Moulin de Paillas, Gassin, Port Grimaud
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Ramatuelle.
Mémorial des Anciens des Services Spéciaux de la Défense Nationale. Inauguré le 3 mai 1959, ce monument national unique en France a été dessiné par l’architecte Gaston Castel, et exécuté par Marcel Courbier, sculpteur ami de Jean Moulin. Il est dédié aux membres des services spéciaux morts pour la France lors de la seconde guerre mondiale. Il porte gravé dans la pierre les noms des membres des réseaux du service de renseignement et de contre espionnage qui œuvraient depuis l’automne 1940 dans la clandestinité en France occupée pour préparer les opérations qui ont amené la libération du Pays. Ces héros pris par les services de l’occupant sont morts fusillés, décapités, martyrisés ou dans les camps de concentration. Ce sont près de 320 hommes et femmes dont les noms sont gravés sur ce mémorial national.
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Ramatuelle.
Suivant la volonté de la famille, la tombe de Gérard Philipe est l’une des plus sobre du petit cimetière de Ramatuelle. Longtemps recouverte de lierre, elle est aujourd’hui parée d’une simple plaque de marbre. La tombe voisine, qui abrite un ami de la famille, a été restaurée en même temps ce qui explique la similitude.
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Ramatuelle.
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Ramatuelle.
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Le moulin de Paillas
Le moulin à vent dit de Paillas domine le village au sommet de la colline la plus élevée du territoire dans le Massif du Castellas, d’où l’on surplombe toute la côte de Cavalaire à Saint-Tropez. Les bâtisseurs des moulins privilégiaient des sites battus par tous les vents et Castellas était un endroit idéal. Il faut imaginer l’emplacement entièrement dénudé car on empêchait tout arbre de pousser alentour pour ne pas faire obstacle aux vents. Cinq moulins y furent élevés entre la fin du XVIe siècle et le début du XIXe. Le meunier Jean-Baptiste Paillas, qui a laissé son nom au site, était issu d’une famille aisée d’agriculteurs ramatuellois. A partir de la moitié du XIXème siècle, les minoteries industrielles (charbon/vapeur) ont supplanté l’activité des moulins à vent et, petit à petit, ils furent doublement ruinés, physiquement (démantelés, démontés) et économiquement.
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Le moulin de Paillas
En 1997, plusieurs propriétaires ont fait don d’une parcelle sur laquelle se trouvait une ruine. Quelques années plus tard, le conseil municipal décida la restauration du moulin à “l’identique”. Et c’est en 2002 que fut inauguré le Moulin de Paillas, reconstruit fidèlement d’après des plans de 1630, par les Charpentiers du Haut-Var qui comptent parmi eux des Compagnons du devoir.
La tour (ou fût) est en pierres liées au mortier de chaux. Selon les normes provençales, elle fait 6 mètres de haut, 6 mètres de diamètre (dont 1 mètre d’épaisseur de mur). Le toit (le chapeau) est posé dessus, sur le chemin fixe (ou dormant). Le principe de cet outil est qu’à partir des ailes entoilées tournant sous la force du vent, une mécanique est activée, permettant à une meule de tourner sur une autre meule afin de broyer et moudre du blé pour obtenir de la farine.
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Le moulin de Paillas
Les ailes sont inclinées de 20° afin de bien brasser l'air. Les ailes ne tournent que si elles sont face au vent ; d’où l’obligation de faire pivoter le toit (la chapelle) en fonction du vent avant d’entreprendre la pose des toiles (ou voiles). C'est de l’intérieur du moulin, qu'on fait pivoter le toit et les ailes. Une fois les ailes orientées face au vent, on les équipe en grimpant dessus, jusqu’en haut comme sur une échelle, pour y attacher les toiles à l’aide de cordelettes. Les toiles fonr 40 m² de surface totale.
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Le moulin de Paillas
Les ailes entoilées tournent sous la force du vent entraînant l’arbre moteur sur lequel elles sont fixées par 4 poutres. Ces poutres portant les membrures, sont émincées vers l'extérieur en vertu du principe d'égale résistance.
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Le moulin de Paillas
Les noms des cinq donateurs.
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Le moulin de Paillas
Une meule.
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Le moulin de Paillas
Un autre moulin qui est resté en ruine.
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Le moulin de Paillas
Un autre moulin converti en demeure.
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Le moulin de Paillas
L'escaler en colimaçon pour droitier.
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Le moulin de Paillas
Le mécanisme vu de dessous. A droite, l'arbre moteur venant de l'extérieur sur lequel sont fixées les ailes.
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Le moulin de Paillas
Entrée de l'arbre moteur qui repose sur une pierre se trouvant sur la traverse.
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Le moulin de Paillas
Sur l'arbre moteur est fixé le rouet (grande roue). Ce rouet est équipé de dents de forme pyramidale appelées alluchons.
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Le moulin de Paillas
Dans le moulin de Paillas, il y a de 40 alluchons qui viennent « s’engrener » dans les espaces des barreaux de la lanterne (ou lanterneau) qui en compte 8 ; d’où transformation d’un mouvement vertical des ailes en un autre mouvement horizontal de la lanterne. C’est le renvoi d’angle, la développante du cercle, l’engrenage. Résultat : lorsque les ailes font 1 tour, la meule (reliée à la lanterne par le gros fer) en fait 5.
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Le moulin de Paillas
La lanterne entraîne le gros fer qui est relié à la meule tournante (ou volante) qui tourne sur une meule fixe (gisante, dormante) pour broyer et moudre le grain.
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Le moulin de Paillas
L’écartement entre les 2 meules se fait à l’aide d’un levier dit du 1er genre qui se trouve au rez-de-chaussée.
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Le moulin de Paillas
Tout ce qui est mobile est en chêne, ce qui est fixe en sapin ou épicéa. Les alluchons en hêtre (avant, ils étatient en azobé, arbre des forêts équatoriales d'Afrique et exploité pour son bois imputrescible, et qui venait des tombées des arsenaux).
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Le moulin de Paillas
Le blé est versé dans la trémie (cône/entonnoir en bois de pin) qui contient 50 kilos de blé.
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Le moulin de Paillas
Le blé tombe dans l’auget.
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Le moulin de Paillas
L’auget est prolongé d’un bras posé contre le gros fer. Ce bras est heurté par chaque passage des angles du gros fer (comme un arbre à came) permettant aux grains de tomber régulièrement entre les meules en passant par l’œillard (trou d’une vingtaine de centimètres au centre de la meule tournante), et quand le moulin est à l'arrêt, le blé ne tombe pas. Le bruit produit par ce cognement permet d’estimer, à l’oreille, la vitesse de rotation des ailes et s’appelle le tictac du moulin.
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Le moulin de Paillas
Sous le rouet se trouve le frein.
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Le moulin de Paillas
Les 2 meules (1,200 tonne chacune), posées l’une sur l’autre à l’horizontal, sont enfermées dans un coffre en bois de pin appelé archure. Les faces des meules sont sillonnées (face contre face). Par la force centrifuge de la meule tournante, le blé entre dans les sillons pour se faire broyer. Toujours par la force centrifuge, la farine est éjectée dans l’archure. Un racloir (éventail) fixé à la meule tournante la ramène jusqu’au conduit à farine.
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Le moulin de Paillas
Le coffre en bois où se trouvent les deux meules, avec le conduit à farine.
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Le moulin de Paillas
L'ensemble composé du toit, de la charpente, de la mécanique intérieure et des ailes est « posé » sur le chemin fixe au sommet de la tour et son poids de plusieurs tonnes l’empêche de basculer. On fait pivoter le toit et les ailes par soulèvements successifs en s’aidant de bois appelés boulins. Dans le chemin dormant, en bas, sont encastrés des cylindres en bois sur lesquels va glisser le chemin courant, en haut.
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Le moulin de Paillas
Pour faire pivoter le toit et les ailes par soulèvements successifs on s'aide de bois appelés boulins. Cette manœuvre (système de levier) nécessite l’effort de 6 personnes et il faut environ une demi-heure pour procéder à un demi-tour. La tige de fer retient le toit quand le moulin est à l'arrêt et qu'un vent très fort souffle.
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Résine d'un pin.
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Résine d'un pin.
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Résine d'un pin.
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Résine d'un pin.
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Résine d'un pin.
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Le moulin de Paillas
Vue côté sud.
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Le golfe de Cavalaire.
Les îles du Levant et de Port-Cros, le cap Cavalaire.
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Le golfe de Cavalaire.
Le cap Cavalaire, Cavalaire.
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Le golfe de Cavalaire.
Les îles du Levant et de Port-Cros, le cap Cavalaire, Cavalaire.
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Le golfe de Cavalaire.
Les îles du Levant et de Port-Cros, le cap Cavalaire, Cavalaire.
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Gassin.
Le golfe de Saint Tropez avec Sainte Maxime.
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Gassin.
Le golfe de Saint Tropez avec Sainte Maxime.
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Gassin.
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Gassin.
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Gassin.
Jean-Luc Ducreux. La plus belle vue, bronze, acier, 2023.
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Gassin.
Jean-Luc Ducreux. L'accrocheur d'étoiles, bronze, acier, 2023.
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Gassin.
Jean-Luc Ducreux. L'accrocheur d'étoiles, bronze, acier, 2023.
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Gassin.
Notre-Dame-de-l'Assomption. Son clocher est une tour carrée, peut-être tour de guet autrefois ; elle possédait jusqu'à la révolution des créneaux. Ils ont été détruits par les révolutionnaires parce que représentant un symbole de la féodalité. Ils ont été par la suite réinstallés puis à nouveau enlevés au XXe siècle.
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Gassin.
L'église est située à l'entrée nord du village. Elle est construite sur les rochers ; de massifs contreforts soutiennent les murs et le chevet du bâtiment. Le jardin situé derrière le mur a servi de cimetière à la fin du XVIIIe siècle
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Gassin.
Le chevet.
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Gassin.
Ancien hôpital.
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Gassin.
Au sud de l'église se trouve le presbytère.
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Gassin.
Jean-Luc Ducreux. L'arbre de vie, bronze, acier, 2023.
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Gassin.
Leï Barri longent les remparts des XIIIe-XIVe siècle.
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Gassin.
Passage du guet.
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Gassin.
Jean-Luc Ducreux. Par amour d'une femme, bronze, acier, 2023.
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Gassin.
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Gassin.
Ces maison font le lien entre l'ancien Gassin et la place Hannibal de Châteauneuf, qui est le cœur du nouveau village (Marianne d'Or en 1995 et prix Philippe Rotthier). Il a été réalisé par François Spoerry, l'architecte qui a conçu Port-Grimaud.
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Gassin.
Le puits Neuf est un puits couvert traditionnel de Provence du XVIIe siècle, creusé à environ, huit mètres de profondeur. Il fut couvert d'un petit édifice en forme d'obus entre les deux guerres.
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Gassin.
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Gassin.
A Gassin, une première « maison de ville » a été construite en 1584 au-dessus du four banal. Elle ne comprenait qu'une seule pièce. C'était le siège du conseil de la communauté, l'assemblée de notables chargés de l'administration du village. Cet hôtel de ville fut agrandi en 1844 par la construction d'un étage pour héberger la « maison d’école » le 9 février 1847, « le sieur Simon Barthélemy Boutin, muni de son brevet de capacité, fut admis à remplir les fonctions d'instituteur primaire communal ». En 1869, M. Parent directeur des Chemins de fer du Nord, après un séjour à Gassin, fit don à la commune d'une horloge. A cette occasion, on vota un budget de 300 F pour la « construction d'une petite chambre destinée à recevoir le mécanisme de l'horloge ». En 1899, l'achat de maisons contiguës permit d'agrandir la mairie. On trouvait alors au rez-de-chaussée, d'un côté la classe des garçons et de l'autre celle des filles et au 1er étage les logements de l'instituteur et de l'institutrice. L'hôtel de ville a été entièrement rénové en 1985 sous le mandat de Robert Dho, maire de 1977 à 2002.
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Gassin.
La rue de la Tasco est la plus ancienne rue du village. Elle abrite de petites cours intérieures typiques et charmantes.
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Gassin.
La porte sarrasine était l’une des entrées de l'enceinte médiévale appelée barri en provençal. Le village avait besoin de se protéger des groupes armés en temps de guerre et des étrangers en période de peste. Ainsi, l'accès au village était défendu par une porte en bois et une herse appelée sarrasine. En s'avançant dans la porte, en haut à gauche, on aperçoit un des gonds de cette porte et à droite l'emplacement des madriers qui permettaient de la fermer. En haut, dans l'arc, la partie en brique dessine l'espace qui permettait de descendre la herse. L'arc et le pied droit à l'intérieur sont en serpentine marbre vert-bleu du massif des Maures, roche extraite de la carrière de la Carade, quartier situé aujourd'hui sur la commune de Cavalaire. Remarquer les blocs à bossage, signe caractéristique de l'architecture civile et militaire au XIVe siècle en Provence.
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Gassin.
L'église actuelle, datée de 1558, a été construite directement sur le rocher et renforcée par une série de contreforts. La cloche Saint Laurent, datée du XVIIIe siècle, est l'une des rares ayant survécu à la Révolution dans le Var.
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Gassin.
La façade, très sobre comprend : une porte en basalte, pierre de lave extraite des carrières locales, surmontée d'un fronton triangulaire et d'une croix en gypse rajoutés à la fin du XVIIIe siècle ; en son centre, une baie percée pour éclairer l'intérieur de l'édifice ; et de chaque côté, de larges contreforts.
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Gassin.
L'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption de Gassin est un édifice du XVIe siècle. Achevée en 1557 ou 1558, l'église fut consacrée en 1582. Elle est parfois appelée église Saint-Laurent par confusion avec le saint patron du village, fêté le 10 août. Plusieurs fois restaurée (1624, 1758), elle a été en 1793 le lieu de réunion des Sans-culottes de Gassin. L'édifice possède une architecture simple avec un chœur, une seule nef rectangulaire avec deux travées de voûtes et quatre piliers, une abside à trois pans .
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Gassin.
Le maître-autel soutenu par 2 piliers doriques avec à droite des épis de blé, à gauche des ceps de vigne symboles de l'Eucharistie du pain et du vin, œuvre sculptée par l'artiste gassinois Paul-Herman Saffre et consacré en 1967. Il est tourné vers les fidèles.
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Gassin.
Tableau de la Vierge à l'Enfant entre saint Jean-Baptiste à gauche et saint Laurent avec l'instrument de son martyre à droite, daté du XVIe siècle.
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Gassin.
Buste reliquaire de saint Laurent daté du XVIIe siècle.
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Gassin.
Tableau le Don du rosaire, avec la Vierge, à sa gauche saint Dominique, à sa droite sainte Catherine de Sienne et sainte Lucie tenant une coupelle avec ses yeux. 1587, attribué à Coriolano Malagavazzo.
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Gassin.
Tableau de Sainte Madeleine pleurante avec trois putti.
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Gassin.
Tableau d'Anne, la mère de Marie et Marie, enfant, apprenant à lire, avec deux angelots.
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Gassin.
Tableau représentant saint François de Sales entre saint Louis de Gonzague, saint Sébastien et sainte Lucie, et dans le registre inférieur les âmes du Purgatoire (XVIIIe siècle).
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Gassin.
Les vitraux modernes en verre et plomb de 1984 sont l'œuvre du maître aveyronnais Claude Bâillon.
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Gassin.
Les motifs composés d'éléments décoratifs végétaux et cosmiques ont été inspirés par l'église elle-même, son architecture, ses dimensions et la coloration de ses pierres. Ils représentent des degrés de la pureté de l'âme, du plus foncé au plus clair.
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Gassin.
La lumière du soleil est filtrée par le dernier vitrail au-dessus de l'entrée et ses rayons illuminent le chemin vers l'autel.
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Gassin.
Tableau de Dieu entouré d'angelots.
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Gassin.
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Gassin.
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Gassin.
Rue Longue.
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Gassin.
La rue Longue est bordée de vieilles portes dont la plus ancienne date de 1422.
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Gassin.
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Gassin.
Porte de 1663.
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Gassin.
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Gassin.
Rue de l’Androuno.
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Gassin.
L’Androuno est la rue la plus étroite du monde avec 29 centimètres de large au plus étroit.
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Gassin.
Les rues des Fabriques et du Moulin à huile rappellent l'activité artisanale du village.
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Gassin.
Les rues des Fabriques et du Moulin à huile rappellent l'activité artisanale du village.
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Gassin.
Les rues des Fabriques et du Moulin à huile rappellent l'activité artisanale du village. L'ancien moulin à huile à sang.
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Gassin.
Le jardin privé L'Hardy-Denonain est classé remarquable.
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Gassin.
Le jardin privé L'Hardy-Denonain est classé remarquable.
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Gassin.
Le jardin privé L'Hardy-Denonain est classé remarquable. Un grenadier.
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Gassin.
Le jardin privé L'Hardy-Denonain est classé remarquable. Epiphyllum.
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Gassin.
Le jardin privé L'Hardy-Denonain est classé remarquable. Epiphyllum.
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Gassin.
Le jardin privé L'Hardy-Denonain est classé remarquable. Brugmansia jaune.
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Port Grimaud.
Plan de la cité lacustre.
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Port Grimaud.
L'entrée. Port Grimaud a été conçu et construit par l'architecte mulhousien François Spoerry. En 1962, ce dernier possédant une maison à Cavalaire apprend que des terrains marécageux sont en vente au fond du golfe de Saint-Tropez près de l'embouchure de la Giscle. Il les achète et y édifiera un vaste lotissement : une cité lacustre intégrée à cet environnement méditerranéen. Le premier permis de construire est délivré le 13 juin 1966. Spoerry et son équipe travaillèrent durant trois ans à l'élaboration des plans de la cité lacustre. Celle-ci devait être édifiée sur la terre avant que la mer n'y soit amenée par l'intermédiaire de canaux qui seront consolidés pour éviter la pollution de la nappe phréatique. Les futures îles et presqu'îles qui doivent former la cité sont préalablement délimitées par des palplanches d'acier destinés à stabiliser la terre, puis elles sont surélevées par les déblais issus des canaux qui sont creusés au ras de ces palplanches.
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Port Grimaud.
Les travaux de la première tranche débutèrent en juin 1966 et se poursuivit jusqu'au printemps 1968. Aux premiers logements livrés venait s'ajouter 130 appartements et studios donnant sur la plage, ainsi que trente locaux commerciaux sous arcades et sur la « place des Six-Canons ». Afin de faciliter l'intégration des nouvelles constructions dans le paysage méditerranéen et les faire paraître aussi authentiques que n'importe quel village provençal, Spoerry n'hésita pas à réutiliser les matériaux (carrelages, tuiles, éléments de charpente, menuiserie, ferronnerie…) issus d'un chantier de démolition d'un quartier de Romans-sur-Isère. Depuis 2001, Port Grimaud est labellisé « Patrimoine du XXe siècle ».
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Port Grimaud.
Tour des célibataires. Elle était réservée pour le logement des travailleurs saisonniers.
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Port Grimaud.
Port-Grimaud est une marina, ensemble immobilier destiné à la plaisance, avec un mouillage devant chaque maison. Principe dont les précurseurs se trouvent aux États-Unis, notamment en Floride et en Virginie. Mais le modèle avoué est Martigues, a première « Venise provençale ». Aucune des 2000 maisons ne se ressemblent, chaque couleur de crépi, de volet, de balustre est répertoriée et permet lors des rénovations de retrouver les couleurs d'origine. Les 12 km de quai, 8 km de canaux, les ponts, routes et espaces verts sont entretenus par l'Association des Propriétaires de la Cité Lacustre de Port Grimaud.
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Port Grimaud.
Un coche d'eau électrique.
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Port Grimaud.
Place du marché
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
Au fond, les premières maisons qui furent construites. La petite maison était un bungalow.
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Port Grimaud.
Maison avec décors en trompe l'oeil.
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Port Grimaud.
Maison avec décors en trompe l'oeil. A gauche, drapeau de Port-Grimaud.
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Port Grimaud.
Maison avec décors en trompe l'oeil.
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Port Grimaud.
Maison avec décors en trompe l'oeil.
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Port Grimaud.
L'octogone.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
Chaque résident possède un emplacement de bateau devant son habitation. Entre rues intérieures et canaux, les logements forment une continuité bâtie rythmée par les portes d'entrée.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
Maison de l'architecte.
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Port Grimaud.
Maison de l'architecte.
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Port Grimaud.
Maison de l'architecte.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
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Port Grimaud.
Au fond, l'hôtel Giraglia.
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Port Grimaud.
Réverbère de récupération de la ville de Mulhouse.
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Port Grimaud.
L'architecture d'ensemble de l'église s'inspire des églises fortifiées de Camargue, et plus particulièrement de l'église de Notre-Dame-de-la-Mer.
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Port Grimaud.
Au sommet de la tour, qui mesure 16 mètres, une cloche de bronze est supportée par un campanile en fer forgé créé par le ferronnier d'art M. Bernard.
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Port Grimaud.
L'Église Saint-François-d'Assise. C'est une église œcuménique où les cultes catholique et protestant sont célébrés.
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Port Grimaud.
L'Église Saint-François-d'Assise. L'intérieur est constitué d'une nef de 29 mètres de long sur 13 mètres de haut ainsi que d'un transept de 11 mètres de large.
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Port Grimaud.
L'Église Saint-François-d'Assise. L'autel est en pierre d'Estaillades.
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Port Grimaud.
L'Église Saint-François-d'Assise.
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Port Grimaud.
L'Église Saint-François-d'Assise.
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Port Grimaud.
L'Église Saint-François-d'Assise.
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Port Grimaud.
L'Église Saint-François-d'Assise. Caveau de François Spoerry.
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Port Grimaud.
L'Église Saint-François-d'Assise. Les 25 vitraux dessinés par le plasticien franco-hongrois Victor Vasarely représentent le cycle du soleil
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