Provence et travaillera principalement entre Aix et Marseille. Il fut de la Révolution à l'Empire, l'un des sculpteurs les plus actifs à Marseille. En 1802, il reçoit du Préfet Charles Delacroix, le père du célèbre peintre, la commande de deux bas-reliefs pour la fontaine du Commerce sur la place des Fainéants à Marseille. Ils célèbrent deux des sources de richesses de Marseille, la mer et la terre. Au lieu de scènes allégoriques habituelles, Chardigny choisit de représenter une image contemporaine de l’agriculture et de la pêche en Provence au XVIIIe siècle
298
Barthélémy François Chardigny.
Commande en 1802 du préfet Charles Delacroix pour la fontaine du Commerce
Barthélémy François Chardigny. Commande en 1802 du préfet Charles Delacroix pour la fontaine du Commerce
299
Étienne d'Antoine. Consécration d'une jeune vestale en présence des déesses Minerve et Vesta, 1786.
Terre cuite.
Étienne d'Antoine. Consécration d'une jeune vestale en présence des déesses Minerve et Vesta, 1786. Terre cuite.
300
Barthélémy François Chardigny.
Placé au sommet de la colonne de la peste érigée en 1802 place Paradis.
Barthélémy François Chardigny. Placé au sommet de la colonne de la peste érigée en 1802 place Paradis.
301
Valère Bernard. Au soleil.
Valère Bernard. Au soleil.
302
Paul Signac. La corne d'or, matin. 1907.
Paul Signac. La corne d'or, matin. 1907.
303
Jean-Baptiste Greuze. Portrait d'homme.
Jean-Baptiste Greuze. Portrait d'homme.
304
Antoine Jean Gros. Portrait de Madame Favrega, 1793.
Antoine Jean Gros. Portrait de Madame Favrega, 1793.
305
Anne-Louis Girodet – Trioson. Portrait de Giuseppe Favrega, 1792.
Anne-Louis Girodet – Trioson. Portrait de Giuseppe Favrega, 1792.
306
Giovanni Paolo Pannini. La galerie du cardinal Silvio Valenti Gonzague.
Giovanni Paolo Pannini. La galerie du cardinal Silvio Valenti Gonzague.
307
Philippe Jacques de Loutherbourg.
Hubert Robert.
Jean Henry dit Henry d'Arles. Caravane, 1764. Jardin italien, 1764. Léda et le cygne. Pan et Syrinx.
Philippe Jacques de Loutherbourg. Hubert Robert. Jean Henry dit Henry d'Arles. Caravane, 1764. Jardin italien, 1764. Léda et le cygne. Pan et Syrinx.
308
Hubert Le Vrac dit Tournières. Portrait supposé de Monsieur de Sazint-Cannat et ses enfants.
Hubert Le Vrac dit Tournières. Portrait supposé de Monsieur de Sazint-Cannat et ses enfants.
309
José Silbert. Tête de Marocain.
José Silbert. Tête de Marocain.
310
Maurice Bompard. La fileuse.
Maurice Bompard. La fileuse.
311
Maurice Bompard. Scène de harem.
Maurice Bompard. Scène de harem.
312
Maurice Bompard. Une rue de l'oasis de Chetma.
Maurice Bompard. Une rue de l'oasis de Chetma.
313
Adolphe Monticelli. Étude de colline, le Garlaban.
Adolphe Monticelli. Étude de colline, le Garlaban.
314
Adolphe Monticelli. Scènes de parc, femmes, enfants, chien et cygnes.
Adolphe Monticelli. Scènes de parc, femmes, enfants, chien et cygnes.
315
Adolphe Monticelli. Scènes de parc, femmes, enfants et chien.
Adolphe Monticelli. Scènes de parc, femmes, enfants et chien.
316
Adolphe Monticelli. Paysage, les chênes à Saint-Zacharie. Etude de sous-bois, paysage d'automne. Portrait d'Emma Ricard.
Adolphe Monticelli. Paysage, les chênes à Saint-Zacharie. Etude de sous-bois, paysage d'automne. Portrait d'Emma Ricard.
317
Adolphe Monticelli. Les Flamands. Turc à la mosquée ou en Algérie, 1878.
Adolphe Monticelli. Les Flamands. Turc à la mosquée ou en Algérie, 1878.
318
Adolphe Monticelli. Portrait de Madame Pascal.
Adolphe Monticelli. Portrait de Madame Pascal.
319
Théodore Chassériau. La servante de Cléopâtre
Théodore Chassériau. La servante de Cléopâtre
320
Fabius Brest. Un caravansérail à Trébizonde.
Fabius Brest. Un caravansérail à Trébizonde.
321
Prosper Gabriel Grésy. Les baigneuses.
Prosper Gabriel Grésy. Les baigneuses.
322
Gustave Ricard. Portrait de Loubon, 1856.
Gustave Ricard. Portrait de Loubon, 1856.
323
Paul Guigou. Lavandières au ruisseau.
Paul Guigou. Lavandières au ruisseau.
324
Auguste Aiguier. Effet de soleil couchant sur la Méditerranée, 1858.
Auguste Aiguier. Effet de soleil couchant sur la Méditerranée, 1858.
325
Jean Antoine Constantin dit Constantin d'Aix. Fontaine de Vaucluse.
Jean Antoine Constantin dit Constantin d'Aix. Fontaine de Vaucluse.
326
Lancelot Théodore Turpin de Crissé. Vue prise de Roquebrune en Italie, 1831.
Lancelot Théodore Turpin de Crissé. Vue prise de Roquebrune en Italie, 1831.
327
Prosper François Irénée Barrigue de Fontainieu. Vue de Cava dei Tirenni.
Prosper François Irénée Barrigue de Fontainieu. Vue de Cava dei Tirenni.
328
Charles François Jalabert. La peste de Thèbes ou Œdipe et Antigone fuyant la malédiction des habitants.
Charles François Jalabert. La peste de Thèbes ou Œdipe et Antigone fuyant la malédiction des habitants.
329
Jean Auguste Dominique Ingres. Eliezer et Rebecca.
Jean Auguste Dominique Ingres. Eliezer et Rebecca.
330
Honoré Daumier. Le Ratapoil, 1896.
Honoré Daumier. Le Ratapoil, 1896.
331
Honoré Daumier. Bronzes.
Honoré Daumier. Bronzes.
332
Honoré Daumier. Bronzes.
Honoré Daumier. Bronzes.
333
Honoré Daumier. Don Quichotte Sancho Pança.
Honoré Daumier. Don Quichotte Sancho Pança.
334
Eva Gonzales. Portrait de femme.
Eva Gonzales. Portrait de femme.
335
Théodule Ribot. La Tricoteuse.
Théodule Ribot. La Tricoteuse.
336
Théodule Ribot. Le Mitron.
Théodule Ribot. Le Mitron.
337
Jean-François Millet. La bouillie, 1861.
Jean-François Millet. La bouillie, 1861.
338
Jean-Baptiste Camille Corot. Le Bouleau, 1870.
Jean-Baptiste Camille Corot. Le Bouleau, 1870.
339
Jean-Baptiste Camille Corot. Le petit pont, vers 1860.
Jean-Baptiste Camille Corot. Le petit pont, vers 1860.
340
Jean-Baptiste Camille Corot. Vue prise à Riva.
Jean-Baptiste Camille Corot. Vue prise à Riva.
341
Narcisse Diaz de la Peña. Sous-bois, 1854.
Narcisse Diaz de la Peña. Sous-bois, 1854.
342
Charles François Daubigny. Les Graves à Villerville, 1859.
Charles François Daubigny. Les Graves à Villerville, 1859.
343
Jean Joseph Xavier Bidauld.
Jean-Jacques Aubert. Vue prise dans le royaume de Naples. Environs de Montredon, 1824.
Jean Joseph Xavier Bidauld. Jean-Jacques Aubert. Vue prise dans le royaume de Naples. Environs de Montredon, 1824.
344
Auguste Louis Nicolas de Forbin, comte. Intérieur d'église, 1838. Intérieur avec fond de paysage.
Auguste Louis Nicolas de Forbin, comte. Intérieur d'église, 1838. Intérieur avec fond de paysage.
345
Marius Engalière. Vue générale de Grenade,1854.
Marius Engalière. Vue générale de Grenade,1854.
346
Marius Engalière. La Sparterie, la clairière, la moisson, vue d'un village du sud de l'Espagne.
Marius Engalière. La Sparterie, la clairière, la moisson, vue d'un village du sud de l'Espagne.
347
Nicolas Labbé. La visitation, vers 1640 – 1643
Nicolas Labbé. La visitation, vers 1640 – 1643
348
Jean Daret. Esculape ressuscitant Hippolyte.
Jean Daret. Esculape ressuscitant Hippolyte.
349
Nicolas Mignard. Paysage.
Nicolas Mignard. Paysage.
350
Louis Cretey. Le Christ déposé après la Flagellation.
Louis Cretey. Le Christ déposé après la Flagellation.
351
Simon Vouet. La Vierge et l'Enfant Jésus, vers 1638.
Simon Vouet. La Vierge et l'Enfant Jésus, vers 1638.
352
Nicolas Mignard (Troyes, 1606-Paris, 1668). Vierge à l'Enfant. Vers 1650. Huile sur toile.
Nicolas Mignard (Troyes, 1606-Paris, 1668). Vierge à l'Enfant. Vers 1650. Huile sur toile.
353
Attribué à Nicolas Labbé. La présentation au temple vers 1640 – 1643
Attribué à Nicolas Labbé. La présentation au temple vers 1640 – 1643
354
Louis Finson. La Madeleine en extase.
Louis Finson. La Madeleine en extase.
355
Pietro Novelli. David et la tête de Goliath.
Pietro Novelli. David et la tête de Goliath.
356
Guido Reni, dit Le Guide. La charité romaine.
Guido Reni, dit Le Guide. La charité romaine.
357
Lavinia Fontana. Consécration à la Vierge vers 1599.
Lavinia Fontana. Consécration à la Vierge vers 1599.
358
Giovanni Lanfranco. Élie et le Corbeau. Vers 1624 – 1625.
Giovanni Lanfranco. Élie et le Corbeau. Vers 1624 – 1625.
359
Dès l'origine, l'enseignement de l'architecture est présent au sein de l'académie. C'est le peintre géomètre et architecte Kapeller qui assurait le cours d'architecture, avec pour adjoint Alaugnier, l'auteur de la fameuse vue perspective de la ville de Marseille et de ses environs. Au cours de ses quarante années d'existence, l'académie accueillit en son sein douze architectes, personnalités éminentes du milieu architectural français comme Jacques François Blondel et Germain Soufflot, ou d'une envergure locale plus modeste comme Joseph Esprit Brun et Christophe Embry. <br>
Un nouvel agréé avait un an pour présenter son morceau de réception avant d'être définitivement reçu académicien. Pour les architectes, cela consistait à présenter le dessin d'un projet d'édifice sous la forme traditionnelle, plan, coupe, élévation. Les archives municipales de Marseille ont conservé trois de ces morceaux de réception. <br>
Le premier daté de 1780 est un projet d'hôtel de ville par Joseph Brun (1710-1802), figure incontournable de l'architecture marseillaise. Architecte de la province, il oeuvra au cours de sa longue carrière à l'hôtel-Dieu, à l'hôtel de ville, et conduisit à leur terme les travaux du château Borély.
Dès l'origine, l'enseignement de l'architecture est présent au sein de l'académie. C'est le peintre géomètre et architecte Kapeller qui assurait le cours d'architecture, avec pour adjoint Alaugnier, l'auteur de la fameuse vue perspective de la ville de Marseille et de ses environs. Au cours de ses quarante années d'existence, l'académie accueillit en son sein douze architectes, personnalités éminentes du milieu architectural français comme Jacques François Blondel et Germain Soufflot, ou d'une envergure locale plus modeste comme Joseph Esprit Brun et Christophe Embry.
Un nouvel agréé avait un an pour présenter son morceau de réception avant d'être définitivement reçu académicien. Pour les architectes, cela consistait à présenter le dessin d'un projet d'édifice sous la forme traditionnelle, plan, coupe, élévation. Les archives municipales de Marseille ont conservé trois de ces morceaux de réception.
Le premier daté de 1780 est un projet d'hôtel de ville par Joseph Brun (1710-1802), figure incontournable de l'architecture marseillaise. Architecte de la province, il oeuvra au cours de sa longue carrière à l'hôtel-Dieu, à l'hôtel de ville, et conduisit à leur terme les travaux du château Borély.
360
Esprit-Joseph Brun. L’Isle-sur-la-Sorgue. 1710 – L’Isle-sur-la-Sorgue. 1802
Projet pour un monument public, (élévation de la façade) 1780.
Plume et encre noire, lavis noir, aquarelle sur papier.
Marseille. Archives Municipales.
Esprit-Joseph Brun. L’Isle-sur-la-Sorgue. 1710 – L’Isle-sur-la-Sorgue. 1802 Projet pour un monument public, (élévation de la façade) 1780. Plume et encre noire, lavis noir, aquarelle sur papier. Marseille. Archives Municipales.
361
Le second, un projet d'église présenté 1785, est l'œuvre d'un autre marseillais, au parcours plus discret, Louis Dreveton, dont le frère, Balthazar Dreveton, fut l'architecte du couvent et de la chapelle des Bernardines. <br>
Le dernier de la série (1786) est dû à Charles Joachim Bénard (1750-?), un arrivé de fraîche date à Marseille. Ce sont ses plans pour le nouveau théâtre de la ville qui venaient d'être retenus deux ans plus tôt. De l'édifice qu'il avait conçu, ne demeure aujourd'hui que la façade de l'actuel opéra. Avec ses références à un style antique sévère, elle témoigne ainsi que les trois vues de son projet de rotonde à l'usage des anciens (1786) de sa maîtrise des tendances les plus récentes de l'architecture de son temps qu'il tentait alors d'introduire à Marseille. <br>
Sont à mettre également en relation avec l'établissement marseillais, le plan pour une église paroissiale envoyé par Charles Dupuis (1733 1792) à l'académie. Il s'agissait de son dessin pour le concours du Grand Prix d'architecture de 1760 dont il avait été l'un des candidats malheureux. Les deux projets pour une maison de campagne, et une fontaine pour la place Saint-Louis pourraient provenir des collections de l'académie. Ils sont l'œuvre de Christophe Embry ( ?-1794), qui y fut professeur d'architecture à partir de 1780.
Le second, un projet d'église présenté 1785, est l'œuvre d'un autre marseillais, au parcours plus discret, Louis Dreveton, dont le frère, Balthazar Dreveton, fut l'architecte du couvent et de la chapelle des Bernardines.
Le dernier de la série (1786) est dû à Charles Joachim Bénard (1750-?), un arrivé de fraîche date à Marseille. Ce sont ses plans pour le nouveau théâtre de la ville qui venaient d'être retenus deux ans plus tôt. De l'édifice qu'il avait conçu, ne demeure aujourd'hui que la façade de l'actuel opéra. Avec ses références à un style antique sévère, elle témoigne ainsi que les trois vues de son projet de rotonde à l'usage des anciens (1786) de sa maîtrise des tendances les plus récentes de l'architecture de son temps qu'il tentait alors d'introduire à Marseille.
Sont à mettre également en relation avec l'établissement marseillais, le plan pour une église paroissiale envoyé par Charles Dupuis (1733 1792) à l'académie. Il s'agissait de son dessin pour le concours du Grand Prix d'architecture de 1760 dont il avait été l'un des candidats malheureux. Les deux projets pour une maison de campagne, et une fontaine pour la place Saint-Louis pourraient provenir des collections de l'académie. Ils sont l'œuvre de Christophe Embry ( ?-1794), qui y fut professeur d'architecture à partir de 1780.
362
Louis DREVETON. Actif à Marseille à la fin du XVIIIe siècle
1785
Plume et encre brune lavis brun, aquarelle, crayon noir sur papier.
Marseille, archives municipales
Louis DREVETON. Actif à Marseille à la fin du XVIIIe siècle 1785 Plume et encre brune lavis brun, aquarelle, crayon noir sur papier. Marseille, archives municipales
363
Projet de temple ou de rotonde à l'usage des Anciens (élévation géométrale). CHARLES-JOACHIM BÉNARD
PARIS. 1750 - ?. ?
1786
Plume et encre noire, lavis rose et gris, crayon noir sur papier
MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
Projet de temple ou de rotonde à l'usage des Anciens (élévation géométrale). CHARLES-JOACHIM BÉNARD PARIS. 1750 - ?. ? 1786 Plume et encre noire, lavis rose et gris, crayon noir sur papier MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
364
Projet de temple ou de rotonde à l'usage des Anciens (coupe). CHARLES-JOACHIM BÉNARD
PARIS. 1750 - ?. ?
1786
Plume et encre noire, lavis rose et gris, crayon noir sur papier
MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
Projet de temple ou de rotonde à l'usage des Anciens (coupe). CHARLES-JOACHIM BÉNARD PARIS. 1750 - ?. ? 1786 Plume et encre noire, lavis rose et gris, crayon noir sur papier MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
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Projet de temple ou de rotonde à l'usage des Anciens (plan). Projet de temple ou de rotonde à l'usage des Anciens (plan). CHARLES-JOACHIM BÉNARD
PARIS. 1750 - ?. ?
1786
Plume et encre noire, lavis rose et gris, crayon noir sur papier
MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
Projet de temple ou de rotonde à l'usage des Anciens (plan). Projet de temple ou de rotonde à l'usage des Anciens (plan). CHARLES-JOACHIM BÉNARD PARIS. 1750 - ?. ? 1786 Plume et encre noire, lavis rose et gris, crayon noir sur papier MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
366
Plan d’une église paroissiale ligne. Charles Dupuis
?, 1733 – Strasbourg, 1792.
1760. Gravure sur cuivre.
Marseille, archives municipales.
Plan d’une église paroissiale ligne. Charles Dupuis ?, 1733 – Strasbourg, 1792. 1760. Gravure sur cuivre. Marseille, archives municipales.
367
Projet d'une fontaine pour la place Saint-Louis. Christophe Embry
?. ? - MARSEILLE. 1794
1788
Plume, encre brune, aquarelle sur papier
MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
Projet d'une fontaine pour la place Saint-Louis. Christophe Embry ?. ? - MARSEILLE. 1794 1788 Plume, encre brune, aquarelle sur papier MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
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Projet pour une maison de campagne. Christophe Embry
?. ? - MARSEILLE. 1794
1788
Plume, encre brune, aquarelle sur papier
MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
Projet pour une maison de campagne. Christophe Embry ?. ? - MARSEILLE. 1794 1788 Plume, encre brune, aquarelle sur papier MARSEILLE. ARCHIVES MUNICIPALES.
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