Dijon 2024

<center>L'hôtel des Postes de Dijon</center>Aujourd’hui Postes Grangier, que les Dijonnais appellent
L'hôtel des Postes de Dijon
Aujourd’hui Postes Grangier, que les Dijonnais appellent "la grande Poste", c'est un ensemble immobilier en partie inspiré du style Louis XVI, œuvre d'un architecte très en vogue à Dijon au début du XXe siècle : Louis Perreau. Il est construit à partir de 1907 sur un terrain vague occupé précédemment par le château de Dijon, démoli par morceaux à la fin du XIXe siècle. L'hôtel des Postes est inauguré le 24 octobre 1909. Sa tourelle métallique abrite alors un central téléphonique et un télégraphe. Il est agrandi à partir de 1927 d'un bâtiment réceptionné en 1932. L'extension, de style Art déco, est l'œuvre de l'architecte Charles Danne et de Gilles Delavault, architecte régional des PTT.
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<center>Rue Musette</center>Au fond, l'église Notr-Dame.
Rue Musette
Au fond, l'église Notr-Dame.
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<center>Place Grangier.</center>Immeuble Art nouveau.
Place Grangier.
Immeuble Art nouveau.
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<center>Les halles du marché de Dijon.</center>Les halles centrales de Dijon sont des halles en architecture métallique. Les plans en sont établis par l'architecte de la ville de Dijon et terminés en 1869 par son successeur, l'ingénieur Louis-Clément Weinberger. Ces halles sont bâties de 1873 à 1875 par les Fonderies et ateliers de construction de Fourchambault1, sur l'emplacement de l'ancien couvent des Jacobins (Dominicains) et de leur église du XIIIe siècle.
Les halles du marché de Dijon.
Les halles centrales de Dijon sont des halles en architecture métallique. Les plans en sont établis par l'architecte de la ville de Dijon et terminés en 1869 par son successeur, l'ingénieur Louis-Clément Weinberger. Ces halles sont bâties de 1873 à 1875 par les Fonderies et ateliers de construction de Fourchambault1, sur l'emplacement de l'ancien couvent des Jacobins (Dominicains) et de leur église du XIIIe siècle.
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<center>Porte des halles du marché de Dijon.</center>Les écoinçons des grandes arches sont ornés de motifs animaliers et de thèmes symboliques se rapportant aux halles : têtes de chevreuil, de mouflon, de sanglier et de bœuf, gibier et volaille, poisson et anguille. Ici, on voit en médaillons Cérès, déesse de la moisson et Hermès, dieu des échanges et du commerce. Au sommet, le blason de Dijon.
Porte des halles du marché de Dijon.
Les écoinçons des grandes arches sont ornés de motifs animaliers et de thèmes symboliques se rapportant aux halles : têtes de chevreuil, de mouflon, de sanglier et de bœuf, gibier et volaille, poisson et anguille. Ici, on voit en médaillons Cérès, déesse de la moisson et Hermès, dieu des échanges et du commerce. Au sommet, le blason de Dijon.
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<center>Les halles du marché de Dijon.</center>Le bâtiment, d'une surface de 4 400 m2 et d’une hauteur totale de 13 mètres avec quatre pavillons articulés autour de deux allées principales en croix, abrite 246 boutiques, 14 annexes et 728 bancs. La toiture est fortement inspirée de celle des halles de Paris.
Les halles du marché de Dijon.
Le bâtiment, d'une surface de 4 400 m2 et d’une hauteur totale de 13 mètres avec quatre pavillons articulés autour de deux allées principales en croix, abrite 246 boutiques, 14 annexes et 728 bancs. La toiture est fortement inspirée de celle des halles de Paris.
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<center>Les halles du marché de Dijon.</center>
Les halles du marché de Dijon.
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<center>Les halles du marché de Dijon.</center>
Les halles du marché de Dijon.
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<center>Les halles du marché de Dijon.</center>
Les halles du marché de Dijon.
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<center>Les halles du marché de Dijon.</center>
Les halles du marché de Dijon.
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<center>Les halles du marché de Dijon.</center>
Les halles du marché de Dijon.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>Elle est considérée comme un chef-d'œuvre d'architecture gothique du XIIIe siècle. Elle fut construite à partir des années 1220,   restaurée de 1865 à 1884 par les architectes parisiens Emile Boeswillwald, Eugène Millet et Charles Laisné.
L’église Notre-Dame.
Elle est considérée comme un chef-d'œuvre d'architecture gothique du XIIIe siècle. Elle fut construite à partir des années 1220, restaurée de 1865 à 1884 par les architectes parisiens Emile Boeswillwald, Eugène Millet et Charles Laisné.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>
L’église Notre-Dame.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>La façade occidentale est d'une planéité singulière, elle est en effet unique dans l'architecture gothique française. Au-dessus de la façade devaient s'élever initialement deux tours carrées, dont n'existent que les amorces. Sur la souche de la tour sud de la façade occidentale, un campanile supporte le Jacquemart. Cette façade est encadrée de contreforts d'angle, surmontés de tourelles d'escalier coiffées d'une toiture conique.
L’église Notre-Dame.
La façade occidentale est d'une planéité singulière, elle est en effet unique dans l'architecture gothique française. Au-dessus de la façade devaient s'élever initialement deux tours carrées, dont n'existent que les amorces. Sur la souche de la tour sud de la façade occidentale, un campanile supporte le Jacquemart. Cette façade est encadrée de contreforts d'angle, surmontés de tourelles d'escalier coiffées d'une toiture conique.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>Mesurant environ 28,6 m de haut sur 19,5 m de large et 6,2 m de profondeur, la façade compte trois niveaux d'élévation, dont le premier comporte trois grandes arcades, formant l'entrée d'un porche, dont les voûtes sont soutenues par deux rangs de piliers. Au-dessus de ces arcades, la façade s'orne de deux galeries d'arcatures superposées, reposant chacune sur dix-sept colonnettes d'un seul morceau, couronnées d'un chapiteau, et soulignées par trois bandeaux ornés de fausses gargouilles alternant avec des métopes.
L’église Notre-Dame.
Mesurant environ 28,6 m de haut sur 19,5 m de large et 6,2 m de profondeur, la façade compte trois niveaux d'élévation, dont le premier comporte trois grandes arcades, formant l'entrée d'un porche, dont les voûtes sont soutenues par deux rangs de piliers. Au-dessus de ces arcades, la façade s'orne de deux galeries d'arcatures superposées, reposant chacune sur dix-sept colonnettes d'un seul morceau, couronnées d'un chapiteau, et soulignées par trois bandeaux ornés de fausses gargouilles alternant avec des métopes.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>Les cinquante et une
L’église Notre-Dame.
Les cinquante et une " gargouilles " de la façade occidentale de Notre-Dame de Dijon sont seulement décoratives, car elles n'évacuent pas l'eau de pluie. Les fausses gargouilles (aussi appelées « chimères ») qui ornent actuellement la façade, et qui représentent des êtres humains, des animaux et des monstres, ont été réalisées de 1880 à 1882, lors de la restauration de l'église. Les archives attestent qu'elles sont l'œuvre de sept sculpteurs parisiens : Chapot, Corbel, Geoffroy, Lagoule dit Delagoule, Pascal, Thiébault et Tournie.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>Les cinquante et une
L’église Notre-Dame.
Les cinquante et une " gargouilles " de la façade occidentale de Notre-Dame de Dijon sont seulement décoratives, car elles n'évacuent pas l'eau de pluie. Les fausses gargouilles (aussi appelées « chimères ») qui ornent actuellement la façade, et qui représentent des êtres humains, des animaux et des monstres, ont été réalisées de 1880 à 1882, lors de la restauration de l'église. Les archives attestent qu'elles sont l'œuvre de sept sculpteurs parisiens : Chapot, Corbel, Geoffroy, Lagoule dit Delagoule, Pascal, Thiébault et Tournie.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>L'horloge est située sur un campanile qui s'élève sur l'amorce de la tour sud de la façade occidentale de Notre-Dame. Elle comporte quatre automates métalliques dont deux, nommés Jacquemart et Jacqueline, sonnent les heures avec un marteau sur une grosse cloche, les deux autres automates, leurs « enfants » Jacquelinet et Jacquelinette, frappant de quart d'heure en quart d'heure, chacun sur une petite cloche.
L’église Notre-Dame.
L'horloge est située sur un campanile qui s'élève sur l'amorce de la tour sud de la façade occidentale de Notre-Dame. Elle comporte quatre automates métalliques dont deux, nommés Jacquemart et Jacqueline, sonnent les heures avec un marteau sur une grosse cloche, les deux autres automates, leurs « enfants » Jacquelinet et Jacquelinette, frappant de quart d'heure en quart d'heure, chacun sur une petite cloche.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>L'automate Jacquemart et la grosse cloche ont été ramenés de Courtrai, en Belgique, après le pillage de la ville par les armées de Philippe le Hardi en 1382. Un automate sonnait l'heure sur une cloche. Un second automate, figurant une femme, fut ajouté en 1651 à droite, pour sonner les heures alternativement avec Jacquemart. Les Dijonnais l'appelèrent Jacqueline. Vers 1714,  un enfant automate fut adjoint au couple pour sonner les demi-heures. Les Dijonnais le nommèrent Jacquelinet. En 1884 fut ajoutée Jacquelinette, qui frappe les quarts d'heure avec son frère.
L’église Notre-Dame.
L'automate Jacquemart et la grosse cloche ont été ramenés de Courtrai, en Belgique, après le pillage de la ville par les armées de Philippe le Hardi en 1382. Un automate sonnait l'heure sur une cloche. Un second automate, figurant une femme, fut ajouté en 1651 à droite, pour sonner les heures alternativement avec Jacquemart. Les Dijonnais l'appelèrent Jacqueline. Vers 1714, un enfant automate fut adjoint au couple pour sonner les demi-heures. Les Dijonnais le nommèrent Jacquelinet. En 1884 fut ajoutée Jacquelinette, qui frappe les quarts d'heure avec son frère.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>Le porche précède les trois portes de l'église, dont les voussures, le tympan et les ébrasements étaient ornés de statues et de sculptures, détruites en janvier 1794
L’église Notre-Dame.
Le porche précède les trois portes de l'église, dont les voussures, le tympan et les ébrasements étaient ornés de statues et de sculptures, détruites en janvier 1794
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<center>L’église Notre-Dame. </center>Porte centrale.
L’église Notre-Dame.
Porte centrale.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>
L’église Notre-Dame.
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L’église Notre-Dame.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>
L’église Notre-Dame.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>L'église comporte de vraies gargouilles sur les murs gouttereaux et l'abside.
L’église Notre-Dame.
L'église comporte de vraies gargouilles sur les murs gouttereaux et l'abside.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>
L’église Notre-Dame.
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<center>L’église Notre-Dame. </center>Le chevet.
L’église Notre-Dame.
Le chevet.
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<center>La chouette.</center>Dans la rue de la Chouette, voie piétonne qui longe le côté nord de l'église et le chevet, une pierre du contrefort d'une chapelle de Notre-Dame porte une sculpture que les Dijonnais appellent « la chouette ». Perchée à environ 1,80 m du sol, elle mesure 35 cm de haut. Elle est d’une facture assez sommaire, représentant le corps trapu d'un oiseau en moyen relief poli par les ans
La chouette.
Dans la rue de la Chouette, voie piétonne qui longe le côté nord de l'église et le chevet, une pierre du contrefort d'une chapelle de Notre-Dame porte une sculpture que les Dijonnais appellent « la chouette ». Perchée à environ 1,80 m du sol, elle mesure 35 cm de haut. Elle est d’une facture assez sommaire, représentant le corps trapu d'un oiseau en moyen relief poli par les ans
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<center>La chouette.</center>La chouette est très usée à cause d'une pratique superstitieuse ancienne qu'elle suscite : Dijonnais et touristes ont coutume de la caresser, de la main gauche, en espérant que le vœu qu'ils formulent soit exaucé à condition de ne pas croiser au même moment le regard de la salamandre, autre sculpture située un peu plus haut sur le mur et qui pourrait alors annuler l’enchantement.
La chouette.
La chouette est très usée à cause d'une pratique superstitieuse ancienne qu'elle suscite : Dijonnais et touristes ont coutume de la caresser, de la main gauche, en espérant que le vœu qu'ils formulent soit exaucé à condition de ne pas croiser au même moment le regard de la salamandre, autre sculpture située un peu plus haut sur le mur et qui pourrait alors annuler l’enchantement.
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<center>La chouette.</center>Le 5 janvier 2001, un vandale a porté à la chouette plusieurs coups de marteau. Cette dégradation suscita l'émotion des Dijonnais. Plutôt que de laisser la chouette en l'état ou de remplacer le bloc de pierre sur lequel elle était sculptée, il fut décidé d'en réparer les cassures. Un moulage de la chouette avait été réalisé en 1988 par un statuaire mouleur du Louvre. Il servit de modèle à la réparation, qui consista à incruster un fragment de pierre, ensuite patiné.
La chouette.
Le 5 janvier 2001, un vandale a porté à la chouette plusieurs coups de marteau. Cette dégradation suscita l'émotion des Dijonnais. Plutôt que de laisser la chouette en l'état ou de remplacer le bloc de pierre sur lequel elle était sculptée, il fut décidé d'en réparer les cassures. Un moulage de la chouette avait été réalisé en 1988 par un statuaire mouleur du Louvre. Il servit de modèle à la réparation, qui consista à incruster un fragment de pierre, ensuite patiné.
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<center>La chouette.</center>
La chouette.
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<center>La Moutarderie Edmond Fallot</center>
La Moutarderie Edmond Fallot
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<center>La Moutarderie Edmond Fallot</center>
La Moutarderie Edmond Fallot
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<center>La Moutarderie Edmond Fallot</center>
La Moutarderie Edmond Fallot
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<center>Rue de la Chouette.</center>
Rue de la Chouette.
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<center>Rue de la Chouette.</center>
Rue de la Chouette.
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<center>L'Hôtel de Vogüé </center>C'est un hôtel particulier du XVIIe siècle. Cet hôtel particulier richement décoré, est édifié sur trois maisons achetées successivement en 1589 par le conseiller au parlement Jean Bouhier puis par son fils Étienne Bouhier de Chevigny, magistrat et conseiller au parlement de Bourgogne de 1607 à 1635 ainsi que grand amateur d'art, en 1615 et 1617. L'hôtel de Vogüé est considéré comme le prototype des hôtels parlementaires dijonnais.
L'Hôtel de Vogüé
C'est un hôtel particulier du XVIIe siècle. Cet hôtel particulier richement décoré, est édifié sur trois maisons achetées successivement en 1589 par le conseiller au parlement Jean Bouhier puis par son fils Étienne Bouhier de Chevigny, magistrat et conseiller au parlement de Bourgogne de 1607 à 1635 ainsi que grand amateur d'art, en 1615 et 1617. L'hôtel de Vogüé est considéré comme le prototype des hôtels parlementaires dijonnais.
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<center>L'Hôtel de Vogüé </center>C'est un hôtel particulier du XVIIe siècle. Cet hôtel particulier richement décoré, est édifié sur trois maisons achetées successivement en 1589 par le conseiller au parlement Jean Bouhier puis par son fils Étienne Bouhier de Chevigny, magistrat et conseiller au parlement de Bourgogne de 1607 à 1635 ainsi que grand amateur d'art, en 1615 et 1617. L'hôtel de Vogüé est considéré comme le prototype des hôtels parlementaires dijonnais. 
En 1766 l'hôtel devient la propriété de la famille de Vogüé par le mariage, le 29 novembre, de Catherine Bouhier de Versalieu avec le comte Cerice-François Melchior de Vogüé. 
À ce jour propriété de la Ville de Dijon. Dans la cour, le plan de l'hôtel reprend celui des nouveaux hôtels particuliers entre cour et jardin : corps principal face au portique à l'italienne encadrant l'entrée, deux ailes en retour encadrant la cour et formant pavillons. 
La décoration des façades rappelle celle du XVIe siècle : frontons cintrés et triangulaires, mascarons, guirlandes, mais les cariatides ont disparu, remplacées par des ailerons.
L'Hôtel de Vogüé
C'est un hôtel particulier du XVIIe siècle. Cet hôtel particulier richement décoré, est édifié sur trois maisons achetées successivement en 1589 par le conseiller au parlement Jean Bouhier puis par son fils Étienne Bouhier de Chevigny, magistrat et conseiller au parlement de Bourgogne de 1607 à 1635 ainsi que grand amateur d'art, en 1615 et 1617. L'hôtel de Vogüé est considéré comme le prototype des hôtels parlementaires dijonnais. En 1766 l'hôtel devient la propriété de la famille de Vogüé par le mariage, le 29 novembre, de Catherine Bouhier de Versalieu avec le comte Cerice-François Melchior de Vogüé. À ce jour propriété de la Ville de Dijon. Dans la cour, le plan de l'hôtel reprend celui des nouveaux hôtels particuliers entre cour et jardin : corps principal face au portique à l'italienne encadrant l'entrée, deux ailes en retour encadrant la cour et formant pavillons. La décoration des façades rappelle celle du XVIe siècle : frontons cintrés et triangulaires, mascarons, guirlandes, mais les cariatides ont disparu, remplacées par des ailerons.
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<center>L'Hôtel de Vogüé </center>Les arcades du portique de l'entrée sont surmontées d'une riche décoration avec des Renommées à demi couchées dans les écoinçons. Les colonnes portent un entrelacement de lierre. Sur leurs socles ont été gravés le monogramme E.B.M.G. célébrant le second mariage d'Etienne Bouhier contracté le 25 avril 1615 avec Madeleine Giroud
L'Hôtel de Vogüé
Les arcades du portique de l'entrée sont surmontées d'une riche décoration avec des Renommées à demi couchées dans les écoinçons. Les colonnes portent un entrelacement de lierre. Sur leurs socles ont été gravés le monogramme E.B.M.G. célébrant le second mariage d'Etienne Bouhier contracté le 25 avril 1615 avec Madeleine Giroud
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<center>L'Hôtel de Vogüé </center>Les Renommées à demi couchées. Elles tiennent les 4 lettres E.B.M.G. sont entrelacées.
L'Hôtel de Vogüé
Les Renommées à demi couchées. Elles tiennent les 4 lettres E.B.M.G. sont entrelacées.
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<center>L'Hôtel de Vogüé </center>Les Renommées à demi couchées.
L'Hôtel de Vogüé
Les Renommées à demi couchées.
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<center>L'Hôtel de Vogüé </center>Les Renommées à demi couchées. Elles tiennent les 4 lettres E.B.M.G. sont entrelacées.
L'Hôtel de Vogüé
Les Renommées à demi couchées. Elles tiennent les 4 lettres E.B.M.G. sont entrelacées.
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<center>L'Hôtel de Vogüé </center>Le portail de gauche a été percé en 1717 pour permettre l'entrée des carrosses au jardin où des écuries avaient été construites.
L'Hôtel de Vogüé
Le portail de gauche a été percé en 1717 pour permettre l'entrée des carrosses au jardin où des écuries avaient été construites.
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<center>Maison à colombage.</center>
Maison à colombage.
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<center>Maison à colombage.</center>
Maison à colombage.
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<center>Maison à colombage.</center>
Maison à colombage.
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<center>Maison à colombage.</center>
Maison à colombage.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>À l’origine simple résidence adossée à l’enceinte gallo-romaine du 3e siècle, l’hôtel des ducs est reconstruit aux 14e et 15e siècles. La façade nord du palais a conservé son aspect médiéval. A gauche, la tour de Bar. Philippe le Hardi, duc de Bourgogne en 1363, fait édifier la tour de Bar à partir de 1365, par Belin de omblanchien. A gauche, une toureelle du XVIe siècle.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
À l’origine simple résidence adossée à l’enceinte gallo-romaine du 3e siècle, l’hôtel des ducs est reconstruit aux 14e et 15e siècles. La façade nord du palais a conservé son aspect médiéval. A gauche, la tour de Bar. Philippe le Hardi, duc de Bourgogne en 1363, fait édifier la tour de Bar à partir de 1365, par Belin de omblanchien. A gauche, une toureelle du XVIe siècle.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Puit dans la cour du Bar, du Palais des Ducs de Bourgogne, à côté des Cuisines Ducales.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Puit dans la cour du Bar, du Palais des Ducs de Bourgogne, à côté des Cuisines Ducales.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Henri BOUCHARD.
Claus Sluter, 1911.
Présenté en 1911 au Salon des Artistes français, le plâtre de cette statue retient l’attention de la Ville de Dijon, qui en commande très rapidement une version en bronze. Installée en 1913 dans la cour de Bar, la statue échappe è la destruction pendant la Seconde Guerre mondiale. Claus Sluter, célèbre sculpteur et « imagier » des ducs Valois de Bourgogne, est ici représenté dans un âge avancé, en tenue de travail, tenant une masse et un ciseau.
Henri Bouchard est un sculpteur et médailleur né à Dijon en 1875 et décédé à Paris en 1960. <br>
A gauche, l'escalier conduisant à la tour de Bar.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Henri BOUCHARD. Claus Sluter, 1911. Présenté en 1911 au Salon des Artistes français, le plâtre de cette statue retient l’attention de la Ville de Dijon, qui en commande très rapidement une version en bronze. Installée en 1913 dans la cour de Bar, la statue échappe è la destruction pendant la Seconde Guerre mondiale. Claus Sluter, célèbre sculpteur et « imagier » des ducs Valois de Bourgogne, est ici représenté dans un âge avancé, en tenue de travail, tenant une masse et un ciseau. Henri Bouchard est un sculpteur et médailleur né à Dijon en 1875 et décédé à Paris en 1960.
A gauche, l'escalier conduisant à la tour de Bar.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>La tour Philippe le Bon. Elevée entre 1450 et 1460 pour Philippe le Bon en même temps que le logis ducal, elle rappelle le prestigieux passé médiéval de Dijon sous le règne des grands ducs Valois. Les plans du palais sont dus à un architecte lyonnais dénommé Jean Poncelet. La tour domine l’hôtel de
ses 46 mètres.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
La tour Philippe le Bon. Elevée entre 1450 et 1460 pour Philippe le Bon en même temps que le logis ducal, elle rappelle le prestigieux passé médiéval de Dijon sous le règne des grands ducs Valois. Les plans du palais sont dus à un architecte lyonnais dénommé Jean Poncelet. La tour domine l’hôtel de ses 46 mètres.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Le square des Ducs.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Le square des Ducs.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Philippe le Bon. En mai 1942, la Ville de Dijon commande à Henri Bouchard une statue du duc Philippe le Bon. Réalisée en pierre de Pouillenay, la sculpture est livrée à l’automne 1943. Philippe le Bon est représenté débout en tenue d’apparat. À ses pieds figurent les armes de Bourgogne et un briquet, emblème du duc. Sa main droite tient un sceptre tandis que sa main gauche désigne le collier de l'Ordre de la Toison d’Or, qu’il a fondé en 1430. Henri Bouchard est un sculpteur et médailleur né à Dijon en 1875 et décédé à Paris en 1960.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Philippe le Bon. En mai 1942, la Ville de Dijon commande à Henri Bouchard une statue du duc Philippe le Bon. Réalisée en pierre de Pouillenay, la sculpture est livrée à l’automne 1943. Philippe le Bon est représenté débout en tenue d’apparat. À ses pieds figurent les armes de Bourgogne et un briquet, emblème du duc. Sa main droite tient un sceptre tandis que sa main gauche désigne le collier de l'Ordre de la Toison d’Or, qu’il a fondé en 1430. Henri Bouchard est un sculpteur et médailleur né à Dijon en 1875 et décédé à Paris en 1960.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Robert de Cotte édifie en
1710 une nouvelle aile
pour les appartements du
Prince de Condé, dont le
salon est devenu l’escalier
de la mairie. En 1720, il construit
l’escalier du Prince. Au mur, la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Robert de Cotte édifie en 1710 une nouvelle aile pour les appartements du Prince de Condé, dont le salon est devenu l’escalier de la mairie. En 1720, il construit l’escalier du Prince. Au mur, la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Salle de réunion.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Salle de réunion.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Salle de réunion.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Salle de réunion.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Salle de réunion.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Salle de réunion.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Salle de réunion.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Salle de réunion.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>La mairie.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
La mairie.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>La mairie.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
La mairie.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>La mairie.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
La mairie.
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<center>Hôtel de Ville de Dijon vu depuis la place de la Libération.</center>En 1688, Jules Hardouin-
Mansart propose de
transformer les bâtiments
disparates du palais en
un ensemble cohérent.
Il prévoit une cour
d’honneur dans l’axe
de la place et deux ailes
en retour, avec deux
portiques à colonnes. Le palais fait aujourd’hui fonction d’hôtel de ville et abrite le musée des Beaux-Arts. Installées dans l’aile des États, les archives municipales de Dijon conservent de nombreux documents relatifs à l’activité viticole bourguignonne.
Hôtel de Ville de Dijon vu depuis la place de la Libération.
En 1688, Jules Hardouin- Mansart propose de transformer les bâtiments disparates du palais en un ensemble cohérent. Il prévoit une cour d’honneur dans l’axe de la place et deux ailes en retour, avec deux portiques à colonnes. Le palais fait aujourd’hui fonction d’hôtel de ville et abrite le musée des Beaux-Arts. Installées dans l’aile des États, les archives municipales de Dijon conservent de nombreux documents relatifs à l’activité viticole bourguignonne.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Au 18e siècle, les États de Bourgogne font ériger une salle leur étant destinée, point de départ d’un chantier de plus d’un siècle auquel les plus grands architectes d’alors apportent leur contribution.
Le pouvoir ducal incarné par ce palais eut à cœur de promouvoir l’excellence viticole.
En témoigne la fameuse ordonnance promulguée en 1395 par Philippe le Hardi, interdisant la culture du cépage gamay au profit du pinot noir Philippe le Bon confirme en 1441 la décision de son grand-père.
L’aile orientale est
construite en 1782-1787
par Charles-Louis Le
Jolivet, conformément au
projet d’Hardouin-Mansart.
Elle abrite l’école de
dessin créée par François
Devosge.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Au 18e siècle, les États de Bourgogne font ériger une salle leur étant destinée, point de départ d’un chantier de plus d’un siècle auquel les plus grands architectes d’alors apportent leur contribution. Le pouvoir ducal incarné par ce palais eut à cœur de promouvoir l’excellence viticole. En témoigne la fameuse ordonnance promulguée en 1395 par Philippe le Hardi, interdisant la culture du cépage gamay au profit du pinot noir Philippe le Bon confirme en 1441 la décision de son grand-père. L’aile orientale est construite en 1782-1787 par Charles-Louis Le Jolivet, conformément au projet d’Hardouin-Mansart. Elle abrite l’école de dessin créée par François Devosge.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>L’aile des États, 1682-1686. En 1681 les Ėtats de Bourgogne reçoivent
du roi un terrain pour construire une salle pour leurs assemblées, qui se tiennent tous les trois ans
pour voter l’impôt. Le bâtiment est construit de 1682 à 1686 par Daniel Gittard
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
L’aile des États, 1682-1686. En 1681 les Ėtats de Bourgogne reçoivent du roi un terrain pour construire une salle pour leurs assemblées, qui se tiennent tous les trois ans pour voter l’impôt. Le bâtiment est construit de 1682 à 1686 par Daniel Gittard
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>L’aile des États
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
L’aile des États
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Entrée du palais des états, qui mène à la cour de Flore.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Entrée du palais des états, qui mène à la cour de Flore.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Escalier Gabriel. L'escalier majestueux qui mène à la salle des États est l'œuvre de Jacques Gabriel, premier ingénieur des Ponts et Chaussées et architecte du roi.
Les Etats avaient besoin d’un local pour conserver les précieuses archives de la Province et l'ancien escalier établi devant le bâtiment des États s'avérait gênant pour la circulation depuis la création de la nouvelle rue Condé (rue de la Liberté) percée de 1720 à 1724.
En 1730, les États décidèrent de faire édifier un nouvel escalier dont la forme s’explique par sa double fonction d’escalier d'apparat et de dépôt d’archives. Les tribunes, massifs de maçonnerie qui enserrent l’escalier, sont en fait les terrasses des salles voûtées des archives.
Construit de 1733 à 1738, cet ouvrage est remarquable par cette structure architecturale unique en France et par la richesse du décor sculpté déjà marqué par le style rocaille.
Tout l’espace a été soigneusement modelé, angles arrondis, fenêtres feintes, niches cintrées. Les matériaux même ont été choisis pour donner un caractère somptueux : panneaux moulurés et sculptés à l’étage, palier en marbre, les marches en pierre polychrome, ferronneries des rampes dorées à l’or.
L’ornementation symbolique obéit à un véritable programme, célébrant les bienfaits de l’administration des États. On y voit, entre autres, les attributs de la force, garante de la paix civile, de la Musique, des Arts, des Sciences et de la Concorde.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Escalier Gabriel. L'escalier majestueux qui mène à la salle des États est l'œuvre de Jacques Gabriel, premier ingénieur des Ponts et Chaussées et architecte du roi. Les Etats avaient besoin d’un local pour conserver les précieuses archives de la Province et l'ancien escalier établi devant le bâtiment des États s'avérait gênant pour la circulation depuis la création de la nouvelle rue Condé (rue de la Liberté) percée de 1720 à 1724. En 1730, les États décidèrent de faire édifier un nouvel escalier dont la forme s’explique par sa double fonction d’escalier d'apparat et de dépôt d’archives. Les tribunes, massifs de maçonnerie qui enserrent l’escalier, sont en fait les terrasses des salles voûtées des archives. Construit de 1733 à 1738, cet ouvrage est remarquable par cette structure architecturale unique en France et par la richesse du décor sculpté déjà marqué par le style rocaille. Tout l’espace a été soigneusement modelé, angles arrondis, fenêtres feintes, niches cintrées. Les matériaux même ont été choisis pour donner un caractère somptueux : panneaux moulurés et sculptés à l’étage, palier en marbre, les marches en pierre polychrome, ferronneries des rampes dorées à l’or. L’ornementation symbolique obéit à un véritable programme, célébrant les bienfaits de l’administration des États. On y voit, entre autres, les attributs de la force, garante de la paix civile, de la Musique, des Arts, des Sciences et de la Concorde.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Cour de Flore. Au premier étage, la salle de Flore.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Cour de Flore. Au premier étage, la salle de Flore.
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<center>Palais des Ducs et des États de Bourgogne</center>Cour de Flore.
Palais des Ducs et des États de Bourgogne
Cour de Flore.
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<center>Musée des beaux-arts</center>Une aile est reconstruite
en 1852-1856 par Louis
Belin à l’emplacement de
la Sainte-Chapelle détruite
pour faire place au théâtre.
Le bâtiment permet au
musée de faire face à
l’enrichissement de sa
collection. Installé dans le palais des ducs et des États de Bourgogne, le musée abrite les tombeaux des ducs Philippe le Hardi et Jean sans Peur ainsi que d'importantes collections aux thèmes extrêmement variés (histoire de la Bourgogne, Égypte antique, Renaissance, art moderne).
Musée des beaux-arts
Une aile est reconstruite en 1852-1856 par Louis Belin à l’emplacement de la Sainte-Chapelle détruite pour faire place au théâtre. Le bâtiment permet au musée de faire face à l’enrichissement de sa collection. Installé dans le palais des ducs et des États de Bourgogne, le musée abrite les tombeaux des ducs Philippe le Hardi et Jean sans Peur ainsi que d'importantes collections aux thèmes extrêmement variés (histoire de la Bourgogne, Égypte antique, Renaissance, art moderne).
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<center>Place de la Libération.</center>La place Royale est aménagée par Jules Hardouin-Mansart entre 1686 et 1689. Elle devait servir d'écrin à la statue équestre de Louis XIV, réalisée par Étienne Le Hongre (1628-1690), sculpteur ordinaire des bâtiments du Roi au sommet de sa carrière. Elle fut commandée en 1686 et achevée peu avant sa mort en 1690. Cette statue équestre fut détruite le 15 août 1792.
Place de la Libération.
La place Royale est aménagée par Jules Hardouin-Mansart entre 1686 et 1689. Elle devait servir d'écrin à la statue équestre de Louis XIV, réalisée par Étienne Le Hongre (1628-1690), sculpteur ordinaire des bâtiments du Roi au sommet de sa carrière. Elle fut commandée en 1686 et achevée peu avant sa mort en 1690. Cette statue équestre fut détruite le 15 août 1792.
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<center>Place de la Libération.</center>La place Royale est aménagée par Jules Hardouin-Mansart entre 1686 et 1689. Elle devait servir d'écrin à la statue équestre de Louis XIV, réalisée par Étienne Le Hongre (1628-1690), sculpteur ordinaire des bâtiments du Roi au sommet de sa carrière. Elle fut commandée en 1686 et achevée peu avant sa mort en 1690. Cette statue équestre fut détruite le 15 août 1792.
Place de la Libération.
La place Royale est aménagée par Jules Hardouin-Mansart entre 1686 et 1689. Elle devait servir d'écrin à la statue équestre de Louis XIV, réalisée par Étienne Le Hongre (1628-1690), sculpteur ordinaire des bâtiments du Roi au sommet de sa carrière. Elle fut commandée en 1686 et achevée peu avant sa mort en 1690. Cette statue équestre fut détruite le 15 août 1792.
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<center>Place de la Libération.</center>À la Révolution, la place fut rebaptisée place d'Armes et la statue de Louis XIV, détruite le 15 août 1792. La place, rebaptisée place Impériale sous l'Empire en 1804, redevint place Royale à la Restauration, en 1814, avant de retrouver une seconde et dernière fois le nom de place d'Armes en 1831, sous la monarchie de Juillet. En 1941, la municipalité de Dijon donna à la place le nom du Maréchal Pétain. Elle fut rebaptisée place de la Libération à la libération, en septembre 1944.
Place de la Libération.
À la Révolution, la place fut rebaptisée place d'Armes et la statue de Louis XIV, détruite le 15 août 1792. La place, rebaptisée place Impériale sous l'Empire en 1804, redevint place Royale à la Restauration, en 1814, avant de retrouver une seconde et dernière fois le nom de place d'Armes en 1831, sous la monarchie de Juillet. En 1941, la municipalité de Dijon donna à la place le nom du Maréchal Pétain. Elle fut rebaptisée place de la Libération à la libération, en septembre 1944.
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<center>Place de la Libération.</center>
Place de la Libération.
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<center>Rue Rameau.</center>Au fond, l'église Saint Michel.
Rue Rameau.
Au fond, l'église Saint Michel.
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<center>L’église Saint-Michel.</center>C'est une église du XVIe siècle célèbre par sa façade Renaissance, considérée comme l'une des plus belles de France. L'église fut consacrée le 29 juillet 1529 par Philibert de Beaujeu, évêque de Tonnerre. Le portail sud fut terminé en 1537, le portail central en 1551. Les tours de la façade occidentale ne furent achevées qu'en 1659 et 1667.  Le sommet des tours fut reconstruit à l'identique à la fin du XVIIe siècle. La façade principale est unique en son genre par le mélange entre le style gothique et celui de la Renaissance, ce qui est dû à la date de construction de l'église. La coexistence de ces deux styles architecturaux peut être expliquée par l'importance que prend l'art architectural en Bourgogne au XVIe siècle avec le retour des formes antiques et l'influence de l'art italien.
L’église Saint-Michel.
C'est une église du XVIe siècle célèbre par sa façade Renaissance, considérée comme l'une des plus belles de France. L'église fut consacrée le 29 juillet 1529 par Philibert de Beaujeu, évêque de Tonnerre. Le portail sud fut terminé en 1537, le portail central en 1551. Les tours de la façade occidentale ne furent achevées qu'en 1659 et 1667. Le sommet des tours fut reconstruit à l'identique à la fin du XVIIe siècle. La façade principale est unique en son genre par le mélange entre le style gothique et celui de la Renaissance, ce qui est dû à la date de construction de l'église. La coexistence de ces deux styles architecturaux peut être expliquée par l'importance que prend l'art architectural en Bourgogne au XVIe siècle avec le retour des formes antiques et l'influence de l'art italien.
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<center>Bibliothèque " title="" />
Bibliothèque "La Nef".
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<center>La rue Porte-aux-Lions</center>Au 8 de la rue Porte-aux-Lions, trône l'Hôtel Royer, du nom d'une famille commerçante qui avait pignon sur rue. Évoquée dans les textes, dès le début du XVe siècle, les Royer, originaire d'Autun, avait, pour premier membre influent, un certain Philibert Royer, clerc licencié ès-lois, qui en 1427, était procureur à Nuits-Saint-Georges et à Beaune avant de finir conseiller du duc de Bourgogne, Philippe le Bon. La façade est constituée uniquement de pierre, avec, au rez-de-chaussée, de deux grandes arcades et une porte centrale
en anse de paniers finissant par une accolade au niveau de la clef d'arc. Ces grandes ouvertures trahissent la vocation commerciale de cette demeure.
La rue Porte-aux-Lions
Au 8 de la rue Porte-aux-Lions, trône l'Hôtel Royer, du nom d'une famille commerçante qui avait pignon sur rue. Évoquée dans les textes, dès le début du XVe siècle, les Royer, originaire d'Autun, avait, pour premier membre influent, un certain Philibert Royer, clerc licencié ès-lois, qui en 1427, était procureur à Nuits-Saint-Georges et à Beaune avant de finir conseiller du duc de Bourgogne, Philippe le Bon. La façade est constituée uniquement de pierre, avec, au rez-de-chaussée, de deux grandes arcades et une porte centrale en anse de paniers finissant par une accolade au niveau de la clef d'arc. Ces grandes ouvertures trahissent la vocation commerciale de cette demeure.
79
<center>La rue Porte-aux-Lions</center>L'étage supérieur présente une petite fenêtre et de deux grandes fenêtres à meneaux et croisillons
à arcs en accolade. Une autre fenêtre gothique, ornée d'un arc trilobé orné de feuilles
de chênes et transformée en niche flamboyante est un écrin pour
une statue de la Vierge à l'Enfant du XVe siècle.

La Vierge, couronnée et guimpée, tient l'enfant Jésus sur son bras gauche et de sa main droite,
soutient une coupe. Quand à l'Enfant Jésus, il tient un phylactère déplié de sa main gauche.
La rue Porte-aux-Lions
L'étage supérieur présente une petite fenêtre et de deux grandes fenêtres à meneaux et croisillons à arcs en accolade. Une autre fenêtre gothique, ornée d'un arc trilobé orné de feuilles de chênes et transformée en niche flamboyante est un écrin pour une statue de la Vierge à l'Enfant du XVe siècle. La Vierge, couronnée et guimpée, tient l'enfant Jésus sur son bras gauche et de sa main droite, soutient une coupe. Quand à l'Enfant Jésus, il tient un phylactère déplié de sa main gauche.
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<center>La rue Porte-aux-Lions</center>Au n°4 et 6 de la rue Porte-aux-Lions, deux autres demeures à pans de bois en encorbellement,
jouxtant l'Hôtel Royer, semble avoir appartenu à de riches marchands au début du XVe siècle.
Des membres de la corporation des bouchers, puis des merciers et confiseurs logèrent dans ces maisons dès le début du XVe siècle. Le rez-de-chaussée affiche de  grandes ouvertures en anse de panier, servant jadis d'échoppes. S'élevant sur trois niveaux, les façades des deux demeures sont composées d'un socle de pierres
de taille sur lequel reposent un encorbellement associant briques rouges, notamment pour celle au n° 6 de la rue, et poutres de bois. 
Reposant sur trois consoles de pierres, les deux étages sont percés de fenêtres à meneaux à deux ou trois sections côtoyant un colombages avec une ossature de bois en forme de croix de Saint-André. Les grosses poutres en bois, placées à la base de l'encorbellement, dénommées sablières, soutiennent, avec le concours des consoles de pierres, l'ensemble des niveaux.
Celles-ci sont sculptées d'un tête de lion semblant avaler des feuilles de chênes et des glands, d'un dragon et d'un lion allongé tournant la tête vers l'arrière.
La rue Porte-aux-Lions
Au n°4 et 6 de la rue Porte-aux-Lions, deux autres demeures à pans de bois en encorbellement, jouxtant l'Hôtel Royer, semble avoir appartenu à de riches marchands au début du XVe siècle. Des membres de la corporation des bouchers, puis des merciers et confiseurs logèrent dans ces maisons dès le début du XVe siècle. Le rez-de-chaussée affiche de grandes ouvertures en anse de panier, servant jadis d'échoppes. S'élevant sur trois niveaux, les façades des deux demeures sont composées d'un socle de pierres de taille sur lequel reposent un encorbellement associant briques rouges, notamment pour celle au n° 6 de la rue, et poutres de bois. Reposant sur trois consoles de pierres, les deux étages sont percés de fenêtres à meneaux à deux ou trois sections côtoyant un colombages avec une ossature de bois en forme de croix de Saint-André. Les grosses poutres en bois, placées à la base de l'encorbellement, dénommées sablières, soutiennent, avec le concours des consoles de pierres, l'ensemble des niveaux. Celles-ci sont sculptées d'un tête de lion semblant avaler des feuilles de chênes et des glands, d'un dragon et d'un lion allongé tournant la tête vers l'arrière.
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<center>Rue du Bourg</center>Au fond, l'hôtel Aubriot.
Rue du Bourg
Au fond, l'hôtel Aubriot.
82
<center>Place François-Rude</center>Sur le côté nord de la place se trouvent notamment des maisons à colombages du Moyen Âge.
Place François-Rude
Sur le côté nord de la place se trouvent notamment des maisons à colombages du Moyen Âge.
83
<center>Place François-Rude</center>Le côté est est fermé par un immeuble du XVIIIe siècle formant l'angle avec la rue de la Liberté, et par la maison Foucherot, construite en 1775 en pierre de taille par l'architecte dijonnais Claude Saint-Père.
Place François-Rude
Le côté est est fermé par un immeuble du XVIIIe siècle formant l'angle avec la rue de la Liberté, et par la maison Foucherot, construite en 1775 en pierre de taille par l'architecte dijonnais Claude Saint-Père.
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<center>Place François-Rude</center>Sur le côté ouest s'élèvent l'immeuble de l'ancien grand magasin À la Ménagère, bâti de 1895 à 1897 ; le vaste édifice néo renaissance d'une banque construite dans les années 1920 (au n°3) ; l'extension vitrée ajoutée à la fin des années 2010 pour l'espace commercial de la Cour Bareuzai, et la tour du XVIe siècle de l'hôtel Jacqueron. Au sommet de la fontaine centrale réalisée en 1904 est installée la statue Le Vendangeur, œuvre de Noël-Jules Girard réalisée dans les années 1850, fondue par Thiébaut. Elle figure un vigneron foulant le raisin dans une cuve dont seule la partie supérieure est représentée. C'est à ce personnage que la place doit d'être couramment appelée place du Bareuzai. Par ce mot, les Bourguignons désignent une personne chargée de fouler le raisin. En effet, lorsqu'elle ressortait de la cuve, ses jambes étaient teintes en rose : le « bas rosé ».
Place François-Rude
Sur le côté ouest s'élèvent l'immeuble de l'ancien grand magasin À la Ménagère, bâti de 1895 à 1897 ; le vaste édifice néo renaissance d'une banque construite dans les années 1920 (au n°3) ; l'extension vitrée ajoutée à la fin des années 2010 pour l'espace commercial de la Cour Bareuzai, et la tour du XVIe siècle de l'hôtel Jacqueron. Au sommet de la fontaine centrale réalisée en 1904 est installée la statue Le Vendangeur, œuvre de Noël-Jules Girard réalisée dans les années 1850, fondue par Thiébaut. Elle figure un vigneron foulant le raisin dans une cuve dont seule la partie supérieure est représentée. C'est à ce personnage que la place doit d'être couramment appelée place du Bareuzai. Par ce mot, les Bourguignons désignent une personne chargée de fouler le raisin. En effet, lorsqu'elle ressortait de la cuve, ses jambes étaient teintes en rose : le « bas rosé ».
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<center>Ancien grand magasin Art déco « Au Pauvre Diable »</center>Généralement implantée en centre-ville et occupant plusieurs étages d'un bâtiment, cette forme de commerce apparaît au cours de la seconde partie du XIXe siècle. Un grand magasin est un commerce de détail multi-spécialiste exploité par une société commerciale unique.
Ancien grand magasin Art déco « Au Pauvre Diable »
Généralement implantée en centre-ville et occupant plusieurs étages d'un bâtiment, cette forme de commerce apparaît au cours de la seconde partie du XIXe siècle. Un grand magasin est un commerce de détail multi-spécialiste exploité par une société commerciale unique.
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<center>Briefing</center>
Briefing
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<center>HÔTEL FILSJEAN DE MIMANDE</center>Hôtel construit pour Filsjean de Mimande, Président au Parlement (début du XVIIIe siècle) sur la partie occidentale de l'ancien pourpris des Godrans. Le passage ouvrant à gauche dans la cour de l'hôtel et rejoignant la rue François Rude permet d'admirer une courette médiévale ornée d'une statue de Sainte-Marguerite écrasant un dragon et un couloir voûté d'ogives.
HÔTEL FILSJEAN DE MIMANDE
Hôtel construit pour Filsjean de Mimande, Président au Parlement (début du XVIIIe siècle) sur la partie occidentale de l'ancien pourpris des Godrans. Le passage ouvrant à gauche dans la cour de l'hôtel et rejoignant la rue François Rude permet d'admirer une courette médiévale ornée d'une statue de Sainte-Marguerite écrasant un dragon et un couloir voûté d'ogives.
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<center>HÔTEL FILSJEAN DE MIMANDE</center>
HÔTEL FILSJEAN DE MIMANDE
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<center>HÔTEL FILSJEAN DE MIMANDE</center>
HÔTEL FILSJEAN DE MIMANDE
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<center></center>
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<center>LE DÉPOSITOIRE</center>Ce petit édifice de plan rectangulaire est construit en 1847 sous la direction de l’architecte des Hospices, Pierre-Paul Petit. Il s’agit d’une chambre funéraire destinée â recevoir les corps mis en bière avant leur inhumation. Cette fonction rappelle celle de la chapelle Sainte-Croix de Jérusalem, construite sur le site de l’hôpital au 15e siècle et ouverte à la visite.
La vocation funéraire du dépositoire est inscrite dans la pierre : au fronton, au sein d’une couronne, figure un sablier, symbole du temps qui passe et de l’inexorable fin de toute vie humaine. Aux quatre angles du bâtiment sont disposés des flambeaux retournés, autre évocation de cette thématique.
À l’occasion de la création de la Cité internationale de la gastronomie et du vin, le bâtiment a été intégré à un complexe contemporain abritant un village de start-up.
LE DÉPOSITOIRE
Ce petit édifice de plan rectangulaire est construit en 1847 sous la direction de l’architecte des Hospices, Pierre-Paul Petit. Il s’agit d’une chambre funéraire destinée â recevoir les corps mis en bière avant leur inhumation. Cette fonction rappelle celle de la chapelle Sainte-Croix de Jérusalem, construite sur le site de l’hôpital au 15e siècle et ouverte à la visite. La vocation funéraire du dépositoire est inscrite dans la pierre : au fronton, au sein d’une couronne, figure un sablier, symbole du temps qui passe et de l’inexorable fin de toute vie humaine. Aux quatre angles du bâtiment sont disposés des flambeaux retournés, autre évocation de cette thématique. À l’occasion de la création de la Cité internationale de la gastronomie et du vin, le bâtiment a été intégré à un complexe contemporain abritant un village de start-up.
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<center>LA GRANDE CHAPELLE</center>En 1504, le maître et commandeur de l’hôpital du Saint-Esprit, Guillaume Sacquenier, lance la construction d’une grande salle de malades. Comparable à celle de l’Hôtel-Dieu de Beaune, elle accueille les indigents malades. Ses 36 lits s’avèrent rapidement insuffisants et son agrandissement est décidé dès la fin du 16e siècle.
La façade côté rue est refaite en 1697 et ornée à cette occasion d’un groupe sculpté représentant La Charité. En 1842, le bâtiment connaît une complète restructuration : plus d’un tiers de l’ensemble est transformé en chapelle. La façade est à nouveau modifiée à cette occasion. Surélevée et dotée d’un clocher-mur, elle devient un véritable symbole de l’hôpital général.
LA GRANDE CHAPELLE
En 1504, le maître et commandeur de l’hôpital du Saint-Esprit, Guillaume Sacquenier, lance la construction d’une grande salle de malades. Comparable à celle de l’Hôtel-Dieu de Beaune, elle accueille les indigents malades. Ses 36 lits s’avèrent rapidement insuffisants et son agrandissement est décidé dès la fin du 16e siècle. La façade côté rue est refaite en 1697 et ornée à cette occasion d’un groupe sculpté représentant La Charité. En 1842, le bâtiment connaît une complète restructuration : plus d’un tiers de l’ensemble est transformé en chapelle. La façade est à nouveau modifiée à cette occasion. Surélevée et dotée d’un clocher-mur, elle devient un véritable symbole de l’hôpital général.
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<center>LA GRANDE CHAPELLE</center>
LA GRANDE CHAPELLE
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<center>LA GRANDE CHAPELLE</center>Le décor du chœur est particulièrement soigné, mêlant peinture murale et statuaire tels que la Vierge à l’enfant et le Christ portant sa croix attribués à l’artiste dijonnais Jean Dubois [XVIIe siècle]
LA GRANDE CHAPELLE
Le décor du chœur est particulièrement soigné, mêlant peinture murale et statuaire tels que la Vierge à l’enfant et le Christ portant sa croix attribués à l’artiste dijonnais Jean Dubois [XVIIe siècle]
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<center>LA GRANDE CHAPELLE</center>Une Vierge à l'Enfant.
LA GRANDE CHAPELLE
Une Vierge à l'Enfant.
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<center>LA GRANDE CHAPELLE</center>Le Christ portant sa croix attribués à l’artiste dijonnais Jean Dubois [XVIIe siècle].
LA GRANDE CHAPELLE
Le Christ portant sa croix attribués à l’artiste dijonnais Jean Dubois [XVIIe siècle].
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<center>QU’EST-CE QU’UN « CLIMAT » EN BOURGOGNE?</center>En Bourgogne, le Climat désigne une parcelle de vignes, progressivement et précisément délimitée par l’homme et qui est reconnue par son nom, souvent depuis le Moyen-Âge. Elle est vendangée et vinifiée séparément et le vin qu’elle produit porte le même nom que sa parcelle d’origine.
C’est un paysage culturel, façonné par la rencontre d’une terre, d’une plante et du savoir- faire des vignerons. Les Climats de Bourgogne constituent ainsi, ensemble, l’essence même du modèle de viticulture bourguignon.
QU’EST-CE QU’UN « CLIMAT » EN BOURGOGNE?
En Bourgogne, le Climat désigne une parcelle de vignes, progressivement et précisément délimitée par l’homme et qui est reconnue par son nom, souvent depuis le Moyen-Âge. Elle est vendangée et vinifiée séparément et le vin qu’elle produit porte le même nom que sa parcelle d’origine. C’est un paysage culturel, façonné par la rencontre d’une terre, d’une plante et du savoir- faire des vignerons. Les Climats de Bourgogne constituent ainsi, ensemble, l’essence même du modèle de viticulture bourguignon.
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<center>La Cité internationale de la gastronomie et du vin.</center>
La Cité internationale de la gastronomie et du vin.
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<center>Le Clos Vougeot</center>
Le Clos Vougeot
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<center>Le Clos Vougeot</center>
Le Clos Vougeot
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Le Clos Vougeot
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Le Clos Vougeot
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<center>Le vignoble du clos de Vougeot</center>
Le vignoble du clos de Vougeot
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<center>Le vignoble du clos de Vougeot</center>
Le vignoble du clos de Vougeot
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<center>Le vignoble du clos de Vougeot</center>
Le vignoble du clos de Vougeot
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<center>Parcelle de la Romanée Conti.</center>
Parcelle de la Romanée Conti.
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<center>Parcelle de la Romanée Conti.</center>
Parcelle de la Romanée Conti.
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<center>Parcelle de la Romanée Conti.</center>
Parcelle de la Romanée Conti.
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<center>Clos des Réas.</center>
Clos des Réas.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>Saint Vincent, le patron des vignerons
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
Saint Vincent, le patron des vignerons
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.</center>
Cave de Michel Noellat à Vosne- Romanée.
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<center>Repas à Morey Saint Denis au castel de Très Girard.</center>
Repas à Morey Saint Denis au castel de Très Girard.
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<center>Repas à Morey Saint Denis au castel de Très Girard.</center>
Repas à Morey Saint Denis au castel de Très Girard.
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<center>Repas à Morey Saint Denis au castel de Très Girard.</center>
Repas à Morey Saint Denis au castel de Très Girard.
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<center>Repas à Morey Saint Denis au castel de Très Girard.</center>
Repas à Morey Saint Denis au castel de Très Girard.
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<center>Le Clos Vougeot</center>Stèle à la mémoire de Léonce Bocquet qui retaura le château.
Le Clos Vougeot
Stèle à la mémoire de Léonce Bocquet qui retaura le château.
130
<center>Le Clos Vougeot</center>L'ŒNOTHÈQUE.
Dans ce caveau voûté, on conserve quelques bouteilles sélectionnées parmi les vins tastevinés chaque année.
Le Clos Vougeot
L'ŒNOTHÈQUE. Dans ce caveau voûté, on conserve quelques bouteilles sélectionnées parmi les vins tastevinés chaque année.
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<center>Le Clos Vougeot</center>LA COUR D'HONNEUR.
Elle sépare d'un côté le cellier et la cuverie édifiés au Moyen-Âge, à droite, de l'aile Renaissance, à gauche.
Le Clos Vougeot
LA COUR D'HONNEUR. Elle sépare d'un côté le cellier et la cuverie édifiés au Moyen-Âge, à droite, de l'aile Renaissance, à gauche.
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<center>Le Clos Vougeot</center>Façade de l'aile Renaissance. Au-dessus de la porte d'Honneur les armes de Dom Jean Loisier, 48ème abbé de Cîteaux.
Le Clos Vougeot
Façade de l'aile Renaissance. Au-dessus de la porte d'Honneur les armes de Dom Jean Loisier, 48ème abbé de Cîteaux.
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<center>Le Clos Vougeot</center>Grand cellier et dortoir des moines vus de la cour intérieure. Cette grande salle construite en 1170 est l'ancien cellier des moines. La porte nord permettait l’entrée des charrettes dans les cinq travées de la nef centrale et autorisait le roulage des tonneaux jusque dans les nefs latérales. Les murs épais, les fenêtres étroites et le plafond isolé maintenaient une température stable, favorisant l’élevage des vins en pièces bourguignonnes (fûts de chêne de 228 litres). Les dalles en pierre de Bourgogne ont remplacé la terre battue d’autrefois.
Le Clos Vougeot
Grand cellier et dortoir des moines vus de la cour intérieure. Cette grande salle construite en 1170 est l'ancien cellier des moines. La porte nord permettait l’entrée des charrettes dans les cinq travées de la nef centrale et autorisait le roulage des tonneaux jusque dans les nefs latérales. Les murs épais, les fenêtres étroites et le plafond isolé maintenaient une température stable, favorisant l’élevage des vins en pièces bourguignonnes (fûts de chêne de 228 litres). Les dalles en pierre de Bourgogne ont remplacé la terre battue d’autrefois.
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<center>Le Clos Vougeot</center>
Le Clos Vougeot
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<center>Le Clos Vougeot</center>Façade de l'aile Renaissance.
Le Clos Vougeot
Façade de l'aile Renaissance.
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<center>Le Clos Vougeot</center>Façade de l'aile Renaissance.
Le Clos Vougeot
Façade de l'aile Renaissance.
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<center>Le Clos Vougeot</center>LE PUITS.
Creusé au XIIème siècle à 20 mètres de profondeur, le puits dispose d'un ingénieux système de roues qui démultiplie la force pour puiser l'eau sans effort.
Le Clos Vougeot
LE PUITS. Creusé au XIIème siècle à 20 mètres de profondeur, le puits dispose d'un ingénieux système de roues qui démultiplie la force pour puiser l'eau sans effort.
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<center>Le Clos Vougeot</center>LE PUITS.
Creusé au XIIème siècle à 20 mètres de profondeur, le puits dispose d'un ingénieux système de roues qui démultiplie la force pour puiser l'eau sans effort.
Le Clos Vougeot
LE PUITS. Creusé au XIIème siècle à 20 mètres de profondeur, le puits dispose d'un ingénieux système de roues qui démultiplie la force pour puiser l'eau sans effort.
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<center>Le Clos Vougeot</center>Entrée de la cuverie. Édifiée entre 1475 et 1478, elle permet de comprendre la vinification à la fin du Moyen-Âge. Les raisins étaient égrappés puis écrasés, le jus obtenu fermentait en cuve pendant une quinzaine de jours. La cour, évoquant un cloître, assurait une bonne ventilation et permettait l'évacuation des gaz nocifs.
Le Clos Vougeot
Entrée de la cuverie. Édifiée entre 1475 et 1478, elle permet de comprendre la vinification à la fin du Moyen-Âge. Les raisins étaient égrappés puis écrasés, le jus obtenu fermentait en cuve pendant une quinzaine de jours. La cour, évoquant un cloître, assurait une bonne ventilation et permettait l'évacuation des gaz nocifs.
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