Église Santa Maria di Castello. Chapelle de saint Vincent Ferrer. A droite, Prédication de Saint Vincent enfant, Luciano Borzone, (1590-1645).
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de saint Vincent Ferrer. A droite, Prédication de Saint Vincent enfant, Luciano Borzone, (1590-1645).
204
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de sainte Rose de Lima. A gauche, statue de Sainte Catherine de Sienne et à droite, celle du Bienheureux Giacamo de Varazze, de Taddeo Carlone et Battista Baguti. La toile représente La Vierge qui présente l'Enfant à Sainte Rose de Lima, 1673, Domenico Piola.
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de sainte Rose de Lima. A gauche, statue de Sainte Catherine de Sienne et à droite, celle du Bienheureux Giacamo de Varazze, de Taddeo Carlone et Battista Baguti. La toile représente La Vierge qui présente l'Enfant à Sainte Rose de Lima, 1673, Domenico Piola.
205
Église Santa Maria di Castello. Les fresques de la coupole, le Baptême du Christ, entourées de quatre panneaux avec les Saints dominicains, sont de Briasco.
Église Santa Maria di Castello. Les fresques de la coupole, le Baptême du Christ, entourées de quatre panneaux avec les Saints dominicains, sont de Briasco.
206
Église Santa Maria di Castello. Sous l'autel, le gisant de Giacomo de Varazze, dominicain, archevêque de Gênes (1292-1298), auteur de la Légende dorée.
Église Santa Maria di Castello. Sous l'autel, le gisant de Giacomo de Varazze, dominicain, archevêque de Gênes (1292-1298), auteur de la Légende dorée.
207
Église Santa Maria di Castello. Christo Moro en bois, de lépoque médiévale. Sur les murs, quatre monuments funéraires de la famille Brignole.
Église Santa Maria di Castello. Christo Moro en bois, de lépoque médiévale. Sur les murs, quatre monuments funéraires de la famille Brignole.
208
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de Saint Dominique. Refaite en 1654, l'autel est en marbre polychrome, avec des colonnes en pophyre et des corniches en rouge de France. La toile est placée dans un autel en marbre polychrome de la première moitié du XVIIe siècle. Il représente le miracle de Soriano : dans cette ville calabraise, la Vierge Marie et les saints Marie-Madeleine et Catherine d'Alexandrie seraient apparus en 1530 à un membre du clergé dominicain livrant une image de saint Dominique à placer dans le couvent nouvellement construit. Gio Battista Castigliano, dit il Grechetto, 1654. En haut, statue de Saint Dominique, de Taddeo Carlone et Battista Baguti.
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de Saint Dominique. Refaite en 1654, l'autel est en marbre polychrome, avec des colonnes en pophyre et des corniches en rouge de France. La toile est placée dans un autel en marbre polychrome de la première moitié du XVIIe siècle. Il représente le miracle de Soriano : dans cette ville calabraise, la Vierge Marie et les saints Marie-Madeleine et Catherine d'Alexandrie seraient apparus en 1530 à un membre du clergé dominicain livrant une image de saint Dominique à placer dans le couvent nouvellement construit. Gio Battista Castigliano, dit il Grechetto, 1654. En haut, statue de Saint Dominique, de Taddeo Carlone et Battista Baguti.
209
Église Santa Maria di Castello. Sur la gauche, Miracle des pains, 16978, de Francesco Sigismondo Boccaccino.
Église Santa Maria di Castello. Sur la gauche, Miracle des pains, 16978, de Francesco Sigismondo Boccaccino.
210
Église Santa Maria di Castello. Monument funéraire d'Alessandro Giustiniani et Lelia DeFranchi.e
Église Santa Maria di Castello. Monument funéraire d'Alessandro Giustiniani et Lelia DeFranchi.e
211
Église Santa Maria di Castello. Monument funéraire de Luca e Mariettina Giustiniani.
Église Santa Maria di Castello. Monument funéraire de Luca e Mariettina Giustiniani.
212
Église Santa Maria di Castello. La chapelle fut rénovée en 1601-1603 et dédiée aux Saint Domenico et Giacinto. Sur les côtés, les monuments funéraires du commanditaire Benedetto Giordano et de sa mère, Laura Della Chiesa, oeuvre de Battista Casella, auteur de toutes les décorations en marbre. Sur la voûte, fresques de Bernard Castello, avec Dieu le Père et deux épisodes de la vie de saint Giacinto.  Sur l'autel, la toile représentant Saint Dominique revêtant de l'habit de l'ordre san Giacinto Odrowaz, en présence de son oncle Iwon Odrowaz, archevêque de Cracovie, 1604, Aurelio Lomi.
Église Santa Maria di Castello. La chapelle fut rénovée en 1601-1603 et dédiée aux Saint Domenico et Giacinto. Sur les côtés, les monuments funéraires du commanditaire Benedetto Giordano et de sa mère, Laura Della Chiesa, oeuvre de Battista Casella, auteur de toutes les décorations en marbre. Sur la voûte, fresques de Bernard Castello, avec Dieu le Père et deux épisodes de la vie de saint Giacinto. Sur l'autel, la toile représentant Saint Dominique revêtant de l'habit de l'ordre san Giacinto Odrowaz, en présence de son oncle Iwon Odrowaz, archevêque de Cracovie, 1604, Aurelio Lomi.
213
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de Saint Thomas d'Aquin. Autel en marbre de Giovanni Maria de Pambio, 1595. Toile de l'autel de Dominico Piola, Saint Thomas d'Aquin en adoration du Saint Sacrement composant l'office du Corpus Domini, 1660. A gauche, le buste deFilippo Campo Antico (1874) et à droite celui d'Anna Pavero Campo Antico, tous deux de Domenico Carli. Ce sont les parents du curé qui a financé la restauration de cette chapelle.
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de Saint Thomas d'Aquin. Autel en marbre de Giovanni Maria de Pambio, 1595. Toile de l'autel de Dominico Piola, Saint Thomas d'Aquin en adoration du Saint Sacrement composant l'office du Corpus Domini, 1660. A gauche, le buste deFilippo Campo Antico (1874) et à droite celui d'Anna Pavero Campo Antico, tous deux de Domenico Carli. Ce sont les parents du curé qui a financé la restauration de cette chapelle.
214
Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
215
Église Santa Maria di Castello. Polyptyque de l'Annonciation. Sous le baldaquin en marbre du XVe siècle de l'atelier de Dominico Gagini, le polyptique frappe par sa menuiserie en bois doré d'origine, également l'œuvre de Mazone. Il se compose de la table centrale et de deux compartiments, avec, à gauche, les saints Jacques et Jean-Baptiste, et à droite, les saints Dominique et Sébastien ; dans le registre supérieur sont représentés le calvaire entre les saints Jean l’évangéliste et Rocco, tandis que dans la prédelle on a des épisodes de l’enfance de Jésus. Dans le somptueux costume de l’archange Gabriel et dans le carrelage d’ Azulejos, on a la suggestion du luxe mystique des Catalans . La couleur vive sans transitions tonales semble être affectée par les compositions espagnoles et portugaises, mais l'utilisation judicieuse de la perspective est totalement italienne.
Église Santa Maria di Castello. Polyptyque de l'Annonciation. Sous le baldaquin en marbre du XVe siècle de l'atelier de Dominico Gagini, le polyptique frappe par sa menuiserie en bois doré d'origine, également l'œuvre de Mazone. Il se compose de la table centrale et de deux compartiments, avec, à gauche, les saints Jacques et Jean-Baptiste, et à droite, les saints Dominique et Sébastien ; dans le registre supérieur sont représentés le calvaire entre les saints Jean l’évangéliste et Rocco, tandis que dans la prédelle on a des épisodes de l’enfance de Jésus. Dans le somptueux costume de l’archange Gabriel et dans le carrelage d’ Azulejos, on a la suggestion du luxe mystique des Catalans . La couleur vive sans transitions tonales semble être affectée par les compositions espagnoles et portugaises, mais l'utilisation judicieuse de la perspective est totalement italienne.
216
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de Sainte Catherine. Les fresques qui représentent la vie de Sainte Catherine de Sienne sont de Nicolo Corso, 1474. A doite, Catherine de Sienne choisit l'habit dominicain.
Église Santa Maria di Castello. Chapelle de Sainte Catherine. Les fresques qui représentent la vie de Sainte Catherine de Sienne sont de Nicolo Corso, 1474. A doite, Catherine de Sienne choisit l'habit dominicain.
217
Église Santa Maria di Castello. La chapelle de  Sainte Catherine comporte un polyptyque d'un maître lombard anonyme du XVe siècle av. J.-C., le Maitre des yeux baissés
Église Santa Maria di Castello. La chapelle de Sainte Catherine comporte un polyptyque d'un maître lombard anonyme du XVe siècle av. J.-C., le Maitre des yeux baissés" Sainte Catherine. Les Noces mystiques de Sainte Catherine d'Alexandrie et Sainte Catherine de Sienne entre les Saints Etienne, Laurent, Dominique et Pierre martyr. Au-dessus, le Calvaire au centre, Saint Thomas d'Aquin à gauche et Saint Vincnet Ferrer à droite sont d'un autre peintre .
218
Église Santa Maria di Castello. Le baptistère. Sarcophage romain.
Église Santa Maria di Castello. Le baptistère. Sarcophage romain.
219
Église Santa Maria di Castello. La toile d'autel avec San Sebastiano est de Giuseppe Palmieri (vers 1677 - 1740).
Église Santa Maria di Castello. La toile d'autel avec San Sebastiano est de Giuseppe Palmieri (vers 1677 - 1740).
220
Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
221
Église Santa Maria di Castello. Leonardo Riccomanno, portail de la sacristie.
Église Santa Maria di Castello. Leonardo Riccomanno, portail de la sacristie.
222
Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
225
Église Santa Maria di Castello. Clé de voûte : Saint Dominique. Dans les quartiers : Saint Thomas d'Aquin (qui porte l'Eglise) ; Saint Vincent Ferrer (avec le crucufix à la main) ; Saint Pierre Martyr (avec la tête transpercée). Fresques fin XV, Maitre de l'Annonciation del Monte.
Église Santa Maria di Castello. Clé de voûte : Saint Dominique. Dans les quartiers : Saint Thomas d'Aquin (qui porte l'Eglise) ; Saint Vincent Ferrer (avec le crucufix à la main) ; Saint Pierre Martyr (avec la tête transpercée). Fresques fin XV, Maitre de l'Annonciation del Monte.
226
Église Santa Maria di Castello. Saint Pierre Martyr (avec la tête transpercée).
Église Santa Maria di Castello. Saint Pierre Martyr (avec la tête transpercée).
227
Église Santa Maria di Castello. Vision de Saint Dominique qui trouve au Paradis les saints de son ordre, XVe siècle.
Église Santa Maria di Castello. Vision de Saint Dominique qui trouve au Paradis les saints de son ordre, XVe siècle.
228
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon de la Vierge entourée de Sibylles (à droite, Eubea), XVe siècle. La loggia appelée de l'Annonciation unissait la partie du couvent exclusivement réservée aux moines (en témoigne la lunette ornée de fresques au-dessus de la porte à l'ouest, où Saint Dominique demande le silence) et la partie ouverte au public (église, sacristie, parloirs, pharmacie ...).
C’était donc une galerie d'une grande importance, par laquelle la jeune communauté des Frères Prêcheurs, à peine arrivée à Castello, voulut illustrer son programme théologique. La pièce maîtresse de l'ensemble est la peinture de l'Annonciation: moment crucial où la Parole de Dieu se fait chair, où l'histoire de l’homme va commencer à tendre vers le divin, où est révélé le mystère dont les disciples de San Domenico veulent être les prédicateurs. Dans les croisillons on remarquera les portraits des personnages du monde biblique et du monde païen - comme les Sibylles du premier croisillon - qui, de différentes manières, annoncèrent l’Incarnation de la Parole de Dieu.
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon de la Vierge entourée de Sibylles (à droite, Eubea), XVe siècle. La loggia appelée de l'Annonciation unissait la partie du couvent exclusivement réservée aux moines (en témoigne la lunette ornée de fresques au-dessus de la porte à l'ouest, où Saint Dominique demande le silence) et la partie ouverte au public (église, sacristie, parloirs, pharmacie ...). C’était donc une galerie d'une grande importance, par laquelle la jeune communauté des Frères Prêcheurs, à peine arrivée à Castello, voulut illustrer son programme théologique. La pièce maîtresse de l'ensemble est la peinture de l'Annonciation: moment crucial où la Parole de Dieu se fait chair, où l'histoire de l’homme va commencer à tendre vers le divin, où est révélé le mystère dont les disciples de San Domenico veulent être les prédicateurs. Dans les croisillons on remarquera les portraits des personnages du monde biblique et du monde païen - comme les Sibylles du premier croisillon - qui, de différentes manières, annoncèrent l’Incarnation de la Parole de Dieu.
229
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon de l'Agnus Dei et des Prophètes, XVe siècle. En observant les médaillons sculptés au centre des croisillons, on notera les progressives représentations du Messie : Fils de Marie, Agneau de Dieu, Sauveur du monde, Homme des douleurs, pour atteindre son apogée dans le croisillon central qui porte le monogramme de Jésus, symbole de la Parole de Dieu enfin révélée aux hommes.
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon de l'Agnus Dei et des Prophètes, XVe siècle. En observant les médaillons sculptés au centre des croisillons, on notera les progressives représentations du Messie : Fils de Marie, Agneau de Dieu, Sauveur du monde, Homme des douleurs, pour atteindre son apogée dans le croisillon central qui porte le monogramme de Jésus, symbole de la Parole de Dieu enfin révélée aux hommes.
230
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon nom du Christ et des Prophètes, XVe siècle.
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon nom du Christ et des Prophètes, XVe siècle.
231
Église Santa Maria di Castello.  Loggia de l'Annonciation. Croisillon Saint Sauveur. Figures de Prophètes, XVe siècle.
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon Saint Sauveur. Figures de Prophètes, XVe siècle.
232
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon Ecce Homo et Prophètes.
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Croisillon Ecce Homo et Prophètes.
233
Église Santa Maria di Castello. Annonciation de Giusto d'Alemagna (Giusto di Ravensburg, 1451 et 1452). Il s’agit de l’une des œuvres les plus intéressantes du gothique international, manifeste d’un goût éclectique et d’une interprétation plus libre et plus tolérante des Saintes Écritures, caractéristiques de l’Europe du Nord. Conformément à la tradition flamande, chaque détail a une clarification symbolique qui doit être lue à la lumière de l’Apocryphe Protovangelo di Giacomo. L'espace architectural dans lequel se déroule l'Annonciation est entièrement italien et a été identifié au palais d'Albaro dei Grimaldi-Oliva, commissaires aux travaux.
Église Santa Maria di Castello. Annonciation de Giusto d'Alemagna (Giusto di Ravensburg, 1451 et 1452). Il s’agit de l’une des œuvres les plus intéressantes du gothique international, manifeste d’un goût éclectique et d’une interprétation plus libre et plus tolérante des Saintes Écritures, caractéristiques de l’Europe du Nord. Conformément à la tradition flamande, chaque détail a une clarification symbolique qui doit être lue à la lumière de l’Apocryphe Protovangelo di Giacomo. L'espace architectural dans lequel se déroule l'Annonciation est entièrement italien et a été identifié au palais d'Albaro dei Grimaldi-Oliva, commissaires aux travaux.
234
Église Santa Maria di Castello. Annonciation de Giusto d'Alemagna. La peinture (ce n’est pas une fresque) est la seule œuvre signée et datée (1451) de l'artiste; en témoigne l’inscription située sur le chambranle de la porte de gauche.
Le tableau représente un intérieur domestique, donnant sur un jardin par une porte et une fenêtre tr forée. Il représente la Visitation, la Nativité et le mystère de l'incarnation. Au premier plan, l'Archange Gabriel se tourne vers la Vierge pour annoncer la maternité à venir. Dans le fond, une fenêtre triforée s'ouvre sur un paysage luxuriant et un jardin où le peintre illustre la Visitation de Marie à Elisabeth. A travers la porte de gauche le peintre, habilement, montre la Nativité et annonce les évènements futurs. Dieu le Père regarde d’en haut et inonde la Vierge Marie de lumière. Cette interprétation est exécutée avec une grande habileté, typiquement nordique, dans le rendu des détails des nombreux objets de la vie quotidienne : la boîte en bois remplie de bobines de fil, le vase en céramique oriental, le tissu bleu et blanc macramé de style mauresque. Dans la chambre, derrière la tête de la vierge, le couvre-lit est brodé avec le monogramme du Christ. Noter la référence à la famille Grimaldi, commanditaire du tableau, clairement visible dans les armoiries placées au- dessus de la porte
Église Santa Maria di Castello. Annonciation de Giusto d'Alemagna. La peinture (ce n’est pas une fresque) est la seule œuvre signée et datée (1451) de l'artiste; en témoigne l’inscription située sur le chambranle de la porte de gauche. Le tableau représente un intérieur domestique, donnant sur un jardin par une porte et une fenêtre tr forée. Il représente la Visitation, la Nativité et le mystère de l'incarnation. Au premier plan, l'Archange Gabriel se tourne vers la Vierge pour annoncer la maternité à venir. Dans le fond, une fenêtre triforée s'ouvre sur un paysage luxuriant et un jardin où le peintre illustre la Visitation de Marie à Elisabeth. A travers la porte de gauche le peintre, habilement, montre la Nativité et annonce les évènements futurs. Dieu le Père regarde d’en haut et inonde la Vierge Marie de lumière. Cette interprétation est exécutée avec une grande habileté, typiquement nordique, dans le rendu des détails des nombreux objets de la vie quotidienne : la boîte en bois remplie de bobines de fil, le vase en céramique oriental, le tissu bleu et blanc macramé de style mauresque. Dans la chambre, derrière la tête de la vierge, le couvre-lit est brodé avec le monogramme du Christ. Noter la référence à la famille Grimaldi, commanditaire du tableau, clairement visible dans les armoiries placées au- dessus de la porte
235
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Architrave, sculpture sur ardoise. Saint Dominique qui demande le silence.
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Architrave, sculpture sur ardoise. Saint Dominique qui demande le silence.
236
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Architrave, sculpture sur ardoise. St Pierre de Vérone.
Église Santa Maria di Castello. Loggia de l'Annonciation. Architrave, sculpture sur ardoise. St Pierre de Vérone.
237
Église Santa Maria di Castello. Antoine Bréa, crucufix. Les Christe médiévaux sont représentés morts sur la croix. Les bourgeons au bout des bras représentent la vie éternelle. A gauche, un chérubin qui recueille le sang du Christ.
Église Santa Maria di Castello. Antoine Bréa, crucufix. Les Christe médiévaux sont représentés morts sur la croix. Les bourgeons au bout des bras représentent la vie éternelle. A gauche, un chérubin qui recueille le sang du Christ.
238
Église Santa Maria di Castello. Antoine Bréa, crucufix. Les Christe médiévaux sont représentés morts sur la croix. Les bourgeons au bout des bras représentent la vie éternelle.
Église Santa Maria di Castello. Antoine Bréa, crucufix. Les Christe médiévaux sont représentés morts sur la croix. Les bourgeons au bout des bras représentent la vie éternelle.
239
Église Santa Maria di Castello. Architrave, sculpture sur ardoise.
Église Santa Maria di Castello. Architrave, sculpture sur ardoise.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Ex-voto.
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Église Santa Maria di Castello. Petit cloitre d'entrée.
Église Santa Maria di Castello. Petit cloitre d'entrée.
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Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello. Le cloitre.
Église Santa Maria di Castello. Le cloitre.
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Église Santa Maria di Castello. Le cloitre. Au fond, le clocher et la coupole octogonale.
Église Santa Maria di Castello. Le cloitre. Au fond, le clocher et la coupole octogonale.
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Église Santa Maria di Castello. Le trésor.
Église Santa Maria di Castello. Le trésor.
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Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello. Moïse.
Église Santa Maria di Castello. Moïse.
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Église Santa Maria di Castello. Un Patriarche.
Église Santa Maria di Castello. Un Patriarche.
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Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello. Vierge à l'Enfant. Stuc. XVe siècle.
Église Santa Maria di Castello. Vierge à l'Enfant. Stuc. XVe siècle.
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Église Santa Maria di Castello. Dominique Gaggini, Vierge à l'Enfant, marbre peint, XVe siècle.
Église Santa Maria di Castello. Dominique Gaggini, Vierge à l'Enfant, marbre peint, XVe siècle.
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Église Santa Maria di Castello. Barnaba de Modena. Vierge à l'Enfant. Panneau peint.
Église Santa Maria di Castello. Barnaba de Modena. Vierge à l'Enfant. Panneau peint.
268
Église Santa Maria di Castello. L’Immacolata de Anton Maria Maragliano en bois peint (XVIII siécle).
Église Santa Maria di Castello. L’Immacolata de Anton Maria Maragliano en bois peint (XVIII siécle).
269
Église Santa Maria di Castello. Ludovic Bréa. Couronnement de la Vierge ou le Paradis. Panneau peint. 1513. 215 personnages, saints et fidéles.
Église Santa Maria di Castello. Ludovic Bréa. Couronnement de la Vierge ou le Paradis. Panneau peint. 1513. 215 personnages, saints et fidéles.
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Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello. Pradelle : mise au tombeau, avec un paysage de bord de mer ligure, vers Portofino.
Église Santa Maria di Castello. Pradelle : mise au tombeau, avec un paysage de bord de mer ligure, vers Portofino.
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Église Santa Maria di Castello.
Église Santa Maria di Castello.
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Église Santa Maria di Castello. Bas-relief.
Église Santa Maria di Castello. Bas-relief.
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Molo est un quartier du centre historique de Gênes . Situé à proximité de la plus ancienne zone portuaire, il est depuis des siècles le centre du pouvoir politique et religieux. C'était un des sestieri dans lequel la ville de Gênes était divisée. Le quartier tire son nom de la jetée , créée à partir du XIIIe siècle avec l'extension de la péninsule naturelle qui bordait la crique de Mandraccio, la partie la plus ancienne du port de Gênes. La colline du château, à 40 mètres d' altitude , était le site du plus ancien établissement pré-romain de Gênes, fondé au 6ème siècle avant notre ère par un groupe de Liguriens .
Molo est un quartier du centre historique de Gênes . Situé à proximité de la plus ancienne zone portuaire, il est depuis des siècles le centre du pouvoir politique et religieux. C'était un des sestieri dans lequel la ville de Gênes était divisée. Le quartier tire son nom de la jetée , créée à partir du XIIIe siècle avec l'extension de la péninsule naturelle qui bordait la crique de Mandraccio, la partie la plus ancienne du port de Gênes. La colline du château, à 40 mètres d' altitude , était le site du plus ancien établissement pré-romain de Gênes, fondé au 6ème siècle avant notre ère par un groupe de Liguriens .
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Palais Marcantonio Giustiniani. L’aspect unitaire du bâtiment est dû à une série d’interventions que la famille Giustiniani , en particulier de Marcantonio, réalise entre le XVIIe et le XVIIIe siècle avec l’achat et la fusion de l’aile nord de Filippo Scaglia. C'est sur la façade de ce dernier que l'on peut encore voir un bas-relief avec le lion de San Marco, rapporté de Pula en 1380 après la dernière défaite de la République de Venise , pendant la guerre de Chioggia. Sur la place, agrandie, surélevée de quelques marches au XVe siècle et fermée par des petits murs bas pour marquer les limites de la propriété de la famille, donnent deux étages nobles , signe de la présence de deux lignes de succession.

Si la structure médiévale est encore lisible dans les assises en pierre du sous-sol, les façades, l'atrium et le portail extérieur, surmonté du blason de la famille, sont clairement du XVIIe, ainsi que les portails intérieurs, œuvres des maîtres Bartolomeo Spazio.et Daniele Solaro .
Palais Marcantonio Giustiniani. L’aspect unitaire du bâtiment est dû à une série d’interventions que la famille Giustiniani , en particulier de Marcantonio, réalise entre le XVIIe et le XVIIIe siècle avec l’achat et la fusion de l’aile nord de Filippo Scaglia. C'est sur la façade de ce dernier que l'on peut encore voir un bas-relief avec le lion de San Marco, rapporté de Pula en 1380 après la dernière défaite de la République de Venise , pendant la guerre de Chioggia. Sur la place, agrandie, surélevée de quelques marches au XVe siècle et fermée par des petits murs bas pour marquer les limites de la propriété de la famille, donnent deux étages nobles , signe de la présence de deux lignes de succession. Si la structure médiévale est encore lisible dans les assises en pierre du sous-sol, les façades, l'atrium et le portail extérieur, surmonté du blason de la famille, sont clairement du XVIIe, ainsi que les portails intérieurs, œuvres des maîtres Bartolomeo Spazio.et Daniele Solaro .
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Palais Marcantonio Giustiniani.  Bas-relief avec le lion de San Marco, rapporté de Pula en 1380 après la dernière défaite de la République de Venise , pendant la guerre de Chioggia.
Palais Marcantonio Giustiniani. Bas-relief avec le lion de San Marco, rapporté de Pula en 1380 après la dernière défaite de la République de Venise , pendant la guerre de Chioggia.
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Palais Agostino et Giacomo Salvago. Le bâtiment conçu par l'architecte Domenico Caranca, a été rénové en 1550 avec Ottavio Semino, qui a exécuté les fresques de la façade principale, qui ont ensuite été effacées lors de la restauration de 1937, qui ont permis de découvrir des bandes bichromes et des arches trilobées le plâtre.
Palais Agostino et Giacomo Salvago. Le bâtiment conçu par l'architecte Domenico Caranca, a été rénové en 1550 avec Ottavio Semino, qui a exécuté les fresques de la façade principale, qui ont ensuite été effacées lors de la restauration de 1937, qui ont permis de découvrir des bandes bichromes et des arches trilobées le plâtre.
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Palais Agostino et Giacomo Salvago. Construit en 1532 pour Agostino et Giacomo Salvago sur le site de la curie médiévale de la famille Stregiaporco et sur le site de la 1414 Gabella attribué à Marco Salvago, le palais est le siège représentatif de l'hôtel jusqu'en 1637
Palais Agostino et Giacomo Salvago. Construit en 1532 pour Agostino et Giacomo Salvago sur le site de la curie médiévale de la famille Stregiaporco et sur le site de la 1414 Gabella attribué à Marco Salvago, le palais est le siège représentatif de l'hôtel jusqu'en 1637
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Palais Agostino e Giacomo Salvago. Ce qui reste aujourd'hui de l'extérieur est le portail de Giacomo Della Porta et Nicolò da Corte ; les deux statues de marbre du tympan représentent deux hommes sauvages s'appuyant sur des lions, symbole de la famille Salvago.
Palais Agostino e Giacomo Salvago. Ce qui reste aujourd'hui de l'extérieur est le portail de Giacomo Della Porta et Nicolò da Corte ; les deux statues de marbre du tympan représentent deux hommes sauvages s'appuyant sur des lions, symbole de la famille Salvago.
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Palais Agostino et Giacomo Salvago. L'empreinte médiévale tardive est évidente avec les bandes bichromes et les petits arcs trilobés.
Palais Agostino et Giacomo Salvago. L'empreinte médiévale tardive est évidente avec les bandes bichromes et les petits arcs trilobés.
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L'église San Donato église est érigée au début du XIIe siècle et agrandie un siècle plus tard. Elle représente l'exemple le plus marquant du roman génois.
L'église San Donato église est érigée au début du XIIe siècle et agrandie un siècle plus tard. Elle représente l'exemple le plus marquant du roman génois.
289
L'église San Donato. Son campanile octogonal (le terme plus approprié serait torre nolare, typique du style archaïque), orné de frises en dents de scie, décoré de bandes lombardes présente un double étage de fenêtres géminées et trilobées, couronné par une troisième rangée d'arcatures ajoutée durant les travaux de restauration d'Alfredo d'Andrade à la fin du XIXe siècle.
L'église San Donato. Son campanile octogonal (le terme plus approprié serait torre nolare, typique du style archaïque), orné de frises en dents de scie, décoré de bandes lombardes présente un double étage de fenêtres géminées et trilobées, couronné par une troisième rangée d'arcatures ajoutée durant les travaux de restauration d'Alfredo d'Andrade à la fin du XIXe siècle.
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L'église San Donato. Edicule de la MADONNA delle VIGNE de Tommaso Orsolino (XVIII sec.), avec une statue de la Vierge à l'Enfant , de Giovanni Domenico Casella, appelé Scorticone ( 1595-1648 ), surmonté de la représentation du Saint-Esprit sous la forme d'une colombe.
L'église San Donato. Edicule de la MADONNA delle VIGNE de Tommaso Orsolino (XVIII sec.), avec une statue de la Vierge à l'Enfant , de Giovanni Domenico Casella, appelé Scorticone ( 1595-1648 ), surmonté de la représentation du Saint-Esprit sous la forme d'une colombe.
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L'église San Donato La façade actuelle n'est pas celle d'origine ; elle a été modifiée par deux restaurations en 1888 - effectuée par Alfredo D'Andrade à la fin de laquelle eut lieu une seconde consécration – et en 1925, qui ajoutèrent la rosace et l'avant-portail et éliminèrent les enduits successifs du XVIe siècle. Originaux sont au contraire, le portail ébrasé et l'architrave romaine.
L'église San Donato La façade actuelle n'est pas celle d'origine ; elle a été modifiée par deux restaurations en 1888 - effectuée par Alfredo D'Andrade à la fin de laquelle eut lieu une seconde consécration – et en 1925, qui ajoutèrent la rosace et l'avant-portail et éliminèrent les enduits successifs du XVIe siècle. Originaux sont au contraire, le portail ébrasé et l'architrave romaine.
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L'église San Donato. Le portail ébrasé et l'architrave roman.
L'église San Donato. Le portail ébrasé et l'architrave roman.
293
L'église San Donato. L'intérieur présente un plan basilical à trois nefs, chacune avec sa propre abside, séparées par douze colonnes dont la typologie indique les différentes phases de la construction : six romaines monolithiques en granit et six autres à bandes blanches et noires avec des chapiteaux romans.
L'église San Donato. L'intérieur présente un plan basilical à trois nefs, chacune avec sa propre abside, séparées par douze colonnes dont la typologie indique les différentes phases de la construction : six romaines monolithiques en granit et six autres à bandes blanches et noires avec des chapiteaux romans.
294
L'église San Donato
L'église San Donato
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L'église San Donato. L'autel avec un cricifix en céramique, XVIIIe siècle. Derrière, toile qui représente Saint Donat.
L'église San Donato. L'autel avec un cricifix en céramique, XVIIIe siècle. Derrière, toile qui représente Saint Donat.
296
L'église San Donato. Cristo Moro, crucifix processionnel de Domenico Bissoni (1611).
L'église San Donato. Cristo Moro, crucifix processionnel de Domenico Bissoni (1611).
297
L'église San Donato. Le baptistère et l'autel néoclassique furent réalisés par les artistes génois Ignazio Peschiera (1777-1839) et Carlo Rubatto (1810-1881).
L'église San Donato. Le baptistère et l'autel néoclassique furent réalisés par les artistes génois Ignazio Peschiera (1777-1839) et Carlo Rubatto (1810-1881).
298
L'église San Donato. Vierge à l'Enfant du XIVe siècle de Nicolò da Voltri
L'église San Donato. Vierge à l'Enfant du XIVe siècle de Nicolò da Voltri
299
L'église San Donato. La mère et l'enfant sont presque frontaux et regardent vers le spectateur. Marie tient l'enfant Jésus de la main droite, tandis que de la gauche elle l'enveloppe dans son manteau. L'enfant tient un parchemin dans la main gauche, tandis que la droite tient son pied gauche. Le goût de la ligne ressort, un des éléments caractéristiques de la peinture siennoise, comme en témoigne le rythme sinueux et presque calligraphique du bord doré du manteau de la Vierge, des voiles blanc et violet, la finesse des formes des personnages qui se détachent sur le fond doré. L'exubérance décorative se remarque également dans l'anneau de Marie, dans le pendentif en corail au cou de Jésus, dans les broderies dorées à fleurs et feuilles typiques du gothique tardif, sur les vêtements de l'Enfant, dans les décorations perforées qui ornent les bords des vêtements, les auréoles, les bords de la table en bois se terminant par une cuspide divisée en cinq lobes.
L'église San Donato. La mère et l'enfant sont presque frontaux et regardent vers le spectateur. Marie tient l'enfant Jésus de la main droite, tandis que de la gauche elle l'enveloppe dans son manteau. L'enfant tient un parchemin dans la main gauche, tandis que la droite tient son pied gauche. Le goût de la ligne ressort, un des éléments caractéristiques de la peinture siennoise, comme en témoigne le rythme sinueux et presque calligraphique du bord doré du manteau de la Vierge, des voiles blanc et violet, la finesse des formes des personnages qui se détachent sur le fond doré. L'exubérance décorative se remarque également dans l'anneau de Marie, dans le pendentif en corail au cou de Jésus, dans les broderies dorées à fleurs et feuilles typiques du gothique tardif, sur les vêtements de l'Enfant, dans les décorations perforées qui ornent les bords des vêtements, les auréoles, les bords de la table en bois se terminant par une cuspide divisée en cinq lobes.
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L'église San Donato. Statue processionelle en bois, représentant la Madonna del Carmine (1790).
L'église San Donato. Statue processionelle en bois, représentant la Madonna del Carmine (1790).
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L'église San Donato. Le magnifique triptyque de Joos van Cleve (1515) représentant L'Adoration des mages (au centre)
L'église San Donato. Le magnifique triptyque de Joos van Cleve (1515) représentant L'Adoration des mages (au centre)
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L'église San Donato. Le magnifique triptyque de Joos van Cleve (1515) représentant L'Adoration des mages (au centre)
L'église San Donato. Le magnifique triptyque de Joos van Cleve (1515) représentant L'Adoration des mages (au centre)
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L'église San Donato. L'église San Donato.Jean François De Troy (Paris 1679 - Rome 17562). La Vierge à l'Enfant et les Âmes du Purgatoire. Autel, 1840, Raggi.
L'église San Donato. L'église San Donato.Jean François De Troy (Paris 1679 - Rome 17562). La Vierge à l'Enfant et les Âmes du Purgatoire. Autel, 1840, Raggi.
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