<center>La Celle.</center>Le lavoir du village.
Longtemps à La Celle la lessive s'est faite au bord de la rivière Carami, sur une pierre inclinée ou sur une simple planche. Seuls quelques foyers possèdent des lavoirs individuels dans leur maison.
Il faut attendre le XIXe siècle et les préoccupations hygiénistes de cette période pour que la quasi-totalité des villages provençaux, Incités par des aides financières de l'Etat, se dotent de lavoirs publics. En 1869, la commune de La Celle fait construire le sien, couvert, permettant ainsi aux femmes du village de laver leur linge debout et à l'abri des intempéries.
L'utilisation de ce lieu de partage domestique est régie par des règles édictées par la commune.
A La Celle, une journée par semaine est consacrée au lavage du linge de travail des mineurs, rougis par la bauxite des mines dans lesquelles ils travaillaient. L'utilisation des lavoirs a été progressivement abandonnée après les années 1950.

La Celle.Le lavoir du village. Longtemps à La Celle la lessive s'est faite au bord de la rivière Carami, sur une pierre inclinée ou sur une simple planche. Seuls quelques foyers possèdent des lavoirs individuels dans leur maison. Il faut attendre le XIXe siècle et les préoccupations hygiénistes de cette période pour que la quasi-totalité des villages provençaux, Incités par des aides financières de l'Etat, se dotent de lavoirs publics. En 1869, la commune de La Celle fait construire le sien, couvert, permettant ainsi aux femmes du village de laver leur linge debout et à l'abri des intempéries. L'utilisation de ce lieu de partage domestique est régie par des règles édictées par la commune. A La Celle, une journée par semaine est consacrée au lavage du linge de travail des mineurs, rougis par la bauxite des mines dans lesquelles ils travaillaient. L'utilisation des lavoirs a été progressivement abandonnée après les années 1950.

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La Celle.

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Abbaye de La Celle.Des fouilles préventives liées aux campagnes de restauration des bâtiments ont été réalisées entre 2010 et 2012. Elles ont permis de confirmer l'occupation du site dès la fin de l'Âge du fer et à l'époque romaine, avec la mise au jour des vestiges d'une villa (grande propriété agricole) qui a été occupée jusqu'au VIe siècle au moins. En témoignent une instal-lation viticole (pressoir) dans la cuisine médiévale, des murs dans le réfectoire, les galeries du cloître et la salle capitulaire. Après une période d'abandon, le site a été occupé au XIe siècle par un habitat dont les traces ont été trouvées dans les galeries est et sud du cloître.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Au XIe siècle, l'abbaye Saint-Victor de Marseille reçoit en don l'église Sainte-Perpétue. L'existence d'un prieuré est attestée en 1074 et en 1076, lorsque le pape Grégoire VII confirme ces biens qui comprenaient en outre l'église Sainte-Marie, consacrée en 1056. Le monastère bénédictin abritait d'un côté les moines qui desservaient l'église Sainte-Perpétue, de l'autre les moniales qui utilisaient l'église Sainte-Marie.

Abbaye de La Celle.Au XIe siècle, l'abbaye Saint-Victor de Marseille reçoit en don l'église Sainte-Perpétue. L'existence d'un prieuré est attestée en 1074 et en 1076, lorsque le pape Grégoire VII confirme ces biens qui comprenaient en outre l'église Sainte-Marie, consacrée en 1056. Le monastère bénédictin abritait d'un côté les moines qui desservaient l'église Sainte-Perpétue, de l'autre les moniales qui utilisaient l'église Sainte-Marie.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>A gauche, l'église Sainte-Marie. Entre les deux bâtiments devait se situer l'église Sainte-Perpétue.

Abbaye de La Celle.A gauche, l'église Sainte-Marie. Entre les deux bâtiments devait se situer l'église Sainte-Perpétue.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Eglise Sainte-Marie. Le regroupement de laïcs et de religieux sur un même territoire nécessite la présence de deux lieux de culte : l’église Sainte-Perpétue, déjà citée au début du XIe siècle, et l’église Sainte-Marie consacrée en 1056. La première est ouverte à la population laïque, tandis que la seconde est réservée à l’usage des moniales. Ce phénomène est connu dans de nombreux autres lieux de l’espace provençal.

Abbaye de La Celle.Eglise Sainte-Marie. Le regroupement de laïcs et de religieux sur un même territoire nécessite la présence de deux lieux de culte : l’église Sainte-Perpétue, déjà citée au début du XIe siècle, et l’église Sainte-Marie consacrée en 1056. La première est ouverte à la population laïque, tandis que la seconde est réservée à l’usage des moniales. Ce phénomène est connu dans de nombreux autres lieux de l’espace provençal.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Le village ecclésial de La Celle n’était pas protégé par un rempart, comme ce fut le cas à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume ou au Val. Néanmoins, un bossage qui s’offre au regard des laïcs sur le mur nord de l’église Sainte-Marie, marque la limite de l’enceinte abbatiale et symbolise le pouvoir politique et économique du prieuré.

Abbaye de La Celle.Le village ecclésial de La Celle n’était pas protégé par un rempart, comme ce fut le cas à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume ou au Val. Néanmoins, un bossage qui s’offre au regard des laïcs sur le mur nord de l’église Sainte-Marie, marque la limite de l’enceinte abbatiale et symbolise le pouvoir politique et économique du prieuré.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Mur fortifié de l'église.

Abbaye de La Celle.Mur fortifié de l'église.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Dans cette maison vécut Marcel Cervin, prieur de l'abbaye de La Celle. Il devint pape sous le nom de Marcel II en 1555. Il décéda 20 jours après.

Abbaye de La Celle.Dans cette maison vécut Marcel Cervin, prieur de l'abbaye de La Celle. Il devint pape sous le nom de Marcel II en 1555. Il décéda 20 jours après.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Entrée du cloitre.

Abbaye de La Celle.Entrée du cloitre.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Galerie nord. Le premier témoignage d'une présence de moniales à La Celle se trouve dans un document daté de 1099. Au XIIe siècle, le monastère s'affirme comme une fondation féminine importante dans l'espace religieux provençal. En 1267 il accueillait plus de 100 moniales, issues de familles aristocratiques du sud de la France. Les bénédictines de La Celle possédaient des biens fonciers propres ou reçus en donation de nobles locaux. Elles entendaient les faire fructifier elles-mêmes, ce qui engendra des conflits avec l'abbaye de Saint-Victor à partir de la seconde moitié du XIVe siècle. Elles ont également connu des différends avec les moines de l'abbaye du Thoronet et la population locale. Dès le XVe siècle, la discipline bénédictine se relâche et les religieuses se font construire des logements plus confortables.

Abbaye de La Celle.Galerie nord. Le premier témoignage d'une présence de moniales à La Celle se trouve dans un document daté de 1099. Au XIIe siècle, le monastère s'affirme comme une fondation féminine importante dans l'espace religieux provençal. En 1267 il accueillait plus de 100 moniales, issues de familles aristocratiques du sud de la France. Les bénédictines de La Celle possédaient des biens fonciers propres ou reçus en donation de nobles locaux. Elles entendaient les faire fructifier elles-mêmes, ce qui engendra des conflits avec l'abbaye de Saint-Victor à partir de la seconde moitié du XIVe siècle. Elles ont également connu des différends avec les moines de l'abbaye du Thoronet et la population locale. Dès le XVe siècle, la discipline bénédictine se relâche et les religieuses se font construire des logements plus confortables.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Galerie nord. Pendant près de 500 ans, cette « abbaye » va prospérer et les bénédictines de La Celle vont se trouver progressivement à la tête de terres et de droits très importants. Parmi les moniales, un personnage majeur va marquer l'histoire politique et économique du monastère. Il s'agit de Gersande de Sabran, épouse d'Alphonse d'Aragon, Comte de Provence.
En 1660, le cardinal Mazarin, alors abbé de Saint-Victor, décide de transférer à Aix-en-Provence les moniales encore présentes à La Celle. Certaines choisissent de rester, mais le monastère ne pouvant recevoir de novices s'éteint peu à peu.
En 1791, les bâtiments sont vendus comme bien national. L'église Sainte-Marie est réaffectée au culte en 1833 mais le bâtiment conventuel se ruine progressivement. Une exploitation agricole s'y installe.
La voûte en plein cintre est renforcée par des arcs doubleaux. Les colonnes qui supportent au Sud les arcs à doubleaux sont dites « à genoux ».

Abbaye de La Celle.Galerie nord. Pendant près de 500 ans, cette « abbaye » va prospérer et les bénédictines de La Celle vont se trouver progressivement à la tête de terres et de droits très importants. Parmi les moniales, un personnage majeur va marquer l'histoire politique et économique du monastère. Il s'agit de Gersande de Sabran, épouse d'Alphonse d'Aragon, Comte de Provence. En 1660, le cardinal Mazarin, alors abbé de Saint-Victor, décide de transférer à Aix-en-Provence les moniales encore présentes à La Celle. Certaines choisissent de rester, mais le monastère ne pouvant recevoir de novices s'éteint peu à peu. En 1791, les bâtiments sont vendus comme bien national. L'église Sainte-Marie est réaffectée au culte en 1833 mais le bâtiment conventuel se ruine progressivement. Une exploitation agricole s'y installe. La voûte en plein cintre est renforcée par des arcs doubleaux. Les colonnes qui supportent au Sud les arcs à doubleaux sont dites « à genoux ».

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Galerie est. Un premier monastère (Monastère I) est construit à partir de la fin du XIe siècle. Ses puissantes fondations ont été retrouvées dans le réfectoire et les galeries est et sud du cloître, ainsi que dans la salle capitulaire. Cette première construction a utilisé une partie des murs de la villa romaine.

Abbaye de La Celle.Galerie est. Un premier monastère (Monastère I) est construit à partir de la fin du XIe siècle. Ses puissantes fondations ont été retrouvées dans le réfectoire et les galeries est et sud du cloître, ainsi que dans la salle capitulaire. Cette première construction a utilisé une partie des murs de la villa romaine.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Galerie est. Au début du XIIIe siècle, un plan architectural plus ambitieux conduit à reconstruire le monastère (Monastère II) avec une forte influence du style cistercien en cours à l'abbaye du Thoronet. La galerie sud du cloître est alors érigée perpendiculairement à la galerie est, détruisant le premier lavabo. La galerie ouest, quant à elle, conserve l'orientation de l'habitat antique.

Abbaye de La Celle.Galerie est. Au début du XIIIe siècle, un plan architectural plus ambitieux conduit à reconstruire le monastère (Monastère II) avec une forte influence du style cistercien en cours à l'abbaye du Thoronet. La galerie sud du cloître est alors érigée perpendiculairement à la galerie est, détruisant le premier lavabo. La galerie ouest, quant à elle, conserve l'orientation de l'habitat antique.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Galerie est.

Abbaye de La Celle.Galerie est.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie vue de la galerie sud. L’église conventuelle, consacrée en 1054 a été le première édifiée. Elle était implantée dans la continuité de l’église Sainte Perpétue, aujourd’hui disparue. La construction se poursuit dans la seconde moitié du XIIe siècle.

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie vue de la galerie sud. L’église conventuelle, consacrée en 1054 a été le première édifiée. Elle était implantée dans la continuité de l’église Sainte Perpétue, aujourd’hui disparue. La construction se poursuit dans la seconde moitié du XIIe siècle.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Copie du plus vieux sarcophage, II-IIIe siécle. Trouvé au domaine de la Gayole.

Abbaye de La Celle.Copie du plus vieux sarcophage, II-IIIe siécle. Trouvé au domaine de la Gayole.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>La galerie Nord du XIIIe siècle a une architecture la plus ornementée. Côté jardin, six baies à colonnettes géminées.

Abbaye de La Celle.La galerie Nord du XIIIe siècle a une architecture la plus ornementée. Côté jardin, six baies à colonnettes géminées.

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Abbaye de La Celle.

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Abbaye de La Celle.

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Abbaye de La Celle.

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Abbaye de La Celle.

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Abbaye de La Celle.

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Abbaye de La Celle.

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Abbaye de La Celle.

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Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie. Vue du chœur avec son autel.

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie. Vue du chœur avec son autel.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie. Retable baroque du XVIIe siècle.

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie. Retable baroque du XVIIe siècle. "Vierge à l'Enfant", huile sur toile, retable architecturé à 4 colonnes placées devant 4 pilastres

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie. Saint Roch, accompagné de son chien et d'un ange qui panse ses plaies, bois sculpté, peint.

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie. Saint Roch, accompagné de son chien et d'un ange qui panse ses plaies, bois sculpté, peint.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie. Saint Eloi.

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie. Saint Eloi.

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Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie.

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Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie.

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Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie. Retable baroque du XVIIe siècle : la Crucifixion, huile sur toile, cintré, cerné par un cadre sculpté de rinceaux.

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie. Retable baroque du XVIIe siècle : la Crucifixion, huile sur toile, cintré, cerné par un cadre sculpté de rinceaux.

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Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie. Christ d'origine catalane du XIVe siècle en bois polychrome à la sculpture d'un très grand réalisme.

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie. Christ d'origine catalane du XIVe siècle en bois polychrome à la sculpture d'un très grand réalisme.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie. Le Département du Var a acquis en 1999 un sarcophage daté de 1125-1150 qui se trouvait à l'origine dans le cloître. Du fait d'une inscription funéraire située dans la galerie nord du cloître

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie. Le Département du Var a acquis en 1999 un sarcophage daté de 1125-1150 qui se trouvait à l'origine dans le cloître. Du fait d'une inscription funéraire située dans la galerie nord du cloître "Ici est inhumée une reine...", on a attribué de manière erronée ce sarcophage à Garsende de Sabran, comtesse de Provence et de Forcalquier, mère de Raymond Bérenger V. Personnalité importante et influente, Garsende de Sabran a largement contribué à la notoriété de l'abbaye de La Celle lorsqu'elle a décidé de s'y retirer après son veuvage, en 1225. Exceptionnel exemple de sarcophage sculpté dans le style roman provençal, il représente la « Dormition de la Vierge ».

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<center>Abbaye de La Celle.</center>L'église sainte Marie. Face latérale, l'agneau

Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie. Face latérale, l'agneau

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Abbaye de La Celle.L'église sainte Marie.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Armarium pour ranger des livres.

Abbaye de La Celle.Armarium pour ranger des livres.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Couloir qui mène au jardin. Il a pu servir de parloir.

Abbaye de La Celle.Couloir qui mène au jardin. Il a pu servir de parloir.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Dans l'angle sud-est du cloître a été retrouvé en 2012 l'espace de circulation dallé entourant le lavabo du premier monastère. Un escalier menait au dortoir.

Abbaye de La Celle.Dans l'angle sud-est du cloître a été retrouvé en 2012 l'espace de circulation dallé entourant le lavabo du premier monastère. Un escalier menait au dortoir.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Le dortoir.

Abbaye de La Celle.Le dortoir.

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Abbaye de La Celle.

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Abbaye de La Celle.Le réfectoire, dont les voûtes et une partie des murs étaient totalement écroulés a été fouillé et restauré. Les fouilles ont mis à jour des banquettes latérales.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Le réfectoire.

Abbaye de La Celle.Le réfectoire.

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Abbaye de La Celle.Le réfectoire.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Le réfectoire. Vestiges marquant la place du lecteur ?

Abbaye de La Celle.Le réfectoire. Vestiges marquant la place du lecteur ?

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Abbaye de La Celle.Le réfectoire.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>La cuisine. Des zones de cuisson ont été mises à jour. Elles se composent de 3 foyers sur sole d'argile circulaire à même les bétons des sols antiques. On n'a pas retrouvé d'emplacement pour une cheminée.

Abbaye de La Celle.La cuisine. Des zones de cuisson ont été mises à jour. Elles se composent de 3 foyers sur sole d'argile circulaire à même les bétons des sols antiques. On n'a pas retrouvé d'emplacement pour une cheminée.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>Le passe-plat.

Abbaye de La Celle.Le passe-plat.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>La salle capitulaire. C'est une pièce remarquable du XIIIe siècle avec une voûte à arêtes ogivales à croisillons lourds

Abbaye de La Celle.La salle capitulaire. C'est une pièce remarquable du XIIIe siècle avec une voûte à arêtes ogivales à croisillons lourds

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<center>Abbaye de La Celle.</center>La salle capitulaire. L'ensemble est supporté par deux piliers trapus, avec des chapiteaux ornés de dessins géométriques, de style roman. Au fond,

Abbaye de La Celle.La salle capitulaire. L'ensemble est supporté par deux piliers trapus, avec des chapiteaux ornés de dessins géométriques, de style roman. Au fond, "Le temps qui passe", de Nathalie Decoster.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>La salle capitulaire. Elle comporte à l'Est trois ouvertures étroites et cintrées.

Abbaye de La Celle.La salle capitulaire. Elle comporte à l'Est trois ouvertures étroites et cintrées.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>La salle capitulaire.

Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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<center>Abbaye de La Celle.</center>La salle capitulaire. Chapiteau orné de dessins géométriques, de style roman.

Abbaye de La Celle.La salle capitulaire. Chapiteau orné de dessins géométriques, de style roman.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire. Chapiteau orné de dessins géométriques, de style roman.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire. Chapiteau orné de dessins géométriques, de style roman.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire. Chapiteau orné de dessins géométriques, de style roman.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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Abbaye de La Celle.La salle capitulaire.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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L'hostellerie de La Celle.

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<center>Bras</center>Le Cauron prend sa source au pied du massif de la Sainte Baume, à la Foux (« source » en provençal), à Nans-les-Pins où son cours est intermittent. Il rejoint l’Argens à Bras, au lieu-dit « le Tombereau», en aval d’une cascade environnée par une falaise de travertin Son cours devient alors permanent

BrasLe Cauron prend sa source au pied du massif de la Sainte Baume, à la Foux (« source » en provençal), à Nans-les-Pins où son cours est intermittent. Il rejoint l’Argens à Bras, au lieu-dit « le Tombereau», en aval d’une cascade environnée par une falaise de travertin Son cours devient alors permanent

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<center>Bras</center>Les lavoirs situés dans le centre des villes datent du XIXe. Ici, le lavoir est plus ancien.

BrasLes lavoirs situés dans le centre des villes datent du XIXe. Ici, le lavoir est plus ancien.

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Bras

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Bras

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BrasSur cette place s'arrêtaient les transhumants venant d'Arles.

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Bras

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BrasEn haut, la chapelle st Pierre et des restes des remparts.

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Bras

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Bras

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BrasLe pigeonnier en pied. Cette bâtisse ronde est le dernier témoin d'un pavillon seigneurial qui existait en bordure de la rivière.

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<center>Bras</center>Le pigeonnier en pied. Il appartenait au seigneur qui en tirait de la viande et de l'engrais, la colombine, de la fiente de pigeon séchée.

BrasLe pigeonnier en pied. Il appartenait au seigneur qui en tirait de la viande et de l'engrais, la colombine, de la fiente de pigeon séchée.

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Bras

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La Chapelle Notre Dame de Bethléem. Suite à un litige en 1220 entre le commandeur de Bras et le prieur local, ce dernier s’oppose à la construction de la chapelle de la Commanderie. L’évêque de Fréjus arbitre l’affaire : la célébration des baptêmes, mariages et sépultures se fait à l’église paroissiale. L’oratoire des Templiers est réservé à leur strict usage. Il n’est pas autorisé à avoir plus de deux cloches. Cette chapelle est construite au coeur des bâtiments de la Commanderie de Bras et sert donc de lieu de culte à ses membres.

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<center>La Chapelle Notre Dame de Bethléem. </center>Cette chapelle du XIIIe siècle est un magnifique exemple de l'architecture romane rurale de Provence. Elle présente une nef unique orientée, à deux travées, une abside en cul-de-four, un clocher pignon à deux baies et un toit de lauzes (pierres plates).

La Chapelle Notre Dame de Bethléem. Cette chapelle du XIIIe siècle est un magnifique exemple de l'architecture romane rurale de Provence. Elle présente une nef unique orientée, à deux travées, une abside en cul-de-four, un clocher pignon à deux baies et un toit de lauzes (pierres plates).

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La Chapelle Notre Dame de Bethléem.

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La Chapelle Notre Dame de Bethléem. La porte est percée dans le flanc nord de l'édifice, permettant l'accès aux bâtiments de la Commanderie. Cette porte est surmontée d'un arc en plein cintre aux claveaux finement taillés.

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<center>La Chapelle Notre Dame de Bethléem. </center>L'intérieur de la chapelle est éclairé par une petite ouverture dans le mur de l'abside et par un oculus dans la paroi sud. Lors des équinoxes, les rayons du soleil traversent ces ouvertures pour atteindre l'autel de pierre.

La Chapelle Notre Dame de Bethléem. L'intérieur de la chapelle est éclairé par une petite ouverture dans le mur de l'abside et par un oculus dans la paroi sud. Lors des équinoxes, les rayons du soleil traversent ces ouvertures pour atteindre l'autel de pierre.

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<center>La Chapelle Notre Dame de Bethléem. </center>Des croix templières sont encore visibles sur les parois intérieures de l’édifice et sur la porte. Cette croix pattée rouge est octroyée à l’Ordre par le pape en 1147 ; elle est alors cousue sur l’épaule gauche des vêtements des chevaliers et va devenir leur insigne.

La Chapelle Notre Dame de Bethléem. Des croix templières sont encore visibles sur les parois intérieures de l’édifice et sur la porte. Cette croix pattée rouge est octroyée à l’Ordre par le pape en 1147 ; elle est alors cousue sur l’épaule gauche des vêtements des chevaliers et va devenir leur insigne.

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<center>La Chapelle Notre Dame de Bethléem. </center>Sur le mur ouest, faisant face au chœur, figure une ouverture obstruée, ancienne tribune destinée au Commandeur.

La Chapelle Notre Dame de Bethléem. Sur le mur ouest, faisant face au chœur, figure une ouverture obstruée, ancienne tribune destinée au Commandeur.

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La Chapelle Notre Dame de Bethléem.

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BrasAncien relais.

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Bras"« farraïoun » signifie fer en provençal. La légende attribue le nom de ce chemin, autrefois caladé, au son produit par les sabots ferrés des chevaux qui l'empruntaient jadis. On raconte aussi que ce chemin fut construit sur la colline où est édifiée l’église du village. Propriété du curé jusqu'à la Révolution française, ce quartier portait le nom de «Saint-Ferréol ». Saint Ferréol était un tribun romain du IIIe siècle qui fut sommé pan le gouverneur de sa ville, Vienne, de sacrifier aux idoles. Chrétiens, il refusa et fut mis à mort. Ce martyr suscita une forte dévotion en Provence. Par déformation, le quartier devint peut-être celui des Farraïoun.

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<center>Bras</center>Calade vient de cal qui signifie pierre ou hauteur dans l'ensemble du monde indo méditerranéen. Cette racine étymologique est présente dans les mots caillou, calcaire, calanques. La technique de la calade consiste à poser sur de la terre fine des pierres très serrées.

BrasCalade vient de cal qui signifie pierre ou hauteur dans l'ensemble du monde indo méditerranéen. Cette racine étymologique est présente dans les mots caillou, calcaire, calanques. La technique de la calade consiste à poser sur de la terre fine des pierres très serrées.

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Bras

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<center>La Solaire</center>Vous remarquerez ici une des plus anciennes maisons bourgeoises du village avec le Château situé en haut de la rue.

La SolaireVous remarquerez ici une des plus anciennes maisons bourgeoises du village avec le Château situé en haut de la rue.

108

<center>La Solaire</center>Ses fenêtres à meneaux datent de la Renaissance et l'encadrement de porte sculpté des années 1630-1650. Sur cette façade figurait autrefois un cadran solaire.

La SolaireSes fenêtres à meneaux datent de la Renaissance et l'encadrement de porte sculpté des années 1630-1650. Sur cette façade figurait autrefois un cadran solaire.

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<center>La Solaire</center>Encadrement du XVIIe.

La SolaireEncadrement du XVIIe.

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<center>Le Château.</center>Les seigneurs de Bras occupèrent trois sites : la colline Saint-Pierre (le castrum, site originel de Bras), le pavillon seigneurial au XVIIIe siècle, adossé à la colline dite du plateau, le château. Cette ancienne demeure seigneuriale date du XVIIIe siècle. Elle se situe en contrebas des anciens remparts qui protégeaient le village originel de la colline Saint-Pierre.

Le Château.Les seigneurs de Bras occupèrent trois sites : la colline Saint-Pierre (le castrum, site originel de Bras), le pavillon seigneurial au XVIIIe siècle, adossé à la colline dite du plateau, le château. Cette ancienne demeure seigneuriale date du XVIIIe siècle. Elle se situe en contrebas des anciens remparts qui protégeaient le village originel de la colline Saint-Pierre.

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<center>Le Château.</center>En 1763, cet édifice fut cédé pan les Puget-Barbentane, avec de nombreuses possessions brassoises, à Gaspard de Priou. Il effectua des travaux de restauration et d'agrandissements. Au XXe siècle, le château abrita successivement la première école publique du village, la mairie et la poste.

Le Château.En 1763, cet édifice fut cédé pan les Puget-Barbentane, avec de nombreuses possessions brassoises, à Gaspard de Priou. Il effectua des travaux de restauration et d'agrandissements. Au XXe siècle, le château abrita successivement la première école publique du village, la mairie et la poste.

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Bras

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Bras

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BrasAncien rempart.

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Chapelle saint Pierre.

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Chapelle saint Pierre.C’est sur la colline St Pierre que Bras se développe au XIe siècle. Un castrum, habitat fortifié, enserre le château, l’église et les habitations. Au XIIIe siècle, les Templiers s’installent à proximité du village dans des bâtiments dont le centre est constitué par la chapelle Notre-Dame de Bethléem. Ils vont alors participer à la croissance du bourg. Cette Commanderie était en fait une exploitation agricole qui assurait le ravitaillement des établissements templiers d’Orient via le port de Marseille. Suite aux pillages et à la Peste entre le XIVe et le XVe siècle, le site de St Pierre est abandonné au profit d’un nouveau village en contrebas de la colline.

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<center>Chapelle saint Pierre.</center>La chapelle a été vraisemblablement
construite en 1620 et a servi au culte jusqu’à
la guerre de 14-18.

Chapelle saint Pierre.La chapelle a été vraisemblablement construite en 1620 et a servi au culte jusqu’à la guerre de 14-18.

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