Monein, Lacommande, Lescar.
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Le soldat "Poilu". Ce monument en pierre et en bronze est l'œuvre d'un sculpteur célèbre du Sud-Ouest. Ernest Gabard (1879-1957). Ses œuvres sont nombreuses et variées : pleureuses à Assat et Sauveterre, scènes de recueillement à Jurançon, fontaines, statues diverses, le plus souvent en marbre. Ici, ce monument inauguré en 1924 représente un Poilu, en pied, la tête rejetée vers le ciel, les bras légèrement écartés et les mains ouvertes : il symbolise le don fait pour la patrie. 191 noms des enfants de Monein morts à la Grande Guerre (dont parfois 2 ou 3 par famille) rappellent combien cette guerre a été dévastatrice. La qualité des sculptures, le savoir-faire, l’indéniable originalité des œuvres, font de Gabard un artiste très apprécié.
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L’église Saint-Girons. Dans ce Béarn riche en monuments remarquables qui se sont construits sur la route des pèlerins de St-Jacques-de-Compostelle, on trouve peu de monuments gothiques qui aient traversé les siècles. Monein possède la plus grande église gothique du Béarn.S a construction commença le 13 Juillet 1464; Gaston IV était alors Seigneur Souverain de Béarn et Louis XI régnait en France. Elle dura une cinquantaine d'années et fut financée, essentiellement, par les « tailles » (ou impôts) que la communauté s'imposa, ainsi que par les dons et legs du clergé et des nobles locaux. La reine de Navarre Jeanne d'Albret, transforma l'église en temple protestant en la dépouillant de son mobilier et menaça de la détruire face à l'hostilité de la population, demeurée catholique. Elle fut néanmoins épargnée et rendue au culte catholique quand celui-ci fut rétabli par l'Édit d'intégration du Béarn promulgué par le roi Louis XIII de France (qui était encore à ce moment-là également Louis I de Navarre).
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L'église de Monein est la plus importante église gothique du Béarn : longueur de la nef 50 mètres prolongée par le clocher donjon (ou clocher porche), un carré de 6 mètres de côté ; largeur de l'église 16 mètres, plus les chapelles latérales ; hauteur des voûtes 13 mètres 50 ; épaisseur des murs et des contreforts de 1,25 à 1,50 mètre. Elle est de style gothique flamboyant, avec des éléments Renaissance. Certains y décèlent l’influence du grand art gothique du Nord de la France, adapté aux conditions locales et au génie propre du pays. Sa construction fut achevée vers 1520. Elle est dédiée à saint Girons (GERONTIUS, prêtre et Confesseur de la foi qui évangélisa l'Aquitaine gallo-romaine et mourut à Aire-sur-l'Adour).
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L’église Saint-Girons. Le chevet est épaulé de puissants contreforts et éclairé par de grandes baies à remplage flamboyant. La tombée vertigineuse de l'immense toit d'ardoises et l'appareillage des murs dans lesquels les galets du Gave disposés en feuilles de fougère alternent avec des rangées de briques, le tout lié par un mortier de chaux du pays et de sable de la Balise qui donne à l'édifice cette belle couleur ocre caractéristique des vieilles constructions béarnaises.
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L’église Saint-Girons. Porte des cagots.
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L’église Saint-Girons. Le clocher dresse sa masse imposante d'un seul jet à 40 mètres de hauteur, ses murs épais d'un mètre cinquante, épaulés d'énormes contreforts biais que coupent à distance régulière, des corniches de pierre blanche.
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L’église Saint-Girons. Encastrée dans l'angle sud-est une tourelle ronde contient l'escalier à vis qui nous conduit à la toiture. Le clocher est éclairé par des fenêtres à croisées de pierre de style Renaissance.
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L’église Saint-Girons. Encastrée dans l'angle sud-est une tourelle ronde contient l'escalier à vis qui nous conduit à la toiture. Le clocher est éclairé par des fenêtres à croisées de pierre de style Renaissance.
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L’église Saint-Girons. La porte principale de l'église, actuellement condamnée car elle donne directement sur la chaussée de la grand-rue, est remarquable, au plan archéologique, par le tympan malheureusement très dégradé qui la surmonte ; c'est la partie la plus ancienne de l'édifice. Il proviendrait de l'église romane primitive, et il a été utilisé en réemploi par les constructeurs de la nouvelle église.
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Nous devinons à gauche l'arbre du Bien et du Mal avec Adam et Eve, et à droite, la Résurrection, avec près d'un tombeau entrouvert, un ange qui encense et trois personnages alignés (les saintes femmes).
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Porche d'entrée. nous découvrons la plus élégante porte Renaissance que possède le Béarn. Sur le bandeau supérieur, une procession d'anges portant les instruments de la Passion ; le bandeau inférieur est une véritable dentelle de feuillage.
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Sur le bandeau supérieur, une procession d'anges portant les instruments de la Passion ; le bandeau inférieur est une véritable dentelle de feuillage.
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Porche d'entrée.
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Porche d'entrée.
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Porche d'entrée. Sur la droite, une porte plus petite, mais aussi richement décorée, ouvre sur l'escalier du clocher ; elle est surmontée d'un arc en accolade, avec choux frisés, grand fleuron et encadrée de deux élégants pinacles. Près de celui de droite, en cul de lampe de la corniche, un ange jouant de la flûte
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Porte d'entrée vue de l'intérieur.
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Un des points remarquables est la dissymétrie du plan de l'édifice ; la nef principale est, en effet, flanquée d'un seul bas-côté. L'unité des éléments architecturaux intérieurs et la vaste charpente commune semblent indiquer que cette disposition ne résulte pas d'un accident de parcours durant la construction, mais qu'elle fut prévue sur le plan initial.
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L'unité des voûtes sexpartites de la nef et du collatéral est renforcée par la longue nervure centrale (lierne) qui parcourt toute la longueur, jusqu'au chœur.
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La chaire, avec l'étoile de David et le tétramorphe.
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Statue de Jeanne d'Arc.
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Le chœur.
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Le chœur.
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Les tableaux représentant, à droite la montée au calvaire et à gauche l'ensevelissement, sont l'œuvre de Pierre-Claude PERRUCHE, peintre de Lescar.
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Les tableaux représentant, à droite la montée au calvaire et à gauche l'ensevelissement, sont l'œuvre de Pierre-Claude PERRUCHE, peintre de Lescar.
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Les stalles.
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Les stalles. Sous le vernis, des peintures.
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Le retable et l'autel.
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Le taberrnacle encadré par l'Annonciation..
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Sous l'autel, la chasse qui contiendrait les reliques de saint Girons (un fragment du bassin).
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L'autel principal est orné d'un retable du XVIIIe siècle, œuvre de Jean CASSOU, maitre sculpteur de Louvie en Ossau et de CARON, doreur de la ville de Lescar. A la place d'honneur, au-dessus du grand crucifix, la statue de saint Girons, patron de l'Église, encadrée par les 4 Évangélistes, reconnaissables à leurs attributs (Lion de saint Marc, Bœuf de saint Luc, Aigle de saint Jean, Ange de saint Matthieu).
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SAINT-JEAN et l’aigle. Le beau drapé du vêtement. Le livre, retenu par la main gauche. La longueur du bras droit. L’aigle qui évoque un volatile domestique. SAINT-MATTHIEU et l'homme-ange. Pièces majeures de ce retable, par la richesse des mouvements et des formes. Les mains : l'une retient fermement le livre, tandis que l'autre montre le texte. L'homme-ange : - richesse de l'aile, appui de la jambe gauche tandis que la droite repliée, présente de curieuses proportions.
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SAINT-GIRONS. St-Girons, à qui cette église est dédiée, est représenté dans la même force baroque. De la main gauche, il tient le Livre sacré rappelant qu'il fut l’évangélisateur de l'Aquitaine. Il est couronné par deux anges. On remarquera la richesse du vêtement, de l'ornementation : bleu, or, rouge.
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SAINT LUC, le taureau. La main droite qui tient le livre, la main gauche à l'envers (position du pouce), le regard, la langue du taureau et le sabot. DIEU dominant l’univers. Force, mouvement de l'élan baroque. Chevelure, barbe, plis des vêtements, main et membres inférieurs : un Dieu en action, débordant de vie. SAINT-MARC et le lion. Le livre entrouvert, le « visage » du lion, sa « crinières-perruque » ornée d’une fleur rouge.
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DIEU dominant l’univers. Force, mouvement de l'élan baroque. Chevelure, barbe, plis des vêtements, main et membres inférieurs : un Dieu en action, débordant de vie. SAINT-MARC et le lion. Le livre entrouvert, le « visage » du lion, sa « crinières-perruque » ornée d’une fleur rouge.
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La Vierge, Jésus et saint Joseph.
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Saint Julien, saint Pierre et saint Girons.
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La chapelle dite de MARCA, ornée d'un retable de style baroque dédié à saint Joseph. Cette chapelle servit, aux XVIIe et XVIIIe siècles de salle de catéchisme c'est là qu'enseigna le frère Louis BITOZ (de l'ordre missionnaire des Barnabites} mort en odeur de sainteté en 1417 ; on pense qu’il y fut enterré. La chapelle s'effondra peu après sa mort et fût relevée en 1618.
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Sainte Adélaïde, saint François d'Assise, sainte Elisabeth.
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Sur la gauche de l'autel principal, on trouve l'autel de la Vierge surmonté d'un retable et d'un calvaire de style breton assez inattendus; on dit qu'au XIXe siècle cet ensemble aurait remplacé l'autel primitif transporté à Rome par les Rédemptoristes.
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La Visitation.
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L'Annonciation.
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La chapelle de BADET. Autel et retable latéral en bois sculpté, doré et peint. Autel droit dont le devant présente des bas-reliefs à motifs du Coeur Sacré de Jésus (au centre) et de cartouches à feuillages ; le retable abondamment orné se compose de deux colonnes torses à enroulement de pampres de vignes et d'accolades également peuplées de motifs végétaux. Le cadre du tableau est de format rectangulaire vertical ; il est surmonté par un large cartouche rocaille. Ensemble réalisé au 17e siècle ou au 18e siècle. ableau et son cadre : Assomption de la Vierge.
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La Vierge, saint Jean et sainte Marie Madeleine au pied de la croix. 18e siècle.
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L'orgue. Il a été commandé le 25 avril 1683 au Sieur Robert DELAUNAY, facteur d'orgues à Toulouse. Le buffet d'orgue qui porte la date de 1684 a été sculpté dans un atelier de Lescar. Seul ce dernier est en l'état d’origine, l'instrument quant à lui a été restauré plusieurs fois : au XVIIIe par MAUROUMEC», au XIXe par Vincent CAVAILLE-COLL et plus près de nous, en 1972 par le facteur PESCE de Pau. Il est toujours utilisé régulièrement pour l'accompagnement des offices religieux ainsi que pour des concerts, l'acoustique de la nef étant excellente.
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Clefs sculptées qui sont réunies, dans la grande nef, par une lierne longitudinale de même profil que les arcs.
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A la base du pilier du fond près d'un bénitier, on peut voir un masque impressionnant représentant probablement un «cagot».
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Le "cagot".
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Un escalier de pierre à vis conduit à la toiture dont la charpente constitue la partie la plus remarquable de l'édifice.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Elle est de dimensions impressionnantes (18 m de hauteur, 50 m de long et 21 m de large). Entièrement en cœur de chêne, sa structure est à double vaisseau dissymétrique renversé. À l’issue d’une longue période de restauration de 20 ans, la charpente conserve près de 80 % de bois de construction d’origine.
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La charpente de l'église Saint-Girons. En forme de carène de vaisseau renversé, toute en cœur de chêne débité à la hache, elle se présente comme une véritable forêt.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Ce chef d'œuvre de charpenterie est-il l'œuvre d'artisans du pays ? Probablement, car Ils étaient habiles en la matière. Vraisemblablement dirigés par un maître d'œuvre venant du nord de la France, ces charpentiers ou «cagots», ont résolu avec une virtuosité extraordinaire les problèmes posés par la hauteur de l'œuvre (16 mètres de flèche) et la dissymétrie des supports (une seule nef latérale).
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Soixante fermes constituent l’ossature de la charpente. Elles s’appuient sur des points situés au-dessus des piliers séparant les deux nefs.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons. La volige repose sur des chevrons de plus de 2 m.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Pour résister aux vents les plus forts, d’innombrables pièces d’assemblage (jambes de force, liens, tenons, mortaises, chevilles, etc.). Les boulons datent de la restauration.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Les lignes de force convergent vers des croix de Saint-André remarquablement alignées sur six niveaux.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Voûte de la nef latérale.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Ponts d'appui des fermes au-dessus des piliers séparant les deux nefs.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Trait de Jupiter. L'assemblage à trait de Jupiter désigne un assemblage qui lie deux morceaux de bois de même section afin d'en faire un plus long. En charpente l'assemblage est constitué d'une partie en biseau, de deux demi queue d'aronde, et d'une paire de clefs en bois qui bloque les deux morceaux à abouter.
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La charpente de l'église Saint-Girons. Trait de Jupiter. L'assemblage à trait de Jupiter désigne un assemblage qui lie deux morceaux de bois de même section afin d'en faire un plus long.
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Face sud de l'église Saint -Girons.
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La Commanderie. La construction de l'hôpital date de 1115-1118. Elle a précédé celle de l'église qui se situe plutôt dans la période 1135-1140. Aujourd'hui, le bâtiment comporte trois niveaux mais au XIIe siècle, le bâtiment primitif ne devait avoir qu'un seul niveau. Les différents appareils de pierres visibles sur la façade occidentale permettent de reconstituer les principales étapes de l'évolution de l'hôpital au fil du temps. En partie basse de la façade, l'appareil soigné en pierres de taille avec quelques galets incorporés correspond au rez-de-chaussée du bâtiment primitif de l'époque de Gaston IV. Il était peu élevé et peu éclairé, avec seulement six ouvertures semblables à des meurtrières. Les pèlerins et autres voyageurs pouvaient y dormir à l'abri et en sécurité. Le deuxième niveau est constitué de huit assises de briques plates surmontées de cailloux mélangés avec d'autres briques et disposés en feuilles de fougères ou arêtes de poisson. Les briques ont été introduites dans l'architecture béarnaise par Gaston Fébus (1331 -1391). Ce dernier a fait venir les tuiliers du pays de Foix pour la construction de ses châteaux (Morlanne, Montaner). Cette donnée permet donc de dater ce niveau du XIVe - XVe siècle. Ce deuxième niveau, plus long de quatre mètres que le premier, comporte deux ouvertures. Il s'agissait probablement d'un grenier pour le stockage des récoltes et des produits des impôts.
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La Commanderie. Le troisième niveau est reconnaissable à son appareil disparate. Il est plus tardif que les deux précédents et reste difficile à dater. Il est probablement antérieur à la révolution française. Il comporte six fenêtres de chaque côté dont une seule est d’origine. Il y a peu d’informations sur ce niveau. L’hypothèse la plus plausible serait l’aménagement de greniers supplémentaires car à l’époque de sa construction, nul besoin de nouveaux dortoirs. Un vieux cimetière où l'ont peut encore voir des stèles discoïdales, ce qui est très rare en Béarn
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La Commanderie. Cet ancien cimetière est situé sur l’emplacement d’un cloître qui était adossé au mur sud de l’église et au mur est de l’hôpital et qui disparut sans doute lors de la Réforme. Entre la Réforme et la Révolution, c’est à dire du temps des Barnabites, un grand nombre de stèles funéraires discoïdales furent érigées en ce lieu. Elles portent parfois un nom qui est celui d’une famille d’Aubertin ou de Lacommande.
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La Commanderie.
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L'église Saint-Blaise, de style roman, date elle aussi du XIIe siècle.
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Le clocher où l'on accède par l'extérieur. Après la Réforme en 1610, les Bernabites trouvèrent un édifice mal en point. Ils entreprirent de la réhabiliter.
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L'église romane présente une nef construite en moellons et éclairée par six fenêtres.
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Le choeur du XIIe en hémicycle et en pierre appareillée est orné à sa base de douze arcatures aveugles romanes et, au-dessus, de trois fenêtres encadrées de colonnettes et archivoltes. Les chapiteaux d'époque romane sont historiés (jongleurs jouant de l'olifant, musiciens, danseuse, sagittaires, oiseaux à tête humaine...).
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Autel et retable en bois sculpté, doré et peint. L'autel est de forme tombeau galbé, il est surmonté d'un gradin et d'un retable constitué par un tabernacle à ailes et à sculptures couronné, flanqué par une paire d'anges adorants sur des consoles. 18e siècle.
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Apparition de la Vierge à Bernadette Soubirous.
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St François d'Assise.
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Bas-côté sud. Autel, tabernacle, retable et tableau : La Cène. Ensemble en bois sculpté, doré et peint avec tableau peint à l'huile sur toile. Tableau de format rectangulaire verticale avec son cadre mouluré accosté de deux colonnes torses à enroulement de pampres de vigne supportant l'entablement à volutes et denticules. Sur la porte du tabernacle est représenté le Christ en croix (relief) avec les instruments de la Passion (gravés) ; elle est encadrée par deux personnages masculins engainés et surmontée d'une draperie et d'une tête d'ange ailé. Le tabernacle porte une balustrade en couronnement courant le long des trois pans. 17e siècle. Statue : Saint Blaise évêque.
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Au nord, une chapelle sur plan carré paraît avoir été établie pour constituer le bras d'un transept. Elle est voûtée sur croisée d'ogives. Autel et retable latéral avec statue, en bois sculpté, doré et peint. Vierge tenant l'Enfant Jésus sur son bras gauche. Celui-ci tient le globe sur sa cuisse gauche et fait le geste de la bénédiction de la main droite. Le retable est composé d'une niche peu profonde encadrée par des colonnes torses à enroulements de pampres de vigne supportant le ressaut de l'entablement et à l'aplomb desquelles se trouvent un fronton triangulaire de chaque côté. Le devant d'autel porte dans un cartouche un bas-relief représentant l'agneau couché sur le livre aux sept sceaux.
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A l'est de la chapelle, sous clocher, s'ouvre une absidiole sur plan demi-octogonal, voûtée en arc de cloître et éclairée par un oculus quintilobé. Fonts baptismaux.
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Fronton de retable entourant une représentation du Père Eternel dans une nuée tenant le globe dans son bras gauche, en bois sculpté, doré et peint.
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L'artiste qui sculpta les chapiteaux de Lacommande est beaucoup moins habile que celui qui oeuvra à Oloron-Sainte-Marie, sans pour autant que l'on puisse en faire un simple artisan. Oiseaux affrontés dans végétation.
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Dispute et réconciliation d'un couple en trois épisodes.
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Dispute et réconciliation d'un couple en trois épisodes.
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Griffons et harpies.
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Griffons et harpies, sirène.
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Entrelacs de végétaux et têtes animales.
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Combat de Centaures.
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Combat de Centaures.
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Lions dans végétation.
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Lions dans végétation.
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Quatre hommes barbus accroupis
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Quatre hommes barbus accroupis
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Quatre singes accroupis.
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Oiseaux picorant des grappes de raisin.
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Chevaliers jouant de l'olifant.
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Chevaliers jouant de l'olifant.
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Chevaliers jouant de l'olifant.
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Musicien et danseuse
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