Le fort Saint-Nicolas, appelé la Citadelle par les Marseillais, est un fort surplombant le port de Marseille. Il a été édifié de 1660 à 1664 par le chevalier de Clerville sur ordre de Louis XIV afin de mater l’esprit d’indépendance de la ville de Marseille.
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Fort St Nicolas.
A cet emplacement se trouvait dès le Moyen Âge une petite chapelle fondée entre 1150 et 1218, placée sous le vocable de Saint-Nicolas et dépendant de l’abbaye Saint-Victor. Au pied de cette chapelle, au niveau de l’ouverture la plus étroite entre les forts Saint-Jean et Saint-Nicolas, le sénéchal de Provence ordonna en 1322 l’aménagement d’une palissade en bois à l’extrémité de laquelle était fixée une chaîne barrant la passe du port. Cette palissade est progressivement renforcée pour former en 1381 deux véritables piles de pont. À cette date la chapelle Saint-Nicolas fit l’objet d’importants travaux avec édification d’un chemin de ronde et d’une muraille allant jusqu’à la chaîne du port.
Ce système de défense s’avéra inefficace lors de l’attaque de la ville par le roi Alphonse V d’Aragon le 20 novembre 1423. Débarqués dans une anse voisine, les Aragonais prirent à revers la chapelle et les galères catalanes purent pénétrer dans le port. La ville fut pillée pendant trois jours et les Aragonais emportèrent comme trophée la chaîne du port qui se trouve toujours exposée dans la cathédrale de Valence (Espagne).
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Fort St Nicolas.
En 1591 quatre particuliers Louis Naudet, Gabriel Delassus, Jean Beolan et Antoine Mascaron firent rebâtir la chapelle Saint-Nicolas. Antoine Mascaron était un ami de Charles de Casaulx et fut directeur de la monnaie en 1593. Afin de reprendre en main la gestion de la ville de Marseille, le duc de Mercœur, gouverneur de la Provence, fait nommer consul Lazare de Vento seigneur de la Baume par lettres patentes d’octobre 1657. Les consuls décident d’armer aux frais de la ville la galère du chevalier de Vendôme, fils du duc de Mercœur. Cette décision provoque une vive opposition à la tête de laquelle figurait Gaspard de Glandevès de Niozelles. Des émeutes agitent la ville. En octobre 1658 les partisans de Niozelles remportent les élections qui sont cassées par le roi. Louis XIV ordonne aux chefs de l’opposition de venir le trouver. L’entrevue a lieu à Paris le 6 janvier 1659, mais ensuite les incidents se multiplient. Le 19 janvier 1660 le roi Louis XIV adressait une lettre au duc de Mercœur précisant sa décision d’envoyer des troupes sur Marseille afin d’empêcher la continuation des désordres. Cette lettre était accompagnée d’une instruction qui prescrivait à Mercœur plusieurs obligations dont la construction d’une citadelle « en l’endroit de ladite ville qui sera jugé le plus propre ». Ce projet avait été suggéré à Mazarin par le duc de Mercœur et Henri de Forbin-Maynier, baron d’Oppède. Mazarin envoya à Marseille le célèbre ingénieur militaire, le chevalier Louis Nicolas de Clerville.
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Fort d'Entrecasteaux.
Clerville procéda en premier lieu au choix de l’implantation qui devait permettre à la fois la surveillance de la ville mais également sa protection contre une attaque en provenance de la mer. Clerville retint l’emplacement actuel. Cet emplacement était doté d’une fontaine d’eau douce qui figure sur les anciennes cartes.
Mazarin ne se rangea pas immédiatement à cet avis et envoya à Marseille le maréchal du Plessis-Praslin pour avoir une autre opinion. Celui-ci aurait préféré une implantation à l’endroit où se trouve actuellement le palais du Pharo, mais se rangea ensuite à l’avis du chevalier de Clerville.
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Fort d'Entrecasteaux
Clerville qui était allé à Aix-en-Provence pour faire approuver ses plans par Mazarin, fit commencer las travaux immédiatement en utilisant les matériaux de démolition de la Porte Royale et des murailles avoisinantes constituant les anciens remparts de Marseille. Les pierres du cap Couronne furent également utilisées. Le duc de Mercœur posa la première pierre le 11 février 1660. La construction fut réalisée en un temps record pour un édifice de cette importance. En effet le haut fort était terminé par le maître maçon Jean Étienne Chieuse en 1663. Les travaux du bas fort, partie située au nord du boulevard Charles Livon et comprise entre le quai Marcel Pagnol et le port de la Réserve, furent interrompus à la mort de Mazarin le 9 mars 1661 ; Le Guette décida de les reprendre le 16 juillet 1663 en passant un marché avec sept maçons dont Pierre Puget, cousin germain et homonyme de Pierre Puget sculpteur. Les travaux furent achevés en 1664.
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Fort d'Entrecasteaux.
Vauban qui n’a pas été mêlé à la construction de la citadelle, visita le fort et écrivit le 16 mars 1679 une lettre très critique : « J’ai visité la citadelle de Marseille qui est un assemblage fort magnifique de tout ce qui a jamais passé d’extravagant et de ridicule par la tête des plus méchants ingénieurs du monde ». En 1701 Vauban propose des modifications qui ne seront pas réalisées.
Le gouverneur de cette nouvelle citadelle fut contrarié de la proximité du Lazaret qui s’étendait du pied du nouveau fort jusqu’à l’anse des Vieilles Infirmeries, actuellement plage des Catalans. Il demanda le transfert du Lazaret qui fut implanté par la ville près de Saint-Martin d’Arenc. Après la peste de 1720 quelques pêcheurs catalans vinrent exercer dans les environs et s’installèrent dans les locaux désaffectés de l’infirmerie d’où le nom donné au quartier.
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Fort Entrecasteaux
Remparts de la caserne du Haut Fort. Suite à la révolution française, les habitants de la ville commencent la démolition du Fort St Nicolas. Napoléon Bonaparte, demande au parlement l'arrêt de démolition de la citadelle.
La reconstruction des remparts débute en 1834 : les remparts sont remontés en moellons de pierre grisâtres qui tranchent avec les teintes rosées de celles de la Couronne utilisées à l'origine. Aux têtes de remparts, des embrasures de tir sont réalisées en pierre de Sausset et en brique de terre cuite.
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Fort Ganteaume.
Afin de relier le Vieux Port au palais du Pharo qui n’était accessible que par le boulevard de la Corderie et l’avenue de la Résidence actuellement avenue Pasteur, la commission municipale vota le 18 avril 1860 l’ouverture d’une voie, le boulevard de l'Empereur en 1864 qui devient boulevard Victor Hugo en 1870, boulevard du Pharo en 1871, puis boulevard Charles Livon en 1922. Il divise Saint-Nicolas en deux parties, chacune étant alors baptisée du nom d'un vice-amiral : "Entrecasteaux" pour le haut et "Ganteaume" pour le bas.
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Fort Ganteaume.
Le bas fort a pris le nom de fort Ganteaume en hommage à un ancien vice-amiral, préfet maritime, Ganteaume. Il abrite le cercle militaire avec le mess des officiers. L'ensemble, avec ces dispositions constructives du XVIIème siècle, avec des aplats de parapets et des bouches à feu encore en pierre de la Couronne possède une grande valeur patrimoniale, historique et architecturale. Depuis 1991, c'est le Mess de garnison qui l'occupe.
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Fort Ganteaume
Honoré Joseph Antoine Ganteaume, 13 avril 1755 à La Ciotat - 28 juillet 1818 à Aubagne, marin français, vice-amiral. Il est le chef d'état-major lors de la bataille d'Aboukir.
Il part alors à Brest, où il prend la tête d'une escadre de secours devant porter des renforts à l'armée d'Égypte. Il appareille en janvier 1801, mais ses hésitations lui valent de rester enfermé deux mois dans Toulon, et d'arriver près des côtes égyptiennes sans oser faire débarquer ses troupes. En cela, il a une lourde part de responsabilité dans la perte de l'Égypte.
Conservant cependant la confiance du Premier consul, Ganteaume poursuit une belle carrière, puisqu'il commande l'escadre de Méditerranée de 1800 à 1802. En février 1802, il emmène les troupes de l'expédition de Saint-Domingue. La même année, il est nommé préfet maritime de Toulon en remplacement de Vence, et enfin vice-amiral le 30 mai 1804.
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Fort Ganteaume
Il commande les flottes de l'Atlantique jusqu'en 1806 (il n'ose pas sortir de Brest pour rejoindre Villeneuve avant Trafalgar) et celles de la Méditerranée de 1808 à 1810. Dans le cadre de cette dernière fonction il commande l'expédition de ravitaillement de Corfou en février 1808, avec notamment Cosmao, Lhermite et Dubourdieu sous ses ordres, mais est incapable d'apporter la moindre aide à l'armée d'Espagne. Il est nommé en 1808 inspecteur général des côtes de l'Océan.
Napoléon en a porté un jugement sévère quand il a dit à Sainte-Hélène : « Ganteaume n'était qu'un matelot, nul et sans moyens. »
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Fort Ganteaume
Dès 1696, la citadelle sert de séjour aux soldats condamnés à de courtes peines par les tribunaux militaires. A cette époque, cinq protestants accusés d'espionnage pour le compte de Guillaume d'Orange sont enfermés au fort St-Nicolas. Puis en 1823, à la suite de l'expédition d'Espagne, la citadelle reçoit 569 prisonniers. En 1939, elle accueille deux hôtes célèbres : Jean Giono, qui évoque dans son roman " Noé " la cellule où il fût reclus vingt jours sans lumière et Habib Bourguiba, futur président de la République tunisienne.
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Fort Ganteaume.
De la grande cour carrée, des escaliers permettent d'accéder aux plateformes où étaient assurer la défense et l'interdiction de l'accès au port.
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Fort Ganteaume
Sebastiano Serlio (Bologne 6 septembre 1475 - Fontainebleau 1554) est architecte et un sculpteur italien de la Renaissance. La serlienne (ou fenêtre palladienne) est un groupement de trois baies (ou triplet) dont la baie centrale est couverte d'un arc en plein cintre, les deux baies latérales sont couvertes d'un linteau (ou d'un arc en plate-bande) à hauteur de l'imposte.
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Fort Ganteaume.
Vue du Vieux-Port.
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Fort Ganteaume.
Vue du port du Pharo.
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Fort Ganteaume
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Fort Ganteaume.
Le boulevard Charles-Livon qui sépare le Fort Ganteaume des escaliers qui permettent d'accéder au fort d'Entrecasteaux fut réalisé en 1864. La citadelle se trouva ainsi coupée en deux parties indépendantes.
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Fort Entrecasteaux
Les murs de soutènement de la tranchée réalisée pour le passage de cette nouvelle voie sont en calcaire urgonien blanc tranchant nettement des pierres roses du cap Couronne utilisées pour la construction du fort.
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Fort d'Entrecasteaux.
Façade Charles Livon avec le moulin
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Fort d'Entrecasteaux.
Le vignoble marseillais.
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Fort d'Entrecasteaux.
Façade côté Corderie : de gauche à droite, bastion de Beaufort, bastion de Mercoeur, avec, derrière le bastion de Vendosme, et enfin la pointe de la dermi-lune de Saint Victor.
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Fort d'Entrecasteaux.
Bastion de Mercoeur, avec, derrière le bastion de Vendosme, la demi-lune de Saint Victor, l'échauguette du bastion du Roy et le bastion de Clerville.
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Fort Entrecasteaux
Les escaliers qui permettent d'accéder au fort d'Entrecasteaux.
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Fort Entrecasteaux
Le rempart le long des escaliers.
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Fort Entrecasteaux
Entrée principale du fort.
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Fort Entrecasteaux
Entrée principale du fort.
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Fort Entrecasteaux
Antoine Raymond Joseph de Bruni d'Entrecasteaux, dit le « chevalier d'Entrecasteaux », né le 8 novembre 1737 au château d'Entrecasteaux et baptisé à Aix-en-Provence2 et mort le 20 juillet 1793 dans l'océan Pacifique, est un navigateur français qui partit en 1791, à la tête de deux frégates, La Recherche et L'Espérance, à la recherche de l'expédition de La Pérouse, explorant tour à tour les rivages de Nouvelle-Zélande, la Nouvelle-Calédonie, les îles Tonga et les côtes australiennes.
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Fort Entrecasteaux
Au fond, le haut-fort est formé de deux enceintes imbriquées dont le plan quadrangulaire s'accroche à l'escarpement. La qualité des maçonneries, grand appareil de calcaire rose de la Couronne, et de leur mises en oeuvre (chaînages d'angle à bossages et cordon créant des arabesques de contre-courbes dans les pentes) concourent à créer une impression de puissance sereine, caractéristique du style Chevalier de Clerville.
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Fort Entrecasteaux.
Fort Entrecasteaux. Au premier plan, la demi-lune de Villeroy et le bastion de l'Isle. Derrière, le bastion du Roy avec son échauguette, le bastion Mazarin et le rempart du Haut fort.
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Fort Entrecasteaux.
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Fort Entrecasteaux
Entrée latérale, vue de l'intérieur.
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Fort Entrecasteaux
Entrée latérale vue de l'extérieur. Elle permettait d'accéder à la première poudrière qui était située hors des remparts.
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Fort Entrecasteaux
Entrée latérale vue de l'extérieur.
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Fort Entrecasteaux
Le monument aux morts. Derrière le Sofitel, le palais du Pharo.
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Fort Entrecasteaux
L’ancien moulin à vent est devenu depuis 1954 un monument à la mémoire des morts de guerre.
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Fort Entrecasteaux
L’ancien moulin à vent est devenu depuis 1954 un monument à la mémoire des morts de guerre.
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Fort Entrecasteaux
L’ancien moulin à vent est devenu depuis 1954 un monument à la mémoire des morts de guerre.
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Fort Entrecasteaux
Intérieur du moulin.
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Fort Entrecasteaux
Inscription en souvenir de la libération de Marseille le 26 août 1944.
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Fort Entrecasteaux
Vue du moulin. De gauche à droite : le MuCEM, la tour du Fanal, le fort Saint Jean avec la tour du roi René, la consigne sanitaire, le clocher des Accoules. Au centre, la tour CMA-CGM et celle de la Marseillaise, les coupoles de la Major, le clocher de Saint Laurent et les immeubles Pouillon. En bas, le toit de la Casa Delauze, l'ancienne demeure d'Henri-Germain Delauze, président fondateur de la Comex, et de son épouse Andrée Pham Van, qu’il surnommait Philbée. C'est maintenant un lieu géré par une entreprise de l'évènementiel.
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Fort Entrecasteaux
Vue du moulin. La Tour Pasteur de 20 étages, 67 m de haut, architectes Yvon Bentz et André Devin.
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Fort Entrecasteaux
Fouilles sur l'esplanade du moulin.
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Fort Entrecasteaux
La place du moulin.
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Fort Entrecasteaux
Bastion de l'Isle. Au fond, demi-lune de Villeroy où se trouve la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Demi-lune de l'Isle. À la suite de divers incidents, la foule commença le 18 mai 1790 la destruction de la partie Est de ce monument symbole du despotisme, mais l’Assemblée nationale soucieuse de conserver un ouvrage utile à la défense de la ville, ordonna d’arrêter la démolition de la forteresse par décret du 28 mai 1790. En 1833, le préfet Thomas fait rétablir les parties démolies mais cette restauration a été faite avec des pierres grisâtres de qualité médiocre tranchant nettement avec les parties non détruites faites en pierres roses du cap Couronne.
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Fort Entrecasteaux
Bastion de l'Isle en 2012.
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Fort Entrecasteaux.
Chaînage d'angle du bastion de l'Isle en 2021. Les pierres qui ont remplacé celles de la Couronne, dont la carrière est fermée, sont des pierres Roma d'aspect similaire.
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Fort Entrecasteaux.
Bastion de l'Isle en 2021.
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Fort Entrecasteaux.
Bastion de Singhen.
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Fort Entrecasteaux.
En bas, l'ancienne poudrière qui était hors les remparts.
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Fort Entrecasteaux.
Entrée de la courtine nord du fort.
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Fort Entrecasteaux.
Entrée de la courtine nord du fort.
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Fort Entrecasteaux.
Machinerie du pont-levis.
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Fort Entrecasteaux.
Machinerie du pont-levis.
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Fort Entrecasteaux
Machinerie du pont-levis.
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Fort Entrecasteaux.
Entrée de la demi-lune Dauphine.
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Fort Entrecasteaux.
Entrée de la demi-lune Dauphine.
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Fort Entrecasteaux.
Entrée de la demi-lune Dauphine.
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Fort Entrecasteaux
Entrée de la demi-lune Dauphine.
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Fort Entrecasteaux
La demi-lune Dauphine.
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Fort Entrecasteaux
La demi-lune Dauphine.
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Fort Entrecasteaux
La demi-lune Dauphine. Entrée du Haut Fort. Après restauration (2018).
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Fort Entrecasteaux
Demi-lune Dauphine. Entrée du Haut Fort. Pendant la restauration confiée à l'association ACTA VISTA (2012).
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Fort Entrecasteaux.
En 2003, l’armée confie les travaux d’entretien et de restauration du fort au chantier d’insertion
Acta Vista dont l’encadrement effectué par des compagnons garantit la bonne transmission des
savoir-faire traditionnels. Acta Vista, association spécialisée dans la formation et l'insertion professionnelle, a créé le pôle de formation aux métiers du patrimoine et à l’éco-construction. Les lettres monumentales F-I-E-R sont exposées depuis peu au cœur du Fort Saint-Nicolas à Marseille. L’œuvre a été réalisée par 9 salariés en formation au sein des ateliers pédagogiques de métallerie et de coffrage d’ACTA VISTA. Les matières travaillées dans nos ateliers, bois, pierre et métal, y sont toutes représentées. Cette sculpture rappelle tout ce dont les salariés accompagnés peuvent être fiers : de transmettre, d'apprendre, d'accompagner ; mais aussi être fiers de restaurer pour l’avenir, des savoir-faire acquis et de travailler ensemble.
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Fort Entrecasteaux
La demi-lune Dauphine. Après restauration (2018). A droite, bastion de la Paix.
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Fort Entrecasteaux
Demi-lune Dauphine. Avant restauration (2012). A droite, bastion de la Paix.
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Fort Entrecasteaux
A droite, bastion de la Paix.
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Fort Entrecasteaux
La demi-lune Dauphine. A droite, bastion de la Paix.
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Fort Entrecasteaux
La demi-lune Dauphine. Au centre, le bâtiment M.
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Fort Entrecasteaux
Demi-lune Dauphine. A droite, le bâtiment M.
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Fort Entrecasteaux
Salle donnant sur la demi-lune Dauphine.
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Fort Entrecasteaux.
Salle donnant sur la demi-lune Dauphine. Expo d'Acta Vista.
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Fort Entrecasteaux.
Salle donnant sur la demi-lune Dauphine. Mohammed Rochedi.
Ce travail représente pour Moi la liberté.
La liberté par rapport au temps (sablier) qui ne cesse de s'écouler, la liberté par rapport à la société qui n’est qu'un grand jeu d'échecs (damiers). Mais aussi la liberté par rapport aux différents problèmes de la vie plus ou moins gros (d'où la taille des pièces sur le cœur). La montgolfière est le symbole de cette liberté car elle s'envole loin de tout ça avec à son bord uniquement du bonheur et trois amis qui symbolisent pour moi le bonheur de mon enfance et cette liberté que je retrouvais à chaque moment de partage et d'amitié, loin des tourments de la vie
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Fort Entrecasteaux.
Salle donnant sur la demi-lune Dauphine. Jiban Mondal.
C’est une petite graine qui voulait devenir un grand arbre.
Dans la rue cette petite graine cour un grand danger, si fragile elle ne survivrait pas à une pluie diluvienne, à un soleil trop brûlant ou à une grande sécheresse.
Doucement et sans relâche la petite graine grandit, et voila qu’un jour elle est un grand arbre offrant abri, nourriture et oxygène à son entourage.
Fort et généreux il va ainsi pouvoir protéger et aider le monde.
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Fort Entrecasteaux.
De gauche à droite : le bastion Mazarin, le rempart du Haut-Fort, le bastion de la paix.
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Fort Entrecasteaux.
La demi-lune Dauphine.
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Fort Entrecasteaux.
La demi-lune Dauphine. Au fond, le bastion Mazarin.
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Fort Entrecasteaux.
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Fort Entrecasteaux
La demi-lune Dauphine. Après les escaliers, les remparts et la porte de la caserne, à droite, bastion de la Paix.
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Fort Entrecasteaux
La demi-lune Dauphine. Porte de la caserne. Lors de la reconstruction des remparts en 1834, ils sont remontés en moellons de pierre grisâtres qui tranchent avec les teintes rosées de celles de la Couronne utilisées à l'origine. Aux têtes de remparts, des embrasures de tir sont réalisées en pierre de Sausset et en brique de terre cuite.
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Fort Entrecasteaux
Bastion de l'Isle, à droite, bastion Mazarin. A gauche, la dgue avec le phare Sainte Marie et derrière le fort Saint Jean, le Dixmude (L9015), porte-hélicoptères amphibie, navire filleul de la ville de Marseille.
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Fort Entrecasteaux
Bastion de Beringhen.
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Fort Entrecasteaux
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Fort Entrecasteaux.
Entrée du haut-fort.
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Fort Entrecasteaux.
La caserne du haut-fort. A gauche, les dortoirs, à droite les bâtiments de l'administration.
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Fort Entrecasteaux.
La caserne du haut-fort. Les dortoirs.
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Fort Entrecasteaux.
La caserne du haut-fort.
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Fort Entrecasteaux.
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Fort Entrecasteaux.
La caserne du haut-fort.
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Fort Entrecasteaux.
La caserne du haut-fort.
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Fort Entrecasteaux.
Le puits.
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Fort Entrecasteaux.
Une "chambre".
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Fort Entrecasteaux.
Une "chambre".
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Fort Entrecasteaux.
Une "chambre".
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Fort Entrecasteaux.
Une "chambre".
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Fort Entrecasteaux.
Couloir vers le bastion de Vendosme.
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Fort Entrecasteaux.
Couloir vers le bastion de Vendosme.
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Fort Entrecasteaux.
Couloir vers le bastion du Roy.
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Fort Entrecasteaux
Entrée de la caserne du haut fort entre le bastion Mazarin et le bastion du Roy.
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Fort Entrecasteaux
Chainage d'angle du bastion Mazarin après restauration.
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Fort Entrecasteaux
Bastion Mazarin.
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Fort Entrecasteaux.
Bastion Mazarin. Sur les murs, les traces des bâtiments qui ont servi de prisons. Parmi les prisonniers célèbres on peut citer : l’écrivain Jean Giono qui avait été arrêté à Digne le 16 septembre 1939 à cause de ses publications pacifistes antérieures ; Jean Zay (député socialiste, 1940, suite à sa condamnation pour « désertion » par le régime de Vichy) ; Hédi Nouira et Habib Bourguiba (hommes politiques tunisiens, 1940-1942).
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Fort Entrecasteaux.
Bastion du Roy, 2021, et au fond la pointe du bastion de Clerville.
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Fort Entrecasteaux
Bastion du Roy, 2012.
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Fort Entrecasteaux.
Vue du bastion de Clerville.
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Fort Entrecasteaux.
Vue du bastion de Clerville.
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Fort Entrecasteaux
Bastion du Roy, 2012. A gauche, la demi-lune Saint Victor, puis le bastion de Vendosme.
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Fort Entrecasteaux.
Echauguette moderne du bastion du Roy, 2021.
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Fort Entrecasteaux
Echauguette moderne du bastion du Roy.
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Fort Entrecasteaux
Demi-lune Saint Victor, derrière, le bastion de Vendosme.
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Fort Entrecasteaux
Au fond, le bastion de Vendosme, 2009.
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Fort Entrecasteaux
Vue de Saint Victor et de Notre-Dame de la Garde.
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Fort Entrecasteaux
Vue de Saint Victor.
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Fort Entrecasteaux
Descente vers la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Descente vers la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Descente vers la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Autour de la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
La poudrière du XIXe.
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Fort Entrecasteaux
La poudrière.
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Fort Entrecasteaux
La poudrière. Les évents de la salle principale et ceux du sous-sol permettent l'aération. Au-dessus de la fenêtre, l'arc correspond à la voûte.
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Fort Entrecasteaux
La poudrière est enclavée dans la demi-lune de Villeroy.
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Fort Entrecasteaux
Autour de la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Autour de la poudrière, avant restauration, 2009.
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Autour de la poudrière, après restauration, 2018.
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Fort Entrecasteaux
Les évents de la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Autour de la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Entrée de la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Entrée de la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
La poudrière.
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Fort Entrecasteaux
Intérieur de la poudrière, avant restauration.
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Fort Entrecasteaux
Intérieur de la poudrière, après restauration.
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Fort Entrecasteaux
La poudrière.
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Fort Entrecasteaux
La poudrière.
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Fort Entrecasteaux
La voûte de la poudrière.
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Fort Entrecasteaux
La poudrière. Trou donnant dans le sous-sol.
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Fort Entrecasteaux
Porte de la demi-lune de Villeroy.
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Fort Entrecasteaux
Porte de la demi-lune de Villeroy.
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Fort Entrecasteaux
Le Vieux Port. Le damier est une oeuvre de Le damier est une oeuvre de Judith Bartolani et Claude Caillol, réalisée en 1989. Elle représentait le carrelage d’un intérieur domestique sur lequel étaient disposés des meubles gigantesques, installations éphémères des deux artistes.
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Fort Entrecasteaux.
Le damier est maintenant recouvert par une autre oeuvre, Target, de Jean-Baptiste Sauvage, invité par l'association Planète Emergences pour intervenir sur des installations artistiques dégradées dans l’espace public dans le but de leur donner une nouvelle vie.
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Fort Entrecasteaux.
L'oeuvre, Target, de Jean-Baptiste Sauvage.
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Fort Entrecasteaux
Le Vieux Port. De gauche à droite : le toit de la gare, les tours Laboudette, les deux flèches des Réformés, le dôme des Bernardines.
