La Ville de Bordeaux
Cité du Vin, Musée des Beaux-Arts, Eglise Saint-Seurin, Site Paléochrétien de Saint-Seurin, Caserne Niel
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La Cité du Vin a ouvert ses portes en juin 1016. Imaginée par l'agence XTU architects, son architecture audacieuse marque par ses formes mouvantes qui évoquent l'univers du vin. Sa couleur mordorée et ses reflets changeants répondent au fleuve et à la pierre de Bordeaux. Le bâtiment se déploie sur près de 14 000 m2. Son ossature comporte 574 arches de bois, sa « peau » est constituée de 2 500 écailles d’aluminium perforé et de 900 panneaux de verre sérigraphié. Le patio apporte de la lumière au cœur de l’édifice. La tour qui culmine à 55 m de haut offre un point de vue inédit sur la ville.
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Le patio.
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Le patio.
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Le patio.
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Pont Chaban Delmas.
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Quartier de Bacalan et ses silos.
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Quartier de Bacalan.
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Pîetro Vannucci dit Le Pérugîn Castello della Pieve, vers 1450 - Fontignano, 1523 Vierge à l’enfant sur le trône entre saint Jérôme, saint Augustin, quatre anges et deux chérubins Tempera et huile sur bois, transposées sur toile
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Tiziano Vecellio dit Titien Pieve di Cadore, vers 1489 - Venise, 1576 Tarquin et Lucrèce Vers 1568-1571. Huile sur toile
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Hans Clôt Actif au milieu du XVe siècle Vierge de pitié entourée de saints. 1469. Huile sur bois
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Maître de l'Incrédulité de saint Thomas Bergame, vers 1480 - Venise, 1528 Vierge à l'enfant avec des saints Huile sur bois
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Jean I BRUEGHEL dit de Velours (Bruxelles, 1568 — Anvers, 1625) La danse de noces Huile sur cuivre.
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Lavinia FONTANA Bologne. 1552 - Rome. 1614 Portrait d’homme assis feuilletant un livre (dit portrait du sénateur Orsini) Huile sur toile H. 119 cm ; L. 130 cm. 1877-1578.
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Anonyme Florentin XVIIe siècle Saint Sébastien soigné par Irène Huile sur toile
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Attribué à Giuseppe Vermiglio Turin, 1585 - Turin, 1635 Saint Marc écrivant sous la dictée de Saint Pierre Huile sur toile
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Hendrick Ter Brugghen Deventer, 1588 - Utrecht, 1629 Un chanteur s'accompagnant au Luth 1624 Huile sur toile
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Pierre Paul Rubens Siegen, 1577 - Anvers, 1640 Le martyre de Saint Georges, Vers 1615, Huile sur bois, 195 x 159 cm.
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Pierre Paul Rubens Siegen, 1577 - Anvers, 1640 Le Miracle de saint Just. Vers 1633 Huile sur toile
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Pierre Paul Rubens Siegen, 1577 - Anvers, 1640 L’enlèvement de Ganymède. 17e siècle Huile sur toile.
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Alessandro Magnasco Gênes, 1667 – Gênes, 1749 Embarquement des galériens dans le port de Gênes Huile sur toile
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Alessandro Magnasco Gênes, 1667 – Gênes, 1749 Arrivée et interrogatoire des galériens dans la prison de gênes Huile sur toile
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Pierre Lacour Bordeaux, 1745 - Bordeaux, 1814. Projet pour le plafond du Grand Théâtre : La Gloire du Gouvernement de Guyenne 1774. Huile sur toile.
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Pierre Lacour Bordeaux, 1745 - Bordeaux, 1814. Vue d'une partie du port et des quais de Bordeaux Huile sur toile
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Le peintre Lacour avec sa file portant une ombrelle.
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Les parties les plus anciennes de l'église - le chevet, le carré du transept, une partie de la nef, la tour du clocher - datent du 12e siècle. Le reste de l’édifice est du 13 et 14e siècle, avec des aménagements jusqu'au 19e siècle Le cloître aujourd'hui détruit, reste mal documenté.
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A la fin des années 1820, la fabrique de Saint-Seurin fait restaurer la façade occidentale. L’architecte Pierre-Alexandre Poitevin construit une façade de style néo-roman pourvue d’un nouveau portail-porche dissimulant le porche roman. De plan carré, le clocher est à trois niveaux de baies. Les deux statues de saint Jean et saint Pierre installées sur la balustrade de l’étage supérieure sont l’œuvre de Dominique Félix Maggesi.
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Les statues de saint Seurin et de saint Amand encadrent l’entrée. Ici St Amand.
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Les statues de saint Seurin et de saint Amand encadrent l’entrée. Ici St Seurin. Ces deux statues sont l'oeuvre de Maggesi.
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le tympan figure la rencontre des deux saints patrons est l’œuvre de Dominique Félix Maggesi. St Amand, ur untrône où l'on monte par deux degrés de chaque côté, donne la mitre à saint Seurin agenouillé. Ces deux personnages sont en chappe. Un sous-diacre tient l'extémité de celle de saint Amand et
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Chapiteaux du 12e siècle des piliers du porche roman, situé derrière la façade, voûté en berceau et qui précède la nef. Le sacrifice d'Abraham.
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Le sacrifice d'Abraham.
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Chapiteaux des piliers du porche roman, situé derrière la façade, voûté en berceau et qui précède la nef.
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Chapiteaux des piliers du porche roman, situé derrière la façade, voûté en berceau et qui précède la nef.
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Chapiteaux des piliers du porche roman, situé derrière la façade, voûté en berceau et qui précède la nef.
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Chapiteaux des piliers du porche roman, situé derrière la façade, voûté en berceau et qui précède la nef.
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Côté sud, l'entrée établie au 13e siècle vers le cimetière est abritée par un porche à cinq pans coupés, voûté, du 16e siècle. Une tour, de plan carré à sa base et octogonal à son sommet, s'élève à côté.
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Les chanoines font construire au XIIIe siècle, au niveau de la troisième travée de la nef, une entrée monumentale ouverte sur la nécropole.
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Ce vaste portail gothique constitué d’une grande baie et de deux arcatures aveugles, ont les voussures ont été sculptées de motifs floraux et de figures d’anges, est rythmé par quatorze statues sculptées sur les pieds-droits figurant les apôtres, la Synagogue et l’Eglise.
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Le tympan principal présente des scènes de la Résurrection et du Jugement dernier. Le Christ est soutenu par la Vierge et saint Jean, des anges portent les instruments de la Passion.
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Le Jugement dernier, avec saint Michel pesant les âmes.
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Le tympan de gauche est dédié aux saintes femmes priant sur le tombeau tandis que le linteau représente la Résurrection des corps.
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Le tympan de droite reconstitue une scène miraculeuse, un saint guérissant un malade. A droite saint Amand rêvant de l’arrivée de saint Seurin.
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A gauche, l'Eglise.
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Le tympan principal présente des scènes de la Résurrection et du Jugement dernier.
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A droite, la Synagogue.
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Le bâtiment comporte une nef large et basse à quatre travées et bas-côtés étroits; deux travées identiques à celles de la nef forment un chœur à chevet plat, les chapelles latérales composant un faux transept. Au cours des siècles, quatre chapelles ont été ajoutées au nord, trois au sud. En 1566 et en 1698, l’église est gravement endommagée par l’effondrement d’une partie de ses voûtes. L’architecte Jean-Baptiste Augier les reconstruit au tout début du XVIIIe et consolide les piliers qu’il entoure d’une ceinture de pierre.
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Dans le chœur, trente-deux des quarante-sept stalles de la fin du XVe réservées au chapitre lors des offices subsistent. Elles sont ornées sur les miséricordes de scènes grotesques et satiriques, de saints et de prophètes.
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Le Christ, avec, à gauche saint Seurin, et à droite, saint Amand.
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Le siège épiscopal situé à l’entrée du chœur date du début du XVe siècle. Ce trône de pierre délicatement ouvragé comportant accoudoirs, dossier et dais était réservé au nouvel archevêque de Bordeaux venant prêter serment sur les reliques de saint Seurin avant son entrée officielle.
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Le retable du maître-autel est aujourd'hui adossé à un pilier du chœur, il retrace la vie de Saint Seurin et de Saint Martial. L'albâtre provenait d'Angleterre mais on pense que la commande est l'œuvre d'artisans locaux, on sait qu'il existait 2 ateliers dans la région, parce que le culte de Saint Seurin était vraiment restreint et local. Le retable date de la fin du 14ème siècle, il est composé de 14 panneaux d'albâtre encastrés dans un bâti de bois dont les corniches sont décorées d'arcatures découpées. En 1855, le retable a été démonté, restauré puis remonté en 1872 à l'entrée du chœur. On y a alors ajouté un baldaquin hérissé de gâbles gothiques (pignons décoratifs aigus). De part et d'autre de l'Annonciation et de la Crucifixion placées au centre du retable, la rangée supérieure est occupée par 5 panneaux racontant l'histoire de Saint Seurin et Saint Amand, la dernière est consacrée au martyre Saint Fort tandis que 6 scènes de la vie de Saint Martial garnissent la rangée inférieure. Il s'agit d'une œuvre de bonne qualité, soignée, attribuable au début de la sculpture des albâtres comme l'atteste la corniche crénelée. De plus, on peut voir que les vêtements des sujets du Duc de Bordeaux sont ceux des années 1370-1380, ce qui nous confirme la réalisation du retable à la fin du 14ème siècle.
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· On voit ici Saint Pierre envoyant Saint Martial en Gaule, on peut remarquer des nimbes rayonnants (auréoles) en forme de soleil qui encadrent la tête des Saints ce qui est une originalité locale puisqu'on ne trouve pas d'équivalence dans les albâtres anglais, · Le miracle annonçant l'arrivée Saint Seurin (apparition),
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· La mort d'Austriclinien, le compagnon de Saint Martial, · Saint Pierre confiant son bâton à Saint Martial, En haut : · Le songe confirmant l'arrivée de saint Seurin, · On le voit accueilli par Saint Amand au port de Bordeaux,
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Panneau central, l'Annonciation. · La résurrection d'Austriclinien au contact du bâton, Panneau central, la Crucifixion · Il est consacré archevêque de Bordeaux, remplaçant ainsi Saint Amand,
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