Le Château des Ducs de Bretagne, l'Île Feydeau, la Tour Lu, le Jardin des Plantes.
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Le château des ducs de Bretagne.
Charpentes restaurées du 15e siècle, figure de proue du navire le Céleste Empire.
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Le château des ducs de Bretagne.
Le fondateur de Lu. En 1882, Louis Lefèvre-Utile prend la direction de l'entreprise familiale et transforme la petite pâtisserie en une usine florissante. Bien que né à Nantes, Louis est l'héritier d'un de ces fondateurs d'entreprise venus d'ailleurs. Son père, Jean-Romain Lefèvre, pâtissier à Varennes-en-Argonnes, près de Verdun, s'installe à Nantes en 1846, Il ouvre une pâtisserie et son mariage avec Pauline Utile lui permet de changer sa raison sociale en Lefèvre-Utile. C'est cependant à Lovés que revient la création de la marque LU, acronyme de Lefèvre-Utile. Louis Lefèvre-utile. Hippolyte Berteaux. 1899
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Le château des ducs de Bretagne.
Sculpture pour l'abolition de l'esclavage.
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Le château des ducs de Bretagne.
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L'île Feydeau.
En 1723, cette île située face au Bouffay, est lotie selon un plan régulier établi par l'ingénieur Goubert. Confrontés à des terrains instables et inondables, les travaux sont retardés. Les premiers immeubles voient le jour vers 1740. L'ensemble n'est achevé qu'à la veille de la Révolution française. Dans les années 1930, Feydeau perd son insularité lors des comblements des bras de la Loire.
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L'île Feydeau.
Dès leur édification,, les immeubles se sont inclinés. La présence de pilotis ne suffit pas à stabiliser les fondations. Vers 1750, seuls quatre immeubles sont sortis de terre. Les chantiers s'accélèrent après 1755, lorsque l'architecte Pierre Rousseau imagine d'asseoir les fondations sur un radeau de bois, à la hollandaise.
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L'île Feydeau.
De 1740 à 1780, en plein commerce triangulaire, de superbes immeubles de rapport s'y construisent pour les négociants et les armateurs. Tous les bâtiments suivent le même schéma : le rez-de-chaussée est destiné aux marchandises, l'entresol à l'intendance, l'armateur loge au premier étage avec sa famille et les étages suivants sont loués.
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L'île Feydeau.
Près de vingt années de travaux, de 1926 à 1938, furent nécessaires pour combler une partie de l'Erdre et les bras de la Loire situés au nord de l'île Gloriette. Les parterres engazonnés et leurs bordures de granit évoquent l'eau du fleuve et les anciens appontements.
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L'île Feydeau.
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L'île Feydeau.
Les mascarons sont des figures ou des masques fantastiques, voire grotesques, décorant la clé des portes et fenêtres. Ici, ils sont d'inspiration exotique, mythologique (Neptune, Eole...) et allégorique (saisons, continents..)
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L'île Feydeau.
Immeuble Perraudeau, 13 allée de Turenne, avec sa porte qui penche, ses balcons, ses mascarons et son fronton.
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Immeuble Perraudeau, 13 allée de Turenne, avec sa porte qui penche, ses balcons, ses mascarons et son fronton.
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L'île Feydeau.
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L'île Feydeau.
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L'île Feydeau.
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L'île Feydeau.
La rue Kervégan avec ses petits pavés. Les balcons "filants" sont une particularité de l'île Feydeau : pour compenser l'obligatoire alignement des façades, on a cherché à gagner de l'espace sur l'extérieur).
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L'île Feydeau.
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L'île Feydeau.
Pour illuster la richesse de leur commanditaire, les architectes ont déployé toutes les formes connues d'encorbellements : sur console, sur trompe...
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L'île Feydeau.
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L'île Feydeau.
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L'île Feydeau.
Ils firent appel aux meilleurs serruriers pour les ferronneries.
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L'île Feydeau.
La cour ovale. Elle résulte de l'union de deux cours intérieures.
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L'île Feydeau.
La cour ovale.
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L'île Feydeau.
La cour ovale.
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L'île Feydeau.
La cour ovale.
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L'île Feydeau.
L'hôtel de la Villestreux. Le seul à posséder une porte cochère. Le sinistre Carrier y a séjourné. Lors de la Terreur, c'est lui qui fait embarquer une centaine de condamnés sur un gabareau qui est ensuite coulé au milieu de la Loire. Et il recommence cette opération maintes fois, avant d'être lui même exécuté.
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L'île Feydeau.
L'hôtel de la Villestreux.
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L'île Feydeau.
L'hôtel de la Villestreux.
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L'île Feydeau.
L'hôtel de la Villestreux.
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L'île Feydeau.
L'hôtel de la Villestreux.
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L'hôtel de la Villestreux.
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L'île Feydeau.
L'hôtel de la Villestreux.
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L'île Feydeau.
L'hôtel de la Villestreux.
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L'île Feydeau.
L'hôtel de la Villestreux.
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L'île Feydeau.
Place de la petite Hollande et l'hôtel de Grou ou hôtel Jacquier.
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L'île Feydeau.
Hôtel de Grou ou hôtel Jacquier avec les mascarons représentant Neptune entouré des quatre éléments : la Terre, le Feu, l'Air et l'Eau.
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L'île Feydeau.
Le temple du Goût. Il doit son surnom à un poème en prose de Voltaire. Très beaux balcons "filants".
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L'île Feydeau.
Le temple du Goût. Construit vers 1750 par l'architecte Pierre Rousseau, qui s'y installe, cet immeuble de rapport est également occupé par des négociants, des grands bourgeois, de petits artisans et des domestiques.
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L'île Feydeau.
Le temple du Goût. Organisé autour d'une cour intérieure, il possède deux façades identiques donnant l'une sur la rue Kervégan, l'autre sur l'ancien quai Duguay-Trouin.
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L'île Feydeau.
Le temple du Goût.
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L'île Feydeau.
Le temple du Goût.
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L'île Feydeau.
Le temple du Goût. L'escalier monumental.
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L'île Feydeau.
Le temple du Goût.
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L'île Feydeau.
Le tribunal administratif, en face des immeubles de l'île Feydeau, de l'autre coté de l'ancien bras de Loire, sur l'île Gloriette.
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L'île Feydeau.
Maison natale de Jules Verne.
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La tour LU.
Située en bordure du canal St Félix, à proximité de la gare et du centre ville, l'ancienne biscuiterie LU vit au rythme d'un centre d'art atypique : le lieu unique. Ce lieu abrite un restaurant, un bar, une boutique, des salles de spectacle (scène nationale), un hammam, une crèche, la tour LU.
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La tour LU.
Jean-Marie Lépinay repense la totalité de l'extérieur de la tour en 1998. Il s'agit d'une véritable restauration : le dôme et son lanterneau, la totalité du décor peint renaissent de leurs cendres...
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La tour LU.
et la Renommée y retrouve même sa trompette.
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La tour LU.
La visite de la tour Lu est avant tout un point de vue sur la ville, du haut d'une plate-forme que l'on actionne soi-même, - le Gyrorama
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Ancien hall d'expédition.
Ce bâtiment utilitaire servait au conditionnement et à l'expédition des gâteaux secs. L'entrée est encadrée de deux tours en forme de boîte de gâteaux et surmontée d'un énorme Petit-Beurre.
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Jardin des plantes.
Louis XIV le crée pour ses apothicaires, puis Louis XV assujettit les capitaines de vaisseaux nantais à rapporter graines et plantes de leurs voyages au long cours. Ouvert au public en 1829, il est transformé à l'anglaise en 1860, non sans que ses collections soient sans cesse enrichies par l'apport des navigateurs et l'achat d'espèces rares. Aujourd'hui encore l'histoire et la recherche botanique passent par le Jardin des Plantes de Nantes. Qu'on en juge: plus de 11 000 espèces vivantes, 800 m² de serres, 70 000 fleurs à chaque saison...
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Jardin des plantes.
Les serres du Jardin des Plantes Les biotopes auto-constitués dans les serres vous donnent rendez-vous avec trois grandes collections les plantes épiphytes de forêt tropicale dense et humide, les cactacées et plantes succulentes des milieux subdésertiques et désertiques, enfin les plantes des milieux méditerranéens dans l'orangerie. À noter: l'impressionnante collection de cactacées et de plantes succulentes « Camboulive », du nom de ce grand collectionneur nantais qui réunit des milliers de spécimens dont certains très rares. Après son décès en 1979, le Jardin des Plantes a pu récupérer l'essentiel de cette collection internationale, aujourd'hui visible par tous.
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Jardin des plantes.
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Magnolia à grandes fleurs. C’est le plus vieil arbre du jardin des plantes. Sa circonférence est de 2,30 m et sa hauteur de 15 m. Il a été planté en 1807 par Hectot (directeur entre 1803 et 1821), l’arbre avait 20 ans.
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Jardin des plantes.
Fleurs du magnolia.
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