<center>Musée Sobirats</center>Le musée Sobirats, musée des arts décoratifs est installé dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle. On a une porte tripartite : le bas est très travaillé, au milieu la poignée et la partie haute fixe.

Musée SobiratsLe musée Sobirats, musée des arts décoratifs est installé dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle. On a une porte tripartite : le bas est très travaillé, au milieu la poignée et la partie haute fixe.

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<center>Musée Sobirats</center>Ancien musée Bernus, installé en 1947 dans un hôtel du XVIIIe, il s'est enrichi en 1964 du legs du comte Victor de Sobirats dont il prit alors le nom.

Musée SobiratsAncien musée Bernus, installé en 1947 dans un hôtel du XVIIIe, il s'est enrichi en 1964 du legs du comte Victor de Sobirats dont il prit alors le nom.

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<center>Musée Sobirats</center>Dans la partie haute, les lettres D et C sont les initiales de la famille Darmand Châteauvieux, à laquelle a appartenu cet hôtel particulier.

Musée SobiratsDans la partie haute, les lettres D et C sont les initiales de la famille Darmand Châteauvieux, à laquelle a appartenu cet hôtel particulier.

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<center>Musée Sobirats</center>Porte cochère de l'hôtel.

Musée SobiratsPorte cochère de l'hôtel.

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<center>Musée Sobirats</center>Chaise à porteurs du comte de Sobirats.

Musée SobiratsChaise à porteurs du comte de Sobirats.

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<center>Musée Sobirats</center>Le premier hôtel de ville ayant brûlé, la ville achète au XVIIIe l’hôtel particulier de la Roque, et c’est là où se trouvait, au dessus d’une cheminée, ce trumeau en gypserie du XVIIIe siècle qui illustre la devise de Carpentras : « L’unité fait la force, la division rend vulnérable ».

Musée SobiratsLe premier hôtel de ville ayant brûlé, la ville achète au XVIIIe l’hôtel particulier de la Roque, et c’est là où se trouvait, au dessus d’une cheminée, ce trumeau en gypserie du XVIIIe siècle qui illustre la devise de Carpentras : « L’unité fait la force, la division rend vulnérable ».

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<center>Musée Sobirats</center>Le trumeau surmonte une superbe console provençale de la même époque, due au frères Mille, célèbres ferronniers du Comtat Venaissin.

Musée SobiratsLe trumeau surmonte une superbe console provençale de la même époque, due au frères Mille, célèbres ferronniers du Comtat Venaissin.

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<center>Musée Sobirats</center>Vierge à l’enfant en bois, du XVe siècle, qui est une période de transition : la vierge a encore une position hiératique mais de jolis plsi dans les vêtements, elle tient une fleur de lis, symbole de pureté, l’enfant Jésus n’est pas tout à fait un enfant, mais plutôt un homme qui juge, il tient la terre dans une main.

Musée SobiratsVierge à l’enfant en bois, du XVe siècle, qui est une période de transition : la vierge a encore une position hiératique mais de jolis plsi dans les vêtements, elle tient une fleur de lis, symbole de pureté, l’enfant Jésus n’est pas tout à fait un enfant, mais plutôt un homme qui juge, il tient la terre dans une main.

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<center>Musée Sobirats</center>La rampe des frères Mille est moins travaillée que celle de l'hôtel Dieu.

Musée SobiratsLa rampe des frères Mille est moins travaillée que celle de l'hôtel Dieu.

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Musée SobiratsMiroir Louis XIV, avec des oiseaux. Petits tableaux de paysage de chaque coté.

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<center>Musée Sobirats</center>Motifs en bois qu’on appelle des turqueries

Musée SobiratsMotifs en bois qu’on appelle des turqueries

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<center>Musée Sobirats</center>Grand canapé paillé ou radassier de Monseigneur d'Inguimbert.

Musée SobiratsGrand canapé paillé ou radassier de Monseigneur d'Inguimbert.

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<center>Musée Sobirats</center>Table de jeu en marqueterie avec une faïence de Moustiers.

Musée SobiratsTable de jeu en marqueterie avec une faïence de Moustiers.

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<center>Musée Sobirats</center>Armoire de mariage du type d'Arles, avec des symboles de la fécondité et d’opulence : panier avec grenades, roses, épis de blé.

Musée SobiratsArmoire de mariage du type d'Arles, avec des symboles de la fécondité et d’opulence : panier avec grenades, roses, épis de blé.

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Musée SobiratsOn voit qu'on est à l'étage noble par les dessus de porte ouvragés.

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Musée SobiratsGrand salon Louis XV. Sur la table, un rafraîchisseur de verres.

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Musée SobiratsDessus de porte représentant des scènes pastorales peintes en camaïeu de bistre.

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Musée SobiratsTapisserie d'Aubusson.

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Musée SobiratsCheminée avec pare feu et miroir en deux parties pour le poids.

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Musée SobiratsDans une chambre de repos reconstituée on note une "Duchesse" ou méridienne de style Régence

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Musée Sobirats

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Musée SobiratsVélocimane du XIX car on pédale avec les mains.

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Musée SobiratsSalon Empire, avec mobilier d'acajou. et coupe de fruits.

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<center>Musée Sobirats</center>Deux coupea à fruits, pendule de mameluk.

Musée SobiratsDeux coupea à fruits, pendule de mameluk.

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Musée SobiratsBahut.

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<center>Musée Sobirats</center>Tableau de Joseph Vernet.

Musée SobiratsTableau de Joseph Vernet.

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Musée Comtadin-Duplessis

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Musée Comtadin-Duplessis

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Musée Comtadin-DuplessisAu cours des XIXe et XXe siècles, le costume régional a symbolisé l'appartenance à une identité et à une culture locale forte. Les coiffes comtadines illustrent cet attachement.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>Serrure de la cathédrale Saint-Siffrein.

Musée Comtadin-DuplessisSerrure de la cathédrale Saint-Siffrein.

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Musée Comtadin-Duplessis

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Musée Comtadin-DuplessisLe culte de saint Gens, patron de Monteux et des agriculteurs, est illustré par des portes-cierges de procession provenant de la chapelle des Pénitents gris. Huile sur fer.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>Les ex-voto à Notre-Dame de Santé, témoignent de la ferveur des Carpentrassiens pour un petit sanctuaire situé en bordure de l'Auzon. Le 10 juillet 1628, ses cloches sonnèrent miraculeusement, annonçant la fin d'une épidémie de peste. Cette chapelle est devenue dès lors un lieu de dévotion. Ces tableautins figurant des scènes de maladie ou d'accident ont été commandés en remerciement après l'accomplissement de vœux.

Musée Comtadin-DuplessisLes ex-voto à Notre-Dame de Santé, témoignent de la ferveur des Carpentrassiens pour un petit sanctuaire situé en bordure de l'Auzon. Le 10 juillet 1628, ses cloches sonnèrent miraculeusement, annonçant la fin d'une épidémie de peste. Cette chapelle est devenue dès lors un lieu de dévotion. Ces tableautins figurant des scènes de maladie ou d'accident ont été commandés en remerciement après l'accomplissement de vœux.

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Musée Comtadin-DuplessisUne vue d'Avignon, Paul Sain.

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Musée Comtadin-DuplessisLes œuvres picturales de la IIIe République répondent à des canons réalistes. L.Breslau, Gamines.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center> L'école par Truphême.

Musée Comtadin-Duplessis L'école par Truphême.

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Musée Comtadin-DuplessisIIIe République. A. Cabanne, Farniente.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center> Menton par Eysseric

Musée Comtadin-Duplessis Menton par Eysseric

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>Avignon au soleil couchant, Louis Agricol Montagne, début XXe.

Musée Comtadin-DuplessisAvignon au soleil couchant, Louis Agricol Montagne, début XXe.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>La poissonnerie, Frans Snyders, début XVIIe.

Musée Comtadin-DuplessisLa poissonnerie, Frans Snyders, début XVIIe.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>Adoration des Mages provenant de la cathédrale Saint-Siffrein de Carpentras, fin XVe.

Musée Comtadin-DuplessisAdoration des Mages provenant de la cathédrale Saint-Siffrein de Carpentras, fin XVe.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>Copie d'après Judith et Holopherme par Pierre Paul Rubens, anonyme, XVIIe (?)

Musée Comtadin-DuplessisCopie d'après Judith et Holopherme par Pierre Paul Rubens, anonyme, XVIIe (?)

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>Les adieux de Diane et Endymion, anonyme, XVIIIe.

Musée Comtadin-DuplessisLes adieux de Diane et Endymion, anonyme, XVIIIe.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>En haut : Clair de lune, Joseph Vernet ; Bouquet de fleurs, anonyme, XVIIe. En bas : Incendie nocturne, Joseph Vernet ; Nature morte salée ou un déjeuner, Villard, XVIIIe.

Musée Comtadin-DuplessisEn haut : Clair de lune, Joseph Vernet ; Bouquet de fleurs, anonyme, XVIIe. En bas : Incendie nocturne, Joseph Vernet ; Nature morte salée ou un déjeuner, Villard, XVIIIe.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>Anonymes. Portrait de femme avec Cupidon et portrait de femme en Diane.

Musée Comtadin-DuplessisAnonymes. Portrait de femme avec Cupidon et portrait de femme en Diane.

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<center>Musée Comtadin-Duplessis</center>Portraits de Joseph Duplessis. En haut : Mme Cavet, l'abbé Arnaud, Mr Cavet. En bas : Gabriel Raymons d'Olivier Durouret, autoportrait, Madame Saint-Paulet.
Portraitiste de la cour de Louis XVI, Duplessis réalisa le portrait en pied officiel du souverain, celui de Marie-Antoinette encore dauphine, ainsi que d'autres personnalités tel Benjamin Franklin. Il a laissé de nombreuses effigies de l'aristocratie comtadine. La réalisation du portrait de son compatriote, l'Abbé Arnaud, originaire d'Aubignan, académicien apprécié des salons parisiens, valut à Duplessis d'accéder à la célébrité. En 2008, la Ville de Carpentras a enrichi cette brillante collection en acquérant le portrait de Gabriel Raymond Olivier Durouret (1753-1823), juriste comtadin et homme des Lumières.

Musée Comtadin-DuplessisPortraits de Joseph Duplessis. En haut : Mme Cavet, l'abbé Arnaud, Mr Cavet. En bas : Gabriel Raymons d'Olivier Durouret, autoportrait, Madame Saint-Paulet. Portraitiste de la cour de Louis XVI, Duplessis réalisa le portrait en pied officiel du souverain, celui de Marie-Antoinette encore dauphine, ainsi que d'autres personnalités tel Benjamin Franklin. Il a laissé de nombreuses effigies de l'aristocratie comtadine. La réalisation du portrait de son compatriote, l'Abbé Arnaud, originaire d'Aubignan, académicien apprécié des salons parisiens, valut à Duplessis d'accéder à la célébrité. En 2008, la Ville de Carpentras a enrichi cette brillante collection en acquérant le portrait de Gabriel Raymond Olivier Durouret (1753-1823), juriste comtadin et homme des Lumières.

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