Le Val, Correns.
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Le Val.
Le vieux lavoir de 1864 est soutenu par de superbes piliers en pierre de taille qui proviennent de l'ancienne halle élevée en 1554 sur la Place Gambette afin de protéger le marché journalier qui s'y tenait.
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Ce lavoir a été utilisé jusque dans les années 1945. Les lavandières y lavaient leur linge à genoux et à l'aide de battoirs en bois. Il se nommait auparavant le « Lavoir du Paradou », du nom d'un moulin à foulon qui permettait de battre et de dégraisser les draps en toile de chanvre dès le XVIe siècle.
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Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
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Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
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Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
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Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
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Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
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Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
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Allégorie au théâtre, au chant et à la comédie. Une grande sculpture en bas-relief a été réalisée dans les armées 1990 par Marcel Le Couédic et représente une « Allégorie au théâtre, au chant et à la comédie ». Cette œuvre décore l'entrée du jardin Théâtre. Ici, la fête est mise à l'honneur avec un cochon sculpté au centre, faisant référence à la Foire à la saucisse et aux boudins, se déroulant chaque année en septembre depuis 1698 selon le privilège accordé sous Louis XIII
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Le territoire du Val fut très tôt occupé par les Romains qui y trouvèrent de l'eau en abondance leur permettant de s'y installer durablement
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Lavoir particulier. L'eau de source du nom des "Treje raïs" (les treize sources), et la rivière la « Ribeirotte » (la petite rivière), alimentent à elles seules le village. De nombreux équipements jalonnent les différents quartiers : 2 lavoirs, 18 fontaines et un aqueduc.
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Lavoir particulier.
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Ancien moulin. Evacuation de l'eau avec des concrétions de tuf.
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Ancien moulin.
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Les fontaines rivalisent d'originalité et d'élégance, tant elles sont riches et variées. Chaque place ou rue en est équipée afin d'alimenter les habitants en eau. De différents types, à colonne ou à stèle, elles célèbrent toutes à leur façon l'arrivée de l'eau au village.
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Les remparts médiévaux. Dès le XIIIe siècle, l'enceinte médiévale, entourée de fossés secs, est constituée de solides remparts crénelés, ponctués de portes et tours carrées. Celles-ci avaient pour but de renforcer la défense ou les entrées de ville. L'accès au village s'effectuait par 4 grandes portes placées aux 4 points cardinaux. Du rempart médiéval subsistent la tour de la place du rempart ainsi que la tour de l'horloge, plus au nord.
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L'une de ces tours présente ici une technique de défense des plus ingénieuses. Elle porte le nom de « tour ouverte à la gorge » car elle est ouverte vers l'intérieur du bourg, pour que, si l'ennemi s'en empare, il ne puisse s'y retrancher. De plus, ce dispositif permettait, en cas d'attaques, un approvisionnement rapide et incessant de projectiles.
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Les remparts médiévaux. Les crénelures.
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L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, commandée par Balde de Château renard et consacrée en 1068, est achevée au début du XIIe siècle. Cette église est dédiée à Sainte Marie, Saint Jean-Baptiste, Saint Jean l'Évangéliste, Saint Etienne et Saint Sidoine. On peut y observer un appareillage soigné fait de blocs calcaires assemblés à joints vifs.
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L'église se compose d'une grande nef surmontée d'une voûte en arc brisé du XIIe siècle qui retombe sur des colonnes semi-engagées, ornées de chapiteaux décorés d'inspiration naturaliste.
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L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
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Le chœur à chevet plat est éclairé par trois vitraux installés au XIXe siècle : au centre est représentée la Vierge Notre-Dame de Paracol, entourée de Saint Cyriaque (nommé diacre) et Saint Blaise (nommé évêque), tous deux saints patrons du Val.
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Les peintures du chœur ont été réalisées en 1995 par Marcel Le Couédic. La Visitation et saint Marc et saint Luc.
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Les peintures du chœur ont été réalisées en 1995 par Marcel Le Couédic. Elles représentent Notre-Dame-de-l'Assomption, couronnée et entourée de colombes et d'anges colorés.
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Les peintures du chœur ont été réalisées en 1995 par Marcel Le Couédic. L'Annonciation et saint Matthieu et saint Jean.
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Le peintre s'est représenté à droite du chérubin qui porte une couronne.
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Buste reliquaire de Saint Cyriaque en bois doré du XVIIIe siècle.
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Buste reliquaire de Saint Blaise en bois doré du XVIIIe siècle.
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L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
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Les chapelles latérales ont été rajoutées suite aux deux agrandissements successifs des XVIe et XVIIe siècles. Chapelle de la Vierge.
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L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. Statues de saint Pau et saint Pierre.
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Chapelle de sainte Thérèse.
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Chapelle de saint Joseph. La Bonne Mort de saint Joseph.
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L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
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L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
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L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
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Le Couvert de la Dîme. Arcades plein-cintre.
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Le Couvert de la Dîme. Arcades plein-cintre.
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La maison claustrale qui jouxte l'église et mentionnée dès le Xe siècle accueillait une petite communauté monastique de bénédictins. L'abbé et l'économe ne résidaient pas sur place, le prieuré étant administré localement par le prieur de Correns.
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La maison claustrale. L'architecture de la façade septentrionale conserve une baie géminée de l'époque romane ainsi que deux grandes croisées à meneaux et croisillons de la Renaissance.
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Chapelle des pénitents.
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Chapelle des pénitents.
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Chapelle des pénitents.
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Chapelle des pénitents. Tombeau de Guersande de Sabran, réplique par Marcel Le Couédic. Nommée abbesse de l'Abbaye de La Celle, elle fut grand-mère de quatre grandes reines : Reine de France, femme de St Louis, Reine d'Angleterre Reine d'Aragon et Reine de Naples. Les sculptures représentent la Dormition dce la Vierge.
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Tombeau de Guersande de Sabran.
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Tombeau de Guersande de Sabran. La Vierge et les archanges Gabriel, Michel et Raphaël.
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Tombeau de Guersande de Sabran.
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Tombeau de Guersande de Sabran.
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Chapelle des pénitents.
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Chapelle des pénitents.
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St Jacques, st Philippe et st Christophe.
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Chapelle des pénitents. St Joseph et l'Enfant Jésus.
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St Honnorat, st Marc et st ?
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Chapelle des pénitents. La Vierge intercède pour sauver les Damnés.
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Chapelle des pénitents. L'Annonciation.
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Tableau représentant la Trinité etl'Assomption de la Vierge Marie. Il constituait la partie centrale du retable du maître-autel de la paroisse. Il date probablement des années 1670 – 1700.
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Chapelle des pénitents.
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Chapelle des pénitents.
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Chapelle des pénitents.
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Christ en bois sculpté de 1833 pour la chapelle Saint-Blaise
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Chapelle des pénitents.
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Ex-voto.
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Ex-voto.
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Ex-voto.
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La tour de l'horloge. Autrefois appelée « la Tour du Portail », cette tour est ornée d'une horloge et d'une doche par Etienne Ripert en 1535 sur commande du Conseil de Communauté. En 1694 elle s'écroule causant de nombreux dommages.
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La tour de l'horloge. Lors de sa reconstruction, une niche de 1,50 mètre est aménagée dans la façade pour y placer une statue de la Vierge.
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La tour de l'horloge. Vers la fin du Xe siècle, les Châteaurenard, devenus seigneurs des terres du Val, font construire dans la vallée, sous le castrum de Paracol et au pied de la rivière la Ribeirotte, une maison seigneuriale (le presbytère actuel) et une église. En 1066, les seigneurs de Châteaurenard vont faire don de leurs biens aux moines bénédictins de l'abbaye Saint-Pierre de Montmajour située à proximité de la ville d'Arles. Les moines et leur abbé deviennent alors les nouveaux seigneurs des lieux. Les deux clefs représentent l'abbaye de Montmajour.
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La tour de l'horloge. Le gracieux campanile de fer forgé du XVIIIe siècle est installé par un maître serrurier de Rians, M. Bonnard. Pièce unique et élégante, il servait à protéger la doche tout en la laissant tinter même par violent mistral.
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Le gracieux campanile de fer forgé du XVIIIe siècle est installé par un maître serrurier de Rians, M. Bonnard. Pièce unique et élégante, il servait à protéger la doche tout en la laissant tinter même par violent mistral.
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La crèche animée.
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La crèche animée.
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La crèche animée.
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La crèche animée.
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La crèche animée. La colline de Paracol, la tour de l'horloge et le lavoir.
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La crèche animée.
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La crèche animée.
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La crèche animée. La partie de cartes de Marcel Pagnol.
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La crèche animée. L'elixir du père Gaucher, d'Alphonse Daudet.
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La crèche animée. Le curé de Cucugnan d'Alphonse Daudet.
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L'Argens.
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Le vieux lavoir du XVIe. Au pied du pont, avant sa construction, existait un guet.
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Le "vieux pont" du XVIe enjambant l'Argens. A une arche, il relie le vieux village construit sur la rive droite de l'Argens au faubourg de la rive gauche.
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L'Argens.
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Une source.
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Le vieux lavoir.
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La porte Saint Germain. Au Moyen-âge, des remparts protègent le Fort Gibron et les habitations qui le ceinturent. Plusieurs portes, dont le rôle est avant tout défensif, permettent d'accéder au village intra-muros. Cette porte en plein cintre, datant du XIVe siècle, était équipée d'une herse et est aujourd'hui la seule encore conservée. Elle est appelée « porte Saint Germain » car la tradition orale rapporte que le Saint évêque Saint Germain l'Auxerrois l'emprunta en revenant d'un voyage à Rome. Il est devenu le Saint patron de la commune de Correns. À partir du XVIe siècle et jusqu'au XVIIIe, le village s'est étendu en dehors des remparts, sur la rive droite de l'Argens puis sut la rive gauche, formant le faubourg.
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La calade.
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La calade.
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Le Fort Gibron. Les moines de Montmajour, installés au prieuré « Sainte Marie », à huit cents mètres du village actuel (Nord-Ouest), sont aussi seigneurs de Correns et manifestent leurs droits en faisant ériger une fortification : le Fort Gibron. Celui-ci daterait du XIII-XIV* siècle et siège au point culminant d'une butte, ce qui lui permet de dominer les alentours. Peu à peu, les habitants quittent les quartiers dits de Sous-Ville et d'Ascaou pour se regrouper de manière concentrique autour de ce Fort, protégé par une enceinte. La tour de l'Horloge : Beffroi du XVIe siècle surmonté d'un campanile cylindrique XIXe siècle.
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Le Fort Gibron. Il se compose d'un donjon, qui manifeste la puissance seigneuriale des moines, d'anciennes granges, et d'une tour horloge postérieure à l'ensemble médiéval.
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Le Fort Gibron. Gargouilles du XIIe.
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Le Fort Gibron. Gargouille du XIIe.
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Le Fort Gibron. Son architecture est typique du roman provençal. On sait qu'en octobre 1567 « le Fort Gibron est toujours gardé par une petite garnison ». Par la suite, il va être divisé en divers corps d'habitations.
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Le Fort Gibron. En 1790, le Fort est désigné dans un inventaire de « maison seigneuriale avec l'auditoire de justice ». Il subit au cours des siècles divers aménagements : ouvertures de baies, reprises de maçonnerie.
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Le Fort Gibron.
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Le Fort Gibron.
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Le Fort Gibron. Salle des gardes ou cuisine.
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Le Fort Gibron.
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Fontaine de la place de l'église ... et de la mairie.
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Fontaine de la place de l'église ... et de la mairie. Un des mascarons.
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Fontaine de la place de l'église ... et de la mairie. Un des mascarons.
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Fontaine de la place de l'église ... et de la mairie. Un des mascarons.
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Fontaine de la place de l'église ... et de la mairie. Un des mascarons.
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Une des maisons de la place décorée de céramiques.
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Correns naît véritablement au Xe siècle lorsque la famille seigneuriale des Châteaurenard de Brignoles donne à l'abbaye de Montmajour, près d'Arles, les terres de Correns. La communauté bénédictine de Montmajour fait alors bâtir à Correns un prieuré « Sainte Marie » sur les lieux dits actuels de Sous-Ville et d'Ascaou. Pour accueillir les moines de l'abbaye de Montmajour, une église est bâtie au XIe siècle.
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Une communauté villageoise s'organise autour de ce prieuré. Vers le XIIIe siècle, un château féodal est érigé. Au cours des siècles qui vont suivre, le village, entouré d'une enceinte va se développer autour de ce château et abandonner peu à peu le site primitif. Il s'étend hors des remparts au XVIIe siècle. Au XIXe siècle, comme dans de nombreux villages provençaux, la population de Correns diminue considérablement
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L'église Notre Dame. Cette église Notre Dame, de style classique, est élevée entre 1736 et 1741 pour se rapprocher des habitants qui se sont déplacés autour du Fort Gibron. En effet, elle succède à l'église du prieuré « Sainte Marie », possession des moines bénédictins de Montmajour (Arles).
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L'église Notre Dame. La façade comprend trois portes, une porte monumentale encadrée de deux colonnes supportant un entablement et deux portes plus petites et plus simples faisant accéder aux nefs latérales. Une de ces deux portes, celle de droite ne s’ouvre qu’à l’occasion du pardon pour le passage de la procession.
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L'église Notre Dame. La façade est bâtie en pierres appareillées ; elle est surmontée d’un large fronton. Cette église accueille le Pardon. Il s'agit d'une cérémonie dotée d'« indulgences » : en échange de donations ou de communion, les fidèles sont remis de leurs péchés. L'histoire du Pardon remonte à l'an mil, date à laquelle le prieuré de Correns prend de l'importance car il fait l'objet de nombreuses donations. Pour attirer la dévotion des fidèles, le pape Serge IV (1009-1012) attribue à Correns des « indulgences ». En 1030, un Pardon de la « Sainte Croix » est créé à l'abbaye de Montmajour. Devant l'ampleur de cette manifestation, une même cérémonie est fixée à Correns.
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L'église Notre Dame. En 1623, une bulle du pape Urbain VIII fixe qu'elle aura lieu toutes les fois que « l'Invention de la Sainte Croix », le 3 mai, coïncide avec un vendredi, soit tous les six, cinq, six et onze ans. On parle de Grand Pardon lorsque l'espace qui sépare deux pardons est de onze ans.
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L'église Notre Dame. Malheureusement, il arriva qu’une nuit de l’an 1734, l’antique église Notre-Dame bâtie sur une légère éminence, s’écroula. Cependant, les habitants ne se découragèrent pas et en 1737, un édifice nouveau s’élevait dans le bas village, c’est l’église actuelle. A la demande des consuls, le pape Clément XII transféra en 1742 à ce nouveau sanctuaire, l’indulgence plénière qui était attachée à l’ancien.
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L'église Notre Dame. Cette église est un vaste vaisseau à trois nerfs formant trois travées. Elle est voûtée d’arêtes et ses nefs ont ceci de particulier qu’elles sont de hauteur égale. L’abside est circulaire mais au tracé aplati ; son chœur est entouré d’assez belles boiseries et de nombreuses stalles.
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L'église Notre Dame. Voûte en croisées d'ogives.
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L'église Notre Dame. À l'intérieur se trouve un splendide maitre-autel baroque du XVIIIe siècle en bois de noyer, recouvert de feuilles d'or et surmonté d'une gloire. Le maitre-autel, également en bois de noyer, a été réalisé par un compagnon ébéniste corrensois. il est surmonté d'un tabernacle cylindrique. Retable sculpté en haut et bas-relief d'anges et chérubins parmi des nuées rayonnantes
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L'église Notre Dame.
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L'église Notre Dame.
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L'église Notre Dame.
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L'église Notre Dame.
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L'église Notre Dame. St Jean sur le coeur de Jésus.
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L'église Notre Dame. Saint Joseph à l'enfant portant une fleur de lys à la main droite et l'enfant sur le bras droit.
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L'église Notre Dame. Statue de Saint Pierre. Le tableau, saint Paul.
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L'église Notre Dame. Sainte Marie-Madeleine.
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L'église Notre Dame. Saint Joseph. La bonne mort de saint Joseph.
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L'église Notre Dame. Saint Germain. Rencontre de Saint Germain et de Sainte Geneviève.
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L'église Notre Dame. Vierge couronnée. Donation du scapulaire à saint Simon Stock.
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L'église Notre Dame. Saint Roch.
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L'église Notre Dame. Sainte Anne.
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L'église Notre Dame. Saint François de Sales.
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L'église Notre Dame. Sainte Anne et Marie.
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L'église Notre Dame. Monument aux morts, mêlant religion et laïcité par la présence d'un ange et d'un soldat.
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L'église Notre Dame. Le Sacré Coeur.
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L'église Notre Dame. La Vierge qui intercède pour les âmes du purgatoire.
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L'église Notre Dame. Reliquaire.
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L'église Notre Dame.
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Correns.
L'église Notre Dame. Les fonts baptismaux et le baptême de Jésus.
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Correns.
L'église Notre Dame. Souvenir du Pardon du 3 mai 1895.
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Correns.
L'église Notre Dame. Sur la cuve, les quatre évangélistes et le Christ. Saint Matthieu et le Christ.
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Correns.
L'église Notre Dame. Saint Luc et saint Jean.
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Correns.
L'église Notre Dame. Saint Marc.
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Correns.
Coopérative de Correns.
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Bacchus.
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Louis XIII.
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