Le Barroux, la Chapelle de la Madelène.

<center>Le Barroux. </center> Toits de l'église.
Le Barroux.
Toits de l'église.
85
<center>L'église.</center> L'église avec son toit en tuile sur la nef et ses toits en lauze sur les collatéraux.
L'église.
L'église avec son toit en tuile sur la nef et ses toits en lauze sur les collatéraux.
86
<center>L'église.</center>
L'église.
87
<center>L'église.</center>
L'église.
88
<center>La grande fontaine. </center> Jusqu'au début du XIXe s., la commune ne dispose que de deux petites fontaines situées à 600 mètres du village, dont le débit est, de plus, nettement diminué en période de sécheresse. Ce manque d'eau favorise d'ailleurs chaque année l'apparition de maladies. La seule solution reste alors de se rendre auprès de la source Saint-Andéol, éloignée de 4,5 km, avec des tonneaux ou à dos de mulets. La cession gratuite de la source Saint-Andéol par ses copropriétaires, en 1842, arrive donc à point nommé ; ces quatre Barroussiers ne se réservent que le fuyant (superflu) des eaux des fontaines.
Le devis établi par l'architecte départemental Renaux s'élève cependant à 24 150 F, somme considérable pour une petite commune, que justifient l'éloignement de la source et la nécessité de construire un aqueduc pour franchir le ravin des Gipières. C'est pourquoi le conseil municipal vote en 1839 la vente de la « montagne » du Patifiage. Cependant, l'administration des Eaux et Forêts s'y oppose ; il faut attendre 1842 et une ordonnance de Louis-Philippe pour que Le Barroux soit autorisé à effectuer la vente. Les travaux sont enfin terminés à l'automne 1847. Rapidement néanmoins, des réparations sont nécessaires. Par exemple, en 1903, on doit repenser le système d'adduction puisque la moitié de l'eau acheminée à partir de 1a source se perd avant d'arriver au village.
En 1980, les fontaines du Barroux se taisent : des conduites défectueuses ont occasionné de gros dégâts. Des travaux d'importance permettent de remettre en eau les fontaines en 1997.
La grande fontaine.
Jusqu'au début du XIXe s., la commune ne dispose que de deux petites fontaines situées à 600 mètres du village, dont le débit est, de plus, nettement diminué en période de sécheresse. Ce manque d'eau favorise d'ailleurs chaque année l'apparition de maladies. La seule solution reste alors de se rendre auprès de la source Saint-Andéol, éloignée de 4,5 km, avec des tonneaux ou à dos de mulets. La cession gratuite de la source Saint-Andéol par ses copropriétaires, en 1842, arrive donc à point nommé ; ces quatre Barroussiers ne se réservent que le fuyant (superflu) des eaux des fontaines. Le devis établi par l'architecte départemental Renaux s'élève cependant à 24 150 F, somme considérable pour une petite commune, que justifient l'éloignement de la source et la nécessité de construire un aqueduc pour franchir le ravin des Gipières. C'est pourquoi le conseil municipal vote en 1839 la vente de la « montagne » du Patifiage. Cependant, l'administration des Eaux et Forêts s'y oppose ; il faut attendre 1842 et une ordonnance de Louis-Philippe pour que Le Barroux soit autorisé à effectuer la vente. Les travaux sont enfin terminés à l'automne 1847. Rapidement néanmoins, des réparations sont nécessaires. Par exemple, en 1903, on doit repenser le système d'adduction puisque la moitié de l'eau acheminée à partir de 1a source se perd avant d'arriver au village. En 1980, les fontaines du Barroux se taisent : des conduites défectueuses ont occasionné de gros dégâts. Des travaux d'importance permettent de remettre en eau les fontaines en 1997.
89
<center>La grande fontaine. </center> La grande fontaine, une sobriété caractéristique du XIXe s.
La grande fontaine est bien représentative des fontaines centrales édifiées en Comtat-Venaissin au XIXe s. Sa simplicité contraste avec le projet initial de l'architecte Renaux, lequel avait imaginé une fontaine pour « l'embellissement » du village, dotée d'une large vasque. Son bassin de pierre octogonal présente quatre porte-cruches situés à l'aplomb des mascarons de fonte représentant des têtes de lion. Le fût de la fontaine, également octogonal, est surmonté d'une corniche, d'un piédouche et coiffé d'une boule.
La grande fontaine.
La grande fontaine, une sobriété caractéristique du XIXe s. La grande fontaine est bien représentative des fontaines centrales édifiées en Comtat-Venaissin au XIXe s. Sa simplicité contraste avec le projet initial de l'architecte Renaux, lequel avait imaginé une fontaine pour « l'embellissement » du village, dotée d'une large vasque. Son bassin de pierre octogonal présente quatre porte-cruches situés à l'aplomb des mascarons de fonte représentant des têtes de lion. Le fût de la fontaine, également octogonal, est surmonté d'une corniche, d'un piédouche et coiffé d'une boule.
90
<center>La grande fontaine. </center> L'eau coule par les bourneaux (canons) que tiennent dans leur gueule les félins.
La grande fontaine.
L'eau coule par les bourneaux (canons) que tiennent dans leur gueule les félins.
91
<center>Le Barroux. </center>
Le Barroux.
92
<center>Le Barroux. </center>
Le Barroux.
93
<center>Le Barroux. </center>
Le Barroux.
94
<center>Le Barroux. </center>
Le Barroux.
95
<center>Le Barroux. </center>
Le Barroux.
96
<center>Le Barroux. </center>
Le Barroux.
97
<center>Le Barroux. </center>
Le Barroux.
98
<center>Le lavoir.</center>
Le lavoir.
99
<center>Le lavoir.</center>Arrivée de l'eau de la fontaine.
Le lavoir.
Arrivée de l'eau de la fontaine.
100
<center>Le moulin à huile. </center>
Le moulin à huile.
101
<center>Le moulin à huile. </center>
Le moulin à huile.
102
<center>Le monastère du Barroux. </center> En août 1970, un jeune moine bénédictin, le père Gérard Calvet quitta l'Abbaye Notre-Dame de Tournay, avec l'accord de son père abbé, et s'installa à Bédoin, petit village du Vaucluse. Il désirait vivre la règle de saint Benoît dans la fidélité avec les traditions liturgiques romaines. Il fut rapidement rejoint par quelques jeunes gens qui désiraient vivre la vie bénédictine.
En 1974, il se rapprocha du mouvement de Mgr Lefebvre; de facto, les relations avec Tournay furent rompues. En 1978, au vu de la croissance de la jeune communauté, un terrain de trente hectares fut acquis entre le Ventoux et les Dentelles de Montmirail, dans la commune du Barroux. Commença alors la construction d'une abbaye de style roman avec les moyens techniques modernes.
Le monastère du Barroux.
En août 1970, un jeune moine bénédictin, le père Gérard Calvet quitta l'Abbaye Notre-Dame de Tournay, avec l'accord de son père abbé, et s'installa à Bédoin, petit village du Vaucluse. Il désirait vivre la règle de saint Benoît dans la fidélité avec les traditions liturgiques romaines. Il fut rapidement rejoint par quelques jeunes gens qui désiraient vivre la vie bénédictine. En 1974, il se rapprocha du mouvement de Mgr Lefebvre; de facto, les relations avec Tournay furent rompues. En 1978, au vu de la croissance de la jeune communauté, un terrain de trente hectares fut acquis entre le Ventoux et les Dentelles de Montmirail, dans la commune du Barroux. Commença alors la construction d'une abbaye de style roman avec les moyens techniques modernes.
103
<center>Le monastère du Barroux. </center> L'abbaye est réalisée dans le style de l'architecture romane.
L'aspect extérieur des murs est fait des pierres apparentes beurrées. Il s'agit de roches calcaires conformes à ce que l'on trouve dans le secteur et plus largement, dans le Vaucluse.
L'intérieur de l'abbatiale est composé de trois pierres de couleurs et d'aspect différent. La recherche de ces pierres a pris du temps et c'est faite dans plusieurs pays proche du bassin méditerranéen.
Le monastère du Barroux.
L'abbaye est réalisée dans le style de l'architecture romane. L'aspect extérieur des murs est fait des pierres apparentes beurrées. Il s'agit de roches calcaires conformes à ce que l'on trouve dans le secteur et plus largement, dans le Vaucluse. L'intérieur de l'abbatiale est composé de trois pierres de couleurs et d'aspect différent. La recherche de ces pierres a pris du temps et c'est faite dans plusieurs pays proche du bassin méditerranéen.
104
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
105
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
106
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
107
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
108
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
109
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
110
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
111
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
112
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
113
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
114
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
115
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
116
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
117
<center>Le monastère du Barroux. </center>
Le monastère du Barroux.
118
<center>Le monastère du Barroux. </center>  Dentelles de Montmirail.
Le monastère du Barroux.
Dentelles de Montmirail.
119
<center>Le moulin à huile.</center>
Le moulin à huile.
120
<center>Le moulin à huile.</center>
Le moulin à huile.
121
<center>Le moulin à huile.</center>
Le moulin à huile.
122
<center>Le moulin à huile.</center>
Le moulin à huile.
123
<center>Le moulin à huile.</center>
Le moulin à huile.
124
<center>Le moulin à huile.</center>
Le moulin à huile.
125
<center>La chapelle de la Madelène. <center> La présence d'une source ainsi que la proximité d'un chemin menant vers le versant Nord du Ventoux par la Combe Obscure ont fait de ce site une étape sur une voie de passage fréquentée par les bergers et les voyageurs. A l'époque gallo-romaine, s'élevait une villa dont on trouve des vestiges dans le vallon : une stèle, conservée sur place, dédiée à une divinité locale, Sacanus, atteste que ce fut également un lieu de culte, à mettre en correspondance avec le sanctuaire de la source du Groseau, près de Malaucène.
Vers le Ve siècle s'installa une petite nécropole chrétienne. A la fin du Xe siècle, lorsque le village de Bédoin « et ses chapelles » furent donnés à l'abbaye de Montmajour par le seigneur Exmido, un premier édifice existait déjà. Celui-ci, dédié à Saint-Pierre, ne reçut le vocable de Sainte-Madeleine qu'au XVIe siècle, lorsque la chapelle fut incluse dans un domaine privé.
La chapelle de la Madelène.
La présence d'une source ainsi que la proximité d'un chemin menant vers le versant Nord du Ventoux par la Combe Obscure ont fait de ce site une étape sur une voie de passage fréquentée par les bergers et les voyageurs. A l'époque gallo-romaine, s'élevait une villa dont on trouve des vestiges dans le vallon : une stèle, conservée sur place, dédiée à une divinité locale, Sacanus, atteste que ce fut également un lieu de culte, à mettre en correspondance avec le sanctuaire de la source du Groseau, près de Malaucène. Vers le Ve siècle s'installa une petite nécropole chrétienne. A la fin du Xe siècle, lorsque le village de Bédoin « et ses chapelles » furent donnés à l'abbaye de Montmajour par le seigneur Exmido, un premier édifice existait déjà. Celui-ci, dédié à Saint-Pierre, ne reçut le vocable de Sainte-Madeleine qu'au XVIe siècle, lorsque la chapelle fut incluse dans un domaine privé.
126
<center>La chapelle de la Madelène. <center> La coupole a été reconstruite en 1950.
La chapelle de la Madelène.
La coupole a été reconstruite en 1950.
127
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Les deux niveaux de la tour sont séparés par une moulure. Le premier niveau est du XIe s, le deuxième, en pierres appareillées, du XIIe s.
La chapelle de la Madelène.
Les deux niveaux de la tour sont séparés par une moulure. Le premier niveau est du XIe s, le deuxième, en pierres appareillées, du XIIe s.
128
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Des baies jumelées en plein cintre éclairent chacune des faces. Ces baies comportent une colonne médiane, celles du deuxième niveaus étant plus amples et élancées.
La chapelle de la Madelène.
Des baies jumelées en plein cintre éclairent chacune des faces. Ces baies comportent une colonne médiane, celles du deuxième niveaus étant plus amples et élancées.
129
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Construite dans le premier tiers du XIe siècle, complétée au XIIe par le second étage de la tour, la chapelle par ses proportions trapues, ses trois absides semi-circulaires couvertes de lauzes, ses voûtes en berceau, son appareillage fruste, son clocher percé de baies géminées, est un exemple exceptionnellement bien conservé du premier art roman méridional.
La chapelle de la Madelène.
Construite dans le premier tiers du XIe siècle, complétée au XIIe par le second étage de la tour, la chapelle par ses proportions trapues, ses trois absides semi-circulaires couvertes de lauzes, ses voûtes en berceau, son appareillage fruste, son clocher percé de baies géminées, est un exemple exceptionnellement bien conservé du premier art roman méridional.
130
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Le mur de la façade sud est construit avec des moëllons irréguliers, noyés dans du mortier. De grandes pierres taillées, vraisemblablement de réemploi, ont été utilisées pour les piedroits de la porte et les chaînages d'angle. La porte est surmontée d'un arc de décharge. Les deux petites ouvertures en forme de meurtrière ont été percées au XIXe s.
La chapelle de la Madelène.
Le mur de la façade sud est construit avec des moëllons irréguliers, noyés dans du mortier. De grandes pierres taillées, vraisemblablement de réemploi, ont été utilisées pour les piedroits de la porte et les chaînages d'angle. La porte est surmontée d'un arc de décharge. Les deux petites ouvertures en forme de meurtrière ont été percées au XIXe s.
131
<center>La chapelle de la Madelène. <center> La corniche sur modillons est ornée de motifs géométriques. Elle est constituée de dalles jointoyées au-dessus des modillons. Certains modillons sont en forme de têtes d'animaux.
La chapelle de la Madelène.
La corniche sur modillons est ornée de motifs géométriques. Elle est constituée de dalles jointoyées au-dessus des modillons. Certains modillons sont en forme de têtes d'animaux.
132
<center>La chapelle de la Madelène. <center>
La chapelle de la Madelène.
133
<center>La chapelle de la Madelène. <center>
La chapelle de la Madelène.
134
<center>La chapelle de la Madelène. <center> L'arc doubleau qui sépare les deux travées centrales est constitué de claveaux soigneusement appareillés.
La chapelle de la Madelène.
L'arc doubleau qui sépare les deux travées centrales est constitué de claveaux soigneusement appareillés.
135
<center>La chapelle de la Madelène. <center> L'abside centrale.
La chapelle de la Madelène.
L'abside centrale.
136
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Tombe d'Amaury de Chansiergues-Ornano, aménagée en 1965.
La chapelle de la Madelène.
Tombe d'Amaury de Chansiergues-Ornano, aménagée en 1965.
137
<center>La chapelle de la Madelène. <center> L'abside centrale, voûtée en cul-de-four, est encadrée par deux colonnes composées de plusieurs fragments de colonnnes antiques, et  surmontées de chapiteaux.
La chapelle de la Madelène.
L'abside centrale, voûtée en cul-de-four, est encadrée par deux colonnes composées de plusieurs fragments de colonnnes antiques, et surmontées de chapiteaux.
138
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Cette statue de sainte Marie-Madeleine a été placée sous l'autel en 1863. Ce n'est qu'au XVIe s que le vocable Saint Pierre de Monastrol fut remplacé par celui de sainte Marie-Madeleine.
La chapelle de la Madelène.
Cette statue de sainte Marie-Madeleine a été placée sous l'autel en 1863. Ce n'est qu'au XVIe s que le vocable Saint Pierre de Monastrol fut remplacé par celui de sainte Marie-Madeleine.
139
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Le chapireau nord est coiffé d'une simple imposte. Sa corbeille parallélépipédique a ses angles rabattus, formant des feuilles.
La chapelle de la Madelène.
Le chapireau nord est coiffé d'une simple imposte. Sa corbeille parallélépipédique a ses angles rabattus, formant des feuilles.
140
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Celui du Sud est plus élaboré  : sur les cotés, des bandes horizontales et sur la face antérieure, trois rangs de damiers.
La chapelle de la Madelène.
Celui du Sud est plus élaboré : sur les cotés, des bandes horizontales et sur la face antérieure, trois rangs de damiers.
141
<center>La chapelle de la Madelène. <center>
La chapelle de la Madelène.
142
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Voûte en berceau de la première travée de la nef, comme celles des collatéraux.
La chapelle de la Madelène.
Voûte en berceau de la première travée de la nef, comme celles des collatéraux.
143
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Les fenêtres des absides sont en albâtre.
La chapelle de la Madelène.
Les fenêtres des absides sont en albâtre.
144
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Les trois vaisseaux de la nef communiquent par des grandes arcades faites de pierres soigneusement appareillées, reposant sur des piliers par l'intermédiaire d'impostes.
La chapelle de la Madelène.
Les trois vaisseaux de la nef communiquent par des grandes arcades faites de pierres soigneusement appareillées, reposant sur des piliers par l'intermédiaire d'impostes.
145
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Clé de voûte représentant saint Siffrein.
La chapelle de la Madelène.
Clé de voûte représentant saint Siffrein.
146
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Piliers intermédiaires. Les impostes sont soit simplement moulurées, ....
La chapelle de la Madelène.
Piliers intermédiaires. Les impostes sont soit simplement moulurées, ....
147
<center>La chapelle de la Madelène. <center> ...soit ornées de rangs de damiers.
La chapelle de la Madelène.
...soit ornées de rangs de damiers.
148
<center>La chapelle de la Madelène. <center>
La chapelle de la Madelène.
149
<center>La chapelle de la Madelène. <center>
La chapelle de la Madelène.
150
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Dans l'abside coté sud se trouve une stèle votive.
La chapelle de la Madelène.
Dans l'abside coté sud se trouve une stèle votive.
151
<center>La chapelle de la Madelène. <center> Cette stèle a été érigée au Ier s par un habitant Lucius Eppius Leo à une divinité gauloise, Uxsacanus.
La chapelle de la Madelène.
Cette stèle a été érigée au Ier s par un habitant Lucius Eppius Leo à une divinité gauloise, Uxsacanus.
152
<center>La chapelle de la Madelène. <center> La porte ouest n'a été percée qu'en 1971. Elle est surmontée par une baie géminée dont les arcs reposent sur une colonne médiane.
La chapelle de la Madelène.
La porte ouest n'a été percée qu'en 1971. Elle est surmontée par une baie géminée dont les arcs reposent sur une colonne médiane.
153