Accueil
Contact
1
2
Precedent
Suivant
Le Capitole.
En 2013.
78
Le Capitole.
En 2013.
79
Le Capitole.
Le Capitole. En 2013.
80
Le Capitole.
Le Capitole. En 2013.
81
Le Capitole.
Son modeste clocher demeure dans le paysage arlésien, mais c'est surtout sous le nom du cinéma Le Capitol que les Arlésiens en conserve le souvenir...
82
Maison à coté du Capitole.
83
Maison à coté du Capitole.
84
L'église Saint-Martin.
Une église Saint-Martin est présente dès la naissance du quartier médiéval du Méjan, entre ceux de la Cité et du Vieux-Bourg (actuelle Roquette). Reconstruite au XVIIe siècle, elle sera le cœur de l’une des huit paroisses d’Arles. Sa situation au bord du Rhône, vaudra à l’église le triste privilège de faire également office de sanctuaire pour les noyés rejetés par le fleuve. La façade, très sobre, est d’inspiration Louis XIII. Elle porte encore des témoignages de son histoire : inscription latine, armoiries martelées et mention d’un syndicat d’éleveur.
85
L'église Saint-Martin.
Longtemps siège de confréries professionnelles, elle connut, comme bien d'autres édifices religieux de la ville après la Révolution, des affectations pour le moins diverses. Elle est également appelée chapelle du Méjan.
86
L'église Saint-Martin.
Le clocher de Saint-Martin a été entièrement reconstruit au XVIe siècle par l’abbé Flèche.
87
L'église Saint-Martin.
88
L'église Saint-Martin.
89
L'église Saint-Martin.
90
L'église Saint-Martin.
Entrée sud.
91
L'église Saint-Martin.
Entrée sud.
92
L'église Saint-Martin.
93
L'église Saint-Martin.
94
Rue Tour de Fabre
A l'arrière de l'église Saint-Martin.
95
L'église Saint-Martin.
Aujourd’hui, elle accueille des concerts et des expositions. La hauteur de la nef a permis l'aménagement d'un étage. Le volume intérieur est désormais séparé en deux : un rez-de-chaussée qui a pour vocation d'être un lieu de conférences ou de spectacles et un étage qui permet l'organisation d'expositions.La hauteur de la nef a permis l'aménagement d'un étage. Le volume intérieur est désormais séparé en deux : un rez-de-chaussée qui a pour vocation d'être un lieu de conférences ou de spectacles et un étage qui permet l'organisation d'expositions.
96
L'église Saint-Martin.
Chapelle latérale.
97
L'église Saint-Martin.
Chapelle latérale.
98
L'église Saint-Martin.
Chapelle latérale.
99
L'église Saint-Martin.
Chapelle latérale.
100
L'église Saint-Martin.
101
L'église Saint-Martin.
A l’intérieur du bâtiment, inscription signalant des tombes de pestiférés, demeurées intactes jusqu’à la Révolution.
102
L'église Saint-Martin.
Vue de l'étage organisé en salle d'exposition. On peut encore apercevoir des éléments architecturaux de l'ancienne église.
103
Thermes de Constantin.
Le caldarium (salle chaude). Ces thermes, construits au début du IVe siècle, lorsque l'empereur Constantin résidait à Arelate, en bordure du Rhône, ne représentent qu'un élément d'un vaste ensemble monumental qui s'étendait au Nord de la Cité, entre le Forum et les rives du fleuve.
104
Thermes de Constantin.
La construction rythmée par une alternance d'assises de briques et de petits moellons de calcaire très réguliers s'articule autour d'une abside semi-circulaire éclairée par crois hautes fenêtres en plein cintre, couverte par une grandiose voûte en cul de four. C'est à elle que le monument doit son nom de"Palais de laTrouille" que lui ont donné les arlésiens (Truhlia, en bas latin, signifie forme ronde).
105
Thermes de Constantin.
106
Thermes de Constantin.
107
Thermes de Constantin.
L'hypocauste est bien conservé : de ce sous-sol par où l'on chauffait les piscines, l'air chaud montait le long des murs grâce à des doubles parois encore bien visibles.
108
Thermes de Constantin.
Les doubles parois où circulait l'air chaud.
109
Thermes de Constantin.
Les planchers étaient supportés par des briques permettant le chauffage par l'air chaud provenant de plusieurs foyers.
110
Thermes de Constantin.
Une salle du tepidarium.
111
Thermes de Constantin.
Une autre salle du tepidarium.
112
Thermes de Constantin.
Sol en marbre d'une piscine.
113
Thermes de Constantin.
114
Thermes de Constantin.
115
Dans les rues d'Arles.
116
La Grande Boucherie.
Situé sur un axe important reliant le quartier de la Cité à celui de la Cavalerie, la Grande Boucherie, était un établissement communal où les petits commerçants achetaient la viande en gros. Sa façade est caractéristique du style architectural des bâtiments utilitaires français de la période classique, en forme de halle. L'édifice témoigne d’un essor urbain remarquable, intervenu au sortir d’une crise majeure traversée par la ville, du fait notamment de la Grande peste de 1721.
117
La Grande Boucherie.
La statuaire qui la décore, particulièrement soignée, est l’œuvre du sculpteur arlésien Pons Dedieu. Cornes d'abondance au fronton.
118
La Grande Boucherie.
Le bâtiment donne sur la rue par trois grandes ouvertures en plein cintre, dans le style en usage à l’époque pour les halles commerciales. Le décor sculpté par Pons Dedieu représente des têtes de bœufs et de béliers, des cornes d’abondance et des outils de boucherie qui évoquent la fonction initiale de l’édifice.
119
La Grande Boucherie.
Le bâtiment donne sur la rue par trois grandes ouvertures en plein cintre, dans le style en usage à l’époque pour les halles commerciales. Le décor sculpté par Pons Dedieu représente des têtes de bœufs et de béliers, des cornes d’abondance et des outils de boucherie qui évoquent la fonction initiale de l’édifice.
120
Saint Julien.
Initialement édifiée au XIIe siècle, en période de renaissance médiévale, l’église Saint-Julien fut reconstruite au XVIIe siècle, lors d’une autre époque de restructuration ecclésiastique, impulsée par le concile de Trente. Elle est consacrée en 1662 par l’évêque Monseigneur de Grignan.
121
Saint Julien.
Son architecture mêle curieusement le style gothique tardif au style classique. Une très belle façade classique avec des éléments de décor baroque (angelots, niches,…) précède la nef gothique.
122
Saint Julien.
Son architecture mêle curieusement le style gothique tardif au style classique. Une très belle façade classique avec des éléments de décor baroque (angelots, niches,…) précède la nef gothique.
123
Saint Julien.
Le clocher de l’église compte deux cloches dont l’une, datant de 1691, est l’une des plus anciennes de la ville.
124
Saint Julien.
Le clocher de l’église compte deux cloches dont l’une, datant de 1691, est l’une des plus anciennes de la ville.
125
Saint Julien.
Elle fut bâtie en 1648, c’est un exemple de gothique provençal, sauf la façade qui est classique et qui fut restaurée après les bombardements de 1944. Les patrons sont St Antoine du désert, premier siècle du christianisme et St Julien l’Hospitalier.
126
Saint Julien.
La nef gothique méridional.
127
Saint Julien.
La majeure partie du mobilier, ainsi que les vitraux historiés de Guibert d’Anelle (XIXe) ont disparu sous les bombes. Seul subsiste du XVIIe siècle, le très beau retable du choeur en bois doré, offert par la confrérie du Saint-Sacrement.
128
Saint Julien.
Dans le chœur, boiseries de 1683. Retable avec au centre un tableau d’un Parocel, de la génération d’avant Pierre que l’on a rencontré dans l’église des Carmélites, représentant le pardon de St Julien. A droite, une Vierge de l'Immaculée Conception en marbre dont le dessin serait de Revoil, élève de David
129
Saint Julien.
St Antoine n’est pas représenté avec son cochon, qui peut symboliser la tentation qui l’a travaillé dans le désert, mais aussi le fait que les moines de St Antoine en Viennois dans le Dauphiné, près de Romans pouvaient laisser leurs cochons en liberté car c’était avec leur viande qu’ils nourrissaient les gens qui se présentaient à leur abbaye où l’on soignait le mal des ardents provoqué par l’ergot de seigle. On utilisait la graisse de cochon pour soigner cette maladie.
130
Saint Julien.
St Julien l’Hospitalier est un jeune homme qui vivait au moyen Age. Un jour il allait tuer un cerf, qui se retourna et qui lui prédit qu’un jour il tuerait son père et sa mère. Pour échapper à ce sort, il partit au bout du monde, s’occupa des affaires d’un seigneur et se maria avec une jeune femme noble. Mais ses parents le recherchaient et un jour le retrouvèrent, vinrent au château où sa femme les fit se coucher dans leur chambre. Quand il revint, il crût que sa femme le trompait et tua l’homme et la femme. Pour racheter sa faute, il se fit hospitalier, il accueillait les pauvres, les pèlerins.
131
Saint Julien.
L'autel a une décor à base de colonnes torses, des ailerons de chaque coté de la partie supérieure, la partie basse étant en forme de tombeau.
132
Saint Julien.
Le pardon de St Julien l’hospitalier (1686), est signé de Louis Parrocel.
133
Saint Julien.
Statues de la Vierge et
134
Saint Julien.
de St Pierre dans un style baroque, de chaque coté des pilastres qui sont la base d’anges atlantes. Au dessus des deux statues la coquille, symbole de vie et de baptême.
135
Saint Julien.
D'un coté, la Cène...
136
Saint Julien.
de l'autre, l'Adoration des Mages, les deux tableaux attribués à Gabriel d’Aix.
137
Saint Julien.
Autel en bois doré, mais les statues dans les niches ont disparues, le Christ sur la porte du tabernacle est toujours présent, avec Dieu le père au-dessus, dans une nuée entouré d’anges, avec deux petits anges au-dessus du tabernacle,
138
Saint Julien.
139
Saint Julien.
Panneau central de la chaire représentant saint Julien. A gauche, st Roch
140
Saint Julien.
Assomption attribuée à Pierre Parrocel.
141
Saint Julien.
142
Saint Julien.
143
Rue du 4 septembre.
Maison Alphonse Benoît
144
Rue du 4 septembre.
Maison Alphonse Benoît
145
Rue du 4 septembre.
Maison Alphonse Benoît. Statue de Saint-Roch.
146
Espace mistral.
Au début du XVIe siècle, les pères de l’Observance quittent Trinquetaille pour s’établir à Arles intra-muros1 dans le quartier du Bourg-Neuf où ils construisent un couvent. Le 17 avril 1515, ils s’installent à l’extrémité de la rue d’Alembert (alors rue du Barri). La construction de leur couvent fut laborieuse car ils manquaient d’argent. Ils se contentèrent d’une modeste chapelle qu’ils purent finalement agrandir à partir de 1551 et qui fut terminée en 1589. La construction des bâtiments, commencée au début du XVIIIe siècle, fut achevée en 1729. En juin 1823, les Carmélites revinrent à Arles mais ne pouvant retourner dans leur ancien couvent car il avait été attribué à l’hôpital de la Charité sous la Révolution, elles rachetèrent et firent restaurer, voire reconstruire ce qui restait des anciens bâtiments des Récollets
147
Espace mistral.
Le 20 mars 1903 la ville achète les bâtiments des Carmélites pour y transférer le collège vétuste se trouvant dans l’ancien hôtel de Laval-Castellane (Frédéric Mistral souhaite y installer son futur musée). Seuls demeurent encore visibles la façade du XVIIIe siècle, une partie du cloître et le clocher privé de sa flèche et transformé en tour dotée d’un crénelage en 1906.
148
Espace mistral.
Une galerie du cloître.
149
Espace mistral.
Une galerie du cloître.
150
1
2
Precedent
Suivant
Accueil
Contact