La nouvelle église est bâtie à droite du calvaire, encastrée dans les rochers de la montée du Saint-Esprit. La forme du terrain inspire un plan centré et une coupole sur le modèle du Panthéon. Une façade plane à trois travées avec pilastres et fronton vient masquer la forme circulaire de l'édifice. En haut, à gauche, la chapelle des Pénitents Blancs.
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Eglise des Accoules.
Notre-Dame-du-Bon-Secours des Chrétiens.
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Eglise des Accoules.
Madone de l'Unité, 2015, de Ghiorgo Zafiropulo.
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Eglise des Accoules.
Madone de l'Unité, 2015, de Ghiorgo Zafiropulo, le soir.
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Eglise des Accoules.
L'église actuelle, de plan centré, date du XIXe siècle.
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Eglise des Accoules.
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Eglise des Accoules.
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Eglise des Accoules.
La coupole.
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Eglise des Accoules.
La coupole.
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Eglise des Accoules.
L'autel.
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Eglise des Accoules.
Statue de Notre-Dame-du-Bon-Secours des Chrétiens, du XIXe en carton-pierre.
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Eglise des Accoules.
Chemin de croix en fonte de fer du XIXe.
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Eglise des Accoules.
Chemin de croix en fonte de fer du XIXe.
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Eglise des Accoules.
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Eglise des Accoules.
Pièta en terre cuite du XVIIIe.
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Eglise des Accoules.
Statue de saint Expédit. C'est un commandant romain d’Arménie converti au christianisme et décapité pour cette raison par l’empereur Dioclétien en l'an 303. Son nom lui valut d'être préposé à l'expédition rapide des affaires.
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Eglise des Accoules.
Statue de sainte Lucie. Elle est également appelée Luce. Elle porte ses yeux sur un plat, ainsi que la palme du martyr. Elle a souffert le martyre au début du IVe siècle, lors des persécutions de Dioclétien.
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Eglise des Accoules.
Buste d'Eugène de Mazenod.
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Eglise des Accoules.
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Eglise des Accoules.
251
Hôtel-Dieu.
Fondé au XIIe siècle, sous le nom d'Hôpital du St Esprit, il fut agrandi à la fin du XVIe siècle par l'annexion d'un autre hôpital, l'hôpital Saint-Jacques-de-Galice, qui avait été fondé près des remparts Est de la ville par le riche
négociant, Bernard Garnier, en 1344.. Guillaume de Vair, ancien Garde des Sceaux et président de la Chambre Souveraine de Provence, laissa par testament 36 000 livres à l'hôpital. L'Hôtel Dieu était géré par des recteurs qui à chaque entrée en fonction devaient verser une aumône pour permettre l'achat de lits en fer.
252
Hôtel-Dieu.
Les travaux d'agrandissement furent ralentis par des problèmes financiers mais au XVIIIe siècle, des dons inattendus permirent de les terminer. Il a été construit à partir de 1753 par l'architecte marseillais Claude-Henri-Jacques d'Aggeville (1721-1794) sur les plans et élévations de l'architecte du roi Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1711-1778), petit-fils de Jules Hardouin-Mansart. Après quelques modifications, ce fut une des plus belles réalisations hospitalières de l'Ancien Régime avec un bâtiment de 3 étages aérés par des galeries en arcade.
253
Hôtel-Dieu.
Le bâtiment fut réaménagé dans son état actuel de 1860 à 1866 par l'architecte des hôpitaux de Marseille, Félix Blanchet. Il prolongea l'aile gauche de la cour, érigea les pavillons aux extrémités des deux ailes et suréleva l'ensemble du bâtiment d'un étage. Le nouvel Hôtel-Dieu fut inauguré par Napoléon III, le 15 novembre 1866, jour de fête de l'impératrice Eugénie.
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Hôtel-Dieu.
Honoré Daumier, né à Marseille le 26 février 1808, est représenté par un magnifique buste en bronze que la municipalité de Jean-Claude Gaudin avait installé au pied de l’Hôtel Dieu, en position dominante face à la place Villeneuve Bargemon sous laquelle s’écrit désormais l’histoire politique de la ville. Mais le buste gênait l’hôtel Intercontinental qui s’ouvrira dans quelques jours dans les augustes murs rénovés de cette très belle architecture hospitalière. Alors Daumier a été descellé et enlevé.
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Hôtel-Dieu.
Et il a été remis ici.
256
Grand' Rue.
Grand' Rue. Sur un immeuble du 33 Grand Rue près de la mairie de Marseille, une discrète plaque de 1962 rend hommage aux disparus, internés, déportés, morts dans les camps nazis, victimes de la tragique évacuation du quartier du Vieux-Port le 23 janvier 1943. Cet oeuvre rappelant la traumatisante rafle de Marseille est signée de l’artiste Marius Muraour (1962).
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Grand' Rue.
Mémorial de la Déportation, de l'Internement et de la Résistance. 1982.
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Grand' Rue.
29 Grand' Rue. Sculpteur Arnaud.
259
Grand' Rue.
31 Grand' Rue. Sculpteur Arnaud.
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Grand' Rue.
33 Grand' Rue. Sculpteur Arnaud.
261
Grand' Rue.
35 Grand' Rue. Sculpteur Arnaud.
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Montée des Accoules.
Troisième entrée possible au Panier. L'origine du nom est assez controversée : il s'agirait peut-être des "encoules", arceaux de soutènement de l'édifice ou bien "anchoras" petites ancres offertes en ex-votos par les marins et les pêcheurs du quartier ou encore de la situation géographique de l'église "ad collas" au pied de la colline....
263
Montée des Accoules.
Le clocher des Accoules est bâti sur la base de l'ancienne tour Sauveterre dont la grosse cloche sonnait le tocsin et convoquait les conseils de la Commune.
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Montée des Accoules.
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Montée des Accoules.
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Montée des Accoules.
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Montée des Accoules.
A droite, peut être, la maison la plus étroite de Marseille.
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Montée des Accoules.
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Montée des Accoules.
270
Rue du Poirier.
Rue du Périer en 1610. Il s'agit sans doute d'une évolution du mot provençal, Lou Peïré, le tailleur de pierre, le carrier.
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Rue du Poirier.
272
Rue du Poirier.
En 1821 la congrégation des Missionnaires de Provence prend en charge le service religieux et s’installe à proximité rue du Poirier, dans l'ancienne résidence des chanoines des Accoules. Une chapelle en planches est aménagée devant la crypte.
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Rue du Poirier.
Au fond, la Montée de Accoules.
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Montée des Accoules.
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Rue Beauregard.
La rue Beauregard porta jusqu'en 1847 le nom plus pittoresque de "Roumpe-cuou"... justifié par sa déclivité excessive.
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Rue Beauregard.
Maison en ciment, entreprise J.Tay et A.Rozan.
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Montée des Accoules.
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Montée des Accoules.
A gauche, la rue des Moulins.
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Rue des Moulins.
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Rue des Moulins.
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Rue des Moulins.
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Rue des Moulins.
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Place des Moulins.
C'est le point culminant du quartier du Panier. Au XVIe siècle, on comptait quinze moulins à vent qui préparaient la farine des marseillais, mais leurs nombres décroît avec l'utilisation de l'eau comme force motrice pour n'en compter que trois au XIXe siècle. Trois d'entre -eux sont encore visibles, bien que noyés dans des bâtisses modernes.
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Place des Moulins.
Au milieu du XIXe siècle, la ville fait raser les bâtiments hétéroclites qui avaient envahi l'espace, et crée la place des Moulins telle qu'elle apparaît aujourd'hui, véritable place de village provençal avec ses arbres et ces bancs.
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Place des Moulins.
Reste d'un moulin.
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Place des Moulins.
Reste d'un moulin.
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Place des Moulins.
Reste d'un moulin dans l'impasse des Muettes. On aperçoit encore sa rampe en fer. Il servit de tour pour le télégraphe Chappe installé à Marseille en 1821. Photo 2013.
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Place des Moulins.
Photo 2023.
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Place des Moulins.
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Place des Moulins.
En bas, rue des Muettes.
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Rue des Muettes.
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Place des Moulins.
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Place des Moulins.
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Place des Moulins.
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Place des Moulins.
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Place des Moulins.
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Rue des Muettes.
Nom donné par ironie à cause de la présence de femmes bavardes ? Ou y avait-il des soeurs jumelles muettes ?
298
Rue Michel Salvarelli.
En haut, entrée de la citerne des Moulins. On édifia dans les sous sols de la place des Moulins, dans les années 1850, des citernes pour alimenter la ville en eau. La construction de ce bassin, engagée simultanément à celle des bassins de Longchamp et de la colline Bonaparte/Puget, a permis de régulariser le service de l'alimentation en eau de la ville.
299
Citerne des Moulins.
Située en dessous de la place des moulins, dans le quartier historique de la ville, le Panier, cette citerne est la plus imposante de la citée phocéenne. Ce lieu servait de réservoir au XIXème siècle et alimentait ainsi la ville en eau.
300
Citerne des Moulins.
Le bassin des Moulins a une capacité de 12 000 m3. Il est constitué d'une structure avec petites voûtes en brique reposant sur 160 piliers, hauts de 5 m et espacés de 4 m d'axe en axe dans un sens et 2 m dans l'autre.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
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Citerne des Moulins.
Arrivée de l'eau.
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Citerne des Moulins.
Arrivée de l'eau.
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Rue des Moulins.
Côté rue du Panier.
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Rue des Moulins.
Côté rue du Panier.
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Rue des Moulins.
Côté rue du Panier.
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Rue du Panier.
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Rue du Panier.
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Rue du Panier.
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Rue du Panier
A gauche, rue des Cartiers.
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Rue des Cartiers.
En souvenir des fabricants de cartes à jouer célèbres à Marseille. Cette industrie était autorisée par lettres patentes depuis février 1581 et utilisait les mêmes méthodes d'impression que les "indiennes" (la gravure sur bois). Dix fabricants étaient recensés au début du XVIIIe siècle. Au bout, la rue du Poirier.
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Rue du Poirier.
A gauche, montée du Saint Esprit. A droite, traverse des Cartiers.
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Rue du Poirier.
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Traverse des Cartiers.
Elle monte à la place des Moulins.
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Traverse des Cartiers.
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Traverse des Cartiers.
Vue de la place des Moulins.
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Montée St Esprit.
Du nom de l'ancien hôpital du St Esprit devenu l'Hôtel Dieu. Photo 2013.
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Montée St Esprit.
Photo 2023.
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Rue de l'hôtel Dieu.
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Rue de l'hôtel Dieu.
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Rue de l'hôtel Dieu.
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Rue de l'hôtel Dieu.
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Rue de l'hôtel Dieu.
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Rue de l'hôtel Dieu.
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Rue de l'hôtel Dieu.
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Rue de l'hôtel Dieu.
En haut des escaliers, on arrive à la rue du Poirier.
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Montée St Esprit.
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Montée St Esprit.
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Montée St Esprit.
Théâtre du Lacydon.
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Théâtre du Lacydon.
Ancienne chapelle des Pénitents Blancs du Saint-Esprit, construite au XVIe siècle. Vendue à la Révolution, rachetée en 1819 par les pénitents trinitaires.
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Montée St Esprit.
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Rue du Panier.
Photo prise du début de la rue des Cartiers. A droite, la rue Guintrand. Sur la droite débute la rue des Belles Ecuelles.
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Rue des belles Ecuelles.
Certains pensent que les fondeurs d'étain avaient leurs échoppes dans cette rue, d'autres estiment que l'appellation viendrait de Couello qui veut dire colline.
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Rue des belles Ecuelles.
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Rue Puits St Antoine.
Nom de l'ancienne commanderie située rue Saint-Antoine. Puits réservé aux incurables qui fréquentaient l'hôpital.
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Rue St Antoine.
Cette rue porte le nom d'un des plus anciens hôpitaux de Marseille, dont on voit encore la bâtisse. Au début du XIIe siècle, des hospitaliers, connus sous le nom de Chevaliers de Saint-Antoine fondent une maison et un hôpital au lieu-dit les Baumes, qui va prendre le nom de quartier Saint-Antoine.
358
Rue St Antoine.
Ancien emplacement de la Maison Saint-Antoine qui compte parmi les plus vieux établissements de la ville. Devenue ordre en 1095, il s'établit à Marseille pour soigner les indigents atteints par le mal ardent. Au XVIIIe siècle le relâchement s'étant introduit dans ses mœurs, il fut réuni à l'ordre de Malte qui vendit les terrains pour y construire des immeubles.
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Rue St Antoine.
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Rue Guintrand.
Rue Guintrand. Du nom d'une famille du XVIIe siècle, originaire de Digne enrichie grâce au commerce maritime. Honoré Guintrand reçut le chaperon d'échevin au XVIIe siècle et son petit fils au XVIIe siècle. A l'angle de la rue St Antoine se trouve la fontaine du Barquiou emmaçonnée en forme de pyramide au XVIIIe siècle. Première fontaine de la ville haute de Marseille, ou ville épiscopale, au Moyen-âge. Elle servit de lavoir à partir du XIIIe siècle sous le nom "Fontaine du Barquiou".
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Rue Guintrand.
À l'intérieur se trouve une des plus anciennes citernes du quartier.
362
Rue Montbrion.
Cette voix prend le nom de Montbrion quand ce dernier cède à ses enfants l'une des principales maisons de cette rue.
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Rue François Leca.
Ancienne rue Sainte Pauline. Jean François Leca est né à Calenzana en 1875, mort au camp de Buchenwald en 1945
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Rue François Leca.
Ex rue de la Comète, en l'honneurde la première comète, découverte en 1801 à Marseille par Jean-Louis Pons, concierge à l'observatoire.
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Place Château Joly.
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Place Château Joly.
Nereïde, de Botinelly.
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Place Château Joly.
La nef.
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Square Protis.
Architecte : Fernand Pouillon. Les longueurs de l'esplanade se composent, d'un côté d'un immeuble de huit étages et de cent-quatre-vingt mètres de long -le plus élevé, bien visible depuis le port entre le clocher et la tour et de l'autre côté, en avancée, de deux immeubles de quatre étages.
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Square Protis.
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Square Protis.
Entrée d'immeuble.
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Square Protis.
Entrée d'immeuble.
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Square Protis.
Entrée d'immeuble.
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Square Protis.
Entrée d'immeuble.
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Square Protis.
Entrée d'immeuble.
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Square Protis.
Hall d'entrée.
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Square Protis.
Poignée de porte.
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Square Protis.
Hall d'entrée.
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Square Protis.
Hall d'entrée.
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Chapelle Sainte Catherine
Les Pénitents Blancs de Sainte Catherine d'Alexandrie, la plus ancienne confrérie de Marseille fondée en 1499, qui après s'être réuni pendant un siècle en l'église Saint-Laurent, ont fait construire en 1604, à coté de l'église, la chapelle Sainte-Catherine, qui est la mieux conservé des caseto marseillaises.
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Chapelle Sainte Catherine
En 1768, la confrérie s'éteint et la chapelle est vendue aux enchères. Elle est achetée par un auffier de la Tourette, Louis Martin, et devient un magasin de sparterie.
Ce n'est qu'en 1838 que la chapelle sera rendue à sa destination initiale, lorsque Pierre Martin, fils du précédent, la revend à la ville dans le but d'agrandir l'église Saint-Laurent qui lui est contiguë.
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Eglise Saint Laurent et chapelle Sainte Catherine.
Esplanade de la Tourette. A gauche, la chapelle Sainte Catherine. Elle a été construite en 1604, pour les Pénitents Blancs. A droite, l'église Saint Laurent, avec le buste du Chevalier Roze, né en 1675 à Marseille. En 1720, lors de la grande épidémie de peste qui touche la ville puis la Provence, c’est lui qui, avec l’aide d’environ 150 soldats et forçats, a dégagé l’esplanade de la Tourette de plus de 1 000 cadavres d’hommes et de femmes tués par la peste.
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Eglise Saint Laurent.
Esplanade de la Tourette. Le buste du Chevalier Roze, né en 1675 à Marseille. En 1720, lors de la grande épidémie de peste qui touche la ville puis la Provence, c’est lui qui, avec l’aide d’environ 150 soldats et forçats, a dégagé l’esplanade de la Tourette de plus de 1 000 cadavres d’hommes et de femmes tués par la peste.
383
Eglise Saint Laurent.
Esplanade de la Tourette. Construite au XIIème siècle, Saint Laurent était l'église paroissiale du plus vieux quartier de Marseille : le quartier St Jean.
Edifiée au sommet de la butte à laquelle elle a donné son nom, elle profile au dessus du port son clocher en forme de tour de guet. Elle conserve encore, malgré de nombreux remaniements, les éléments essentiels de son architecture romano-provençale.
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Eglise Saint Laurent
Rue saint Laurent. Eglise Saint Laurent. Monument aux Morts.
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Eglise Saint Laurent.
Les cinq travées reposent sur des piliers à angles droits soutenant des arcs doubleaux reliés entre eux par une corniche longitudinale à section carrée.
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Eglise Saint Laurent
Dans la nef de gauche, la statue de Notre-Dame de Massalia (Vierge en bois) a été installée dans l'église à Pâques 1997 par Monseigneur Panafieu, archevêque de Marseille.
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Eglise St Laurent
Statue de Notre-Dame de Massalia (Vierge en bois).
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Eglise Saint Laurent
Maximos IV (Michel Mazloum dit). Alep, 1779 - Alexandrie, 1855. Patriarche d'Antioche et de tout l'Orient, d'Alexandrie à Jérusalem. Archevêque de Myre, il est venu à Marseille pour organiser le culte melkite dans la ville et fit construire, en 1821, l'église Saint-Nicolas de Myre.
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Eglise Saint Laurent
Vierge apparaissant à des Jésuites.
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Eglise Saint Laurent
Le Martyre de Saint Laurent, copie d'Eustache Le Sueur par Jacques Ignace Parrocel. Statue de la Vierge à l'Enfant, XIXe siècle.
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Eglise Saint Laurent.
Statue de la Vierge à l'Enfant, XIXe siècle.
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Eglise Saint Laurent
Statue de Saint-Laurent en bois doré de la fin du XVIIIe siècle.
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Eglise Saint Laurent
Statue de Saint-Laurent en bois.
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Eglise Saint Laurent
Statue de Saint-Joseph avec Jésus.
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Eglise Saint Laurent
Statue de Saint-Léon le Grand.
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Eglise Saint Laurent
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Eglise Saint Laurent
Statues de Saint Lazare, à gauche, et Saint Maximin à droite.
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Eglise Saint Laurent.
Arcature des chapelles latérales. Tête de mort.
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Eglise Saint Laurent.
Arcature des chapelles latérales. Coeur enflammé.
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Eglise Saint Laurent
401
Eglise Saint Laurent
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Eglise Saint Laurent.
Une coquille saint jacques, gravée sur un des piliers, atteste les passages de pélerins vers Saint-Jacques de Compostelle.
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Eglise Saint Laurent.
Un orgue mobile, datant de la fin du XIXème, provient de la maison de retraite des sœurs de Saint Vincent de Paul à Montolieu (Aude) et son décor est dû à Alain Cornil.
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Fête de la Lumière.
Clocher des Accoules.
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Fête de la Lumière.
Clocher des Accoules.
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Fête de la Lumière.
Clocher des Accoules.
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Fête de la Lumière.
La fête de la lumière a lieu au Panier. C'est une procession qui va de l'Eglise des Accoules à l'Eglise St Laurent. Les pélerins se regroupent avec des flambeaux devant l'église des Accoules.
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Fête de la Lumière.
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Statue en bois de Notre Damme de Massalia. L'Enfant est amovible
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Fête de la Lumière.
La Statue en bois de Notre Dame de Massalia est déposée à l'église des Accoules.
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Fête de la Lumière.
Le pèlerinage va des Accoules à St Laurent pour y ramener Notre Dame de Massalia.
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Fête de la Lumière.
Pavillon Daviel.
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Fête de la Lumière.
Pavillon Daviel.
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Fête de la Lumière.
Le cortège emprunte la rue Caisserie, au bas du Panier.
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Fête de la Lumière.
Bénédiction et offrande de la "navette des Accoules" rue Caisserie.
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Fête de la Lumière.
Bénédiction et offrande de la "navette des Accoules" rue Caisserie.
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Fête de la Lumière.
Un flambeau des pélerins.
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Fête de la Lumière.
Dégustation des navettes.
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Fête de la Lumière.
Arrivée de Notre Dame de Massalia à Saint Laurent.
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Fête de la Lumière.
Crèche de saint Laurent.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
La fête de la Saint-Pierre est la traditionnelle fête des pêcheurs qui se déroule à Marseille tous les 1er dimanche du mois de juillet. Les pêcheurs, les marins et tous ceux qui travaillent dans la marine honorent leur saint patron. Une importante célébration religieuse est organisée, avec la sortie en mer d’une myriade de bateaux, entre l’archipel du Frioul et la cité phocéenne.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
La statue du Saint, embarquée sur une barque de pêche emmène la procession maritime qui regroupe toute la communauté pour une prière et le jet de fleurs en mémoire de nos marins disparus.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
Bénédiction des bateaux et jet de fleurs en mémoire de nos marins disparus.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
Débarquement sur le quai du Vieux Port.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
Débarquement sur le quai du Vieux Port.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
Montée vers l'église saint Laurent.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
Montée vers l'église saint Laurent.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
Montée vers l'église saint Laurent.
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Fête des pêcheurs à la Saint Pierre.
Saint Pierre pénètre dans l'église de Saint Laurent.
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La Procession du 15 août.
C'est sans doute la plus importante du midi de la France. Elle attire entre 6 et 7 mille personnes. Elle part de la Major à 17H pour emprunter les rues étroites du quartier du Panier de Marseille, le plus ancien de la ville. Cette procession trouve ses origines parmi les nombreux immigrants Napolitains qui sont arrivés à Marseille il y a un siècle.
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La Procession du 15 août.
Des gens attachent des enveloppes à la Madone qui ne sont pas remplies de billets de 500 euros, mais d’intentions ou de photos pour recommander tel défunt, ou telle personne malade.
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La Procession du 15 août.
On passe sur la statue un mouchoir, des clefs, pour être protégé l'année durant.
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La Procession du 15 août.
La tradition remonte à 1807. Depuis cette date, les habitants du Panier organisent à l'occasion de L'Assomption une procession durant laquelle ils conduisent la statue de la Vierge Marie à travers les ruelles du quartier. La cérémonie débute en fin d'après-midi au départ de La Major et réunit jusqu'à plusieurs milliers de fidèles qui accrochent à la Madone des enveloppes cachant des photos ou requêtes pour tel ou tel proche malade ou récemment disparu, et demandent la protection de la Vierge jusqu'à l'année suivante.
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La Procession du 15 août.
Les plus fervents croyants n'hésitent pas à présenter leur bébé à la Madone.
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La Procession du 15 août.
On prend les petits bébés afin qu'il baise la Madonne, peut être en remerciement d'un voeu.
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La Procession du 15 août.
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La Procession du 15 août.
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La Procession du 15 août.
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La Procession du 15 août.
Sortie de la cathédrale.
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La Procession du 15 août.
Sortie de la cathédrale.
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La Procession du 15 août.
Début de la procession dans les rues du Panier. Rue Four du Chapitre. C'est l'une des rues les plus anciennes de la ville. Elle devait porter ce nom déjà en 1270. Ce four servait à cuire le pain des chanoines réguliers de la cathédrale.
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La Procession du 15 août.
Rue Ste Françoise.
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La Procession du 15 août.
Rue Ste Françoise.
445
La Procession du 15 août.
Rue du Petit Puits.
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La Procession du 15 août.
Devant la Vieille Charité.
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La Procession du 15 août.
Rue du Puits du Denier.
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La Procession du 15 août.
Rue du Panier.
449
La Procession du 15 août.
Rue du Panier.
450
La Procession du 15 août.
Rue de l'Evêché.
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La Procession du 15 août.
Place de Lenche.
452
La Procession du 15 août.
Arrivée à l'esplanade St Laurent, face à Notre-Dame-de-la-Garde.