La ville ancienne, la cathédrale Saint-Vincent, le musée Niepce, l'église Saint-Pierre, le musée Denon, l'ancien hôpital.

<center>Chalon-sur-Saône </center>L'ancien decumanus (axe Est-Ouest).
Chalon-sur-Saône
L'ancien decumanus (axe Est-Ouest).
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Maison dite des Quatre saisons. Du XVIe au XVIIIe siècle, les maisons situées dans cette rue appartiennent souvent à des hommes de loi installés près de la place du Châtelet où était rendue la justice royale. Ainsi, se trouvait ici au XVIe siècle la maison d'Hugues Baichet, procureur du Roi, qui chaque année, le jour de la procession de la Fête- Dieu ornait sa façade de la tapisserie aujourd’hui visible dans la cathédrale Saint Vincent.
Chalon-sur-Saône
Maison dite des Quatre saisons. Du XVIe au XVIIIe siècle, les maisons situées dans cette rue appartiennent souvent à des hommes de loi installés près de la place du Châtelet où était rendue la justice royale. Ainsi, se trouvait ici au XVIe siècle la maison d'Hugues Baichet, procureur du Roi, qui chaque année, le jour de la procession de la Fête- Dieu ornait sa façade de la tapisserie aujourd’hui visible dans la cathédrale Saint Vincent.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Maison dite des Quatre saisons. En 1657, on élève la demeure actuelle pour Barthélémy Maghien, avocat au parlement.
Comme souvent à cette époque, des bandeaux situés entre les étages rythment la façade; les deux étages, complétés par des combles habitables ornés de grandes lucarnes, possèdent des ouvertures régulières bordées de chaînages en pierre. Le décor est foisonnant : outre des guirlandes de fleurs sous la corniche, des vases en pierre placés aux extrémités de celle-ci et des gargouilles, le mur est orné de bas- reliefs. Ceux-ci représentent 4 Visages de profil (portraits ou les 4 âges) et 4 amours portant fleurs, blé, fruits ou fagot, qui personnifient les saisons. L'automne avec des raisins et l'hiver avec un fagot. L'homme représente l'âge mur, le vieil homme, la vieillesse.
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Maison dite des Quatre saisons. En 1657, on élève la demeure actuelle pour Barthélémy Maghien, avocat au parlement. Comme souvent à cette époque, des bandeaux situés entre les étages rythment la façade; les deux étages, complétés par des combles habitables ornés de grandes lucarnes, possèdent des ouvertures régulières bordées de chaînages en pierre. Le décor est foisonnant : outre des guirlandes de fleurs sous la corniche, des vases en pierre placés aux extrémités de celle-ci et des gargouilles, le mur est orné de bas- reliefs. Ceux-ci représentent 4 Visages de profil (portraits ou les 4 âges) et 4 amours portant fleurs, blé, fruits ou fagot, qui personnifient les saisons. L'automne avec des raisins et l'hiver avec un fagot. L'homme représente l'âge mur, le vieil homme, la vieillesse.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Maison dite des Quatre saisons. Le printemps avec des fleurs et l'été avec des épis de blé. L'enfance (la femme symbolise la naissance) et la jeunesse.
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Maison dite des Quatre saisons. Le printemps avec des fleurs et l'été avec des épis de blé. L'enfance (la femme symbolise la naissance) et la jeunesse.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Copie de la statue qui se trouve dans la Cathédrale St-Vincent , en bois, et qui se trouvait ici. C'est monsieur Gaillard qui réalisa le travail, dans un tronc d'orme.
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Copie de la statue qui se trouve dans la Cathédrale St-Vincent , en bois, et qui se trouvait ici. C'est monsieur Gaillard qui réalisa le travail, dans un tronc d'orme.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Au fond, le pont St laurent.
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Au fond, le pont St laurent.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Le cardo.
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Le cardo.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Maison dite des trois greniers.
Construite vers 1500, la maison dite
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Maison dite des trois greniers. Construite vers 1500, la maison dite "des trois greniers" doit son nom à sa façade sur cour, à pans de bois, surmontée de hauts toits percés de trois niveaux de lucarnes (trois greniers). Elle a appartenu à la famille Riboudeau, bourgeois et marchands parmi les plus en vue à Chalon sur Saône au XVIe siècle. Côté rue, sa façade de pierre est composée de deux arcades à usage commerçant au rez-de-chaussée, de deux niveaux de logements au-dessus percés de fenêtres et surmontés de toits ornés de lucarnes. Si les fenêtres du 1er étage sont décorées de linteaux accolade, encore d'esprit gothique, les linteaux sont droits au deuxième étage; de même, les ouvertures ne sont pas encore rigoureusement symétriques comme au siècle suivant. Afin de desservir les étages, deux escaliers à vis, situés dans des tourelles (visibles depuis la rue) étaient reliés, à la façade sur cour, munie de galeries de circulation gui bois» Ce type de distribution permettait le partage de telles maisons; il y eut d'ailleurs ici deux propriétaires de 1553 à 1735.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Statue de saint Vincent.
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Statue de saint Vincent.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>De belles façades à colombage ont été dégagées sur la place St-Vincent
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De belles façades à colombage ont été dégagées sur la place St-Vincent
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<center>Chalon-sur-Saône </center>La cathédrale de Chalon s’élève à l’emplacement d’un temple antique du castrum de Cabillonum. Chalon est une ville épiscopale très ancienne puisque l’évêché fut fondé en 449. La première cathédrale, dédiée à Saint-Etienne, fut élevée sur l’enceinte du castrum gallo-romain du 3e siècle. En 542, la cathédrale est dédiée à Saint-Vincent. Sous le Roi Gontran, Chalon devient la capitaleLa cathédrale au 18e siècle du royaume mérovingien des Burgondes.  La première cathédrale fut agrandie en 580 par l’évêque saint Agricole et décoré de mosaïques fameuses.  Aux époques mérovingiennes et carolingiennes, Chalon était un centre religieux important et lieu de plusieurs conciles, comme en 647 et en 813. La cathédrale, plusieurs fois restaurée aux 8e, 9e et 10e siècles, fut reconstruite en style carolingien avec l’assistance de Charlemagne. Une nouvelle cathédrale romane fut construite à partir de la fin du 11e siècle par l’évêque Gauthier de Couches (1080-1120). Elle fut érigée en trois étapes, d’est en ouest, de 1090 à 1150. Le chantier s’étale ensuite sur plusieurs siècles puisque l’église est reprise en gothique. Le chœur vers 1230, la nef au 14e siècle et les chapelles au 15e siècle complètent la cathédrale. La nouvelle église fut consacrée en 1403. L’église fut restaurée au 19e siècle et reçut une nouvelle façade néo-gothique, la première en France, à deux clochers durant les années 1827-1847.
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La cathédrale de Chalon s’élève à l’emplacement d’un temple antique du castrum de Cabillonum. Chalon est une ville épiscopale très ancienne puisque l’évêché fut fondé en 449. La première cathédrale, dédiée à Saint-Etienne, fut élevée sur l’enceinte du castrum gallo-romain du 3e siècle. En 542, la cathédrale est dédiée à Saint-Vincent. Sous le Roi Gontran, Chalon devient la capitaleLa cathédrale au 18e siècle du royaume mérovingien des Burgondes. La première cathédrale fut agrandie en 580 par l’évêque saint Agricole et décoré de mosaïques fameuses. Aux époques mérovingiennes et carolingiennes, Chalon était un centre religieux important et lieu de plusieurs conciles, comme en 647 et en 813. La cathédrale, plusieurs fois restaurée aux 8e, 9e et 10e siècles, fut reconstruite en style carolingien avec l’assistance de Charlemagne. Une nouvelle cathédrale romane fut construite à partir de la fin du 11e siècle par l’évêque Gauthier de Couches (1080-1120). Elle fut érigée en trois étapes, d’est en ouest, de 1090 à 1150. Le chantier s’étale ensuite sur plusieurs siècles puisque l’église est reprise en gothique. Le chœur vers 1230, la nef au 14e siècle et les chapelles au 15e siècle complètent la cathédrale. La nouvelle église fut consacrée en 1403. L’église fut restaurée au 19e siècle et reçut une nouvelle façade néo-gothique, la première en France, à deux clochers durant les années 1827-1847.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>La façade remplace l’ancienne qui était flanquée d’un clocher roman. Les deux clochers actuels sont décorés de statues.
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La façade remplace l’ancienne qui était flanquée d’un clocher roman. Les deux clochers actuels sont décorés de statues.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Le grand portail sous le porche de la façade est en bois sculpté.
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Le grand portail sous le porche de la façade est en bois sculpté.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>L’histoire de la construction est complexe et s’étale sur plusieurs phases distinctes menant de 1090 aux années 1520. La partie romane, elle-même composée de trois phases, comprend les absidioles des années 1090, les parties basses du chœur et du transept des années 1120-1130 et les bas-côtés et parties basses de la nef du milieu du 12e siècle. La nef de sept travées s’élève sur trois étages dont le premier est du milieu du 12e siècle. Les grandes arcades brisées à doubles rouleaux surmontent des piliers cruciformes cantonnés de deux colonnes engagées et de deux pilastres cannelées. Les étages supérieurs de la nef présentent un triforium à balustrade ajourée et des fenêtres hautes dans le style gothique du 14e siècle. Une curiosité architecturale : une grande rose intérieure. Gothique, elle est percée au-dessus de l'arc roman, qui sépare la nef centrale du transept (c'est un vestige du temps où la nef, encore romane, couverte d'un plafond plat, était plus basse que le transept).
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L’histoire de la construction est complexe et s’étale sur plusieurs phases distinctes menant de 1090 aux années 1520. La partie romane, elle-même composée de trois phases, comprend les absidioles des années 1090, les parties basses du chœur et du transept des années 1120-1130 et les bas-côtés et parties basses de la nef du milieu du 12e siècle. La nef de sept travées s’élève sur trois étages dont le premier est du milieu du 12e siècle. Les grandes arcades brisées à doubles rouleaux surmontent des piliers cruciformes cantonnés de deux colonnes engagées et de deux pilastres cannelées. Les étages supérieurs de la nef présentent un triforium à balustrade ajourée et des fenêtres hautes dans le style gothique du 14e siècle. Une curiosité architecturale : une grande rose intérieure. Gothique, elle est percée au-dessus de l'arc roman, qui sépare la nef centrale du transept (c'est un vestige du temps où la nef, encore romane, couverte d'un plafond plat, était plus basse que le transept).
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<center>Chalon-sur-Saône </center>L’élévation et les voûtes datent de plusieurs campagnes en style gothique. Les murs de la nef sont du début du 14e siècle, les voûtes de la nef ainsi que le cloître sont de la fin du 14e siècle, et les chapelles de la nef sont des 15e et 16e siècles. Les voûtes d’ogives à nervure axiale reposent sur des faisceaux de colonnettes surmontant les piliers romans.
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L’élévation et les voûtes datent de plusieurs campagnes en style gothique. Les murs de la nef sont du début du 14e siècle, les voûtes de la nef ainsi que le cloître sont de la fin du 14e siècle, et les chapelles de la nef sont des 15e et 16e siècles. Les voûtes d’ogives à nervure axiale reposent sur des faisceaux de colonnettes surmontant les piliers romans.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Les larges bas-côtés à voûtes d’arêtes sur doubleaux brisés reposant sur des pilastres cannelés des murs latéraux sont également romans. Les murs s’ouvrent sur les chapelles latérales, six au nord et cinq au sud, dans le style flamboyant des 15e et 16e siècles. A droite, chapiteau avec un arbre en Y.
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Les larges bas-côtés à voûtes d’arêtes sur doubleaux brisés reposant sur des pilastres cannelés des murs latéraux sont également romans. Les murs s’ouvrent sur les chapelles latérales, six au nord et cinq au sud, dans le style flamboyant des 15e et 16e siècles. A droite, chapiteau avec un arbre en Y.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>La tribune supportant le buffet d’orgue est du 18e siècle. L'orgue de tribune date de la fin du XVIIe siècle. Le buffet est classé au titre des monuments historiques en 1846, alors que la partie instrumentale est inscrite à titre objet en 1972. Le grand orgue initial subsista jusqu'en 1751. À cette date, on fit appel à Karl-Joseph Riepp (1710-1775), facteur d'orgues, qui construisit l'instrument actuel, initialement à quatre claviers et quarante-quatre jeux (réduit à trois claviers vers 1850).
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La tribune supportant le buffet d’orgue est du 18e siècle. L'orgue de tribune date de la fin du XVIIe siècle. Le buffet est classé au titre des monuments historiques en 1846, alors que la partie instrumentale est inscrite à titre objet en 1972. Le grand orgue initial subsista jusqu'en 1751. À cette date, on fit appel à Karl-Joseph Riepp (1710-1775), facteur d'orgues, qui construisit l'instrument actuel, initialement à quatre claviers et quarante-quatre jeux (réduit à trois claviers vers 1850).
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Statue du Christ Ressuscité
Cette statue était initialement à l'angle de la façade de la maison située au carrefour des rues du Pont & Grand’Rue, d'une part et des rues Saint Vincent& du Châtelet d'autre part. Selon l'inscription du socle, elle date de 1600.C est une copie libre, d'un sculpteur inconnu
Chalon-sur-Saône
Statue du Christ Ressuscité Cette statue était initialement à l'angle de la façade de la maison située au carrefour des rues du Pont & Grand’Rue, d'une part et des rues Saint Vincent& du Châtelet d'autre part. Selon l'inscription du socle, elle date de 1600.C est une copie libre, d'un sculpteur inconnu
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<center>Chalon-sur-Saône </center>La copie représente le Christ debout, nu, les reins ceints d'une draperie - un périzonium -, conformément aux exigences de l'esthétique chaste de l'époque de la Contre-Réforme. Le visage du Christ est sévère, la victoire que le Sauveur vient de remporter sur la mort est signifiée par la Croix dressée. Contre le bois, le Christ serre un linge et un roseau de chez nous, une massette, reconnaissable à l'épi serré qui surmonte la tige. Derrière la jambe gauche, un tronc d'arbre sur lequel glissent, de même que sur le socle, quelques escargots. Ces détails font la différence avec l'original : la statue de Michel-Ange montre une corde à la place du linge, et un roseau différent. Elle a quitté les lieux en 1969. Il fallut attendre 1986 pour que la restauration fût confiée à monsieur Kopp, sculpteur à Saint-Rémy, et que la statue fût à nouveau accessible au public. Elle ne revint pas sur son socle, mais fut placée dans le Cloître avant de trouver sa place actuelle.
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La copie représente le Christ debout, nu, les reins ceints d'une draperie - un périzonium -, conformément aux exigences de l'esthétique chaste de l'époque de la Contre-Réforme. Le visage du Christ est sévère, la victoire que le Sauveur vient de remporter sur la mort est signifiée par la Croix dressée. Contre le bois, le Christ serre un linge et un roseau de chez nous, une massette, reconnaissable à l'épi serré qui surmonte la tige. Derrière la jambe gauche, un tronc d'arbre sur lequel glissent, de même que sur le socle, quelques escargots. Ces détails font la différence avec l'original : la statue de Michel-Ange montre une corde à la place du linge, et un roseau différent. Elle a quitté les lieux en 1969. Il fallut attendre 1986 pour que la restauration fût confiée à monsieur Kopp, sculpteur à Saint-Rémy, et que la statue fût à nouveau accessible au public. Elle ne revint pas sur son socle, mais fut placée dans le Cloître avant de trouver sa place actuelle.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>L’abside et les parties hautes du chœur et du transept sont du pur style gothique bourguignon des années 1230. Elles surmontent des parties basses romanes de 1120-1130. Deux travées droites, plus anciennes que celles de la nef, en continuent l’architecture avec de grandes arcades brisées, des piliers à colonnes engagées et pilastres cannelées et des bas-côtés voûtés d’arêtes sur doubleaux. L’abside à cinq pans, le triforium à chapiteaux sculptés et les fenêtres hautes du chœur sont d’un beau style gothique des années 1230, plus léger que celui de la nef.
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L’abside et les parties hautes du chœur et du transept sont du pur style gothique bourguignon des années 1230. Elles surmontent des parties basses romanes de 1120-1130. Deux travées droites, plus anciennes que celles de la nef, en continuent l’architecture avec de grandes arcades brisées, des piliers à colonnes engagées et pilastres cannelées et des bas-côtés voûtés d’arêtes sur doubleaux. L’abside à cinq pans, le triforium à chapiteaux sculptés et les fenêtres hautes du chœur sont d’un beau style gothique des années 1230, plus léger que celui de la nef.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>En ce qui concerne la deuxième galerie, au niveau du chœur, elle fut originairement sans balustrade, mais au cours du XIVe siècle elle se voit rajouter sur son côté sud une balustrade ajourée de quatre-feuilles. Au centre, st Vincent, à droite st Etienne. Ces  vitraux modernes (1954) qui, par le haut, inondent l'édifice de leur lumière, sont l'œuvre de Pierre Choutet.
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En ce qui concerne la deuxième galerie, au niveau du chœur, elle fut originairement sans balustrade, mais au cours du XIVe siècle elle se voit rajouter sur son côté sud une balustrade ajourée de quatre-feuilles. Au centre, st Vincent, à droite st Etienne. Ces vitraux modernes (1954) qui, par le haut, inondent l'édifice de leur lumière, sont l'œuvre de Pierre Choutet.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Chapiteau de la nef : Caïn et Abel. Les chapiteaux en haut relief surmontent les colonnes engagées des piliers de la nef et du chœur. Généralement datés de 1120 à 1150, les chapiteaux du chœur sont plus anciens que ceux de la nef.
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Chapiteau de la nef : Caïn et Abel. Les chapiteaux en haut relief surmontent les colonnes engagées des piliers de la nef et du chœur. Généralement datés de 1120 à 1150, les chapiteaux du chœur sont plus anciens que ceux de la nef.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Chapiteau de la nef : Caïn et Abel présentant leurs offrandes au seigneur.
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Chapiteau de la nef : Caïn et Abel présentant leurs offrandes au seigneur.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Chapiteau de la nef : Caïn et Abel. La main de Dieu bénit Caïn.
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Chapiteau de la nef : Caïn et Abel. La main de Dieu bénit Caïn.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Dans le bas-côté sud, des sirènes oiseaux dans des rinceaux, représentant la séduction du mal.
Chalon-sur-Saône
Dans le bas-côté sud, des sirènes oiseaux dans des rinceaux, représentant la séduction du mal.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Dans le bas-côté nord de la nef, le chapiteau de l’Enlèvement d’Alexandre montrant un épisode de la légende d’Alexandre le Grand, sans doute un réemploi du 11e siècle, se trouve au revers de la façade.
Chalon-sur-Saône
Dans le bas-côté nord de la nef, le chapiteau de l’Enlèvement d’Alexandre montrant un épisode de la légende d’Alexandre le Grand, sans doute un réemploi du 11e siècle, se trouve au revers de la façade.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Dans le bas-côté nord de la nef, le chapiteau de l’Enlèvement d’Alexandre montrant un épisode de la légende d’Alexandre le Grand, sans doute un réemploi du 11e siècle, se trouve au revers de la façade.
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Dans le bas-côté nord de la nef, le chapiteau de l’Enlèvement d’Alexandre montrant un épisode de la légende d’Alexandre le Grand, sans doute un réemploi du 11e siècle, se trouve au revers de la façade.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Chapiteaux du chœur : le Repas d’Emmaüs représentant le Christ et les pèlerins d’Emmaüs ainsi que l’Apparition du Christ à sainte Marie Madeleine.
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Chapiteaux du chœur : le Repas d’Emmaüs représentant le Christ et les pèlerins d’Emmaüs ainsi que l’Apparition du Christ à sainte Marie Madeleine.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>L’Apparition du Christ à sainte Marie Madeleine.
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L’Apparition du Christ à sainte Marie Madeleine.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>le Repas d’Emmaüs représentant le Christ et les pèlerins d’Emmaüs.
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le Repas d’Emmaüs représentant le Christ et les pèlerins d’Emmaüs.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Dans la Chapelle Notre-Dame-de-Pitié, dans le croisillon sud, la grande tapisserie eucharistique date de 1510. Cette tapisserie, de facture flamande, était destinée à orner la façade de la maison des donateurs, la famille Baichet, qui habitait l’actuelle maison des 4 saisons rue du Châtelet. La devise de la famille, Spes mea Deus, est répétée dans les médaillons.
Les jours de procession du Saint-Sacrement, elle servait de toile de fond au reposoir comme montré sur le motif central.
Elle représente le mystère de l'Eucharistie : son institution décrite dans les Evangiles et sa préfiguration dans trois scènes bibliques. Le panneau central supérieur montre la famille Baichet en adoration devant le Saint Sacrement, l’ostensoir, sous un dais, est présenté par deux anges. A l’époque de la création de cette œuvre, c’était une innovation à double titre : la vénération des Saintes Espèces commençait à se répandre ; la famille Baichet n’est pas représentée accompagnée de ses saints patrons. 
En haut à gauche : Melchisédech (nom qui veut dire
Chalon-sur-Saône
Dans la Chapelle Notre-Dame-de-Pitié, dans le croisillon sud, la grande tapisserie eucharistique date de 1510. Cette tapisserie, de facture flamande, était destinée à orner la façade de la maison des donateurs, la famille Baichet, qui habitait l’actuelle maison des 4 saisons rue du Châtelet. La devise de la famille, Spes mea Deus, est répétée dans les médaillons. Les jours de procession du Saint-Sacrement, elle servait de toile de fond au reposoir comme montré sur le motif central. Elle représente le mystère de l'Eucharistie : son institution décrite dans les Evangiles et sa préfiguration dans trois scènes bibliques. Le panneau central supérieur montre la famille Baichet en adoration devant le Saint Sacrement, l’ostensoir, sous un dais, est présenté par deux anges. A l’époque de la création de cette œuvre, c’était une innovation à double titre : la vénération des Saintes Espèces commençait à se répandre ; la famille Baichet n’est pas représentée accompagnée de ses saints patrons. En haut à gauche : Melchisédech (nom qui veut dire "Roi de Justice"), roi de Salem ("la paix"), offre à Abraham, père des croyants juifs, chrétiens et musulmans, qui vient de délivrer Loth et les siens, le sacrifice du pain et du vin. En bas à gauche : La manne tombe du ciel à la prière de Moïse, bâton levé vers la nuée : nourriture mystérieuse qui ne dure qu'une journée. «Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour ». En bas à droite : La pâque juive : les Hébreux debout, le bâton à la main, mangent l'agneau pascal et les herbes amères, nourriture de ceux qui sont en marche. Il n’y a pas de pain azyme. En haut à droite : La Cène : Institution de l'Eucharistie lors du dernier repas du Christ avec ses Apôtres. Jésus, sous un dais, derrière la table, donne la communion aux apôtres, tandis que Judas, la bourse au bras, sort en tremblant et se montrant du doigt comme étant celui qui va trahir Jésus. Le panneau central inférieur, fleurdelisé, habillait un autel reposoir, sur lequel on posait l’ostensoir, le jour de procession du Saint Sacrement.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Siège de l'évêque.
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Siège de l'évêque.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Les chapelles ont reçu un riche décor gothique et Renaissance et sont fermées par des grilles de pierre du côté sud.
Chalon-sur-Saône
Les chapelles ont reçu un riche décor gothique et Renaissance et sont fermées par des grilles de pierre du côté sud.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Les chapelles ont reçu un riche décor gothique et Renaissance et sont fermées par des grilles de pierre du côté sud.
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Les chapelles ont reçu un riche décor gothique et Renaissance et sont fermées par des grilles de pierre du côté sud.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Vitrail représentant l'Apocalypse de st Jean, avec la Vierge sur le croissant de lune et les serpents qui veulent s'emparer de Jésus enfant.
Chalon-sur-Saône
Vitrail représentant l'Apocalypse de st Jean, avec la Vierge sur le croissant de lune et les serpents qui veulent s'emparer de Jésus enfant.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Le chevet mêle les styles roman et gothique. La grande abside polygonale à deux étages de baies et la chapelle sud sont gothiques.
Chalon-sur-Saône
Le chevet mêle les styles roman et gothique. La grande abside polygonale à deux étages de baies et la chapelle sud sont gothiques.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>L’absidiole nord est romane et présente des arcatures sur colonnettes.
Chalon-sur-Saône
L’absidiole nord est romane et présente des arcatures sur colonnettes.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Ancien presbytère.
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Ancien presbytère.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Vestiges d'une tour sur l'ancien rempart romain.
Chalon-sur-Saône
Vestiges d'une tour sur l'ancien rempart romain.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Logis de l'évêque bâti sur la muraille. L'existence d'un évêché est attestée près de la muraille dès le V ème siècle. Il englobait d'ailleurs une partie de celle-ci dès le IX ème siècle. L'évêque, seigneur de la moitié de la ville au moyen-âge, joua un rôle majeur jusqu'en 1789. Le plus illustre d'entre eux est Pontus de Tyard, poète membre de la Pléiade et humaniste qui prôna la tolérance lors de la crise religieuse au XVI ème siècle. L'évêché actuel fut entièrement reconstruit aux XVII ème et XVIII ème siècles, dans un souci d'affirmation du pouvoir épiscopal. Il se compose de trois bâtiments, d'abord organisés autour de trois cours, le premier étant installé sur la muraille elle-même, relié à une des tours d'enceinte où l'on trouvait, fin XVIII ème, les archives.
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Logis de l'évêque bâti sur la muraille. L'existence d'un évêché est attestée près de la muraille dès le V ème siècle. Il englobait d'ailleurs une partie de celle-ci dès le IX ème siècle. L'évêque, seigneur de la moitié de la ville au moyen-âge, joua un rôle majeur jusqu'en 1789. Le plus illustre d'entre eux est Pontus de Tyard, poète membre de la Pléiade et humaniste qui prôna la tolérance lors de la crise religieuse au XVI ème siècle. L'évêché actuel fut entièrement reconstruit aux XVII ème et XVIII ème siècles, dans un souci d'affirmation du pouvoir épiscopal. Il se compose de trois bâtiments, d'abord organisés autour de trois cours, le premier étant installé sur la muraille elle-même, relié à une des tours d'enceinte où l'on trouvait, fin XVIII ème, les archives.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Palais épiscopal. L’entrée était magnifiée par un portail en pierre de taille, caractéristique du règne de Louis XIV, en hémicycle surmonté de vases de pierre.
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Palais épiscopal. L’entrée était magnifiée par un portail en pierre de taille, caractéristique du règne de Louis XIV, en hémicycle surmonté de vases de pierre.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Palais épiscopal. Jusqu'en 1864, un bâtiment
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Palais épiscopal. Jusqu'en 1864, un bâtiment "passerelle" permettait à l'évêque de rejoindre la cathédrale sans passer par la rue.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Maison Chiquet où séjournèrent l’Empereur Napoléon 1er les 6 et 7 Avril 1805 et Sa Sainteté le Pape Pie VII du Mercredi Saint l0 Avril au lundi de Pâques I8 Avril 1805.
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Maison Chiquet où séjournèrent l’Empereur Napoléon 1er les 6 et 7 Avril 1805 et Sa Sainteté le Pape Pie VII du Mercredi Saint l0 Avril au lundi de Pâques I8 Avril 1805.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Beffroi de l'hôtel de ville. En 1256, le Duc de Bourgogne, Hugues IV, autorise une organisation municipale pour la cité : les assemblées ont alors lieu dans les grandes halles alors situées sur l’actuelle place de l'hôtel de ville, hors les murs de la ville. Toutefois, c'est en 1407 que les échevins font l'acquisition d'une maison située à l'angle de la rue Saint Georges et de la rue des Cornillons, qui devient ainsi la première
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Beffroi de l'hôtel de ville. En 1256, le Duc de Bourgogne, Hugues IV, autorise une organisation municipale pour la cité : les assemblées ont alors lieu dans les grandes halles alors situées sur l’actuelle place de l'hôtel de ville, hors les murs de la ville. Toutefois, c'est en 1407 que les échevins font l'acquisition d'une maison située à l'angle de la rue Saint Georges et de la rue des Cornillons, qui devient ainsi la première "maison de ville".
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Beffroi de l'hôtel de ville. Alors que la demeure sert de lieu de réunion et de stockage des premières archives municipales, la tour escalier est surélevée, afin d'y installer des cloches: Chalon-sur-Saône possède ainsi, en 1429, un beffroi, doté d'une, puis de trois cloches municipales, voulant démontrer le pouvoir de la nouvelle institution municipale; les cloches retentissent notamment pour appeler les magistrats à siéger au conseil, pour alerter la population qu'elle doit se réunir pour élire de nouveaux représentants, mais aussi pour convier le peuple aux réjouissances et fêtes publiques. Dès 1561/les chalonnais sont autorisés à élire un maire pouf un an, rééligible.
Après le départ du pouvoir municipal en 1845, trop à l'étroit désormais dans cette demeure, l'ancien hôtel de ville a été détruit ; seul subsiste aujourd'hui le beffroi.
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Beffroi de l'hôtel de ville. Alors que la demeure sert de lieu de réunion et de stockage des premières archives municipales, la tour escalier est surélevée, afin d'y installer des cloches: Chalon-sur-Saône possède ainsi, en 1429, un beffroi, doté d'une, puis de trois cloches municipales, voulant démontrer le pouvoir de la nouvelle institution municipale; les cloches retentissent notamment pour appeler les magistrats à siéger au conseil, pour alerter la population qu'elle doit se réunir pour élire de nouveaux représentants, mais aussi pour convier le peuple aux réjouissances et fêtes publiques. Dès 1561/les chalonnais sont autorisés à élire un maire pouf un an, rééligible. Après le départ du pouvoir municipal en 1845, trop à l'étroit désormais dans cette demeure, l'ancien hôtel de ville a été détruit ; seul subsiste aujourd'hui le beffroi.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Rue de l'Oratoire.
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Rue de l'Oratoire.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Nicéphore Niepce, inventeur de la photographie est né dans cette maison le 7 mars 1765. Il  est mort à Saint Loup de Varenne le 5 juillet 1833 laissant au monde entier le bénéfice de son invention et à ses concitoyens le soin d’honorer sa mémoire.
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Nicéphore Niepce, inventeur de la photographie est né dans cette maison le 7 mars 1765. Il est mort à Saint Loup de Varenne le 5 juillet 1833 laissant au monde entier le bénéfice de son invention et à ses concitoyens le soin d’honorer sa mémoire.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>La tour de Saudon, à base romaine.
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La tour de Saudon, à base romaine.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Tour Chevrier.
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Tour Chevrier.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Arrière du musée Niepce. Ancien hôtrl du XVIIi qui a accueilli Marie-Thérèse de Bourbon.
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Arrière du musée Niepce. Ancien hôtrl du XVIIi qui a accueilli Marie-Thérèse de Bourbon.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Le musée Nicéphore-Niépce est créé en 1972 à Chalon-sur-Saône en Saône-et-Loire (Bourgogne-Franche-Comté), dans un bâtiment du bord de Saône, au Port Villiers, qui fut naguère un bureau d'octroi des coches et diligences (ancien hôtel des Messageries royales). Il a été fondé autour d’une collection historique d’appareils et d’objets ayant appartenu à l’inventeur de la photographie : Nicéphore Niépce.
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Le musée Nicéphore-Niépce est créé en 1972 à Chalon-sur-Saône en Saône-et-Loire (Bourgogne-Franche-Comté), dans un bâtiment du bord de Saône, au Port Villiers, qui fut naguère un bureau d'octroi des coches et diligences (ancien hôtel des Messageries royales). Il a été fondé autour d’une collection historique d’appareils et d’objets ayant appartenu à l’inventeur de la photographie : Nicéphore Niépce.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Chambre d'atelier à deux corps 40x50 cm fin XIXe siècle Maison Lambel, Paris
En soulevant le voile noir, vous pourrez observer l’image Inversée sur le verre dépoli correspondant au principe de visée des chambres du XIXe siècle.
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Chambre d'atelier à deux corps 40x50 cm fin XIXe siècle Maison Lambel, Paris En soulevant le voile noir, vous pourrez observer l’image Inversée sur le verre dépoli correspondant au principe de visée des chambres du XIXe siècle.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Conçu par Maurice Bonnet et commercialisé entre 1942 et 1954, l'OP 3000 est une chambre à 3 corps montée sur un rail semi-circulaire, destinée à la production d'images en relief à réseau lenticulaire. Ce procédé permet la perception du relief à l'œil nu.
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Conçu par Maurice Bonnet et commercialisé entre 1942 et 1954, l'OP 3000 est une chambre à 3 corps montée sur un rail semi-circulaire, destinée à la production d'images en relief à réseau lenticulaire. Ce procédé permet la perception du relief à l'œil nu.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>C'est Eastman qui démocratisa la photo. En 1885 il lança la bobine de papier Eastman-Walker et en 1887 la pellicule en matière plastique souple (celluloïd : co1lodion+camphre) d'après les travaux du pasteur Goodwin. En 1888, il mettait en vente les premiers appareils destinés aux amateurs et fabriqués par sa firme Kodak (c'était un mot prononçable dans toutes les langues). Ces appareils étaient chargés avec un rouleau de 100 vues. L'amateur renvoyait le tout en usine après exposition. Pour dix dollars il recevait quelques jours plus tard les épreuves montées sur carton ainsi que l'appareil rechargé. Cela répondait au slogan de la firme
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C'est Eastman qui démocratisa la photo. En 1885 il lança la bobine de papier Eastman-Walker et en 1887 la pellicule en matière plastique souple (celluloïd : co1lodion+camphre) d'après les travaux du pasteur Goodwin. En 1888, il mettait en vente les premiers appareils destinés aux amateurs et fabriqués par sa firme Kodak (c'était un mot prononçable dans toutes les langues). Ces appareils étaient chargés avec un rouleau de 100 vues. L'amateur renvoyait le tout en usine après exposition. Pour dix dollars il recevait quelques jours plus tard les épreuves montées sur carton ainsi que l'appareil rechargé. Cela répondait au slogan de la firme " Pressez sur le bouton, nous faisons le reste." L'appareil coûtait 25$ . L'année suivante un chimiste de la firme, H. Reichenbach, dépose un brevet de support souple (nitrocellulose) qui permettait à l'amateur de traiter son film lui-même. En 1895 Eastman lança l'appareil pliable ou folding.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Un agrandisseur.
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Un agrandisseur.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Joseph Nicéphore Niepce - Né à Chalon en 1765, au 15, rue de l'Oratoire, il peut être considéré comme l'inventeur de la photographie. Après un stage chez les Oratoriens et dans l'armée révolutionnaire qu'il abandonne pour raisons de santé, il s'installe à Chalon en 1801, se consacrant tout entier à diverses recherches scientifiques. Il met au point, avec son frère Claude, un moteur dont le principe est celui du moteur à réaction, le
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Joseph Nicéphore Niepce - Né à Chalon en 1765, au 15, rue de l'Oratoire, il peut être considéré comme l'inventeur de la photographie. Après un stage chez les Oratoriens et dans l'armée révolutionnaire qu'il abandonne pour raisons de santé, il s'installe à Chalon en 1801, se consacrant tout entier à diverses recherches scientifiques. Il met au point, avec son frère Claude, un moteur dont le principe est celui du moteur à réaction, le " Pyréolophore ". A partir de 1813, il se passionne pour la lithographie : il réussit, en 1816, à fixer en négatif l'image obtenue au moyen de la chambre noire, puis, en 1822, à obtenir une image positive fixée ; "La table servie",plaque négative sur verre au bitume de Judée. Dès 1835, un riche anglais, Henry Fox Talbot, obtenait à la chambre obscure des dessins photographiques négatifs sur du papier sensibilisé au chlorure d'argent. Il tirait par contact des positifs également sur papier. En 1841, après des améliorations de son procédé, il prit un brevet pour ce qu'il appela le calotype (kalos: beauté et typos: impression) puis le talbotype. C'est son ami Herschel qui utilisa la première fois les termes de photographie, positifs, négatifs. Ce procédé est donc l’ancêtre du procédé argentique moderne, c’est pour cela que, pour certains, Talbot est l’inventeur de la photographie
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<center>Chalon-sur-Saône </center>En 1816 il obtint la première photographie: une vue de sa mansarde où était installé son atelier. Mais l'image obtenue était un négatif. Il chercha alors des substances qui blanchissent à la lumière afin d'obtenir directement une image positive. Il exposa une plaque métallique (étain ou cuivre) recouverte d'un vernis composé de bitume de Judée dissous dans de l'essence de lavande. Les parties exposées à la lumière durcissaient. Il lavait la plaque ce qui éliminait le vernis des parties sombres et mettait à nu la plaque métallique qu'il attaquait ensuite avec un acide, les parties correspondant aux régions claires étant protégées par le bitume durci. Il pouvait alors, par simple ancrage, tirer des épreuves positives. Il appela ce procédé héliographie. En 1826, ap^rès plusieurs heures de pose, il obtint la première photo d'extérieur (Plaine de la Saône, vue de sa mansarde). C'est cette même année qu'il est sollicité par un peintre décorateur, Daguerre.
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En 1816 il obtint la première photographie: une vue de sa mansarde où était installé son atelier. Mais l'image obtenue était un négatif. Il chercha alors des substances qui blanchissent à la lumière afin d'obtenir directement une image positive. Il exposa une plaque métallique (étain ou cuivre) recouverte d'un vernis composé de bitume de Judée dissous dans de l'essence de lavande. Les parties exposées à la lumière durcissaient. Il lavait la plaque ce qui éliminait le vernis des parties sombres et mettait à nu la plaque métallique qu'il attaquait ensuite avec un acide, les parties correspondant aux régions claires étant protégées par le bitume durci. Il pouvait alors, par simple ancrage, tirer des épreuves positives. Il appela ce procédé héliographie. En 1826, ap^rès plusieurs heures de pose, il obtint la première photo d'extérieur (Plaine de la Saône, vue de sa mansarde). C'est cette même année qu'il est sollicité par un peintre décorateur, Daguerre.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Daguerre était  de 22 ans son cadet. Si c’était un peintre de talent, c'était surtout un homme d'affaires avisé. Il présentait à Paris des dioramas: panoramas où scènes célèbres (Intérieur de la cathédrale de Canterburry, panorama des alpes) recréés en trois dimensions grâce à des peintures sur supports translucides et des effets d'éclairage compliqués. En 1829 ils s'associèrent. Daguerre perfectionna l'invention de Niepce et continua ses travaux même après la mort de Niepce. La gloire lui revint et en 1837, pour obtenir une photo (qu'il appelait en toute modestie un daguerréotype) il ne fallait que quelques minutes de pause. Le 7 janvier 1839, le savant Arago fit la présentation des travaux de Daguerre à l'académie des sciences
Le daguerréotype était obtenu sur une plaque de cuivre recouverte d'une couche d'argent polie. On la sensibilisait en l'exposant à des vapeurs d'iode. On l'exposait à la lumière pendant 15 à 30 minutes. La plaque, sans aucune image visible, était placée au-dessus d'une boite contenant du mercure. Les vapeurs de mercure réagissaient avec l'argent insolé et il apparaissait l'image positive. L'argent non touché par la lumière était éliminé par de l'eau salée chaude (puis par de 1'hyposulfite de sodium) ce qui faisait réapparaitre le cuivre qui semblait noir quand on regardait la photo sous un certain angle.
Le daguerréotype était d'une grande finesse dans les détails, d'une luminosité remarquable, possédait une grande gamme de gris. Ses inconvénients étaient que sur l'image la gauche et la droite étaient interverties, on ne pouvait pas tirer des copies de l'original et il fallait le regarder sous un certain angle
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Daguerre était de 22 ans son cadet. Si c’était un peintre de talent, c'était surtout un homme d'affaires avisé. Il présentait à Paris des dioramas: panoramas où scènes célèbres (Intérieur de la cathédrale de Canterburry, panorama des alpes) recréés en trois dimensions grâce à des peintures sur supports translucides et des effets d'éclairage compliqués. En 1829 ils s'associèrent. Daguerre perfectionna l'invention de Niepce et continua ses travaux même après la mort de Niepce. La gloire lui revint et en 1837, pour obtenir une photo (qu'il appelait en toute modestie un daguerréotype) il ne fallait que quelques minutes de pause. Le 7 janvier 1839, le savant Arago fit la présentation des travaux de Daguerre à l'académie des sciences Le daguerréotype était obtenu sur une plaque de cuivre recouverte d'une couche d'argent polie. On la sensibilisait en l'exposant à des vapeurs d'iode. On l'exposait à la lumière pendant 15 à 30 minutes. La plaque, sans aucune image visible, était placée au-dessus d'une boite contenant du mercure. Les vapeurs de mercure réagissaient avec l'argent insolé et il apparaissait l'image positive. L'argent non touché par la lumière était éliminé par de l'eau salée chaude (puis par de 1'hyposulfite de sodium) ce qui faisait réapparaitre le cuivre qui semblait noir quand on regardait la photo sous un certain angle. Le daguerréotype était d'une grande finesse dans les détails, d'une luminosité remarquable, possédait une grande gamme de gris. Ses inconvénients étaient que sur l'image la gauche et la droite étaient interverties, on ne pouvait pas tirer des copies de l'original et il fallait le regarder sous un certain angle
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Maison Perry.
Maison ayant actuellement deux fenêtres de façade, un magasin au rez-de-chaussée, deux étages et deux lucarnes dans le toit. En 1614, l'avocat Louis Perry, alors échevin de Chalon-sur-Saône
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Maison Perry. Maison ayant actuellement deux fenêtres de façade, un magasin au rez-de-chaussée, deux étages et deux lucarnes dans le toit. En 1614, l'avocat Louis Perry, alors échevin de Chalon-sur-Saône
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<center>Chalon-sur-Saône </center>La façade de 8 m de large comprend au rez-de-chaussée une petite porte pour passer dans la cour et deux arcs pour le magasin. Trois fenêtres éclairent le premier étage. La fenêtre centrale est entourée de deux médaillons. Un homme et une femme se font face. Il s'agit peut-être de Louis Perry et de sa femme Laurence Fouquerand. Sur le bandeau qui sépare le premier étage du second, on peut lire : HINC, INDE TUETUR, (qu'on peut traduire par
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La façade de 8 m de large comprend au rez-de-chaussée une petite porte pour passer dans la cour et deux arcs pour le magasin. Trois fenêtres éclairent le premier étage. La fenêtre centrale est entourée de deux médaillons. Un homme et une femme se font face. Il s'agit peut-être de Louis Perry et de sa femme Laurence Fouquerand. Sur le bandeau qui sépare le premier étage du second, on peut lire : HINC, INDE TUETUR, (qu'on peut traduire par "de cet endroit, on observe". Au XVIIIe siècle on a muré la fenêtre de gauche et rajouté un étage avec deux fenêtres seulement, étage surmonté par deux lucarnes à volute.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Église Saint-Pierre.
Ancienne chapelle de l'abbaye bénédictine de Saint-Pierre.
Cette vénérable abbaye, installée primitivement sur une hauteur au Nord de Chalon, à l'emplacement situé autour de l’actuelle chapelle N.-D. de la Citadelle, y demeura jusqu'en 1562, date à laquelle les Huguenots la pillèrent.
Chassés de leur couvent, les Bénédictins s'installent, alors en bordure de la place actuelle de l'Hôtel de Ville.
L'église actuelle, commencée en 1698, fut consacrée en 1713 par Mgr François de Madot, évêque de Chalon. L'architecte en fut dom Vincent Duchesne, bénédictin, et le maître d'œuvre, Vercelli, un maçon du Milanais.
L'église Saint-Pierre appartient au groupe des églises françaises de style classique, très différentes des édifices romans ou gothiques si répandus en Bourgogne et par cela même d'un réel intérêt.
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Église Saint-Pierre. Ancienne chapelle de l'abbaye bénédictine de Saint-Pierre. Cette vénérable abbaye, installée primitivement sur une hauteur au Nord de Chalon, à l'emplacement situé autour de l’actuelle chapelle N.-D. de la Citadelle, y demeura jusqu'en 1562, date à laquelle les Huguenots la pillèrent. Chassés de leur couvent, les Bénédictins s'installent, alors en bordure de la place actuelle de l'Hôtel de Ville. L'église actuelle, commencée en 1698, fut consacrée en 1713 par Mgr François de Madot, évêque de Chalon. L'architecte en fut dom Vincent Duchesne, bénédictin, et le maître d'œuvre, Vercelli, un maçon du Milanais. L'église Saint-Pierre appartient au groupe des églises françaises de style classique, très différentes des édifices romans ou gothiques si répandus en Bourgogne et par cela même d'un réel intérêt.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Plan très simple : chevet arrondi, croisée surmontée d'un dôme élevé, bas-côté de droite très étroit (celui de gauche a été élargi en 1898). Un important entablement de style corinthien porté par des pilastres très peu saillants fait le tour de l'église, en passant au-dessus des arcades de la nef. Le chœur de Saint-Pierre est d'époque Régence (stalles et orgue).
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Plan très simple : chevet arrondi, croisée surmontée d'un dôme élevé, bas-côté de droite très étroit (celui de gauche a été élargi en 1898). Un important entablement de style corinthien porté par des pilastres très peu saillants fait le tour de l'église, en passant au-dessus des arcades de la nef. Le chœur de Saint-Pierre est d'époque Régence (stalles et orgue).
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<center>Chalon-sur-Saône </center>La coupole.
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La coupole.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>La coupole.
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La coupole.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Les stalles en bois sculpté du chœur proviennent de l'abbaye de Maizières (près de Demigny).
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Les stalles en bois sculpté du chœur proviennent de l'abbaye de Maizières (près de Demigny).
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Les stalles en bois sculpté du chœur proviennent de l'abbaye de Maizières (près de Demigny).
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Les stalles en bois sculpté du chœur proviennent de l'abbaye de Maizières (près de Demigny).
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Les stalles en bois sculpté du chœur proviennent de l'abbaye de Maizières (près de Demigny).
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Les stalles en bois sculpté du chœur proviennent de l'abbaye de Maizières (près de Demigny).
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Les stalles en bois sculpté du chœur proviennent de l'abbaye de Maizières (près de Demigny).
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Les stalles en bois sculpté du chœur proviennent de l'abbaye de Maizières (près de Demigny).
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Elégant petit orgue du chœur, de style Régence.
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Elégant petit orgue du chœur, de style Régence.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Tourelle droite du buffet d'orgue, putti jouant de la flûte traversière et du cor de chasse. Tourelle centrale du buffet d'orgue, Saul jouant de la harpe. Tourelle gauche du buffet d'orgue, putti jouant de la flûte à bec et du hautbois.
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Tourelle droite du buffet d'orgue, putti jouant de la flûte traversière et du cor de chasse. Tourelle centrale du buffet d'orgue, Saul jouant de la harpe. Tourelle gauche du buffet d'orgue, putti jouant de la flûte à bec et du hautbois.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Le chœur sous coupole est peuplé de statues dont certaines sont du 17e s. : saint Pierre
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Le chœur sous coupole est peuplé de statues dont certaines sont du 17e s. : saint Pierre
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<center>Chalon-sur-Saône </center>et saint Benoit à l’entrée du chœur,
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et saint Benoit à l’entrée du chœur,
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Le chœur est orné de quatre statues (moins anciennes) des Docteurs de l'Église d'Occident (de gauche à droite) : Saint Ambroise, saint Augustin,
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Le chœur est orné de quatre statues (moins anciennes) des Docteurs de l'Église d'Occident (de gauche à droite) : Saint Ambroise, saint Augustin,
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<center>Chalon-sur-Saône </center>saint Grégoire Pape et saint Jérôme.
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saint Grégoire Pape et saint Jérôme.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Bas-côté de gauche élargi en 1898.Cuve baptismale, à décor de godrons et
de palmette, surmontée d'une colombe
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Bas-côté de gauche élargi en 1898.Cuve baptismale, à décor de godrons et de palmette, surmontée d'une colombe
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Statue «Vierge de l'Apocalypse écrasant le dragon», œuvre attribuée à J. Bézullier (XVIIe siècle). Plusieurs statues du transept, dont on admire le mouvement, sont l'œuvre de Bézulliet, originaire de Santenay (17e siècle) ?
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Statue «Vierge de l'Apocalypse écrasant le dragon», œuvre attribuée à J. Bézullier (XVIIe siècle). Plusieurs statues du transept, dont on admire le mouvement, sont l'œuvre de Bézulliet, originaire de Santenay (17e siècle) ?
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Bas-côté de droite très étroit. Autel de la Vierge.
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Bas-côté de droite très étroit. Autel de la Vierge.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Vitrail moderne de la Vierge à l'Enfant
dans le chœur.
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Vitrail moderne de la Vierge à l'Enfant dans le chœur.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>St Pierre.
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St Pierre.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Vitrail de Saint-Pierre dans la façade.
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Vitrail de Saint-Pierre dans la façade.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Musée Vivant-Denon. Il est Installé dans une annexe (18e s.) de l'ancien couvent des Ursulines dotée d'une façade néo-classique, il porte le nom d'une des gloires de la ville.
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Musée Vivant-Denon. Il est Installé dans une annexe (18e s.) de l'ancien couvent des Ursulines dotée d'une façade néo-classique, il porte le nom d'une des gloires de la ville.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>Vivant-Denon. est un diplomate de l'Ancien Régime, graveur renommé et principal introducteur de la lithographie en France, fondateur de l'égyptologie lors de la campagne d'Égypte puis conseiller artistique de Napoléon Ier, grand pourvoyeur et organisateur des musées de France.
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Vivant-Denon. est un diplomate de l'Ancien Régime, graveur renommé et principal introducteur de la lithographie en France, fondateur de l'égyptologie lors de la campagne d'Égypte puis conseiller artistique de Napoléon Ier, grand pourvoyeur et organisateur des musées de France.
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<center>Chalon-sur-Saône </center>
Chalon-sur-Saône
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