Pierrelatte
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Le moulin de Pierrelatte.
Ce moulin revêt un caractère assez singulier avec sa situation en plaine et ses trois niveaux d'élévation. Le Rocher de Pierrelatte, dont proviennent sans doute les matériaux de construction, pourrait avoir joué un rôle dans l'implantation en contribuant à dévier le mistral.
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Le moulin de Pierrelatte.
Les trois niveaux du moulin illustrent peut-être la volonté de développer la puissance de la machine juchant les deux étages sur une salle basse excavée. Cette dernière a pu également servir d'espace de stockage.
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Le moulin de Pierrelatte.
La construction initiale a été réalisée vers 1639 sur un terrain appartenant à Jean-François Pellegrin, boulanger. Malgré les moyens mis en œuvre pour sa réalisation, le moulin de Pierrelatte ne resta en activité que quelques dizaines d'années, entre 1839 et 1880.
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Le moulin de Pierrelatte.
Le projet de restauration de 2011 du moulin de Pierrelatte par la municipalité avec le concours de l'association "Les ailes du moulin" a permis de le rénover.
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Le moulin de Pierrelatte.
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Le village provençal.
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Le village provençal.
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Le village provençal.
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Le village provençal.
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Le village provençal.
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Le village provençal.
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Le village provençal.
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La chapelle des Pénitents.
Elle fut construite au XIIème siècle. Elle eut une cloche bénie en 1750. Elle servit de lieu de réunions aux Pénitents Blancs, aux dames de la Miséricorde et de la Charité. Elle fut fermée au culte en 1791. En 1793, devenue bien national, elle se détériora et les Pénitents l'abandonnèrent au XIXème siècle.
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La chapelle des Pénitents.
La Municipalité l'a remise en état en 1960. Actuellement, elle est utilisée pour des spectacles et des animations.
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Le clocher de l'église.
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Rues d'Amour.
On dit qu'aux Xème et XIVème siècles, les dames de la haute société se réunissaient pour parler des infidélités de leur mari ou de poésies et de peinture.
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Rues d'Amour.
La rumeur prétend également que de la rue facilitait les rendez-vous d'où son nom. Cette rue n'était, peut-être qu'un passage pour les eaux usagées.
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La tour de l'horloge.
Elle fut construite en 1819.
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La tour de l'horloge.
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Eglise St Jean Baptiste.
Le curé Piollet désirait faire construire cette église, il ne put réaliser son rêve qu'a la fin de sa vie en 1848.
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Eglise St Jean Baptiste.
Grâce à l'argent de la vente de la forêt des Blaches par la ville et a la subvention du gouvernement les travaux purent commencer. Ils se terminèrent en 1851.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Eglise St Jean Baptiste.
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Le portail de la maison seigneuriale.
Cette demeure, dite maison des gouverneurs, fut construitee en , à l'initiative du baron de la Garde d'Adhémazr, alors seigneur de Pierrelatte. Dans celle-ci, dit-on, dormait le baron de la garde car il trouvait le château peu confortable. Plus tard, ce bâtiment servit d'hôtel des impôts et de cartonnage.
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Le Rocher.
Loin dans le temps, on raconte que le géant Gargantua, fatigué de ses pérégrinations à travers la Francs, s'est assis un instant sur le Mont Ventoux pour souffler un peu et se libérer d'un caillou dans sa botte. Cette pierre tombée engendra la naissance de Pétra Latta : Pierrelatte.
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Le Rocher.
Le Rocher, sur lequel avait été édifié au Moyen Age un château, démantelé en 1633, fut longtemps une protection contre le Mistral, mais vers 1815, la municipalité le vendit. Il fut exploité comme carrière et une brèche fut ouverte en son milieu. En 1919, le conseil municipal décida de mettre un terme à cette pratique. Il fut classé comme site à caractère artistique ce qui le protégea du vandalisme.
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Le musée.
A l'entrée du Rocher se trouve une maison ronde, transformée en prison en 1785, qui à l'époque où il y avait un château sur le Rocher, servait de poste de garde avancé. De nos jours, celle-ci sert de musée archéologique et présente également une crèche provençale. Ce musée, créé en 1967, se trouvait auparavant dans la chapelle des Pénitents. Il comprend 5 salles d'archéologie, paléontologie, minéralogie et avec un sarcophage.
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Le musée.
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Le musée.
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Le musée.
Un des chapiteaux de la halle couverte, construite en 1611 et détruite en 1970.
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Le musée.
Plaque gravée du XIème siècle.
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Fontaine de la place Xavier Taillade.
La vierge qui se trouve au-dessus de la fontaine votive date de 1854. Elle fut installée afin de lutter contre l'épidémie de choléra qui sévissait à cette époque. On peut supposer que la fontaine date de la même époque. La fontaine et la vierge furent démontées en 1970, au moment de la destruction de la halle couverte et réinstallées par la suite.
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La Grande Rue.
La Grande Rue, ancienne rue Royale et ancienne nationale 7.
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La Grande Rue.
Les maisons de cette rue ont été construites sur le même modèle que celles de la place Xavier Taillade Elle compte de belles habitations bourgeoises avec des têtes et des décors de façade. C'était le quartier notable de la ville.
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La Grande Rue.
Masques sur les façades.
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La Grande Rue.
Masques sur les façades.
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La Grande Rue.
Masques sur les façades.
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Le Rocher.
L'arrière du Rocher, avec la bréche bouchée par un ancien réservoir.
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L'hôtel de Ville.
Oiseau créé par un forgeron de la ville.
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L'hôtel de Ville.
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