Le toit terrasse. La tour des ascenseurs et le Mdulor vivant.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse rappelle le pont d'un navire avec sa cheminée.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse rappelle le pont d'un navire avec sa cheminée.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse avec sa piste de course.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. Le jardin des habitants, avec l'ancienne pouponnerie.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. Le jardin des habitants, avec l'ancienne pouponnerie.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. Le bassin de la cour de récréation de l'école maternelle est réservé à l'usage exclusif des enfants.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. Le bassin de la cour de récréation de l'école maternelle est réservé à l'usage exclusif des enfants.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. Le bassin de la cour de récréation de l'école maternelle est réservé à l'usage exclusif des enfants.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. A l'est, les collines.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. A l'ouest, la Méditerranée.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. Vue coté est, avec la bastide la Magalone.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. La cheminée et le Théâtre.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. L'ancien gymnase qui est maintenant le centre d'art MaMo.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. L'ancien gymnase qui est maintenant le centre d'art MaMo.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. L'ancien gymnase qui est maintenant le centre d'art MaMo.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. L'ancien gymnase qui est maintenant le centre d'art MaMo.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. L'ancien gymnase qui est maintenant le centre d'art MaMo.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. L'ancien gymnase qui est maintenant le centre d'art MaMo.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. L'ancien gymnase qui est maintenant le centre d'art MaMo.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. L'ancien gymnase qui est maintenant le centre d'art MaMo.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. Le théâtre.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse. Le théâtre.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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La Cité Radieuse.
Le toit terrasse.
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L'unité d'habitation le Brasilia créée par l'architecte Fernand Boukobza fut achevé en 1967, il a le label Patrimoine du XXe siècle. Avec plus de vingt étages, l’immeuble ouvre sa courbe concave plein nord afin d’obtenir le plus grand développé de façade au sud. Cette orientation s’oppose à celle de la Cité Radieuse liée à son axe héliothermique, très peu adapté aux conditions climatiques de la région (est et ouest en soleil bas). Néanmoins l’architecte s’est volontairement inspiré des idées de Le Corbusier sur plusieurs points. Les pilotis abritent l’unique entrée en rez-de-chaussée d’où part une batterie d’ascenseurs desservant les appartements par onze coursives intérieures. Les appartements eux-mêmes sont en duplex traversant, orientés nord-sud. Enfin l’élément le plus significatif du Brasilia est son escalier de secours. S’il emprunte encore à la Cité Radieuse, il est l’expression d’une plus grande liberté plastique transformant un élément fonctionnel en véritable objet sculptural.
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La Magalone.
La Magalone vue du Corbusier.
A l'initiative de la famille Sabran, la construction de la bastide de la Magalone débute à la fin du XVIIe siècle.
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La Magalone.
En 1713, les frères de Magalon, négociants armateurs, acquièrent le domaine et donnent leur nom à la propriété. Cette magnifique bastide témoigne du goût des négociants marseillais pour ces luxueuses "maisons de campagne".
Portail avec le monogramme des Magalon. Derrière les grilles, des bosquets marquent l'entrée très naturelle du jardin.
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La Magalone.
Pierre Puget a fait construire une villa à l'italienne à Fongate. Les plans de la Magalone s'en inspire. Dans les documents, il est fait référence à Puget, mais ça peut être le frère Gaspard de Pierre Puget. On a une architecture en forme de H, mettant en relief le dessin de la cour. Les travaux d'édification du bâtiment vont connaître de nombreuses interruptions et ne seront toujours pas terminés en 1721, au moment où la grande peste touche Marseille et sa région.
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La Magalone.
Après les Magalon, Guillaume de Paul en devient propriétaire dans la deuxième partie du XVIIIe. C'est un grand amateur d'art qui a sauvé ses tableaux en les camouflant dans la grande salle transformée en grenier à foin. Sous la révolution, la propriété devient Bien National avant d'être rachetée, en 1850, par la famille Buret. Dès lors, la bastide ne changera plus de main jusqu'en 1987, passant d'un membre de la famille à un autre par les femmes, ce qui explique les changements de nom. La propriété renaît. Marie Buret dite Marie de Sormiou, passe sa jeunesse dans cet environnement d'une grande beauté architecturale, au parc alors immense. En 1885, elle épouse un aristocrate d'origine provençale, Alfred de Ferry. Tous deux partagent une même passion pour les arts et les lettres ; ils se consacrent à la restauration et à l'ameublement de la Magalone. Leur bastide devient le cénacle des beaux esprits du temps : c'est là que se côtoient Mistral, Mounet-Sully ou Anna de Noailles.
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La Magalone.
En 1890, le domaine, s'étend sur une douzaine d'hectares et englobe les terrains sur lesquels l'architecte Le Corbusier réalisera dès 1947, sa Cité Radieuse. Madame de Ferry hérite de la propriété en 1901 et entreprend d'importants travaux de restauration, ainsi que le réaménagement du jardin, à partir de plans du paysagiste Edouard André. Ainsi, renaît un jardin d'inspiration classique aux parterres décoratifs raffinés, utilisant, comme dans les vieux jardins de Provence, des pierres de couleurs pour dessiner les allées.
Edouard André, architecte des jardins et botaniste, a fait partie de l'équipe d'Adolphe Alphand, qui a travaillé avec le baron Haussmann, en particulier pour le parc des Buttes de Chaumont.
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La Magalone.
De nombreuses amputations de terrains sont survenues au fil des siècles, en particulier en 1889 lors du percement du boulevard Michelet sur le tracé d'un ruisseau, mais la bastide de la Magalone est restée préservée de la ruine lorsque, à la fin des années 1980, elle est rachetée par la ville de Marseille. Depuis cette date, des concerts y sont régulièrement organisés qui permettent de faire revivre, à la fraîcheur des platanes, l'atmosphère de ce lieu magique. La bastide accueille aujourd'hui la Cité de la Musique.
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La Magalone.
Le jardin très géométrique met en valeur la bastide. Tout ce parterre était occupé par une grande pièce d'eau, comme au château de Sauvan et à château Ricard. Au début du XXe siècle, Mme de Ferry y installe un boulingrin bordé de buis. Le rhabillage de la façade date du XXe siècle.
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La Magalone.
Deux parterres de gazon sont agrémentés par cinq bassins alimentés en eau de source. Bassins, statues et vases sont des œuvres remarquables, attribuées à de grands sculpteurs tels que Pierre Puget et Christophe Veyrier, qui s'associent à la végétation pour mettre en valeur volumes, perspectives et profondeurs.
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La Magalone.
Sur le premier parterre, quatre des cinq statues sur socles, sont positionnées deux par deux sur les côtés ; elles symbolisent le printemps, l'été, l'automne et l'hiver. Ces statues sont comme un symbole réel de ce que représente une bastide comme propriété productive. Ses propriétaires, à Marseille, étaient de riches négociants, tandis qu'à Aix les propriétaires sont issus de la noblesse de robe, ce qui explique la différence des façades.
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La Magalone.
L'automne.
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La Magalone.
L'hiver.
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La Magalone.
Le printemps.
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La Magalone.
L'été.
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La Magalone.
Quatre vases, provenant du château de Grignan, soulignent les extrémités de l'ensemble.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
C'est dans les quartiers Nord qu'il y a les plus belles bastides car il y avait de l'eau. Ici il y avait plusieurs puits, à l'arrière un grand réservoir alimentait un autre sous la salle à manger et les deux grands bassins qui permettaient des jeux d'eau.
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La Magalone.
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La Magalone.
L'axe central du jardin est marqué par deux fontaines décoratives qui sont appelées « fontaines des fleuves », en référence au Rhône et à la Saône. Elles ont parfois été attribuées à l’école de Puget. Les deux pièces d'eau rectangulaires, alimentées par une source sur laquelle le bâtiment a été construit, abritaient des élevages de carpes et de truites destinées à la consommation des propriétaires.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
Son architecture s'inspire des "villas italiennes" : rehaussé par un perron, le corps central, surmonté d'un fronton, est flanqué de deux ailes en avancée plus basses d'un étage, couronnées de balustres et de pots à feu. Le grand socle abrite différentes pièces d'entrepôt. Deux terrasses prolongent la bastide vers le jardin, et assurent la transition entre la partie construite et le jardin. De la première, située entre les avant-corps de la bastide, et délimitée par une balustrade de pierre, on descend par un escalier sur un premier terre-plein.
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La Magalone.
Le fronton et le petit balcon avec une rampe en fer forgé.
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La Magalone.
Les balustres et les pots à feu.
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La Magalone.
De part et d’autre du parterre central, deux alignements de tulipiers renforcent la composition géométrique du jardin.
Des bosquets ceinturent la propriété, formant écran avec un environnement très urbanisé. Le contraste est frappant avec la modernité de la Cité Radieuse édifiée de l'autre côté du boulevard Michelet par Le Corbusier.
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La Magalone.
A demi cachée par la verdure, la chapelle, coiffée d'une coupole surmontée d'un lanternon, est une délicieuse construction que sa forme circulaire apparente à un kiosque ou à un temple de jardin. Par la forme de son toit, elle fait référence à celle de Puget. Marie de Sormiou y est enterrée.
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La Magalone.
L'arrière de la bâtisse.
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La Magalone.
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La Magalone.
La cour où se trouvait les dépendances.
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La Magalone.
La cour où se trouvait les dépendances.
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La Magalone.
La cour où se trouvait les dépendances.
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La Magalone.
La cour où se trouvait les dépendances.
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La Magalone.
Le salon principal, un hall de 150 m2 au rez-de-chaussée, avec ses deux arcs en anse de panier, met en valeur deux escaliers et les rampes en fer forgé du XVIIIe.
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La Magalone.
Rampe en fer forgé du XVIIIe.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
L'hiver.
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La Magalone.
Le printemps.
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La Magalone.
L'été.
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La Magalone.
L'automne.
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La Magalone.
Le printemps.
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La Magalone.
L'été.
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La Magalone.
L'automne.
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La Magalone.
L'hiver.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
La salle à manger.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
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La Magalone.
Des concerts y sont régulièrement organisés qui permettent de faire revivre, à la fraîcheur des platanes, l'atmosphère de ce lieu magique.