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Polyptyque. Le pape Eugène IV qui a signé la bulle autorisant la fondation de l’Hôtel-Dieu, le duc de Bourgogne Philippe le Bon, l’évêque Jean Rolin, fils du fondateur, et sous les traits de l’homme chauve, peut-être l’artiste lui-même.
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Polyptyque.
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Polyptyque. Les fenmes seraient Philipote Rolin, une fille du fondateur, Isabelle de Portugal, Duchesse de Bourgogne, sous les traits de la femme couronnée et enfin une des premières femmes de Rolin ou une représentation de Marie-Madeleine
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Polyptyque.
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Tenture de saint Antoine. Troisième quart du XVe siècle. Elle décorait les sièges de célébrants se trouvant près de l’autel dans la chapelle. Sur fond rouge, la devise du chancelier Seulle * (étoile) alterne avec un rang de tourterelles et les initiales enlacées des fondateurs ; au centre et aux quatre angles, des écus aux armes de Guigone de Salins. Par la devise Seulle *, Nicolas Rolin déclare un amour exclusif à son épouse Guigone de Salins.
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Tenture de l’histoire de Jacob. Martin Reymbouts, Bruxelles, début 17e siècle. Cette tenture porte dans la lisière de ses pièces la marque de Martin Reymbouts, tapissier bruxellois du début du 17e siècle. Il réalisa une autre tenture similaire conservée en Autriche. Ce thème eut un grand succès car il associe loisirs de la chasse, scène amoureuse, rêve paradisiaque et bénédiction religieuse. Cette tenture est d’une belle qualité de dessin et de tissage (8 fils au cm). Les différentes pièces de cette, tenture sont présentées en alternance afin de ne pas les exposer en permanence à la lumière qui est cause de dégradations.
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Tenture de l’histoire de Jacob. Martin Reymbouts, Bruxelles, début 17e siècle. D'après la Genèse, premier livre de la Bible, Jacob est le fils cadet d'Isaac et de Rébecca et le petit-fils d’Abraham. Il est le père de douze fils qui seront les fondateurs légendaires des douze tribus d'Israël. C'est un des patriarches de la Bible. l aurait vécu entre le XVIIe et le XVe siècle avant JC. Son histoire est racontée dans le livre de la Genèse. Jacob vient de l’hébreux Ya’aqov qui signifie « Dieu protège » et a donné le prénom Jacques.
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Tenture de l’histoire de Jacob. Martin Reymbouts, Bruxelles, début 17e siècle. Rencontre de Jacob et Rachel ?
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Tenture de l’histoire de Jacob. Martin Reymbouts, Bruxelles, début 17e siècle
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Coffre à vêtements.
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Coffre à vêtements. Bourgogne, 2““ moitié du 15e siècle. Coffre exceptionnel ayant appartenu à Guigone de Salins, comme l’indiquent la tour et la clef pyrogravées au fer à trois reprises sur la façade. Ce coffre est le quatrième d’une série de coffres identiques car chaque élément qui le compose est marqué (dans les parties cachées) du chiffre romain quatre sous forme de quatre traits parallèles.
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Coffre à vêtements. Bourgogne, fin du 15e siècle. Le décor sculpté est emprunté à l’architecture. Il reprend les modèles des baies des édifices de la fin de l’époque gothique. La succession de rosaces enserrées dans des arcs en accolade, est interrompu par une fleur de lys sculpté sous la serrure. Ce coffre est monté sur un socle qui a été reconstitué d’après les modèles conservés à l’Hôtel-Dieu. Les planches de la caisse sont assemblées en queues d’aronde dans les angles.
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Coffre à vêtements. Beaune (?), milieu du 15' siècle. Coffre monté sur un socle, dont les différentes parties sont assemblées, dans les angles, à queues d’aronde (ancien nom de l'hirondelle). Le panneau de façade est sculpté de quatre faux panneaux. Le socle est découpé en forme d’accolade constituant quatre pieds. Cinq coffres de ce type sont conservés à l’Hôtel-Dieu, ils furent vraisemblablement commandés pour meubler les salles de cet hôpital dès sa fondation.
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Tenture de la parabole du fils Prodigue. Attribuée à Tournai, début du 16e siècle. A droite, La chasse au canard attribuée à Tournai, début du 16e siècle Représenté à cheval avec une femme en croupej le jeune homme porte un faucon sur son poing pour chasser le canard. A gauche, L’invitation attribuée à Tournai, début du 16e siècle. Sur cette scène, il festoie en galante compagnie et invite l’un de ses amis à le rejoindre. L’histoire de l’enfant prodigue est un thème récurrent de la gravure et de la tapisserie en Flandres au 16e siècle. Le fils cadet réclame sa part d’héritage et quitte sa famille pour un pays lointain. C'est ici l’occasion de peindre les loisirs de la vie seigneuriale, avec en arrière-plan, les occupations paysannes. Il dilapide sa fortune avec des compagnons de débauche et des courtisanes, ce qui le contraint ensuite à revenir implorer le pardon de ses parents. La miséricorde doit être accordée à tous, tant aux démunis qu’aux fautifs. Les différentes pièces de cette tenture sont présentées en alternance afin de ne pas les exposer en permanence à la lumière qui est cause de dégradations.
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Habitations typiques du centre ville de Beaune, au-dessus des commerces.
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Façade côté cour.
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Les poutres sont toutes décorées.
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Façade côté rue.
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Façade côté rue.
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Hôtel Le Cep.
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Hôtel Le Cep.
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Hôtel Le Cep. Les échevins, lors d’un conseil extraordinaire le 14 novembre 1658, apprennent que le Roi Louis XIV qui doit se rendre à Lyon pour rencontrer Christine de France, duchesse de Savoie, a décidé de faire un arrêt dans notre ville le 19 novembre. ll est décidé que Sa Majesté logera chez le sieur Gilles Brunet (actuel hôtel Le Cep), la Reine chez le sieur Cocquille, le duc d’Anjou chez mademoiselle Delamare, et le cardinal chez le sieur Mill.
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Hôtel Le Cep.
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Hôtel Le Cep.
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Hôtel Le Cep.
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Hôtel Le Cep.
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Hôtel Le Cep.
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Hôtel Le Cep. Louis XIV.
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Hôtel Le Cep.
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Parlement de Bourgogne Xe siècle. Ici se tenaient les jours généraux du duché de Bourgogne. Eudes IV y préside en 1212, Philippe le Hardi en 1370. Tribunal du bailliage de Beaune 1190 – 1489. Auditoire royal du bailliage 1489 – 1790. Palais de justice 1790 – 1861. Ce bâtiment, mutilé en 1874, a été restauré en 1960 par Joseph Drouhin. Dans l'enceinte gallo-romaine du IVe siècle. Caves et cuveries de la collégiale de Beaune XIIIe siècle. Cave des ducs de Bourgogne XIVe siècle. Celliers des rois de France.
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La Maison du Colombier est un hôtel particulier du XVIe siècle (avec échauguette et toiture de la tour en tuile vernissée de Bourgogne). En 1572 la Maison du Colombier est construite dans le centre historique de Beaune, face à la collégiale Notre-Dame de Beaune (XIIe siècle) et à deux pas des Hospices de Beaune (XVe siècle) et de l'Hôtel des ducs de Bourgogne & Musée du vin de Bourgogne (XIVe siècle). A ses pieds coule depuis des siècles la Bouzaise, qui traverse la ville. Dans les années 1870, la Bouzaize est couverte pour aménager l’avenue de la République.
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La collégiale Notre-Dame, basilique depuis 1958, se trouve dans le centre ville à l’emplacement du castrum romain de Belena. C'est le plus important trésor de la ville, avec le fameux Hôtel-Dieu. La fondation de la collégiale Notre-Dame et du chapitre remontent à la fin du 10e siècle. L’église actuelle a été construite dans le courant du 12e siècle par Etienne de Bagé, l’illustre évêque d’Autun qui a fait construire à la même époque la cathédrale d’Autun et Saint-Andoche de Saulieu. C’est l’un des plus grands édifices romans de la Bourgogne, construit sur le modèle de l'abbatiale de Cluny et plus proche de la cathédrale d’Autun.
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C’est vers 970 que Henri le Vénérable, duc de Bourgogne, décide de fonder une église plus grande que l’ancienne église Saint-Baudèle, avec un chapitre de chanoines. Une première église fut alors construite vers l’an 1000 avec les matériaux provenant du castrum antique. C’est au 12e siècle que les ducs commencèrent le chantier d’une nouvelle collégiale, marquant la prospérité de Beaune à cette époque. La construction fut commencée, probablement vers 1130, par le duc Hugues II le Pacifique (1084-1143) et par son épouse Mathilde de Turenne. L’église assume le style clunisien des grandes églises construites sous l’épiscopat autunois d’Etienne de Bâgé (1112-1139), Saint-Lazare d’Autun et Saint-Andoche de Saulieu. Elle est mentionnée dans des bulles papales de Calixte II en 1120 et d’Eugène III en 1148, qui place l’église sous sa protection. En 1162, Mathilde de Turenne est enterrée sous le maître-autel. L’église est agrandie pendant la deuxième moitié du 12e siècle par le duc Hugues III (1148-1192). Deux travées de nef furent ajoutées pour recevoir les foules de pèlerins visitant l’église et c’est seulement au début du 13e siècle que la grande église romane fut terminée.
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Le cloître et la salle capitulaire sont reconstruits au 13e siècle par le chapitre, comptant trente chanoines à cette époque. En 1265 eut lieu la translation des reliques de saint Flocel et de saint Herné de l’ancienne église Saint-Flocel à Notre-Dame. En 1273, l’église est incendiée par le feu. Elle est restaurée dans le goût gothique et renforcée par des arcs-boutants à la fin du 13e siècle et au début du 14e siècle. A la fin du Moyen-Age, l’église est complétée par un nouveau porche gothique et par des séries de chapelles latérales. Les cardinaux Rolin dotent l’église d’œuvres d’art de style flamboyant et Renaissance de première importance. Un nouvel incendie en 1575 détruisit la flèche du clocher qui est reconstruite par Hugues Sambin. Notre-Dame fut en grande partie épargnée à la Révolution. Elle fut classée Monument Historique en 1840 et devint église paroissiale. Une campagne de restauration de 1860 à 1863 fut menée par Maurice Ouradou sur les devis de Viollet le Duc datant de 1844. L’église fut nommée basilique mineure en 1958 par le pape Pie XII.
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La façade est couronnée par un pignon avec une rosace et par deux clochers carrés inachevés du 13e siècle. Elle est précédée d’un porche ouvert construit durant les années 1330-1340 dans le style gothique bourguignon.
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Le porche gothique fut ajouté en 1332 en avant corps. C'est sous ce porche qu'en août 1443, Nicolas Rolin, chancelier du duc de Bourgogne, lut la charte de fondation de l'Hôtel-Dieu qu'il mettait en chantier.
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Le chevet à trois étages est d’un très bel effet. Les parties basses et les chapelles sont romanes, tandis que les parties hautes, comprenant les baies gothiques de l’abside et les arcs-boutants, sont des années 1300. Le beau clocher de l’église, surmontant la croisée du transept, fut construit en plusieurs étapes. Le premier étage est du 12e siècle, avec des arcatures aveugles et des pilastres cannelés. L’étage supérieur est du 13e siècle et s’ouvre par trois baies ogivales entre deux arcatures aveugles par face, décorées de voussures, de colonnettes et de chapiteaux. Le dôme à lanterne, de style Renaissance, date des années 1580.
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Les trois vaisseaux du porche sont à deux travées voûtés d’ogives et qui reposent sur des piliers et sur deux colonnes centrales. On y remarque un balustrade avec des gargouilles sculptées. Les portails sous le porche, mutilés à la Révolution, ont perdu leur décor, à l’exception des vantaux du 15e siècle et de la statue de la Vierge du 19e siècle.
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Les portails sous le porche, mutilés à la Révolution, ont perdu leur décor, à l’exception des vantaux du 15e siècle et de la statue de la Vierge du 19e siècle.
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A droite de la façade, la Chapelle de Bouton des années 1530 présente une balustrade à galerie de bois et un riche décor de frises sculptées de la Renaissance.
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La Chapelle de Bouton des années 1530 présente une balustrade à galerie de bois et un riche décor de frises sculptées de la Renaissance.
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Le plan développé de la basilique montre une nef de six travées à collatéraux, un transept saillant, un chœur à déambulatoire et trois chapelles rayonnantes. L’architecture somptueuse montre les caractéristiques propres à l’art roman bourguignon : l'élévation à trois étages selon le modèle clunisien, le triforium avec triple arcature qui se prolonge dans les croisillons et le chœur, les doubles fenêtres hautes, les piliers cruciformes avec pilastres cannelés, le berceau brisé couvrant la nef et les croisillons et le clocher surmontant la coupole de la croisée. Les bas-côtés sont voûtés d’arêtes sur doubleaux brisés reposant sur des pilastres cannelés. Ils s’ouvrent sur douze chapelles gothiques, des 14e-16e siècles, au riche décor sculpté.
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Le vaisseau de la nef, couvert de voûtes en berceau brisé sur doubleaux, s’élève sur trois étages selon le modèle clunisien. Le premier étage est celui des grandes arcades brisées à double rouleau, reposant sur des piliers cruciformes flanqués de deux colonnes engagées et de deux pilastres cannelés. Au niveau intermédiaire, un triforium aveugle se compose de triples arcatures avec pilastres cannelés et chapiteaux. Le dernier étage est illuminé par de doubles fenêtres hautes entourées d’arcatures. Les pilastres soutenant la voûte y sont flanqués de deux colonnettes.
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Le chœur roman, éclairé d'ouvertures gothiques, supporté par 7 arcades brisées est orné d'un bandeau de roses stylisées.
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La Vierge en Majesté dite Notre-Dame de Beaune est l’un des trésors de l’église. C’est une vierge noire en bois polychrome des années 1200, sculptée dans un bois fruitier qui s’est assombri avec le temps, et qui provient probablement de l’Auvergne. La Vierge, assise sur le Trône de Sagesse avec des ornements géométriques et végétaux, porte l'enfant Jésus dont le bras et le pied ont disparu.
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La chapelle Saint Flocel dite de Bouton est la première chapelle au sud. Elle a un plafond à caissons et un arc sculpté de style Renaissance.
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Chapelle Saint Flocel dite de Bouton. Imposante ouverture en arc plein centre très sculpté Plafond à caissons, introduction du nouveau goût italien.
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Chapelle Saint Flocel dite de Bouton. Autel retable en faux marbre XVIII siècle avec médaillon à l'effigie de St Luc Encadré par deux anges gainés en chêne style maniériste (Hugues Sambin sculpteur XVII siècle) Partie inférieure de l'autel : cartouche - Agneau Divin.
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Chapelle Saint Flocel dite de Bouton. Lutrin : ange en bois doré sculpté par Bonnet, 1820.
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Chapelle Saint Flocel dite de Bouton. Statue : Sainte Marie Hermine de Jésus née à Beaune, martyrisée en Chine en 1900
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Chapelle Saint Flocel dite de Bouton. Vitrail : baptême et crucifixion de Jésus (Didron 1896), président au vitrail : le Saint Esprit.
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Autel de l'Enfant Jésus de Prague.
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Non mi tangere.
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A gauche : le légat Simon de Brie, préside en l'an 1265 à la translation du corps saint Floscel à l'église Notre-Dame. Au centre : saint Floscel est condamné par le préfet Valérien à avoir la tête tranchée. À droite : Mgr Le Nordez,évêque de Dijon, ouvre la châsse de saint Floscel et donne une relique à l'église de Montebourg. Vitrail de Didron, 1900.
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Dans la chapelle Saint-Lazare, des peintures murales commanditées par Jean Rolin, cardinal d'Autun, attribuées à Pierre Spicre au XVème siècle. Y sont présentés la résurrection de Lazare entouré du Christ et des apôtres,
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la lapidation de saint Étienne,
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Marthe,
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et Marie-Madeleine.
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Saint-Pierre proteste de sa fidélité à son maître. Saint-Pierre est crucifié la tête en bas. Saint-Pierre sortant de Rome rencontre Jésus portant sa croix. Vitrail de Didron, 1898.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. Les patrons en furent commandés à Pierre Spicre par le cardinal Jean Rollin en 1474. Il les peignit à la détrempe sur toile, d'après les récits apocryphes de la légende dorée de Jacques de Voragine, recueil de la vie des saints paru en 1260. Elles ne furent offerte au chapitre de Beaune qu'en 1500. Elle commence par le baiser d'Anne et de Joachim (conception de Marie très prude), sa naissance, sa présentation au temple,
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. sa présentation au temple, ses prières et le choix du fiancé, indiqué par son bâton qui fleurit. Le perdant casse son bâton.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. Puis le deuxième panneau montre son mariage,
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. 'arrivée chez Joseph, l'annonciation, puis une scène montrant le donateur.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. scène montrant le donateur. Le troisième montre la visitation, la nativité,
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. la nativité, la circoncision.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. Le quatrième l'adoration des mages, la purification, la fuite en Égypte,
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. la purification, la fuite en Égypte, le massacre des saints innocents.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. Le cinquième le message de l'ange annonçant qu'ils peuvent revenir d'Égypte, la dormition,
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. le couronnement de Marie, puis un portrait et les armoiries du donateur.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. La dormition.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. Le couronnement de Marie.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. La naissance de Marie.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. Sa présentation au temple.
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Tapisseries de la Vierge, dites "à mille fleurs", tissées en soie et laine sur 19 panneaux. La circoncision.
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Le portail du bras droit du transept ouvre sur une galerie de cloître à sept travées. Il est cantonné de deux voussures à rinceaux et de quatre colonnes dont les chapiteaux sont sculptés de décors végétaux, de deux femmes-oiseaux et d’un combat de coqs.
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La galerie du cloître des XII ème et XIII ème siècles, à sept travées.
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La chapelle de l'Adoration.
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La galerie du cloître est surmontée d'une partie des anciens bâtiments canoniaux, actuellement utilisée comme presbytère.
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La tour du clocher, des XII ème et XIII ème siècles, est couronnée d'un dôme campaniforme surmonté d'une guette. Ce dôme fut construit au XVI ème siècle à la suite de l'incendie de la flèche primitive en 1575.
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Hôtel des ducs de Bourgogne. Musée du vin de Bourgogne.
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Hôtel des ducs de Bourgogne. Musée du vin de Bourgogne. Les bâtiments de l'actuel musée du Vin occupent la partie sud-est de l'ancien castrum de Beaune. Sous les ducs Valois, il sert de résidence au châtelain de Beaune, officier ducal, et accueille occasionnellement le duc. L'hôtel ducal devient le Logis du Roi à partir de 1478. En 1919, la Ville de Beaune en devient propriétaire. La cour principale est bordée sur trois côtés par des bâtiments d'un étage. Le bâtiment du côté de la rue Paradis présente une façade Renaissance allégée par de larges baies à meneaux surmontées d'arcs en accolade.
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Hôtel des ducs de Bourgogne. Musée du vin de Bourgogne.
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Hôtel des ducs de Bourgogne. Musée du vin de Bourgogne.
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Hôtel des ducs de Bourgogne. Musée du vin de Bourgogne.
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Hôtel des ducs de Bourgogne. Musée du vin de Bourgogne.
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Hôtel des ducs de Bourgogne. Musée du vin de Bourgogne. Les remparts de Beaune, vieilles villes fortifiées au XVe siècle. Cela en relief évoquant les remparts échelle réduite au 1/200ème.
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Hôtel des ducs de Bourgogne. Musée du vin de Bourgogne.
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La cuverie du musée du vin. Tout d'abord installé au beffroi en 1938, le musée du Vin bénéficie d'un nouvel écrin pour abriter ses collections en 1946, l'hôtel des ducs. L'inauguration a lieu en juin 1949. Le programme scientifique et culturel du musée est né de la collaboration complice de Georges-Henri Rivière et André Lagrange. Georges-Henri Rivière (1897 - 1985), conservateur du MNATP (musée national des arts et traditions populaires devenu le MuCEM, à Marseille), à Paris, s'investit dans les années 1945- 1960 à Beaune pour le développement du musée du Vin. Le musée du Vin retrace l'histoire de la vigne et du vin en Bourgogne. Les collections couvrent de vastes thématiques : travaux du vigneron, du négociant et du tonnelier, communautés vigneronnes, traditions régionales liées au vin, organisation et réglementation de la production... Il permet de saisir la construction historique de la Bourgogne viticole en tant que modèle de viticulture de terroir et site culturel né du mariage du génie de la nature et du génie des hommes.
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Les pressoirs dans la cuverie du musée du vin. Dans l'Antiquité égyptienne, grecque et romaine, on employa successivement la technique de la torsion d'une grande pièce d'étoffe enfermant le raisin, puis des bâtis serrant la vendange à l'aide de coins enfoncés au maillet. Au Moyen-Age, des machines, dont la pression s'obtenait par un cabestan mû par un jeu de leviers furent utilisés. Les premiers pressoirs à vis paraissent avoir été | inventés par les Egyptiens ; le Musée d'Alexandrie possède les curieux éléments d'un tel modèle, plusieurs fois millénaire. Dans les peintures de Pompéï, on voit des pressoirs à huile de même conception, qui sont les ancêtres du pressoir à grand point.
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Les pressoirs dans la cuverie du musée du vin.
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Les pressoirs dans la cuverie du musée du vin.
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Les pressoirs dans la cuverie du musée du vin.
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Etal de marchand de vin. Plâtre. Moulage d’après un original gallo-romain conservé au Musée archéologique de Dijon Epoque gallo-romaine .
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Fragment de mausolée bachique. Pierre. IIe siècle de notre ère. Découvert en 1683, lors de la démolition d’une tour du castrum gallo-romain du IIIe siècle, ce fragment fut réemployé dans la maçonnerie de la porte cochère donnant accès, par la rue Paradis, à l’Hôtel des Ducs. Dégagé et réidentifié vers 1951 par Lucien Perriaux, il a été attribué au Musée du Vin en vue d’y être exposé sur les lieux mêmes de sa découverte. Ce monument, à mettre en lien avec les mystères de Bacchus, représente trois personnages issus du thiase (cortège bachique) : le dieu Pan jouant de la flûte et deux bacchantes.
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Vierge à l’Enfant tenant une grappe de raisin dite « Notre-Dame de Beaune ». Pierre polychrome. XVIe siècle. Provient d’une maison de Beaune démolie en 1901 Dépôt de la Société archéologique de Beaune, dépôt du Musée des Beaux-arts de Beaune en 1946 i lnv. D.46.10.1 La Vierge est la patronne de la ville de Beaune. La grappe l de raisin qu’elle tient avec l’Enfant évoque la place essentielle que tient le vin dans la religion chrétienne. Assimilé au sang du Christ dans la liturgie, le vin voit sa production et sa consommation fortement augmenter dès le début de l’époque médiévale. Les évêchés et les établissements monastiques possèdent un nombre important de vignobles. Produisant du vin pour le culte et pour répondre à leur devoir d’hospitalité, ces communautés religieuses ont joué un rôle déterminant dans le développement du vignoble et du parcellaire viticole bourguignons.
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Bouzaize sortant de sous la ville au lavoir. Le lavoir Saint-Jacques a été édifié en 1887 au pied du rempart, où la Bouzaize sort à l’air libre après son mystérieux passage sous l’Hôtel-Dieu. Resté longtemps en service, ce lavoir très fréquenté était notamment utilisé par les lavandières d’une blanchisserie bâtie juste à côté. De l’autre côté du boulevard se situait le quartier des tanneurs, dont les cuves nauséabondes étaient creusées à même le sol. Il y a peu, on pouvait encore voir les volets de bois ventilant les greniers où les peaux étaient mises à sécher.
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La tour des Cordeliers. C’est l’une des quatre grosses tours (ou "boulevards") construites au début du XVIe siècle. Elle faisait partie du couvent des Cordeliers, dont l’église fut malheureusement éventrée pour faire passer la rue de l’Hôtel-Dieu (début XIXe siècle). Vendue à un particulier comme Bien National à la Révolution, cette tour a été léguée, au XIXe siècle, aux Hospices de Beaune. Appelée improprement « Bastion des Hospices », elle sert de cadre au prestigieux dîner de la Vente des Vins des Hospices de Beaune.
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La tour des Cordeliers.
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