<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
78
<center>L'église de La Trinité. </center> La coupole à la croisée du transept, éclairée par huit fenêtres, avec au centre le triangle représentant la Sainte trinité. Dans les pendentifs, les allégories des quatre évangélistes.
L'église de La Trinité.
La coupole à la croisée du transept, éclairée par huit fenêtres, avec au centre le triangle représentant la Sainte trinité. Dans les pendentifs, les allégories des quatre évangélistes.
79
<center>L'église de La Trinité. </center> L'aigle de saint Jean.
L'église de La Trinité.
L'aigle de saint Jean.
80
<center>L'église de La Trinité. </center> L'homme de saint Mathieu.
L'église de La Trinité.
L'homme de saint Mathieu.
81
<center>L'église de La Trinité. </center> Le taureau de saint Luc.
L'église de La Trinité.
Le taureau de saint Luc.
82
<center>L'église de La Trinité. </center> Le lion de saint Marc.
L'église de La Trinité.
Le lion de saint Marc.
83
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
84
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
85
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
86
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
87
<center>L'église de La Trinité. </center> Le Christ.
L'église de La Trinité.
Le Christ.
88
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
89
<center>L'église de La Trinité. </center> Saint Augustin.
L'église de La Trinité.
Saint Augustin.
90
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
91
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
92
<center>L'église de La Trinité. </center> saint Nicolas.
L'église de La Trinité.
saint Nicolas.
93
<center>L'église de La Trinité. </center> Saint Louis.
L'église de La Trinité.
Saint Louis.
94
<center>L'église de La Trinité. </center> Statues de plâtre et de carton-pierre de la nef de droite.
L'église de La Trinité.
Statues de plâtre et de carton-pierre de la nef de droite.
95
<center>L'église de La Trinité. </center> La nef de droite. Chapelle des âmes du purgatoire. Cette chapelle édifiée en 1828 est située en face de celle des fonts baptismaux. Au centre un autel en marbre est surmonté d'une statue en carton-pierre représentant l'archange saint Michel. A gauche saint Gabriel et à droite saint Raphaël délivrant les âmes des défunts.
L'église de La Trinité.
La nef de droite. Chapelle des âmes du purgatoire. Cette chapelle édifiée en 1828 est située en face de celle des fonts baptismaux. Au centre un autel en marbre est surmonté d'une statue en carton-pierre représentant l'archange saint Michel. A gauche saint Gabriel et à droite saint Raphaël délivrant les âmes des défunts.
96
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle des âmes du purgatoire. Au centre un autel en marbre est surmonté d'une statue en carton-pierre représentant l'archange saint Michel. Sur le mur du fond se trouvent deux toiles marouflées en provenance des ateliers Théo Mayan représentant à gauche saint Gabriel portant un calice et à droite saint Raphaël enveloppant un enfant, qui symbolise une âme, de son bras.
L'église de La Trinité.
Chapelle des âmes du purgatoire. Au centre un autel en marbre est surmonté d'une statue en carton-pierre représentant l'archange saint Michel. Sur le mur du fond se trouvent deux toiles marouflées en provenance des ateliers Théo Mayan représentant à gauche saint Gabriel portant un calice et à droite saint Raphaël enveloppant un enfant, qui symbolise une âme, de son bras.
97
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle des âmes du purgatoire. Statue en carton-pierre représentant l'archange saint Michel foulant au pied un démon et tenant de la main gauche une épée symbole du jugement et de la droite une balance symbole de la justice.
L'église de La Trinité.
Chapelle des âmes du purgatoire. Statue en carton-pierre représentant l'archange saint Michel foulant au pied un démon et tenant de la main gauche une épée symbole du jugement et de la droite une balance symbole de la justice.
98
<center>L'église de La Trinité. </center> Saint Louis avec la couronne d'épines.
L'église de La Trinité.
Saint Louis avec la couronne d'épines.
99
<center>L'église de La Trinité. </center> Au-dessus de l'accueil est accroché un tableau de Jean-Joseph Dassy représentant la mise au tombeau : huit personnes entourent le corps du Christ avec au centre la Vierge entourée de Marie Jacobé, Marie-Salomé et Jeanne, femme de Chouza, intendant d'Hérode. À droite des femmes se tient Joseph d'Arimathie et à gauche Nicodème ; Marie-Madeleine soutient la tête du Christ et saint Jean, de dos, porte les jambes. Le vase d'aromates est posé en bas à droite du tableau
L'église de La Trinité.
Au-dessus de l'accueil est accroché un tableau de Jean-Joseph Dassy représentant la mise au tombeau : huit personnes entourent le corps du Christ avec au centre la Vierge entourée de Marie Jacobé, Marie-Salomé et Jeanne, femme de Chouza, intendant d'Hérode. À droite des femmes se tient Joseph d'Arimathie et à gauche Nicodème ; Marie-Madeleine soutient la tête du Christ et saint Jean, de dos, porte les jambes. Le vase d'aromates est posé en bas à droite du tableau
100
<center>L'église de La Trinité. </center> Descente de Croix, artiste anonyme du XIXème siècle, remplacée par la mise au tombeau.
L'église de La Trinité.
Descente de Croix, artiste anonyme du XIXème siècle, remplacée par la mise au tombeau.
101
<center>L'église de La Trinité. </center> Saint Christophe de Lycie, représenté en pagne, sortant des eaux, portant l’enfant Jésus sur ses épaules, avec son bâton fleuri à la main. Statue petite-nature, en plâtre-stuc de Paris. Origine : « La statue religieuse », Paris,  entre 1921 et 1932, acquise probablement à l’occasion de la restauration de l’église en 1929-1932.
L'église de La Trinité.
Saint Christophe de Lycie, représenté en pagne, sortant des eaux, portant l’enfant Jésus sur ses épaules, avec son bâton fleuri à la main. Statue petite-nature, en plâtre-stuc de Paris. Origine : « La statue religieuse », Paris, entre 1921 et 1932, acquise probablement à l’occasion de la restauration de l’église en 1929-1932.
102
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de l'ordre de la Très Sainte Trinité. Au fond de cette chapelle se trouve un tableau de Théophile Henri Mayan dit Théo Mayan, représentant Saint Jean de Matha et saint Félix de Valois.
L'église de La Trinité.
Chapelle de l'ordre de la Très Sainte Trinité. Au fond de cette chapelle se trouve un tableau de Théophile Henri Mayan dit Théo Mayan, représentant Saint Jean de Matha et saint Félix de Valois.
103
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de l'ordre de la Très Sainte Trinité. L'autel en marbre, dédié à saint Félix de Valois, provient des ateliers Félix Galinier. C'est un don de la famille Denans en mémoire du chirurgien militaire Félix Denans. Sur l'autel est placée une statue de saint Jean de Matha. Sur l'antependium de l'autel sont gravées deux croix des Trinitaires et un blason avec les cerfs.
L'église de La Trinité.
Chapelle de l'ordre de la Très Sainte Trinité. L'autel en marbre, dédié à saint Félix de Valois, provient des ateliers Félix Galinier. C'est un don de la famille Denans en mémoire du chirurgien militaire Félix Denans. Sur l'autel est placée une statue de saint Jean de Matha. Sur l'antependium de l'autel sont gravées deux croix des Trinitaires et un blason avec les cerfs.
104
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de l'ordre de la Très Sainte Trinité. Tableau de Théophile Henri Mayan dit Théo Mayan, représentant Saint Jean de Matha et saint Félix de Valois, fondateurs de l'ordre des Trinitaires et portant sur la poitrine la croix rouge et bleue, implorant à genoux une Vierge à l'Enfant figurée en haut du tableau. Entre les deux, un ange ailé tient dans sa main gauche une bourse renfermant l'offrande des deux saints et désigne la Vierge de la droite. Au sol est représentée une chaîne brisée, symbole de la libération des captifs. Le cerf, situé en bas à droite avec une croix entre les bois, rappelle que les deux saints furent témoins de l'apparition d'un tel animal venant s'abreuver à une fontaine située auprès d'eux.
L'église de La Trinité.
Chapelle de l'ordre de la Très Sainte Trinité. Tableau de Théophile Henri Mayan dit Théo Mayan, représentant Saint Jean de Matha et saint Félix de Valois, fondateurs de l'ordre des Trinitaires et portant sur la poitrine la croix rouge et bleue, implorant à genoux une Vierge à l'Enfant figurée en haut du tableau. Entre les deux, un ange ailé tient dans sa main gauche une bourse renfermant l'offrande des deux saints et désigne la Vierge de la droite. Au sol est représentée une chaîne brisée, symbole de la libération des captifs. Le cerf, situé en bas à droite avec une croix entre les bois, rappelle que les deux saints furent témoins de l'apparition d'un tel animal venant s'abreuver à une fontaine située auprès d'eux.
105
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de l'ordre de la Très Sainte Trinité.
L'église de La Trinité.
Chapelle de l'ordre de la Très Sainte Trinité.
106
<center>L'église de La Trinité. </center> Statue de saint François de Sales, représenté en tenue ecclésiastique, montrant son livre « L’introduction à la vie dévote ». Statue petite-nature, en carton romain comprimé. Origine : « La statue religieuse », Paris, entre 1921 et 1932, acquise probablement à l’occasion de la restauration de 1929-1932.
L'église de La Trinité.
Statue de saint François de Sales, représenté en tenue ecclésiastique, montrant son livre « L’introduction à la vie dévote ». Statue petite-nature, en carton romain comprimé. Origine : « La statue religieuse », Paris, entre 1921 et 1932, acquise probablement à l’occasion de la restauration de 1929-1932.
107
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle saint Antoine de Padoue, édifiée en 1828 et restaurée en 1898.
Chancel et autel en marbre et plaquage polychrome : marbrerie Félix Galinier & Fils — 1886. Autel dédié à saint François-Xavier et à saint Antoine de Padoue - don de Mlle Marie-Louise Blanchet et de son frère.
Christogramme du Saint-Nom de Jésus, IHS, gravé en intaille sur l’antependium de l'autel, signe cher aux Franciscains et aux Jésuites, avec la sentence latine : «saint François-Xavier, apôtre des Indes, priez pour nous. »
L'église de La Trinité.
Chapelle saint Antoine de Padoue, édifiée en 1828 et restaurée en 1898. Chancel et autel en marbre et plaquage polychrome : marbrerie Félix Galinier & Fils — 1886. Autel dédié à saint François-Xavier et à saint Antoine de Padoue - don de Mlle Marie-Louise Blanchet et de son frère. Christogramme du Saint-Nom de Jésus, IHS, gravé en intaille sur l’antependium de l'autel, signe cher aux Franciscains et aux Jésuites, avec la sentence latine : «saint François-Xavier, apôtre des Indes, priez pour nous. »
108
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle saint Antoine de Padoue. Retable en marbre rose de style grec (Ateliers de Jules Cantini —1898.) Inscription en latin : « L’Univers entier vous adresse ses prières. »
Statue en plâtre peint polychrome, fin XIXème siècle, apportée en procession par les tertiaires Franciscains le 25 janvier 1898. Statue représentant saint Antoine de Padoue embrassant l'Enfant Jésus assis sur le livre qu'il tient de la main droite.
L'église de La Trinité.
Chapelle saint Antoine de Padoue. Retable en marbre rose de style grec (Ateliers de Jules Cantini —1898.) Inscription en latin : « L’Univers entier vous adresse ses prières. » Statue en plâtre peint polychrome, fin XIXème siècle, apportée en procession par les tertiaires Franciscains le 25 janvier 1898. Statue représentant saint Antoine de Padoue embrassant l'Enfant Jésus assis sur le livre qu'il tient de la main droite.
109
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
110
<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
111
<center>L'église de La Trinité. </center> Le tronc de l’œuvre du Pain de saint Antoine. « L'Œuvre du Pain de saint Antoine » consiste à offrir, pour les pauvres, une aumône, surtout du pain, en échange de laquelle on demande à saint Antoine une faveur ou une grâce spéciale. Le Pain des pauvres se réfère à un épisode reporté par la Legenda Rigaldina, la plus ancienne biographie de saint Antoine. Une mère padouane, qui vécut aux alentours de la basilique en construction, laissa Tommasino, son fils de 20 mois, seul dans la cuisine. L'enfant, en jouant, tomba la tête la première dans une cuvette d'eau. La mère le retrouve sans vie. Elle cria désespérée mais rien n'a changé. Puis elle invoqua le Saint. Elle fit un vœu : si elle obtenait la grâce, elle donnerait aux pauvres tant de pain que le poids de l'enfant. Elle fut exaucée. Depuis, la coutume d'offrir une aumône contre une faveur obtenue s'est alors répandue en Europe.
En France, Louise Bouffier, habitante de Toulon, raviva cette pratique en 1890. Un jour, alors qu'elle ne parvenait pas à ouvrir la porte de son magasin, un serrurier lui suggère de défoncer la porte. Cependant, Louise Bouffier le retint et après avoir prié saint Antoine, lui proposa d'essayer une autre clé et promit à saint Antoine autant de pain qu'elle le pourrait s'il lui permettait d'ouvrir sa porte. C'est ainsi que l'œuvre du Pain des pauvres a commencé et s'est propagée en France. Menuiserie, bois taillé, peint et doré. Fin du XIXe siècle, probablement après l’édification de la chapelle saint Antoine en 1898.
L'église de La Trinité.
Le tronc de l’œuvre du Pain de saint Antoine. « L'Œuvre du Pain de saint Antoine » consiste à offrir, pour les pauvres, une aumône, surtout du pain, en échange de laquelle on demande à saint Antoine une faveur ou une grâce spéciale. Le Pain des pauvres se réfère à un épisode reporté par la Legenda Rigaldina, la plus ancienne biographie de saint Antoine. Une mère padouane, qui vécut aux alentours de la basilique en construction, laissa Tommasino, son fils de 20 mois, seul dans la cuisine. L'enfant, en jouant, tomba la tête la première dans une cuvette d'eau. La mère le retrouve sans vie. Elle cria désespérée mais rien n'a changé. Puis elle invoqua le Saint. Elle fit un vœu : si elle obtenait la grâce, elle donnerait aux pauvres tant de pain que le poids de l'enfant. Elle fut exaucée. Depuis, la coutume d'offrir une aumône contre une faveur obtenue s'est alors répandue en Europe. En France, Louise Bouffier, habitante de Toulon, raviva cette pratique en 1890. Un jour, alors qu'elle ne parvenait pas à ouvrir la porte de son magasin, un serrurier lui suggère de défoncer la porte. Cependant, Louise Bouffier le retint et après avoir prié saint Antoine, lui proposa d'essayer une autre clé et promit à saint Antoine autant de pain qu'elle le pourrait s'il lui permettait d'ouvrir sa porte. C'est ainsi que l'œuvre du Pain des pauvres a commencé et s'est propagée en France. Menuiserie, bois taillé, peint et doré. Fin du XIXe siècle, probablement après l’édification de la chapelle saint Antoine en 1898.
112
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle du Sacré-Cœur de Jésus. A Marseille, le culte du Sacré-Cœur de Jésus est étroitement lié au souvenir de la grande peste de 1720. Il commémore le « vœu des échevins » qui acceptèrent de consacrer Marseille pestiférée au Sacré-Cœur de Jésus, suivant le désir de l’évêque Monseigneur de Belsunce, inspiré par Sr Anne-Madeleine Rémuzat, sœur de la Visitation.
L'église de La Trinité.
Chapelle du Sacré-Cœur de Jésus. A Marseille, le culte du Sacré-Cœur de Jésus est étroitement lié au souvenir de la grande peste de 1720. Il commémore le « vœu des échevins » qui acceptèrent de consacrer Marseille pestiférée au Sacré-Cœur de Jésus, suivant le désir de l’évêque Monseigneur de Belsunce, inspiré par Sr Anne-Madeleine Rémuzat, sœur de la Visitation.
113
<center>L'église de La Trinité. </center> Le curé d'Ars.
L'église de La Trinité.
Le curé d'Ars.
114
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle du Sacré-Cœur de Jésus. Statue en carton-pierre doré peint polychrome (Ateliers Galard - Statuaire Marseille - dernier quart du siècle).
Autel, don de Mlle Eugénie Armand (1815-1902)
Chancel et autel en marbre et plaquage polychrome  marbrerie Félix Galinier & Fils - 1886), gravé en intaille sur le tombeau de l’autel avec la sentence latine : « Cœur-Sacré de Jésus rassasié d'opprobre aie pitié nous. »
L'église de La Trinité.
Chapelle du Sacré-Cœur de Jésus. Statue en carton-pierre doré peint polychrome (Ateliers Galard - Statuaire Marseille - dernier quart du siècle). Autel, don de Mlle Eugénie Armand (1815-1902) Chancel et autel en marbre et plaquage polychrome marbrerie Félix Galinier & Fils - 1886), gravé en intaille sur le tombeau de l’autel avec la sentence latine : « Cœur-Sacré de Jésus rassasié d'opprobre aie pitié nous. »
115
<center>L'église de La Trinité. </center> Statue de Sainte Marie-Madeleine en pleurs au pied de la Croix. Socle et Statue en carton-pierre polychrome. Date : fin 19e - début 20e siècle, avant 1921. Née à Magdala (d'où son nom) elle s'attache à Jésus qui lui pardonne sa vie dissolue.
Elle est au pied de la croix au Calvaire, près de saint Jean et de la Vierge Marie, la mère de Jésus. C'est ainsi qu'elle est représentée ici, avec à ses pieds le pot d'aromates pour l'embaumement du corps. Selon la tradition provençale les saintes femmes auraient débarqué à Marseille, en 42, après la persécution d'Hérode; accompagnées de quelques autres disciples. Puis Marie-Madeleine se serait retirée dans le massif de la Sainte-Baume, où elle aurait vécu en ermite les trente dernières années de sa vie. A sa mort, elle aurait été ensevelie à Saint-Maximin.
L'église de La Trinité.
Statue de Sainte Marie-Madeleine en pleurs au pied de la Croix. Socle et Statue en carton-pierre polychrome. Date : fin 19e - début 20e siècle, avant 1921. Née à Magdala (d'où son nom) elle s'attache à Jésus qui lui pardonne sa vie dissolue. Elle est au pied de la croix au Calvaire, près de saint Jean et de la Vierge Marie, la mère de Jésus. C'est ainsi qu'elle est représentée ici, avec à ses pieds le pot d'aromates pour l'embaumement du corps. Selon la tradition provençale les saintes femmes auraient débarqué à Marseille, en 42, après la persécution d'Hérode; accompagnées de quelques autres disciples. Puis Marie-Madeleine se serait retirée dans le massif de la Sainte-Baume, où elle aurait vécu en ermite les trente dernières années de sa vie. A sa mort, elle aurait été ensevelie à Saint-Maximin.
116
<center>L'église de La Trinité. </center> Statue de saint Clair. Statuepetite-nature, en carton- pierre doré peint polychrome (Ateliers Raymond Galant - Statuaire Marseille - dernier quart du 19e siècle). La dévotion à Saint Clair est bien ancrée dans la tradition Provençale. A Marseille il est le patron de la Corporation des Maîtres-Tailleurs en confection qui fut érigée en 1665. Les « ouvrières de l’aiguille » (tailleuses, couturières, petites mains, modistes, corsetières, fleuristes, repasseuses) avaient soin de garder en bon état leurs yeux dont elles se servaient pour leur travail quotidien. A Marseille quand l’une d'entre elles cherchait une aiguille, ou un dé à coudre, elle récitait cette expression : »San Clar mi duerbe la viste», c'est-à-dire « Saint Clair ouvre moi la vue !».
L'église de La Trinité.
Statue de saint Clair. Statuepetite-nature, en carton- pierre doré peint polychrome (Ateliers Raymond Galant - Statuaire Marseille - dernier quart du 19e siècle). La dévotion à Saint Clair est bien ancrée dans la tradition Provençale. A Marseille il est le patron de la Corporation des Maîtres-Tailleurs en confection qui fut érigée en 1665. Les « ouvrières de l’aiguille » (tailleuses, couturières, petites mains, modistes, corsetières, fleuristes, repasseuses) avaient soin de garder en bon état leurs yeux dont elles se servaient pour leur travail quotidien. A Marseille quand l’une d'entre elles cherchait une aiguille, ou un dé à coudre, elle récitait cette expression : »San Clar mi duerbe la viste», c'est-à-dire « Saint Clair ouvre moi la vue !».
117
<center>L'église de La Trinité. </center> Transept droit. Une tribune édifiée en 1862 est ornée de deux bustes représentant des saints liés à la musique sacrée. À gauche le roi David. À droite, le pape saint Grégoire le Grand. En dessous de cette tribune et à gauche se trouve un confessionnal néo-classique.
L'église de La Trinité.
Transept droit. Une tribune édifiée en 1862 est ornée de deux bustes représentant des saints liés à la musique sacrée. À gauche le roi David. À droite, le pape saint Grégoire le Grand. En dessous de cette tribune et à gauche se trouve un confessionnal néo-classique.
118
<center>L'église de La Trinité. </center> Le roi David à qui est traditionnellement attribuée l'écriture des psaumes : sur le piédestal sont gravées une harpe et une colombe du Saint-Esprit.
L'église de La Trinité.
Le roi David à qui est traditionnellement attribuée l'écriture des psaumes : sur le piédestal sont gravées une harpe et une colombe du Saint-Esprit.
119
<center>L'église de La Trinité. </center> Le pape saint Grégoire le Grand à qui on a attribué la création du chant grégorien : sur le piédestal sont gravés un pupitre, un instrument de musique, un livre, une plume, les clés de saint Pierre et la colombe du Saint-Esprit.
L'église de La Trinité.
Le pape saint Grégoire le Grand à qui on a attribué la création du chant grégorien : sur le piédestal sont gravés un pupitre, un instrument de musique, un livre, une plume, les clés de saint Pierre et la colombe du Saint-Esprit.
120
<center>L'église de La Trinité. </center> Confessionnal néo-baroque. Style éclectique néo-classique seconde moitié du XIXème siècle. L'industrialisation de la menuiserie dans la seconde moitié du XIXème siècle, permet de faire un mobilier de style à bas prix et à rendement intéressant. Les meubles se parent donc d'une grande quantité d'ornements et sont souvent esthétiquement lourds (ici frise de rinceaux, fronton orné d’angelots dans la nuée, grille et crucifix en bois tourné, pilastres surmontés de chapiteaux et larges corniches débordantes).
L'église de La Trinité.
Confessionnal néo-baroque. Style éclectique néo-classique seconde moitié du XIXème siècle. L'industrialisation de la menuiserie dans la seconde moitié du XIXème siècle, permet de faire un mobilier de style à bas prix et à rendement intéressant. Les meubles se parent donc d'une grande quantité d'ornements et sont souvent esthétiquement lourds (ici frise de rinceaux, fronton orné d’angelots dans la nuée, grille et crucifix en bois tourné, pilastres surmontés de chapiteaux et larges corniches débordantes).
121
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de la Vierge. À l'entrée de cette chapelle se trouvent à gauche une statue de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, et à droite une statue de sainte Rita de Cascia. Statue de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus revêtue de son habit de carmélite tenant dans ses mains un crucifix et faisant tomber des roses. Plâtre polychrome, probablement entre 1923 et 1925.
L'église de La Trinité.
Chapelle de la Vierge. À l'entrée de cette chapelle se trouvent à gauche une statue de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, et à droite une statue de sainte Rita de Cascia. Statue de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus revêtue de son habit de carmélite tenant dans ses mains un crucifix et faisant tomber des roses. Plâtre polychrome, probablement entre 1923 et 1925.
122
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de la Vierge. Statue de sainte Rita de Cascia, petite-nature (h. 125 cm), en carton-plâtre peint polychrome - origine : Ateliers Galant - Statuaire Marseille - dernier quart du XIXe siècle. Elle porte le stigmate de l’épine qu’elle reçut en 1422, lors d’une expérience mystique. La manière dont elle vécut les événements de sa vie conjugale, maternelle et religieuse fait qu'elle est invoquée tout particulièrement dans les situations difficiles, voire « désespérées ». Elle a été canonisée par le pape Léon XIII, le 24 mai 1900.
L'église de La Trinité.
Chapelle de la Vierge. Statue de sainte Rita de Cascia, petite-nature (h. 125 cm), en carton-plâtre peint polychrome - origine : Ateliers Galant - Statuaire Marseille - dernier quart du XIXe siècle. Elle porte le stigmate de l’épine qu’elle reçut en 1422, lors d’une expérience mystique. La manière dont elle vécut les événements de sa vie conjugale, maternelle et religieuse fait qu'elle est invoquée tout particulièrement dans les situations difficiles, voire « désespérées ». Elle a été canonisée par le pape Léon XIII, le 24 mai 1900.
123
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de la Vierge. ou Chapelle de Notre-Dame du Bon-Remède. En 1845, avec l’aide de la ville, M. Symphorien Pontier, curé de la paroisse, fit transformer la sacristie en chapelle de la Vierge. Depuis lors, la sainte vierge Marie y est vénérée, sous différents vocables : d’abord Notre-Dame de la Victoire, puis Notre-Dame du Sacré-Cœur, puis Notre-Dame du Bon-Remède, en souvenir de l’Ordre de la Très Sainte Trinité. Monogramme de Marie en stuc, entre deux anges, au-dessus de la niche.
L'église de La Trinité.
Chapelle de la Vierge. ou Chapelle de Notre-Dame du Bon-Remède. En 1845, avec l’aide de la ville, M. Symphorien Pontier, curé de la paroisse, fit transformer la sacristie en chapelle de la Vierge. Depuis lors, la sainte vierge Marie y est vénérée, sous différents vocables : d’abord Notre-Dame de la Victoire, puis Notre-Dame du Sacré-Cœur, puis Notre-Dame du Bon-Remède, en souvenir de l’Ordre de la Très Sainte Trinité. Monogramme de Marie en stuc, entre deux anges, au-dessus de la niche.
124
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de la Vierge. ou Chapelle de Notre-Dame du Bon-Remède. Jésus donne une bourse à Jean de Matha pour la libération des chrétiens captifs des Barbaresques.
L'église de La Trinité.
Chapelle de la Vierge. ou Chapelle de Notre-Dame du Bon-Remède. Jésus donne une bourse à Jean de Matha pour la libération des chrétiens captifs des Barbaresques.
125
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de la Vierge. ou Chapelle de Notre-Dame du Bon-Remède. C’est par l'intercession de la Vierge que Jean de Matha obtint l’argent nécessaire à la libération des chrétiens captifs des Barbaresques. C’est ce que signifie la bourse que tient la Vierge : elle intercède auprès de son Fils pour nous libérer de tout ce qui nous tient captifs. Statue de Notre-Dame du Bon-Remède en carton-pierre polychrome et doré (atelier des Clarisses capucines d’Aix-en-Provence - dernier quart du XIXème siècle.) Don des Capucines à leur départ. Restaurée en 2016 grâce à la générosité de multiples donateurs.
L'église de La Trinité.
Chapelle de la Vierge. ou Chapelle de Notre-Dame du Bon-Remède. C’est par l'intercession de la Vierge que Jean de Matha obtint l’argent nécessaire à la libération des chrétiens captifs des Barbaresques. C’est ce que signifie la bourse que tient la Vierge : elle intercède auprès de son Fils pour nous libérer de tout ce qui nous tient captifs. Statue de Notre-Dame du Bon-Remède en carton-pierre polychrome et doré (atelier des Clarisses capucines d’Aix-en-Provence - dernier quart du XIXème siècle.) Don des Capucines à leur départ. Restaurée en 2016 grâce à la générosité de multiples donateurs.
126
<center>L'église de La Trinité. </center> Chapelle de la Vierge. ou Chapelle de Notre-Dame du Bon-Remède. Autel votif dédié à la Vierge Marie, en marbre de Carrare, 1845. Monogramme de Marie en bas-relief sur l’antependium de l'autel.
L'église de La Trinité.
Chapelle de la Vierge. ou Chapelle de Notre-Dame du Bon-Remède. Autel votif dédié à la Vierge Marie, en marbre de Carrare, 1845. Monogramme de Marie en bas-relief sur l’antependium de l'autel.
127
<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. La cuve, de plan hexagonal, est décorée de cinq bas-reliefs représentant la Sainte-Trinité et les quatre évangélistes. L'abat-voix est surmonté d'un globe avec une croix autour de laquelle voltigent des angelots.
L'église de La Trinité.
La chaire. La cuve, de plan hexagonal, est décorée de cinq bas-reliefs représentant la Sainte-Trinité et les quatre évangélistes. L'abat-voix est surmonté d'un globe avec une croix autour de laquelle voltigent des angelots.
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<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. La cuve, de plan hexagonal, est ornée de cinq bas-reliefs en bois sculpté représentant les quatre Evangélistes, et la Sainte Trinité
L'église de La Trinité.
La chaire. La cuve, de plan hexagonal, est ornée de cinq bas-reliefs en bois sculpté représentant les quatre Evangélistes, et la Sainte Trinité
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<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. L'abat-voix est surmonté d'un globe avec une croix autour de laquelle voltigent des angelots.
L'église de La Trinité.
La chaire. L'abat-voix est surmonté d'un globe avec une croix autour de laquelle voltigent des angelots.
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<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. L'abat-voix est surmonté d'un globe avec une croix autour de laquelle voltigent des angelots. L'abat-voix est orné d'une colombe.
L'église de La Trinité.
La chaire. L'abat-voix est surmonté d'un globe avec une croix autour de laquelle voltigent des angelots. L'abat-voix est orné d'une colombe.
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<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. Sur la porte, Saint Marc.
L'église de La Trinité.
La chaire. Sur la porte, Saint Marc.
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<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. Saint Mathieu.
L'église de La Trinité.
La chaire. Saint Mathieu.
133
<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. La Sainte Trinité : Jésus, à gauche, l'Esprit Saint sous la forme d'une colombe au centre, et à droite, Dieu le Père.
L'église de La Trinité.
La chaire. La Sainte Trinité : Jésus, à gauche, l'Esprit Saint sous la forme d'une colombe au centre, et à droite, Dieu le Père.
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<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. Saint Jean.
L'église de La Trinité.
La chaire. Saint Jean.
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<center>L'église de La Trinité. </center> La chaire. Saint Luc.
L'église de La Trinité.
La chaire. Saint Luc.
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<center>L'église de La Trinité. </center> Les grandes Orgues, 1837, qui se trouvent en tribune, au fond de la grand-nef.
L'église de La Trinité.
Les grandes Orgues, 1837, qui se trouvent en tribune, au fond de la grand-nef.
137
<center>L'église de La Trinité. </center> Les grandes Orgues. C'est en 1837 que fut commandé au facteur lyonnais Augustin Zeiger un instrument de 43 jeux sur quatre claviers manuels. Cet instrument fut béni le 29 novembre 1838 par Mgr de Mazenod. Le 26 octobre 1899, un nouvel instrument est béni par le père abbé des Bénédictins de Sainte-Marie Madeleine, sorti de la maison Mader Arnaud et Vignolo. Un buffet neuf est réalisé par le menuisier local Eymond, sur les plans de l'architecte Louis Bérengier (1855 — 1930).
L'église de La Trinité.
Les grandes Orgues. C'est en 1837 que fut commandé au facteur lyonnais Augustin Zeiger un instrument de 43 jeux sur quatre claviers manuels. Cet instrument fut béni le 29 novembre 1838 par Mgr de Mazenod. Le 26 octobre 1899, un nouvel instrument est béni par le père abbé des Bénédictins de Sainte-Marie Madeleine, sorti de la maison Mader Arnaud et Vignolo. Un buffet neuf est réalisé par le menuisier local Eymond, sur les plans de l'architecte Louis Bérengier (1855 — 1930).
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<center>L'église de La Trinité. </center> Les grandes Orgues.  En 1931, les établissements Michel Merklin A Kuhn réalisent d'importants travaux de modernisation avec une nouvelle console. L'instrument sera béni par Mgr Dubourg le jeudi 20 octobre 1932. En 1949 une reconstruction est décidée, effectuée par Jacquot-Lavergne, conservant la majeure partie du matériel avec installation de l'imposante console électrique actuelle, ainsi que la réunion des deux buffets par une large plate-face centrale qui masque de nouveau la rosace.
L'église de La Trinité.
Les grandes Orgues. En 1931, les établissements Michel Merklin A Kuhn réalisent d'importants travaux de modernisation avec une nouvelle console. L'instrument sera béni par Mgr Dubourg le jeudi 20 octobre 1932. En 1949 une reconstruction est décidée, effectuée par Jacquot-Lavergne, conservant la majeure partie du matériel avec installation de l'imposante console électrique actuelle, ainsi que la réunion des deux buffets par une large plate-face centrale qui masque de nouveau la rosace.
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<center>L'église de La Trinité. </center> La nef est éclairée par des vitraux placés dans des fenêtres hautes. Côté gauche.
L'église de La Trinité.
La nef est éclairée par des vitraux placés dans des fenêtres hautes. Côté gauche.
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<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
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<center>L'église de La Trinité. </center>
L'église de La Trinité.
142
<center>L'église de La Trinité. </center> Saint Stanislas Kostka, né le 28 octobre 1550 à Rostkowo (Pologne) et mort le 15 août 1568 à Rome, est un novice jésuite polonais.
L'église de La Trinité.
Saint Stanislas Kostka, né le 28 octobre 1550 à Rostkowo (Pologne) et mort le 15 août 1568 à Rome, est un novice jésuite polonais.
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<center>L'église de La Trinité. </center> Saint Joseph et Jésus.
L'église de La Trinité.
Saint Joseph et Jésus.
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<center>L'église de La Trinité. </center> Vitrail de droite. Allégorie de la peste de 1720 : Mgr Belsunce avec Marseille, sous la forme d'une femme couronnée, avec un mort sur les genoux ? En haut, le Sacré-Coeur.
L'église de La Trinité.
Vitrail de droite. Allégorie de la peste de 1720 : Mgr Belsunce avec Marseille, sous la forme d'une femme couronnée, avec un mort sur les genoux ? En haut, le Sacré-Coeur.
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<center>L'église de La Trinité. </center> Saint Bernard de Menthon ?
L'église de La Trinité.
Saint Bernard de Menthon ?
146
<center>L'église de La Trinité. </center> Saint Michel.
L'église de La Trinité.
Saint Michel.
147
<center>L'église de La Trinité. </center> L'Annonciation.
L'église de La Trinité.
L'Annonciation.
148
<center>L'église de La Trinité. </center>Le pape Honorius III ?
L'église de La Trinité.
Le pape Honorius III ?
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<center>L'église de La Trinité. </center> Vitrail de l’Arbre aux Oiseaux, collatéral de droite. Commandé au début des années 1990, par l’abbé Benoît Rivière, vicaire de la paroisse de la Trinité de1985 à 1993, il fut réalisé par le maître-verrier Dominique Imbert, sur une maquette d'André Gence. Des oiseaux, des arbres, des feuilles, des plantes, ce vitrail c'est la création du monde sublimée par André Gence. Verre antique soufflé. Don de Madame Marie Lanéry d’Arc (1923-2012).
L'église de La Trinité.
Vitrail de l’Arbre aux Oiseaux, collatéral de droite. Commandé au début des années 1990, par l’abbé Benoît Rivière, vicaire de la paroisse de la Trinité de1985 à 1993, il fut réalisé par le maître-verrier Dominique Imbert, sur une maquette d'André Gence. Des oiseaux, des arbres, des feuilles, des plantes, ce vitrail c'est la création du monde sublimée par André Gence. Verre antique soufflé. Don de Madame Marie Lanéry d’Arc (1923-2012).
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<center>L'église de La Trinité. </center> Vitrail du collattéral de gauche.
L'église de La Trinité.
Vitrail du collattéral de gauche.
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