Les Eglises de Bordeaux.

La Basilique Saint-Michel, L’Eglise Sainte-Croix, L’Eglise Notre-Dame, L’Eglise Saint-Pierre.

<center>La flèche St Michel.</center>
La flèche St Michel.
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<center>La place St Michel.</center>Basilique St Michel et le marché. Tous les samedis, étals et camions alimentaires s'associent aux vendeurs non alimentaires. Ce marché est toujours un moment délicieux où s'entremêlent les bonnes odeurs et les jolies couleurs. Les commerçants sérieux et expérimentés proposent un large choix de produits de qualité. Le dimanche, c'est un peu le marché aux puces. En 1755, l'intendant de Tourny décida d'établir une succursale du Grand-Marché de l'époque sur la Place du Parlement. Au vu de de son emplacement, il est nommé
La place St Michel.
Basilique St Michel et le marché. Tous les samedis, étals et camions alimentaires s'associent aux vendeurs non alimentaires. Ce marché est toujours un moment délicieux où s'entremêlent les bonnes odeurs et les jolies couleurs. Les commerçants sérieux et expérimentés proposent un large choix de produits de qualité. Le dimanche, c'est un peu le marché aux puces. En 1755, l'intendant de Tourny décida d'établir une succursale du Grand-Marché de l'époque sur la Place du Parlement. Au vu de de son emplacement, il est nommé "le Marché Royal", et l'on y vend toute sorte des produits alimentaires. Déplacé quai des Salinières, il est finalement accueilli sur la place Saint-Michel en 1960.
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<center>La place St Michel.</center>C'est à l'artiste Ulysse Despaux, dessinateur et comédien, que l'on doit la jolie petite statue qui se situe place Saint Michel. Le buste de l'artiste surmonte la pièce, comme veillant sur elle: En dessous, dans le bloc de pierre, se détachent de nombreux petits visages, tout droits venus des cahiers de croquis de Despaux, qui les avait dessinés tels qu'ils étaient, qu'ils vivaient dans le Bordeaux populaire. Visages anonymes et finalement si communs, ils représentent les gens de tous les jours, les passants qui arpentent quotidiennement la place Saint Michel, et le reste de la ville sous l'oeil malicieux du comédien.
La place St Michel.
C'est à l'artiste Ulysse Despaux, dessinateur et comédien, que l'on doit la jolie petite statue qui se situe place Saint Michel. Le buste de l'artiste surmonte la pièce, comme veillant sur elle: En dessous, dans le bloc de pierre, se détachent de nombreux petits visages, tout droits venus des cahiers de croquis de Despaux, qui les avait dessinés tels qu'ils étaient, qu'ils vivaient dans le Bordeaux populaire. Visages anonymes et finalement si communs, ils représentent les gens de tous les jours, les passants qui arpentent quotidiennement la place Saint Michel, et le reste de la ville sous l'oeil malicieux du comédien.
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<center>La place St Michel.</center>La flèche et la basilique St Michel.
La place St Michel.
La flèche et la basilique St Michel.
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<center>La flèche St Michel.</center>
La flèche St Michel.
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<center>La flèche St Michel.</center>Deuxième clocher de France par sa hauteur, la Flèche Saint-Michel culmine à 114 mètres et offre un panorama unique sur la ville. La basilique Saint-Michel de Bordeaux partage avec la cathédrale Saint-André la particularité d’être dotée d’un clocher indépendant.
La flèche St Michel.
Deuxième clocher de France par sa hauteur, la Flèche Saint-Michel culmine à 114 mètres et offre un panorama unique sur la ville. La basilique Saint-Michel de Bordeaux partage avec la cathédrale Saint-André la particularité d’être dotée d’un clocher indépendant.
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<center>La flèche St Michel.</center>La tour fut élevée entre. 1472 et 1492 sur l'ancien charnier du cimetière de la paroisse Saint-Michel. Elle est due à l'architecte Jean Lebas. Détruite successivement par la foudre, un tremblement de terre et une tempête, elle fut rebâtie entre 1861 et 1869 par l'architecte Paul Abadie.
La flèche St Michel.
La tour fut élevée entre. 1472 et 1492 sur l'ancien charnier du cimetière de la paroisse Saint-Michel. Elle est due à l'architecte Jean Lebas. Détruite successivement par la foudre, un tremblement de terre et une tempête, elle fut rebâtie entre 1861 et 1869 par l'architecte Paul Abadie.
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<center>La flèche St Michel.</center>Les travaux commencèrent en 1861, mais durent être réorientés en 1863, alors que la flèche avait déjà atteint une hauteur conséquente. Des lézardes étaient apparues à la base de la tour, exigeant un renforcement rapide. Six gros contreforts sur lesquels reposent aujourd'hui les statues de prélats ayant marqué l'histoire de la ville, ainsi; qu'une ceinture de cerclage de deux mètres d'épaisseur, seront alors placés au pied de l'édifice.
La flèche St Michel.
Les travaux commencèrent en 1861, mais durent être réorientés en 1863, alors que la flèche avait déjà atteint une hauteur conséquente. Des lézardes étaient apparues à la base de la tour, exigeant un renforcement rapide. Six gros contreforts sur lesquels reposent aujourd'hui les statues de prélats ayant marqué l'histoire de la ville, ainsi; qu'une ceinture de cerclage de deux mètres d'épaisseur, seront alors placés au pied de l'édifice.
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<center>La flèche St Michel.</center>Les six statues, cachées dans les niches, d'une hauteur de 4 mètres, ont été exécutées par Michel Pascal, Louis Coeffard, M.-A. Fromanger et Jean Mora pour couronner les contreforts. Elles représentent six prélats ayant marqué l'histoire de la ville : saint Delphin, archevêque de Bordeaux en 380 ; saint Paulin, évêque de Nole, né à Bordeaux en 353 ; Bertrand de Goth, né à Villandraut vers 1264, archevêque de Bordeaux puis pape sous le nom de Clément V ; Arnaud de Canteloup, successeur de Bertrand de Goth au siège d'archevêque et dont la place où est bâti le clocher porte le nom ; Paul II, pape de 1464 à 1474, il sépara la paroisse de Saint-Michel de celle de Sainte-Croix ; Pey Berland, archevêque de Bordeaux de 1430 à 1456.
La flèche St Michel.
Les six statues, cachées dans les niches, d'une hauteur de 4 mètres, ont été exécutées par Michel Pascal, Louis Coeffard, M.-A. Fromanger et Jean Mora pour couronner les contreforts. Elles représentent six prélats ayant marqué l'histoire de la ville : saint Delphin, archevêque de Bordeaux en 380 ; saint Paulin, évêque de Nole, né à Bordeaux en 353 ; Bertrand de Goth, né à Villandraut vers 1264, archevêque de Bordeaux puis pape sous le nom de Clément V ; Arnaud de Canteloup, successeur de Bertrand de Goth au siège d'archevêque et dont la place où est bâti le clocher porte le nom ; Paul II, pape de 1464 à 1474, il sépara la paroisse de Saint-Michel de celle de Sainte-Croix ; Pey Berland, archevêque de Bordeaux de 1430 à 1456.
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<center>La flèche St Michel.</center>Elle est cantonnée de contreforts et de pinacles. Une tempête emporta la flèche en 1768 ; et sur la tour étêtée, on installa en 1823 le télégraphe de Chappe...L'appareil de télégraphe (sémaphore) avait 3 mètres de hauteur. Ses bras pouvaient prendre 196 positions différentes. Si les conditions atmosphériques étaient bonnes, il fallait alors 3 h 30 pour transmettre un message de Paris à Bordeaux. En 1852, la première ligne électrique fut établie de Paris jusqu'à Bayonne. Le télégraphe de la tour Saint-Michel cessa alors d'agiter ses bras.
La flèche St Michel.
Elle est cantonnée de contreforts et de pinacles. Une tempête emporta la flèche en 1768 ; et sur la tour étêtée, on installa en 1823 le télégraphe de Chappe...L'appareil de télégraphe (sémaphore) avait 3 mètres de hauteur. Ses bras pouvaient prendre 196 positions différentes. Si les conditions atmosphériques étaient bonnes, il fallait alors 3 h 30 pour transmettre un message de Paris à Bordeaux. En 1852, la première ligne électrique fut établie de Paris jusqu'à Bayonne. Le télégraphe de la tour Saint-Michel cessa alors d'agiter ses bras.
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<center>La flèche St Michel.</center>
La flèche St Michel.
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<center>La flèche St Michel.</center>Les escaliers conduisent à une plateforme qui offre une vue sur la ville à 50 m
La flèche St Michel.
Les escaliers conduisent à une plateforme qui offre une vue sur la ville à 50 m
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<center>La flèche St Michel.</center>
La flèche St Michel.
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<center>Intérieur de la flèche</center>
Intérieur de la flèche
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<center>LE CARILLON</center>La tour Saint-Michel abrite un carillon datant de 1865-1867, avec un clavier dit à « coups de poings », composé de 7 cloches en volée 'enbas) et de 15 cloches fixes (dites de tintement, sur la photo), avec transmission par câbles et poulies.
LE CARILLON
La tour Saint-Michel abrite un carillon datant de 1865-1867, avec un clavier dit à « coups de poings », composé de 7 cloches en volée 'enbas) et de 15 cloches fixes (dites de tintement, sur la photo), avec transmission par câbles et poulies.
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<center>LE CARILLON</center>Les 7 cloches en volée.
LE CARILLON
Les 7 cloches en volée.
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<center>Le haut de la flèche.</center>
Le haut de la flèche.
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<center>Le pont St Jean et le pont Eiffel.</center>
Le pont St Jean et le pont Eiffel.
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<center>Le pont de Pierre.</center>
Le pont de Pierre.
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<center>Le pont de Pierre.</center>La lune.
Le pont de Pierre.
La lune.
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<center>Les tours de la cathédrale</center>
Les tours de la cathédrale
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<center>La crypte.</center>
La crypte.
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<center>La crypte.</center>
La crypte.
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<center>La crypte.</center>
La crypte.
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<center>La crypte.</center>A la fin du XVIIIe siècle furent installées des momies exhumées du cimetière situé jadis à l’entour. Plusieurs dizaines de corps conservés par le sol argileux sont ainsi exhumés et placés en cercle dans la crypte, rapidement transformée en une sorte de musée.
Par leurs figures crispées ces corps desséchés hanteront longtemps la crypte Saint-Michel. Ainsi ces momies (elles étaient près de 70) ont attiré des milliers de visiteurs dont quelques écrivains illustres comme, Victor Hugo, Gustave Flaubert, Théophile Gautier ou plus près de nous Ferdinand Céline. On pouvait y voir « L’Enterré vivant », « la famille empoisonnée par les champignons», « L’africaine », un général tué en duel, etc … 
Cette ronde macabre prit fin en 1990.
La crypte.
A la fin du XVIIIe siècle furent installées des momies exhumées du cimetière situé jadis à l’entour. Plusieurs dizaines de corps conservés par le sol argileux sont ainsi exhumés et placés en cercle dans la crypte, rapidement transformée en une sorte de musée. Par leurs figures crispées ces corps desséchés hanteront longtemps la crypte Saint-Michel. Ainsi ces momies (elles étaient près de 70) ont attiré des milliers de visiteurs dont quelques écrivains illustres comme, Victor Hugo, Gustave Flaubert, Théophile Gautier ou plus près de nous Ferdinand Céline. On pouvait y voir « L’Enterré vivant », « la famille empoisonnée par les champignons», « L’africaine », un général tué en duel, etc … Cette ronde macabre prit fin en 1990.
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<center>La crypte.</center>En 1979, les momies sont retirées de la crypte et de nouveau inhumées, cette fois au cimetière de la Chartreuse. Aujourd’hui un audiovisuel reconstitue la genèse de cette exhibition dont beaucoup de bordelais ont gardé un souvenir.
La crypte.
En 1979, les momies sont retirées de la crypte et de nouveau inhumées, cette fois au cimetière de la Chartreuse. Aujourd’hui un audiovisuel reconstitue la genèse de cette exhibition dont beaucoup de bordelais ont gardé un souvenir.
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<center>La crypte.</center>
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<center>La crypte.</center>La ronde des momies hante la place St Michel

On ne peut plus les voir depuis 25 ans, mais elles attisent toujours autant la curiosité. Exhumés en 1791, lors de la suppression des anciens cimetières de la ville, ces 74 corps remarquablement conservés (grâce à une sol riche en bicarbonate de calcium) furent installés dans la crypte de la « Flèche » Saint-Michel. Elles y formèrent pendant, plus d’un siècle, une ronde macabre
La crypte.
La ronde des momies hante la place St Michel On ne peut plus les voir depuis 25 ans, mais elles attisent toujours autant la curiosité. Exhumés en 1791, lors de la suppression des anciens cimetières de la ville, ces 74 corps remarquablement conservés (grâce à une sol riche en bicarbonate de calcium) furent installés dans la crypte de la « Flèche » Saint-Michel. Elles y formèrent pendant, plus d’un siècle, une ronde macabre
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<center>La crypte.</center>
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<center>La basilique Saint-Michel</center>L'histoire de Saint-Michel reflète celle du quartier qui l'entoure.
La paroisse s'est créée au début du Moyen Âge, en faubourg de la ville, sur l'espace compris entre le territoire l'abbaye Sainte-Croix dont elle fut longtemps une dépendance, et le rempart, à hauteur de Saint-Éloi et de la Grosse-Cloche.
Le quartier connut un développement important au début du 14e siècle, lorsqu'il fut englobé dans la troisième enceinte de Bordeaux.
Il était habité par des gens de mer ou de rivière, des marchands et des artisans.
De style gothique flamboyant, l'église Saint-Michel date, dans son ensemble, du 15e siècle mais elle n'a été achevée qu'au 16e siècle.
Sur son emplacement s'élevait une église romane édifiée au 12e siècle, elle-même précédée par une chapelle carolingienne du début du 9e siècle.
Avec une longueur totale de 72 mètres, une largeur qui atteint 38 mètres au transept, et un vaisseau principal de 23 mètres d'élévation, c'est la plus grande des églises paroissiales de Bordeaux.
La basilique Saint-Michel
L'histoire de Saint-Michel reflète celle du quartier qui l'entoure. La paroisse s'est créée au début du Moyen Âge, en faubourg de la ville, sur l'espace compris entre le territoire l'abbaye Sainte-Croix dont elle fut longtemps une dépendance, et le rempart, à hauteur de Saint-Éloi et de la Grosse-Cloche. Le quartier connut un développement important au début du 14e siècle, lorsqu'il fut englobé dans la troisième enceinte de Bordeaux. Il était habité par des gens de mer ou de rivière, des marchands et des artisans. De style gothique flamboyant, l'église Saint-Michel date, dans son ensemble, du 15e siècle mais elle n'a été achevée qu'au 16e siècle. Sur son emplacement s'élevait une église romane édifiée au 12e siècle, elle-même précédée par une chapelle carolingienne du début du 9e siècle. Avec une longueur totale de 72 mètres, une largeur qui atteint 38 mètres au transept, et un vaisseau principal de 23 mètres d'élévation, c'est la plus grande des églises paroissiales de Bordeaux.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Vers 1350, la construction de l'église Saint-Michel débute par celle des trois chapelles axiales du chœur et probablement par celle des chapelles proches du côté sud. Les travaux ont été assez lents jusqu'en 1450 environ puisque à cette date, on peut penser que seuls le chœur et les croisillons du transept étaient réalisés. En 1462, la venue du roi Louis XI apporta un nouvel élan au chantier. Un maître d'œuvre d'origine saintongeaise fut recruté vers 1464 : Jean Lebas. Les deux travées orientales de la nef étaient terminées vers 1486.
La première moitié du XVIème siècle vit la construction de la nef et l'achèvement et la décoration des chapelles du chœur et de la nef. Le parti architectural de l'église resta résolument gothique bien que cette période soit attribuée en histoire de l'art à la Renaissance. Les deux dernières travées occidentales, de mêmes dimensions, furent édifiées entre 1530 et 1550.
La basilique Saint-Michel
Vers 1350, la construction de l'église Saint-Michel débute par celle des trois chapelles axiales du chœur et probablement par celle des chapelles proches du côté sud. Les travaux ont été assez lents jusqu'en 1450 environ puisque à cette date, on peut penser que seuls le chœur et les croisillons du transept étaient réalisés. En 1462, la venue du roi Louis XI apporta un nouvel élan au chantier. Un maître d'œuvre d'origine saintongeaise fut recruté vers 1464 : Jean Lebas. Les deux travées orientales de la nef étaient terminées vers 1486. La première moitié du XVIème siècle vit la construction de la nef et l'achèvement et la décoration des chapelles du chœur et de la nef. Le parti architectural de l'église resta résolument gothique bien que cette période soit attribuée en histoire de l'art à la Renaissance. Les deux dernières travées occidentales, de mêmes dimensions, furent édifiées entre 1530 et 1550.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Portail ouest. Tympan (1553) : Adoration des Bergers et des Mages.
La basilique Saint-Michel
Portail ouest. Tympan (1553) : Adoration des Bergers et des Mages.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>
La basilique Saint-Michel
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Façade Nord.
La basilique Saint-Michel
Façade Nord.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Portail nord.
La basilique Saint-Michel
Portail nord.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>La décoration sculptée, du XVIe, du portail nord avec les quatre belles figures, David et trois prophètes, les compositions des tympans extérieurs : le sacrifice d'Abraham et l'offrande d'Abel. Au dessus, la rosace flamboyante.
La basilique Saint-Michel
La décoration sculptée, du XVIe, du portail nord avec les quatre belles figures, David et trois prophètes, les compositions des tympans extérieurs : le sacrifice d'Abraham et l'offrande d'Abel. Au dessus, la rosace flamboyante.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Statues des piédroits : David et trois prophètes. Tympan :  le sacrifice d'Abraham et l'offrande d'Abel. Voussures : anges musiciens et porteurs des instruments de la Passion.
La basilique Saint-Michel
Statues des piédroits : David et trois prophètes. Tympan : le sacrifice d'Abraham et l'offrande d'Abel. Voussures : anges musiciens et porteurs des instruments de la Passion.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Statues du 1er niveau: La Trinité, saint Jean, la Vierge.
La basilique Saint-Michel
Statues du 1er niveau: La Trinité, saint Jean, la Vierge.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Portail Nord à l'intérieur : Adam et Eve soumis à la tentation, puis chassés du Paradis.
La basilique Saint-Michel
Portail Nord à l'intérieur : Adam et Eve soumis à la tentation, puis chassés du Paradis.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Portail Sud.
La basilique Saint-Michel
Portail Sud.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Portail Sud.
La basilique Saint-Michel
Portail Sud.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Le tympan du portail sud reçut, au XVIIIe, une décoration sculptée représentant l'apparition de l'archange saint Michel au mont Gargano réalisée par Cabirol.
La basilique Saint-Michel
Le tympan du portail sud reçut, au XVIIIe, une décoration sculptée représentant l'apparition de l'archange saint Michel au mont Gargano réalisée par Cabirol.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>
La basilique Saint-Michel
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Façade Sud.
La basilique Saint-Michel
Façade Sud.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>La nef, haute de 23 mètres, compte quatre travées et est entièrement couverte d'une voûte d'ogives oblongue, de même que les bas-côtés. Un large transept saillant sépare symboliquement la nef du chœur, formé de trois travées et qui reprend les dispositions de la nef. Trois absidioles polygonales ferment l'ensemble.
La basilique Saint-Michel
La nef, haute de 23 mètres, compte quatre travées et est entièrement couverte d'une voûte d'ogives oblongue, de même que les bas-côtés. Un large transept saillant sépare symboliquement la nef du chœur, formé de trois travées et qui reprend les dispositions de la nef. Trois absidioles polygonales ferment l'ensemble.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Nef centrale.
La basilique Saint-Michel
Nef centrale.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Collatéral Nord. Les bas-côtés sont doublés d'une série de 17 chapelles latérales, chacune d'elle étant dédiée à une confrérie ou à une corporation.
La basilique Saint-Michel
Collatéral Nord. Les bas-côtés sont doublés d'une série de 17 chapelles latérales, chacune d'elle étant dédiée à une confrérie ou à une corporation.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>la belle Piéta en pierre, présentée dans le collatéral septentrional de la nef que l'on peut dater autour de 1480 (Paul Roudié).
La basilique Saint-Michel
la belle Piéta en pierre, présentée dans le collatéral septentrional de la nef que l'on peut dater autour de 1480 (Paul Roudié).
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Collatéral Sud.
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Collatéral Sud.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>
La basilique Saint-Michel
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<center>La basilique Saint-Michel</center>De larges baies à remplage flamboyant éclairent la basilique. Les vitraux qui s'y trouvent datent pour l'essentiel des XVIe siècle, XIXe et XXe siècles. Les vitraux du chœur, dus à l'artiste Max Ingrand, remplacent des verrières du XIXe siècle détruites par les bombardements.
La basilique Saint-Michel
De larges baies à remplage flamboyant éclairent la basilique. Les vitraux qui s'y trouvent datent pour l'essentiel des XVIe siècle, XIXe et XXe siècles. Les vitraux du chœur, dus à l'artiste Max Ingrand, remplacent des verrières du XIXe siècle détruites par les bombardements.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Vitraux de Max Ingrand (1960): Glorification du Christ par les Anges et dans les fenêtres hautes (nord et sud) : patriarches, prophètes, rois, Vierge à l'Enfant, papes, cardinaux.
La basilique Saint-Michel
Vitraux de Max Ingrand (1960): Glorification du Christ par les Anges et dans les fenêtres hautes (nord et sud) : patriarches, prophètes, rois, Vierge à l'Enfant, papes, cardinaux.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Au XVIIIème siècle, des ferronneries vinrent fermer entre 1750 et 1780 les chapelles et furent réalisés par de célèbres ateliers bordelais : Laporte, Dumaine, Perrain, Joffrait, Kauzac.
La basilique Saint-Michel
Au XVIIIème siècle, des ferronneries vinrent fermer entre 1750 et 1780 les chapelles et furent réalisés par de célèbres ateliers bordelais : Laporte, Dumaine, Perrain, Joffrait, Kauzac.
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<center>CHAPELLE des FONTS BAPTISMAUX</center>Chapelle construite au XVIe siècle et consacrée à Saint Louis. Siège d'une Confrérie des quincailliers, merciers et colporteurs. Au XIXe siècle il existait encore un autel et un retable puis la chapelle fut remaniée et le mobilier d'origine disparut.
CHAPELLE des FONTS BAPTISMAUX
Chapelle construite au XVIe siècle et consacrée à Saint Louis. Siège d'une Confrérie des quincailliers, merciers et colporteurs. Au XIXe siècle il existait encore un autel et un retable puis la chapelle fut remaniée et le mobilier d'origine disparut. "Jésus et la Samaritaine", haut-relief en pierre, œuvre d'Edmond PREVOT, 1882 "Fonts Baptismaux", marbre blanc, 1809.
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<center>CHAPELLE des FONTS BAPTISMAUX</center>Œuvre du Maître-Verrier Pierre GAUDIN, 1963.
CHAPELLE des FONTS BAPTISMAUX
Œuvre du Maître-Verrier Pierre GAUDIN, 1963. "Le Baptême du Christ"
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<center>CHAPELLE des FONTS BAPTISMAUX</center>
CHAPELLE des FONTS BAPTISMAUX
"Saint Louis portant la couronne d'épines"
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<center>CHAPELLE SAINTE-ELISABETH</center>Chapelle fondée au XVIème siècle par les Jurats de Bordeaux en l'honneur de Sainte Suzanne. Elle servait de lieu de réunion à la Corporation des couvreurs. En 1807, elle est affectée aux sœurs tertiaires d'un ordre de Saint François d'où changement de vocable pour une sainte de ce tiers ordre. Retable et autel, époque XVIIe siècle, chêne peint, avec colonnes torsadées.
CHAPELLE SAINTE-ELISABETH
Chapelle fondée au XVIème siècle par les Jurats de Bordeaux en l'honneur de Sainte Suzanne. Elle servait de lieu de réunion à la Corporation des couvreurs. En 1807, elle est affectée aux sœurs tertiaires d'un ordre de Saint François d'où changement de vocable pour une sainte de ce tiers ordre. Retable et autel, époque XVIIe siècle, chêne peint, avec colonnes torsadées. "Sainte Elisabeth de Hongrie faisant l'aumône"), école française du XVIIIe siècle - atelier de Carle VAN L00 (1705-1766)
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<center>CHAPELLE SAINTE-ELISABETH</center>Œuvre du Maître-Verrier parisien Pierre GAUDIN, 1963 :
CHAPELLE SAINTE-ELISABETH
Œuvre du Maître-Verrier parisien Pierre GAUDIN, 1963 : "le Massacre des Innocents".
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<center>CHAPELLE du SACRE-COEUR</center>Chapelle fondée au XVe siècle sous le vocable de Saint-Marc par la famille de BELEM, armateur.
Siège de la Confrérie des tonneliers et des empaqueteurs de poissons salés. Les bénéficiers se réunissaient ici pour célébrer leurs offices et la Fabrique tenait ses assemblées. En 1804 on y établit le culte du Sacré-Cœur. Importante restauration vers 1876.<br> Retable et autel : L'ensemble actuel a été posé en 1876. L'autel est dû au sculpteur Bernard JABOUIN (1810-1889). Les statues du retable :
CHAPELLE du SACRE-COEUR
Chapelle fondée au XVe siècle sous le vocable de Saint-Marc par la famille de BELEM, armateur. Siège de la Confrérie des tonneliers et des empaqueteurs de poissons salés. Les bénéficiers se réunissaient ici pour célébrer leurs offices et la Fabrique tenait ses assemblées. En 1804 on y établit le culte du Sacré-Cœur. Importante restauration vers 1876.
Retable et autel : L'ensemble actuel a été posé en 1876. L'autel est dû au sculpteur Bernard JABOUIN (1810-1889). Les statues du retable : "Saint Jean et Sainte Marguerite" d'Edmond PREVOT (1838 - 1892) "Sacré-Cœur" de COEFFARD (1818 -1887)
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<center>CHAPELLE du SACRE-COEUR</center>Œuvre du Maître-Verrier parisien Pierre GAUDIN, 1963.
CHAPELLE du SACRE-COEUR
Œuvre du Maître-Verrier parisien Pierre GAUDIN, 1963. "La Cène et les symboles eucharistiques"
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<center>CHAPELLE SAINT JOSEPH</center>Chapelle de la Corporation des charpentiers de haute futaie. Vers 1526, le marchand Gabriel DALGUEL confie au maçon Thomas MACIP, un maître d'œuvre local, la sculpture décorative du retable. Il a probablement dû travailler sur les chantiers du Val de Loire, Blois principalement. Des analogies dans la facture des trois personnages principaux : une Vierge à l'Enfant, entourée par sainte Barbe et sainte Catherine, dues à un autre sculpteur, peut-être Julien Rochereau qui vécut entre 1520 et 1560 à Bordeaux ?
CHAPELLE SAINT JOSEPH
Chapelle de la Corporation des charpentiers de haute futaie. Vers 1526, le marchand Gabriel DALGUEL confie au maçon Thomas MACIP, un maître d'œuvre local, la sculpture décorative du retable. Il a probablement dû travailler sur les chantiers du Val de Loire, Blois principalement. Des analogies dans la facture des trois personnages principaux : une Vierge à l'Enfant, entourée par sainte Barbe et sainte Catherine, dues à un autre sculpteur, peut-être Julien Rochereau qui vécut entre 1520 et 1560 à Bordeaux ?
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<center>CHAPELLE SAINT JOSEPH</center>Tombeau d'autel en bois du XIXème siècle. Des albâtres anglais du milieu du XVe siècle, découverts en 1840 dans la chapelle de Saint-Jean-Baptiste, furent à cette époque posés dans des encadrements de bois du retable. Plusieurs ont été dérobés.
CHAPELLE SAINT JOSEPH
Tombeau d'autel en bois du XIXème siècle. Des albâtres anglais du milieu du XVe siècle, découverts en 1840 dans la chapelle de Saint-Jean-Baptiste, furent à cette époque posés dans des encadrements de bois du retable. Plusieurs ont été dérobés.
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<center>CHAPELLE SAINT JOSEPH</center>Quatre panneaux d'albâtre représentant « les Joies de la Vierge ». Angleterre, atelier de Nottingham XVe siècle (vers 1460)
Bois polychrome et albâtre polychrome. Ces panneaux sont présentés dans une caisse rectangulaire à deux volets, surmontés de dais détachés ajourés en bois, à l'origine sculptés d'accolades. Ils reposent sur des piédestaux en albâtre ajourés, ornés d'arcs ogivaux. Vers 1984, sept panneaux en albâtre de la chapelle saint Joseph ont été volés, remplacés par des moulages en plâtre. Trois panneaux ont été récupérés, une action est actuellement en cours pour tenter de faire revenir les quatre manquants, représentés par des plaques gravées. Saint Jean-Baptiste, la Résurrection, l’Assomption, le Couronnement et Saint Joseph, qui est un plâtre ancien. Les quatre panneaux manquants sont remplacés par des plaques d'albâtre vierges sur lesquelles sont gravés les relevés faits au XIXe siècle.
CHAPELLE SAINT JOSEPH
Quatre panneaux d'albâtre représentant « les Joies de la Vierge ». Angleterre, atelier de Nottingham XVe siècle (vers 1460) Bois polychrome et albâtre polychrome. Ces panneaux sont présentés dans une caisse rectangulaire à deux volets, surmontés de dais détachés ajourés en bois, à l'origine sculptés d'accolades. Ils reposent sur des piédestaux en albâtre ajourés, ornés d'arcs ogivaux. Vers 1984, sept panneaux en albâtre de la chapelle saint Joseph ont été volés, remplacés par des moulages en plâtre. Trois panneaux ont été récupérés, une action est actuellement en cours pour tenter de faire revenir les quatre manquants, représentés par des plaques gravées. Saint Jean-Baptiste, la Résurrection, l’Assomption, le Couronnement et Saint Joseph, qui est un plâtre ancien. Les quatre panneaux manquants sont remplacés par des plaques d'albâtre vierges sur lesquelles sont gravés les relevés faits au XIXe siècle.
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<center>CHAPELLE SAINT JOSEPH</center>Sa décoration fut commandée par le riche marchand Dalguel en 1527 et réalisée dans les années suivantes.
CHAPELLE SAINT JOSEPH
Sa décoration fut commandée par le riche marchand Dalguel en 1527 et réalisée dans les années suivantes.
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<center>CHAPELLE SAINT JOSEPH</center>Voûte flamboyante avec liernes et tiercerons. Culs-de-lampe surmontés des symboles des évangélistes.
CHAPELLE SAINT JOSEPH
Voûte flamboyante avec liernes et tiercerons. Culs-de-lampe surmontés des symboles des évangélistes.
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<center>CHAPELLE NOTRE DAME DE BONNE NOUVELLE</center>Vitrail du XVIe reconstitué par Caillaux (1955) : l'Arbre de Jessé et la Parenté de la Vierge.
CHAPELLE NOTRE DAME DE BONNE NOUVELLE
Vitrail du XVIe reconstitué par Caillaux (1955) : l'Arbre de Jessé et la Parenté de la Vierge.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>
La basilique Saint-Michel
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<center>CHAPELLE du SAINT-SEPULCRE </center>Chapelle fondée par les comtes d'AMBRUS vers la fin du XIVe - début XVe siècle sous le vocable du
CHAPELLE du SAINT-SEPULCRE
Chapelle fondée par les comtes d'AMBRUS vers la fin du XIVe - début XVe siècle sous le vocable du "Calvaire". La famille CARBONNIEUX se joignit aux Ambrus (leurs armes sur les consoles). XVe siècle en pierre - "Mise au tombeau" Au premier plan : Joseph d'Arimathie soutient la tête du Christ Saint-Jean tient une couronne - la Vierge - Marie-Madeleine Nicodème tient les pieds du Christ Au second plan : les Saintes femmes Dans l'arcature : des Anges portent les instruments de la Passion.
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<center>CHAPELLE du SAINT-SEPULCRE </center>Dans les lancettes :
CHAPELLE du SAINT-SEPULCRE
Dans les lancettes : " La Passion du Christ" 1963 de J.H. Couturat. Dans le réseau : "Le Sacrifice d'Abraham" (quelques réemplois du XVIe siècle restaurés au XIXe siècle).
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<center>CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES</center>Lors de la restauration du chœur en 1860 par l'architecte Charles BURGUET la chapelle a été refaite, le retable démonté et réinstallé dans la chapelle des Saints-Anges.
Auparavant la chapelle a changé plusieurs fois de vocable et tut le siège de l'une des plus anciennes Confréries, celle du Saint-Sacrement. Tout autour du chevet une série de panneaux représentant les litanies de la Vierge, DUBURCH. RETABLE ET AUTEL XIXème siècle (1860 - 1863).
CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES
Lors de la restauration du chœur en 1860 par l'architecte Charles BURGUET la chapelle a été refaite, le retable démonté et réinstallé dans la chapelle des Saints-Anges. Auparavant la chapelle a changé plusieurs fois de vocable et tut le siège de l'une des plus anciennes Confréries, celle du Saint-Sacrement. Tout autour du chevet une série de panneaux représentant les litanies de la Vierge, DUBURCH. RETABLE ET AUTEL XIXème siècle (1860 - 1863).
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<center>CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES</center>Tombeau d’autel : Architecte LAFARGUE. Marbre sculpté : DUBURCH, ateliers MOSSERON d'Angers.  Bas-relief (laiton) : COEFFARD :
CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES
Tombeau d’autel : Architecte LAFARGUE. Marbre sculpté : DUBURCH, ateliers MOSSERON d'Angers. Bas-relief (laiton) : COEFFARD : "La Dormition de la Vierge". Retable (bas-relief de COEFFARD) : Le tabernacle, "La Communion de la Vierge" ; A gauche : "L'Annonciation". A droite : "La Visitation".
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<center>CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES</center>Sous le baldaquin :
CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES
Sous le baldaquin : "La Vierge et l'Enfant", CHERTIER, Paris.
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<center>CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES</center>Vitraux. Œuvres du Peintre-Verrier Jean-Henri COUTURAT de l'atelier parisien DAUMONT TOURNE.
CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES
Vitraux. Œuvres du Peintre-Verrier Jean-Henri COUTURAT de l'atelier parisien DAUMONT TOURNE. "Le Couronnement de la Vierge"
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<center>CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES</center>
CHAPELLE NOTRE DAME DES ANGES
"L’Annonciation". En bas, panneaux représentant les litanies de la Vierge.
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<center>CHAPELLE SAINT-JEAN-BAPTISTE</center>C'est l’une des plus ancienne» chapelles avec celle du Saint-Sépulcre et de Notre-Dame des Anges. Elle date du XIVe siècle mais fut refaite au XIXe siècle lors des grands travaux de restauration du chœur par l'architecte Charles BURGUET. Elle fut le siège de la Corporation des charpentiers de barriques et de celle des remueurs de sel. Le retable : groupe en pierre représentant
CHAPELLE SAINT-JEAN-BAPTISTE
C'est l’une des plus ancienne» chapelles avec celle du Saint-Sépulcre et de Notre-Dame des Anges. Elle date du XIVe siècle mais fut refaite au XIXe siècle lors des grands travaux de restauration du chœur par l'architecte Charles BURGUET. Elle fut le siège de la Corporation des charpentiers de barriques et de celle des remueurs de sel. Le retable : groupe en pierre représentant "Saint Jean Baptiste, le Précurseur", sculpté en 1885 par Edmond PREVOT (1838 - 1892). Le tombeau d'autel : bas-relief - "Le martyre du saint»
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<center>CHAPELLE SAINT-JEAN-BAPTISTE</center>Œuvre du Peintre-Verrier Jean-Henri COUTURAT, de l'atelier parisien DAUMOOT-TOURMEL, 1963
CHAPELLE SAINT-JEAN-BAPTISTE
Œuvre du Peintre-Verrier Jean-Henri COUTURAT, de l'atelier parisien DAUMOOT-TOURMEL, 1963 "Le Banquet d’Hérode, la danse de Salomé, le martyre de Saint Jean-Baptiste"
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<center>CHAPELLE SAINT-JEAN-BAPTISTE</center>
CHAPELLE SAINT-JEAN-BAPTISTE
"La Prédication de Saint Jean-Baptiste"
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<center>CHAPELLE SAINTE-ANNE SAINTE-MARGUERITE</center>Au début du XIXème siècle, il existait deux chapelles distinctes séparées par un mur plein : Saint-François d'Assise (côté est) et Sainte-Anne ou la Sainte-Famille (primitivement Sainte- Marguerite) à l'ouest. Lors des grands travaux de restauration de Charles BURGUET en 1860, la chapelle Sainte-Anne fut supprimée pour permettre l'accès aux nouvelles sacristies en sous-sol et la chapelle restante réunit les deux noms : Sainte Anne et Sainte Marguerite.
CHAPELLE SAINTE-ANNE SAINTE-MARGUERITE
Au début du XIXème siècle, il existait deux chapelles distinctes séparées par un mur plein : Saint-François d'Assise (côté est) et Sainte-Anne ou la Sainte-Famille (primitivement Sainte- Marguerite) à l'ouest. Lors des grands travaux de restauration de Charles BURGUET en 1860, la chapelle Sainte-Anne fut supprimée pour permettre l'accès aux nouvelles sacristies en sous-sol et la chapelle restante réunit les deux noms : Sainte Anne et Sainte Marguerite.
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<center>CHAPELLE SAINTE-ANNE SAINTE-MARGUERITE</center>Œuvre du Peintre-Verrier Jean-Henri COUTURAT, de l'atelier parisien DAUMONT-TOURNEL, 1963.
CHAPELLE SAINTE-ANNE SAINTE-MARGUERITE
Œuvre du Peintre-Verrier Jean-Henri COUTURAT, de l'atelier parisien DAUMONT-TOURNEL, 1963. "Présentation de la Vierge"
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<center>CHAPELLE SAINTE-ANNE SAINTE-MARGUERITE</center>
CHAPELLE SAINTE-ANNE SAINTE-MARGUERITE
"Sainte Marguerite et Saint Julien"
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<center>CHAPELLE SAINTE-ANNE SAINTE-MARGUERITE</center>
CHAPELLE SAINTE-ANNE SAINTE-MARGUERITE
"Saint François d'Assise"
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<center>CHAPELLE SAINT-JACQUES</center>Chapelle du XIVe siècle longtemps connue sous le vocable de Sainte Apollonie. Au début XVIIème siècle le Cardinal François de SOURDIS l'octroie à l'importante Confrérie Jacques de Compostelle. Elle change alors de vocable.<br>
L'ensemble en bois peint date du XVIIe siècle, restauré en 1992. Retable d'acajou (1622)
Soubassement : 2 reliquaires encadrent le Tabernacle. De part et d'autre, sculptures en bois peint,
CHAPELLE SAINT-JACQUES
Chapelle du XIVe siècle longtemps connue sous le vocable de Sainte Apollonie. Au début XVIIème siècle le Cardinal François de SOURDIS l'octroie à l'importante Confrérie Jacques de Compostelle. Elle change alors de vocable.
L'ensemble en bois peint date du XVIIe siècle, restauré en 1992. Retable d'acajou (1622) Soubassement : 2 reliquaires encadrent le Tabernacle. De part et d'autre, sculptures en bois peint, "Visitation" et "Le Mariage de la Vierge". Au centre : "L'Apothéose de Saint Jacques", 1632. De part et d'autre : "La Vierge Marie" et "L'ange Gabriel". Au-dessus : "L'Adoration de Jésus enfant par les anges", XVIIème siècle. Médaillon en bois doré : "Saint Jacques guerroyant contre les Sarrasins"
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<center>CHAPELLE SAINT-JACQUES</center>Œuvre du Peintre- Verrier Jean-Henri COUTURAT, de l'atelier parisien DAUM0NT-T0URNEL, 1963
CHAPELLE SAINT-JACQUES
Œuvre du Peintre- Verrier Jean-Henri COUTURAT, de l'atelier parisien DAUM0NT-T0URNEL, 1963 "L’histoire de Saint-Jacques le Majeur" : vocation de St Jacques, St Jacques guérit un paralytique, St Jacques bénit le Scribe, martyre de St Jacques et du Scribe.
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<center>CHAPELLE SAINTE-APOLLONIE</center>Cette chapelle construite au XVe siècle fut d'abord consacrée à Notre-Dame de Verdelais. Elle était connue sous le vocable de Saint-Vincent. Il existait deux autels : Saint-Fort Sainte-Catherine et Saint-Vincent. A partir de 1693 elle fut dédiée à Sainte Apollonie.
Retable et autel en bois peint rehaussé de marbre, du XVIIe siècle.
CHAPELLE SAINTE-APOLLONIE
Cette chapelle construite au XVe siècle fut d'abord consacrée à Notre-Dame de Verdelais. Elle était connue sous le vocable de Saint-Vincent. Il existait deux autels : Saint-Fort Sainte-Catherine et Saint-Vincent. A partir de 1693 elle fut dédiée à Sainte Apollonie. Retable et autel en bois peint rehaussé de marbre, du XVIIe siècle. "Le Christ en croix entre deux personnages" Ecole française du XVIIIe, restaurée en 1960 et 1987.
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<center>CHAPELLE SAINTE-APOLLONIE</center>Vitraux : œuvre du Maître Verrier Pierre GAUDIN, 1963
CHAPELLE SAINTE-APOLLONIE
Vitraux : œuvre du Maître Verrier Pierre GAUDIN, 1963 "Let Martyre de Sainte Apollonie".
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<center>CHAPELLE des SAINTS-ANGES</center>Chapelle construite au XVème siècle. Consacrée à Saint Roch, patron des mariniers, carriers, paveurs et mesureurs de sel. Au XIXème siècle elle change de vocable et devient chapelle des Saints-Anges. Endommagée lors des bombardements de 1940 elle est restaurée en 1958 et le retable en 1965.<br> Bois peint et doré du XVIIIème siècle.
CHAPELLE des SAINTS-ANGES
Chapelle construite au XVème siècle. Consacrée à Saint Roch, patron des mariniers, carriers, paveurs et mesureurs de sel. Au XIXème siècle elle change de vocable et devient chapelle des Saints-Anges. Endommagée lors des bombardements de 1940 elle est restaurée en 1958 et le retable en 1965.
Bois peint et doré du XVIIIème siècle. "La Vierge et l'Enfant" et de part et d'autre les personnages de "L'Annonciation" au sommet : "Dieu le Père accueille la Vierge entourée d'anges au moment de l'Assomption".
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<center>CHAPELLE des SAINTS-ANGES</center>
CHAPELLE des SAINTS-ANGES
"Les Pèlerins d'Emmaüs" - fin XVIIe siècle
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<center>La basilique Saint-Michel</center>
La basilique Saint-Michel
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Vitrail de Couturat, 1960. La nativité.
La basilique Saint-Michel
Vitrail de Couturat, 1960. La nativité.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Vitrail de Gaudin, 1963.
La basilique Saint-Michel
Vitrail de Gaudin, 1963.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Ste Cécile entourée d'anges musiciens.
La basilique Saint-Michel
Ste Cécile entourée d'anges musiciens.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>La Multiplication des Pains.
La basilique Saint-Michel
La Multiplication des Pains.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Vitrail de Gaudin, 1963.
La basilique Saint-Michel
Vitrail de Gaudin, 1963.
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<center>La basilique Saint-Michel</center>Le mariage de Joseph et de Marie.
La basilique Saint-Michel
Le mariage de Joseph et de Marie.
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