Les Cathédrales de la Major.

L'ancienne cathédrale et la nouvelle, toutes les deux appelées La Major ou Sainte-Marie-Majeure, l'évêchée, la mairie du 2ème et du 3ème arrondissements.

<center>La Vieille Major</center>L'ancienne cathédrale est la plus ancienne église de Marseille construite sous l'épiscopat de Proculus en 381, sans doute en même temps qu'un très vaste baptistère (découvert en 1850). Ruinée par les incursions sarrasines (du VIIIe au Xe s.), l'église-cathédrale fut reconstruite au XIe s. L'église actuelle date du milieu du XIIe siècle. C'est un très bel exemple d'architecture romane provençale construit en pierre rose de La Couronne, selon un plan en croix latine.
La Vieille Major
L'ancienne cathédrale est la plus ancienne église de Marseille construite sous l'épiscopat de Proculus en 381, sans doute en même temps qu'un très vaste baptistère (découvert en 1850). Ruinée par les incursions sarrasines (du VIIIe au Xe s.), l'église-cathédrale fut reconstruite au XIe s. L'église actuelle date du milieu du XIIe siècle. C'est un très bel exemple d'architecture romane provençale construit en pierre rose de La Couronne, selon un plan en croix latine.
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<center>La Vieille Major</center>La construction de la nouvelle cathédrale a nécessité une amputation importante - deux travées - de l’ancienne cathédrale Sainte-Marie-Majeure (l’ancienne Major). L'église actuelle ne présente plus qu'une seule travée (elle en possédait cinq au XIe s.), le chœur du XIIe s., l'abside de la fin du XIe s., ainsi que le clocher, postérieur au XIIe s. Une nouvelle porte a été percée au Sud, et l'église a été murée à la hauteur de la première travée.
La Vieille Major
La construction de la nouvelle cathédrale a nécessité une amputation importante - deux travées - de l’ancienne cathédrale Sainte-Marie-Majeure (l’ancienne Major). L'église actuelle ne présente plus qu'une seule travée (elle en possédait cinq au XIe s.), le chœur du XIIe s., l'abside de la fin du XIe s., ainsi que le clocher, postérieur au XIIe s. Une nouvelle porte a été percée au Sud, et l'église a été murée à la hauteur de la première travée.
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<center>La Vieille Major</center>Vers 420 ? Construit sur le littoral rocheux, près d'un promontoire au-delà duquel s'étend l'anse de l'Ourse, le rempart défend la ville et sert aussi à manifester son importance.
Derrière sa haute muraille s'étend un quartier qui a été loti dans le second quart du VIe siècle avant notre ère. Au Ve siècle, son aspect a alors beaucoup changé, et pas seulement parce que les maisons, de type grec à l'origine, ont depuis longtemps été rebâties « à la romaine ». La principale nouveauté est que le quartier accueille désormais un groupe épiscopal, c'est-à-dire l'ensemble des bâtiments qui sont indispensables à la vie d'une communauté chrétienne : la cathédrale, le baptistère, la résidence de l'évêque. Sa construction est l'oeuvre de l'évêque Proculus ou de son successur Vénérius.
La Vieille Major
Vers 420 ? Construit sur le littoral rocheux, près d'un promontoire au-delà duquel s'étend l'anse de l'Ourse, le rempart défend la ville et sert aussi à manifester son importance. Derrière sa haute muraille s'étend un quartier qui a été loti dans le second quart du VIe siècle avant notre ère. Au Ve siècle, son aspect a alors beaucoup changé, et pas seulement parce que les maisons, de type grec à l'origine, ont depuis longtemps été rebâties « à la romaine ». La principale nouveauté est que le quartier accueille désormais un groupe épiscopal, c'est-à-dire l'ensemble des bâtiments qui sont indispensables à la vie d'une communauté chrétienne : la cathédrale, le baptistère, la résidence de l'évêque. Sa construction est l'oeuvre de l'évêque Proculus ou de son successur Vénérius.
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<center>La Vieille Major</center>Façade sud. La cathédrale du Moyen Âge. Le rempart garde toujours la ville. Mais il a été largement reconstruit en 1320, puis souvent remanié pour parer aux menaces en s'adaptant à l'évolution des armes de guerre. Les murs de la cathédrale prennent largement appui sur ceux de la cathédrale antique. Elle a été profondément transformée à partir du XIe siècle. Un chevet muni de trois absides lui a alors été ajouté à l'est, puis on a entrepris au XIIe siècle de la reconstruire, travée après travée, dans le style roman. Mais les deux dernières travées n'ont pas été édifiées et l'espace resté libre jusqu'au rempart a accueilli les bâtiments de la Prévôté, qui sont dévolus aux chanoines.
Au Moyen Âge, elle a reçu le vocable de Sainte Marie, puis pour la différencier avec Notre-Dame des Accoules, Sainte- Marie-Majeure ou la Major.
La Vieille Major
Façade sud. La cathédrale du Moyen Âge. Le rempart garde toujours la ville. Mais il a été largement reconstruit en 1320, puis souvent remanié pour parer aux menaces en s'adaptant à l'évolution des armes de guerre. Les murs de la cathédrale prennent largement appui sur ceux de la cathédrale antique. Elle a été profondément transformée à partir du XIe siècle. Un chevet muni de trois absides lui a alors été ajouté à l'est, puis on a entrepris au XIIe siècle de la reconstruire, travée après travée, dans le style roman. Mais les deux dernières travées n'ont pas été édifiées et l'espace resté libre jusqu'au rempart a accueilli les bâtiments de la Prévôté, qui sont dévolus aux chanoines. Au Moyen Âge, elle a reçu le vocable de Sainte Marie, puis pour la différencier avec Notre-Dame des Accoules, Sainte- Marie-Majeure ou la Major.
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<center>La Vieille Major</center>En 1420, la silhouette romane de la cathédrale a sensiblement été modifiée. Les absidioles du chevet ont fait place à des chapelles gothiques et elle compte deux clochers, dont le plus remarquable est le haut clocher-peigne qui a été élevé en 1379 au-dessus de son abside principale. Enfin un portail monumental, de style gothique, vient tout juste d'être construit sur la façade principale ouvrant sur la ville. Au nord, le baptistère antique est sans doute encore largement conservé, car il a fait l'objet d'importantes restaurations au début du XVe siècle. Mais le palais épiscopal a disparu, dès le VIIIe siècle sans doute, et l'évêque réside au Moyen Âge sur les hauteurs de la ville, butte des Carmes. À son emplacement, un vaste cimetière s'étend jusqu'à l'anse de l'Ourse.
La Vieille Major
En 1420, la silhouette romane de la cathédrale a sensiblement été modifiée. Les absidioles du chevet ont fait place à des chapelles gothiques et elle compte deux clochers, dont le plus remarquable est le haut clocher-peigne qui a été élevé en 1379 au-dessus de son abside principale. Enfin un portail monumental, de style gothique, vient tout juste d'être construit sur la façade principale ouvrant sur la ville. Au nord, le baptistère antique est sans doute encore largement conservé, car il a fait l'objet d'importantes restaurations au début du XVe siècle. Mais le palais épiscopal a disparu, dès le VIIIe siècle sans doute, et l'évêque réside au Moyen Âge sur les hauteurs de la ville, butte des Carmes. À son emplacement, un vaste cimetière s'étend jusqu'à l'anse de l'Ourse.
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<center>La Vieille Major</center>La cathédrale baroque.
Mi-septembre 1720 : après avoir commencé à bas bruit, la peste fait rage à Marseille. Sur la place devant la cathédrale, les cadavres abandonnés jonchent le sol; des forçats les traînent vers des tombereaux afin d'aller les jeter dans des fosses ouvertes à la hâte dans le cimetière au nord de l'édifice. Au long de la place, le rempart n'est plus qu'un parapet ; au-delà il sert de soubassement à la Prévôté qui a été agrandie au point de réutiliser comme terrasse une des tours de l'enceinte.
La métamorphose de la cathédrale n'est pas moindre, même si elle a conservé son ossature médiévale et son haut clocher-peigne. Elle compte depuis 1644 sur son flanc nord une « grande chapelle » perpendiculaire aux nefs romanes, dont la création a introduit dans l’édifice un nouvel axe qui fait d'elle une sorte d'église dans l'église.
La Vieille Major
La cathédrale baroque. Mi-septembre 1720 : après avoir commencé à bas bruit, la peste fait rage à Marseille. Sur la place devant la cathédrale, les cadavres abandonnés jonchent le sol; des forçats les traînent vers des tombereaux afin d'aller les jeter dans des fosses ouvertes à la hâte dans le cimetière au nord de l'édifice. Au long de la place, le rempart n'est plus qu'un parapet ; au-delà il sert de soubassement à la Prévôté qui a été agrandie au point de réutiliser comme terrasse une des tours de l'enceinte. La métamorphose de la cathédrale n'est pas moindre, même si elle a conservé son ossature médiévale et son haut clocher-peigne. Elle compte depuis 1644 sur son flanc nord une « grande chapelle » perpendiculaire aux nefs romanes, dont la création a introduit dans l’édifice un nouvel axe qui fait d'elle une sorte d'église dans l'église.
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<center>La Vieille Major</center>Maquette d'Hippolyte Augier (1830-1889). La cathédrale baroque s'ouvre sur le portail baroque monumental qui a été plaqué sur la façade méridionale de la cathédrale. À sa droite, une ancienne tour vient d'être réhabilitée pour supporter une horloge et son carillon. Au nord, le baptistère a disparu lors de la construction de la « grande chapelle ».
La Vieille Major
Maquette d'Hippolyte Augier (1830-1889). La cathédrale baroque s'ouvre sur le portail baroque monumental qui a été plaqué sur la façade méridionale de la cathédrale. À sa droite, une ancienne tour vient d'être réhabilitée pour supporter une horloge et son carillon. Au nord, le baptistère a disparu lors de la construction de la « grande chapelle ».
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<center>La Vieille Major</center>La porte de la façade Sud aujourd'hui.
La Vieille Major
La porte de la façade Sud aujourd'hui.
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<center>La Vieille Major</center>Le chevet roman encadré par les deux chapelles gothiques, chapelle du saint Sacrement et celle de Sérénus, à fond plat. La cathédrale primitive était de plan rectangulaire, et donc avec un chevet plat. Au XIe siècle, on construit un chevet à trois absidioles.
La Vieille Major
Le chevet roman encadré par les deux chapelles gothiques, chapelle du saint Sacrement et celle de Sérénus, à fond plat. La cathédrale primitive était de plan rectangulaire, et donc avec un chevet plat. Au XIe siècle, on construit un chevet à trois absidioles.
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<center>La Vieille Major</center>
La Vieille Major
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<center>La Vieille Major</center>De gauche à droite : la chapelle du Saint-Sacrement, l'abside, la chapelle Sérénus, l'ancienne sacristie capitulairee. Au-dessus, la toiture du transept et la tour Nord. La baie de la chapelle de Saint Sérénus est obturée.
La Vieille Major
De gauche à droite : la chapelle du Saint-Sacrement, l'abside, la chapelle Sérénus, l'ancienne sacristie capitulairee. Au-dessus, la toiture du transept et la tour Nord. La baie de la chapelle de Saint Sérénus est obturée.
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<center>La Vieille Major</center>L'abside est couverte en pierres, les pans étant reliés par des colonnettes rayonnant autour d'un motif circulaire central se prolongeant par un faîtage ouvragé.
La Vieille Major
L'abside est couverte en pierres, les pans étant reliés par des colonnettes rayonnant autour d'un motif circulaire central se prolongeant par un faîtage ouvragé.
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<center>La Vieille Major</center>L'abside est couverte en pierres, les pans étant reliés par des colonnettes rayonnant autour d'un motif circulaire central se prolongeant par un faîtage ouvragé.
La Vieille Major
L'abside est couverte en pierres, les pans étant reliés par des colonnettes rayonnant autour d'un motif circulaire central se prolongeant par un faîtage ouvragé.
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<center>La Vieille Major</center>Du XVe au XVIIe s. de nouvelles constructions furent ajoutées au Nord de l'église. Fortifiée, semble-t-il, l'église devait participer à la défense de la ville.
La Vieille Major
Du XVe au XVIIe s. de nouvelles constructions furent ajoutées au Nord de l'église. Fortifiée, semble-t-il, l'église devait participer à la défense de la ville.
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<center>La Vieille Major</center>Sur ce côté fut édifiée en 1643, sous l'impulsion de Mgr J.B Gault, une
La Vieille Major
Sur ce côté fut édifiée en 1643, sous l'impulsion de Mgr J.B Gault, une "grande chapelle", dédiée ensuite à la sainte Vierge au milieu du XVIIIe siècle. Cette construction privilégie l'axe Nord-Sud de la cathédrale, ce qui explique l'édification du grand portail de la façade Sud.
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<center>La Vieille Major</center>Vestiges de la chapelle de la Vierge.
La Vieille Major
Vestiges de la chapelle de la Vierge.
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<center>La Vieille Major</center>Cette figure féminine ailée est un décor de la chapelle de la Vierge.
La Vieille Major
Cette figure féminine ailée est un décor de la chapelle de la Vierge.
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<center>La Vieille Major</center>Cette figure féminine ailée est un décor de la chapelle de la Vierge. Elle tient dans sa main droite une palme, le bras gauche levé.
La Vieille Major
Cette figure féminine ailée est un décor de la chapelle de la Vierge. Elle tient dans sa main droite une palme, le bras gauche levé.
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<center>La Vieille Major</center>Restes de la deuxième travée de la nef qui correspond au bas-côté nord. A droite, la nef centrale plus haute.
La Vieille Major
Restes de la deuxième travée de la nef qui correspond au bas-côté nord. A droite, la nef centrale plus haute.
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<center>La Vieille Major</center>Restesdus bas-côté de la deuxième travée de la nef.
La Vieille Major
Restesdus bas-côté de la deuxième travée de la nef.
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<center>La Vieille Major</center>Restes de la deuxième travée de la nef. La nef centrale où se trouve, en contre-bas, la porte d'entrée.
La Vieille Major
Restes de la deuxième travée de la nef. La nef centrale où se trouve, en contre-bas, la porte d'entrée.
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<center>La Vieille Major</center>La nef. Restes de la deuxième travée de la nef.
La Vieille Major
La nef. Restes de la deuxième travée de la nef.
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<center>La Vieille Major</center>Bas-côté sud. Restes de la deuxième travée de la nef.
La Vieille Major
Bas-côté sud. Restes de la deuxième travée de la nef.
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<center>La Vieille Major</center>Les arcatures de l'abside heptagonale. Une seule a conservé ses colonnes en marbre avec chapiteaux, les autres retombent sur des pilastres. L'abside est précédée par une travée de choeur très étroite, couverte par un très grand arc en plein cintre, compris entre deux doubleaux retombant sur des pilastres simplement marqués d'une imposte.
La Vieille Major
Les arcatures de l'abside heptagonale. Une seule a conservé ses colonnes en marbre avec chapiteaux, les autres retombent sur des pilastres. L'abside est précédée par une travée de choeur très étroite, couverte par un très grand arc en plein cintre, compris entre deux doubleaux retombant sur des pilastres simplement marqués d'une imposte.
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<center>La Vieille Major</center>La travée de la nef et l'intérieur de la façade Ouest, construite lors de la démolition des deux premières travées, où se trouve aujourd'hui la porte d'entrée.
La Vieille Major
La travée de la nef et l'intérieur de la façade Ouest, construite lors de la démolition des deux premières travées, où se trouve aujourd'hui la porte d'entrée.
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<center>La Vieille Major</center>La nef est couverte par un berceau en plein cintre, reposant sur des doubleaux  à deux rouleaux. Elle communique avec les collatéraux par de grandes arcades en arc brisé.
La Vieille Major
La nef est couverte par un berceau en plein cintre, reposant sur des doubleaux à deux rouleaux. Elle communique avec les collatéraux par de grandes arcades en arc brisé.
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<center>La Vieille Major</center>La rosace est celle de l'ancienne église Saint Martin qui se trouvait aux environs de la poste Colbert.
La Vieille Major
La rosace est celle de l'ancienne église Saint Martin qui se trouvait aux environs de la poste Colbert.
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<center>La Vieille Major</center>Croisée du transept. Rectangulaire, pour la  ramener à un plan carré, on a utilisé cinq arcs segmentaires en encorbellement. Quatre trompes, ornées des symboles des quatre évangélistes, permettent de passer du plan carré au plan  octogonal de la coupole.
La Vieille Major
Croisée du transept. Rectangulaire, pour la ramener à un plan carré, on a utilisé cinq arcs segmentaires en encorbellement. Quatre trompes, ornées des symboles des quatre évangélistes, permettent de passer du plan carré au plan octogonal de la coupole.
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<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Quatre arcs à double rouleau forment la croisée du transept. La coupole octogonale nervée est montée, grâce à quatre trompes décorées des symboles des Evangélistes, sur un plan carré obtenu lui-même, à partir du rectangle de base, grâce à une double série, au Nord et au Sud, de cinq arcs en encorbellement. C'est là une solution typiquement provençale.
La Vieille Major
Avant rénovation. Quatre arcs à double rouleau forment la croisée du transept. La coupole octogonale nervée est montée, grâce à quatre trompes décorées des symboles des Evangélistes, sur un plan carré obtenu lui-même, à partir du rectangle de base, grâce à une double série, au Nord et au Sud, de cinq arcs en encorbellement. C'est là une solution typiquement provençale.
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<center>La Vieille Major</center>La coupole à huit pans a une coubure tendant vers la demi-sphère. Elle est sous-tendue par de fortes nervures carrées chanfreinées qui se rejoignent au sommet pour fomer la bordure d'un oculus central. Une corniche marque la naissance de la coupole et s'appuie sur huit culots décorés qui reçoivent aussi la retombée des nervures. Dans les pans nord et sud s'ouvre une petite baie en plein cintre.
La Vieille Major
La coupole à huit pans a une coubure tendant vers la demi-sphère. Elle est sous-tendue par de fortes nervures carrées chanfreinées qui se rejoignent au sommet pour fomer la bordure d'un oculus central. Une corniche marque la naissance de la coupole et s'appuie sur huit culots décorés qui reçoivent aussi la retombée des nervures. Dans les pans nord et sud s'ouvre une petite baie en plein cintre.
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<center>La Vieille Major</center>Les quatre trompes, en calcaire rose de la Couronne et en calcaire blanc de Saint Victor, sont ornées par un symbole en marbre gris d'un évangéliste, représenté de profil.
La Vieille Major
Les quatre trompes, en calcaire rose de la Couronne et en calcaire blanc de Saint Victor, sont ornées par un symbole en marbre gris d'un évangéliste, représenté de profil.
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<center>La Vieille Major</center>L'aigle de Saint Jean.
La Vieille Major
L'aigle de Saint Jean.
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<center>La Vieille Major</center>Le taureau de Saint Luc.
La Vieille Major
Le taureau de Saint Luc.
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<center>La Vieille Major</center>Le lion de Saint Marc.
La Vieille Major
Le lion de Saint Marc.
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<center>La Vieille Major</center>L'Homme de Saint Matthieu.
La Vieille Major
L'Homme de Saint Matthieu.
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<center>La Vieille Major</center>Du XIe siècle datent le mur-bahut et l'arcade centrale en pierre de taille qui a condammné la fenêtre axiale. Les colonnes et les pilastres reposent sur ce petit mur-bahut.
La Vieille Major
Du XIe siècle datent le mur-bahut et l'arcade centrale en pierre de taille qui a condammné la fenêtre axiale. Les colonnes et les pilastres reposent sur ce petit mur-bahut.
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<center>La Vieille Major</center>
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<center>La Vieille Major</center>Cette voûte a remplacé la voûte romane au XIVe siècle, peut-être pour soutenir la clocher construit en 1379 et qui fut détruit en 1798. Les arcs, au profil chanfreiné, se rejoignent pour former un anneau sommital. Ils retombent sur des culots
La Vieille Major
Cette voûte a remplacé la voûte romane au XIVe siècle, peut-être pour soutenir la clocher construit en 1379 et qui fut détruit en 1798. Les arcs, au profil chanfreiné, se rejoignent pour former un anneau sommital. Ils retombent sur des culots
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<center>La Vieille Major</center>Voûte de l'abside.
La Vieille Major
Voûte de l'abside.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle à gauche, en entrant, qui pourrait correspondre à la chapelle Notre-Dame des Grâces ou chapelle Saint Louis.
La Vieille Major
Chapelle à gauche, en entrant, qui pourrait correspondre à la chapelle Notre-Dame des Grâces ou chapelle Saint Louis.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle à gauche, en entrant, qui pourrait correspondre à la chapelle Notre-Dame des Grâces ou chapelle Saint Louis. Au fond, un enfeu.
La Vieille Major
Chapelle à gauche, en entrant, qui pourrait correspondre à la chapelle Notre-Dame des Grâces ou chapelle Saint Louis. Au fond, un enfeu.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Notre-Dame des Grâces ou chapelle Saint Louis.
La Vieille Major
Chapelle Notre-Dame des Grâces ou chapelle Saint Louis.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Notre-Dame des Grâces ou chapelle Saint Louis.
La Vieille Major
Chapelle Notre-Dame des Grâces ou chapelle Saint Louis.
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<center>La Vieille Major</center>Restes des mosaïques du Ve siècle.
La Vieille Major
Restes des mosaïques du Ve siècle.
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<center>La Vieille Major</center>Maquette face sud.
La Vieille Major
Maquette face sud.
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<center>La Vieille Major</center>Maquette face est (chevet).
La Vieille Major
Maquette face est (chevet).
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<center>La Vieille Major</center>Maquette face nord. Au premier plan, la chapelle des pénitents blancs, à droite, l'emplacement du Baptistère.
La Vieille Major
Maquette face nord. Au premier plan, la chapelle des pénitents blancs, à droite, l'emplacement du Baptistère.
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<center>La Vieille Major</center>L'emplacement du Baptistère.
La Vieille Major
L'emplacement du Baptistère.
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<center>La Vieille Major</center>La travée du transept qui permet de circuler entre les trois parties du chevet ( les deux chapelles, qui étaient des absidioles, et l'abside centrale). Au fond, la travée  nord du transept avec la porte de la sacristie capitulaire.
La Vieille Major
La travée du transept qui permet de circuler entre les trois parties du chevet ( les deux chapelles, qui étaient des absidioles, et l'abside centrale). Au fond, la travée nord du transept avec la porte de la sacristie capitulaire.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint Sérénus.
La Vieille Major
Chapelle Saint Sérénus.
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<center>La Vieille Major</center>Avant rénovaion. Travée Nord du transept donnant sur la chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
La Vieille Major
Avant rénovaion. Travée Nord du transept donnant sur la chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle. Ce devant d'autel - ou antependium - taillé à la toute fin du XIIe siècle dans un bloc de marbre blanc d'origine antique, est une pièce exceptionnelle qui ornait l'autel majeur de la cathédrale romane.
Inspiré des sarcophages chrétiens à colonnes du IVe siècle, il présente une triple arcade portée par des colonnettes dont les chapiteaux varient un fin décor végétal. Leurs archivoltes encadrent quatre figures symboliques qui font écho aux quatre Vivants ornant les trompes de la coupole de la cathédrale.
La Vieille Major
Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle. Ce devant d'autel - ou antependium - taillé à la toute fin du XIIe siècle dans un bloc de marbre blanc d'origine antique, est une pièce exceptionnelle qui ornait l'autel majeur de la cathédrale romane. Inspiré des sarcophages chrétiens à colonnes du IVe siècle, il présente une triple arcade portée par des colonnettes dont les chapiteaux varient un fin décor végétal. Leurs archivoltes encadrent quatre figures symboliques qui font écho aux quatre Vivants ornant les trompes de la coupole de la cathédrale.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle. Dans l'arcade centrale, la Vierge Marie, « reine du Ciel » coiffée d'une couronne gemmée et assise sur un trône, retient de ses mains son Enfant qui bénit de la main droite et déroule de la gauche un parchemin sur lequel est inscrit EGO SUM LUX MUNDI, « Je suis la Lumière du Monde ». Dans les arcades latérales figurent deux évêques qui sont sans doute saint  Lazare, l'archevêque d'Aix, confondu avec l'ami du Christ que l'on tenait au Moyen Âge pour avoir été le premier évêque de Marseille, et saint Cannat, un évêque de la ville pendant l'Antiquité tardive. Les archivoltes encadrent les quatre figures symboliques des évangélistes : l'homme de Matthieu, le lion de Marc, le boeuf de Luc et l'aigle de Jean.
La Vieille Major
Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle. Dans l'arcade centrale, la Vierge Marie, « reine du Ciel » coiffée d'une couronne gemmée et assise sur un trône, retient de ses mains son Enfant qui bénit de la main droite et déroule de la gauche un parchemin sur lequel est inscrit EGO SUM LUX MUNDI, « Je suis la Lumière du Monde ». Dans les arcades latérales figurent deux évêques qui sont sans doute saint Lazare, l'archevêque d'Aix, confondu avec l'ami du Christ que l'on tenait au Moyen Âge pour avoir été le premier évêque de Marseille, et saint Cannat, un évêque de la ville pendant l'Antiquité tardive. Les archivoltes encadrent les quatre figures symboliques des évangélistes : l'homme de Matthieu, le lion de Marc, le boeuf de Luc et l'aigle de Jean.
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<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Chapelle Saint Sérénus. Sur quatre colonnes repose une arcature décorée de grosses perles. Au-dessus des colonnes, entre les arcs espacés, les symboles des Évangélistes, aux ailes habilement disposées (de gauche à droite, l'homme de st Matthieu, le lion de st Marc, le taureau de st Luc et l'aigle de st Jean).
Dans les trois niches, deux ecclésiastiques : selon la tradition, Saint Lazare et Saint Cannat.
Le personnage de droite, tenant un livre est présenté en
La Vieille Major
Avant rénovation. Chapelle Saint Sérénus. Sur quatre colonnes repose une arcature décorée de grosses perles. Au-dessus des colonnes, entre les arcs espacés, les symboles des Évangélistes, aux ailes habilement disposées (de gauche à droite, l'homme de st Matthieu, le lion de st Marc, le taureau de st Luc et l'aigle de st Jean). Dans les trois niches, deux ecclésiastiques : selon la tradition, Saint Lazare et Saint Cannat. Le personnage de droite, tenant un livre est présenté en "enseignant". Celui de gauche est présenté en "voyageur", et fait un geste de la main. Au centre, la Vierge avec, sur ses genoux, l'Enfant, seul personnage nimbé, qui tient un rouleau où on lit "Ego sum Lux Mundi", "je suis la Lumière de Monde". Ce relief est une face d'un ancien sarcophage ou l'ornement du maître-autel, il daterait de la fin du XIIe siècle.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
La Vieille Major
Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
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Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
La Vieille Major
Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
La Vieille Major
Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
La Vieille Major
Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle. Enfeu du début du XVe siècle dans lequel était placé la mise au tombeau, un chef-d'œuvre d'Andrea Della Robbia.
La Vieille Major
Chapelle Saint-Sérénus, XIVe siècle. Enfeu du début du XVe siècle dans lequel était placé la mise au tombeau, un chef-d'œuvre d'Andrea Della Robbia.
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<center>La Vieille Major</center>2023. Remise en place du bas-relief en faïence. La mise au tombeau, attribuée à l'atelier du sculpteur italien Luca Della Robbia (fin XVe-début XVIe siècle), en perticulier par son neveu Andrea. C'est une terre-cuite glaçurée des années 1522-1525.
La Vieille Major
2023. Remise en place du bas-relief en faïence. La mise au tombeau, attribuée à l'atelier du sculpteur italien Luca Della Robbia (fin XVe-début XVIe siècle), en perticulier par son neveu Andrea. C'est une terre-cuite glaçurée des années 1522-1525.
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<center>La Vieille Major</center>Autour du corps du Christ, Saint Jean, le seul tourné vers la droite, la Vierge Marie, Marie Jacobé, Marie Salomé et Marie Madeleine agenouillée aux pieds du Christ. A droite, debout, un personnage inhabituel, probablement Sara ; sa présence porte à croire que l'oeuvre est associée au renouveau du culte des Saintes Maries à la suite de la découverte de leur sépulture en 1448 par le Roi René. Ce personnage pourrait être aussi Marthe, la sœur de Marie-Madeleine. Quatre anges en vol accentuent la solennité de la scène.
La Vieille Major
Autour du corps du Christ, Saint Jean, le seul tourné vers la droite, la Vierge Marie, Marie Jacobé, Marie Salomé et Marie Madeleine agenouillée aux pieds du Christ. A droite, debout, un personnage inhabituel, probablement Sara ; sa présence porte à croire que l'oeuvre est associée au renouveau du culte des Saintes Maries à la suite de la découverte de leur sépulture en 1448 par le Roi René. Ce personnage pourrait être aussi Marthe, la sœur de Marie-Madeleine. Quatre anges en vol accentuent la solennité de la scène.
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<center>La Vieille Major</center>
La Vieille Major
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<center>La Vieille Major</center>Le commanditaire est sans doute Dominique Séguier, capitaine au service de Charles III d'Anjou, dont la tante était la reine Jeanne qui avait fait assassiner son père, patron de navires et maître d'hôtel du Roi sous Charles VIII et Louis XII.
La Vieille Major
Le commanditaire est sans doute Dominique Séguier, capitaine au service de Charles III d'Anjou, dont la tante était la reine Jeanne qui avait fait assassiner son père, patron de navires et maître d'hôtel du Roi sous Charles VIII et Louis XII.
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<center>La Vieille Major</center>Avant restauration. Au XIXe siècle, la hampe de la croix a été surélevée par un ajout en marbre afin de remplacer deux blasons perdus peints sur cuivre.
La Vieille Major
Avant restauration. Au XIXe siècle, la hampe de la croix a été surélevée par un ajout en marbre afin de remplacer deux blasons perdus peints sur cuivre.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint Sérénus.
La Vieille Major
Chapelle Saint Sérénus.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint Sérénus.
La Vieille Major
Chapelle Saint Sérénus.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint Sérénus.
La Vieille Major
Chapelle Saint Sérénus.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint Sérénus.
La Vieille Major
Chapelle Saint Sérénus.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint Sérénus.
La Vieille Major
Chapelle Saint Sérénus.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint Lazare de Francesco Laurana réalisée en marbre blanc entre 1477 et 1481. Sous l'arc en plein cintre de gauche se trouve un autel, sous celui de droite une armoire à reliques et un petit autel en calcaire.. Aux retombées des arcs, trois statues : saint Cannat avec un roseau, saint Victor en armure avec la lance et le bouclier, saint Lazare avec la barque et le flambeau. Au sommet, cinq statues : aux extrémités, deux évêques, au centre une Vierge à l'Enfant encadrée par les deux soeur s Marthe et Marie-Madeleine.
La Vieille Major
Chapelle Saint Lazare de Francesco Laurana réalisée en marbre blanc entre 1477 et 1481. Sous l'arc en plein cintre de gauche se trouve un autel, sous celui de droite une armoire à reliques et un petit autel en calcaire.. Aux retombées des arcs, trois statues : saint Cannat avec un roseau, saint Victor en armure avec la lance et le bouclier, saint Lazare avec la barque et le flambeau. Au sommet, cinq statues : aux extrémités, deux évêques, au centre une Vierge à l'Enfant encadrée par les deux soeur s Marthe et Marie-Madeleine.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle Saint Lazare de Francesco Laurana réalisée en marbre blanc entre 1477 et 1481. Sous l'arc en plein cintre de gauche se trouve un autel, sous celui de droite une armoire à reliques et un petit autel en calcaire.. Aux retombées des arcs, trois statues : saint Cannat avec un roseau, saint Victor en armure avec la lance et le bouclier, saint Lazare avec la barque et le flambeau. Au sommet, cinq statues : aux extrémités, deux évêques, au centre une Vierge à l'Enfant encadrée par les deux soeur stes Marthe et Marie-Madeleine.
La Vieille Major
Chapelle Saint Lazare de Francesco Laurana réalisée en marbre blanc entre 1477 et 1481. Sous l'arc en plein cintre de gauche se trouve un autel, sous celui de droite une armoire à reliques et un petit autel en calcaire.. Aux retombées des arcs, trois statues : saint Cannat avec un roseau, saint Victor en armure avec la lance et le bouclier, saint Lazare avec la barque et le flambeau. Au sommet, cinq statues : aux extrémités, deux évêques, au centre une Vierge à l'Enfant encadrée par les deux soeur stes Marthe et Marie-Madeleine.
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<center>La Vieille Major</center>Avant restauration. Autel de saint Lazare, en marbre de Carrare sculpté de 1475 à 1481 par Franjo Vranjanin, dit Francesco Laurana, sculpteur croate de l'école italienne.  Saint Lazare en haut-relief est assis sur un trône dont le soubassement est décoré de deux anges présentant un écu devenu illisible. De part et d'autre Sainte Marie Madeleine et Sainte Marthe.
La Vieille Major
Avant restauration. Autel de saint Lazare, en marbre de Carrare sculpté de 1475 à 1481 par Franjo Vranjanin, dit Francesco Laurana, sculpteur croate de l'école italienne. Saint Lazare en haut-relief est assis sur un trône dont le soubassement est décoré de deux anges présentant un écu devenu illisible. De part et d'autre Sainte Marie Madeleine et Sainte Marthe.
78
<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Autel de saint Lazare. Ste Marthe avec l'encensoir et la Tarasque enchaînée à ses pieds en train de dévorer un homme.
La Vieille Major
Avant rénovation. Autel de saint Lazare. Ste Marthe avec l'encensoir et la Tarasque enchaînée à ses pieds en train de dévorer un homme.
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<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Autel de saint Lazare. Ste Marie-Madeleine, avec le vase de parfum.
La Vieille Major
Avant rénovation. Autel de saint Lazare. Ste Marie-Madeleine, avec le vase de parfum.
80
<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Autel de saint Lazare. La prédelle montre sept bas-reliefs : la résurrection du fils de la veuve de Naïm, celle de Lazare, le repas chez Simon.
La Vieille Major
Avant rénovation. Autel de saint Lazare. La prédelle montre sept bas-reliefs : la résurrection du fils de la veuve de Naïm, celle de Lazare, le repas chez Simon.
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<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Autel de saint Lazare. Le repas chez Simon, au centre la barque arrivant à Marseille, Marie Madeleine prêchant aux Marseillais.
La Vieille Major
Avant rénovation. Autel de saint Lazare. Le repas chez Simon, au centre la barque arrivant à Marseille, Marie Madeleine prêchant aux Marseillais.
82
<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Autel de saint Lazare. Marie Madeleine prêchant aux Marseillais, le sacre de Saint Lazare, sa décapitation.
La Vieille Major
Avant rénovation. Autel de saint Lazare. Marie Madeleine prêchant aux Marseillais, le sacre de Saint Lazare, sa décapitation.
83
<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Cette gloire se trouvait dans l'église St Martin, elle est en marbre et a été sculpté par Antoine Duparc en 1744. C'est un ciborium avec des angelots joufflus. Deux sont à genoux, un portait un encensoir en bronze. Les deux autres, au-dessus, sont courbés sous le poids du baldaquin qui a disparu. On voit aussi, dans les volutes, trois petits chérubins battant des ailes. Elle est exposée, aujourd'hui, au Musée d'Histoire.
La Vieille Major
Avant rénovation. Cette gloire se trouvait dans l'église St Martin, elle est en marbre et a été sculpté par Antoine Duparc en 1744. C'est un ciborium avec des angelots joufflus. Deux sont à genoux, un portait un encensoir en bronze. Les deux autres, au-dessus, sont courbés sous le poids du baldaquin qui a disparu. On voit aussi, dans les volutes, trois petits chérubins battant des ailes. Elle est exposée, aujourd'hui, au Musée d'Histoire.
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<center>Musée d'histoire de Marseille</center>Cette gloire se trouvait dans l'église St Martin, elle est en marbre et a été sculpté par Antoine Duparc en 1744. C'est un ciborium avec des angelots joufflus. Deux sont à genoux, un portait un encensoir en bronze. Les deux autres, au-dessus, sont courbés sous le poids du baldaquin qui a disparu. On voit aussi, dans les volutes, trois petits chérubins battant des ailes. Elle est exposée, aujourd'hui, au Musée d'Histoire.
Musée d'histoire de Marseille
Cette gloire se trouvait dans l'église St Martin, elle est en marbre et a été sculpté par Antoine Duparc en 1744. C'est un ciborium avec des angelots joufflus. Deux sont à genoux, un portait un encensoir en bronze. Les deux autres, au-dessus, sont courbés sous le poids du baldaquin qui a disparu. On voit aussi, dans les volutes, trois petits chérubins battant des ailes. Elle est exposée, aujourd'hui, au Musée d'Histoire.
85
<center>La Vieille Major</center>Travée sud de la nef. Autel à la mémoire de la famille de Bricard, 1500-1653.  En 1652, Gaspard Puget édifie ici les fonts baptismaux constitués d'un baldaquin, disparu depuis, et d'un sarcophage antique conservé au musé d'histoire. Les prieurs commandent ensuite à Pierre Puget deux tableaux conservés au Musée des Beaux Arts : le baptême de Constantin et le baptême de Clovis.
La Vieille Major
Travée sud de la nef. Autel à la mémoire de la famille de Bricard, 1500-1653. En 1652, Gaspard Puget édifie ici les fonts baptismaux constitués d'un baldaquin, disparu depuis, et d'un sarcophage antique conservé au musé d'histoire. Les prieurs commandent ensuite à Pierre Puget deux tableaux conservés au Musée des Beaux Arts : le baptême de Constantin et le baptême de Clovis.
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<center>La Vieille Major</center>Cathédrale de la Vieille Major, XVIIe siècle Seconde moitié du IIIe siècle apr. J.-C. Marbre.
Sarcophage à strigiles et trois panneaux figurant le défunt accompagné de Muses. Découvert près de la cathédrale, il fut employé par Pierre Puget pour servir de fonts baptismaux dans la Vieille Major.
La Vieille Major
Cathédrale de la Vieille Major, XVIIe siècle Seconde moitié du IIIe siècle apr. J.-C. Marbre. Sarcophage à strigiles et trois panneaux figurant le défunt accompagné de Muses. Découvert près de la cathédrale, il fut employé par Pierre Puget pour servir de fonts baptismaux dans la Vieille Major.
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<center>La Vieille Major</center>Pierre Puget. (Marseille, 1620-1694). Le Baptême de Clovis. 1653. Huile sur toile.
La Vieille Major
Pierre Puget. (Marseille, 1620-1694). Le Baptême de Clovis. 1653. Huile sur toile.
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<center>La Vieille Major</center>Pierre Puget. Le Baptême de Constantin, 1653. Huile sur toile.
La Vieille Major
Pierre Puget. Le Baptême de Constantin, 1653. Huile sur toile.
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<center>La Vieille Major</center>Bras sud du transept.
La Vieille Major
Bras sud du transept.
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<center>La Vieille Major</center>Travée sud du transept voûtée de demi-arcs- de-cloître sur trompes d'angle.
La Vieille Major
Travée sud du transept voûtée de demi-arcs- de-cloître sur trompes d'angle.
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<center>La Vieille Major</center>Travée sud du transept voûtée de demi-arcs- de-cloître sur trompes d'angle. Elle précède la chapelle du Saint Sacrement dont on peut voir la voûte.
La Vieille Major
Travée sud du transept voûtée de demi-arcs- de-cloître sur trompes d'angle. Elle précède la chapelle du Saint Sacrement dont on peut voir la voûte.
92
<center>La Vieille Major</center>Chapelle du Saint Sacrement ou chapelle du Corpus Dominy. Les prieurs de la Luminaire du Corpus Dominy commandent en 1655 à Pierre Puget le tableau
La Vieille Major
Chapelle du Saint Sacrement ou chapelle du Corpus Dominy. Les prieurs de la Luminaire du Corpus Dominy commandent en 1655 à Pierre Puget le tableau "Le Sauveur du Monde" pour le retable de l'autel.
93
<center>La Vieille Major</center>Chapelle du Saint Sacrement. Ce cénotaphe fut élevé en 1822 par les pénitents blancs pour Monseigneur de Belsunce. En haut, le blason de Monseigneur de Belsunce, car il était noble et les évêques étaient baron d'Aubagne. En dessous, une tête de mort avec deux tibias croisés et deux angelots pleurant.
La Vieille Major
Chapelle du Saint Sacrement. Ce cénotaphe fut élevé en 1822 par les pénitents blancs pour Monseigneur de Belsunce. En haut, le blason de Monseigneur de Belsunce, car il était noble et les évêques étaient baron d'Aubagne. En dessous, une tête de mort avec deux tibias croisés et deux angelots pleurant.
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<center>La Vieille Major</center>Avant rénovation. Ce cénotaphe fut élevé en 1822 par les pénitents blancs pour Monseigneur de Belsunce. En haut, le blason de Monseigneur de Belsunce, car il était noble et les évêques étaient baron d'Aubagne. En dessous, une tête de mort avec deux tibias croisés et deux angelots pleurant.
La Vieille Major
Avant rénovation. Ce cénotaphe fut élevé en 1822 par les pénitents blancs pour Monseigneur de Belsunce. En haut, le blason de Monseigneur de Belsunce, car il était noble et les évêques étaient baron d'Aubagne. En dessous, une tête de mort avec deux tibias croisés et deux angelots pleurant.
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle du Saint Sacrement. Enfeu
La Vieille Major
Chapelle du Saint Sacrement. Enfeu
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<center>La Vieille Major</center>Chapelle du Saint Sacrement.
La Vieille Major
Chapelle du Saint Sacrement.
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<center>La Vieille Major</center>Pilier du transept.
La Vieille Major
Pilier du transept.
98
<center>La Vieille Major</center>Dalles des caveaux en sous-sol. Elles portaient un numéro.
La Vieille Major
Dalles des caveaux en sous-sol. Elles portaient un numéro.
99
<center>Entrée du port de la Joliette.</center>Située à l'entrée du port, la Cathédrale affirme la position de Marseille comme porte de l'Orient.  A droite, la Désirade, élégante tourelle qui signale une pointe de rochers.
Entrée du port de la Joliette.
Située à l'entrée du port, la Cathédrale affirme la position de Marseille comme porte de l'Orient. A droite, la Désirade, élégante tourelle qui signale une pointe de rochers.
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<center>Entrée du port de la Joliette.</center>
Entrée du port de la Joliette.
101
<center>Entrée du port de la Joliette.</center>A gauche, le MuCEM, derrière lui, la Villa Méditerranée, la cathédrale. A droite la tour du Fanal, avec, derrière, les immeubles Pouillon.
Entrée du port de la Joliette.
A gauche, le MuCEM, derrière lui, la Villa Méditerranée, la cathédrale. A droite la tour du Fanal, avec, derrière, les immeubles Pouillon.
102
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La cathédrale que l'on a appelée, comme l'ancienne, la Major ou Sainte-Marie-Majeure, a été bâtie de 1852 à 1893 dans le style byzantin (coupoles, décoration de mosaïques), mais avec le plan des églises gothiques et de nombreux détails empruntés à l'architecture romane. Louis-Napoléon Bonaparte pose la première pierre de la nouvelle cathédrale le 26 septembre 1852, elle est consacrée le 6 mai 1897. Les plans sont de l'architecte Léon Vaudoyer. A sa mort, en 1872, Henry Espérandieu reprend le chantier jusqu'à sa propre disparition en 1874. C'est enfin Henri Révoil qui achève la nouvelle cathédrale.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La cathédrale que l'on a appelée, comme l'ancienne, la Major ou Sainte-Marie-Majeure, a été bâtie de 1852 à 1893 dans le style byzantin (coupoles, décoration de mosaïques), mais avec le plan des églises gothiques et de nombreux détails empruntés à l'architecture romane. Louis-Napoléon Bonaparte pose la première pierre de la nouvelle cathédrale le 26 septembre 1852, elle est consacrée le 6 mai 1897. Les plans sont de l'architecte Léon Vaudoyer. A sa mort, en 1872, Henry Espérandieu reprend le chantier jusqu'à sa propre disparition en 1874. C'est enfin Henri Révoil qui achève la nouvelle cathédrale.
103
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>De style romano-byzantin, elle est en forme de croix latine avec déambulatoire. Sa longueur totale est de 146 m, la coupole principale a prèsde 70 m de hauteur et 18 m de diamètre. Elle a été construite sur un promontoire dominant la mer.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
De style romano-byzantin, elle est en forme de croix latine avec déambulatoire. Sa longueur totale est de 146 m, la coupole principale a prèsde 70 m de hauteur et 18 m de diamètre. Elle a été construite sur un promontoire dominant la mer.
104
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>L’édification de la cathédrale donna lieu à d’importants travaux de terrassement et de remblaiement qui permirent de gagner des terrains sur la mer à l’emplacement de l’anse de l’Ourse et de créer de nouveaux quais, tout en étayant l’esplanade sur laquelle elle allait prendre place.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
L’édification de la cathédrale donna lieu à d’importants travaux de terrassement et de remblaiement qui permirent de gagner des terrains sur la mer à l’emplacement de l’anse de l’Ourse et de créer de nouveaux quais, tout en étayant l’esplanade sur laquelle elle allait prendre place.
105
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La Ville décida de créer des entrepôts, les Voûtes, au flanc du promontoire servant de socle à la cathédrale, le long des quais. Visuellement, ces entrepôts s’inscrivaient en « avant plan » de la cathédrale. Leur architecture fit donc l’objet d’un soin tout particulier. Etienne Delestrac, ingénieur de la ville, a dirigé les travaux de fondations de l'esplanade dominant la Méditerranée de 9 mètres et du mur de soutènement à arcades donnant accès aux magasins bordant la plateforme qui constitue l'assise du bâtiment.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La Ville décida de créer des entrepôts, les Voûtes, au flanc du promontoire servant de socle à la cathédrale, le long des quais. Visuellement, ces entrepôts s’inscrivaient en « avant plan » de la cathédrale. Leur architecture fit donc l’objet d’un soin tout particulier. Etienne Delestrac, ingénieur de la ville, a dirigé les travaux de fondations de l'esplanade dominant la Méditerranée de 9 mètres et du mur de soutènement à arcades donnant accès aux magasins bordant la plateforme qui constitue l'assise du bâtiment.
106
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Vaudoyer puis Espérandieu mirent en harmonie la façade de ces « espaces commerciaux » avec celle de la cathédrale : le dessin des arcades de chaque magasin faisait écho aux arcatures du transept de la cathédrale tandis qu’un bel escalier à double volée agrémenté d’une fontaine en pierre de taille assurait la jonction entre, d’une part le podium de la Major, et d’autre part, les Voûtes et les quais où accostaient les navires de commerce.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Vaudoyer puis Espérandieu mirent en harmonie la façade de ces « espaces commerciaux » avec celle de la cathédrale : le dessin des arcades de chaque magasin faisait écho aux arcatures du transept de la cathédrale tandis qu’un bel escalier à double volée agrémenté d’une fontaine en pierre de taille assurait la jonction entre, d’une part le podium de la Major, et d’autre part, les Voûtes et les quais où accostaient les navires de commerce.
107
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Si les Voûtes gardent leur vocation commerciale jusqu’au milieu des années 70, occupées notamment par la corporation des peseurs jurés de Marseille et par la société Margnat, elles n’en connaissent pas moins de profonds bouleversements liés aux nombreux travaux réalisés dans ce secteur dès le début du XX° siècle. A la fin des années 70 elles sont fermées et leur accès est condamné.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Si les Voûtes gardent leur vocation commerciale jusqu’au milieu des années 70, occupées notamment par la corporation des peseurs jurés de Marseille et par la société Margnat, elles n’en connaissent pas moins de profonds bouleversements liés aux nombreux travaux réalisés dans ce secteur dès le début du XX° siècle. A la fin des années 70 elles sont fermées et leur accès est condamné.
108
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Aujourd'hui les voûtes abritent des commerces.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Aujourd'hui les voûtes abritent des commerces.
109
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La fontaine des Trois Dauphins. Cet escalier à double volée permet d’accéder à l'esplanade, neuf mètres plus haut.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La fontaine des Trois Dauphins. Cet escalier à double volée permet d’accéder à l'esplanade, neuf mètres plus haut.
110
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La fontaine des Trois Dauphins. L’escalier de la rue Marchetti et l’escalier central des Voûtes de la Major ont fait l’objet en 2015 d’une restauration qui a permis à la grande surprise des promoteurs de mettre à jour une magnifique fontaine flanquée de trois poissons à sa base et de deux angelots portant les armes de la ville de Marseille à son sommet.
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La fontaine des Trois Dauphins. L’escalier de la rue Marchetti et l’escalier central des Voûtes de la Major ont fait l’objet en 2015 d’une restauration qui a permis à la grande surprise des promoteurs de mettre à jour une magnifique fontaine flanquée de trois poissons à sa base et de deux angelots portant les armes de la ville de Marseille à son sommet.
111
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La fontaine des Trois Dauphins. Une fontaine bâtie en 1852 et oubliée sous des litres de béton armé coulés vers 1950 ! Un véritable trésor rénové avec soin.
 A cet emplacement avait été détruit en 1962 une fontaine en pierre de taille ainsi qu’un bel escalier à double volée qui assurait la jonction entre, d’une part le podium de la Major, et d’autre part, les Voûtes et les quais où accostaient les navires de commerce via une passerelle en béton de 18 mètres de large.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La fontaine des Trois Dauphins. Une fontaine bâtie en 1852 et oubliée sous des litres de béton armé coulés vers 1950 ! Un véritable trésor rénové avec soin. A cet emplacement avait été détruit en 1962 une fontaine en pierre de taille ainsi qu’un bel escalier à double volée qui assurait la jonction entre, d’une part le podium de la Major, et d’autre part, les Voûtes et les quais où accostaient les navires de commerce via une passerelle en béton de 18 mètres de large.
112
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La fontaine des Trois Dauphins . Avant rénovation, 2013.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La fontaine des Trois Dauphins . Avant rénovation, 2013.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La fontaine des Trois Dauphins.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La fontaine des Trois Dauphins.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La fontaine des Trois Dauphins . Avant rénovation, 2013.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La fontaine des Trois Dauphins . Avant rénovation, 2013.
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<center>La fontaine des Trois Dauphins.</center>
La fontaine des Trois Dauphins.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Un des dauphins.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Un des dauphins.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La fontaine des Trois Dauphins. Deux angelots supportent les armes de la ville de Marseille, avec l'inscription Massilia Civitas.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La fontaine des Trois Dauphins. Deux angelots supportent les armes de la ville de Marseille, avec l'inscription Massilia Civitas.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La fontaine des Trois Dauphins . Avant rénovation, 2013.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La fontaine des Trois Dauphins . Avant rénovation, 2013.
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<center>La Cathédrale. </center>L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
La Cathédrale.
L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
L'escalier à double volée qui permet d’accéder à l'esplanade.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>L'esplanade. Les matériaux utilisés pour la construction de cette cathédrale de style byzantin sont très variés : pierre verte de Fiosole, près de Florence, marbre blanc de Carrare, pierres de Calissane et du Gard, onyx d'Italie et de Tunisie, mosaïques de Venise. Le dôme du transept Ouest, et derrière, le dôme central.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
L'esplanade. Les matériaux utilisés pour la construction de cette cathédrale de style byzantin sont très variés : pierre verte de Fiosole, près de Florence, marbre blanc de Carrare, pierres de Calissane et du Gard, onyx d'Italie et de Tunisie, mosaïques de Venise. Le dôme du transept Ouest, et derrière, le dôme central.
125
<center>La Cathédrale. </center>La présence simultanée de clochers et de coupoles est due à la volonté de l'architecte Vaudoyer de faire référence à l'Occident et à l'Orient, sur le modèle de Notre-Dame des Doms à Avignon. Mais ses dômes et ses coupoles rappellent ceux des églises d'Istanbul.
La Cathédrale.
La présence simultanée de clochers et de coupoles est due à la volonté de l'architecte Vaudoyer de faire référence à l'Occident et à l'Orient, sur le modèle de Notre-Dame des Doms à Avignon. Mais ses dômes et ses coupoles rappellent ceux des églises d'Istanbul.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Côté Est où se trouve la Vieille Major, à droite.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Côté Est où se trouve la Vieille Major, à droite.
127
<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Les façades extérieures et les différentes hauteurs des couvrements traduisent très bien, par leurs divisions, les divers volumes intérieurs, encore soulignés par la présence de tourelles qui font fonction de séparation pour chaque partie de l'édifice.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Les façades extérieures et les différentes hauteurs des couvrements traduisent très bien, par leurs divisions, les divers volumes intérieurs, encore soulignés par la présence de tourelles qui font fonction de séparation pour chaque partie de l'édifice.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Elle est érigée en basilique mineure par Léon XII le 24 janvier 1896. Son appellation populaire, la Major, lui vient de son nom en occitan qui s'est conservé depuis la fondation de la première Major, au XIIe siècle. La cathédrale est consacrée le 6 mai 1897.
Sainte-Marie-Majeure (souvent appelée « la Major ») est la seule cathédrale édifiée en France au XIXe siècle. Elle est considérée comme l’une des plus grandes cathédrales bâties dans ce pays depuis le Moyen Âge.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Elle est érigée en basilique mineure par Léon XII le 24 janvier 1896. Son appellation populaire, la Major, lui vient de son nom en occitan qui s'est conservé depuis la fondation de la première Major, au XIIe siècle. La cathédrale est consacrée le 6 mai 1897. Sainte-Marie-Majeure (souvent appelée « la Major ») est la seule cathédrale édifiée en France au XIXe siècle. Elle est considérée comme l’une des plus grandes cathédrales bâties dans ce pays depuis le Moyen Âge.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le J4, vu de l'esplanade de la cathédrtale.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Le J4, vu de l'esplanade de la cathédrtale.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le J4, vu de l'esplanade de la cathédrtale.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Le J4, vu de l'esplanade de la cathédrtale.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Escalier à l'arrière de la cathédrale. Le dôme central, flanqué des deux coupoles du transept. Devant ce dôme, la coupole au-dessus du ciborium qui est à moitié cachée par le dôme de la chapelle de la Vierge.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Escalier à l'arrière de la cathédrale. Le dôme central, flanqué des deux coupoles du transept. Devant ce dôme, la coupole au-dessus du ciborium qui est à moitié cachée par le dôme de la chapelle de la Vierge.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Escalier à l'arrière de la cathédrale.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Escalier à l'arrière de la cathédrale.
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<center>La Cathédrale. </center>Escalier permettant d'accéder au parvis de la cathédrale.
La Cathédrale.
Escalier permettant d'accéder au parvis de la cathédrale.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Escalier à l'arrière de la cathédrale.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Escalier à l'arrière de la cathédrale.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Escalier à l'arrière de la cathédrale.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Escalier à l'arrière de la cathédrale.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le chevet. La coupole principale s’élève à 70 m de hauteur pour un diamètre de 17.70 m. Elle est flanquée de deux coupoles secondaires au dessus du transept. Au premier plan, l'abside de la chapelle de la Vierge, avec, de chaque côté, les chapelles du déambulatoire.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Le chevet. La coupole principale s’élève à 70 m de hauteur pour un diamètre de 17.70 m. Elle est flanquée de deux coupoles secondaires au dessus du transept. Au premier plan, l'abside de la chapelle de la Vierge, avec, de chaque côté, les chapelles du déambulatoire.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Côté Est de la cathédrale.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Côté Est de la cathédrale.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Côté Est de la cathédrale. Les nouvelles sacristies ont été édifiées en 1941, séparées de la cathédrale par un jardin intérieur.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Côté Est de la cathédrale. Les nouvelles sacristies ont été édifiées en 1941, séparées de la cathédrale par un jardin intérieur.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Devant la coupole principale, on peut voir  la coupole située  au dessus du ciborium, tandis que celle sans baies, est placée au dessus de la chapelle de la Vierge. En bas, trois des chapelles du déambulatoire, et, à gauche, la chapelle saint Lazare, devant le transept Est.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Devant la coupole principale, on peut voir la coupole située au dessus du ciborium, tandis que celle sans baies, est placée au dessus de la chapelle de la Vierge. En bas, trois des chapelles du déambulatoire, et, à gauche, la chapelle saint Lazare, devant le transept Est.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La chapelle de la Vierge qui accueille aujourd'hui le tombeau d'Eugène de Mazenod. La galerie à arcades se trouve au-dessus du presbytérium.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La chapelle de la Vierge qui accueille aujourd'hui le tombeau d'Eugène de Mazenod. La galerie à arcades se trouve au-dessus du presbytérium.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Deux chapelles du déambulatoire, et, à gauche, la chapelle saint Lazare.
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Deux chapelles du déambulatoire, et, à gauche, la chapelle saint Lazare.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Transept Est
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Transept Est
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Transept Est
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Transept Est
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Transept Est
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Transept Est
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Transept Est et le dôme principal.
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Transept Est et le dôme principal.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme principal et son clocheton.
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Le dôme principal et son clocheton.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le clocheton.
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Le clocheton.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme principal.
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Le dôme principal.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Dôme du transept Est entouré de deux clochetons. Au premier plan, la tour de l'ancienne major et la toiture de l'abside..
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Dôme du transept Est entouré de deux clochetons. Au premier plan, la tour de l'ancienne major et la toiture de l'abside..
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme pricipal, celui du transept Est entouré de deux clochetons. Au premier plan, à gauche, la tour de l'ancienne major et le haut du transept.
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Le dôme pricipal, celui du transept Est entouré de deux clochetons. Au premier plan, à gauche, la tour de l'ancienne major et le haut du transept.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme pricipal, celui du transept Est entouré de deux clochetons.
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Le dôme pricipal, celui du transept Est entouré de deux clochetons.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Dôme au-dessus du ciborium.
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Dôme au-dessus du ciborium.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Dôme au-dessus du ciborium.
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Dôme au-dessus du ciborium.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Galerie à arcades qui se trouve au-dessus du presbytérium.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Galerie à arcades qui se trouve au-dessus du presbytérium.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le côté Ouest et l'esplanade Jean Paul II.
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Le côté Ouest et l'esplanade Jean Paul II.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>De gauche à droite : la chapelle de la  Vierge avec son dôme, la galerie à arcades et trois chapelles du déambulatoire, le dôme au-dessus du ciborium, le dôme central, la chapelle du Sacré-Coeur, et le dôme du transept Ouest.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
De gauche à droite : la chapelle de la Vierge avec son dôme, la galerie à arcades et trois chapelles du déambulatoire, le dôme au-dessus du ciborium, le dôme central, la chapelle du Sacré-Coeur, et le dôme du transept Ouest.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>La chapelle de la  Vierge avec son dôme, la galerie à arcades et trois chapelles du déambulatoire.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La chapelle de la Vierge avec son dôme, la galerie à arcades et trois chapelles du déambulatoire.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>A droite, la chapelle du sacré-Coeur.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
A droite, la chapelle du sacré-Coeur.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Dôme du ciborium, dôme principal, dôme du transept Ouest. En bas, la chapelle du sacré-Coeur.
La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
Dôme du ciborium, dôme principal, dôme du transept Ouest. En bas, la chapelle du sacré-Coeur.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le transept Ouest.
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Le transept Ouest.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le transept Ouest.
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Le transept Ouest.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme du transept Ouest.
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Le dôme du transept Ouest.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme central.
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Le dôme central.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme central.
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Le dôme central.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme central.
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Le dôme central.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Le dôme central.
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Le dôme central.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Gargouille.
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Gargouille.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Gargouille.
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Gargouille.
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Gargouille.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Gargouille.
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Gargouille.
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<center>La Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure</center>Transept Ouest.
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Transept Ouest.
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