Perpignan

Perpignan est l'ancienne capitale continentale du royaume de Majorque, la ville est annexée par le Royaume de France en 1659. Dernière ville française méditerranéenne importante avant l'Espagne, elle est fortement influencée par la culture catalane. On visitera l'hôtel Pams, la maison des consuls, la cathédrale, la cha

<center>Perpignan</center>Place Arago. François Arago, né le 26 février 1786 à Estagel (Pyrénées-Orientales) et mort le 2 octobre 1853 à Paris, est un astronome, physicien et homme politique français.
Perpignan
Place Arago. François Arago, né le 26 février 1786 à Estagel (Pyrénées-Orientales) et mort le 2 octobre 1853 à Paris, est un astronome, physicien et homme politique français.
1
<center>Perpignan</center>Place Arago. Il fait ses études secondaires au collège communal de Perpignan (actuel lycée François-Arago), puis ses études supérieures à l'École polytechnique (Promotion 1803). Remarqué par Gaspard Monge et Laplace, il est nommé en 1805 secrétaire-bibliothécaire de l'Observatoire de Paris.
Perpignan
Place Arago. Il fait ses études secondaires au collège communal de Perpignan (actuel lycée François-Arago), puis ses études supérieures à l'École polytechnique (Promotion 1803). Remarqué par Gaspard Monge et Laplace, il est nommé en 1805 secrétaire-bibliothécaire de l'Observatoire de Paris.
2
<center>Perpignan</center>Place Arago. En 1806, il est envoyé en Espagne avec Jean-Baptiste Biot pour poursuivre le relevé du méridien de Paris. Il fut pendant les Trois Glorieuses colonel de la Garde nationale. Après la révolution de 1848, il a été ministre de la Guerre, de la Marine et des Colonies dans le gouvernement provisoire de la Seconde République, mis en place par Lamartine puis président de la Commission exécutive.
Perpignan
Place Arago. En 1806, il est envoyé en Espagne avec Jean-Baptiste Biot pour poursuivre le relevé du méridien de Paris. Il fut pendant les Trois Glorieuses colonel de la Garde nationale. Après la révolution de 1848, il a été ministre de la Guerre, de la Marine et des Colonies dans le gouvernement provisoire de la Seconde République, mis en place par Lamartine puis président de la Commission exécutive.
3
<center>Perpignan</center>Place Arago. Il a contribué à l'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises. Il refuse par la suite de prêter à Louis-Napoléon Bonaparte le serment de fidélité exigé des fonctionnaires et préfère démissionner de son poste au Bureau des Longitudes. Le Prince-Président refuse sa démission, le dispensant implicitement du serment d’allégeance. Après le Coup d'État de 1852 qui aboutit à la création du Second Empire, il démissionne de ses fonctions. Napoléon III demande à ce qu'il ne soit pas inquiété.
Perpignan
Place Arago. Il a contribué à l'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises. Il refuse par la suite de prêter à Louis-Napoléon Bonaparte le serment de fidélité exigé des fonctionnaires et préfère démissionner de son poste au Bureau des Longitudes. Le Prince-Président refuse sa démission, le dispensant implicitement du serment d’allégeance. Après le Coup d'État de 1852 qui aboutit à la création du Second Empire, il démissionne de ses fonctions. Napoléon III demande à ce qu'il ne soit pas inquiété.
4
<center>Perpignan</center>A cet endroit existait une ancienne fontaine.
Perpignan
A cet endroit existait une ancienne fontaine.
5
<center>Perpignan</center>En face, c'était un lupanar.
Perpignan
En face, c'était un lupanar.
6
<center>Perpignan</center>A la fin de la deuxième peste noire, un ange serait apparu, d'où le nom de la rue et la présence de la girouette.
Perpignan
A la fin de la deuxième peste noire, un ange serait apparu, d'où le nom de la rue et la présence de la girouette.
7
<center>Perpignan</center>Le
Perpignan
Le "caganer".
8
<center>Perpignan</center>Les
Perpignan
Les "caganer" célèbres.
9
<center>Perpignan</center>
Perpignan
10
<center>Perpignan</center>
Perpignan
11
<center>Perpignan</center>A l’angle de la rue Voltaire et de la rue des cordonniers, cette maison aujourd'hui très transformée laisse deviner ses façades originelles du 14e siècle. À l'étage principal, souligné par un cordon mouluré, de grandes baies triples devaient être garnies de fines colonnettes et de chapiteaux sculptés : il n'en reste que des éléments fragmentaires en pierre de taille. Au rez-de-chaussée, la structure de la boutique est intacte, avec ses linteaux en bois et ses arcs de décharge en briques. II faut sans doute voir dans cette maison la demeure d'un marchand du «beau Moyen-Age ».
Perpignan
A l’angle de la rue Voltaire et de la rue des cordonniers, cette maison aujourd'hui très transformée laisse deviner ses façades originelles du 14e siècle. À l'étage principal, souligné par un cordon mouluré, de grandes baies triples devaient être garnies de fines colonnettes et de chapiteaux sculptés : il n'en reste que des éléments fragmentaires en pierre de taille. Au rez-de-chaussée, la structure de la boutique est intacte, avec ses linteaux en bois et ses arcs de décharge en briques. II faut sans doute voir dans cette maison la demeure d'un marchand du «beau Moyen-Age ».
12
<center>Place de la République.</center>Les Jésuites édifièrent au 17e siècle, après avoir racheté plusieurs îlots de maisons médiévales, un immense couvent qu'ils abandonnèrent lors de leur expulsion, en 1774. La place de la République vit le jour dans le premier tiers du 19e siècle sur les terrains laissés libres depuis 1794 par la destruction de leur église, dédiée à Saint-Laurent, des bâtiments conventuels, du cimetière et des jardins. Occupée par un marché depuis lors, elle constitue un espace de sociabilité privilégié des Perpignanais.
Place de la République.
Les Jésuites édifièrent au 17e siècle, après avoir racheté plusieurs îlots de maisons médiévales, un immense couvent qu'ils abandonnèrent lors de leur expulsion, en 1774. La place de la République vit le jour dans le premier tiers du 19e siècle sur les terrains laissés libres depuis 1794 par la destruction de leur église, dédiée à Saint-Laurent, des bâtiments conventuels, du cimetière et des jardins. Occupée par un marché depuis lors, elle constitue un espace de sociabilité privilégié des Perpignanais.
13
<center>Place de la République.</center>Le théâtre municipal fut édifié en 1812 sur la cour et les salles de classe du collège désaffecté de ces religieux. Avec sa petite salle à l'italienne, il a gardé un décor d'avant-scène du 19e siècle.
Place de la République.
Le théâtre municipal fut édifié en 1812 sur la cour et les salles de classe du collège désaffecté de ces religieux. Avec sa petite salle à l'italienne, il a gardé un décor d'avant-scène du 19e siècle.
14
<center>Place de la République.</center>Coté gauche de la place de la République.
Place de la République.
Coté gauche de la place de la République.
15
<center>Place de la République.</center>
Place de la République.
16
<center>Perpignan</center>
Perpignan
17
<center>Perpignan</center>
Perpignan
18
<center>Perpignan</center>
Perpignan
19
<center>Perpignan</center>
Perpignan
20
<center>Perpignan</center>Statue de Hyacinthe Rigaud. Rigaud est un peintre français, spécialisé dans le portrait. Il naquit à Perpignan en 1659 et est mort à Paris en 1743. Il peignit les effigies des Bourbons sur quatre générations.
Perpignan
Statue de Hyacinthe Rigaud. Rigaud est un peintre français, spécialisé dans le portrait. Il naquit à Perpignan en 1659 et est mort à Paris en 1743. Il peignit les effigies des Bourbons sur quatre générations.
21
<center>Perpignan</center>
Perpignan
22
<center>Perpignan</center>
Perpignan
23
<center>Hôtel Pams</center>De chaque coté de la rue, les maisons arborent l'écusson de l'entreprise de papier à cigarettes J.O.B. JOB est une marque de papier à cigarette et une marque de cigarette fondée en 1849 par Jean Bardou et la famille Journet, puis reprise par son fils Pierre Bardou.
Hôtel Pams
De chaque coté de la rue, les maisons arborent l'écusson de l'entreprise de papier à cigarettes J.O.B. JOB est une marque de papier à cigarette et une marque de cigarette fondée en 1849 par Jean Bardou et la famille Journet, puis reprise par son fils Pierre Bardou.
24
<center>Hôtel Pams</center>C'est Pierre Bardou, fils du fondateur de l'entreprise de papier à cigarettes J.O.B qui, grâce à la fortune familiale, achète d'abord en 1852 une maison rue Saint-Sauveur (rue E. Zola) puis en 1872, d'autres habitations voisines et construit les premiers ateliers éclairés par la magnifique verrière.
Hôtel Pams
C'est Pierre Bardou, fils du fondateur de l'entreprise de papier à cigarettes J.O.B qui, grâce à la fortune familiale, achète d'abord en 1852 une maison rue Saint-Sauveur (rue E. Zola) puis en 1872, d'autres habitations voisines et construit les premiers ateliers éclairés par la magnifique verrière.
25
<center>Hôtel Pams</center>Jules Pams, né le 14 août 1852 à Perpignan (Pyrénées-Orientales) et mort le 12 mai 1930 à Paris, est un homme politique français. Classé républicain, il fut une personnalité marquante de la vie politique de la IIIe République. En 1913, il  faillit être président e la République Française.  Il est nommé ministre de l’Intérieur dans le cabinet Clemenceau de novembre 1917 à janvier 1920. Il fut aussi ministre délégué de la France à la Société des Nations.
Hôtel Pams
Jules Pams, né le 14 août 1852 à Perpignan (Pyrénées-Orientales) et mort le 12 mai 1930 à Paris, est un homme politique français. Classé républicain, il fut une personnalité marquante de la vie politique de la IIIe République. En 1913, il faillit être président e la République Française. Il est nommé ministre de l’Intérieur dans le cabinet Clemenceau de novembre 1917 à janvier 1920. Il fut aussi ministre délégué de la France à la Société des Nations.
26
<center>Hôtel Pams</center>A la mort en 1892 de son beau-père Pierre Bardou avec qui il vivait dans l'hôtel de la rue Zola, Jules Pams va pouvoir enfin transformer la maison à son goût. Il va faire appel à l'architecte designer Léopold Carlier (1839†1922) qui va donner à cet édifice son aspect actuel.
Hôtel Pams
A la mort en 1892 de son beau-père Pierre Bardou avec qui il vivait dans l'hôtel de la rue Zola, Jules Pams va pouvoir enfin transformer la maison à son goût. Il va faire appel à l'architecte designer Léopold Carlier (1839†1922) qui va donner à cet édifice son aspect actuel.
27
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
28
<center>Hôtel Pams</center>Raymond Sudre, Hélèna.
Hôtel Pams
Raymond Sudre, Hélèna.
29
<center>Hôtel Pams</center>Portrait de Marguerite Holtzer, la deuxième femme de Jules Pam, par J.E Blanche.
Hôtel Pams
Portrait de Marguerite Holtzer, la deuxième femme de Jules Pam, par J.E Blanche.
30
<center>Hôtel Pams</center>Portrait de Jules Pam, par J.E Blanche.
Hôtel Pams
Portrait de Jules Pam, par J.E Blanche.
31
<center>Hôtel Pams</center>Les  peintures sont de Paul Gervais. Pour cet hôtel, Gervais va reprendre un thème récurrent dans la peinture, en particulier au XIXe siècle : la Femme vénusienne, pleine de charme.
Hôtel Pams
Les peintures sont de Paul Gervais. Pour cet hôtel, Gervais va reprendre un thème récurrent dans la peinture, en particulier au XIXe siècle : la Femme vénusienne, pleine de charme.
32
<center>Hôtel Pams</center>En montant l'escalier de marbre et d'onyx, se déroulent sous nos yeux trois odes à l'Amour qui évoluent suivant les âges.
Hôtel Pams
En montant l'escalier de marbre et d'onyx, se déroulent sous nos yeux trois odes à l'Amour qui évoluent suivant les âges.
33
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
34
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
35
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
36
<center>Hôtel Pams</center>Sculpteur Gabriel Faraill, 1880.
Hôtel Pams
Sculpteur Gabriel Faraill, 1880.
37
<center>Hôtel Pams</center>Le temps passé, de Raymonde Maldès, salon de Paris, 1931.
Hôtel Pams
Le temps passé, de Raymonde Maldès, salon de Paris, 1931.
38
<center>Hôtel Pams</center>Sous le puits de lumière, les peintures historiques mettant en évidence les thèmes de la civilisation contre la barbarie, de l'expansion… sont aussi de Gervais.
Hôtel Pams
Sous le puits de lumière, les peintures historiques mettant en évidence les thèmes de la civilisation contre la barbarie, de l'expansion… sont aussi de Gervais.
39
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
40
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
41
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
42
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
43
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
44
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
45
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
46
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
47
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
48
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
49
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
50
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
51
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
52
<center>Hôtel Pams</center>Marguerite Pams-Holtzer prendra les lieux dans l'état mais fera enlever quelques blasons J.O.B. et surélever et paver le patio intérieur.
Hôtel Pams
Marguerite Pams-Holtzer prendra les lieux dans l'état mais fera enlever quelques blasons J.O.B. et surélever et paver le patio intérieur.
53
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
54
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
55
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
56
<center>Hôtel Pams</center>Gabriel Farrail, Jeune flûtiste, bronze.
Hôtel Pams
Gabriel Farrail, Jeune flûtiste, bronze.
57
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
58
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
59
<center>Hôtel Pams</center>Vénus à la myrte de Victorien-Antoine Bastet, 1896
Hôtel Pams
Vénus à la myrte de Victorien-Antoine Bastet, 1896
60
<center>Hôtel Pams</center>Les initiales de Jean Bardou, JB, sont d'abord séparées par une étoile, puis par un blason représentant les armes de la ville de Perpignan et enfin par un losange, devenu par la suite un « O ».
Hôtel Pams
Les initiales de Jean Bardou, JB, sont d'abord séparées par une étoile, puis par un blason représentant les armes de la ville de Perpignan et enfin par un losange, devenu par la suite un « O ».
61
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
62
<center>Hôtel Pams</center>Un atelier avec sa magnifique verrière.
Hôtel Pams
Un atelier avec sa magnifique verrière.
63
<center>Hôtel Pams</center>
Hôtel Pams
64
<center>Perpignan</center>La Sant Jordi (Saint-Georges en français) est une fête catalane qui se déroule le 23 avril, jour de la Saint-Georges, patron de la Catalogne. Les hommes offrent des roses aux femmes et reçoivent en retour un livre. Toutes les fontaines sont décorées par les fleuristes.
Perpignan
La Sant Jordi (Saint-Georges en français) est une fête catalane qui se déroule le 23 avril, jour de la Saint-Georges, patron de la Catalogne. Les hommes offrent des roses aux femmes et reçoivent en retour un livre. Toutes les fontaines sont décorées par les fleuristes.
65
<center>Perpignan</center>
Perpignan
66
<center>Perpignan</center>La Vénus au collier, d'Aristide Maillol.
Perpignan
La Vénus au collier, d'Aristide Maillol.
67
<center>Perpignan</center>La Vénus au collier, d'Aristide Maillol.
Perpignan
La Vénus au collier, d'Aristide Maillol.
68
<center> la Loge de mer</center>La Loge de Mer de Perpignan est un édifice gothique civil et méditerranéen construit à partir du XIVe siècle et achevé au XVIe siècle. Pendant le Moyen Âge, la place de la loge était le centre vital de la ville, et cumulait les différents pouvoirs locaux : bourse de commerce (loge de mer), la mairie, et le palais de la députation.
la Loge de mer
La Loge de Mer de Perpignan est un édifice gothique civil et méditerranéen construit à partir du XIVe siècle et achevé au XVIe siècle. Pendant le Moyen Âge, la place de la loge était le centre vital de la ville, et cumulait les différents pouvoirs locaux : bourse de commerce (loge de mer), la mairie, et le palais de la députation.
69
<center> la Loge de mer</center>Ce n'est qu'en 1397 que la première loge de mer est construite en style gothique. Elle ne comptait alors que quatre arcades qui furent prolongées par deux nouvelles en 1540, deux ans après l'entrée de Charles Quint à Perpignan. Au XVIIIe siècle, le maréchal de Mailly, gouverneur du Roussillon, transforme la loge de mer en théâtre. La révolution transforma le bâtiment en poste. Enfin, la ville de Perpignan récupère la loge en 1841, le café de France s'y installe.
la Loge de mer
Ce n'est qu'en 1397 que la première loge de mer est construite en style gothique. Elle ne comptait alors que quatre arcades qui furent prolongées par deux nouvelles en 1540, deux ans après l'entrée de Charles Quint à Perpignan. Au XVIIIe siècle, le maréchal de Mailly, gouverneur du Roussillon, transforme la loge de mer en théâtre. La révolution transforma le bâtiment en poste. Enfin, la ville de Perpignan récupère la loge en 1841, le café de France s'y installe.
70
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
71
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
72
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
73
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
74
<center> la Loge de mer</center>Une plaque commémorative posée entre les deux nouvelles arcades témoigne de l'extension.
la Loge de mer
Une plaque commémorative posée entre les deux nouvelles arcades témoigne de l'extension.
75
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
76
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
77
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
78
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
79
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
80
<center> la Loge de mer</center>
la Loge de mer
81
<center>La maison des consuls </center>Bâti en 1318, l'édifice primitif, qui ouvrait sur la place par deux arcades en plein cintre, est à la base du vestibule de l'hôtel de ville. La maison consulaire fut exhaussée et agrandie aux 16e et 17e siècles. La façade de cailloux roulés est typique de l'architecture catalane.
La maison des consuls
Bâti en 1318, l'édifice primitif, qui ouvrait sur la place par deux arcades en plein cintre, est à la base du vestibule de l'hôtel de ville. La maison consulaire fut exhaussée et agrandie aux 16e et 17e siècles. La façade de cailloux roulés est typique de l'architecture catalane.
82
<center>La maison des consuls </center>A la fin du XIIe siècle, la ville échoit au comte de Barcelone et roi d’Aragon. Pour contrer le pouvoir des seigneurs féodaux, le souverain place la ville sous la direction de cinq consuls choisis parmi les trois couches de la population. Deux proviennent de la couche supérieure (grands négociants, armateurs), deux sont issus de la bourgeoisie d’affaire ou titulaire d’offices (commerçants et professions libérales) et le dernier vient du peuple.
La maison des consuls
A la fin du XIIe siècle, la ville échoit au comte de Barcelone et roi d’Aragon. Pour contrer le pouvoir des seigneurs féodaux, le souverain place la ville sous la direction de cinq consuls choisis parmi les trois couches de la population. Deux proviennent de la couche supérieure (grands négociants, armateurs), deux sont issus de la bourgeoisie d’affaire ou titulaire d’offices (commerçants et professions libérales) et le dernier vient du peuple.
83
<center>La maison des consuls </center>Les grilles en fer forgé de ses larges portes sont du 18e siècle.
La maison des consuls
Les grilles en fer forgé de ses larges portes sont du 18e siècle.
84
<center>La maison des consuls </center>Les trois mains ou bras en bronze, sur la façade, symbolisent l'organisation sociale de la cité sous l'Ancien Régime. Les consuls sont issus d'un des trois ordres : ici, celui du peuple.
La maison des consuls
Les trois mains ou bras en bronze, sur la façade, symbolisent l'organisation sociale de la cité sous l'Ancien Régime. Les consuls sont issus d'un des trois ordres : ici, celui du peuple.
85
<center>La maison des consuls </center>L'ordre de la bourgeoisie.
La maison des consuls
L'ordre de la bourgeoisie.
86
<center>La maison des consuls </center>L'ordre des grands négociants.
La maison des consuls
L'ordre des grands négociants.
87
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
88
<center>La maison des consuls </center>Son plafond peint du 14e siècle repose sur des corbeaux sculptés d'un bestiaire fantastique.
La maison des consuls
Son plafond peint du 14e siècle repose sur des corbeaux sculptés d'un bestiaire fantastique.
89
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
90
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
91
<center>La maison des consuls </center>Plaque commémorant la charte de libertés communales de 1197. La ville est placée sous  la direction de cinq consuls.
La maison des consuls
Plaque commémorant la charte de libertés communales de 1197. La ville est placée sous la direction de cinq consuls.
92
<center>La maison des consuls </center>La Méditerranée, d'Aristide Maillol, médite au centre du patio.
La maison des consuls
La Méditerranée, d'Aristide Maillol, médite au centre du patio.
93
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
94
<center>La maison des consuls </center>La Méditerranée, d'Aristide Maillol, médite au centre du patio.
La maison des consuls
La Méditerranée, d'Aristide Maillol, médite au centre du patio.
95
<center>La maison des consuls </center>La Méditerranée, d'Aristide Maillol, médite au centre du patio.
La maison des consuls
La Méditerranée, d'Aristide Maillol, médite au centre du patio.
96
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
97
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
98
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
99
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
100
<center>La maison des consuls </center>Blason de la ville.
La maison des consuls
Blason de la ville.
101
<center>La maison des consuls </center>
La maison des consuls
102
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
103
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
104
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
105
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
106
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
107
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
108
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
109
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
110
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
111
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
112
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
113
<center>La maison des consuls </center>La salle des mariages.
La maison des consuls
La salle des mariages.
114
<center>Le palais de la députation.</center>Jouxtant l'Hôtel de Ville, l'ancien palais de la Députation fut édifié au milieu du XVe siècle pour être le siège en Roussillon de la représentation permanente de la Diputaciô del General ou Generalitat. Son architecte, Marc Safont, avait d'ailleurs participé à la construction du Palau de la Generalitat de Barcelone. Occupé après 1659 par le Conseil souverain du Roussillon puis par le palais de Justice, l'édifice fut intégré à l'hôtel de ville en 1866. Les énormes claveaux du portail mesurent près de 2 m et s’opposent aux délicates fenêtres à colonnettes du premier étage.
Le palais de la députation.
Jouxtant l'Hôtel de Ville, l'ancien palais de la Députation fut édifié au milieu du XVe siècle pour être le siège en Roussillon de la représentation permanente de la Diputaciô del General ou Generalitat. Son architecte, Marc Safont, avait d'ailleurs participé à la construction du Palau de la Generalitat de Barcelone. Occupé après 1659 par le Conseil souverain du Roussillon puis par le palais de Justice, l'édifice fut intégré à l'hôtel de ville en 1866. Les énormes claveaux du portail mesurent près de 2 m et s’opposent aux délicates fenêtres à colonnettes du premier étage.
115
<center>Le palais de la députation.</center>Ses fenêtres trilobées à colonnettes avec leurs chapiteaux à motifs de feuillage et ses façades sobres et symétriques, percées de majestueuses portes en plein cintre, sont d'une grande pureté.
Le palais de la députation.
Ses fenêtres trilobées à colonnettes avec leurs chapiteaux à motifs de feuillage et ses façades sobres et symétriques, percées de majestueuses portes en plein cintre, sont d'une grande pureté.
116
<center>Perpignan</center>
Perpignan
117
<center>Rue Lazare Escarguel.</center>
Rue Lazare Escarguel.
118
<center>Rue Lazare Escarguel.</center>
Rue Lazare Escarguel.
119
<center>La Casa Julia, un patio gothique</center>Edifiée dans le quartier des paraires, pareurs de draps, par un mercader, riche marchand, cette maison d'origine médiévale, une des plus anciennes de la ville, a conservé en partie ses dispositions d'origine. Les façades, en galets, sont austères.
La Casa Julia, un patio gothique
Edifiée dans le quartier des paraires, pareurs de draps, par un mercader, riche marchand, cette maison d'origine médiévale, une des plus anciennes de la ville, a conservé en partie ses dispositions d'origine. Les façades, en galets, sont austères.
120
<center>La Casa Julia, un patio gothique</center>La porte d'entrée en plein cintre est composée de claveaux de marbre blanc et rouge.
La Casa Julia, un patio gothique
La porte d'entrée en plein cintre est composée de claveaux de marbre blanc et rouge.
121
<center>La Casa Julia, un patio gothique</center>
La Casa Julia, un patio gothique
122
<center>Eglise Saint-Jean-le-vieux</center>Saint-Jean-le-Vieux est l'Eglise primitive de la ville. Le 16 mai 1025, Gaufred II comte du Roussillon et Béranger évêque d'Elne célèbrent la consécration de la nouvelle église dédiée à Saint-Jean-Baptiste.
En 1102, Gislabert II y institue la vie canoniale et en 1116, Arnau-Gaufred fait ériger un hôpital des pauvres (Saint-Jean) à l'Ouest du mur d'enceinte de l'église. L'église Saint-Jean, du 10e siècle, fut agrandie plusieurs fois, jusqu'à devenir, au 13e siècle, une grande église à trois nefs.
Eglise Saint-Jean-le-vieux
Saint-Jean-le-Vieux est l'Eglise primitive de la ville. Le 16 mai 1025, Gaufred II comte du Roussillon et Béranger évêque d'Elne célèbrent la consécration de la nouvelle église dédiée à Saint-Jean-Baptiste. En 1102, Gislabert II y institue la vie canoniale et en 1116, Arnau-Gaufred fait ériger un hôpital des pauvres (Saint-Jean) à l'Ouest du mur d'enceinte de l'église. L'église Saint-Jean, du 10e siècle, fut agrandie plusieurs fois, jusqu'à devenir, au 13e siècle, une grande église à trois nefs.
123
<center>Eglise Saint-Jean-le-vieux</center>Au 18e siècle, la vieille église subit des amputations conséquentes, et sa transformation en usine électrique en 1905 la dégrada profondément.
Eglise Saint-Jean-le-vieux
Au 18e siècle, la vieille église subit des amputations conséquentes, et sa transformation en usine électrique en 1905 la dégrada profondément.
124
<center>Eglise Saint-Jean-le-vieux</center>Du premier édifice subsiste la base du clocher avec son décor d'arcatures romanes.
Eglise Saint-Jean-le-vieux
Du premier édifice subsiste la base du clocher avec son décor d'arcatures romanes.
125
<center>Eglise Saint-Jean-le-vieux</center>Dans la première moitié du XIIIème siècle, le bâtiment subit de nombreux travaux : le beau portail sculpté d'un Christ en majesté date de cette période. Le décor du portail, surmonté par un christ trônant, attribué au sculpteur Ramon de Bianya, exprime l'aboutissement de la sculpture romane roussillonnaise.
Eglise Saint-Jean-le-vieux
Dans la première moitié du XIIIème siècle, le bâtiment subit de nombreux travaux : le beau portail sculpté d'un Christ en majesté date de cette période. Le décor du portail, surmonté par un christ trônant, attribué au sculpteur Ramon de Bianya, exprime l'aboutissement de la sculpture romane roussillonnaise.
126
<center>Perpignan</center>L'ancien hôpital a été détruit à la fin du XIXe, sa fontaine de 1431 a été déplacée en face du porche de la cathédrale.
Perpignan
L'ancien hôpital a été détruit à la fin du XIXe, sa fontaine de 1431 a été déplacée en face du porche de la cathédrale.
127
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>L'église Saint-Jean devenue trop petite, la construction d'un nouvel édifice fut initiée par Sanç de Majorque en 1324. L'effondrement du royaume de Majorque stoppa le chantier. À sa reprise au 15e siècle, le plan initial à trois nefs fut abandonné : le majorquin Guillem Sagrera, un des architectes majeurs de son temps, auteur de la cathédrale de Palma de Majorque, opta pour une nef unique de grande ampleur. Les travaux furent achevés en 1509 et l'église érigée en cathédrale en 1602. La façade fut ornée d'un porche au 17e siècle et d'un campanile en fer forgé au 18e.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
L'église Saint-Jean devenue trop petite, la construction d'un nouvel édifice fut initiée par Sanç de Majorque en 1324. L'effondrement du royaume de Majorque stoppa le chantier. À sa reprise au 15e siècle, le plan initial à trois nefs fut abandonné : le majorquin Guillem Sagrera, un des architectes majeurs de son temps, auteur de la cathédrale de Palma de Majorque, opta pour une nef unique de grande ampleur. Les travaux furent achevés en 1509 et l'église érigée en cathédrale en 1602. La façade fut ornée d'un porche au 17e siècle et d'un campanile en fer forgé au 18e.
128
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>L’horloge de la cathédrale placée dans le clocher de la façade possède une très belle cage en fer forgé d’une hauteur de 18 m et datée de 1743. Le bourdon de l’horloge est l’un des plus anciens (1418) et possède les plus grandes cloches (2 m de diamètre) de la région. La grosse cloche sonnait auparavant les heures et le tocsin, tandis qu’une petite du XVe siècle, située à l’étage supérieur sonnait les quarts. Des globes de cuivre dorés sont surmontés de fanions girouettes. Horloge à une seule aiguille.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
L’horloge de la cathédrale placée dans le clocher de la façade possède une très belle cage en fer forgé d’une hauteur de 18 m et datée de 1743. Le bourdon de l’horloge est l’un des plus anciens (1418) et possède les plus grandes cloches (2 m de diamètre) de la région. La grosse cloche sonnait auparavant les heures et le tocsin, tandis qu’une petite du XVe siècle, située à l’étage supérieur sonnait les quarts. Des globes de cuivre dorés sont surmontés de fanions girouettes. Horloge à une seule aiguille.
129
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>En haut, horloge lunaire et astronomique.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
En haut, horloge lunaire et astronomique.
130
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
131
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
132
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
133
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
134
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Commencée sous les Rois de Majorque (1324) sur un plan gothique nordique à trois nefs, son édification est reprise en 1433 sur un plan modifié en gothique méridional et achevée au début du XVIe. Ce style s'exprime par les contreforts intérieurs, délimitant les chapelles latérales et la nef unique et solennelle de 80 m de long sur 18 de large et 26 de hauteur.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Commencée sous les Rois de Majorque (1324) sur un plan gothique nordique à trois nefs, son édification est reprise en 1433 sur un plan modifié en gothique méridional et achevée au début du XVIe. Ce style s'exprime par les contreforts intérieurs, délimitant les chapelles latérales et la nef unique et solennelle de 80 m de long sur 18 de large et 26 de hauteur.
135
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Vitrail de la façade.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Vitrail de la façade.
136
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle des fonts baptismaux. Les fonts baptismaux proviennent de l'église Sainte Marie de Mailloles. Il s’agit d’un monolithe de marbre blanc qui figure une cuve dont les douves seraient serrées en leur milieu par un câble. Sur deux d'entre elles, on voit une tête, de face, grossièrement sculptée. Sur la tranche est gravée l’inscription suivante : L'eau de la fontaine sacrée étouffe les sifflements du serpent coupable. On peut dater la cuve de la fin du XIe siècle ou du début du XIIe siècle. Sa dimension imposante montre que le baptême d’adultes par immersion était encore pratiqué à cette époque.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle des fonts baptismaux. Les fonts baptismaux proviennent de l'église Sainte Marie de Mailloles. Il s’agit d’un monolithe de marbre blanc qui figure une cuve dont les douves seraient serrées en leur milieu par un câble. Sur deux d'entre elles, on voit une tête, de face, grossièrement sculptée. Sur la tranche est gravée l’inscription suivante : L'eau de la fontaine sacrée étouffe les sifflements du serpent coupable. On peut dater la cuve de la fin du XIe siècle ou du début du XIIe siècle. Sa dimension imposante montre que le baptême d’adultes par immersion était encore pratiqué à cette époque.
137
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle des fonts baptismaux. Le Baptême de Clovis» qui est considéré comme l’acte définitif qui marque l'adhésion au christianisme des francs. A gauche, Clovis, roi des Francs, accompagné de Clotilde, son épouse chrétienne. A droite, l’évêque saint Rémi le baptise en 496 dans la cathédrale de Reims. De part et d’autre des vitraux, des scènes sur le thème de la soif que Dieu seul peut étancher.A gauche, le Christ et la Samaritaine au puits de Jacob. A droite, Moïse fait jaillir l'eau du rocher dans le désert pour abreuver le peuple assoiffé qui doute et se révolte.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle des fonts baptismaux. Le Baptême de Clovis» qui est considéré comme l’acte définitif qui marque l'adhésion au christianisme des francs. A gauche, Clovis, roi des Francs, accompagné de Clotilde, son épouse chrétienne. A droite, l’évêque saint Rémi le baptise en 496 dans la cathédrale de Reims. De part et d’autre des vitraux, des scènes sur le thème de la soif que Dieu seul peut étancher.A gauche, le Christ et la Samaritaine au puits de Jacob. A droite, Moïse fait jaillir l'eau du rocher dans le désert pour abreuver le peuple assoiffé qui doute et se révolte.
138
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle des fonts baptismaux.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle des fonts baptismaux.
139
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de saint Galderic (Gauderique). Le retable œuvre de Louis Generès, doré par Scriba. De part et d’autre de la table d’autel en marbre, deux portes portant des toiles marouflées de Saint-Pierre tenant les clés du Royaume des cieux, et Saint-Paul portant l’épée qui servit lors de son martyre. Au centre du retable, Saint Galderic tenant un soc de charrue et des épis de blé. Ce cultivateur réputé pour sa piété au IXème siècle est le patron des agriculteurs. On l’invoque particulièrement en temps de sécheresse. À gauche Saint Jérôme, ermite, (Vème siècle). On lui doit la traduction de la Bible en latin. À droite Saint-Roch, protecteur des épidémies.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de saint Galderic (Gauderique). Le retable œuvre de Louis Generès, doré par Scriba. De part et d’autre de la table d’autel en marbre, deux portes portant des toiles marouflées de Saint-Pierre tenant les clés du Royaume des cieux, et Saint-Paul portant l’épée qui servit lors de son martyre. Au centre du retable, Saint Galderic tenant un soc de charrue et des épis de blé. Ce cultivateur réputé pour sa piété au IXème siècle est le patron des agriculteurs. On l’invoque particulièrement en temps de sécheresse. À gauche Saint Jérôme, ermite, (Vème siècle). On lui doit la traduction de la Bible en latin. À droite Saint-Roch, protecteur des épidémies.
140
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de saint Galderic (Gauderique). Les peintures murales : Sur le mur de droite, la mort de Saint-Roch, à Voghera (Italie). Sur le mur de gauche, le miracle de saint Galderic. A la prédelle, deux panneaux sculptés portant les profils du Christ et de la Vierge Marie peuvent s’ouvrir pour dévoiler le reliquaire de Saint Galderic. Au sommet du retable Saint-Denis, martyr, qui présente sa tête coupée lors de la persécution de Valérien au IIIème siècle. Il fut le premier évêque de Lutèce (Paris).
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de saint Galderic (Gauderique). Les peintures murales : Sur le mur de droite, la mort de Saint-Roch, à Voghera (Italie). Sur le mur de gauche, le miracle de saint Galderic. A la prédelle, deux panneaux sculptés portant les profils du Christ et de la Vierge Marie peuvent s’ouvrir pour dévoiler le reliquaire de Saint Galderic. Au sommet du retable Saint-Denis, martyr, qui présente sa tête coupée lors de la persécution de Valérien au IIIème siècle. Il fut le premier évêque de Lutèce (Paris).
141
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de saint Galderic (Gauderique). A gauche Saint-Roch montrant le bubon de la peste sur sa cuisse avec à ses pieds le chien qui lui porta secours. Il est invoqué contre la peste. 
À droite saint Galderic protecteur des récoltes, tenant à la main un symbolique soc de charrue.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de saint Galderic (Gauderique). A gauche Saint-Roch montrant le bubon de la peste sur sa cuisse avec à ses pieds le chien qui lui porta secours. Il est invoqué contre la peste. À droite saint Galderic protecteur des récoltes, tenant à la main un symbolique soc de charrue.
142
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle Sainte Marguerite. Le retable, charmante œuvre du XVIIIe siècle, provient de l'ancien couvent des capucins, situé au bord de la Têt.
Au centre : sainte Marguerite est représentée piétinant le dragon, (cette iconographie la fait parfois confondre avec sainte Marthe).
Dans la niche supérieure : sainte Rose.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle Sainte Marguerite. Le retable, charmante œuvre du XVIIIe siècle, provient de l'ancien couvent des capucins, situé au bord de la Têt. Au centre : sainte Marguerite est représentée piétinant le dragon, (cette iconographie la fait parfois confondre avec sainte Marthe). Dans la niche supérieure : sainte Rose.
143
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle Sainte Marguerite. Les peintures murales qui ornent les murs des chapelles latérales ont été exécutées- par Jacques Pauthe de 1864 à 1873, sauf celle de la Vierge immaculée. Saint François de Salles reçoit l'engagement de Jeanne de Chantal et ses premières compagnes de l’ordre de la Visitation en leur remettant la croix. Au-dessus sainte Marguerite tenant en laisse le dragon qu'elle a vaincu.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle Sainte Marguerite. Les peintures murales qui ornent les murs des chapelles latérales ont été exécutées- par Jacques Pauthe de 1864 à 1873, sauf celle de la Vierge immaculée. Saint François de Salles reçoit l'engagement de Jeanne de Chantal et ses premières compagnes de l’ordre de la Visitation en leur remettant la croix. Au-dessus sainte Marguerite tenant en laisse le dragon qu'elle a vaincu.
144
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle Sainte Marguerite. Saint Jérôme va ensevelir le corps du saint ermite Paul qu'un lion protégeait des charognards. Au-dessus l'apothéose de sainte Rose de Viterbe.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle Sainte Marguerite. Saint Jérôme va ensevelir le corps du saint ermite Paul qu'un lion protégeait des charognards. Au-dessus l'apothéose de sainte Rose de Viterbe.
145
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle Sainte Marguerite. A gauche, sainte Marguerite, à droite sainte Thérèse d'Avila.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle Sainte Marguerite. A gauche, sainte Marguerite, à droite sainte Thérèse d'Avila.
146
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de Sainte Thérèse d’Avila. Le retable provient probablement de l’ancien couvent des Carmes déchaux (1600). Il suit strictement le modèle qui s’est imposé au XVIIIe siècle avec ses quatre colonnes de marbre rouge, supportant un baldaquin. Au centre, une importante huile sur toile représente la Transverbération de Sainte Thérèse d’Avila. Deux statues l’entourent, à gauche Sainte-Lucie et à droite Saint Jean de la Croix. Le couronnement du retable porte un tableau en médaillon représentant saint Antoine de Padoue. A la prédelle, sont enchâssés trois cadres reliquaire.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de Sainte Thérèse d’Avila. Le retable provient probablement de l’ancien couvent des Carmes déchaux (1600). Il suit strictement le modèle qui s’est imposé au XVIIIe siècle avec ses quatre colonnes de marbre rouge, supportant un baldaquin. Au centre, une importante huile sur toile représente la Transverbération de Sainte Thérèse d’Avila. Deux statues l’entourent, à gauche Sainte-Lucie et à droite Saint Jean de la Croix. Le couronnement du retable porte un tableau en médaillon représentant saint Antoine de Padoue. A la prédelle, sont enchâssés trois cadres reliquaire.
147
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de Sainte Thérèse d’Avila. A gauche, Sainte Thérèse d’Avila (1515 – 1582). À droite Sainte-Lucie, vierge et martyre.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de Sainte Thérèse d’Avila. A gauche, Sainte Thérèse d’Avila (1515 – 1582). À droite Sainte-Lucie, vierge et martyre.
148
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de l’Immaculée Conception. Le retable monumental, d’exécution extraordinairement soignée, est l'œuvre de Llatzer Tremullas (fils), au tout début du XVIIIe.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de l’Immaculée Conception. Le retable monumental, d’exécution extraordinairement soignée, est l'œuvre de Llatzer Tremullas (fils), au tout début du XVIIIe.
149
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de l’Immaculée Conception. 
Registre principal : au centre, Marie l’immaculée conception, la lune sous les pieds, le Soleil pour manteau, et couronnée de douze étoiles selon la vision de l'apocalypse. A gauche, Saint Joachim, et à droite sainte Anne, les parents de Marie.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de l’Immaculée Conception. Registre principal : au centre, Marie l’immaculée conception, la lune sous les pieds, le Soleil pour manteau, et couronnée de douze étoiles selon la vision de l'apocalypse. A gauche, Saint Joachim, et à droite sainte Anne, les parents de Marie.
150
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de l’Immaculée Conception. Registre supérieur: le centre est occupé par un baldaquin, à droite, la nativité de Jésus, à gauche, la Visitation. Au fronton : le couronnement de Marie au ciel.
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de l’Immaculée Conception. Registre supérieur: le centre est occupé par un baldaquin, à droite, la nativité de Jésus, à gauche, la Visitation. Au fronton : le couronnement de Marie au ciel.
151
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de l’Immaculée Conception. 
A la prédelle : de gauche à droite, la fuite en Egypte, l'annonciation, l'adoration des mages. Des atlantes soutiennent la base des colonnes, couvertes de guirlandes et peuplées d'anges aux ailes déployées
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de l’Immaculée Conception. A la prédelle : de gauche à droite, la fuite en Egypte, l'annonciation, l'adoration des mages. Des atlantes soutiennent la base des colonnes, couvertes de guirlandes et peuplées d'anges aux ailes déployées
152
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de l’Immaculée Conception. Les murs et les voûtes sont couverts de fresques de Jacques Gamelin. (1785). Au fond, la présentation de Marie au temple (les quinze degrés). Devant, Jésus adolescent parmi les docteurs du temple de Jérusalem
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de l’Immaculée Conception. Les murs et les voûtes sont couverts de fresques de Jacques Gamelin. (1785). Au fond, la présentation de Marie au temple (les quinze degrés). Devant, Jésus adolescent parmi les docteurs du temple de Jérusalem
153
<center>La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.</center>Chapelle de l’Immaculée Conception. Au fond, la nativité de Marie. Devant, la Pentecôte
La cathédrale Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle de l’Immaculée Conception. Au fond, la nativité de Marie. Devant, la Pentecôte
154