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Sainte Marthe, pierre polychrome, XVe siècle.
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Au centre, Sainte Anne.
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Enfant Jésus en cire.
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Le réfectoire des sœurs.
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Le réfectoire des sœurs.
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Secrétaire Louis XV en poirier.
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La commode en arbalète est un meuble dont la façade présente une façade mouvementée en forme d'accolade . Cette forme en arbalète comme l'arme du même nom est caractéristique du style Louis XV.
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Passe-plat vers la cuisine.
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La cuisine.
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Passe-plat vers le réfectoire.
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Des sœurs hospitalières de la communauté de Ste Marthe ont dirigé l'établissement pendant près de 300 ans et ont légué à l'Hôtel-Dieu des meubles et objets d'art authentiques représentant les différents styles de cette longue période. Ces meubles garnissent les salles et offrent aux visiteurs une saisissante atmosphère.
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Pied en forme de sabot.
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Lettres patentes de Louis XIV cachetées à la cire verte, donc valables à perpétuité.
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Crédence.
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Escabeau transformable.
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Coin Louis XVI.
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Coin Louis XVI.
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Noémie Pernet, soeur donatrice.
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Plat à barbe avec porte boule en faïence du Nord.
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Découpages en papier représentant une chapelle, sur un support en bois. XIXe siècle.
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"Trinité" en ivoire sur un support en bois. XVIIe siècle.
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La tour Saint-Paul. Vestige de l'ancienne ville fortifiée, c'est un bastion militaire défendant le rempart de la ville, construit en 1570. Une inscription donne l'année de sa construction : « Faicte en l'an 1668 ».
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Les gens peu fortunés bâtissaient leurs maisons à pans de bois. Certaines s'appelaient des maisons de lune : on leur donnait le terrain, et s'ils construisaient la maison en une nuit (la cheminée qui fume était le signal), ce terrain et la maison leur appartenaient. C'étaient des maisons démontables.
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Les pans de bois verticaux et rapprochés et les croix de saint André sont du XVe-XVIe. Ceux qui sont en obliques sont du XVIIe-XVIIIe. Ils consolidaient la maison.
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Sur beaucoup de maisons, au XIXe siècle, les pans de bois étant à la mode, on a enlevé le crépis.
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Hôtel de ville. Cet élégant édifice, dont les frontons cintrés ou triangulaires portent les armoiries de la ville, fut construit de 1762 à 1765 pouf' abriter les services municipaux (mairie), le porche voûté prenant la place d'une porte percée en 1719 entre deux tours du rempart (celui-ci arasé en 1787-1791) dans l’axe alors aménagé pour permettre l’accès depuis la Grande Rue.
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Le premier document écrit mentionnant l'église de LOUHANS, est une CHARTE de Louis le Bègue (878) qui donne à l'abbaye de Tournus "LOVINCUM" sur Seille et ses dépendances pour l’entretien du luminaire de saint-Philibert. Ainsi, Louhans sera pendant 4 siècles un prieuré de Tournus. On estime qu'au début du XIVème s, l'église se présente déjà sous l'aspect de deux bâtiments accolés. Après le grand incendie de 1370 qui les a gravement endommagés, on entreprend très vite la réfection de la grande chapelle gothique Notre-Dame, dans laquelle donne l'oratoire dit « des Seigneurs de Ratte » flanqué de sa tourelle, sans doute non détruit lors de l'incendie. Puis c'est la reconstruction du chœur de l'église principale dont l'entrée est dotée d'un clocher. On prolonge le chœur par une nef où sont aménagées plusieurs chapelles latérales. Divers travaux jalonnent les siècles suivants. La fin du XIXème s. est marquée par de grands chantiers avec, en 1883, le transfert du clocher à sa place actuelle et, plus tard, jusqu'au début du XXème s, la construction d'une nouvelle nef qui s'ouvre à l'ouest par un double portail. L'édifice est bâti en briques avec contreforts de pierres et de briques. La couverture en tuiles vernissées polychromes lui donne son unité.
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Cet édifice religieux de style gothique présente notamment une toiture en tuile vernissée de Bourgogne. Rattachée au diocèse d'Autun, Chalon et Mâcon elle est consacrée à saint Pierre. L'édifice est principalement constitué de briques avec contreforts de pierre et de briques. La couverture en tuile vernissées polychrome de Bourgogne donne une unité remarquable au bâtiment.
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La tour carrée est la chapelle, la tour ronde, l'escalier.
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Au XIVe siècle cette église en brique traditionnelle bressane est construite sur l’emplacement de l'ancienne église. Au XVIIIe siècle l’église est agrandie par l'ajout d'un second corps de bâtiments (la chapelle Notre-Dame) accolée à l'église, par l'architecte Émiland Gauthey. Les treize chapelles latérales ajoutées avec le temps et le clocher à dôme (clocher comtois) qui reposait sur un énorme pilier qui encombrait la nef sont démolis en 1883. À la Révolution française elle devient temple de la Raison. L'église et sa chapelle sont rendues au culte catholique sous le Concordat
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Début du XXème s, construction d'une nouvelle nef qui s'ouvre à l'ouest par un double portail avec la statue de Saint Pierre.
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Le nouveau clocher-porche actuel surmonté d'une flèche est construit devant la chapelle Notre-Dame.
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Sous la toiture du clocher, une galerie à balustrade sculptées aux lettres de l'Ave Maria.
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Voûte du clocher.
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Chapelle Notre-Dame. Les consoles et les chapiteaux polychromes sont sculptés pour la plupart aux armoiries de familles nobles du louhannais. Sur le côté gauche après la chaire se trouve la chapelle des Seigneurs de Ratte avec au linteau, un saint évêque (St Crépin ?), bois polychrome. Le Saint-Sacrement est déposé dans un tabernacle moderne (œuvre du ferronnier d’art Joël Frost), situé à droite de l’autel. Il a été installé en 2012. Une icône, œuvre d’une paroissienne, représente autour d’une Pietà la mort et la résurrection de Jésus-Christ (2014)
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La voûte articulée sur un jeu d'arcs croisés polychromes donne l'impression d'une grande légèreté.
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Les trois visages représentent la Trinité.
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Les vitraux représentent successivement sainte Thérèse d'Avila (?),
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la Vierge,
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puis dans le chœur, saint François d'Assise,
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une Vierge à l'Enfant,
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l'Apparition du Sacré-Cœur à Marguerite-Marie dans la chapelle de la Visitation à Paray-le-Monial, daté de 1869,
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et saint François de Sales, fondateur de l'Ordre de la Visitation.
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L'Annonciation entourée de Sainte Anne avec Marie et Joachim.
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La grande nef. Le chœur est prolongé par une nef où sont aménagées plusieurs chapelles latérales.
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La grande nef.
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Dans le chœur, le vitrail montre la remise des clefs à saint Pierre, saint patron de l'église. Le Christ, bras gauche et yeux levés vers le ciel symbolisant le lien avec le Père, remet à Pierre, à genoux, les clefs du Royaume devant tous les apôtres réunis. En haut, des anges présentent les symboles de la Foi (le ciboire), de l'Espérance (l'ancre) et de la Charité (l'accueil des enfants orphelins).
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Dans les trois travées des bas-côtés, sur les vitraux bleus et rouges, sont représentés le chrisme et l'agneau (symboles du Christ), des colombes s'abreuvant (symbole des disciples du Christ) et des animaux figurés.
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Depuis 1890, l'église Saint-Pierre possède un orgue, de 13 jeux, construit par les établissements Guetton et Dangon, à l'époque à l'entrée du chœur1. En 1958, il est déplacé vers le transept sud (sa position actuelle) et subit quelques travaux. Enfin, entre 1990 et 2001 puis en 2004, Jean Deloye remet en place des tuyaux volés. L'instrument se compose, en traction mécanique, de deux claviers manuels de 56 notes chacun (Grand-Orgue et Récit Expressif) ainsi que d'une Pédale de 27 notes.
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La chaire à prêcher, bois taillé, XVIIe.
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Une gargouille de 1526, du clocher primitif.
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À l'ouest, au-dessus du double portail, vitrail moderne (1993) du maître-verrier Paul Duckert. Le thème s'inspire de l'Apocalypse de saint Jean.
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Dans la partie inférieure, le feu de l'enfer et, vaincus par les douze Anges de Dieu et précipités dans la géhenne, les chevaux évoquant la famine, la mort, la souffrance... Les poissons symbolisent le Peuple de Dieu qui monte vers l'Agneau, image du Christ, mort sur la croix et ressuscité pour le salut du monde. En bas, un bélier, préfiguration du sacrifice et de la mort rédemptrice du Christ, évoque avec le buisson ardent notre montée vers l'Agneau de Dieu à la croix victorieuse, figure centrale du vitrail.
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La halle où a lieu le marché aux volailles depuis 1269. Durant le XIIIe siècle le seigneur Henri d’Antigny est le seigneur attitré de Louhans et octroie une charte de franchise à la ville en 1269 qui instaure notamment le marché hebdomadaire du lundi. La race des poulets est la gauloise blanche. En 2018, il ne reste que 160 éleveurs, qui fournissent 80 000 poulets. Le label date de 1987.
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Aux confins de la Bresse et de la Bourgogne du Sud, dans un écrin de verdure et de fleurs estivales, André et Chantal Pont seront heureux de vous accueillir et de vous faire découvrir les charmes de leur ferme bressane avec cheminée sarrasine du XVe siècle, classée monument historique et rénovée dans le respect de l'architecture locale. Le clocheton au-dessus du toit “la mitre” de la cheminée sarrasine.
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La maison est faite avec du bois, de l'argile et des briques. Le torchis indique que la maion est plus vieille que le XVIIe. La datation est de 1450-1519. Elle repose sur les dates des coupes de bois.
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La mitre est de type carré à deux étages avec pyramide. En forme de clocher roman décoré et surmonté d'une croix en fer forgé. Certains disent qu'elle ressemble à un minaret. On appelait les étrangers, des sarrasins, et les Bressans, les ventres jaunes : à cause des lingots d'or qu'ils gardaient sur leur ventre ? ou à cause du maïs qui arrive en 1530 pour l'alimentation des humains ?
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L’entrée de l’habitat avec une avancée du toit, ombragée par un préau de vigne vierge avec sur la droite les escaliers en chêne massif permettant l’accès au grenier pour monter des sacs de blé à dos d’hommes, aujourd’hui utilisé pour accéder aux trois chambres d’hôtes.
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La cheminée de 16 m2 à sa base, surmontée de sa hotte pyramidale et du clocheton au-dessus du toit “la mitre”, possède toujours son foyer “chauffant au large”.
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Le foyer “chauffant au large”.
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Présence de quelques pièces du mobilier d’époque (entre XVe et XIXe) dans la pièce à vivre “la maison”: l’archebanc ( banc des ancêtres) et le lit à baldaquin aux abords du foyer,
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l’archebanc ( banc des ancêtres) comprenant des rangements,
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et le lit à baldaquin aux abords du foyer,
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la table de ferme avec ses bancs,
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La pierre d’évier , lieu de vaisselle et de la toilette de la famille,
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Les gaudes sont des galettes de farine de maïs grillé que l'on mettait dans la soupe ce qui l'apaississait. On faisait alors un trou dans lequel on versait du lait. On les tartinait aussi avec du fromage, le pourri (du petit lait que l'on faisait cailler dans un torchon, qu'on mettait ensuite dans un saladier et qu'on laissait fermenter). Au dessert, on les tartinait avec du vin cuit (pommes et poires que l'on faisait cuire 36 h).
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Notre hôte.
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Cette ferme bressane est une exploitation toujours en activité.
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Bovins charolais.
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Bovins charolais.
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