Hyères

La ville médiévale : porte Massillon, rue des Porches, le Portalet, maison des Viguiers, tour des Templiers, porte et ancienne collégiale St Paul, porte des Princes, parc Sainte Claire, maison Romane, porte Barruc, église St Louis. Villa Noailles.

<center>Ville d'Hyères.</center>Au 4ème siècle avant notre ère, des marins grecs venant de Massalia fondent sur le littoral, au lieu-dit
Ville d'Hyères.
Au 4ème siècle avant notre ère, des marins grecs venant de Massalia fondent sur le littoral, au lieu-dit "l'Almanarre", un comptoir commercial fortifié auquel ils donnent le nom d'Olbia (l'heureuse en Grec). En 963 apparut pour la première fois dans un document officiel le nom d'Hyères. En 1254, St Louis, Roi de France, au retour d'une croisade débarque à Hyères avec sa suite.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Bâtiment de 1866, le Park Hôtel est situé dans les anciens jardins du roi. Le Grimm's Park Hôtel, palace de style néo-classique, est acheté par la ville en 1934, pour devenir un établissement public. Sa rotonde abrite aujourd'hui l'Office de Tourisme.
Ville d'Hyères.
Bâtiment de 1866, le Park Hôtel est situé dans les anciens jardins du roi. Le Grimm's Park Hôtel, palace de style néo-classique, est acheté par la ville en 1934, pour devenir un établissement public. Sa rotonde abrite aujourd'hui l'Office de Tourisme.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Au XIe siècle, les seigneurs de Fos construisent leur château au sommet de la colline, à ghauche. Un bourg fortifié se développe sous sa protection. Il a été remanié au cours des siècles. Les vestiges actuels offrent un bel exemple de l'architecture militaire du XIIIe siècle. Il fut en partie détruit sur ordre d'Henri IV en 1596 et démantelé sous le règne de Louis XIII en 1620.  Au XIVe siècle, la ville s'étend jusqu'au pied de la colline. De nouveaux remparts sont élevés. En 1481, Hyères, comme toute la Provence, est intégrée au domaine royal français. En 1564, Charles IX de France et Catherine de Médicis séjournent à Hyères où le roi veut construire un palais. Finalement le projet est annulé.<br>
Au centre, la villa Noailles. Véritable manifeste d'architecture moderne, la villa fut construite dans les années 1920 par Robert Mallet-Stevens pour Marie-Laure et Charles de Noailles. Ces grands mécènes y ont reçu toute l'élite artistique des années folles.
Ville d'Hyères.
Au XIe siècle, les seigneurs de Fos construisent leur château au sommet de la colline, à ghauche. Un bourg fortifié se développe sous sa protection. Il a été remanié au cours des siècles. Les vestiges actuels offrent un bel exemple de l'architecture militaire du XIIIe siècle. Il fut en partie détruit sur ordre d'Henri IV en 1596 et démantelé sous le règne de Louis XIII en 1620. Au XIVe siècle, la ville s'étend jusqu'au pied de la colline. De nouveaux remparts sont élevés. En 1481, Hyères, comme toute la Provence, est intégrée au domaine royal français. En 1564, Charles IX de France et Catherine de Médicis séjournent à Hyères où le roi veut construire un palais. Finalement le projet est annulé.
Au centre, la villa Noailles. Véritable manifeste d'architecture moderne, la villa fut construite dans les années 1920 par Robert Mallet-Stevens pour Marie-Laure et Charles de Noailles. Ces grands mécènes y ont reçu toute l'élite artistique des années folles.
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<center>Ville d'Hyères.</center>La porte Massillon a été construite en grès rose au XIIe siècle et au premier quart du XIIIe siècle. Elle conserve de son ancien dispositif l’une de ses deux tours de guet, à gauche. La petite tour, à droite, devait être surmontée par une échauguette. elle servit de prison au XIX siècle.
Ville d'Hyères.
La porte Massillon a été construite en grès rose au XIIe siècle et au premier quart du XIIIe siècle. Elle conserve de son ancien dispositif l’une de ses deux tours de guet, à gauche. La petite tour, à droite, devait être surmontée par une échauguette. elle servit de prison au XIX siècle.
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<center>Ville d'Hyères.</center>La porte Massillon a été construite en grès rose au XIIe siècle et au premier quart du XIIIe siècle. Elle conserve de son ancien dispositif l’une de ses deux tours de guet, à gauche. La petite tour, à droite, devait être surmontée par une échauguette. elle servit de prison au XIX siècle.
Ville d'Hyères.
La porte Massillon a été construite en grès rose au XIIe siècle et au premier quart du XIIIe siècle. Elle conserve de son ancien dispositif l’une de ses deux tours de guet, à gauche. La petite tour, à droite, devait être surmontée par une échauguette. elle servit de prison au XIX siècle.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Rue Massillon.
Ville d'Hyères.
Rue Massillon.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Rue Voltaire.
Ville d'Hyères.
Rue Voltaire.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Rue des porches. Au XIVe siècle, un nouveau rempart est édifié afin de protéger la partie basse de la ville dont il constitue la façade sud qui domine oliveraies et orangeraies. Des meurtrières témoignent encore de ce dispositif.
Ville d'Hyères.
Rue des porches. Au XIVe siècle, un nouveau rempart est édifié afin de protéger la partie basse de la ville dont il constitue la façade sud qui domine oliveraies et orangeraies. Des meurtrières témoignent encore de ce dispositif.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Rue des porches. Au XVIIIe siècle, les notables de la ville décident d'appuyer leurs maisons, portées par des voûtes en berceau ou des voûtes d'arêtes, sur l'enceinte médiévale, créant ainsi des porches. Cette technique a permis de gagner un volume habitable considérable.
Au XIXe siècle, l'urbanisation hors du rempart conduit à la destruction partielle des fortifications et l'enceinte est alors peu à peu remplacée par des habitations.
Ville d'Hyères.
Rue des porches. Au XVIIIe siècle, les notables de la ville décident d'appuyer leurs maisons, portées par des voûtes en berceau ou des voûtes d'arêtes, sur l'enceinte médiévale, créant ainsi des porches. Cette technique a permis de gagner un volume habitable considérable. Au XIXe siècle, l'urbanisation hors du rempart conduit à la destruction partielle des fortifications et l'enceinte est alors peu à peu remplacée par des habitations.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Rue des porches.
Ville d'Hyères.
Rue des porches.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison de Raphaël de Bologne,  évêque de Digne. Il achète à Hyères et dans sa banlieue quelques propriétés de ville et rurales, afin de pouvoir aller passer l'hiver sous un ciel plus doux que celui de Digne.
Ville d'Hyères.
Maison de Raphaël de Bologne, évêque de Digne. Il achète à Hyères et dans sa banlieue quelques propriétés de ville et rurales, afin de pouvoir aller passer l'hiver sous un ciel plus doux que celui de Digne.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Place Portalet. L'ancienne Porte de Nostre-Dame permettait de franchir l'enceinte fortifiée qui entourait la ville au XIVe siècle pour rejoindre l'ermitage de Notre-Dame de Consolation. Cette porte, nommée aussi Portalet (petit portai), et la muraille étaient défendues par une haute tour carrée. Dans le vaste mouvement urbanistique du XIXe siècle consistant à développer la ville hors de ses remparts, le conseil municipal décide, en 1842, de dégager l'accès au centre ancien en abattant une partie de l'enceinte et le Portalet.
Ville d'Hyères.
Place Portalet. L'ancienne Porte de Nostre-Dame permettait de franchir l'enceinte fortifiée qui entourait la ville au XIVe siècle pour rejoindre l'ermitage de Notre-Dame de Consolation. Cette porte, nommée aussi Portalet (petit portai), et la muraille étaient défendues par une haute tour carrée. Dans le vaste mouvement urbanistique du XIXe siècle consistant à développer la ville hors de ses remparts, le conseil municipal décide, en 1842, de dégager l'accès au centre ancien en abattant une partie de l'enceinte et le Portalet.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Place Portalet. Il en subsiste une tour aujourd’hui transformée en habitation. En 1787, le baron Von Zach, célèbre astronome allemand séjournant à Hyères durant deux hivers, transforme la tour en observatoire astronomique. En 1862, la tour, qui fut conservée et transformée en immeuble d'habitation, sert d'appui à l'extension de façade. Des modénatures (moulures décoratives) sont rajoutées pour embellir l'ensemble. Les dernières traces de cette construction médiévale que l'on distingue encore aujourd'hui sont les archères et l'appareil en pierres restés apparent.
Ville d'Hyères.
Place Portalet. Il en subsiste une tour aujourd’hui transformée en habitation. En 1787, le baron Von Zach, célèbre astronome allemand séjournant à Hyères durant deux hivers, transforme la tour en observatoire astronomique. En 1862, la tour, qui fut conservée et transformée en immeuble d'habitation, sert d'appui à l'extension de façade. Des modénatures (moulures décoratives) sont rajoutées pour embellir l'ensemble. Les dernières traces de cette construction médiévale que l'on distingue encore aujourd'hui sont les archères et l'appareil en pierres restés apparent.
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Ville d'Hyères.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison des Viguiers, 1663.
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Maison des Viguiers, 1663.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison des Viguiers, 1663.
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Maison des Viguiers, 1663.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison des Viguiers, 1663.
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Maison des Viguiers, 1663.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Place Massillon.
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Place Massillon.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Place Massillon.
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Place Massillon.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Grand orateur religieux, Jean-Baptiste Massillon est né à Hyères, rue Rabaton, le 24 Juin 1663. Prédicateur de Louis XIV à Versailles, il prononce la célèbre oraison funèbre du Roi-Soleil, à la Sainte-Chapelle le 1er septembre 1715, qui débute par «Dieu seul est grand mes frères ».
Il est aussi l'auteur de sermons destinés à l'instruction du Dauphin.
Membre de l'Académie française, il demeure évêque de Clermont jusqu'à sa mort, en 1742. Par testament, il léguait tous ses biens aux pauvres.
Le sculpteur hyérois Gabriel Antoine Cotel a réalisé cette statue en 1963 pour le tricentenaire de la naissance de Massillon.
Ville d'Hyères.
Grand orateur religieux, Jean-Baptiste Massillon est né à Hyères, rue Rabaton, le 24 Juin 1663. Prédicateur de Louis XIV à Versailles, il prononce la célèbre oraison funèbre du Roi-Soleil, à la Sainte-Chapelle le 1er septembre 1715, qui débute par «Dieu seul est grand mes frères ». Il est aussi l'auteur de sermons destinés à l'instruction du Dauphin. Membre de l'Académie française, il demeure évêque de Clermont jusqu'à sa mort, en 1742. Par testament, il léguait tous ses biens aux pauvres. Le sculpteur hyérois Gabriel Antoine Cotel a réalisé cette statue en 1963 pour le tricentenaire de la naissance de Massillon.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Rue Rabaton. Maison natale de Jean-Baptiste Massillon.
Ville d'Hyères.
Rue Rabaton. Maison natale de Jean-Baptiste Massillon.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Rue Rabaton.
Ville d'Hyères.
Rue Rabaton.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Rue Rabaton.
Ville d'Hyères.
Rue Rabaton.
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>Vestige de la Commanderie créée par les Templiers au XIIe siècle et qui avait une vocation à la fois religieuse, militaire et agricole. Les Templiers possédaient en effet une vaste exploitation dans la vallée de Sauvebonne. Au XIVe siècle, elle comprenait un corps de logis, une grange, un cellier, un moulin, un four et la tour Saint-Blaise, son seul vestige actuel. Après la suppression de l'ordre du Temple elle fut affectée à la communauté des frères de la commanderie hospitalière de Beaulieu, qui les afferma d'abord à divers particuliers. La Chapelle Saint-Blaise est composé de deux chapelles superposées couvertes d'une toiture en terrasse. Vers 1839, on perça sur les façades est, nord et sud de grandes fenêtres en plein cintre.
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
Vestige de la Commanderie créée par les Templiers au XIIe siècle et qui avait une vocation à la fois religieuse, militaire et agricole. Les Templiers possédaient en effet une vaste exploitation dans la vallée de Sauvebonne. Au XIVe siècle, elle comprenait un corps de logis, une grange, un cellier, un moulin, un four et la tour Saint-Blaise, son seul vestige actuel. Après la suppression de l'ordre du Temple elle fut affectée à la communauté des frères de la commanderie hospitalière de Beaulieu, qui les afferma d'abord à divers particuliers. La Chapelle Saint-Blaise est composé de deux chapelles superposées couvertes d'une toiture en terrasse. Vers 1839, on perça sur les façades est, nord et sud de grandes fenêtres en plein cintre.
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>Vestige de la commanderie fondée hors les murs à la fin du XIIe siècle, la tour des Templiers présentait un double aspect religieux et militaire.
Elle a gardé l'essentiel de son allure médiévale avec, au rez-de-chaussée, une chapelle dédiée à Saint Biaise voûtée en berceau, à l'étage, une grande salle également voûtée et au sommet une terrasse de défense, à laquelle on accède encore par un escalier construit dans l'épaisseur du mur.
Les Templiers géraient dans la région hyéroise de riches domaines agricoles et on trouve la plus ancienne mention d'un commandeur, Jordan, dans un acte de 1198.
On entrait à l'étage par deux portes qui communiquaient avec des bâtiments disparus.
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
Vestige de la commanderie fondée hors les murs à la fin du XIIe siècle, la tour des Templiers présentait un double aspect religieux et militaire. Elle a gardé l'essentiel de son allure médiévale avec, au rez-de-chaussée, une chapelle dédiée à Saint Biaise voûtée en berceau, à l'étage, une grande salle également voûtée et au sommet une terrasse de défense, à laquelle on accède encore par un escalier construit dans l'épaisseur du mur. Les Templiers géraient dans la région hyéroise de riches domaines agricoles et on trouve la plus ancienne mention d'un commandeur, Jordan, dans un acte de 1198. On entrait à l'étage par deux portes qui communiquaient avec des bâtiments disparus.
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>On accédait à la chapelle de la tour Saint-Biaise par ce portail monumental à longs claveaux étroits, entouré d'une moulure.
Les claveaux sont les pierres taillées en biseaux qui forment l'arc en plein cintre du portail. Les portails à longs claveaux sont caractéristiques du XIIe et du début du XIIIe siècles.
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
On accédait à la chapelle de la tour Saint-Biaise par ce portail monumental à longs claveaux étroits, entouré d'une moulure. Les claveaux sont les pierres taillées en biseaux qui forment l'arc en plein cintre du portail. Les portails à longs claveaux sont caractéristiques du XIIe et du début du XIIIe siècles.
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>Restaurée, la tour est aujourd'hui un lieu d'exposition.
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
Restaurée, la tour est aujourd'hui un lieu d'exposition.
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>
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Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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<center>Tour des Templiers (Tour saint Blaise).</center>
Tour des Templiers (Tour saint Blaise).
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<center>Ville d'Hyères.</center>
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<center>Ville d'Hyères.</center>Porquerolles.
Ville d'Hyères.
Porquerolles.
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<center>La Peñiscola.</center>Au XVIe siècle, un porche surmonté d’un ou deux étages et d’une tourelle est édifié en avant de la porte Saint-Paul. L’édifice est plusieurs fois remanié et agrandi au XIXe siècle. Maison renaissance.
La Peñiscola.
Au XVIe siècle, un porche surmonté d’un ou deux étages et d’une tourelle est édifié en avant de la porte Saint-Paul. L’édifice est plusieurs fois remanié et agrandi au XIXe siècle. Maison renaissance.
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<center>La Peñiscola.</center>Au XVIe siècle, un porche surmonté d’un ou deux étages et d’une tourelle est édifié en avant de la porte Saint-Paul. L’édifice est plusieurs fois remanié et agrandi au XIXe siècle.
La Peñiscola.
Au XVIe siècle, un porche surmonté d’un ou deux étages et d’une tourelle est édifié en avant de la porte Saint-Paul. L’édifice est plusieurs fois remanié et agrandi au XIXe siècle.
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<center>La Peñiscola.</center>
La Peñiscola.
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<center>La Peñiscola.</center>Ecole des chanoines.
La Peñiscola.
Ecole des chanoines.
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<center>La Peñiscola.</center>Croix érigée par les compagnons du devoir.
La Peñiscola.
Croix érigée par les compagnons du devoir.
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Ville d'Hyères.
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<center>La Peñiscola.</center>La porte jouxte la Collégiale du même nom. Elle date du XIIe-XIIIe siècle. Elle permet l'accès à la partie haute de la ville à travers la deuxième enceinte.
La Peñiscola.
La porte jouxte la Collégiale du même nom. Elle date du XIIe-XIIIe siècle. Elle permet l'accès à la partie haute de la ville à travers la deuxième enceinte.
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<center>La Peñiscola.</center>Porte Saint Paul vue de l'intérieur.
La Peñiscola.
Porte Saint Paul vue de l'intérieur.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison du XIIe siècle.
Ville d'Hyères.
Maison du XIIe siècle.
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Le portail actuel d'aspect Renaissance a été construit entre 1787 et 1789. Une tour carrée, de style roman, avec une ouverture en plein cintre, domine l'ensemble.
Le portail actuel d'aspect Renaissance a été construit entre 1787 et 1789. Une tour carrée, de style roman, avec une ouverture en plein cintre, domine l'ensemble.
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Une tour carrée, de style roman, avec une ouverture en plein cintre, domine l'ensemble.
Une tour carrée, de style roman, avec une ouverture en plein cintre, domine l'ensemble.
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L'église possède une unique nef datant du XIIe siècle et ayant été en partie reconstruite au XVe siècle dans un style gothique tardif. Elle se termine par une abside à trois pans et se divise en cinq travées éclairées par des fenêtres gothiques flamboyante.
L'église possède une unique nef datant du XIIe siècle et ayant été en partie reconstruite au XVe siècle dans un style gothique tardif. Elle se termine par une abside à trois pans et se divise en cinq travées éclairées par des fenêtres gothiques flamboyante.
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Enfant mort de la peste.
Enfant mort de la peste.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison du XIIe siècle.
Ville d'Hyères.
Maison du XIIe siècle.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison du XIIe siècle.
Ville d'Hyères.
Maison du XIIe siècle.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison du XVe siècle.
Ville d'Hyères.
Maison du XVe siècle.
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<center>Ville d'Hyères.</center>
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<center>Ville d'Hyères.</center>Porte des princes. Porte néogothique vraisemblablement édifiée au début du XXe siècle à l’initiative d’un particulier.
Ville d'Hyères.
Porte des princes. Porte néogothique vraisemblablement édifiée au début du XXe siècle à l’initiative d’un particulier.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Porte des princes.
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Porte des princes.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Porte des princes.
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Porte des princes.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison du XIIe-XIIIe siècles.
Ville d'Hyères.
Maison du XIIe-XIIIe siècles.
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<center>Le parc Sainte Claire.</center> Aujourd'hui propriété de la ville, il appartenait autrefois à la romancière américaine Edith Wharton. D'une superficie de 6500 m2, il se situe près du parc Saint Bernard qu'un chemin piétonnier rejoint. De nombreuses essences rares subtropicales d'Amérique du sud et d'Australie y sont représentées.
Le parc Sainte Claire.
Aujourd'hui propriété de la ville, il appartenait autrefois à la romancière américaine Edith Wharton. D'une superficie de 6500 m2, il se situe près du parc Saint Bernard qu'un chemin piétonnier rejoint. De nombreuses essences rares subtropicales d'Amérique du sud et d'Australie y sont représentées.
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<center>Le parc Sainte Claire.</center>La colline qui domine Hyères réalise un site défensif très efficace.
EPOQUE MEDIEVALE : Les seigneurs y construisent une redoutable forteresse. Le quartier ouest, dans la première enceinte à l'extrémité de laquelle nous nous situons, demeure un des vestiges de la cité romane.
1634 : Avec le concours des représentants de la cité, est instauré « le couvent des Clarisses
Le parc Sainte Claire.
La colline qui domine Hyères réalise un site défensif très efficace. EPOQUE MEDIEVALE : Les seigneurs y construisent une redoutable forteresse. Le quartier ouest, dans la première enceinte à l'extrémité de laquelle nous nous situons, demeure un des vestiges de la cité romane. 1634 : Avec le concours des représentants de la cité, est instauré « le couvent des Clarisses", institution créée par Sainte Claire en 1212. Ce lieu-dit "Sainte Claire » acquiert alors définitivement son nom. MARS 1789 : Les couvents hyérois sont saccagés. Pendant tout la première moitié du XIXe siècle le site demeure à l’abandon. 1849 : Olivier VOUTIER achète l'emplacement du couvent. Il conçoit les plans de sa résidence qu'il dénomme : "VILLA SAINTE CLAIRE", La colline est entretenue dans un état de nature. 1906/1907 : Alfred RANGOD achète le domaine aux filles Voutier. Né en 1833, l'adolescent a adopté par reconnaissance le nom de son beau-père : PEÇHINEY. Actif et curieux de tout, il fit entreprendre au vieux château d’importants travaux de remise en état. 2 AVRIL 1927 : EDITH WHARTON, écrivain américain de réputation internationale, acquiert la villa qu'elle baptise ; "SAINTE CLAIRE DU CHATEAU". Elle y reçoit ses amis, et cultive passionnément l'art du jardin. OCTOBRE 1955 : La commune d'Hyères achète le domaine. Le jardin du "CASTEL SAINTE CLAIRE" est rénové et ouvert au public. 1er JANVIER 1990 : Le Parc National de Port Gros et sa filiale le Conservatoire Botanique National de Porquerolles louent le bâtiment à la ville pour y établir le siège de la direction.
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<center>Le parc Sainte Claire.</center>Maison construite en 1848 par Olivier Voutier sur les fondations du couvent des Clarisses. C'est au cours d'un séjour en Grèce que ce fin lettré passionné d'art découvre la Vénus de Milo. Le Castel Sainte-Claire fut la résidence d'hiver d'Edith Wharton de 1920 à 1937. Le parc paysager qu'elle a conçu est aujourd'hui classé « Jardin Remarquable ».
Le parc Sainte Claire.
Maison construite en 1848 par Olivier Voutier sur les fondations du couvent des Clarisses. C'est au cours d'un séjour en Grèce que ce fin lettré passionné d'art découvre la Vénus de Milo. Le Castel Sainte-Claire fut la résidence d'hiver d'Edith Wharton de 1920 à 1937. Le parc paysager qu'elle a conçu est aujourd'hui classé « Jardin Remarquable ».
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<center>Le parc Sainte Claire.</center>
Le parc Sainte Claire.
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<center>Le parc Sainte Claire.</center>En avril 1820, Olivier Voutier né le 30 mai 1796 à Thouars (Poitou), est élève de marine et passionné d'archéologie. Alors âgé de 23 ans, il se trouve sur l'île de Milo (Grèce-archipel des Cyclades), quand un autochtone Yorgos Kentrotâs creusant le sol à la recherche de pierres à bâtir découvre une statue, d'une hauteur de 2,02 m et d'un poids de900 kg, l'Aphrodite de Melos, dite Vénus été Milo. Le témoignage d'Olivier Voutier, relayé par le corps diplomatique, aboutira à l'acquisition de la Vénus de Milo par l'ambassadeur Rivière à Istanbul, qui l'offrira au roi Louis XVIII. Celui-ci en fait aussitôt don au musée du Louvre.
En 1821, Olivier Voutier démissionne de la marine royale. U s'engage aux côtés des Grecs contre les Turcs, obtient le grade de colonel de l’armée de libération et devient un héros de la guerre d'indépendance.
En 1849, il acquiert à Hyères un domaine sur la colline du château pour y faire construire un castel appelé Sainte Claire en mémoire des Clarisses installées en ce lieu jusqu'à la Révolution. Bien qu'étant un proche de la famille du futur empereur Napoléon III, il défend les Hyérois insurgés contre le coup d'état du 2 décembre 1851, en particulier la veuve Besson dont le mari perruquier à Hyères avait été assassiné.
Le parc Sainte Claire.
En avril 1820, Olivier Voutier né le 30 mai 1796 à Thouars (Poitou), est élève de marine et passionné d'archéologie. Alors âgé de 23 ans, il se trouve sur l'île de Milo (Grèce-archipel des Cyclades), quand un autochtone Yorgos Kentrotâs creusant le sol à la recherche de pierres à bâtir découvre une statue, d'une hauteur de 2,02 m et d'un poids de900 kg, l'Aphrodite de Melos, dite Vénus été Milo. Le témoignage d'Olivier Voutier, relayé par le corps diplomatique, aboutira à l'acquisition de la Vénus de Milo par l'ambassadeur Rivière à Istanbul, qui l'offrira au roi Louis XVIII. Celui-ci en fait aussitôt don au musée du Louvre. En 1821, Olivier Voutier démissionne de la marine royale. U s'engage aux côtés des Grecs contre les Turcs, obtient le grade de colonel de l’armée de libération et devient un héros de la guerre d'indépendance. En 1849, il acquiert à Hyères un domaine sur la colline du château pour y faire construire un castel appelé Sainte Claire en mémoire des Clarisses installées en ce lieu jusqu'à la Révolution. Bien qu'étant un proche de la famille du futur empereur Napoléon III, il défend les Hyérois insurgés contre le coup d'état du 2 décembre 1851, en particulier la veuve Besson dont le mari perruquier à Hyères avait été assassiné.
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<center>Le parc Sainte Claire.</center>C'est à partir de 1920 que la célèbre romancière américaine, Edith WHARTON (1862-1937), décide de partager son temps entre sa résidence dans la région parisienne et le Castel Sainte Claire à Hyères.
Amie de Paul Bourget qui séjourne chaque hiver dans sa villa du Plantier dans le quartier de Costebelle, Edith WHARTON est une habituée de la station hivernale hyéroise, qu'elle fréquente depuis 1895.
Mis à part quelques récits de voyages comme La croisière du Vanadis, ses romans les plus connus, Chez les heureux du monde et Le temps de l’innocence, décrivent les milieux de la bourgeoisie new-yorkaise dont elle est issue.
Lorsqu'elle se retrouve à Hyères, entre récriture, les promenades dans campagne environnante et les nombreux visiteurs qu'elle reçoit en femme du monde, Edith WHARTON trouve encore le temps de mettre en œuvre un jardin auquel elle se consacre avec passion et qui fait l'admiration de tous.
 « Mon jardin est un véritable enchantement. Jamais je n'ai rencontré d’endroit plus chaud, plus doré, plus débordant de fleurs et plus abrité des v M'entourent la beauté et la tranquillité du paradis et c'est ici et nulle part ailleurs, que se trouve le Cielo della Quieta auquel l'âme aspire quand approche la fin du voyage ».
Correspondance d’Edith Wharton à Berenson à propos de son « Hyères bien aimé ».
Le parc Sainte Claire.
C'est à partir de 1920 que la célèbre romancière américaine, Edith WHARTON (1862-1937), décide de partager son temps entre sa résidence dans la région parisienne et le Castel Sainte Claire à Hyères. Amie de Paul Bourget qui séjourne chaque hiver dans sa villa du Plantier dans le quartier de Costebelle, Edith WHARTON est une habituée de la station hivernale hyéroise, qu'elle fréquente depuis 1895. Mis à part quelques récits de voyages comme La croisière du Vanadis, ses romans les plus connus, Chez les heureux du monde et Le temps de l’innocence, décrivent les milieux de la bourgeoisie new-yorkaise dont elle est issue. Lorsqu'elle se retrouve à Hyères, entre récriture, les promenades dans campagne environnante et les nombreux visiteurs qu'elle reçoit en femme du monde, Edith WHARTON trouve encore le temps de mettre en œuvre un jardin auquel elle se consacre avec passion et qui fait l'admiration de tous. « Mon jardin est un véritable enchantement. Jamais je n'ai rencontré d’endroit plus chaud, plus doré, plus débordant de fleurs et plus abrité des v M'entourent la beauté et la tranquillité du paradis et c'est ici et nulle part ailleurs, que se trouve le Cielo della Quieta auquel l'âme aspire quand approche la fin du voyage ». Correspondance d’Edith Wharton à Berenson à propos de son « Hyères bien aimé ».
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<center>Le parc Sainte Claire.</center>
Le parc Sainte Claire.
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<center>Le parc Sainte Claire.</center>
Le parc Sainte Claire.
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<center>Ville d'Hyères.</center>
Ville d'Hyères.
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<center>Ville d'Hyères.</center>
Ville d'Hyères.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison romane. Maison typique du XIIIe siècle avec ses fenêtres géminées remaniées au fil du temps.
Ville d'Hyères.
Maison romane. Maison typique du XIIIe siècle avec ses fenêtres géminées remaniées au fil du temps.
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<center>Ville d'Hyères.</center>
Ville d'Hyères.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Porte Barruc. Porte double de la première enceinte urbaine avec son remarquable dispositif d’origine, arc brisé, réunion de la herse, reliure des vantaux
Ville d'Hyères.
Porte Barruc. Porte double de la première enceinte urbaine avec son remarquable dispositif d’origine, arc brisé, réunion de la herse, reliure des vantaux
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<center>Ville d'Hyères.</center>Porte Barruc. Porte double de la première enceinte urbaine avec son remarquable dispositif d’origine, arc brisé, réunion de la herse, reliure des vantaux
Ville d'Hyères.
Porte Barruc. Porte double de la première enceinte urbaine avec son remarquable dispositif d’origine, arc brisé, réunion de la herse, reliure des vantaux
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<center>Ville d'Hyères.</center>
Ville d'Hyères.
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<center>Ville d'Hyères.</center>
Ville d'Hyères.
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<center>Ville d'Hyères.</center>
Ville d'Hyères.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison du XIIIe siècle.
Ville d'Hyères.
Maison du XIIIe siècle.
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<center>Eglise Saint Louis.</center> Le tribunal du XIXe et l'église St Louis. De style roman et gothique primitif du XIIIe, l'église Saint Louis , édifiée dans le courant du XIIIe siècle, appartenait au couvent des Franciscains. De style roman, cette architecture sobre répond à leur vœu de pauvreté. C'est une ancienne église du couvent des Cordeliers. Le St Louis dont il s'agit est l'évêque de Toulouse, petit fils du roi Saint Louis.
Eglise Saint Louis.
Le tribunal du XIXe et l'église St Louis. De style roman et gothique primitif du XIIIe, l'église Saint Louis , édifiée dans le courant du XIIIe siècle, appartenait au couvent des Franciscains. De style roman, cette architecture sobre répond à leur vœu de pauvreté. C'est une ancienne église du couvent des Cordeliers. Le St Louis dont il s'agit est l'évêque de Toulouse, petit fils du roi Saint Louis.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>La façade qui se présente en haut d’une place, est couronnée d’un large pignon. Elle s’ouvre de trois portails en plein cintre, surmontés chacun d’une archivolte et de voussures reçues par des colonnettes, leurs cintres sont faits de claveaux à deux teintes. La façade, qui donne sur la place Royale, se compose d'un grand mur plat percé dans sa partie inférieure de trois portails en plein cintre, surmontés chacun d’une archivolte et de voussures reçues par des colonnettes, leurs cintres sont faits de claveaux à deux teintes. Dans la partie supérieure s'ouvrent deux fenêtres en lancette, au-dessus des portes latérales, qui datent de 1855, et une rose à meneaux en ogive, au-dessus de la porte centrale d’origine. Le tout couronné d’un large pignon.
Eglise Saint Louis.
La façade qui se présente en haut d’une place, est couronnée d’un large pignon. Elle s’ouvre de trois portails en plein cintre, surmontés chacun d’une archivolte et de voussures reçues par des colonnettes, leurs cintres sont faits de claveaux à deux teintes. La façade, qui donne sur la place Royale, se compose d'un grand mur plat percé dans sa partie inférieure de trois portails en plein cintre, surmontés chacun d’une archivolte et de voussures reçues par des colonnettes, leurs cintres sont faits de claveaux à deux teintes. Dans la partie supérieure s'ouvrent deux fenêtres en lancette, au-dessus des portes latérales, qui datent de 1855, et une rose à meneaux en ogive, au-dessus de la porte centrale d’origine. Le tout couronné d’un large pignon.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>La façad ne comportait, à l’origine, qu'un portail central.
Eglise Saint Louis.
La façad ne comportait, à l’origine, qu'un portail central.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Voussures reçues par des colonnettes.
Eglise Saint Louis.
Voussures reçues par des colonnettes.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Construite sur un plan basilical, trois nefs sans transept et un chevet plat. Son architecture sobre, dépouillée même, dans l'esprit franciscain, est conforme au style provençal de cette époque médiévale marquée par la transition entre le plein-cintre et l'ogive. Pas de grandes audaces mais le souci de susciter le recueillement dans des murs qui s'élèvent puissamment comme pour soutenir la prière et la diriger vers Dieu.
Eglise Saint Louis.
Construite sur un plan basilical, trois nefs sans transept et un chevet plat. Son architecture sobre, dépouillée même, dans l'esprit franciscain, est conforme au style provençal de cette époque médiévale marquée par la transition entre le plein-cintre et l'ogive. Pas de grandes audaces mais le souci de susciter le recueillement dans des murs qui s'élèvent puissamment comme pour soutenir la prière et la diriger vers Dieu.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Les trois nefs sont voûtées de façon différente, alors que la nef centrale est couverte d’une voûte à croisée d’ogives à plate-bande, les deux nefs latérales, qui sont moins hautes, portent une voûte romane à berceau avec arcs doubleaux.
Eglise Saint Louis.
Les trois nefs sont voûtées de façon différente, alors que la nef centrale est couverte d’une voûte à croisée d’ogives à plate-bande, les deux nefs latérales, qui sont moins hautes, portent une voûte romane à berceau avec arcs doubleaux.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Nef centrale couverte d’une voûte à croisée d’ogives à plate-bande.
Eglise Saint Louis.
Nef centrale couverte d’une voûte à croisée d’ogives à plate-bande.
92
<center>Eglise Saint Louis.</center>Le chœur occupe la plus grande travée, en avant du chevet contre lequel se range l’arrière chœur qu’entourent de belles boiseries.
Eglise Saint Louis.
Le chœur occupe la plus grande travée, en avant du chevet contre lequel se range l’arrière chœur qu’entourent de belles boiseries.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Saint Pierre, le Christ, et Saint Paul.
Eglise Saint Louis.
Saint Pierre, le Christ, et Saint Paul.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Au XIXe siècle, deux œuvres ont été commandé» aux artistes pour la décoration de l'église St-Louis. La première St-Louis au retour de la croisade est une huile sur toile de plus de 5 mètres de hauteur sur plus de 4 mètres de largeur. Elle a été réalisée par l'artiste Arsène en 1840 et représente St-Louis sur la plage de l'Ayguade à Hyères, le 10 juillet 1254 à son retour de croisade.
En l'an 1254, Saint-Louis avait en effet débarqué à Hyères et séjourné au château du Seigneur de Fos sur la colline du Castéou avant de repartir vers la Sainte Beaume.
Eglise Saint Louis.
Au XIXe siècle, deux œuvres ont été commandé» aux artistes pour la décoration de l'église St-Louis. La première St-Louis au retour de la croisade est une huile sur toile de plus de 5 mètres de hauteur sur plus de 4 mètres de largeur. Elle a été réalisée par l'artiste Arsène en 1840 et représente St-Louis sur la plage de l'Ayguade à Hyères, le 10 juillet 1254 à son retour de croisade. En l'an 1254, Saint-Louis avait en effet débarqué à Hyères et séjourné au château du Seigneur de Fos sur la colline du Castéou avant de repartir vers la Sainte Beaume.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Saint-Louis portant les  saintes reliques est également une huile sur toile  monumentale de plus de 4 mètres de hauteur sur 6 mètres de large. Elle a été réalisée par l'artiste Feragu en 1858. Installées alors de part et d'autre de l'autel en l’église Saint-Louis, elles sont, au cours du XXe siècle décrochées, les toiles roulées, les cadres démontés et le tout entreposé à la collégiale Saint-Paul et oublié pendant plusieurs décennies.
Eglise Saint Louis.
Saint-Louis portant les saintes reliques est également une huile sur toile monumentale de plus de 4 mètres de hauteur sur 6 mètres de large. Elle a été réalisée par l'artiste Feragu en 1858. Installées alors de part et d'autre de l'autel en l’église Saint-Louis, elles sont, au cours du XXe siècle décrochées, les toiles roulées, les cadres démontés et le tout entreposé à la collégiale Saint-Paul et oublié pendant plusieurs décennies.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Statue de la Vierge à l'enfant, par Mlle de Fautveau.
Eglise Saint Louis.
Statue de la Vierge à l'enfant, par Mlle de Fautveau.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Un crucifix.
Eglise Saint Louis.
Un crucifix.
98
<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle du Saint-Sacrement dédiée à Notre-Dame. Autel et retable sur un dessin de Fabisch (1845) auteur de la statue de N.D. de Lourdes. La Vierge, d'après Michel-Ange réalisée à Florence. Il relate les différentes scènes de la vie de Marie.
Eglise Saint Louis.
Chapelle du Saint-Sacrement dédiée à Notre-Dame. Autel et retable sur un dessin de Fabisch (1845) auteur de la statue de N.D. de Lourdes. La Vierge, d'après Michel-Ange réalisée à Florence. Il relate les différentes scènes de la vie de Marie.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle du Saint-Sacrement.
Eglise Saint Louis.
Chapelle du Saint-Sacrement.
100
<center>Eglise Saint Louis.</center>A gauche, de haut en bas : La première scène représente le mariage de saint Joseph et de la Vierge Marie ; La deuxième scène nous montre l'Annonciation ; Tout de suite après l'Annonciation, Marie partit en hâte chez sa cousine Elisabeth, car l'ange lui avait dit que celle-ci était enceinte, un vrai miracle car Elisabeth était trop âgée pour enfanter. C'est la Visitation, que nous montre la troisième scène. A droite, de haut en bas : La quatrième scène nous montre la naissance de Jésus ; Marie estt au pied de la croix, avec l’apôtre Saint-Jean, voulant rester avec Jésus jusqu’au bout. C’est ce que nous montre la cinquième scène ; Après la résurrection de Jésus, Marie a été emportée au ciel. C’est ce qu’on appelle l’Assomption. Ainsi, elle n’a pas connu la mort. C’est ce que représente la sixième scène.
Eglise Saint Louis.
A gauche, de haut en bas : La première scène représente le mariage de saint Joseph et de la Vierge Marie ; La deuxième scène nous montre l'Annonciation ; Tout de suite après l'Annonciation, Marie partit en hâte chez sa cousine Elisabeth, car l'ange lui avait dit que celle-ci était enceinte, un vrai miracle car Elisabeth était trop âgée pour enfanter. C'est la Visitation, que nous montre la troisième scène. A droite, de haut en bas : La quatrième scène nous montre la naissance de Jésus ; Marie estt au pied de la croix, avec l’apôtre Saint-Jean, voulant rester avec Jésus jusqu’au bout. C’est ce que nous montre la cinquième scène ; Après la résurrection de Jésus, Marie a été emportée au ciel. C’est ce qu’on appelle l’Assomption. Ainsi, elle n’a pas connu la mort. C’est ce que représente la sixième scène.
101
<center>Eglise Saint Louis.</center>La dernière scène nous montre Jésus qui couronne sa Mère.
Eglise Saint Louis.
La dernière scène nous montre Jésus qui couronne sa Mère.
102
<center>Eglise Saint Louis.</center>St Joseph. Il est fêté deux fois dans l'année, le 19 mars et le 1er mai (comme patron des travailleurs). Il a été choisi comme saint patron du Canada et père de l'Église universelle. Il est apparu à un berger en 1660 Cotignac, lui disant simplement: « Je suis Joseph. Enlève ce rocher et tu boiras. »
Eglise Saint Louis.
St Joseph. Il est fêté deux fois dans l'année, le 19 mars et le 1er mai (comme patron des travailleurs). Il a été choisi comme saint patron du Canada et père de l'Église universelle. Il est apparu à un berger en 1660 Cotignac, lui disant simplement: « Je suis Joseph. Enlève ce rocher et tu boiras. »
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle du Crucifix.
Eglise Saint Louis.
Chapelle du Crucifix.
104
<center>Eglise Saint Louis.</center>Crucifix du XVIIe siècle provenant de Saint-Paul.
Eglise Saint Louis.
Crucifix du XVIIe siècle provenant de Saint-Paul.
105
<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle Notre-Dame de Lourdes.
Eglise Saint Louis.
Chapelle Notre-Dame de Lourdes.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle Notre-Dame de Lourdes.
Eglise Saint Louis.
Chapelle Notre-Dame de Lourdes.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle Notre-Dame de Lourdes. St Antoine de Padoue.
Eglise Saint Louis.
Chapelle Notre-Dame de Lourdes. St Antoine de Padoue.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle Notre-Dame de Lourdes. Ste Thérèse de Lisieux.
Eglise Saint Louis.
Chapelle Notre-Dame de Lourdes. Ste Thérèse de Lisieux.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle Notre-Dame de Lourdes. Ste Anne et Marie.
Eglise Saint Louis.
Chapelle Notre-Dame de Lourdes. Ste Anne et Marie.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle Sainte Douceline. Mystique dévouée aux soins des malades (1214-1274)
Née à Digne (Alpes de Haute Provence) vers 1214. Décédée à Marseille le 1er septembre 1274.
Eglise Saint Louis.
Chapelle Sainte Douceline. Mystique dévouée aux soins des malades (1214-1274) Née à Digne (Alpes de Haute Provence) vers 1214. Décédée à Marseille le 1er septembre 1274.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle Sainte Douceline. Sœur du bienheureux Hugues de Barjols (ou de Digne), franciscain mort en 1256, elle fonde à Hyères un établissement de béguines, désigné sous le nom de Dames de Roubaud, qui essaimèrent ensuite à Marseille et à Aix. Par testament, Saint Louis d'Anjou, décédé à Brignoles en 1297, a demandé a être enseveli auprès de ses maîtres spirituels: Hugues et Douceline.
Eglise Saint Louis.
Chapelle Sainte Douceline. Sœur du bienheureux Hugues de Barjols (ou de Digne), franciscain mort en 1256, elle fonde à Hyères un établissement de béguines, désigné sous le nom de Dames de Roubaud, qui essaimèrent ensuite à Marseille et à Aix. Par testament, Saint Louis d'Anjou, décédé à Brignoles en 1297, a demandé a être enseveli auprès de ses maîtres spirituels: Hugues et Douceline.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Statue de Saint-Joseph.
Eglise Saint Louis.
Statue de Saint-Joseph.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle Saint-Louis. Reproduction de la statue de la basilique de Saint-Denis.
Eglise Saint Louis.
Chapelle Saint-Louis. Reproduction de la statue de la basilique de Saint-Denis.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Chapelle de la paix. Statue de Sainte Marie Madeleine.
Eglise Saint Louis.
Chapelle de la paix. Statue de Sainte Marie Madeleine.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Baptistère. Chapelle Saint Jean-Baptiste. A gauche, le démon qui trompe Adam et Eve  sous l'apparence du serpent.  Ils commettent le premier des péchés, le pèché originel. A droite : Les voilà blessés, aveuglés, loin de Dieu et chassés du Paradis terrestre. En haut : Jean-Baptiste baptise Jésus. La cuve baptismale au centre de la chapelle est le lieu réservé au Baptême, où le prêtre verse par trois fois de l'eau bénite en prononçant la prière « Je te baptise au nom du Père, du Fils, et du Saint Esprit ».
Eglise Saint Louis.
Baptistère. Chapelle Saint Jean-Baptiste. A gauche, le démon qui trompe Adam et Eve sous l'apparence du serpent. Ils commettent le premier des péchés, le pèché originel. A droite : Les voilà blessés, aveuglés, loin de Dieu et chassés du Paradis terrestre. En haut : Jean-Baptiste baptise Jésus. La cuve baptismale au centre de la chapelle est le lieu réservé au Baptême, où le prêtre verse par trois fois de l'eau bénite en prononçant la prière « Je te baptise au nom du Père, du Fils, et du Saint Esprit ».
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Pierre funéraire de Guillaume de Fos , seigneur d'Hyères , mort en 1204.
Eglise Saint Louis.
Pierre funéraire de Guillaume de Fos , seigneur d'Hyères , mort en 1204.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Les vitraux sont modernes, exécutés par M. Maréchal, de Metz. Ste Philomène .
Eglise Saint Louis.
Les vitraux sont modernes, exécutés par M. Maréchal, de Metz. Ste Philomène .
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<center>Eglise Saint Louis.</center>Moine cordelier
Eglise Saint Louis.
Moine cordelier
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<center>Eglise Saint Louis.</center>St Barthélémy.
Eglise Saint Louis.
St Barthélémy.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>
Eglise Saint Louis.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>St Antoine
Eglise Saint Louis.
St Antoine
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<center>Eglise Saint Louis.</center>St André.
Eglise Saint Louis.
St André.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>
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<center>Eglise Saint Louis.</center>St Louis.
Eglise Saint Louis.
St Louis.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>St Joseph
Eglise Saint Louis.
St Joseph
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<center>Eglise Saint Louis.</center>St Jean-Baptiste.
Eglise Saint Louis.
St Jean-Baptiste.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>La communion.
Eglise Saint Louis.
La communion.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>
Eglise Saint Louis.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>
Eglise Saint Louis.
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<center>Eglise Saint Louis.</center>L'orgue fabriqué par le facteur Mader à Marseille en 1878, est un instrument de 33 jeux actionnés par 3 claviers de 56 notes et un pédalier de 30 notes. Quoique remanié et d'éléments hétérogènes il est toujours considéré comme l'un des meilleurs de la région.
Eglise Saint Louis.
L'orgue fabriqué par le facteur Mader à Marseille en 1878, est un instrument de 33 jeux actionnés par 3 claviers de 56 notes et un pédalier de 30 notes. Quoique remanié et d'éléments hétérogènes il est toujours considéré comme l'un des meilleurs de la région.
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<center>Ville d'Hyères.</center>
Ville d'Hyères.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Qu(intus) Atilius Q(uinti) F(ilius) Prepon sibi et suis vivos F(ecit).
Quintus Atilius Prepon fils de Quintus a, de son vivant, construit ce tombeau pour lui et les siens.
Ville d'Hyères.
Qu(intus) Atilius Q(uinti) F(ilius) Prepon sibi et suis vivos F(ecit). Quintus Atilius Prepon fils de Quintus a, de son vivant, construit ce tombeau pour lui et les siens.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Maison de 1624.
Ville d'Hyères.
Maison de 1624.
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<center>Ville d'Hyères.</center>Villa Palatine.
Ville d'Hyères.
Villa Palatine.
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<center>Le Parc Saint Bernard.</center> Situé sur les hauteurs de la ville médiévale, au pied de la Villa Noailles, ce jardin en terrasses offre une vue panoramique sur la presqu'île, la rade et les îles d'Or. Le Vicomte de Noailles, mécène mais aussi botaniste passionné, conçut ce jardin avec des essences exotiques et méditerranéennes.
Le Parc Saint Bernard.
Situé sur les hauteurs de la ville médiévale, au pied de la Villa Noailles, ce jardin en terrasses offre une vue panoramique sur la presqu'île, la rade et les îles d'Or. Le Vicomte de Noailles, mécène mais aussi botaniste passionné, conçut ce jardin avec des essences exotiques et méditerranéennes.
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<center>Le Parc Saint Bernard.</center>
Le Parc Saint Bernard.
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<center>Le Parc Saint Bernard.</center>
Le Parc Saint Bernard.
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<center>La villa Noailles.</center> La villa Noailles, dont le noyau initial est construit de 1923 à 1925 à Hyères, dans le département du Var, est l'œuvre de l'architecte Robert Mallet-Stevens, avec la collaboration de l'architecte local Léon David, notamment pour les extensions et annexes réalisées jusqu'en 1933.
La villa Noailles.
La villa Noailles, dont le noyau initial est construit de 1923 à 1925 à Hyères, dans le département du Var, est l'œuvre de l'architecte Robert Mallet-Stevens, avec la collaboration de l'architecte local Léon David, notamment pour les extensions et annexes réalisées jusqu'en 1933.
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<center>La villa Noailles.</center>  Commandée par Charles, vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure de Noailles, mécènes et amis des grands noms de l'art moderne, la villa est l'une des premières constructions françaises du style moderne. Elle est représentative des principes du mouvement rationaliste, par sa recherche d'une luminosité maximale, la fonctionnalité de l'habitation et son économie décorative.
La villa Noailles.
Commandée par Charles, vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure de Noailles, mécènes et amis des grands noms de l'art moderne, la villa est l'une des premières constructions françaises du style moderne. Elle est représentative des principes du mouvement rationaliste, par sa recherche d'une luminosité maximale, la fonctionnalité de l'habitation et son économie décorative.
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<center>La villa Noailles.</center>  La chambre en plein air, réalisée sur la terrasse en 1928 et dotée de parois de ferronneries escamotables dessinées par Jean Prouvé, possédait un lit à balancelle suspendu à des barres métalliques de Pierre Chareau.
La villa Noailles.
La chambre en plein air, réalisée sur la terrasse en 1928 et dotée de parois de ferronneries escamotables dessinées par Jean Prouvé, possédait un lit à balancelle suspendu à des barres métalliques de Pierre Chareau.
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<center>La villa Noailles.</center>
La villa Noailles.
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<center>La villa Noailles.</center>  Le parvis.
La villa Noailles.
Le parvis.
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<center>La villa Noailles.</center>  Le parvis vu de la chambre de plein air.
La villa Noailles.
Le parvis vu de la chambre de plein air.
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<center>La villa Noailles.</center>  Le parvis vu de la chambre d'été.
La villa Noailles.
Le parvis vu de la chambre d'été.
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<center>La villa Noailles.</center>  Le parvis.
La villa Noailles.
Le parvis.
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<center>La villa Noailles.</center>  Le parvis.
La villa Noailles.
Le parvis.
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<center>La villa Noailles.</center>  Jardin cubiste de Gabriel Guevrekian.
La villa Noailles.
Jardin cubiste de Gabriel Guevrekian.
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<center>La villa Noailles.</center>  Jardin cubiste de Gabriel Guevrekian.
La villa Noailles.
Jardin cubiste de Gabriel Guevrekian.
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<center>La villa Noailles.</center>
La villa Noailles.
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<center>La villa Noailles.</center>  Les bas-relief sur le pilier central du hall sont des frères Jean et Joël Marte.
La villa Noailles.
Les bas-relief sur le pilier central du hall sont des frères Jean et Joël Marte.
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<center>La villa Noailles.</center>  Le hall.
La villa Noailles.
Le hall.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salon de lecture.
La villa Noailles.
Salon de lecture.
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<center>La villa Noailles.</center>  Les deux salles à manger.
La villa Noailles.
Les deux salles à manger.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salle à manger 1. Une horloge murale de Francis Jourdain orne chaque pièce.
La villa Noailles.
Salle à manger 1. Une horloge murale de Francis Jourdain orne chaque pièce.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salle à manger 1.
La villa Noailles.
Salle à manger 1.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salle à manger 1.
La villa Noailles.
Salle à manger 1.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salle à manger 1.
La villa Noailles.
Salle à manger 1.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salle à manger 2. Durant la Seconde Guerre mondiale, la maison d'orfèvrerie Christofle souhaite faire travailler ses ateliers malgré la raréfaction des métaux précieux. Elle demande donc à des personnalités parisiennes du monde de l'art, de la musique et de la littérature d'imaginer un décor d'assiettes en porcelaine. L'opération est reprise en 1951 avec une envergure plus conséquente. Marie-Laure de Noailles, sous le nom de Marie Laure, figure parmi les nouveaux invités ; douze assiettes qui sont autant de variations sur les possibilités de l'encre noire, seul médium qu'elle s'autorise : lavis, raclages, estompage, etc. De nombreux participants s'avèrent être ses proches amis. On découvre ainsi au travers de ces créations un panorama des relations de la vicomtesse dans le Paris de l'immédiate après-guerre
La villa Noailles.
Salle à manger 2. Durant la Seconde Guerre mondiale, la maison d'orfèvrerie Christofle souhaite faire travailler ses ateliers malgré la raréfaction des métaux précieux. Elle demande donc à des personnalités parisiennes du monde de l'art, de la musique et de la littérature d'imaginer un décor d'assiettes en porcelaine. L'opération est reprise en 1951 avec une envergure plus conséquente. Marie-Laure de Noailles, sous le nom de Marie Laure, figure parmi les nouveaux invités ; douze assiettes qui sont autant de variations sur les possibilités de l'encre noire, seul médium qu'elle s'autorise : lavis, raclages, estompage, etc. De nombreux participants s'avèrent être ses proches amis. On découvre ainsi au travers de ces créations un panorama des relations de la vicomtesse dans le Paris de l'immédiate après-guerre
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<center>La villa Noailles.</center>  Assiettes Christofle. Le présent accrochage propose de recréer ainsi une « famille » possible, celle qui va de Jean Cocteau au compositeur Georges Auric, de Man Ray à Georges Hugnet, Michel Leiris, André Masson et Paul Eluard, ou encore les peintres Jean Hugo et Félix Labisse. Ces derniers résident d'ailleurs fréquemment à Hyères. Henri Sauguet, compositeur ; 
Marie-Laure de Noailles ;
André Masson, peintre ;
Jean Cocteau, poète ;
Man Ray, artiste ;
Félix Labisse, peintre ;
Deuxième ligne, Georges Hugnet, Poète ;
Paul Eluard, poète ;
Jean Hugo, peintre ;
Lucien Coutaud, peintre ;
Georges Aune, compositeur ;
Marie-Laure de Noailles ;
Jean Hugo, peintre ;
La villa Noailles.
Assiettes Christofle. Le présent accrochage propose de recréer ainsi une « famille » possible, celle qui va de Jean Cocteau au compositeur Georges Auric, de Man Ray à Georges Hugnet, Michel Leiris, André Masson et Paul Eluard, ou encore les peintres Jean Hugo et Félix Labisse. Ces derniers résident d'ailleurs fréquemment à Hyères. Henri Sauguet, compositeur ; Marie-Laure de Noailles ; André Masson, peintre ; Jean Cocteau, poète ; Man Ray, artiste ; Félix Labisse, peintre ; Deuxième ligne, Georges Hugnet, Poète ; Paul Eluard, poète ; Jean Hugo, peintre ; Lucien Coutaud, peintre ; Georges Aune, compositeur ; Marie-Laure de Noailles ; Jean Hugo, peintre ;
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<center>La villa Noailles.</center>  Salle à manger 2. Lucien Coutaud, Paysage taurin, huile sur toile, 1956. Lucien Coutaud, proche des surréalistes, vient lui aussi rendre visite à Marie-Laure de Noailles, à Hyères ou en Camargue, pays qui le fascine. L'œuvre exposée ici, rend compte de cette ambiance qui voit les grands artistes et intellectuels de l'époque, Picasso, Cocteau, Leiris ou encore César célébrer les corridas aux arènes d'Arles ou de Nîmes
La villa Noailles.
Salle à manger 2. Lucien Coutaud, Paysage taurin, huile sur toile, 1956. Lucien Coutaud, proche des surréalistes, vient lui aussi rendre visite à Marie-Laure de Noailles, à Hyères ou en Camargue, pays qui le fascine. L'œuvre exposée ici, rend compte de cette ambiance qui voit les grands artistes et intellectuels de l'époque, Picasso, Cocteau, Leiris ou encore César célébrer les corridas aux arènes d'Arles ou de Nîmes
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<center>La villa Noailles.</center>  Lucien Coutaud, Paysage taurin, huile sur toile, 1956.
La villa Noailles.
Lucien Coutaud, Paysage taurin, huile sur toile, 1956.
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<center>La villa Noailles.</center>  Cuisine.
La villa Noailles.
Cuisine.
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<center>La villa Noailles.</center>
La villa Noailles.
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<center>La villa Noailles.</center>
La villa Noailles.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salon Rose.
La villa Noailles.
Salon Rose.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salon Rose. Vitraux de Louis Barillat.
La villa Noailles.
Salon Rose. Vitraux de Louis Barillat.
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<center>La villa Noailles.</center>  Chambre de Monsieur.
La villa Noailles.
Chambre de Monsieur.
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<center>La villa Noailles.</center>  Chambre de Madame.
La villa Noailles.
Chambre de Madame.
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<center>La villa Noailles.</center>  Instruments de musique.
La villa Noailles.
Instruments de musique.
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<center>La villa Noailles.</center>
La villa Noailles.
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<center>La villa Noailles.</center>  Chambre de Van Ravesteyn.
La villa Noailles.
Chambre de Van Ravesteyn.
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<center>La villa Noailles.</center>  Chambre de Van Ravesteyn.
La villa Noailles.
Chambre de Van Ravesteyn.
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<center>La villa Noailles.</center>  Chambre de Van Ravesteyn.
La villa Noailles.
Chambre de Van Ravesteyn.
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<center>La villa Noailles.</center>  Salle de bain de la chambre de Van Ravesteyn.
La villa Noailles.
Salle de bain de la chambre de Van Ravesteyn.
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<center>La villa Noailles.</center>  La piscine, placée au centre d'un squash et dc'un gymnase privés, est surmontée, comme l'atelier, d'une verrière formant une composition Néo-plastique de poutres et de panneaux aux plans décalés, c'est le premier exemple d'une piscine privée couverte en France.
La villa Noailles.
La piscine, placée au centre d'un squash et dc'un gymnase privés, est surmontée, comme l'atelier, d'une verrière formant une composition Néo-plastique de poutres et de panneaux aux plans décalés, c'est le premier exemple d'une piscine privée couverte en France.
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