Hyères

Le Château-fort, Castel sainte Claire, Notre Dame de la Consolation.

<center>Le château</center>Les Sarrasins qui occupaient la Provence orientale furent chassés du Fraxinet en 972-973 par Guillaume, comte de Provence, son frère, Roubaud, le marquis de Turin et plusieurs grands seigneurs de Provence, dont les seigneurs de Fos (dont un certain Pons de Fos). En récompense Guillaume offrit l'actuel territoire d’Hyères, de La Londe et de Bormes aux seigneurs de Fos, déjà propriétaires de l'actuel territoire de Fos-sur-Mer.
La première mention du château, qui fut construit au milieu XIe siècle, par Pons de Fos, date de 1062, où il est mention de castrum (château). Treize ans plus tard, en 1075, il est mention de castellum (village, donc probablement château + village, ce qui signifie sûrement que des habitants se sont installés autour du château). Il se peut que le château ait été construit une trentaine d'années auparavant, à l'emplacement d'une précédente fortification.
Le château
Les Sarrasins qui occupaient la Provence orientale furent chassés du Fraxinet en 972-973 par Guillaume, comte de Provence, son frère, Roubaud, le marquis de Turin et plusieurs grands seigneurs de Provence, dont les seigneurs de Fos (dont un certain Pons de Fos). En récompense Guillaume offrit l'actuel territoire d’Hyères, de La Londe et de Bormes aux seigneurs de Fos, déjà propriétaires de l'actuel territoire de Fos-sur-Mer. La première mention du château, qui fut construit au milieu XIe siècle, par Pons de Fos, date de 1062, où il est mention de castrum (château). Treize ans plus tard, en 1075, il est mention de castellum (village, donc probablement château + village, ce qui signifie sûrement que des habitants se sont installés autour du château). Il se peut que le château ait été construit une trentaine d'années auparavant, à l'emplacement d'une précédente fortification.
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<center>Le château</center>
Le château
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<center>Le château</center>
Le château
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<center>Le château</center>En 1254, au retour de la septième croisade Saint-Louis et sa famille y séjournent.
Après une lutte militaire entre Ildefons Ier et Amelin de Fos au sujet de la possession de la ville et du château d'Hyères le territoire revint finalement à Charles Ier d'Anjou, le comte de Provence, en 1257. Les seigneurs de Fos abandonnent le château, la ville, son territoire et les îles d'Hyères contre d'autres territoires en Provence. De 1423 à 1431, le château appartient à Arnaud de Villeneuve, de la famille des seigneurs de Trans, et enfin dès 1481, au domaine royal.
En 1524 et en 1536 les armées du roi déferlèrent sur la Provence. La première fois le château résiste puis est occupé, la deuxième fois le château est épargné.
Durant cette période, le château reçoit la visite de deux rois de France, François 1er en 1530 et, quelques années plus tard, Charles IX en 1564.
Pendant les guerres de religion, la ville d'Hyères reste fidèle au roi, mais le château change souvent de main. À partir de 1596, le triomphe d'Henri IV provoque la conquête de la ville. Mais il fallut un siège de cinq mois pour que le roi réussisse à prendre le château. En punition, il fut décidé de démanteler le château, mais c'est finalement son successeur, Louis XIII qui fit procéder à son démantèlement en 1620.
Le château
En 1254, au retour de la septième croisade Saint-Louis et sa famille y séjournent. Après une lutte militaire entre Ildefons Ier et Amelin de Fos au sujet de la possession de la ville et du château d'Hyères le territoire revint finalement à Charles Ier d'Anjou, le comte de Provence, en 1257. Les seigneurs de Fos abandonnent le château, la ville, son territoire et les îles d'Hyères contre d'autres territoires en Provence. De 1423 à 1431, le château appartient à Arnaud de Villeneuve, de la famille des seigneurs de Trans, et enfin dès 1481, au domaine royal. En 1524 et en 1536 les armées du roi déferlèrent sur la Provence. La première fois le château résiste puis est occupé, la deuxième fois le château est épargné. Durant cette période, le château reçoit la visite de deux rois de France, François 1er en 1530 et, quelques années plus tard, Charles IX en 1564. Pendant les guerres de religion, la ville d'Hyères reste fidèle au roi, mais le château change souvent de main. À partir de 1596, le triomphe d'Henri IV provoque la conquête de la ville. Mais il fallut un siège de cinq mois pour que le roi réussisse à prendre le château. En punition, il fut décidé de démanteler le château, mais c'est finalement son successeur, Louis XIII qui fit procéder à son démantèlement en 1620.
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<center>Le château</center>Mentionné dès le XIe siècle dans les chartes impériales, le Castrum Arearum appartînt d'abord aux Seigneurs de Fos puis, à partir de 1257, aux Comtes de Provence avant d'entrer en 1481, dans le domaine royal.
En 1254, au retour de la 7eme croisade, Saint-Louis et sa suite y séjournent.
Après s'être souvent trouvé au cœur de querelles de succession, le Château d'Hyères devient une des places fortes de la ligue pendant les guerres, de religion et c'est pourquoi il sera partiellement démoli à la fin de l'année 1596, avant d'être démantelé en 1620 sur ordre de Richelieu.
Le château
Mentionné dès le XIe siècle dans les chartes impériales, le Castrum Arearum appartînt d'abord aux Seigneurs de Fos puis, à partir de 1257, aux Comtes de Provence avant d'entrer en 1481, dans le domaine royal. En 1254, au retour de la 7eme croisade, Saint-Louis et sa suite y séjournent. Après s'être souvent trouvé au cœur de querelles de succession, le Château d'Hyères devient une des places fortes de la ligue pendant les guerres, de religion et c'est pourquoi il sera partiellement démoli à la fin de l'année 1596, avant d'être démantelé en 1620 sur ordre de Richelieu.
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Le château
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Le château
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<center>Le château</center>Dominée par le rocher du Casteou, la ville d'Hyères possède la physionomie et les caractéristiques des bourgs castraux qui, au Moyen-Âge, se sont développés autour des châteaux, en relation avec leurs activités (service des Seigneurs, culture des terres seigneuriales…)
Bien qu'existant probablement dès le XIe siècle, la première ville médiévale comprise entre l'enceinte du château et le chemin du Puits Saint-Pierre a disparu pour avoir servi de carrière au cours des temps- Vers la fin du XIIe siècle, la population abandonne les abords du château, l'habitat glisse lentement vers ha plaine et, dans la seconde moitié du XIIIe siècle, une seconde enceinte vient protéger les nouveaux bourgs; elle suit le tracé de la Rue Barbacane, inclut le chevet de l'église Saint-Paul-et vient se raccrocher à la première enceinte au niveau des Portes Saint-Jean et de la Souquette.
Peu à peu et malgré les injonctions des Comtes de Provence à la population de regagner l'intérieur des remparts, la Ville Haute est désertée au profit des terres cultivables de la plaine et une troisième enceinte devra être construite à la fin du XIIIe siècle, dont les portes seront réaménagées dans le courant du XIVe siècle.
Le château
Dominée par le rocher du Casteou, la ville d'Hyères possède la physionomie et les caractéristiques des bourgs castraux qui, au Moyen-Âge, se sont développés autour des châteaux, en relation avec leurs activités (service des Seigneurs, culture des terres seigneuriales…) Bien qu'existant probablement dès le XIe siècle, la première ville médiévale comprise entre l'enceinte du château et le chemin du Puits Saint-Pierre a disparu pour avoir servi de carrière au cours des temps- Vers la fin du XIIe siècle, la population abandonne les abords du château, l'habitat glisse lentement vers ha plaine et, dans la seconde moitié du XIIIe siècle, une seconde enceinte vient protéger les nouveaux bourgs; elle suit le tracé de la Rue Barbacane, inclut le chevet de l'église Saint-Paul-et vient se raccrocher à la première enceinte au niveau des Portes Saint-Jean et de la Souquette. Peu à peu et malgré les injonctions des Comtes de Provence à la population de regagner l'intérieur des remparts, la Ville Haute est désertée au profit des terres cultivables de la plaine et une troisième enceinte devra être construite à la fin du XIIIe siècle, dont les portes seront réaménagées dans le courant du XIVe siècle.
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<center>Le château</center>Une tour de flanquement quadrangulaire et une tour ronde abritant le puits.
Le château
Une tour de flanquement quadrangulaire et une tour ronde abritant le puits.
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<center>Le château</center>Tour de flanquement quadrangulaire, dite “ouverte à la gorge” afin d’éviter qu’elle ne serve à l’ennemi en cas de prise. Cette tour faisait partie de l’enceinte urbaine édifiée à partir du XIIIe siècle. Construite en calcaire et schiste, elle était constituée de trois niveaux dont deux étaient planchéiés.
Au sommet le chemin de ronde était protégé par un crénelage composé de merlons et d’une galerie de charpente, hourds permettant une meilleure défense de la base des fortifications,
Les trois murs sont munis d’archères.
Le château
Tour de flanquement quadrangulaire, dite “ouverte à la gorge” afin d’éviter qu’elle ne serve à l’ennemi en cas de prise. Cette tour faisait partie de l’enceinte urbaine édifiée à partir du XIIIe siècle. Construite en calcaire et schiste, elle était constituée de trois niveaux dont deux étaient planchéiés. Au sommet le chemin de ronde était protégé par un crénelage composé de merlons et d’une galerie de charpente, hourds permettant une meilleure défense de la base des fortifications, Les trois murs sont munis d’archères.
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<center>Le château</center>Une tour de flanquement quadrangulaire. Les trois murs sont munis d’archères.
Le château
Une tour de flanquement quadrangulaire. Les trois murs sont munis d’archères.
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<center>Le château</center>Une tour de flanquement quadrangulaire. Les trois murs sont munis d’archères.
Le château
Une tour de flanquement quadrangulaire. Les trois murs sont munis d’archères.
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<center>Le château</center>La tour ronde abritant le puits.
Le château
La tour ronde abritant le puits.
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<center>Le château</center>Une tour.
Le château
Une tour.
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<center>Le château</center>Le Château d' Hyères, véritable forteresse médiévale. Entre 1192, date à laquelle Ildefonse 1er, Comte de Provence, tente de s'en emparer et 1596, le Château d'Hyères subit huit longs sièges. La défense du Château était assurée par une petite garnison renforcée, en cas de nécessité, par les habitants de la rue-franche, aujourd'hui rue du Puits Saint-Pierre, qui, en contrepartie, étaient exonérés de taxes.
Outre les éléments de défense actuellement visibles, un inventaire du XVe siècle-mentionne une chapelle, des chambre et des salles, ainsi que des dépendances telles que cuisines, citerne, moulina cellier, greniers, forge, écurie et bergerie.

Dès l'abord, l'assaillant se heurte à un ouvrage   formé de deux tours jumelles encadrant une porte défendue par une herse et des meurtrières.
Le château
Le Château d' Hyères, véritable forteresse médiévale. Entre 1192, date à laquelle Ildefonse 1er, Comte de Provence, tente de s'en emparer et 1596, le Château d'Hyères subit huit longs sièges. La défense du Château était assurée par une petite garnison renforcée, en cas de nécessité, par les habitants de la rue-franche, aujourd'hui rue du Puits Saint-Pierre, qui, en contrepartie, étaient exonérés de taxes. Outre les éléments de défense actuellement visibles, un inventaire du XVe siècle-mentionne une chapelle, des chambre et des salles, ainsi que des dépendances telles que cuisines, citerne, moulina cellier, greniers, forge, écurie et bergerie. Dès l'abord, l'assaillant se heurte à un ouvrage formé de deux tours jumelles encadrant une porte défendue par une herse et des meurtrières.
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<center>Le château</center>Ouvrage d’entrée formée de deux tours jumelles aux murs épais. Celles-ci encadraient une porte dont les vantaux de bois étaient défendus par une herse commandée d’une salle surplombant le passage.
Le château
Ouvrage d’entrée formée de deux tours jumelles aux murs épais. Celles-ci encadraient une porte dont les vantaux de bois étaient défendus par une herse commandée d’une salle surplombant le passage.
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<center>Le château</center>Porte d'entrée vue de dessus. On voit l'emplacement de la herse.
Le château
Porte d'entrée vue de dessus. On voit l'emplacement de la herse.
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<center>Le château</center>Arearum  Castrum.
Le château
Arearum Castrum.
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<center>Le château</center>A l'est l'assaillant se trouve isolé dans une cour-basse  surmontée par deux plates-formes et une tour l'obligeant  à pénétrer par l'ouest.
Le château
A l'est l'assaillant se trouve isolé dans une cour-basse surmontée par deux plates-formes et une tour l'obligeant à pénétrer par l'ouest.
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<center>Le château</center>La cour-basse. Première cour-basse lieu où se trouvaient les communs (bâtiments réservés au service) et où stationnaient les serviteurs et la garnison.
Le château
La cour-basse. Première cour-basse lieu où se trouvaient les communs (bâtiments réservés au service) et où stationnaient les serviteurs et la garnison.
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<center>Le château</center>L'assaillant pénètre par l'ouest, en empruntant un passage couvert qui aboutit à un pont-levis.
Le château
L'assaillant pénètre par l'ouest, en empruntant un passage couvert qui aboutit à un pont-levis.
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<center>Le château</center>Le pont-levis. Deuxième porte protégée par une herse et précédée d’un pont-levis (disparu) qui enjambait un fossé de 4,50 m.
Le château
Le pont-levis. Deuxième porte protégée par une herse et précédée d’un pont-levis (disparu) qui enjambait un fossé de 4,50 m.
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<center>Le château</center>Ouverture de tir, généralement utilisée par l’arbalétrier, qui se développe dès la fin du XIIe siècle et au XIIIe siècle.
Cette archère est composée d’un ébrasement triangulaire et d’une niche sous arc segmentaire.
Elle permettait d’augmenter l’angle de tir par la plongée (4) et le rendre plus efficace. Les pierres de la couverture et des encadrements ont été taillées dans du grès.
Le château
Ouverture de tir, généralement utilisée par l’arbalétrier, qui se développe dès la fin du XIIe siècle et au XIIIe siècle. Cette archère est composée d’un ébrasement triangulaire et d’une niche sous arc segmentaire. Elle permettait d’augmenter l’angle de tir par la plongée (4) et le rendre plus efficace. Les pierres de la couverture et des encadrements ont été taillées dans du grès.
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<center>Le château</center>Au-delà de ce deuxième obstacle, il passe dans une étroite gorge qui débouche dans une deuxième cour-basse dominée par des ouvrages de défense de la plate-forme supérieure qu'il doit contourner pour atteindre un bâtiment carré gardant le passage des points vitaux : la plate-forme du donjon et la citerne, la queue d'hironde au nord-est, où se trouve le puits accessible par une porte biaise.
Le château
Au-delà de ce deuxième obstacle, il passe dans une étroite gorge qui débouche dans une deuxième cour-basse dominée par des ouvrages de défense de la plate-forme supérieure qu'il doit contourner pour atteindre un bâtiment carré gardant le passage des points vitaux : la plate-forme du donjon et la citerne, la queue d'hironde au nord-est, où se trouve le puits accessible par une porte biaise.
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<center>Le château</center>Au-delà de ce deuxième obstacle, il passe dans une étroite gorge qui débouche dans une deuxième cour-basse dominée par des ouvrages de défense de la plate-forme supérieure qu'il doit contourner pour atteindre un bâtiment carré gardant le passage des points vitaux : la plate-forme du donjon et la citerne, la queue d'hironde au nord-est, où se trouve le puits accessible par une porte biaise.
Le château
Au-delà de ce deuxième obstacle, il passe dans une étroite gorge qui débouche dans une deuxième cour-basse dominée par des ouvrages de défense de la plate-forme supérieure qu'il doit contourner pour atteindre un bâtiment carré gardant le passage des points vitaux : la plate-forme du donjon et la citerne, la queue d'hironde au nord-est, où se trouve le puits accessible par une porte biaise.
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<center>Le château</center>Emplacement du bâtiment carré gardant le passage des points vitaux : la plate-forme du donjon et la citerne, la queue d'hironde au nord-est, où se trouve le puits accessible par une porte biaise.
Le château
Emplacement du bâtiment carré gardant le passage des points vitaux : la plate-forme du donjon et la citerne, la queue d'hironde au nord-est, où se trouve le puits accessible par une porte biaise.
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<center>Le château</center>La plate-forme avec l'emplacement probable du donjon, cité dans les inventaires de 1373 et de 1431 sous le nom de
Le château
La plate-forme avec l'emplacement probable du donjon, cité dans les inventaires de 1373 et de 1431 sous le nom de "Grande Tour»" et démantelé en 1620.
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<center>Le château</center>La plate-forme. Tour qui surplombe la deuxième cour-basse.
Le château
La plate-forme. Tour qui surplombe la deuxième cour-basse.
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<center>Le château</center>La citerne était couverte d'une voûte en plein-cintre enduites d'un mortier. Ses parois enduites d’un mortier étanche (béton de tuileau), permettaient de conserver l'eau de pluie provenant des diverses toitures par l'intermédiaire d’une canalisation de pierre aménagée dans le mur ouest de la citerne. Derrière la pancarte, les silos.
Le château
La citerne était couverte d'une voûte en plein-cintre enduites d'un mortier. Ses parois enduites d’un mortier étanche (béton de tuileau), permettaient de conserver l'eau de pluie provenant des diverses toitures par l'intermédiaire d’une canalisation de pierre aménagée dans le mur ouest de la citerne. Derrière la pancarte, les silos.
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<center>Le château</center>La citerne était couverte d'une voûte en plein-cintre enduites d'un mortier. Ses parois enduites d’un mortier étanche (béton de tuileau), permettaient de conserver l'eau de pluie provenant des diverses toitures par l'intermédiaire d’une canalisation de pierre aménagée dans le mur ouest de la citerne. Derrière la pancarte, les silos.
Le château
La citerne était couverte d'une voûte en plein-cintre enduites d'un mortier. Ses parois enduites d’un mortier étanche (béton de tuileau), permettaient de conserver l'eau de pluie provenant des diverses toitures par l'intermédiaire d’une canalisation de pierre aménagée dans le mur ouest de la citerne. Derrière la pancarte, les silos.
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<center>Le château</center>Au nord du Château, la poterne était parfaitement défendue par une herse, un assommoir et une bretèche. Cette défense enfoncée, les assaillants se retrouvaient dans une minuscule cour-basse dominée par le bâtiment carré et une tour.<br>
A gauche, la porte nord défendue par une herse, un assommoir et une bretèche, cette porte dérobée ou poterne permettait aux assiégés de fuir ou d'aller chercher du secours.
A droite, la porte biaise dont l'orientation empêchait l’emploi d’un bélier par les assaillants.
Le château
Au nord du Château, la poterne était parfaitement défendue par une herse, un assommoir et une bretèche. Cette défense enfoncée, les assaillants se retrouvaient dans une minuscule cour-basse dominée par le bâtiment carré et une tour.
A gauche, la porte nord défendue par une herse, un assommoir et une bretèche, cette porte dérobée ou poterne permettait aux assiégés de fuir ou d'aller chercher du secours. A droite, la porte biaise dont l'orientation empêchait l’emploi d’un bélier par les assaillants.
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<center>Le château</center>La porte biaise dont l'orientation empêchait l’emploi d’un bélier par les assaillants.
Le château
La porte biaise dont l'orientation empêchait l’emploi d’un bélier par les assaillants.
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<center>Le château</center>La queue d'hironde au nord-est, où se trouve le puits accessible par la porte biaise.
Le château
La queue d'hironde au nord-est, où se trouve le puits accessible par la porte biaise.
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<center>Le château</center>La poterne.
Le château
La poterne.
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<center>Le château</center>La tour ronde du puits.
Le château
La tour ronde du puits.
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<center>Le château</center>Le puits procurait l’eau potable nécessaire à la vie du château. Elément vital en cas de siège, la plate-forme du puits  pouvait être protégée par la porte biaise.
Le château
Le puits procurait l’eau potable nécessaire à la vie du château. Elément vital en cas de siège, la plate-forme du puits pouvait être protégée par la porte biaise.
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<center>Le château</center>Devant la porte, l'assommoir de la poterne.
Le château
Devant la porte, l'assommoir de la poterne.
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<center>La ville</center>
La ville
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<center>La ville</center>La végétation se trouve sur l'emplacement de la ville du XIe siècle.
La ville
La végétation se trouve sur l'emplacement de la ville du XIe siècle.
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<center>La ville</center>Au centre, à la limite des arbres, les ruines de la chapelle saint Pierre.
La ville
Au centre, à la limite des arbres, les ruines de la chapelle saint Pierre.
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<center>Muraille du XIe siècle.</center>
Muraille du XIe siècle.
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<center>Collégiale saint Paul.</center>
Collégiale saint Paul.
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<center>Collégiale saint Paul.</center>
Collégiale saint Paul.
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<center>Parc et Castel Sainte-Claire</center>D'une superficie de 6500 m2, ce parc botanique est planté de nombreuses essences rares subtropicales.
Le Castel, en pierres de taille de calcaire gris et blanc, a été construit au XIXe siècle sur 1’emplacement de 1’ancien couvent Sainte-Claire et réaménagé au début du siècle. Son architecture est de style néo-roman. La grande façade est encadrée par deux tours carrées aux fenêtres géminées à trois baies. Le Castel a appartenu à Olivier Voutier, découvreur de la Vénus de Milo et à l'écrivain américain Edith Wharton.
Parc et Castel Sainte-Claire
D'une superficie de 6500 m2, ce parc botanique est planté de nombreuses essences rares subtropicales. Le Castel, en pierres de taille de calcaire gris et blanc, a été construit au XIXe siècle sur 1’emplacement de 1’ancien couvent Sainte-Claire et réaménagé au début du siècle. Son architecture est de style néo-roman. La grande façade est encadrée par deux tours carrées aux fenêtres géminées à trois baies. Le Castel a appartenu à Olivier Voutier, découvreur de la Vénus de Milo et à l'écrivain américain Edith Wharton.
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<center>Collégiale saint Paul.</center>
Collégiale saint Paul.
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<center>Parc et Castel Sainte-Claire</center>Castel Sainte-Claire.
Parc et Castel Sainte-Claire
Castel Sainte-Claire.
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<center>Parc et Castel Sainte-Claire</center>Armes de Voutier : le rameau d'olivier pour la région (ou pour son prénom ?), les fleurs de lis pour la royauté et le heaume car un de ses ancêtres devait être un Croisé.
Parc et Castel Sainte-Claire
Armes de Voutier : le rameau d'olivier pour la région (ou pour son prénom ?), les fleurs de lis pour la royauté et le heaume car un de ses ancêtres devait être un Croisé.
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<center>Collégiale saint Paul.</center>
Collégiale saint Paul.
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<center>Rempart du XIe siècle.</center>
Rempart du XIe siècle.
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<center></center>Tombeau d'Olivier Voutier, découvreur de la
Tombeau d'Olivier Voutier, découvreur de la "Vénus de Milo", en 1820, alors qu'il était officier sur la goélette "L'Estafette".
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<center>La ville</center>
La ville
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<center>Porte des princes.</center>Porte néogothique vraisemblablement édifiée au début du XXe siècle à l’initiative d’un particulier.
Porte des princes.
Porte néogothique vraisemblablement édifiée au début du XXe siècle à l’initiative d’un particulier.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Dès 1062, une première chapelle dédiée à Saint-Michel est mentionnée sur la colline de Costebelle. En 1395, une bulle du Pape Benoit XIII qualifie la chapelle de Notre Dame de Consolation pour la première fois. Lieu d’un important pèlerinage, la chapelle abritait une collection de 400 ex-votos, aujourd’hui conservée dans l’église Saint-Louis. Le sanctuaire a été détruit lors du débarquement de Provence le 15 août 1944. En 1952, la municipalité de Joseph Clotis décida la construction d’une nouvelle chapelle avec l'aide des crédits accordés au titre des dommages de guerre. Sa réalisation fut confiée à l’architecte hyérois Raymond Vaillant, au maître verrier Gabriel Loire et au sculpteur Jean Lambert-Rucki.
La réhabilitation étant impossible, un lieu de culte moderne est bâti et inauguré le 31 juillet 1955. Il sera un témoin du renouveau de l’art sacré à cette période. La réception par les habitants fut mitigée : attachés à l’ancienne chapelle, ils s’attendaient à une reconstruction à l’identique. Est à souligner la qualité des maîtres d’œuvre, intervenant aux côtés de l’architecte, Gabriel Loire et Jean Lambert-Rucki, qui avaient été recommandés par André Malraux, personnellement attaché à la ville d’Hyères. <br>
es deux partiesde la façade sont séparées par le clocher inspiré du campanile provençal.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Dès 1062, une première chapelle dédiée à Saint-Michel est mentionnée sur la colline de Costebelle. En 1395, une bulle du Pape Benoit XIII qualifie la chapelle de Notre Dame de Consolation pour la première fois. Lieu d’un important pèlerinage, la chapelle abritait une collection de 400 ex-votos, aujourd’hui conservée dans l’église Saint-Louis. Le sanctuaire a été détruit lors du débarquement de Provence le 15 août 1944. En 1952, la municipalité de Joseph Clotis décida la construction d’une nouvelle chapelle avec l'aide des crédits accordés au titre des dommages de guerre. Sa réalisation fut confiée à l’architecte hyérois Raymond Vaillant, au maître verrier Gabriel Loire et au sculpteur Jean Lambert-Rucki. La réhabilitation étant impossible, un lieu de culte moderne est bâti et inauguré le 31 juillet 1955. Il sera un témoin du renouveau de l’art sacré à cette période. La réception par les habitants fut mitigée : attachés à l’ancienne chapelle, ils s’attendaient à une reconstruction à l’identique. Est à souligner la qualité des maîtres d’œuvre, intervenant aux côtés de l’architecte, Gabriel Loire et Jean Lambert-Rucki, qui avaient été recommandés par André Malraux, personnellement attaché à la ville d’Hyères.
es deux partiesde la façade sont séparées par le clocher inspiré du campanile provençal.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Elle se situe sur la colline de Costebelle. Sur le terrain, les locaux sont divisésen deux : la partie habitation au sud, le lieu de culte au nord. La partie habitation est percée de baies rectangulaires et introduite par un avant-corps. . L’architecture sobre et moderne se mêle à des éléments plus traditionnels comme l’emploi d’un calcaire local dont la taille rappelle celle de la chapelle détruite.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Elle se situe sur la colline de Costebelle. Sur le terrain, les locaux sont divisésen deux : la partie habitation au sud, le lieu de culte au nord. La partie habitation est percée de baies rectangulaires et introduite par un avant-corps. . L’architecture sobre et moderne se mêle à des éléments plus traditionnels comme l’emploi d’un calcaire local dont la taille rappelle celle de la chapelle détruite.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Au sein de la chapelle se trouvent trois représentations de la Vierge Marie radicalement différentes. La Vierge à l’enfant de Lambert-Rucki, devant la croix qui s’élance le long du clocher-campanile, accueille le visiteur.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Au sein de la chapelle se trouvent trois représentations de la Vierge Marie radicalement différentes. La Vierge à l’enfant de Lambert-Rucki, devant la croix qui s’élance le long du clocher-campanile, accueille le visiteur.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>La façade du lieu de culte, légèrement en retrait, est habillée par les sculptures en ciment brut coloré de Jean Lambert-Rucki. Elles sont solidaires des élévations et ont été coulées sur place. Dans ce lieu symbolique et historique fort, la dévotion à la Vierge donne lieu à de nombreuses représentations, sur divers supports et dans des styles variés.
On retrouve ainsi sur la façade principale les principaux évènements de la vie de Marie : l’annonciation, la visitation, la nativité, la fuite en Egypte, l’assomption. Sur une résille de béton scandée de potelets verticaux, se détachent les figurines naïves de Jean Lambert-Rucki, évoquant l’art roman. Au revers, cette même résille constitue l’armature du vitrail de Gabriel Loire, de style géométrique très contemporain (technique de vitrail coulé dans du ciment).
La chapelle Notre Dame de Consolation.
La façade du lieu de culte, légèrement en retrait, est habillée par les sculptures en ciment brut coloré de Jean Lambert-Rucki. Elles sont solidaires des élévations et ont été coulées sur place. Dans ce lieu symbolique et historique fort, la dévotion à la Vierge donne lieu à de nombreuses représentations, sur divers supports et dans des styles variés. On retrouve ainsi sur la façade principale les principaux évènements de la vie de Marie : l’annonciation, la visitation, la nativité, la fuite en Egypte, l’assomption. Sur une résille de béton scandée de potelets verticaux, se détachent les figurines naïves de Jean Lambert-Rucki, évoquant l’art roman. Au revers, cette même résille constitue l’armature du vitrail de Gabriel Loire, de style géométrique très contemporain (technique de vitrail coulé dans du ciment).
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>L'Annonciation et la Visitation.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
L'Annonciation et la Visitation.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Nativité, entre le boeuf et l'âne, avec l'étoile annonciatrice.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Nativité, entre le boeuf et l'âne, avec l'étoile annonciatrice.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>La chapelle Notre Dame de Consolation. <br>La Fuite en Egypte.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
La Fuite en Egypte.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>L'Assomption.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
L'Assomption.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>
La chapelle Notre Dame de Consolation.
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La chapelle Notre Dame de Consolation.
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La chapelle Notre Dame de Consolation.
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La chapelle Notre Dame de Consolation.
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La chapelle Notre Dame de Consolation.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>
La chapelle Notre Dame de Consolation.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Derrière le chevet se dresse une Vierge en fonte (1860), seule rescapée de la destruction, détruite le 15 août 1944 lors du débarquement de Provence, de la chapelle initiale. Elle a été retrouvée pratiquement intacte debout devant les ruines.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Derrière le chevet se dresse une Vierge en fonte (1860), seule rescapée de la destruction, détruite le 15 août 1944 lors du débarquement de Provence, de la chapelle initiale. Elle a été retrouvée pratiquement intacte debout devant les ruines.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>La chapelle, orientée, comporte une nef et un seul collatéral, au nord (à gauche). Les verrières sont en dalles de verre taillé, insérées dans un remplage de ciment.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
La chapelle, orientée, comporte une nef et un seul collatéral, au nord (à gauche). Les verrières sont en dalles de verre taillé, insérées dans un remplage de ciment.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Jean Lambert-Rucki a représenté dans le chœur, volontairement épuré, la Cène, en très bas-relief, à même le mur. Le Christ y est symbolisé par le pain et le poisson, entouré par les douze apôtres.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Jean Lambert-Rucki a représenté dans le chœur, volontairement épuré, la Cène, en très bas-relief, à même le mur. Le Christ y est symbolisé par le pain et le poisson, entouré par les douze apôtres.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>>Dans le chœur, le thème des verrières est
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Dans le chœur, le thème des verrières est "la prière et le chant de la création".
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Dans le chœur, le thème des verrières est
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Dans le chœur, le thème des verrières est "la prière et le chant de la création".
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Retable de la Vierge. En bas, visite des Rois Mages. A gauche, l'Annonciation, au-dessus le Couronnement. A droite, la Nativité et la fuite en Egypte, au-dessus la présentation au Temple. Au centre, l'Assomption.<br>
Au-dessus du retable, saint michel.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Retable de la Vierge. En bas, visite des Rois Mages. A gauche, l'Annonciation, au-dessus le Couronnement. A droite, la Nativité et la fuite en Egypte, au-dessus la présentation au Temple. Au centre, l'Assomption.
Au-dessus du retable, saint michel.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>A l’intérieur, se trouve une Vierge à l’Enfant en bois peint difficile à dater car restaurée à maintes reprises. En 1254, la sixième croisade commandée par saint Louis accoste à l’Ayguade à Hyères et la statue de bois polychrome liée à cet événement, est l’objet d’une constante vénération.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
A l’intérieur, se trouve une Vierge à l’Enfant en bois peint difficile à dater car restaurée à maintes reprises. En 1254, la sixième croisade commandée par saint Louis accoste à l’Ayguade à Hyères et la statue de bois polychrome liée à cet événement, est l’objet d’une constante vénération.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Le vitrail sud, composé de quinze lancettes de cinq mètres de hauteur, est entièrement dédié à la Vierge-reine et à l’histoire d’Hyères. C’est la première occasion pour le maître verrier de travailler sur une paroi entière. <br>Le centre du vitrail sud est occupé par une Vierge à l'Enfant en majesté qui envoie sa lumière sur des malades et sur le sol desséché en quête de pluie, rappel des demandes essentielles des pèlerins à Notre-Dame-de-Consolation. La partie haute est occupée par des saints vénérés en Provence à gauche et à droite les Saintes Maries. La partie basse rapporte des faits ayant trait à l'histoire de la chapelle, de 1248, date du départ de la septième croisade (la chapelle serait un ex-voto élevé par la mère d'un croisé en remerciement de son retour), à 1883 où la statue en bois de la Vierge aurait miraculeusement échappé à un incendie.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Le vitrail sud, composé de quinze lancettes de cinq mètres de hauteur, est entièrement dédié à la Vierge-reine et à l’histoire d’Hyères. C’est la première occasion pour le maître verrier de travailler sur une paroi entière.
Le centre du vitrail sud est occupé par une Vierge à l'Enfant en majesté qui envoie sa lumière sur des malades et sur le sol desséché en quête de pluie, rappel des demandes essentielles des pèlerins à Notre-Dame-de-Consolation. La partie haute est occupée par des saints vénérés en Provence à gauche et à droite les Saintes Maries. La partie basse rapporte des faits ayant trait à l'histoire de la chapelle, de 1248, date du départ de la septième croisade (la chapelle serait un ex-voto élevé par la mère d'un croisé en remerciement de son retour), à 1883 où la statue en bois de la Vierge aurait miraculeusement échappé à un incendie.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>En 1254, la sixième croisade commandée par saint Louis accoste à l’Ayguade à Hyères (la chapelle serait un ex-voto élevé par la mère d'un croisé en remerciement de son retour).<br>
1572 :  Le sanctuaire a subi des représailles lors des guerres de religions.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
En 1254, la sixième croisade commandée par saint Louis accoste à l’Ayguade à Hyères (la chapelle serait un ex-voto élevé par la mère d'un croisé en remerciement de son retour).
1572 : Le sanctuaire a subi des représailles lors des guerres de religions.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Les saints vénérés en Provence ; Don Bosco, Roseline, Roch et Douceline.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Les saints vénérés en Provence ; Don Bosco, Roseline, Roch et Douceline.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Vierge à l'Enfant en majesté qui envoie sa lumière sur des malades et sur le sol desséché en quête de pluie.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Vierge à l'Enfant en majesté qui envoie sa lumière sur des malades et sur le sol desséché en quête de pluie.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Les malades invoquant la Vierge.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Les malades invoquant la Vierge.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Les Saintes Maries :  Marie-Madeleine, Marie Salomé et Marie Jacobé.<br> 1883 : la statue en bois de la Vierge aurait miraculeusement échappé à un incendie.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Les Saintes Maries : Marie-Madeleine, Marie Salomé et Marie Jacobé.
1883 : la statue en bois de la Vierge aurait miraculeusement échappé à un incendie.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>1815 : en 1814, les anglais voulurent s’emparer du tableau de l’Assomption, mais ils y renoncèrent devant la résistance des habitants. On peut voir une procession, avec à sa tête la statue de la Vierge : cette statue, cachée   à l'époque de la Convention, retrouve sa place dans la chapelle. Les Anglais reviendront ensuite, mais en comme touristes<br>
1789 : la Révolution. Les Chartreux sont chassés du domaine qui est vendu comme bien national, à l'exception de la chapelle. Le sanctuaire est profané.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
1815 : en 1814, les anglais voulurent s’emparer du tableau de l’Assomption, mais ils y renoncèrent devant la résistance des habitants. On peut voir une procession, avec à sa tête la statue de la Vierge : cette statue, cachée à l'époque de la Convention, retrouve sa place dans la chapelle. Les Anglais reviendront ensuite, mais en comme touristes
1789 : la Révolution. Les Chartreux sont chassés du domaine qui est vendu comme bien national, à l'exception de la chapelle. Le sanctuaire est profané.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Le vitrail de la façade ouest représente les litanies de la Vierge et la Visitation.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Le vitrail de la façade ouest représente les litanies de la Vierge et la Visitation.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Le vitrail de la façade ouest représente les litanies de la Vierge et la Visitation.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Le vitrail de la façade ouest représente les litanies de la Vierge et la Visitation.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Le vitrail de la façade ouest représente les litanies de la Vierge et la Visitation.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Le vitrail de la façade ouest représente les litanies de la Vierge et la Visitation.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Christ de Jean-Lambert Rucki en plâtre polychrome, 1930-1935.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Christ de Jean-Lambert Rucki en plâtre polychrome, 1930-1935.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Au nord, le mur gouttereau se caractérise par son appareil de pierre brute rappelant l’ancienne chapelle.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Au nord, le mur gouttereau se caractérise par son appareil de pierre brute rappelant l’ancienne chapelle.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>
La chapelle Notre Dame de Consolation.
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La chapelle Notre Dame de Consolation.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>
La chapelle Notre Dame de Consolation.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Le monument commémoratif de l’Aéronautique Navale domine la base militaire du Palyvestre. Une grande aile d’avion stylisée s’étend sur la courbe du soleil, une autre indique la direction du ciel vers lequel se sont envolés pour une dernière mission tant de marins. C'est l'oeuvre du sculpteur Nicouleau, en 1986.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Le monument commémoratif de l’Aéronautique Navale domine la base militaire du Palyvestre. Une grande aile d’avion stylisée s’étend sur la courbe du soleil, une autre indique la direction du ciel vers lequel se sont envolés pour une dernière mission tant de marins. C'est l'oeuvre du sculpteur Nicouleau, en 1986.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Le monument commémoratif de l’Aéronautique Navale domine la base militaire du Palyvestre. Une grande aile d’avion stylisée s’étend sur la courbe du soleil, une autre indique la direction du ciel vers lequel se sont envolés pour une dernière mission tant de marins. C'est l'oeuvre du sculpteur Nicouleau, en 1986.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Le monument commémoratif de l’Aéronautique Navale domine la base militaire du Palyvestre. Une grande aile d’avion stylisée s’étend sur la courbe du soleil, une autre indique la direction du ciel vers lequel se sont envolés pour une dernière mission tant de marins. C'est l'oeuvre du sculpteur Nicouleau, en 1986.
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<center>La chapelle Notre Dame de Consolation. </center>Les tombolos de la presqu'île de Giens.
La chapelle Notre Dame de Consolation.
Les tombolos de la presqu'île de Giens.
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