Les travaux de construction de l'église débutèrent en 1849, sur l'emplacement de l'ancienne chapelle du couvent des Augustins réformés. Le premier architecte a été François Reybaud, auquel succéda l'abbé Guillaume Joseph Pougnet en 1863. Le 22 avril 1855, Mgr de Mazenod bénit la première pierre. La construction fut ralentie par manque de moyen. La fin des travaux sera effective en 1885, et son inauguration aura lieu le 20 septembre 1886.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Elle est de style néo-gothique. La façade présente trois portails. Les deux flèches de l'église s'élèvent à 70 mètres. Très ajourées, elles sont entourées de hauts clochetons d'angle. L'église est dédiée à Saint Vincent de Paul, mais les marseillaiss l'appellent, l'église des Réformés car elle a été édifiée sur les terrains de l'ancienne chapelle des religieux Augustins réformés.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade ouest. La statue de Jeanne d’Arc, créée par Botinelly en 1943, accueille les visiteurs sur le perron.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Photo 2012. Au début des années 30, des fragments d'une des flèches se sont décrochés et sont tombés sur la chaussée tuant un passant. Après cet accident dramatique, il a été décidé de sécuriser l'édifice par une restauration partielle, en 1933. On a enlevé tout ce qui était ornementation, on l’a purgé de tout élément qui dépassait, toutes les gargouilles, tous les griffons, les crochets, on a renforcé avec du béton partout.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Photo 2022. La restauration entreprise fin 2019 porte sur l'extérieur du bâtiment, la toiture, les façades, les flèches, mais aussi la nef et le choeur de l'église. Les ornements, crochets, griffons et gargouilles, supprimés par mesure de sécurité dans les années 30 ont été reproduits à l'identique en pierre du Luberon, à partir de documents et photographies d'époque.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Flèche ouest-sud.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Flèche ouest-sud.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade sud.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade sud.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade sud. Avant rénovation.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade sud. Avant rénovation.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade nord.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade nord.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade nord. Une des trois entrées.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Flèche ouest-nord.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade nord. Tour de l'entrée.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Façade nord.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Statue de Jeanne d'Arc. Par Louis Botinelly. Quatre reliefs décorent son piédestal.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Statue de Jeanne d'Arc. La levée du siège d'Orléans.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Statue de Jeanne d'Arc. Martyre de Jeanne d'Arc.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Statue de Jeanne d'Arc. Sacre de Charles VII.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Statue de Jeanne d'Arc. Jeanne et Charles VII.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
La porte centrale. Sur le trumeau, une Vierge couronnée à l'Enfant qui tient le globe terrestre.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte centrale. Les portes en chêne comportent deux vantaux sculptés, ornés de panneaux en bronze du sculpteur Beillan ou de Caras-Latour
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
La porte centrale. Sur le trumeau, une Vierge couronnée à l'Enfant qui tient le globe terrestre.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte centrale. Les panneaux supérieurs représentent les vertus chrétiennes figurées par des personnages allégoriques avec un bouclier. Ici, Liberté (oiseau et deux couronnes), honneur (la tiare du pape) et Santé (dauphin vigoureux et poissons).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte centrale. Les panneaux inférieurs représentent les vices sous des traits d'animaux. Esclavage (bœuf sous le joug), Honte (porc), Langueur (hibou, cri plaintif).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte centrale. Volupté (rosier fleuri, roses), Force (lion) et Majesté (chêne et sceptres royaux).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte centrale. Douleur (chameau prêt à être chargé), Faiblesse (du mouton qui suit sans réfléchir) et Laideur (chien hargneux).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte de gauche. Réjouissance (ange de la Nativité, Sûreté (muraille et tours).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte de gauche. Lamentation, (âne en train de braire) et Désespoir (léopard blessé).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte de gauche. Concorde (colombe de Noé, rameau), Vélocité (flèches tirées par un Sagittaire).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte de gauche. Discorde (hyène) , Lenteur (écrevisse) .
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte de droite. Beauté (sur le bouclier dragon), Amitié (sur le bouclier tourterelles et colombes).
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Porte de droite. Remords (hyène) , Haine (loup).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte de droite. Sagesse (anges), Puissance (aigle au sceptre).
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Porte de droite. Tristesse (chauve-souris), Impotence (ours enchaîné).
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La nef. L'intérieur est composé d'une nef centrale à six travées et de deux bas-côtés ou collatéraux.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
La nef. Voûte d'ogives avec une clef à la croisée des nervures.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
La nef. Voûte d'ogives avec une clef à la croisée des nervures.
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La nef. Clés de voûtes.
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La nef. Clés de voûtes.
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La nef. Clés de voûtes.
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La nef. Clés de voûtes.
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Le choeur. Clés de voûtes.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Bas-côté gauche. Les deux bas-côtés se terminent par une chapelle car cette église malgré ses dimensions, ne comporte pas de déambulatoire. Au fond, chapelle Notre-Dame de Tout-Pouvoir.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Bas-côté gauche vu du transept.
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Bas-côté droit. Au fond, la chapelle de Saint Vincent de Paul.
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Bas-côté droit vu du transept.
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Voûte des bas-côtés.
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Voûte des bas-côtés.
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Voûte des bas-côtés.
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Voûte au pied des tours.
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Piliers, chapiteaux et ogives.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Piliers, chapiteaux et ogives.
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Piliers, chapiteaux et ogives.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Statue encadrant la porte principale. Sainte Elisabeth de Hongrie. Après la mort de son mari, Louis IV de Thuringe, elle consacre toute sa vie et son argent aux pauvres pour qui elle fait construire un hôpital.
On dit qu'elle portait secrètement du pain aux pauvres d'Eisenach, à pied et seule, ce que réprouvait son mari. Un jour qu'il la rencontra sur son chemin, celui-ci, contrarié, lui demanda ce qu'elle cachait ainsi sous son manteau. Elle lui répondit d'abord que c'étaient des roses, puis, se rétractant, elle lui avoua, pour finir, que c'était du pain, et lorsque son mari lui ordonna alors d'ouvrir son manteau, il n'y trouva que des roses : c'est le miracle de sainte Élisabeth de Hongrie.
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Statue encadrant la porte principale. Saint Nicolas de Tolentino, premier saint patron de la paroisse, protecteur des opprimés, des enfants et des mères.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Saint Eugène de Mazenod (1782-1861)
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Chemin de Croix.
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Chemin de Croix.
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Chemin de Croix.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Chemin de Croix.
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Première chapelle de gauche. Les fonts baptismaux.
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Première chapelle de gauche. Baptistère réalisé par le marbrier Jutes Cantini. Sa cuve repose sur des colonnettes de marbre
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Première chapelle de gauche. Délicates pièces de sculptures en bronze.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Première chapelle de gauche. Délicates pièces de sculptures en bronze.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Première chapelle de gauche. Délicates pièces de sculptures en bronze.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Première chapelle de gauche. Délicates pièces de sculptures en bronze.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Collatéral de gauche. Première chapelle. Amédée Didron entre 1884 et 1885. Le vitrail raconte la vie de Saint Jean-Baptiste. De bas en haut et de gauche à droite : Annonciation à son père Zacharie, la Visitation, le prêche, le baptême des convertis, le baptême du Christ, son arrestation , ?, sa décapitation, la présentation de sa tête à Hérode et Hérodiade, ses funérailles et, en haut, sa mise au tombeau.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Collatéral de gauche. Première chapelle. Amédée Didron entre 1884 et 1885. Le vitrail raconte la vie de Saint Jean-Baptiste. En haut, sa mise au tombeau.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Deuxième chapelle. Chapelle des évangélistes.Gravures du XVIIe siècle représentant les quatre évangélistes : saint Matthieu, saint Marc, saint Luc et saint Jean.
Leurs attributs (l’homme, le lion, le taureau, l’aigle) trouvent leur raison d’être à la lumière de leurs écrits inspirés par l’Esprit Saint.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Deuxième chapelle. Chapelle des évangélistes. Matthieu est représenté par l’homme parce qu’il commence son Evangile par la généalogie du Christ.
Marc est désigné par le lion car dès les premières 6 lignes de son récit, il nous met en présence de la voix de Dieu qui crie dans le désert, semblable au rugissement du lion .
Luc est représenté par le taureau, animal sacrificiel par excellence en raison de l’allusion que l’évangéliste fait au sacrifice offert par Zacharie au Temple de Jérusalem.
Jean est figuré par l’aigle, car son Evangile nous place, dès le prologue, en face du Verbe, « la vraie lumière qui illumine tout homme en venant dans le monde » , l’aigle étant le seul animal à pouvoir regarder le soleil en face.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Deuxième chapelle. Chapelle des évangélistes. Les collatéraux et le chœur sont décorés de verrières à médaillons figuratifs: scènes du Nouveau Testament, les vertus, les béatitudes, les traits principaux de nombreux saints de Provence. Les vitraux ont été réalisés d'après les cartons de l'abbé Pougnet, par le maître-verrier lyonnais Edouard Didron entre 1884 et 1885.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Deuxième chapelle. Chapelle des évangélistes.
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Troisième chapelle. Le lieu d'accueil.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Troisième chapelle. Vie de Saint Nicolas de Myre. A gauche : Annonciation à ses parent, il se tient debout dès son baptême, il distribue la richesse dont il a hérité parmi les pauvres, le miracle des trois vierges, sauvetage des matelots, miracle des blés. A droite : il est fait archevêque de Myre, les persécutions, résurrection de trois enfants, l'empereur voit en songe saint Nicolas qui lui ordonne de relâcher les officiers calomniés.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Troisième chapelle. Vie de Saint Nicolas de Myre.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Quatrième chapelle. Entrée de la crypte.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Quatrième chapelle. La vie de saint Antoine de Padoue. Miracle de la mule s'agenouillant devant le saint sacrement, il ressuscite un enfant noyé, le sermon aux poissons, les prêches de saint Antoine
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Quatrième chapelle. La vie de saint Antoine de Padoue.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Collatéral de gauche. Chapelle de Jean-Paul II.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Collatéral de gauche. Statue de Jean-Paul II. Sur le socle, totus tuus (tout à toi). Jean Paul II avait choisis ces deux mots comme devise épiscopale, puis pontificale. Il les a empruntés à un saint français, Louis Marie Grignon, dit de Montfort, grand évangélisateur de l’ouest de la France au XVIIIe siècle.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Chapelle de Jean-Paul II. Vie de Robert le Pieux ? En bas du vitrail est marqué Constanzia ( Constance d'Arles sa femme) et c'est un don de Monseigneur Louis Robert.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Chapelle de Jean-Paul II. Vie de Robert le Pieux ? En bas du vitrail est marqué Constanzia ( Constance d'Arles sa femme) et c'est un don de Monseigneur Louis Robert.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Collatéral de gauche. 6ème chapelle. Dernière chapelle de gauche avant le transept. Tombeau du chanoine Vidal, initiateur et premier curé de Saint Vincent de Paul en 1848, par Jules Cantini, sur les plans de l'architecte A. Adam, 1894.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Collatéral de gauche. Dernière chapelle de gauche avant le transept. Tombeau du chanoine Vidal, initiateur et premier curé de Saint Vincent de Paul en 1848, par Jules Cantini, sur les plans de l'architecte A. Adam, 1894.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Collatéral de gauche. Dernière chapelle de gauche avant le transept. Tombeau du chanoine Vidal, initiateur et premier curé de Saint Vincent de Paul en 1848, par Jules Cantini, sur les plans de l'architecte A. Adam, 1894.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Collatéral de gauche. Dernière chapelle de gauche avant le transept. Tombeau du chanoine Vidal, initiateur et premier curé de Saint Vincent de Paul en 1848, par Jules Cantini, sur les plans de l'architecte A. Adam, 1894.
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Collatéral de gauche. 6ème chapelle. Au-dessus du tombeau, la maquette en plâtre de la façade de l'église, par l'entrepreneur Gabriel Villetelle, entre 1876 et 1884, afin de motiver les souscriptions en vue de l’achèvement de l’église. .
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Collatéral de gauche. 6ème chapelle. La façade telle qu'elle aurait dû être.
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Collatéral de gauche. 6ème chapelle. La façade telle qu'elle aurait dû être.
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Collatéral de gauche. Dernière chapelle de gauche avant le transept. La vie de saint François d'Assise.
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Collatéral de gauche. Dernière chapelle de gauche avant le transept. La vie de saint François d'Assise. Naissance de saint François, sa conversion religieuse.
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Deuxième médaillon du bas : Sainte Claire d'Assise, disciple de Saint François, fondatrice de l'ordre des Clarsisses. Deuxième médaillon du haut : Saint François reçoit les stigmates.
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Collatéral de gauche. Dernière chapelle de gauche avant le transept. La vie de saint François d'Assise.
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Transept gauche.
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Transept gauche.En 1888, l’église St Vincent-de-Paul s’est dotée d’un grand-orgue symphonique construit par la maison de Joseph MERKLIN de Lyon (Rhône). Cet instrument a la particularité d’être placé dans deux buffets jumeaux qui se font face à chaque extrémité du transept. Ces buffets néo-gothiques ont été dessinés par l’abbé Pougnet et réalisés par la maison Gémy & Fils de Marseille . Ici la partie transept gauche (Evangile) renferme le Grand-orgue, le Positif et une partie de la Pédale.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Transept gauche. La console principale à trois claviers et pédalier est placée de ce côté (grand-orgue). Le grand-orgue fut inauguré en décembre 1888 par Théodore Dubois, compositeur et titulaire de la Madeleine (Paris). En 1912, l’orgue a été restauré par la maison Michel-Merklin & Kuhn de Lyon, successeurs de Merklin depuis 1902 et dirigée alors par Pierre Chenet. Il sera ensuite restauré en 2009 par les facteurs Pierre Saby et Dominique Richaud. Cet important travail a consisté à restaurer et préserver l’orgue de 1888, muet, et à restaurer l’orgue de 1948, en très mauvais état.
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Transept gauche. Saint Jean-Baptiste.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Transept gauche. Les rosaces sont placées au-dessus des trois portails de l'église, ici la rose de la foi.
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Première chapelle de gauche après le transept Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. Piéta du XVIIIème siècle et les outils de la Passion.
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Première chapelle de gauche après le transept Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. Piéta du XVIIIème siècle.
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Première chapelle de gauche après le transept. Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. Autel du Sacré-Coeur.
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Première chapelle de gauche après le transept. Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. Statue du Sacré-Coeur.
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Première chapelle de gauche après le transept. Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. Sur le conseil de soeur Anne-Madeleine Rémuzat (1696 - 1730), religieuse du Premier monastère de la Visitation, Mgr de Belzunce consacre la ville de Marseille au Sacré Coeur.
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Première chapelle de gauche après le transept Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. La célèbre peste de Marseille se déclare en juillet 1720. En octobre, alors que Madeleine Rémuzat est en adoration, le Christ lui fait entendre qu’à la faveur de ce fléau elle verra se réaliser l’institution d’une fête en l’honneur de son Cœur sacré.
Mgr de Belzunce consacre la ville de Marseille au Sacré Coeur.
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Première chapelle de gauche après le transept Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. Le message est transmis à Mgr de Belsunce, qui décide le 1er novembre 1720 de consacrer Marseille et son diocèse au Sacré-Cœur de Jésus.
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Première chapelle de gauche après le transept Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. Vitrail du Jugement dernier. Médaillons du haut vers le bas : Abraham et St Jean ; Ste Marie et St Michel pesant les âmes ; vers le Paradis et vers l'Enfer ; la résurrection ; l'eucharistie qui mène au Paradis et son refus qui mène à l'Enfer.
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Première chapelle de gauche après le transept Chapelle de l'Amour et du Sacré-Coeur. Vitrail du Jugement dernier.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Chapelle de Saint Joseph.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Statue en carton-pierre de Saint Joseph.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Autel de Saint Joseph en marbre blanc. Plusieurs bas-reliefs illustrent l'enfance de Jésus.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Autel de Saint Joseph en marbre blanc. Plusieurs bas-reliefs illustrent l'enfance de Jésus : le mariage de Marie et Joseph ; la Fuite en Egypte.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Autel de Saint Joseph en marbre blanc. Le tabernacle avec des épis de blé et des pampres de vigne.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Autel de Saint Joseph en marbre blanc. Plusieurs bas-reliefs illustrent l'enfance de Jésus : la sainte Famille dans l'atelier de Joseph ; la mort de Joseph.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Un ancien lavabo abritant un petit angelot.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Enfance du Christ. A droite, de bas en haut : la Nativité ; le massacre des innocents ; la fuite en Egypte ; la Sainte Famille dans l'ateler de Joseph ; la mort de Joseph. A gauche de haut en bas : l'annonce à Joseph ; l'Annonciation ; la Vierge Marie ; ?.
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Collatéral de gauche. Huitième chapelle. Enfance du Christ.
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Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. Chapelle de Notre-Dame de Tout-Pouvoir.
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Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. Autel de Notre-Dame de Tout-Pouvoir.
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Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. Autel de Notre-Dame de Tout-Pouvoir.
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Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. En bas : naissance de Marie ; Annonciation ; Crucifixion ; Pentecôte ; Assomption.
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Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. Naissance de Marie ; Annonciation.
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Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. Crucifixion.
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Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. Pentecôte ; Assomption.
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Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. L'arbre de Jessé. Il représente une schématisation de la généalogie de Jésus. Jessé est représenté couché, endormi. De son ventre sort un arbre dont les branches portent les ancêtres supposés de Jésus. De bas en haut, de gauche à droite alternativement : David, Salomon, Roboam, Abia, Asa, Josaphat ?, Ozias, Jotham, Ezéchias, Manassé, Josias, St Joseph. Médailon du haut : Marie et Jésus.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Chapelle de l'abside du bas-coté gauche. L'arbre de Jessé. Médailon du haut : Marie et Jésus couronnés.
