La " Foi " représentée par une jeune fille aux mains jointes, qui se soulève à demi dans l'ardeur de sa prière.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
La " Force guerrière " représentée par un soldat décidé mais pacifique.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
La " Charité universelle " représentée par une femme allaitant deux enfants, l'un de type européen, l'autre de type africain.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
La " Sagesse " représentée par un penseur, en état de méditation.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
LE COLLATERAL NORD.
Chapelle de Saint Jean-Baptiste. Restaurée en 1803 par Mgr Jean-Baptiste Duvoisin, Evêque de Nantes. Un tableau du Précurseur, « St Jean Baptiste prêchant », peint par F. Lemoyne (1715). Un autel de style Louis XV, en marbre polychrome de même facture que le maître-autel. Sur la face verticale de l'autel, les deux mêmes tétragrammes représentant " le Nom Divin ", inscrit en écritures hébraïques.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Face à l'autel, une oeuvre du Dominiquin (1581-1641) reproduite par Vidal et représentant le Roi David Ancêtre du Christ, jouant de la harpe et auteur des Psaumes.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Sur les grilles, les initiales du restaurateur de la chapelle (J.B. et D.V.).
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Chapelle de la Bienheureuse Françoise d'Amboise. Née à Thouars en 1427, elle devient Duchesse de Bretagne. Devenue veuve et sans enfants, elle fonde le premier carmel féminin en France, à Vannes; à 40 ans elle y reçoit l'habit du carmel. Elle meurt au Carmel des Couëts près de Nantes, le 4 Novembre 1485.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Confessionnal de style néogothique, 2e moitié 19e siècle et un tableau de « St Charles Borromée donnant la communion aux pestiférés ».
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Une toile de Désoria (1827) représente Saint Charles Borromée (1538-1584) archevêque de Milan, communiant les pestiférés.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Chapelle de Saint Gohard. Evêque de Nantes, Saint Gohard fut égorgé par les Normands alors qu'il célébrait la messe de Saint Jean-Baptiste, le 24 Juin 843. Le retable de l'autel est encadré par une toile du peintre nantais Edouard Jolin (1852) représentant l'assassinat du Saint Evêque.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Chapelle de Saint Gohard. Toile du peintre nantais Edouard Jolin (1852) représentant l'assassinat du Saint Evêque.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Un tableau du nantais Vauchelet (1839) représentant le martyre des Saints Donatien et Rogatien étendus sur les chevalets. Une paire d’angelots vient couronner la jeune beauté sacrifiée. Aux bourreaux et aux juges sont réservées l’ombre et la laideur, la cruauté au prêtre et à l’assistant ambigu.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Chapelle des Fonts Baptismaux (dite aussi Chapelle de Saint-Émilien). Sous le fronton ionique érigé en 1811, la peinture du nantais François Donné représente le Baptême du Christ; celle-ci est une copie du tableau du florentin Ottavio Vannini (1585-1643) dont l'original est exposé au musée des Beaux-Arts de Nantes
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
La porte d'accès à la Tour Nord (sculpture du XVe) surmontée des « Armes de Bretagne » soutenues par des Hermines.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Arrière de la cathédrale, vu de la porte St Pierre.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
L'arrière de la cathédrale, vu du cours St Pierre.
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La Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
La Psalette. Coté sud, un petit square surmonté d'un cloître de la fin du XV°. La "Psalette", édifiée dans la dernière décennie du XVe siècle, est un hôtel destiné à Guillaume Gueguen, archidiacre de la Mée. La tour d'escalier hexagonale hors d'œuvre et la porte en anse de panier sont caractéristiques de cette architecture régionale.
En 1837, l'évêché de Nantes y installe l'école de chant liturgique. Ce qui lui vaut son nom de "la Psalette" (du latin "psallere" chanter). La Ville, propriétaire depuis 1912, y abrite des services administratifs.
Un endroit calme où l'on peut admirer le mélange des formes architecturales.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
La crypte "basse" qui correspond aux fondations du chevet XIXe siècle, abrite une exposition permanente retraçant l'histoire de l'édifice.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Dans la crypte "haute" de la fin du XIe siècle, se trouvent les pièces du Trésor, toujours affectées au culte.
Chasuble, chape, dalmatique et étole, distinguent socialement l'officiant, médiateur entre Dieu et les hommes. Le célébrant de la messe porte obligatoirement une chasuble ample afin de respecter les gestes liturgiques. Ainsi, les ornements sont ouverts et échancrés.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Les caractéristiques primordiales sont la longueur du costume et la conformité aux 5 couleurs liturgiques. Les ornements, confectionnés en tissu précieux impressionnent les fidèles et renvoient au rôle protecteur des clercs. Leur caractère sacré est reconnu par la bénédiction. Du fait de leur préciosité, il n'est pas rare que les broderies les plus remarquables soient réemployées sur des vêtements plus récents. Par ailleurs, afin de préserver les textiles les plus fragiles, et par souci de décence et de propreté, l'usage de pièces amovibles - comme les colletins - est fréquent.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Chasuble dite « demi-gothique » d'un rouge profond, brodée d'argent vraisemblablement au XIVè siècle.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
Croix de procession. Le calice, la patène, l'encensoir et les croix processionnaires, destinés à être montrés, étaient abondamment décorés. Des symboles sont récurrents comme le Tétramorphe, image des quatre évangélistes.
Reliquaire du XVIè siècle en bronze, supposé contenir un morceau de la « Vraie Croix » (le morceau de bois en question est en bas, avec un petit médaillon rouge en incrustation).
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
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Cryptes de la Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul.
La Vierge à l'enfant" témoin de la qualité de l'artisanat local. Cette sculpture en terre cuite, polychrome à l'origine, a été attribuée à Hoya l'un des trois meilleurs sculpteurs manceaux du XVIIe siècle. Cet artiste reste fidèle à un modèle de représentation féminine de la région (fronts bombés, petits yeux, nez pointu, menton rond). Sa maitrise de l'art complexe du drapé et du rendu des matières en fait un artiste singulier et remarquable. Dans cette représentation de la Vierge à l'Enfant, le fruit de l'enfant, évocation du péché originel répond à la rose tenue par la Vierge, symbole du sang du christ, versé en sacrifice sur la croix pour racheter les péchés de l'humanité.
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Basilique St Nicolas.
Les travaux s'échelonneront de 1844 (pose de la première pierre) à 1869 (bénédiction de l'église). L'abbé Fournier s'imposa non seulement sur le principe de la construction mais aussi sur son style néo-gothique.
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Basilique St Nicolas.
La maîtrise d’œuvre fut confiée à l'architecte Jean-Baptiste-Antoine Lassus, collaborateur de Viollet-le-Duc.
Les matériaux utilisés étaient le granit de la région, les pierres dures et le tuffeau de Touraine.
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Basilique St Nicolas.
L'église a été solennellement érigée en basilique te 28 octobre 1882.
Le grand portail et te tympan dont toutes les sculptures n'ont pas été terminées à l'exception de Saint Nicolas qui bénit le visiteur. Vallet, le sculpteur, lui a donné les traits de monseigneur Fournier
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Basilique St Nicolas.
Le clocher, ou flèche, entièrement en pierre, repose sur une tour carrée qui devient octogonale à son sommet.
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Basilique St Nicolas.
Lors du bombardement du 16 septembre 1943 trois bombes traversèrent les voûtes du bas-côté droit et firent d'énormes dégâts. Le chantier de reconstruction dura de 1953 à 1974.
Sur les pignons du transept saint Félix, saint Yves, saint Julien côté rue Duvoisin ; saint Clair et sainte Catherine côté rue du Pré Nian.
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Basilique St Nicolas.
Les anges musiciens de la flèche.
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Basilique St Nicolas.
En se plaçant sous le porche sud, on pourra apprécier l'envolée de la grande nef et de l'autel monumental. Le vaisseau, avec les doubles collatéraux, comporte 5 travées.
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Basilique St Nicolas.
Le grand autela été conçu par Bourgerel, son pinacle s'élance vers les voûtes. Les statues qui ornent le pinacle évoquent les figures célèbres du diocèse : saints Donatien et Rogatien agitent les palmes de leur martyre ; sainte Françoise d'Amboise abandonne sa couronne ducale. Une belle grille en fer forgé, de Bourgerel, entoure le chœur de lys et de roses.
L'orgue de chœur, situé derrière l'autel monumental, est l’œuvre de Louis Debierre. Il comporte 15 jeux sur 2 claviers manuels et un pédalier. Toujours en service aujourd'hui, il fut inauguré le 19 février 1880.
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Basilique St Nicolas.
Les vitraux ont été réalisés en 1960 par le maître verrier Rocher. Ceux situés au dessus du chœur représentent saint Luc, saint Etienne, saint Paul, Le Christ, saint Pierre, saint Jean, saint Jean-Baptiste.
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Basilique St Nicolas.
saint Luc, saint Etienne.
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Basilique St Nicolas.
saint Jean, saint Jean-Baptiste.
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Basilique St Nicolas.
Dans la partie haute, on aperçoit le triforium et les galeries qui parcourent le vaisseau, les bras du transept et le chœur.
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Basilique St Nicolas.
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Basilique St Nicolas.
La chapelle du centre est dédiée à la Vierge, elle est également celle du Saint Sacrement.
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Basilique St Nicolas.
Au centre de l'autel, la Vierge règne avec son Fils. Des anges musiciens lui font un cortège.
Des bas-reliefs montrent la Présentation de Marie au Temple, Le couronnement et, sous l'autel : l'Assomption et l'Annonciation.
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Basilique St Nicolas.
Les vitraux : trois baies qui décrivent les mystères joyeux, douloureux, glorieux.
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Basilique St Nicolas.
En 1901, le célèbre facteur d'orgues nantais Louis Debierre installait un orgue de tribune de 42 jeux. Ce bel instrument sera détruit lors du bombardement.
En 1963, M. Beuchet-Debierre, petit-fils du fondateur de la Maison, commença une reconstruction partielle avec 27 jeux. Inachevé, ce travail sera complété, en 1985, par la Maison Renaud qui, avec du matériel en partie construit par Beuchet, portera l'orgue à 54 jeux répartis sur trois claviers et pédalier.
Jamais complètement parachevé, cet instrument nécessitait un grand relevage, une recomposition et une harmonisation digne de ce nom. Les travaux, confiés au facteur Bernard Hurvy, ont commencé à l'automne 2002. Le grand orgue, entièrement restauré, a été inauguré le 21 mars 2004.
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Basilique St Nicolas.
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Basilique St Nicolas.
Les fonts baptismaux : La cuve, de style renaissance, est peut-être celle de l'ancienne église.
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Basilique St Nicolas.
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Basilique St Nicolas.
La chaire en marbre de Carrare et mosaïque. La majeure partie fut détruite lors du bombardement de 1943. Il ne subsiste que quelques sculptures de Vallet : le Triomphe du Christ sur un char tiré par les quatre évangélistes, Moise descendant du Sinaï avec les tables de la Loi, la Victoire de saint Michel sur les mauvais anges.
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Basilique St Nicolas.
Le cénotaphe en mémoire de monseigneur Fournier qui fut initiateur de la construction de l'église et évêque de Nantes. Il fut endommagé lors du bombardement de 1943. En haut, le vitrail le représentant.
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Basilique St Nicolas.
L'autel dédié à saint Félix. A droite, une statue de saint Nicolas, patron de la paroisse.
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Basilique St Nicolas.
L'autel dédié à saint Joseph.
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Basilique St Nicolas.
L'autel dédié à sainte Monique.
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Basilique St Nicolas.
L'autel est dédié à tous les saints. Les colonnes ont conservé leur peinture.
Les vitraux d'origine n'ont pas résisté aux bombardements de 1943. Les vitraux actuels - ainsi que ceux de la chapelle de la Vierge - ont été réalisés en 1960 par Maurice Rocher, peintre et maître verrier.
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Basilique St Nicolas.
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Basilique St Nicolas.
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Eglise Sainte-Croix.
De 1669 à 1685, construction de la nef dans l'ancien style ogival flamboyant (inscription sur le pilier gauche de la nef). Le chevet était formé d'un mur plat auquel les trois autels étaient adossés.
- en 1685, construction de la façade en style classique, avec colonnes et fronton à l'antique.
Au XIXe siècle
- en 1839, L'architecte Théodore NEAU bâtit le chœur en style flamboyant comme la nef.
- en 1860, l'architecte DRIOLLET surmonte la façade du XVIIe siècle d'un campanile et du beffroi.
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Eglise Sainte-Croix.
La grande curiosité de l'édifice est son beffroi métallique couronné d'anges sonnant de la trompette aux quatre points cardinaux.
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Eglise Sainte-Croix.
Elevé sur l'église par la mairie bien avant la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat, il renferme une horloge et la plus lourde cloche de la ville (8 096 kg) provenant toutes deux de l'ancienne tour du Bouffay. dans la niche, statue de Jérémie.
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Eglise Sainte-Croix.
L'origine de l'église Sainte-Croix, construite au cœur de la vieille cité de Nantes, est obscure. On sait seulement avec certitude qu'au XIe siècle elle était confiée aux bénédictins de Martmoutiers-lez-Tours qui avaient là un Prieuré dont la chapelle Saint-Martin était à l'emplacement du chœur actuel.
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Eglise Sainte-Croix.
L'autel de la nef de droite est le seul autel qui subsiste du XVIIe siècle.
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Eglise Sainte-Croix.
Le maître-autel, en marbre blanc et retable en bois doré, est du sculpteur Thomas LOUIS. Il fut consacré le ter septembre 1844.
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Eglise Sainte-Croix.
L'orgue, de 1853, fut à plusieurs reprises restauré et amplifié, et récemment encore par M. Jean Renaud, en 1979. Les vitraux du chœur, détruits lori du bombardement du 16 septembre 1943, ont été refaits en 1947.
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Eglise Sainte-Croix.
La chaire, de style Louis XV, est en acajou massif. La rampe de fer forgé est de l'époque où l'on forgeait les balcons des hôtels de l'île Feydeau.
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Eglise Sainte-Croix.
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Eglise Sainte-Croix.
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Eglise Sainte-Croix.
Le vitrail de la tribune, qui représente le triomphe de la Croix, est de 1872.
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Eglise Sainte-Croix.
Vénérée à Nantes depuis le XVe siècle dans l'île de la Saulzaie, devenue ensuite l'île Feydeau, Notre-Dame de Bon-Secours eut sa chapelle jusqu'à la Révolution. En 1793 la chapelle fut fermée, puis détruite, et la statue de la Vierge disparut. La statue actuelle de Notre-Dame de Bon-Secours, oeuvre du sculpteur CABUCHET, fut exécutée en 1864.
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Eglise Sainte-Croix.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Construite au milieu du 19ème siècle, à l'emplacement de l'ancien hospice du Sanitat, Notre-Dame-de-Bon-Port achève la transformation de ce quartier proche du port. Au nord d'une place en hémicycle alors inachevée, les architectes Seheult et Chenantais imaginent en 1845 une église monumentale de plan carré. Elle renoue avec la tradition baroque de la Contre Réforme : le dôme rappelle celui des Invalides, la façade, celle de Saint Pierre de Rome.
La façade, de 30 mètres de haut, se compose de deux niveaux : rez-de-chaussée dorique et premier étage corinthien ; la partie centrale en avancée renoue avec le style antique à un seul étage grâce à l'archivolte surélevée.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Le fronton s'orne d'un bas-relief d'Amédée Ménard, "La Vierge accueille les malheureux". Au tympan, une fresque de Joseph Gouézou "le Christ consolateur, et au-dessus de la porte centrale, un groupe sculpté "Saint Louis et Marguerite de Provence.
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Notre-Dame de Bon-Port.
En 1845, le maire de Nantes, Louis Lévêque, décide de faire don au clergé d'un terrain sis par les rues Damrémont, Dobrée, Mascara à condition que l'église qui sera édifiée porte le nom de son saint patron, le roi Louis IX. C'est ainsi la seule église connue sous deux noms : "Saint-Louis", "Notre-Dame de Bon-Port".
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Notre-Dame de Bon-Port.
Le dôme, inspiré de celui de l'église des invalides à Paris est surmonté d'une lanterne et d'une fléchette dont la croix culmine à 60 mètres.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Les quatre évangélistes.
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Notre-Dame de Bon-Port.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Le maître-autel en marbre, bronze et émaux est de Chertier, en 1883.
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Notre-Dame de Bon-Port.
La Cène de la demi-coupole de l'abside est de Henri Picou.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Alphonse le Henaff : Bethsabée reçue par son fils Salomon.
197
Notre-Dame de Bon-Port.
Alphonse le Henaff : Esther entre chez Assuérus.
198
Notre-Dame de Bon-Port.
Alphonse le Henaff : Abigail apaise la colère de David.
199
Notre-Dame de Bon-Port.
Couronnement de la Vierge, de la maison Razin.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Vitrail de François Denis représentant l'Ascension du Christ.
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Notre-Dame de Bon-Port.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Un remarquable parquet marqueté visible dans le chœur, de l'atelier MARGOT.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Les grandes orgues primitives de trente-quatre jeux de la tribune ont été posées en 1891 par la maison Debierre, et augmentées en 1930 de six nouveaux jeux.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Le peintre Joseph Gouèzou a réalisé le Christ enseignant et les quatre évangélistes de la chaire en 1866.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Notre-Dame de Bon-Port de Joseph Vallet.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Les bas-relief des Fonts baptismaux sont de Joseph Vallet, 1902. Le baptême de Clovis.
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Notre-Dame de Bon-Port.
Alphonse Le Hénaff (1821-1884) appelé par le curé de la paroisse, va de 1858 à 1860 y peindre sur le tambour de la coupole une grande frise peinte à la cire sur un fond or, représentant la Vierge Immaculée avec sept groupes de personnages de l'Ancien et du Nouveau Testament proclamant le dogme de l'Immaculée Conception.
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Notre-Dame de Bon-Port.
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Notre-Dame de Bon-Port.
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Notre-Dame de Bon-Port.
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Notre-Dame de Bon-Port.
La coupole de la chapelle de la Vierge et ses pendentifs ont été décorés en 1857 par Antoine Challot