<center>Les coupoles du plafond.</center>Les trois coupoles qui dominent la nef. Au-dessus de la corniche, des baies géminées.
Les coupoles du plafond.
Les trois coupoles qui dominent la nef. Au-dessus de la corniche, des baies géminées.
246
<center>Les coupoles du plafond.</center>Dans chaque coupole, un bandeau circulaire blanc ou on peut lire deux textes en latins et deux en grecs. Il s'agit de phrases d'évêques des premiers siècles de l'Eglise. C'est le vicaire général du diocèse, Monseigneur Ollivier, qui les a choisies. Dans les pendentifs, des médaillons illustrent les textes correspondants.
Les coupoles du plafond.
Dans chaque coupole, un bandeau circulaire blanc ou on peut lire deux textes en latins et deux en grecs. Il s'agit de phrases d'évêques des premiers siècles de l'Eglise. C'est le vicaire général du diocèse, Monseigneur Ollivier, qui les a choisies. Dans les pendentifs, des médaillons illustrent les textes correspondants.
247
<center>Coupole proche du chœur</center>Les fleurs du fond sont blanches, une des couleurs de la Vierge. Coupole évoquant l'ère des patriarches. Dans les pendentifs, des médaillons illustrent les textes correspondants. L’arche de Noé, la sortie de l’arche avec l’arc-en-ciel, signe de l’alliance conclue alors entre Dieu et l’humanité, l’échelle entre ciel et terre que Jacob a vue en songe, le buisson que Moïse a vu brûler sans se consumer.
Coupole proche du chœur
Les fleurs du fond sont blanches, une des couleurs de la Vierge. Coupole évoquant l'ère des patriarches. Dans les pendentifs, des médaillons illustrent les textes correspondants. L’arche de Noé, la sortie de l’arche avec l’arc-en-ciel, signe de l’alliance conclue alors entre Dieu et l’humanité, l’échelle entre ciel et terre que Jacob a vue en songe, le buisson que Moïse a vu brûler sans se consumer.
248
<center>Coupole centrale</center>Les fleurs sont bleues, l'autre couleur de la Vierge. Coupole évoquant l'ère de Moïse. Dans les pendentifs : les tables de la loi données par Dieu à Moïse, le bâton d’Aaron qui avait miraculeusement fleuri, le chandelier à sept branches, l’encensoir du temple.
Coupole centrale
Les fleurs sont bleues, l'autre couleur de la Vierge. Coupole évoquant l'ère de Moïse. Dans les pendentifs : les tables de la loi données par Dieu à Moïse, le bâton d’Aaron qui avait miraculeusement fleuri, le chandelier à sept branches, l’encensoir du temple.
249
<center>Coupole proche de l’entrée.</center>Les fleurs sont rouges, pour rappeler le premier martyr, Saint Etienne. Coupole évoquant l'ère des prophètes. Dans les pendentifs : la vigne chargée de raisins, le lys entre les épines, rameau d’olivier aux feuilles d'argent, le palmier chargé de fruits. Avant le XVIe siècle, beaucoup de marins allaient prier devant la statue de Notre-Dame de la Mer dans l’église Saint-Etienne située là où se trouve actuellement l’église Notre-Dame du Mont. Mais, en 1588, cette église fut démolie et les marins prirent alors l’habitude de venir à Notre-Dame de la Garde pour y prier et y déposer de nombreux ex-voto.
Coupole proche de l’entrée.
Les fleurs sont rouges, pour rappeler le premier martyr, Saint Etienne. Coupole évoquant l'ère des prophètes. Dans les pendentifs : la vigne chargée de raisins, le lys entre les épines, rameau d’olivier aux feuilles d'argent, le palmier chargé de fruits. Avant le XVIe siècle, beaucoup de marins allaient prier devant la statue de Notre-Dame de la Mer dans l’église Saint-Etienne située là où se trouve actuellement l’église Notre-Dame du Mont. Mais, en 1588, cette église fut démolie et les marins prirent alors l’habitude de venir à Notre-Dame de la Garde pour y prier et y déposer de nombreux ex-voto.
250
<center>Les pendentifs de la première coupole</center>L'arche de Noé flottant sur l'eau du déluge et l'arc en ciel.
Les pendentifs de la première coupole
L'arche de Noé flottant sur l'eau du déluge et l'arc en ciel.
251
<center>Les pendentifs de la première coupole</center>L'événement biblique : L'arche de Noé flottant sur l'eau du déluge. Texte : Arche gardant le germe de la seconde création : auteur, saint Jean Damascène (+ 749).
Les pendentifs de la première coupole
L'événement biblique : L'arche de Noé flottant sur l'eau du déluge. Texte : Arche gardant le germe de la seconde création : auteur, saint Jean Damascène (+ 749).
252
<center>Les pendentifs de la première coupole</center>A la sortie de l'arche de Noé, l'arc en ciel est le signe de l'alliance que Dieu conclut avec l'humanité. Arc-en-ciel dont le fruit est le souvenir de l'alliance du seigneur : saint Bernard (+ 1153).
Les pendentifs de la première coupole
A la sortie de l'arche de Noé, l'arc en ciel est le signe de l'alliance que Dieu conclut avec l'humanité. Arc-en-ciel dont le fruit est le souvenir de l'alliance du seigneur : saint Bernard (+ 1153).
253
<center>Les pendentifs de la première coupole</center>L'échelle dressée entre ciel et terre que le patriarche Jacob a vue en songe. Echelle de Jacob, cause notre ascension : saint Tarasios, patriarche de Constantinople (+ 806).
Les pendentifs de la première coupole
L'échelle dressée entre ciel et terre que le patriarche Jacob a vue en songe. Echelle de Jacob, cause notre ascension : saint Tarasios, patriarche de Constantinople (+ 806).
254
<center>Les pendentifs de la première coupole</center>Le buisson que Moïse a vu brûler sans se consumer. Buisson ardent d'un feu spirituel : saint Jérôme (+ 419).
Les pendentifs de la première coupole
Le buisson que Moïse a vu brûler sans se consumer. Buisson ardent d'un feu spirituel : saint Jérôme (+ 419).
255
<center>Les pendentifs de la coupole centrale</center>Les tables de la loi données par Dieu à Moïse. Loi de la grâce, nouvellement inscrite, par laquelle nous est révélé ce qui plait à Dieu : saint Théodore le Stoudite (+ 826).
Les pendentifs de la coupole centrale
Les tables de la loi données par Dieu à Moïse. Loi de la grâce, nouvellement inscrite, par laquelle nous est révélé ce qui plait à Dieu : saint Théodore le Stoudite (+ 826).
256
<center>Les pendentifs de la coupole centrale</center>Les tables de la loi données par Dieu à Moïse.
Les pendentifs de la coupole centrale
Les tables de la loi données par Dieu à Moïse.
257
<center>Les pendentifs de la coupole centrale</center>Le bâton d'AAron qui avait miraculeusement fleuri. Bâton d'Aaron, Marie, qui a enfanté le Christ, le vrai prêtre : saint Augustin (+ 430).
Les pendentifs de la coupole centrale
Le bâton d'AAron qui avait miraculeusement fleuri. Bâton d'Aaron, Marie, qui a enfanté le Christ, le vrai prêtre : saint Augustin (+ 430).
258
<center>Les pendentifs de la coupole centrale</center>Le chandelier à sept branches. Christ, vrai chandelier aux sept lumières s'allumant au feu inaccessible : Germain Ier, patriarche de Constantinople (+ 830).
Les pendentifs de la coupole centrale
Le chandelier à sept branches. Christ, vrai chandelier aux sept lumières s'allumant au feu inaccessible : Germain Ier, patriarche de Constantinople (+ 830).
259
<center>Les pendentifs de la coupole centrale</center>L'encensoir. Mère de l'encensoir, tout fumant Souveraine des Anges : saint Pierre de Celle (+ 1182).
Les pendentifs de la coupole centrale
L'encensoir. Mère de l'encensoir, tout fumant Souveraine des Anges : saint Pierre de Celle (+ 1182).
260
<center>Les pendentifs de la coupole de l'entrée</center>La vigne chargée de raisins. Vigne mystique qui a reçu la grappe de l'immortalité : saint André de Crète (+ 740).
Les pendentifs de la coupole de l'entrée
La vigne chargée de raisins. Vigne mystique qui a reçu la grappe de l'immortalité : saint André de Crète (+ 740).
261
<center>Les pendentifs de la coupole de l'entrée</center>La vigne chargée de raisins.
Les pendentifs de la coupole de l'entrée
La vigne chargée de raisins.
262
<center>Les pendentifs de la coupole de l'entrée</center>Le lys et les épines. Née de l'épineuse race des Juifs, resplendissante de pureté virginale : saint Pierre Damien (+ 1072). Aujourd'hui, on n'aurait pas choisi ce texte.
Les pendentifs de la coupole de l'entrée
Le lys et les épines. Née de l'épineuse race des Juifs, resplendissante de pureté virginale : saint Pierre Damien (+ 1072). Aujourd'hui, on n'aurait pas choisi ce texte.
263
<center>Les pendentifs de la coupole de l'entrée</center>Le lys et les épines.
Les pendentifs de la coupole de l'entrée
Le lys et les épines.
264
<center>Les pendentifs de la coupole de l'entrée</center>L'olivier et ses fruits. De l'olivier, l'Esprit apporta un brin d'en haut, annonçant la paix : Proclos, patriarche de Constantinople (+ 446).
Les pendentifs de la coupole de l'entrée
L'olivier et ses fruits. De l'olivier, l'Esprit apporta un brin d'en haut, annonçant la paix : Proclos, patriarche de Constantinople (+ 446).
265
<center>Les pendentifs de la coupole de l'entrée</center>Le palmier et ses dattes. Mère nourricière comme un palmier florissant et porteur de fruits : saint Anselme (+ 1109).
Les pendentifs de la coupole de l'entrée
Le palmier et ses dattes. Mère nourricière comme un palmier florissant et porteur de fruits : saint Anselme (+ 1109).
266
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de la tribune supérieure. Les baies géminées au-dessus des chapelles.
Notre-Dame de la Garde
Vue de la tribune supérieure. Les baies géminées au-dessus des chapelles.
267
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Vue de la tribune supérieure.
Notre-Dame de la Garde
Vue de la tribune supérieure.
268
<center>Chapelle saint Roch.</center>Première chapelle, à droite. Les voûtes des chapelles sont ornées de mosaîques bleues dans lesquelles figurent des écussons floraux, comme dans le mausolée de l'impératrice Galla Placidia à Ravenne. Les autels de ces six chapelles sont semblables. Jules Cantini a réalisé ces autels conçus par Henri Révoil.
Chapelle saint Roch.
Première chapelle, à droite. Les voûtes des chapelles sont ornées de mosaîques bleues dans lesquelles figurent des écussons floraux, comme dans le mausolée de l'impératrice Galla Placidia à Ravenne. Les autels de ces six chapelles sont semblables. Jules Cantini a réalisé ces autels conçus par Henri Révoil.
269
<center>Chapelle saint Roch.</center>
Chapelle saint Roch.
270
<center>Chapelle saint Roch.</center>Les autels de ces six chapelles sont semblables. Sur le tombeau de chaque autel figure un motif qui évoque le saint titulaire de la chapelle. Jules Cantini a réalisé ces autels conçus par Henri Révoil.
Chapelle saint Roch.
Les autels de ces six chapelles sont semblables. Sur le tombeau de chaque autel figure un motif qui évoque le saint titulaire de la chapelle. Jules Cantini a réalisé ces autels conçus par Henri Révoil.
271
<center>Autels des chapelles</center>Sur le tombeau de chaque autel figure un motif qui évoque le saint titulaire de la chapelle. Les sols sont tous identiques.
Autels des chapelles
Sur le tombeau de chaque autel figure un motif qui évoque le saint titulaire de la chapelle. Les sols sont tous identiques.
272
<center>Autels des chapelles</center>Sur la table, cinq croix sont gravées : quatre aux coins, une au centre
Autels des chapelles
Sur la table, cinq croix sont gravées : quatre aux coins, une au centre
273
<center>Chapelle saint Roch.</center>Au dessus des autels, des reliquaires séparent les deux chapelles adjacentes.
Chapelle saint Roch.
Au dessus des autels, des reliquaires séparent les deux chapelles adjacentes.
274
<center>Chapelle saint Roch.</center>Les autels de ces six chapelles sont semblables. Sur le bord des autels sont marqués la date où les autels ont été consacrés (1864), le nom du donateur, le nom de l'évêque qui a officié et le nom du saint.
Chapelle saint Roch.
Les autels de ces six chapelles sont semblables. Sur le bord des autels sont marqués la date où les autels ont été consacrés (1864), le nom du donateur, le nom de l'évêque qui a officié et le nom du saint.
275
<center>Chapelle saint Roch.</center>1864, donateur Bernadou,
Chapelle saint Roch.
1864, donateur Bernadou,
276
<center>Chapelle saint Roch.</center>évêque qui a officié Regny Bernadac, érigé en l'honneur de saint Roch.
Chapelle saint Roch.
évêque qui a officié Regny Bernadac, érigé en l'honneur de saint Roch.
277
<center>Chapelle saint Roch.</center>Le bâton de pélerin et la besace.
Chapelle saint Roch.
Le bâton de pélerin et la besace.
278
<center>Chapelle saint Roch.</center>Dans chaque chapelle, à la base de la mosaïque, on découvre, d'un coté, les noms et le blason des donateurs, et de l'autre un motif qui évoque le saint à qui la chapelle est dédiée. Ces écussons sont entourés de rinceaux de feuillages de couleurs rose et verte.
Chapelle saint Roch.
Dans chaque chapelle, à la base de la mosaïque, on découvre, d'un coté, les noms et le blason des donateurs, et de l'autre un motif qui évoque le saint à qui la chapelle est dédiée. Ces écussons sont entourés de rinceaux de feuillages de couleurs rose et verte.
279
<center>Chapelle saint Roch.</center>Le bâton, la coquille Saint-Jacques et la besace nous rappelant que saint Roch était un pélerin.
Chapelle saint Roch.
Le bâton, la coquille Saint-Jacques et la besace nous rappelant que saint Roch était un pélerin.
280
<center>Chapelle saint Roch.</center>Don de Mr et Me Aimé Pastré et leurs fils Joseph et Emmanuel (1887).
Chapelle saint Roch.
Don de Mr et Me Aimé Pastré et leurs fils Joseph et Emmanuel (1887).
281
<center>Chapelle saint Roch.</center>Le grand blason de Mgr Patrice François Cruice qui fut évêque de Marseille de 1861 à 1865 et qui succéda à Eugène de Mazenod.
Chapelle saint Roch.
Le grand blason de Mgr Patrice François Cruice qui fut évêque de Marseille de 1861 à 1865 et qui succéda à Eugène de Mazenod.
282
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>Les murs des chapelles sont couverts d'un premier niveau de plaques de marbre. La partie supérieure des murs de ces chapelles est occupée par des ex-voto peints placés sur plusieurs rangées superposées.
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
Les murs des chapelles sont couverts d'un premier niveau de plaques de marbre. La partie supérieure des murs de ces chapelles est occupée par des ex-voto peints placés sur plusieurs rangées superposées.
283
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
284
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
285
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>Reliquaire séparant deux chapelles de la nef.
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
Reliquaire séparant deux chapelles de la nef.
286
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
287
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>Le vase de parfum. Donateur Roux-Bernabo, sainte Marie Madeleine, évêque Jordany.
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
Le vase de parfum. Donateur Roux-Bernabo, sainte Marie Madeleine, évêque Jordany.
288
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
289
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>Le vase de parfum de Sainte Marie-Madeleine.
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
Le vase de parfum de Sainte Marie-Madeleine.
290
<center>Chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>Don de Mrs Augustin Fabre et fils (1891).
Chapelle de sainte Marie Madeleine.
Don de Mrs Augustin Fabre et fils (1891).
291
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>
Chapelle de saint Pierre.
292
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>
Chapelle de saint Pierre.
293
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>
Chapelle de saint Pierre.
294
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>Jules Cantini a réalisé la statue de saint Pierre et en a fait don au sanctuaire.
Chapelle de saint Pierre.
Jules Cantini a réalisé la statue de saint Pierre et en a fait don au sanctuaire.
295
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>
Chapelle de saint Pierre.
296
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>
Chapelle de saint Pierre.
297
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>Donateurs d'Agnelli Bourbonni d'Acignesti, saint Pierre,
Chapelle de saint Pierre.
Donateurs d'Agnelli Bourbonni d'Acignesti, saint Pierre,
298
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>évêque de Langalerie, 1864.
Chapelle de saint Pierre.
évêque de Langalerie, 1864.
299
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>Les clefs de saint Pierre.
Chapelle de saint Pierre.
Les clefs de saint Pierre.
300
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>
Chapelle de saint Pierre.
301
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>Les clés de saint Pierre.
Chapelle de saint Pierre.
Les clés de saint Pierre.
302
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>Don du Comte et de la Comtesse Pastré (1889).
Chapelle de saint Pierre.
Don du Comte et de la Comtesse Pastré (1889).
303
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>Reconnaissance à la Bonne Mère pour avoir protégé ses Marins-Pompiers durant les trois jours du terrible accident des collines du Nord de Marseille, les 25, 26, 27 juillet 1997. Les débris du fourgon incendié de la caserne de la Bigue, détruit par le feu le 25 juillet.
Chapelle de saint Pierre.
Reconnaissance à la Bonne Mère pour avoir protégé ses Marins-Pompiers durant les trois jours du terrible accident des collines du Nord de Marseille, les 25, 26, 27 juillet 1997. Les débris du fourgon incendié de la caserne de la Bigue, détruit par le feu le 25 juillet.
304
<center>Chapelle de saint Pierre.</center>Reconnaissance à la Bonne Mère pour avoir protégé ses Marins-Pompiers durant les trois jours du terrible accident des collines du Nord de Marseille, les 25, 26, 27 juillet 1997. L'écusson des Marins-Pompiers.
Chapelle de saint Pierre.
Reconnaissance à la Bonne Mère pour avoir protégé ses Marins-Pompiers durant les trois jours du terrible accident des collines du Nord de Marseille, les 25, 26, 27 juillet 1997. L'écusson des Marins-Pompiers.
305
<center>Transept droit.</center>
Transept droit.
306
<center>Transept droit.</center>Le blason de Léon XIII, pape de 1878 à 1903, au sommet ; à gauche, le blason de Mgr Louis Robert, évêque de Marseille de 1878 à 1900 ; à droite, le blason de Marseille. Dans les trompes, les représentations de saint Jean, à gauche, et à droite, saint Marc
Transept droit.
Le blason de Léon XIII, pape de 1878 à 1903, au sommet ; à gauche, le blason de Mgr Louis Robert, évêque de Marseille de 1878 à 1900 ; à droite, le blason de Marseille. Dans les trompes, les représentations de saint Jean, à gauche, et à droite, saint Marc
307
<center>Transept droit.</center>Le blason de Léon XIII, pape de 1878 à 1903.
Transept droit.
Le blason de Léon XIII, pape de 1878 à 1903.
308
<center>Transept droit.</center>Le blason de Mgr Louis Robert, évêque de Marseille de 1878 à 1900.
Transept droit.
Le blason de Mgr Louis Robert, évêque de Marseille de 1878 à 1900.
309
<center>Transept droit.</center>Le blason de Marseille.
Transept droit.
Le blason de Marseille.
310
<center>Transept gauche.</center>Le blason de Pie IX, pape de 1846 à 1878, au sommet, et le blason de Mgr Charles Place, évêque de Marseille de 1866 à 1878, à droite. A gauche, invisible, le blason de la basilique.
Transept gauche.
Le blason de Pie IX, pape de 1846 à 1878, au sommet, et le blason de Mgr Charles Place, évêque de Marseille de 1866 à 1878, à droite. A gauche, invisible, le blason de la basilique.
311
<center>Transept gauche.</center>Le blason de Pie IX, pape de 1846 à 1878.
Transept gauche.
Le blason de Pie IX, pape de 1846 à 1878.
312
<center>Transept gauche.</center>Le blason de Mgr Charles Place, évêque de Marseille de 1866 à 1878, à droite.
Transept gauche.
Le blason de Mgr Charles Place, évêque de Marseille de 1866 à 1878, à droite.
313
<center>Notre-Dame de la Garde</center>Pilier qui sépare le choeur des chapelles latérales.
Notre-Dame de la Garde
Pilier qui sépare le choeur des chapelles latérales.
314
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>Première chapelle de gauche, à partir du choeur.
Chapelle de saint Joseph.
Première chapelle de gauche, à partir du choeur.
315
<center>chapelle de saint Joseph.</center>
chapelle de saint Joseph.
316
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>
Chapelle de saint Joseph.
317
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>Statue de saint Joseph, elle aussi a été réalisée et offerte en 1886 par le sculpteur et mécène marseillais Jules Cantini .
Chapelle de saint Joseph.
Statue de saint Joseph, elle aussi a été réalisée et offerte en 1886 par le sculpteur et mécène marseillais Jules Cantini .
318
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>
Chapelle de saint Joseph.
319
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>Donateur Grandval, saint Joseph,
Chapelle de saint Joseph.
Donateur Grandval, saint Joseph,
320
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>évêque Chalandon. 1864.
Chapelle de saint Joseph.
évêque Chalandon. 1864.
321
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>L'autel. Les fleurs de lys du bâton de Joseph.
Chapelle de saint Joseph.
L'autel. Les fleurs de lys du bâton de Joseph.
322
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>
Chapelle de saint Joseph.
323
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>Le bâton fleuri de saint Joseph.
Chapelle de saint Joseph.
Le bâton fleuri de saint Joseph.
324
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>Don de Mr le Comte Pierre Pastré (1890).
Chapelle de saint Joseph.
Don de Mr le Comte Pierre Pastré (1890).
325
<center>Chapelle de saint Joseph.</center>.Chartreuse de Notre Dame de Montrieux.
Chapelle de saint Joseph.
Chartreuse de Notre Dame de Montrieux.
326
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>
Chapelle de saint Lazare.
327
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>
Chapelle de saint Lazare.
328
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>
Chapelle de saint Lazare.
329
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Reliquaire séparant deux chapelles de la nef.
Chapelle de saint Lazare.
Reliquaire séparant deux chapelles de la nef.
330
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Donateur Barthélemy, saint Lazare,
Chapelle de saint Lazare.
Donateur Barthélemy, saint Lazare,
331
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>évêque de la Bouillerie, 1864.
Chapelle de saint Lazare.
évêque de la Bouillerie, 1864.
332
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Le tombeau ouvert de saint Lazare.
Chapelle de saint Lazare.
Le tombeau ouvert de saint Lazare.
333
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>
Chapelle de saint Lazare.
334
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Le tombeau ouvert de saint Lazare.
Chapelle de saint Lazare.
Le tombeau ouvert de saint Lazare.
335
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Don de Me Edmond Luce (1891).
Chapelle de saint Lazare.
Don de Me Edmond Luce (1891).
336
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Plaque Commémorative de Saint Thérèse de Lisieux qui est venue prier ici en 1897.
Chapelle de saint Lazare.
Plaque Commémorative de Saint Thérèse de Lisieux qui est venue prier ici en 1897.
337
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>En communion avec les religieuses contemplatives du diocèse de Marseille et avec les pères de la Chartreuse de Montrieux. ND de la Garde, monastère de saint Victor, monastère de la Servianne, monastère de la Visitation de Saint Jérôme, monastère des Clarisses Wulfram Puget, monastère des Victoires du Sacré Coeur, chartreuse de Montrieux.
Chapelle de saint Lazare.
En communion avec les religieuses contemplatives du diocèse de Marseille et avec les pères de la Chartreuse de Montrieux. ND de la Garde, monastère de saint Victor, monastère de la Servianne, monastère de la Visitation de Saint Jérôme, monastère des Clarisses Wulfram Puget, monastère des Victoires du Sacré Coeur, chartreuse de Montrieux.
338
<center>Chapelle de saint Charles Borromée</center>Saint Charles Borromée, archevêque de Milan au XVIe siècle. Mgr Eugène de Mazenod se prénommait aussi Charles.
Chapelle de saint Charles Borromée
Saint Charles Borromée, archevêque de Milan au XVIe siècle. Mgr Eugène de Mazenod se prénommait aussi Charles.
339
<center>Chapelle de saint Charles Borromée</center>
Chapelle de saint Charles Borromée
340
<center>Chapelle de saint Charles Borromée.</center>
Chapelle de saint Charles Borromée.
341
<center>Chapelle de saint Charles Borromée.</center>Copie en albâtre de la statue en bois de la Vierge à l’Enfant, de la chapelle du XIIIe siècle. Comme le bois de cette première statue était sombre, les fidèles l’appelaient « Notre-Dame la Brune ».
Chapelle de saint Charles Borromée.
Copie en albâtre de la statue en bois de la Vierge à l’Enfant, de la chapelle du XIIIe siècle. Comme le bois de cette première statue était sombre, les fidèles l’appelaient « Notre-Dame la Brune ».
342
<center>Chapelle de saint Charles Borromée.</center>Copie en albâtre de la statue en bois de la Vierge à l’Enfant, de la chapelle du XIIIe siècle. Comme le bois de cette première statue était sombre, les fidèles l’appelaient « Notre-Dame la Brune ».
Chapelle de saint Charles Borromée.
Copie en albâtre de la statue en bois de la Vierge à l’Enfant, de la chapelle du XIIIe siècle. Comme le bois de cette première statue était sombre, les fidèles l’appelaient « Notre-Dame la Brune ».
343
<center>Chapelle de saint Charles Borromée.</center>Donateur Jean Card,
Chapelle de saint Charles Borromée.
Donateur Jean Card,
344
<center>Chapelle de saint Charles Borromée.</center>évêque Marchio de Boisgelin, saint Charles.
Chapelle de saint Charles Borromée.
évêque Marchio de Boisgelin, saint Charles.
345
<center>Chapelle de saint Charles Borromée.</center>Chapeau de cardinal et crosse de l'évêque.
Chapelle de saint Charles Borromée.
Chapeau de cardinal et crosse de l'évêque.
346
<center>Chapelle de saint Charles Borromée</center>
Chapelle de saint Charles Borromée
347
<center>Chapelle de saint Charles Borromée</center>Blason cardinalice de saint Charles Borromée.
Chapelle de saint Charles Borromée
Blason cardinalice de saint Charles Borromée.
348
<center>Chapelle de saint Charles Borromée</center>Don de Mr et Me Joseph Gondran (1892).
Chapelle de saint Charles Borromée
Don de Mr et Me Joseph Gondran (1892).
349
<center>Chapelle de saint Charles Borromée</center>Le grand blason de Mgr Charles Joseph Eugène de Mazenod qui fut évêque de Marseille de 1837 à 1861.
Chapelle de saint Charles Borromée
Le grand blason de Mgr Charles Joseph Eugène de Mazenod qui fut évêque de Marseille de 1837 à 1861.
350
<center>Chapelle de saint Charles Borromée.</center>Brûloir des veilleuses.
Chapelle de saint Charles Borromée.
Brûloir des veilleuses.
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<center>Chapelle de saint Charles Borromée.</center>Brûloir des veilleuses.
Chapelle de saint Charles Borromée.
Brûloir des veilleuses.
352
<center>Chapelle saint Charles Borromée</center>Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
Chapelle saint Charles Borromée
Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
353
<center>Chapelle saint Charles Borromée</center>Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
Chapelle saint Charles Borromée
Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
354
<center>Chapelle saint Charles Borromée</center>Au-dessus du mascaron, deux baies avec les noms des donateurs des vitraux.
Chapelle saint Charles Borromée
Au-dessus du mascaron, deux baies avec les noms des donateurs des vitraux.
355
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
Chapelle de saint Lazare.
Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
356
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
Chapelle de saint Lazare.
Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
357
<center>Chapelle de saint Lazare.</center>Baies vitrées avec les noms des donateurs.
Chapelle de saint Lazare.
Baies vitrées avec les noms des donateurs.
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<center>Chapelle saint Joseph.</center>Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
Chapelle saint Joseph.
Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
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<center>Chapelle saint Joseph.</center>Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
Chapelle saint Joseph.
Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
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<center>Chapelle saint Joseph.</center>Baies vitrées avec les noms des donateurs.
Chapelle saint Joseph.
Baies vitrées avec les noms des donateurs.
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<center>Chapelle saint Pierre.</center>Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
Chapelle saint Pierre.
Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
362
<center>Chapelle saint Pierre.</center>Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
Chapelle saint Pierre.
Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
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<center>Chapelle saint Pierre.</center>Baies vitrées avec les noms des donateurs.
Chapelle saint Pierre.
Baies vitrées avec les noms des donateurs.
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<center>Chapelle sainte Marie Madeleine.</center>Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
Chapelle sainte Marie Madeleine.
Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
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<center>Chapelle sainte Marie Madeleine.</center>Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
Chapelle sainte Marie Madeleine.
Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
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<center>Chapelle sainte Marie Madeleine.</center>Baies vitrées avec les noms des donateurs.
Chapelle sainte Marie Madeleine.
Baies vitrées avec les noms des donateurs.
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<center>Chapelle saint Roch</center>Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
Chapelle saint Roch
Dans chaque chapelle, il y a une baie vitrée avec le nom du donateur.
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<center>Chapelle saint Roch</center>Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
Chapelle saint Roch
Au sommet de chaque arc des chapelles se trouve un mascaron.
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<center>Chapelle saint Roch.</center>Baies vitrées avec les noms des donateurs.
Chapelle saint Roch.
Baies vitrées avec les noms des donateurs.
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<center> Ex-voto de la chapelle de saint Roch. </center>Les murs des chapelles latérales sont couverts d'un premier niveau de plaques de marbre. La partie supérieure des murs de ces chapelles latérales est occupée par des ex-voto peints placés sur plusieurs rangées superposées. Les ex-voto (« d’après le vœu » en latin, objets offerts à la Vierge ou à un saint après une intercession et/ou un miracle) sont nombreux et variés à Notre-Dame de la Garde. On peut trouver des plaques de marbre, la maquette d’un bateau ou d’un avion, et des images pieuses ou des statuettes.
Ex-voto de la chapelle de saint Roch.
Les murs des chapelles latérales sont couverts d'un premier niveau de plaques de marbre. La partie supérieure des murs de ces chapelles latérales est occupée par des ex-voto peints placés sur plusieurs rangées superposées. Les ex-voto (« d’après le vœu » en latin, objets offerts à la Vierge ou à un saint après une intercession et/ou un miracle) sont nombreux et variés à Notre-Dame de la Garde. On peut trouver des plaques de marbre, la maquette d’un bateau ou d’un avion, et des images pieuses ou des statuettes.
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<center> Ex-voto de la chapelle de saint Roch. </center>
Ex-voto de la chapelle de saint Roch.
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<center> Ex-voto de la chapelle de saint Roch. </center>Drapeau du 3e bataillon du 141e d'infanterie 1919.
Ex-voto de la chapelle de saint Roch.
Drapeau du 3e bataillon du 141e d'infanterie 1919.
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<center> Ex-voto de la chapelle de saint Roch. </center>
Ex-voto de la chapelle de saint Roch.
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<center>Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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<center>Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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<center>Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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<center>Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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<center>Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>Eridan, capitaine Ristorcelli. Pendant un typhon, essuyé le 17 octobre 1901, à sonretour de Takou avec ses troupes.
Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
Eridan, capitaine Ristorcelli. Pendant un typhon, essuyé le 17 octobre 1901, à sonretour de Takou avec ses troupes.
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<center>Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>Le 22 décembre 1952, à la suite d’une erreur de navigation, le paquebot vient s’échouer sur les brisants à 600 mètres de la plage de Khaldé au sud de Beyrouth. Il avait appareillé de Marseille sept jours auparavant. À son bord, 120 hommes d’équipage et 111 passagers, hommes, femmes, et enfants, dont 98 pèlerins à destination de Jérusalem. Le bilan fut de dix-sept morts, noyés, tués contre les brisants ou asphyxiés dans le mazout.
Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
Le 22 décembre 1952, à la suite d’une erreur de navigation, le paquebot vient s’échouer sur les brisants à 600 mètres de la plage de Khaldé au sud de Beyrouth. Il avait appareillé de Marseille sept jours auparavant. À son bord, 120 hommes d’équipage et 111 passagers, hommes, femmes, et enfants, dont 98 pèlerins à destination de Jérusalem. Le bilan fut de dix-sept morts, noyés, tués contre les brisants ou asphyxiés dans le mazout.
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<center>Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.</center>
Ex-voto de la chapelle de sainte Marie Madeleine.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Pierre. </center>A gauche, le premier de la troisième ligne, le laud (bateau de pêche) Maria, peint par Paul Soulier. En haut, le 3 éme, le cargo Turenne.1907. Au mat arrière le pavillon bleu portant les initiales MHP (Maurel et Hubert Prom de Bordeaux). Au mat avant, le code L5Q1 du navire.
Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.
A gauche, le premier de la troisième ligne, le laud (bateau de pêche) Maria, peint par Paul Soulier. En haut, le 3 éme, le cargo Turenne.1907. Au mat arrière le pavillon bleu portant les initiales MHP (Maurel et Hubert Prom de Bordeaux). Au mat avant, le code L5Q1 du navire.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Pierre. </center>En bas, à droite, le cargo Turenne.1907. Au mat arrière le pavillon bleu portant les initiales MHP (Maurel et Hubert Prom de Bordeaux). Au mat avant, le code L5Q1 du navire.
Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.
En bas, à droite, le cargo Turenne.1907. Au mat arrière le pavillon bleu portant les initiales MHP (Maurel et Hubert Prom de Bordeaux). Au mat avant, le code L5Q1 du navire.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Pierre. </center>
Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.</center>
Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.</center>Au centre, en haut, ex-voto offert par le capitaine Lapouse, commandant le
Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.
Au centre, en haut, ex-voto offert par le capitaine Lapouse, commandant le "Gange"qui fit naufrage au large des côtes Tunisiennes en 1917, après avoir touché une mine. Il n'y eut qu'une seule victime. Il est constitué du pavillon roulé du navire, ainsi qu'une photo prise par un des rescapés. Le Gange était un cargo mixte des Messageries Maritimes effectuant la ligne sur l'Australie et la Nouvelle-Calédonie.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Pierre. </center>
Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.</center>Un jeune homme de 17 ans qui visitait le navire, un clipper américain le Great Republic, est tombé du pont, par une écoutille ouverte, au fond de la cale. Il faillit se tuer mais en réchappa et sa famille témoigna sa reconnaissance à Notre-Dame de la Garde en lui offrant cette peinture.
Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.
Un jeune homme de 17 ans qui visitait le navire, un clipper américain le Great Republic, est tombé du pont, par une écoutille ouverte, au fond de la cale. Il faillit se tuer mais en réchappa et sa famille témoigna sa reconnaissance à Notre-Dame de la Garde en lui offrant cette peinture.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Pierre. </center>
Ex-voto de la chapelle de saint Pierre.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Joseph</center>
Ex-voto de la chapelle de saint Joseph
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Ex-voto de la chapelle de saint Joseph
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Ex-voto de la chapelle de saint Joseph
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<center>Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.</center>
Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
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<center>Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.</center>
Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
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Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
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<center>Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.</center>
Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
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Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
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<center>Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.</center>Catalogue de M. les prieurs, marguillets et fabriciens, marguilliers anciens.
Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
Catalogue de M. les prieurs, marguillets et fabriciens, marguilliers anciens.
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Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
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<center>Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.</center>
Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
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<center>Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.</center>
Les ex-voto da la chapelle de saint Lazare.
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<center>Ex-voto de la chapelle de saint Charles Borromée.</center>
Ex-voto de la chapelle de saint Charles Borromée.
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<center>Les maquettes ex-voto.</center>Suspendues, des maquettes de navires ou d'avions.
Les maquettes ex-voto.
Suspendues, des maquettes de navires ou d'avions.
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<center>Les maquettes ex-voto.</center>Navire du bas : bateau-pompe Paul Brutus du Bataillon des marins-pompiers de Marseille.<br> Navire du haut : le BPC Dixmude qui est un porte-hélicoptères amphibie (PHA, anciennement bâtiment de projection et de commandement) de la marine nationale française de la classe Mistral. Tout en bas, l'hélicoptère de la Sécurité civile.
Les maquettes ex-voto.
Navire du bas : bateau-pompe Paul Brutus du Bataillon des marins-pompiers de Marseille.
Navire du haut : le BPC Dixmude qui est un porte-hélicoptères amphibie (PHA, anciennement bâtiment de projection et de commandement) de la marine nationale française de la classe Mistral.
Tout en bas, l'hélicoptère de la Sécurité civile.
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<center>Les maquettes ex-voto.</center>
Les maquettes ex-voto.
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<center>Mosaïque du choeur.</center>Les mosaïques dont la surface développée est d'environ 1 200 m2 ont été réalisées de 1886 à 1892 par la société Salviati et Mora installée à Nîmes. Les tesselles qui provenaient de Venise, ont été fabriquées par des artisans au sommet de leur art. Certaines ont été restaurées sous la direction du mosaïste Michel Patrizio de 2006 à 2008. Architecte responsable du chantier de la rénovation Xavier David.
Mosaïque du choeur.
Les mosaïques dont la surface développée est d'environ 1 200 m2 ont été réalisées de 1886 à 1892 par la société Salviati et Mora installée à Nîmes. Les tesselles qui provenaient de Venise, ont été fabriquées par des artisans au sommet de leur art. Certaines ont été restaurées sous la direction du mosaïste Michel Patrizio de 2006 à 2008. Architecte responsable du chantier de la rénovation Xavier David.
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<center>Mosaïque du choeur.</center>
Mosaïque du choeur.
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<center>Mosaïque du sol.</center>Il s’agit de mosaïques beaucoup plus simples que les mosaïques byzantines du cul-de-four de l’abside et des voûtes de la nef et des chapelles latérales. Ces mosaïques sont appelées « mosaïques romaines » parce que les Romains fortunés aimaient faire poser de telles mosaïques sur les sols dans leurs demeures. Les tesselles des mosaïques de sol ne sont pas en verre, mais en marbre ou en grès.
Mosaïque du sol.
Il s’agit de mosaïques beaucoup plus simples que les mosaïques byzantines du cul-de-four de l’abside et des voûtes de la nef et des chapelles latérales. Ces mosaïques sont appelées « mosaïques romaines » parce que les Romains fortunés aimaient faire poser de telles mosaïques sur les sols dans leurs demeures. Les tesselles des mosaïques de sol ne sont pas en verre, mais en marbre ou en grès.
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<center>Mosaïque du sol.</center>
Mosaïque du sol.
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<center>Le musée.</center>Ex-voto. Il est consacré à l'histoire de la colline de la Garde, de la basilique et de la ville de Marseille en général. Il propose une collection de plus de 2000 objets, documents et photographies, qui couvrent une période allant du 17ème siècle jusqu'à nos jours.
Le musée.
Ex-voto. Il est consacré à l'histoire de la colline de la Garde, de la basilique et de la ville de Marseille en général. Il propose une collection de plus de 2000 objets, documents et photographies, qui couvrent une période allant du 17ème siècle jusqu'à nos jours.
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Le musée.
Ex-voto
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<center>Le musée.</center>Les quatre piquets représentent les quatre basiliques de Marseille : la cathédrale de La Major, l'abbaye de Saint-Victor, Notre-Dame de la Garde et la basilique du Sacré-Coeur. Une basilique est un lieu de culte de la religion chrétienne, qui a reçu du pape le droit d'être appelée ainsi car il s'y est passé un événement particulier (miracle, lieu de pèlerinage…), ou parce qu'elle abrite le corps d'un saint ou une relique insigne, ou encore à titre purement honorifique. Dans le blason de Notre-Dame de la Garde, on découvre la tiare papale et les clefs de saint Pierre, pour rappeler que c’est le pape qui accorde le titre de basilique. On y voit aussi la croix de Jérusalem (une croix dite potencée, car chaque extrémité forme un T qui fait penser à une potence, entourée de quatre petites croix). On trouve également une représentation de la basilique et, en dessous, les armes de la ville de Marseille. Enfin, tout autour du blason, on peut voir un chapelet et des fleurs de lys.
Le musée.
Les quatre piquets représentent les quatre basiliques de Marseille : la cathédrale de La Major, l'abbaye de Saint-Victor, Notre-Dame de la Garde et la basilique du Sacré-Coeur. Une basilique est un lieu de culte de la religion chrétienne, qui a reçu du pape le droit d'être appelée ainsi car il s'y est passé un événement particulier (miracle, lieu de pèlerinage…), ou parce qu'elle abrite le corps d'un saint ou une relique insigne, ou encore à titre purement honorifique. Dans le blason de Notre-Dame de la Garde, on découvre la tiare papale et les clefs de saint Pierre, pour rappeler que c’est le pape qui accorde le titre de basilique. On y voit aussi la croix de Jérusalem (une croix dite potencée, car chaque extrémité forme un T qui fait penser à une potence, entourée de quatre petites croix). On trouve également une représentation de la basilique et, en dessous, les armes de la ville de Marseille. Enfin, tout autour du blason, on peut voir un chapelet et des fleurs de lys.
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<center>Le musée.</center>Une bannière de procession ornée d'une Vierge en pied, en tissus appliqués (velours, sois, lamé d'argent) et rebrodés de soies polychromes, paillettes, filés et lames d'or. Elle est agrémentée de peinture sur toile (visages, mains et pieds).
Le musée.
Une bannière de procession ornée d'une Vierge en pied, en tissus appliqués (velours, sois, lamé d'argent) et rebrodés de soies polychromes, paillettes, filés et lames d'or. Elle est agrémentée de peinture sur toile (visages, mains et pieds).
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<center>Le musée.</center>
Le musée.
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<center>Le musée.</center>En 1777, le retour, à Notre-Dame de la Garde, de la procession de la fête Dieu, avec la statue de la Vierge au bouquet portée par ds pénitents. On voit le chemin des oratoires.
Le musée.
En 1777, le retour, à Notre-Dame de la Garde, de la procession de la fête Dieu, avec la statue de la Vierge au bouquet portée par des pénitents. On voit le chemin des oratoires.
441
<center>Le musée.</center>Le souvenir des pénitents noirs. Louis Preyre.
Le musée.
Le souvenir des pénitents noirs. Louis Preyre.
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<center>Le musée.</center>L'ancienne chapelle de Notre-Dame de la Garde (1852). Ex-voto.
Le musée.
L'ancienne chapelle de Notre-Dame de la Garde (1852). Ex-voto.
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<center>Le musée.</center>Ex-voto. La guérison de Clarisse Charlois (1846). Marie Claire Elisabeth, dite Clarisse Charlois était née à Signes en 1824. Ses parents vinrent s'installer à Marseille l'année suivante. En 1826, son père, boulanger, habitait rue Bonneterie. A l’âge de 18 ans, Clarisse fut frappée d'une paralysie du côté droit. Le 25 mai 1846, rue de Siam, au passage de la procession des Pénitents blancs de la Sainte Trinité, portant une statue de Notre Dame, Clarisse se sent tout d'un coup guérie. Guérison qui parait définitive car 8 ans plus tard, le 3 octobre 1854, Clarisse convolait en justes noces avec un commis nommé Emile Blot
Le musée.
Ex-voto. La guérison de Clarisse Charlois (1846). Marie Claire Elisabeth, dite Clarisse Charlois était née à Signes en 1824. Ses parents vinrent s'installer à Marseille l'année suivante. En 1826, son père, boulanger, habitait rue Bonneterie. A l’âge de 18 ans, Clarisse fut frappée d'une paralysie du côté droit. Le 25 mai 1846, rue de Siam, au passage de la procession des Pénitents blancs de la Sainte Trinité, portant une statue de Notre Dame, Clarisse se sent tout d'un coup guérie. Guérison qui parait définitive car 8 ans plus tard, le 3 octobre 1854, Clarisse convolait en justes noces avec un commis nommé Emile Blot.
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<center>Le musée.</center>Les processions.
Le musée.
Les processions.
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<center>Le musée.</center>Les processions.
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Les processions.
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<center>Le musée.</center>Les processions.
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Les processions.
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<center>Le musée.</center>En 1889, l'ingénieur Emile Maslin eut l'idée de construire, au flanc d'une ancienne carrière, un ascenseur du type de ceux dont on venait d'équiper la Tour Eiffel. Inauguré le 30 juillet 1892, il n'appartenait ni à la basilique ni à la ville mais à une société privée. Comportant deux cabines, il fonctionnait « à balance d'eau ». Le poids de l'eau mise dans le réservoir de la cabine qui arrivait en haut la faisait descendre, provoquant ainsi la remontée de l’autre cabine délestée de son eau à son arrivée en bas. La Société arrêta en 1967 l'exploitation de l'ascenseur, car sa restauration réclamait de très grandes dépenses Il fut démoli en 1974.
Le musée.
En 1889, l'ingénieur Emile Maslin eut l'idée de construire, au flanc d'une ancienne carrière, un ascenseur du type de ceux dont on venait d'équiper la Tour Eiffel. Inauguré le 30 juillet 1892, il n'appartenait ni à la basilique ni à la ville mais à une société privée. Comportant deux cabines, il fonctionnait « à balance d'eau ». Le poids de l'eau mise dans le réservoir de la cabine qui arrivait en haut la faisait descendre, provoquant ainsi la remontée de l’autre cabine délestée de son eau à son arrivée en bas. La Société arrêta en 1967 l'exploitation de l'ascenseur, car sa restauration réclamait de très grandes dépenses Il fut démoli en 1974.
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<center>Le musée.</center>L'ascenseur.
Le musée.
L'ascenseur.
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<center>Le musée.</center>Ex-voto d'eugène Autard (1892). Jules Romeoe (1832-1909). Une chute de 50 mètres à proximité du chantier de l'ascenseur, à 4 jours de son inauguration.
Le musée.
Ex-voto d'eugène Autard (1892). Jules Romeoe (1832-1909). Une chute de 50 mètres à proximité du chantier de l'ascenseur, à 4 jours de son inauguration.
450
<center>Le musée.</center>Catalogue des marguilliers (vers 1756)
Le musée.
Catalogue des marguilliers (vers 1756)
451
<center>Le musée.</center>Mater Dolorosa (vers 1870). Jean-Baptiste Carpeaux.
Le musée.
Mater Dolorosa (vers 1870). Jean-Baptiste Carpeaux.
452
<center>Le musée.</center>La Dormition de la Vierge. Traditionnellement reconnu comme un fragment du retable de l'ancienne chapelle (1520), il s'agirait plus vraisemblablement d'une oeuvre postérieure.
Le musée.
La Dormition de la Vierge. Traditionnellement reconnu comme un fragment du retable de l'ancienne chapelle (1520), il s'agirait plus vraisemblablement d'une oeuvre postérieure.
453
<center>Le musée.</center>Le buisson ardent.
Le musée.
Le buisson ardent.
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<center>Le musée.</center>La maquette du fort de François 1er, avec son pont-levis.
Le musée.
La maquette du fort de François 1er, avec son pont-levis.
455
<center>Le musée.</center>L'Annonciation (XVIe siècle). Attribuée à l'Ecole des Della Robbia.
Le musée.
L'Annonciation (XVIe siècle). Attribuée à l'Ecole des Della Robbia.
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<center>Le musée.</center>Vierge à la chaise (début XXe siècle). Louis Botinelly, d'après Raphaël.
Le musée.
Vierge à la chaise (début XXe siècle). Louis Botinelly, d'après Raphaël.
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<center>Le musée.</center>Vierge à l'Enfant (1827). Jean-Pierre Cortot (1797-1843). Plâtre original exposé au Salon de 1827 et ayant servi de modèle à l'oeuvre en argent repoussé de l'orfèvre Jean-Baptiste Chanuel. L'original se trouve dans l'église du Cœur-Immaculé-de-Marie de Suresnes.
Le musée.
Vierge à l'Enfant (1827). Jean-Pierre Cortot (1797-1843). Plâtre original exposé au Salon de 1827 et ayant servi de modèle à l'oeuvre en argent repoussé de l'orfèvre Jean-Baptiste Chanuel. L'original se trouve dans l'église du Cœur-Immaculé-de-Marie de Suresnes.
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<center>Le musée.</center>D'après Eugène Lequesne. Réduction en plâtre de la statue monumentale. L'original ayant remporté le concours semble avoir disparu et devait être à la dimension des deiux autres statues présentées ici.
Le musée.
D'après Eugène Lequesne. Réduction en plâtre de la statue monumentale. L'original ayant remporté le concours semble avoir disparu et devait être à la dimension des deux autres statues présentées ici.
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<center>Le musée.</center>D'après Eugène Lequesne. Réduction en plâtre de la statue monumentale. L'original ayant remporté le concours semble avoir disparu et devait être à la dimension des deiux autres statues présentées ici.
Le musée.
D'après Eugène Lequesne. Réduction en plâtre de la statue monumentale. L'original ayant remporté le concours semble avoir disparu et devait être à la dimension des deux autres statues présentées ici.
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<center>Le musée.</center>Un ange de la balustrade.
Le musée.
Un ange de la balustrade.
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<center>Le musée.</center>
Le musée.
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<center>Le musée.</center>Ex-voto à l'occasion d'épidémies.
Le musée.
Ex-voto à l'occasion d'épidémies.
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<center>Le musée.</center>Ex-voto à l'occasion d'épidémies.
Le musée.
Ex-voto à l'occasion d'épidémies.
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<center>Le musée.</center>Pélerinages individuels.
Le musée.
Pélerinages individuels.
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<center>Le musée.</center>Pélerinages individuels.
Le musée.
Pélerinages individuels.
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<center>Le musée.</center>Ostensoir.
Le musée.
Ostensoir.
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<center>Le musée.</center>Ciboire en argent ciselé, gravé et doré, offert par les
Le musée.
Ciboire en argent ciselé, gravé et doré, offert par les "Dames Patronnesses du cortège" en 1864, réalisé par l'orfèvre Poussielgue-Rusand. Il porte sur le pied, le noeud et la fausse-coupe de petits médaillons en porcelaine représentant des saints : Saint Victor, Sainte Marthe, Sainte Marie Madeleinne.... On y voit aussi des petits cabochons en grenat.
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<center>Le musée.</center>Un calice.
Le musée.
Un calice.
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<center>Le musée.</center>Crosse épiscopale
Le musée.
Crosse épiscopale
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<center>Le musée.</center>
Le musée.
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<center>Le musée.</center>
Le musée.
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<center>Le musée.</center>Ex-voto.
Le musée.
Ex-voto.
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<center>Le musée.</center>Ex-voto.
Le musée.
Ex-voto.
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<center>Le musée.</center>Ex-voto.
Le musée.
Ex-voto.
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<center>Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.</center>Copie en albâtre de la statue en bois de la Vierge à l’Enfant, de la chapelle du XIIIe siècle. Comme le bois de cette première statue était sombre, les fidèles l’appelaient « Notre-Dame la Brune ».
Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.
Copie en albâtre de la statue en bois de la Vierge à l’Enfant, de la chapelle du XIIIe siècle. Comme le bois de cette première statue était sombre, les fidèles l’appelaient « Notre-Dame la Brune ».
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<center>Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.</center>La Vierge à l’Ostensoir. En 1651, les responsables du sanctuaire firent faire une statue de la Vierge en argent. On l’appela la « Vierge à l’ostensoir », car on pouvait placer sur le bras droit de la Vierge un ostensoir pour exposer le Saint-Sacrement à l’adoration des fidèles. Et, quand le Saint-Sacrement n’était pas exposé, on remplaçait l’ostensoir par la statue de l’Enfant-Jésus. On garda cependant dans le sanctuaire l'ancienne statue en bois de Notre-Dame la Brune. A la Révolution, tout ce que contenait la chapelle disparut. La statue d'argent est fondue, les ex-votos vendus par lots.
Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.
La Vierge à l’Ostensoir. En 1651, les responsables du sanctuaire firent faire une statue de la Vierge en argent. On l’appela la « Vierge à l’ostensoir », car on pouvait placer sur le bras droit de la Vierge un ostensoir pour exposer le Saint-Sacrement à l’adoration des fidèles. Et, quand le Saint-Sacrement n’était pas exposé, on remplaçait l’ostensoir par la statue de l’Enfant-Jésus. On garda cependant dans le sanctuaire l'ancienne statue en bois de Notre-Dame la Brune. A la Révolution, tout ce que contenait la chapelle disparut. La statue d'argent est fondue, les ex-votos vendus par lots.
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<center>Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.</center>Ex-voto avec la Vierge à l'ostensoir. Autour d'une statue de la Vierge, tenant de la main droite un ostensoir et sur le bras gauche l'Enfant Jésus, on peut voir 2 femmes agenouillées en prière, 2 navires, 2 falaises surmontée la première d'un mur et l'autre d'un fort gardé par un soldat. De nombreux drapeaux sont hissés sur les navires et sur les fortifications. On peut reconnaitre le pavillon du royaume de Sardaigne bleu au canton de Savoie sur le navire à 2 mâts et voiles carrées, un pavillon turco-barbaresque rouge frappé de 3 croissants d'or sur le navire à la voile latine, un pavillon espagnol jaune à 2 bandes rouges sur la muraille, un drapeau à queue d'hirondelle de l'ordre de Malte (ou du Danemark) sur le fort, un drapeau rouge, blanc, rouge et des flammes blanches et bleues.
Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.
Ex-voto avec la Vierge à l'ostensoir. Autour d'une statue de la Vierge, tenant de la main droite un ostensoir et sur le bras gauche l'Enfant Jésus, on peut voir 2 femmes agenouillées en prière, 2 navires, 2 falaises surmontée la première d'un mur et l'autre d'un fort gardé par un soldat. De nombreux drapeaux sont hissés sur les navires et sur les fortifications. On peut reconnaitre le pavillon du royaume de Sardaigne bleu au canton de Savoie sur le navire à 2 mâts et voiles carrées, un pavillon turco-barbaresque rouge frappé de 3 croissants d'or sur le navire à la voile latine, un pavillon espagnol jaune à 2 bandes rouges sur la muraille, un drapeau à queue d'hirondelle de l'ordre de Malte (ou du Danemark) sur le fort, un drapeau rouge, blanc, rouge et des flammes blanches et bleues.
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<center>Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.</center>La Vierge au bouquet. Le culte reprit en 1807. Escaramagne achète aux enchères une statue en bois de la Vierge à l’enfant du XVIIIe siècle qui provenait d’un couvent de religieux de Picpus, couvent qui se trouvait près du palais de justice mais démoli pendant la Révolution. Il l'offrit au sanctuaire. Le sceptre que tenait la Vierge, disparu sous la Révolution, est remplacé par un bouquet de fleurs, d'où le nom de la statue de « Vierge au bouquet ». Le samedi 4 avril, à huit heures du matin, elle est solennellement transportée sur le site par des hommes vêtus en lévites et pieds nus selon l'antique usage accompagnés par le curé de la Major, M. Jaubert.
Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.
La Vierge au bouquet. Le culte reprit en 1807. Escaramagne achète aux enchères une statue en bois de la Vierge à l’enfant du XVIIIe siècle qui provenait d’un couvent de religieux de Picpus, couvent qui se trouvait près du palais de justice mais démoli pendant la Révolution. Il l'offrit au sanctuaire. Le sceptre que tenait la Vierge, disparu sous la Révolution, est remplacé par un bouquet de fleurs, d'où le nom de la statue de « Vierge au bouquet ». Le samedi 4 avril, à huit heures du matin, elle est solennellement transportée sur le site par des hommes vêtus en lévites et pieds nus selon l'antique usage accompagnés par le curé de la Major, M. Jaubert.
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<center>Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.</center>La Vierge de Chanuel. En 1837, après la terrible épidémie de choléra, on commanda à l’artiste Chanuel une nouvelle statue en argent de la Vierge. Le modèle fut massé par le sculpteur Cortot, la statue elle-même fut faite au repoussé, selon le procédé de Benvenuto Cellinipar l'artiste Chanuel, en six ans. Le 2 juillet 1837 la statue est bénie par Mgr Fortuné de Mazenod sur le cours Belsunce puis apportée au sommet de la colline de la Garde. Pour lui céder la place, la Vierge au bouquet sera donnée à la chartreuse de Montrieux, mais retournera en 1979 au sanctuaire. Elle est actuellement exposée sur l’autel de la crypte. La statue d'argent de la Vierge est couronnée en juin 1931, au cours de fêtes très solennelles qui ont duré quatre jours et ont attiré à Marseille des foules énormes. Quarante-neuf évêques étaient présents et le pape avait désigné comme légat pontifical le cardinal Louis Maurin, archevêque de Lyon et ancien recteur de Notre-Dame de la Garde.
Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.
La Vierge de Chanuel. En 1837, après la terrible épidémie de choléra, on commanda à l’artiste Chanuel une nouvelle statue en argent de la Vierge. Le modèle fut massé par le sculpteur Cortot, la statue elle-même fut faite au repoussé, selon le procédé de Benvenuto Cellinipar l'artiste Chanuel, en six ans. Le 2 juillet 1837 la statue est bénie par Mgr Fortuné de Mazenod sur le cours Belsunce puis apportée au sommet de la colline de la Garde. Pour lui céder la place, la Vierge au bouquet sera donnée à la chartreuse de Montrieux, mais retournera en 1979 au sanctuaire. Elle est actuellement exposée sur l’autel de la crypte. La statue d'argent de la Vierge est couronnée en juin 1931, au cours de fêtes très solennelles qui ont duré quatre jours et ont attiré à Marseille des foules énormes. Quarante-neuf évêques étaient présents et le pape avait désigné comme légat pontifical le cardinal Louis Maurin, archevêque de Lyon et ancien recteur de Notre-Dame de la Garde.
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<center>Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.</center>
Les 5 statues de Notre-Dame de la Garde.
La statue monumentale du clocher. En 1866, la réalisation de la statue qui allait couronner l’édifice donna lieu à un concours. Lequesne fut retenu à l'unanimité par un jury. Plusieurs éléments furent appréciés : l'intervention personnelle de la Vierge jointe à celle de l'Enfant Jésus, le sourire de l'Enfant, les bras ouverts vers la ville, le drapé mouvementé soulignant la démarche de la Vierge. Enfin, en 1870, on érigea la statue monumentale qui surplombe le clocher. Œuvre d’Eugène Lequesne, elle n’est pas en métal plein, mais elle fut réalisée, en quatre tronçons, par l’entreprise Christofle selon un procédé nouveau à l’époque : la galvanoplastie. On la dora à la feuille d’or et elle est redorée tous les vingt-cinq ans environ. Haute de 11,20 m, elle pèse 9 796 kg.
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