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Église Saint-Pierre de Prades
Les anges souffleurs.
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Les anges souffleurs.
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La partie médiane est occupée par l'Immaculée Conception et au-dessus, Dieu le Père et l'Esprit-Saint. La Vierge Marie semble être l'intermédiaire entre le pouvoir spirituel (Dieu) et le pouvoir temporel (saint Pierre).
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De gauche à droite, Saint Jérôme dans un médaillon, Saint Simon, l'Immaculée Conception, Saint Jude, Saint Augustin dans un médaillon. Au-dessus, l'ange à l'encensoir, Dieu le Père et la colombe du Saint Esprit, l'ange au carquois. Et au sommet, St Thomas avec la lance qui le tua.
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L'ange à l'encensoir, Dieu le Père et la colombe du Saint Esprit, l'ange au carquois. Et au sommet, St Thomas avec la lance qui le tua.
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La clé de voûte représente Saint Pierre tenant les clés.
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La chapelle saint Gaudérique. Dédiée à saint Gaudérique, saint catalan traditionnellement patron des laboureurs, la clé de voûte comme le retable lui sont dédiés. Le retable attribué à Joseph Sunyer, classé, daté de 1714. Les murs sont décorés d'épis de blé par Léo Polge. Saint Gaudérique patron secondaire du diocèse de Perpignan et patron des laboureurs (fête le 16 octobre) a de tout temps été préposé à la pluie par la dévotion populaire.
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Au centre, La cloche de l'Angélus, c’est un mauvais tour du Sacristain qui a surpris St Gaudérique conduisant son char à bœufs, à la traversée du torrent. N’importe ! il se met aussitôt à genoux selon son habitude et voici que les eaux s’écartent pour ne pas mouiller ses vêtements. A gauche, Saint Martin. A droite, Saint Liboire, évêque du Mans, est invoqué pour les maladies de la gravelle, d'où la présence de pierres sur son livre. Ses goigs, c’est-à-dire son hymne catalan, font état d’une rencontre avec Saint Martin, ce qui nous fait présumer que la statue qui est placée au même niveau symétriquement à gauche, représente Saint Martin. Deux médaillons latéraux s’ornent du portrait des donateurs, tandis que deux panneaux inférieurs en portaient les armoiries, grattées à la Révolution.
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Au centre, Sainte Ursule et ses compagnes. A gauche, Sainte Marguerite qui piétine le démon. A droite, Sainte Marthe qui a perdu récemment le bénitier portatif qui lui servit d’arme contre la Tarasque légendaire. Au sommet un ange porte la croix et le calice qui a recueilli le Sang du Christ.
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La chapelle saint Jean-Baptiste. La clé de voûte porte « un agneau pascal », symbole du Christ, évoquant la parole de Saint Jean Baptiste : « Voilà l'agneau de Dieu ». Voilà pourquoi le retable, daté de 1699, est dédié au Saint Précurseur. Cette chapelle était le siège de la confrérie des menuisiers, maçons, tisserands à lin, faiseurs de comportes, potiers, charpentiers, tailleurs de pierre et tonneliers : confrérie qui possédait le « mystère » de l’Ecce Homo pour les processions de la semaine Sainte. Un autel de Saint Jean-Baptiste est mentionné en 1381 dans l'ancienne église.
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Saint Michel, Saint François d’Assise. Sur le Mont Alverne, un Séraphin, semblant crucifié, imprima mystérieusement aux mains et aux pieds de Saint François les traces des clous, et au côté, la marque du coup de lance donné au Christ en croix. La position de ces stigmates sacrés explique la position des mains de la statue. Au-dessous de la statue de Jean-Baptiste figurent deux panneaux sculptés dont la prédication de Jean-Baptiste qui s'inspire d'une toile de Nicolas Poussin de 1634 : Saint-Jean baptisant sur les bords du Jourdain. L'autre panneau représente le martyre de Saint Valent, diacre. Ce retable est attribué à Joseph Sunyer.
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Au centre, Saint Jean-Baptiste, la Vierge à l'enfant, vénérée sous le vocable de Notre Dame de la Salut (de la Santé), provient de la chapelle du Couvent des Capucins ; elle bénéficiait en 1750 de goigs (cantiques catalans) particuliers ; encadrée de sainte Agathe et de sainte Lucie en buste. Sainte Lucie, invoquée pour la vue à cause de son nom qui signifie « lumière », porte précisément, deux yeux sur un plateau à pied.
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La chapelle du Christ ou du Saint Sacrement. Elle est construite en 1696, dans une ancienne tour des remparts, sur la demande de Jean-Michel Bertran notaire à Prades, ainsi qu'en témoigne l'inscription que porte le pilier de son sanctuaire.
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Au-dessus de l'autel en marbre un retable de 1681 avec quatre colonnes torses ornées de pampres et d'angelots encadre un Christ d'inspiration espagnole.
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Le retable se compose de deux parties. Il est surmonté de la statue d'un ange tenant dans ses mains la Croix et le calice du Sang de la Rédemption. La date de 1681 est placée entre la colombe du Saint Esprit et Dieu le Père. Sa destination primitive était la chapelle actuelle de Notre Dame de La Salette.
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Le tabernacle et ses deux tableaux latéraux, l'adoration des bergers et l'adoration des mages, sont attribués à Joseph Sunyer.
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Une colonnes avec des angelots et des pampres de vigne.
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Le Tabernacle du XVIIIe siècle, ajouté à ce retable, provient de l'ancien couvent des Capucins (qui. avec la Révolution devint une caserne et en 1824-25. une école secondaire ecclésiastique. « le petit séminaire »). Au centre, l’Immaculée Conception. Au dessous, le Christ de la Flagellation.
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L'Adoration des bergers.
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L'Adoration des bergers.
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L’Adoration des Mages.
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L’Adoration des Mages.
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Quatre tableaux du XVIIe, la Flagellation, le Couronnement d’épines,
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Jésus dépouillé de ses vêtements, la rencontre de Jésus et de Marie sur le chemin du Calvaire et de sainte Véronique, sont des peintures de Léo Polge (XIXe)
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La Flagellation.
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Le Couronnement d’épines.
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La voûte de la chapelle. Dans les écoinçons, des anges portent des outils de la Passion.
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La voûte de la chapelle. Dans les écoinçons, des anges portent des outils de la Passion.
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La chapelle Saint Benoît. La construction de cette chapelle, qui prolonge vers le midi le bras gauche du transept, débuta en 1735. Elle possède un retable, du début XVIIIe, en bols doré et toiles peintes qui provient de l’abbaye de Saint-Michel de Cuixà, d’où il fut transféré à la Révolution française. L’art du peintre décèle une palette de formation espagnole. Au centre, de haut en bas : Armoiries du donateur. Guérison d’un homme, que l’on avait empoisonné par vengeance. Entrevue de Totila, roi des Goths, avec Saint- Benoît, dont il vient d’éprouver l’esprit prophétique, en déguisant son écuyer. Saint-Benoît. A gauche : Saint-Benoît (sous les traits du donateur). Réprimande au moine qui se croyait humilié de tenir le bougeoir, pendant le repas, devant la table de Saint Benoît. Saint-Benoît remet à un débiteur aux abois, qui a imploré son aide, 13 sous d’or trouvés miraculeusement. A droite : Sainte Scholastique (sœur de St Benoît) Réprimande aux deux moines qui ont mangé hors du monastère sans permission. Correction du moine qu’un diablotin noir écartait de l’oratoire à l’heure de la prière.
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Au centre : Saint-Benoît. A gauche : Saint-Benoît remet à un débiteur aux abois, qui a imploré son aide, 13 sous d’or trouvés miraculeusement. A droite : Correction du moine qu’un diablotin noir écartait de l’oratoire à l’heure de la prière. Sur l'autel une châsse qui est un reliquaire en forme de sarcophage muni d'un couvercle à 2 pentes, dans lequel se trouvent des reliques du saint.
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Au centre, de haut en bas : Armoiries du donateur. Guérison d’un homme, que l’on avait empoisonné par vengeance. Entrevue de Totila, roi des Goths, avec Saint- Benoît, dont il vient d’éprouver l’esprit prophétique, en déguisant son écuyer. A gauche : Saint-Benoît (sous les traits du donateur) Réprimande au moine qui se croyait humilié de tenir le bougeoir, pendant le repas, devant la table de Saint Benoît. A droite : Sainte Scholastique (sœur de St Benoît) Réprimande aux deux moines qui ont mangé hors du monastère sans permission.
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La Vierge du Rosaire.
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La chapelle Notre-Dame des Victoires. La clé de voûte représente saint Crépin et saint Crépinien patrons des cordonniers et des tanneurs, c'est l'ancienne chapelle de cette confrérie. Le retable baldaquin de 1866 porte la statue de Notre-Dame des victoires encadrée de sainte Anne et sainte Germaine.
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A droite, sainte Germaine de Pibrac, Germaine Cousin. On la représente vêtue d'une longue robe recouverte d'un tablier avec un foulard sur les cheveux dans un décor pastoral avec une quenouille et une brebis ou des moutons.
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La chapelle Notre-Dame de la Salette. Cette chapelle (qui, à l’origine, d’après la clé de voûte, était dédiée au Christ) est occupée maintenant par le groupe en pierre de l’Apparition de Notre Dame de la Salette, œuvre du sculpteur Delarue (1867).
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La chapelle Notre-Dame de la Salette. L'autel en marbre rose.
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La chapelle Notre-Dame de la Salette. Cette apparition date de 1846 : la Vierge apparaît à deux enfants qui déclarent « avoir vu une belle Dame vêtue d’un costume étrange, parlant français et patois. Elle était triste et pleurait à cause de l’impiété des chrétiens ». Juste quelques années plus tard, le peintre Léo POLGE, qui signe en 1872 la fin des peintures murales de l’église, l’a représenté vêtue de blanc.
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La chapelle Notre-Dame de la Salette. Origine du culte à l'Enfant Jésus de Prague : "Alors que c'est à Prague qu'elle devint le support de l'expansion de la dévotion envers l'enfance de Jésus, la statuette serait, en réalité, originaire d'Espagne. Elle serait, en effet, l'œuvre d'un moine qui l'a sculptée sur l'ordre de Jésus et elle aurait appartenu à sainte Thérèse d'Avila (qui avait pris pour nom de religion Tereza de Jésus), laquelle l'aurait transmise à une amie, Maria Maximiliena Manrique de Lara y Mendoza, dame d'honneur de l'impératrice née Marie d’Espagne 1. C'est sa fille, Polyxène de Pemstein, princesse de Lobkowicz, qui l'aurait rapportée à Prague. [...] L'Enfant-Jésus levant la main droite en signe de bénédiction soutient habituellement de la gauche un globe terrestre. L'original dont s'inspire cet exemplaire est, également, coiffé d’une couronne. "Le globe et la couronne, symboles royaux, manifestent la toute-puissance de Jésus, qui est également le fondateur et le protecteur du Royaume de Dieu ». La statuette originale dont s’inspire celle-ci, est en principe revêtue de tenues brodées qui lui sont offertes par des fidèles en signe d’action de grâce, c'est-à-dire, pour remercier l’Enfant-Jésus de grâces obtenues".
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La chapelle Notre-Dame de la Salette. Le Ressuscité, en bois doré, du XVIII° siècle est représenté selon l’habitude, muni d’une croix étendard, l’étendard de sa victoire sur la mort et il y a là, le décalque du verset de l’hymne de Pâques : « Victor subactis inferis, irophaea Christus explicat » c’est-à-dire : « Refoulant la mort, le Christ victorieux déploie l'étendard de son triomphe. Sur le mur est représentée l'apparition de la Vierge deux enfants, par Léo POLGE.
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La chapelle Notre-Dame de la Salette. La belle Dame vêtue d’un costume étrange, parlant français et patois, était triste et pleurait à cause de l’impiété des chrétiens.
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La chapelle du Rosaire. La clé de voûte au monogramme de Marie marque la dédicace ancienne de cette chapelle. Au-dessus de l'autel en marbre rose un retable à baldaquin aux colonnes de marbre de 1844 abrite le groupe sculpté en bois doré du rosaire daté du XVIIIe, il vient de l’ancienne église del Rouze sur l’emplacement de laquelle s’élève actuellement la Mairie. En fait, on y plaça les orgues jusqu'en 1818, tandis qu’en dessous de celles-ci on disposa en 1703, la statue de Saint Valent (actuellement au Trésor de l’église). Au dallage, on lit l’inscription funéraire dont la traduction du latin au français signifie : « Ci-gît Joseph de Lacroix, juge de cette ville, qui a cru et espéré dans le Christ Sauveur. Il est mort le jour du 14 Novembre, l’an du Seigneur 1769 ». C’est ce juge qui, en 1758, eut à se fâcher contre 9 jeunes hommes de Prades qui, la nuit, chantaient dans les rues un pot-pourri de chansons gaillardes et de psaumes funèbres
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Au siècle dernier, on y transporta le Groupe du Rosaire, en bois doré, du XVIIe siècle, représentant Notre Dame du Rosaire entre Saint Dominique et Sainte Catherine de Sienne. Ces statues proviennent de l’ancienne église du Rosaire, aujourd'hui disparue, consacrée en 1581.
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L'apparition mariale de Notre-Dame de La Salette désigne l'apparition de la Vierge Marie qui se serait produite le 19 septembre 1846 en haut du village de La Salette-Fallavaux, en France, à deux petits bergers Mélanie Calvat et Maximin Giraud.
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La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Cette chapelle dans l'idée du constructeur devait être dédiée à Saint Nicolas puisque c'est ce Saint, avec les trois petits enfants, qui figure à la clé de voûte. Un autel de Saint Nicolas est d'ailleurs mentionné dans l'ancienne église.
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La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Saint Nicolas, avec les trois petits enfants, figure à la clé de voûte.
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La chapelle de Saint Louis de Gonzague.
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La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Le tableau central représentant Saint Louis de Gonzague en extase est l'œuvre de Bonnegrâce et porte la date de 1845 ; ce serait un don du gouvernement de Louis Philippe.
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La chapelle de Saint Louis de Gonzague.
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Statue de la chapelle de la Porte Latérale. Saint Benoit Labre. Bénitier en marbre rose 15e
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Statue de la chapelle de la Porte Latérale.
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Statue de la chapelle de la Porte Latérale. Un pape.
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La chapelle du Mont Carmel. La clé de voûte de saint Éloi patron des orfèvres, forgerons et serruriers montre que primitivement la chapelle est celle de cette confrérie. Dans la niche centrale du retable de 1778 est placée la statue de Notre-Dame du Mont-Carmel (1866); au-dessus le Jean-Baptiste est encadré par saint Benoît et sainte Scholastique présents sur le retable à l'origine. À la base un panneau sculpté d'origine illustre le purgatoire et les âmes au-dessus des flammes implorant la Vierge. A droite, statue de saint Expedit.
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Statue de Notre-Dame du Mont-Carmel (1866). Le purgatoire (1778) : les âmes au-dessus des flammes implorent la Vierge.
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La chapelle de Saint Sébastien. Les confréries de saint Sébastien sont des confréries d'archers initialement milices de lieux de cultes. Saint Sébastien figure sur la clé de voûte et dans une niche en haut du retable qui est daté de 1721 mais dans le cadre central c'est une Notre-Dame des Douleurs en Pietà qui y est placée ultérieurement. Dans les niches latérales figurent saint Joseph et saint Dominique.
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La chapelle de Saint Sébastien. Dans le cadre central c'est une Notre-Dame des Douleurs en Pietà qui y est placée ultérieurement. Dans les niches latérales figurent saint Joseph et saint Dominique.
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La chapelle de Saint Sébastien. Saint Sébastien figure sur la clé de voûte et dans une niche en haut du retable qui est daté de 1721.
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La mise au tombeau est attribuée à Joseph Sunyer, datée de la fin du XVIIe elle comprend les huit personnages traditionnels : le Christ gisant, la Vierge Marie entre Jean et Marie Madeleine, avec son vase de parfum et tenant de la main ses cheveux, Marie Salomé, mère des Saints Jacques le Majeur et Jean., Marie mère de saint Jacques le Mineur, et à la tête et aux pieds du Christ supplicié Nicodème qui apporta la myrrhe et l'aloès pour l'embaumement du corps, et Joseph d'Arimathie, le notable juif qui prêta son tombeau pour la sépulture du Christ. Cette dévotion au Sépulcre est très présente dans le Conflent où cinq autres églises possèdent encore une mise au tombeau. Depuis 2011 une grille réalisée et posée par le ferronnier d'art M. Nassali protège le groupe sculpté.
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La chapelle de la conception. Construite en 1749 à l'extrémité du transept nord elle est dédiée à l'Immaculée Conception, le retable en bois doré date de 1839 avec au centre la statue de l'immaculée conception. Ultérieurement les statues du Curé d'Ars et de saint Antoine de Padoue (absent) sont placées de chaque côté.
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La chapelle de la sainte Trinité. Le retable de la Trinité est commandé dès 1655 à Louis Generès le grand maître du retable du Roussillon ; le retable, classé, présent dans la chapelle est composite avec un autre retable du XVIIIe siècle, le groupe central est bien de L. Generès. La clé de voûte de cette chapelle est également dédiée à la Sainte Trinité.
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La chapelle de la sainte Trinité. Un autel de la Trinité est mentionné en 1431 dans l’ancienne église.
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La chapelle de la sainte Trinité. En fait, il n’y a que le groupe de la Trinité (le Père éternel surmonté de la colombe du Saint Esprit et tenant dans ses mains le Christ en croix) qui puisse être attribué à Générés. Louis Générés est le grand sculpteur du XVIIe en Confient (compatriote et maître de Joseph Sunyer). Sa statuaire, souvent fruste et maladroite reflète néanmoins, sans doute à cause de sa naïveté, une expression de piété et de noblesse religieuse.
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La chapelle de la sainte Trinité. Saint Valent, diacre qui se trouve au-dessus du groupe de la Trinité, provient de la chapelle actuelle du Rosaire où on l’avait placé en 1703. Quant aux soldats qui l’entourent on peut penser sous toute réserve qu’il s’agisse de Saint Ferréol et de Saint Julien, son compagnon.
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La chapelle de la sainte Trinité. Sainte Thérèse d’Avila dans sa vision de L’Ange qui lui perce le cœur de son dard enflammé (ou la Transverbération).
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La chapelle de la sainte Trinité. Sainte Rose de Lima.
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Notre-Dame de Montserrat, patronne des catalans.
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La chaire à prêcher du XVIIIe siècle en bois fruitier est classée (laquelle ?).
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La chaire à prêcher du XVIIIe siècle en bois fruitier est classée (laquelle ?).
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L'orgue, construit par Honoré et Antoine Grinda en 1818, est un orgue de tribune installé au-dessus de l'entrée sur le mur occidental. Le buffet est classique. La console comporte 35 jeux sur trois claviers manuels (positif, 9 jeux ; grand orgue, 12 jeux ; récit, 5 jeux) et un pédalier à l'allemande (9 jeux). Il est restauré par la firme Danion - Gonzalez en 1960 puis par la Manufacture Languedocienne de Grandes Orgues en 1993. Derrière l'orgue la peinture murale L'exaltation de Saint Pierre de Léo Polge orne le mur occidental. L'apôtre est tellement possédé par le Christ qu'il revit l'événement de l'Ascension, exactement comme il est dit dans les Évangiles.
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De part et d'autre de l'orgue, le baptême de Jésus et Saint Michel terrassant le démon.
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Statue de dévotion privée, dans sa vitrine, venant d'une maison roussillonnaise, peut- être Prades. C'est une Effigie en cire, habillée avec un joli tissu ancien, fin 18esiècle début 19ème siècle. La couronne en tissu appliqué reproduit les modèles de couronnes en orfèvrerie (argent) que l'on trouve sur de nombreuses statues catalanes (ND de Domanova).
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Grande monstrance, reliquaire de Saint Valentin. Les reliquaires les plus anciens sont les deux bustes en cuivre de Saint-Valentin et de Saint-Nazaire, qui datent du début du XVIesiècle. Faits de métal repoussé et ciselé, la tête peinte comme au naturel, ils sont de tradition médiévale.
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En hauteur : Saint Valentin, grande châsse de Saint Michel de Cuixa, Saint Nazaire. En bas, des monstrances, Saint Côme et Saint Damien (patrons des médecins) et Saint Isidore, (patrons des agriculteurs en Espagne).
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Saint-Nazaire, à droite, bras reliquaire Saint Saturnin/Saint-Laurent, reliquaire Saint Eutrope
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Saint Jean Nepomucène, Saint Pierre de Vérone (pour protéger la terre des fléaux destructeurs), Saint-Joseph (patronne de la « bonne mort »).
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Reliquaire de Saint Gaudérique, œuvre de François Boher, datée de 1805 .
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Reliquaire de Saint Blaise (vénéré pour guérir les maux de gorge).
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Reliquaire de Saint Valent, daté de 1691 .
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Saint Martin et Saint Fulgence.
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Un ostensoir.
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Ostensoir (1791). Soleil en argent et cristal de roche par Joan Colomer.
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Vierge à l'Enfant « Notre-Dame de la Volta ». La statue est sculptée en ronde bosse dans un bois d'essence de feuillu type fruitier.
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Nostra Senyora del Bon Sort 14e et Vierge à l'Enfant (la colombe pince le doigt de l'enfant) 15e
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