Quartier Latin, Musée de Cluny, Arènes de Lutèce, Jardin des Plantes
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La fontaine Saint-Michel.
Elle a la particularité d'occuper à elle seule tout un mur pignon. Elle a été conçue par l'architecte Gabriel Davioud, aidé de Flament, Simonet et Halo. Elle est haute de 26 mètres et large de 15 mètres. Elle est composée à la manière d'un arc de triomphe antique, d'une travée rythmique marquée par des colonnes corinthiennes en marbre rouge du Languedoc amortie par quatre statues de bronze représentant les vertus cardinales. Saint-Michel terrassant le démon, au centre de la composition, est de Francisque Duret (1804-1865).
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La fontaine Saint-Michel.
La composition avec une niche centrale encadrée de quatre colonnes et d'un fronton est une référence à la fontaine Médicis du jardin du Luxembourg. La polychromie a pour but d'équilibrer le manque d'éclairement. Cette fontaine, dont le chantier a commencé en juin 1858 fut inaugurée le 15 août 1860. Elle remplace un château d'eau, alimenté par la Seine et la Marne, et qui desservait les fontaines alentours. De gauche à droite : La statue « La Prudence » tient un serpent dans sa main droite et un miroir dans sa main gauche. Il s’agit de l’œuvre de Jean-Auguste Barre ; La statue « La Force » est vêtue de la peau du Lion de Némée et est armée du gourdin d’Hercule. Il s’agit de l’œuvre d’Auguste-Hyacinthe Debay (1804-1865) ; La statue « La Justice » tient un glaive. Il s’agit de l’œuvre d’Elias Robert (1821-1874) ; La statue « La Tempérance ». Il s’agit de l’œuvre de Charles Gumery (1827-1871).
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Une ancienne enseigne.
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Maison du XVIIe (Henri IV), reconnaissable par sa façade ventrue.
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Maison du XVI, reconnaissable par ses mascarons.
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Quartier latin.
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Le musée de Cluny.
Le musée de Cluny se trouve dans un hôtel particulier, l'hôtel de Cluny, et dans les Thermes de Cluny contigus. Le musée de Cluny, de son nom officiel Musée national du Moyen Âge - Thermes et hôtel de Cluny, est situé dans le 5e arrondissement de Paris, au cœur du Quartier latin, dans un hôtel particulier du XIIIe siècle : l'hôtel de Cluny. Les bâtiments accueillaient les abbés de l'ordre de Cluny en Bourgogne dès le XIIIe siècle.
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Le musée de Cluny.
À la fin du XVe siècle, le bâtiment construit par Jean III de Bourbon a été agrandi par Jacques d'Amboise, abbé de Cluny (1485-1510). L'hôtel accueille les abbés de Cluny et quelques dignitaires importants. À partir du XVIIe siècle, l'hôtel sert de nonciature aux légats du pape. Le nonce y réside alors avec sa maison qui se compose d'une vingtaine de personnes dont deux secrétaires.
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Le musée de Cluny.
Les armes d'Amboise, « trois pals alternés d'or et de gueules » ornent les lucarnes ouvragées de la façade.
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Le musée de Cluny.
Les armes d'Amboise, « trois pals alternés d'or et de gueules » ornent les lucarnes ouvragées de la façade.
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Le musée de Cluny.
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Le musée de Cluny.
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Le musée de Cluny.
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Le musée de Cluny.
Une gargouille.
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Le musée de Cluny.
À la Révolution, l'hôtel est vendu comme bien national et subit des transformations et des agressions jusqu'à son acquisition par l'État en 1843. L'hôtel est aujourd'hui le plus ancien témoin de l'architecture des hôtels particuliers construits à Paris entre cour et jardin. Il est de style gothique flamboyant selon un plan en U, d'un corps de logis prolongé par deux petites ailes en équerre délimitant une cour intérieure trapézoïdale.
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Le musée de Cluny.
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Le musée de Cluny.
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Le musée de Cluny.
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Le musée de Cluny.
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Le musée de Cluny.
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Le musée de Cluny.
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Saint Jean-Baptiste. Champagne, vers 1350. Calcaire. Provient de l'abbaye du Jard (Seine-et-Marne).
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Artiste néerlandais. Concert céleste en l’honneur de la Vierge, offert par le compositeur Antoine Brumel et le chantre Jean Bohier. France, vers 1513. Peinture sur bois de chêne. Autour de la Vierge et de l’Enfant sont rassemblés saint Jean-Baptiste, saint Antoine et saint Job, considéré comme le patron des musiciens, ainsi qu’un chantre et un compositeur. La profession de ces deux hommes explique la présence forte du thème musical. Sur le panneau de droite le roi David tient une harpe alors qu’un ange pince les cordes d’un luth et qu’un autre souffle dans une chalemie (ancêtre du hautbois). Le compositeur, peut être Antoine Brumel (mort en 1512 ou 1513), tient une partition. Pour réaliser son tableau, l’artiste s’est largement inspiré des gravures du peintre allemand Albrecht Dürer.
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Retable.
Scènes de l’enfance et de la passion du Christ ; volets peints : apôtres et prophètes ; revers des volets : annonciation et saints. Pays-Bas et Champagne (?), Début du XVIe siècle. Bois polychrome et panneaux peints. Provenant de l’église de Chamdeuil (Seine-et-Marne). Panneau bois : le portement de la croix, le linge de Ste Véronique.
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Retable.
Scènes de l’enfance et de la passion du Christ ; volets peints : apôtres et prophètes ; revers des volets : annonciation et saints. Pays-Bas et Champagne (?), Début du XVIe siècle. Bois polychrome et panneaux peints. Provenant de l’église de Chamdeuil (Seine-et-Marne). La mise au tombeau. La lance, la croix et la couronne d'épines, la colonne.
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Retable.
Le portement de la croix, le linge de Ste Véronique. La Crucifixion, la Nativité, l'Adoration des Mages. La mise au tombeau. La lance, la croix et la couronne d'épines, la colonne.
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Retable.
La Crucifixion, la Nativité, l'Adoration des Mages.
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Tenture des Arts libéraux. L'Arithmétique. Tournai, vers 1520. Tapisserie : laine et soie. L’Arithmétique représentée sur cette tapisserie est l’un des sept Arts libéraux et, parmi ceux-ci, l’un des quatre « arts » mathématiques, à l’instar de la Géométrie, l’Astronomie et la Musique. Elle est ici personnifiée par une jeune femme comptant des jetons de la main droite et tenant un livre couvert de chiffres de la main gauche, entourée de jeunes gens élégamment vêtus. La scène se situe dans un intérieur dont l'architecture et le mobilier sont soigneusement détaillés. L'inscription précise qu’il s’agit d’une représentation de l’art « du nombre, qui explique la proportion des choses ».
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Vierge à l’enfant. Paris, vers 1400. Calcaire polychrome.
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Annonciation.
Bois-Héroult (Normandie), vers 1490. Calcaire. L’attention portée par le sculpteur au réalisme des figures ne fait pas pour autant disparaître la dimension magique et éphémère de cet instant. La Vierge interrompue dans sa lecture est à moitié tournée vers l’archange dont le mouvement de génuflexion s’achève. La tête légèrement penchée, elle semble accepter par anticipation ce qui va lui être annoncé. Les Amis du musée ont participé à l’acquisition d’une œuvre majeure de la fin du XV siècle.
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Annonciation
Annonciation.
Bois-Héroult (Normandie), vers 1490. Calcaire. L’attention portée par le sculpteur au réalisme des figures ne fait pas pour autant disparaître la dimension magique et éphémère de cet instant. La Vierge interrompue dans sa lecture est à moitié tournée vers l’archange dont le mouvement de génuflexion s’achève. La tête légèrement penchée, elle semble accepter par anticipation ce qui va lui être annoncé. Les Amis du musée ont participé à l’acquisition d’une œuvre majeure de la fin du XV siècle.
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Diptyque : Scènes de la Passion. France, seconde moitié du XIVe siècle. Ivoire. Attribué à « l’atelier des grands diptyques de la passion ». Diptyque : Scènes de la vie de la Vierge. Nord de la France, premier tiers du XIVe siècle. Ivoire. Provient peut-être du trésor de l’abbaye de Saint-Denis.
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Saint-Denis. Île-de-France, XVe siècle. Calcaire avec traces de polychromie.
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Élément de retable : scènes de la vie du Christ et de la Vierge. Venise, fin du XIVe - début du XVe siècle. Os et marqueterie de bois, os, corne. Dijon (Côte-d’Or), chartreuse de Champmol Acquis en 1848. Cette composition de quinze scènes appartenait à l'origine à un retable qui comprenait deux autres panneaux formant triptyque. Elle a été remaniée au début du XIXe siècle par un collectionneur qui n'a pas hésité à la compléter avec des plaquettes provenant de plusieurs coffrets démontés. Ainsi s’explique la présence de trois scènes tirées de l'histoire de Pyrame et Thisbé.
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Vase à décor héraldique. Manisès. Vers 1465. Céramique à reflets métalliques Ce vase est une des œuvres les plus spectaculaires de la faïence lustrée hispanique, Son décor, probablement aux armes des Salvi, constitue un exemple du motif de pampres alternant les couleurs bleues et dorées. Un vase de même forme, aux armes des Médicis, est conservé au British Muséum de Londres.
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Pietà de Tarascon. Avignon, 1457 (avant). Peinture sur bois. Collection de l'Hospice de Tarascon. Entourée de saint Jean et des trois Marie, la Vierge pleure le Christ mort. Par sa composition, le geste de saint Jean, la scène rappelle la Pietà d’Avignon peinte par Enguerrand Quarton (Louvre). L’artiste n’est pas connu, mais il use d’une intense lumière à la manière d’un peintre provençal. Et, en effet, rapprochée du « retable neuf » de l’inventaire du château de Tarascon de 1457, l’œuvre a très probablement orné la chambre de Jeanne de Laval, épouse du roi René.
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Les dalles funéraires gravées sur l'une des formes dominantes de l'art funéraire dès le XIIe siècle.
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Vitraux de la Sainte-Chapelle de Paris.
A gauche, de haut en bas : Le Christ et une femme. Avant 1248. Baptême. Vers 1200. Résurrection des morts. Vers 1200. Puis Crucifixion. Vers 1275.
En dessous, trois scènes de l’histoire de Jean-Baptiste : danse de Salomé ; Salomé apporte le chef de Jean-Baptiste à Hérodiade, côte à côte et en dessous, baptême du Christ ; Deuxième moitié du XIIIe siècle. A droite, en haut : Une femme et un démon et Sara et sa servante
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Vitraux de la Sainte-Chapelle de Paris.
A gauche : danse de Salomé ; Salomé apporte le chef de Jean-Baptiste à Hérodiade. En bas, baptême du Christ. En bas, Le diable s’en prend aux troupeaux de Job, Joseph vendu par ses frères. A droite, en haut, le roi David et ?
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Vitraux de la Sainte-Chapelle de Paris.
Panneaux à décor héraldique. Avant 1248. Baptême. Vers 1200. Résurrection des morts. Vers 1200.
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Vitraux de la Sainte-Chapelle de Paris.
Au centre : Daniel devant Nabuchodonosor et Jacob et ses fils en route vers l’Égypte. Quatre personnages. et un chevalier tue un roi. Scène de meurtre. A droite : Job et ses fils deuxième moitié du XIIIe siècle. Deux personnages. Avant 1248 et XVe siècle. Roi assis. Avant 1248
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Vitraux de la Sainte-Chapelle de Paris.
Daniel devant Nabuchodonosor. Quatre personnages. Scène de meurtre. En bas, à ghauche, l’énucléation de Samson.
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A gauche : Saint Timothée. Neuwiller-lès-Saverne, vers 1160. Deux moines assistent à la montée de Saint-Benoît au ciel. Église abbatiale de Saint-Denis, 1140 – 1144. A droite : Deux scènes de la légende de Saint Nicolas : Le juif et la statue de Saint Nicolas et La charité de Saint Nicolas. Collégiale Saint-Étienne de Troyes. Le Christ consolé par les anges.
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A droite : Arbre de Jessé. Pacte de Théophile avec le diable. Charité de Saint-Martin. Église de Varennes-Jarcy 1220 - 1230.
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Légende de Saint Martin. Miracle du pin. Apparition du Christ à Sainte-Martin. Église de Varennes-Jarcy 1220 - 1230.
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Fragments d’une verrière de la vie du Christ. En haut, Annonce aux bergers et La Synagogue.. En bas, 4 anges musiciens. Église de Varennes-Jarcy 1220 - 1230.
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Quatre apôtres : Saint-Jean, Saint-Jacques, Saint-Paul, Saint-Pierre. Avant 1270.
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Arbre de Jessé. Abbatiale de Saint-Denis, 1140 – 1144. Verre coloré, Plomb. Suger conçoit le premier vitrail de l’arbre de Jessé, qui accorde à la vierge et au Christ une généalogie royale. Complète, la baie atteint 4 m de haut sur 2 m de large, une taille sans précédent pour l’époque. Les figures se détachent sur un remarquable fond bleu. Vers 1147, l’abbé de Saint-Denis se félicite d’avoir rassemblé « la quantité suffisante de verre saphir » et nous fait comprendre qu’il a consommé la moitié du budget de la construction à la réalisation des verrières.
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Portail de St Germain des Prés. Démonté en 1802 puis remonté en 1980 dans les locaux mêmes du musée de Cluny, le portail est l'un des rares éléments subsistant de la chapelle de la Vierge. Il se compose de deux piédroits soutenant des voussures en arc brisé et d’un linteau supporté par un trumeau. Le tympan était ouvert d’une rose dont le vitrail, de style gothique rayonnant, a disparu. La Vierge à l’Enfant qui occupait le trumeau a elle aussi probablement été détruite pendant la Révolution.
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Les têtes des rois de Juda. Paris, vers 1220. Calcaire lutétien une avec traces de polychromie. Paris, Notre-Dame, galerie des rois.
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Exposition sur la verrerie.
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Vierge à l’Églantine. Sebastiano Mainardi. Toscane (Italie), vers 1480. Huile sur bois Lille, Palais des Beaux-Arts
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Les thermes gallo-romains de Cluny
Ils comptent parmi les vestiges antiques les plus monumentaux du nord de l’Europe, notamment grâce à la préservation d’une vaste salle voûtée, le frigidarium.
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Les thermes gallo-romains de Cluny
La chronologie des bâtiments des thermes reste incertaine, mais on peut proposer une édification au tournant des Ier et IIe siècles de notre ère. Les murs conservés se caractérisent par leur qualité d’exécution, alternance de moellons de calcaire et d’assises de briques horizontales, selon la technique de l’opus vittatum mixtum.
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Les thermes gallo-romains de Cluny
Il ne subsiste aujourd'hui que le frigidarium, salle monumentale donnant une idée des prouesses techniques de la construction romaine. Ses voûtes s'élèvent à plus de 14 mètres de hauteur. Elles comptent parmi les mieux conservées du nord de la France. Le décor est perdu aujourd’hui, à l’exception des consoles du frigidarium, aux reliefs figurant des navires.
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Les thermes gallo-romains de Cluny.
Les thermes gallo-romains de Cluny
Dans le frigidarium, l’espace le plus spectaculaire de nos jours, le visiteur peut découvrir ces parements mais aussi une partie du sol d’origine et la voûte d’arêtes, qui culmine à près de 14 mètres de hauteur et possède encore en partie ses enduits originaux.
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Les thermes gallo-romains de Cluny
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Les thermes gallo-romains de Cluny
Pilier des nautes Pierre “ aux huit divinités ” : Mars et une déesse ; Vénus (?) et une déesse ; une déesse et Fortuna ; une déesse et Mercure Ile-de-France, entre 14 et 37 ap. J.-C. Pierre (calcaire) Blocs découverts en 1711 sous le chœur de Notre-Dame de Paris
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L’empereur Julien dit l’Apostat. Empire romaine, entre 361 et la fin du IVe siècle. Marbre grec (de Naxos ?).
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Enseigne : Sirène au miroir et au peigne Prov. Paris, dragage de la Seine France, Ière moitié du XVe siècle Plomb moulé.
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Tableau reliquaire : Crucifixion. France, milieu du XIVe siècle. Argent doré, émaux translucides et opaques sur basse taille, gemmes, verre coloré. À la fin du XVe siècle, les ateliers d’émailleurs de Limoges connaissent une nouvelle floraison (après celle des XIIe et XIIIe siècles), avec le succès de l’émail peint sur cuivre. Cette technique est mise au service des tableaux de dévotion, qui répondent au goût de l’époque pour les objets de piété personnelle. Ce tableau, qui déploie une riche palette de bleus et de verts, figure la Crucifixion. Le registre inférieur présente deux donateurs, un laïc et un clerc. Les inscriptions, aujourd’hui presque illisibles, qui accompagnent les figures, donnent le nom du clerc, celui de l’émailleur, Nardon Pénicaud, et la date de l’œuvre, 1er avril 1503. Cette date et les écus, France et Anjou qui accompagnent le donateur laïc témoignent d’un lien entre cette plaque et les affaires du royaume de Naples au cours du règne de Louis XII.
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Miroir parabolique « des Conseils » Empire germanique, vers 1500 Verre, plomb, bois, parchemin
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L'Escamoteur. Jérôme Bosch (attribué à) Pays-Bas, fin du XVe siècle Peinture à l'huile sur bois.
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Coffret : prophètes et saints. Cologne, vers 1200. Os sur âme de bois, bronze doré. Provient de l’abbaye Saint-Yved de Braine (Aisne).
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Vierge à l'Enfant trônant. Vallée de la Meuse (Liège ?) vers 1220-1230 Ivoire d’éléphant.
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Chapiteau. Scènes de l’histoire de Noé
L'embarquement des animaux dans l'arche,
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Chapiteau. Scènes de l’histoire de Noé
Noé taillant les bordages de l'arche,
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Chapiteau. Scènes de l’histoire de Noé
La récolte du raisin,
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Chapiteau. Scènes de l’histoire de Noé
L'ivresse de Noé.
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Chapiteau. Scènes de l’histoire d’Abraham
Abraham prosterné devant les trois anges au pied du chêne de Mambré, l
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Chapiteau. Scènes de l’histoire d’Abraham
L’hospitalité d’Abraham,
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Chapiteau. Scènes de l’histoire d’Abraham
Les serviteurs d’Abraham,
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Chapiteau. Scènes de l’histoire d’Abraham
Le sacrifice d'Isaac.
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Vierge à l'Enfant en majesté. Auvergne, dernier quart XIIe siècle. Bois polychrome
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