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En 1953, au 75, s'installa Roger Frojo. En 1973, Richard partit pour s'installer à la rue Saint-Ferréol. En 1897, Félix Tounachon, dit Nadar, s'installe à Marseille, au 21 rue Noailles, qui devint le 77 La Canebière : c'est le petit immeuble. En 1905, il cède son affaire à Frédérric Boissonnas et son assistant Fernand Detaille. En 1913, Detaille devient le seul propriétaire.
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Ouverte en 1856, la Brasserie Allemande, prit le nom de Brasserie Noailles en 1865, puis celui de Grand Café Noailles en 1885. En 1982, il est remplacé par un Mc Donald's.
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Du 50 au 54 : emplacement de l'ancien hôtel de Félix du Muy. Suite au terrible incebndie du Bazar de la Charité (Paris, 1897), on assigne aux projections des lieuxoù la sécutité était déja assurée, les théâtres et les music-halls, puis des lieux spécialement destinés au Septième Art. En 1899, au Nouveau Théâtre, 14 rue Noailles (52 La Canebière), fut projeté le Cendrillon de Georges Méliès. En 1906, il fut remplacé par le premier cinéma, la Brasserie de Bohême.
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Au 50, Piéry, horlogerie et bijouterie, qui est dans le quartier depuis 1930. C'est l'ancien Hôet de Groux.
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Le bar Noailles est ouvert, en 1928, au rez-de-chaussée du 52. Au 54, de 1885 à 1935, se trouvait la maison Cassoute, fruits secs, remplacée par Etam jusqu'en 1948.
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un bow-windows.
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La Canebière
56 à 60 la Canebière. Emplacement de l'hôtel de Mestre, construit vers 1750 et détruit pour l'élargissemnt de la rue Noailles. Les architectes de ces bâtiments sont Joseph Ruinat (56 et 58) et Henry Condamin (60). Au 58, à la place d'Eram, en 1937, se trouvait le chausseur Jimmy jusqu'en 1993.
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56 à 60 la Canebière. Emplacement de l'hôtel de Mestre, construit vers 1750 et détruit pour l'élargissemnt de la rue Noailles. Les architectes de ces bâtiments sont Joseph Ruinat (56 et 58) et Henry Condamin (60).
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Le rez-de-chaussée du 58 fut occupé, de 1867 à 1936 par La Grande Maison d'habillement pour hommes qui s'agrandit au 60, où, en 1960, s'établit Aux 100 000 chemises.
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60 la Canebière.
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60 la Canebière.
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Façade rue Papère.
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Façade rue Papère.
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Le Grand Hôtel de Noailles, construit sur l'emplacement de l'ancien hôtel de Jean-Baptiste Chabert, est terminé en 1865. Il est l'oeuvre de l'architecte Bérengier, pour le compte du négociant Victor Régis. La Société Générale ouvre ses locaux au rez-de chaussée de l'hôtel en 1866. En 1965, la banque rachète l'hôtel en entier, qui continue sependant à fonstionner jusqu'en 1979.
Sa façade présente des frontons triangulaires dans les ailes et curvilignes dans la partie centrale, en avant-corps, surmontée d'un fronton triangulaire. L'édifice comporte quatre étages sur rez-de-chaussée et entresol.
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Son portail est encadré par quatre colonnes cannelées.
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L'ancienne entrée de l'hôtel.
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Le Grand Hôtel est construit, pour le fabricant de corail Barbaroux, sur une partie de l'hôtel particulier que Jean-Baptiste Chabert avait fait construire et qu'il louait au lieutenant des galères Jacques de Noailles. Il ouvre en 1863. Fermé dans les années 1990, il est transformé en commissariat central.
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Le Grand Hôtel.
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Le Grand hôtel édifié au début des années 1860 par les frères Jauffret.
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Le Grand hôtel. Son dessus-de-porte est un décor sculpté par le grand prix de Rome parisien Auguste Ottin (1811-1890). Ses allégories du Commerce et de la Navigation, sous les traits d’Hermès et d’Amphitrite, rappellent la proximité du port et du palais de la Bourse.
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Hors les murs de la ville, les plans d'agrandissement de la ville prévoient une promenade. Celle-ci est créée en 1733, elle longe le couvent des religieuses de la pénitence du tiers ordre de Saint-François ou Lyonnaises qui donne son premier nom à la promenade. Avec l'aide de Gabriel Sénac de Meilhan, intendant de Provence, les allées sont terminées en 1775. Elles prennent alors son nom en remerciement. Ensuite, elles furent élargies et, en 1927, elles furent alignées sur la rue de Noailles. Le conseil municipal proposa alors de nommer l'ensemble des trois rues "la Canebière".
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Dans cet immeuble, en 1910, un liquoriste appela son commerce Splendid. Il fut reconstruit en 1950. En 1935, s'ouvrit à côte le cinéma le Cinéac.
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Les allées de Meilhan et le cours des Capucines (allées Gambette) furent reliées en 1793 par le boulevard Dugommier. Dans cet immeuble édifié en 1864, s'installa le magasin Félix Potin en 1902, où il fut remplacé par Dewachter. En 1954, une agence de la BNCI vint prendre sa place, remplacée, en 1967, par la BNP-Paribas.
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La Maison des Associations. La décoration de l’Immobilière des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse (aujourd’hui Cité des Associations) est due à Louis Botinelly, pour les douze tableautins de l’entrée qui illustrent les métiers du bâtiment, à Chateliet, pour les céramiques et mosaïques du grand hall d’entrée et à Antoine Sartorio, pour le bas-relief de la salle de conférence
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109 la Canebière. Marie Deluil-Martiny, née à Marseille le 28 mai 1841, est la fille de Paul Deluil-Martiny, avocat au barreau de Marseille, et d'Anaïs-Marie-Françoise née de Solliers, qui était par sa mère l'arrière-petite-nièce d'Anne-Madeleine Remuzat. Elle fonda l'Association de la Garde d'Honneur du Sacré-Cœur, aujourd'hui appelée Association de la Présence au Christ qui a pour but de trouver des personnes priant devant le Saint Sacrement nuit et jour, à tour de rôle. À cause des troubles politiques en France, elle fonda une nouvelle congrégation en 1873 à Berchem en Belgique appelée la Société des Filles du Sacré-Cœur. Elle mourut assassinée par son jardinier anarchiste le 27 février 1884 dans le jardin du monastère de la Servianne, qu'elle avait fondé près de Marseille. Elle fut béatifiée par Jean-Paul II le 22 octobre 1989.
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La Canebière
A la fin du XIXe et au début du XXe, dans toutes les villes universitaires, apparaissent les Associations Générales des Etudiant, donc ici l'AGEM.
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Charles Pellegrin, fils de François-Arnaud, qui ouvrit, en 1849, sa joaillerie en haut de la rue de Noailles, déplaça son magasin au 4 des allées de Meilhan, vers 1893, qui devint le 78 la Canebière où son fils Joseph prit la suite. Cet immeuble accueillit aussi le photographe Terris, associé avec Vitagliano, en 1861.
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La Canebière
En 1846, Jean-Baptiste Laffitte s'établit en tant que bouquiniste en haut de la rue Noailles. En 1854, avec Roubaud, il ouvre une librairie au 88. Ensuite, au boulevard Garibaldi, il ouvre la Librairie des Ecoles. A la suite de la création du Cinéac, la librairie migre au 156 La canebière. En 1980, elle ferme. Jeanne installe sa maison d'édition au cours d'Estienne d'Orves en 1979.
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En 1846, Jean-Baptiste Laffitte s'établit en tant que bouquiniste en haut de la rue Noailles. En 1854, avec Roubaud, il ouvre une librairie ici. Ensuite, au boulevard Garibaldi, il ouvre la Librairie des Ecoles. A la suite de la création du Cinéac, la librairie migre au 156 La canebière. En 1980, elle ferme. Jeanne installe sa maison d'édition au cours d'Estienne d'Orves en 1979.
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C'est à Paul Ruat que l'on doit la création de la librairie qu'il transmit, en 1914, à son gendre, Augustin Tacussel. Il fut l'instigateur des Excursionnistes Marseillais, ainsi que l'éditeur de La Cuisinière Provençale de Jean-Baptiste Reboul. Il s'installa ici en 1898, chassé du 22 rue Noailles par la Société Générale. La conception du magasin serait due aux architectes F. Mouren et H. Malgaud, mais la devanture serait l'idée de Maurice Tacussel, fils d'augustin, en 1950. Les dos d'ouvrages sont dus à jean Amado, les carreaux de céramique à Frédéric Sourdive et la cigale, au centre d'une étoile, à Louis Sicard. La librairie fermera en 1989. La restauration de 2004 fut l'oeuvre de Vincent Buffile. En 2007, elle reçoit le label Patrimoine du XXe siècle.
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A l'angle de la rue du Théâtre Français, s'établit, en 1850, le Café Bruno, qui prit le nom, en 1932, de O'Central. De l'autre côté de la rue, au 96, se trouvait, en 1930, le bar restaurant le Moris Bar. En 1947, fut édifié le cinéma Le Français, remplacé, en 1974, par le Pagnol et la Brasserie Rex. Le cinéma fermera en 1981.
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Gymnase.
Construit par l'ingénieur Desfougères et l'architecte Audibert sur l'emplacement de l'ancien couvent des Lyonnaises détruit à la Révolution, le Théâtre Français ouvrit ses portes le 26 fructidor an XIII (13 septembre 1804). Richement décorée, sa salle "à l'italienne" contenait un millier de places assises. Il prit le nom de Gymnase en 1834. On y joua longtemps avec succès le mélodrame et le vaudeville (avec Désaugiers, Mlle Qeorge, Hadingue, Genin...), puis, l'opérette à partir du Second Empire (avec Hortense Schneider) et, à nouveau, le théâtre au XXe siècle (avec Réjane, Cécile Sorel, le Rideau Gris de Ducreux et Roussin, Louis Jouvet, Jean Weber...). Gymnase. Dans les années 1960, le Gymnase accueillit aussi les grands noms de la chanson, de Reda Caire à Jacques Brel en passant par Aznavour. Fermé en 1980 pour cause de vétusté, il fut repris par la ville qui, grâce au mécène américain Armand Hammer, a pu le rouvrir en 1986. Tout en haut, le fronton est orné d'une lyre antique rayonnante.
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L'ancien hôtel Grau, réalisé en 1864 par Henri Condamin.
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Les atlantes, qui supportent des pilastres d'ordtre colossal, sont de Marius Guindon. Les deux figures masculines sont très baroques par leur attitude et leur musculature. Celui de gauche, jeune et le visage souffrant, rappelle l’expression d’un des Esclaves de Michel-Ange et celui de droite, plus digne, d’un homme mûr portant des favoris, pourrait presque être un portrait contemporain. Leurs bras originaux ont aujourd’hui disparus.
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Les atlantes ont perdu leurs bras.
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Les atlantes ont perdu leurs bras.
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Tout en haut, le fronton cintré porte les initiales du propriétaire.
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110-114, la faculté de Droit. Au 114, se sont succédés : en 1855, le Café des Saisons, en 1862, le Café du Carroussel, en 1866, la Taverne Alsacienne, en 1930, la brasserie Le Palace.
Au 112, en 1936,ls'ouvrent le cinéma les Trois Salles Marseille Matin, premier complexe cinématographique à plusieurs salles de France. Rénové en 1950, divisé en sept salles en 1971, il devint le K7, qui fermera en 1985.
Au 110, fut inauguré en 1880 le Palais de Cristal, concurrent de l'Alcazar. En 1929, il fut remplacé par le cinéma le Pathé Palace, construit par les architectes Charaval et Mélende, qui ferma en 1988.
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Université Paul Cézanne
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Au 126, en 1856, se trouvait le Café Martino.
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Au 128, à droite, se trouvait le magasin Vilmorin-Andrieux.
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Au 136, la Grande Brasserie Phocéenne, la plus vaste salle de Marseille, devint le Grand Café des Allées, et de 1926 à 1976, le cinéma Capitole, auquel sera ajouté le Meilhan en 1949. En 1976, il devint UGC Capitole, détruit en 2007.
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En 1893 existait déja une librairie appartenant à J. Carbonell. Jusqu'en 1927, elle s'appelait Librairie des Allées. En 1919, Ernest Maupetit la rachète. En 1998, la maison d'éditions Acte Sud s'en porte acquéreur, après bien d'autres, en particulier Flammarion.
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L'immeuble Léon Blum. La mairie du 1er secteur élève aujourd'hui sa grande façade en verre à l'emplacement de l'ancien Hôpital du Sauveurf édifié en 1765 par le docteur Antoine Aubert, médecin roya1 des galères. L'établissement servait à soigner les malades atteints du scorbut, du cancer, des scrofules et de la syphilis, qui n'étaient pas admis à l'Hôtel-Dieu. Fermé à la Révolution, l'hôpital devint un corps de garde. Il servit ensuite de locaux aux pensionnaires de l'institution de M. Turc, à une maternité, puis à l'école de musique de Thomas Barsotti et reçut, le 5 janvier 1857, la faculté des sciences. Siège central de la défense passive pendant la seconde guerre mondiale, touché par le bombardement aérien du 27 mai 1944, il fut définitivement désaffecté. Reconstruit en 1978-1979, en bordure du square dédié à la mémoire de Léon Blum ; il abrita le centre municipal d'information, avant de recevoir la mairie du 1er secteur le 25 janvier 1990.
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Kiosque à musique.
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Le premier kiosque à musique en bois, qui datait de 1890, fut démoli en 1910. A sa place fut édifié celui-ci, métallique et sur-élevé pour une meilleure qualité d'audition.
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Kiosque à musique.
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Kiosque à musique.
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Conception : Jean Michel Rubio. Avec les artistes Henri Bertrandon, Jean Luc Mas, Gilles Cazemajou, Fen Delabas. Zarafa III et son girafon. C'est une banque aux livres gratuite.
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Au 154, subsiste encore, depuis 1868, un de ces établissements de bains-douches, qui est maintenant un hammam.
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Au n°162, en 1850, s'ouvre le Café du Jet d'eau et Jardin concert, puis, de 1860 à 1880 le café du Cirque, en 1880 le Café Plauchut, de 1892 à 1918 le Café des Fleurs et en 1923 l'Odéon. Son arcitecte fut Eugène Chirié, influencé par les style Art Déco.
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Au 168, la célèbre maison Plauchut, Pâtissier-Chocolatier.
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Allées Léon Gambetta.
La Byzantine. L'historien Georges Reynaud a récemment identifié l'auteur de l'immeuble. C'est Auguste Martin (1818-1877), architecte du département (Préfecture, Palais de Justice...) qui conçoit en 1860 cet immeuble pour le compte de Emmanuel Christodulo (Odessa, 1821 - Marseille, 1891).
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Allées Léon Gambetta.
. La Byzantine. Cette construction de style néo-byzantin, utilisant une polychromie des assises de pierres, des arcs en plein cintre aux tympans décorés, évoque la cathédrale de la Major et Notre-Dame de la Garde, au point que l'on a suggéré la paternité d'Henry Espérandieu ou Henri Révoil (Jean-Claude Gloton, 1978).
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Allées Léon Gambetta.
La Byzantine.
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Monument des Mobiles.
Après la guerre de 1870, un «comité des anciens combattants de 1870-1871» va lancer une souscription pour l'édification du monument commémoratif qui célèbre les soldats de la garde mobile, corps de réservistes mobilisé par le gouvernement pendant la guerre franco-prussienne de 1870. Les travaux débutent en février 1892 et se termineront en 1893.
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Monument des Mobiles.
Gaudensi Allar fut choisi comme architecte et Jean Turcan, également ancien combattant, comme sculpteur. Le monument a treize mètres de hauteur.
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Monument des Mobiles.
A son sommet, la statue en bronze de 3,85 m de haut, oeuvre de Constant Roux, symbolise la France armée, avec une couronne de laurier et un casque. D'une main, elle serre un drapeau, de l'autre une épée.
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Monument des Mobiles.
Autour de la base monumentale se déploie un cortège de dix sept soldats, de 2,4 m de haut, illustrant par leurs costumes et leurs attitudes les divers corps d'armée : fantassins, mobiles, marins et francs-tireurs.
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Monument des Mobiles.
Sous les groupes militaires, divers textes donnent des renseignements sur les souscripteurs et l'histoire des mobiles. Des noms de batailles y figurent.
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Monument des Mobiles.
Sous les groupes militaires, divers textes donnent des renseignements sur les souscripteurs et l'histoire des mobiles. Des noms de batailles y figurent.
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Monument des Mobiles.
Sous les groupes militaires, divers textes donnent des renseignements sur les souscripteurs et l'histoire des mobiles. Des noms de batailles y figurent.
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Monument des Mobiles.
Sous les groupes militaires, divers textes donnent des renseignements sur les souscripteurs et l'histoire des mobiles. Des noms de batailles y figurent.
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Monument des Mobiles.
A la base du monument, des plaques portent les noms des vingt chefs-lieux de cantons des Bouches-du-Rhône.
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Monument des Mobiles.
Quatre piédestaux sont ornés des blasons des villes de : Marseille
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Quatre piédestaux sont ornés des blasons des villes de : Arles
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Monument des Mobiles. Quatre piédestaux sont ornés des blasons des villes de : Tarascon
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Monument des Mobiles. Quatre piédestaux sont ornés des blasons des villes de : aix.
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Monument des Mobiles.
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Monument des Mobiles. Ce groupe monumental est composé de deux registres et au sommet une allégorie de la «France Armée» de Constant Roux.
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Entre la rue Consolat et le boulevard de la Madeleine (boulevard de la libération), la maison édifiée par Alexandre Artaud en 1780, sera occupée, en 1884, par le pharmacien Paul Planche. Elle a depuis perdu ses atlantes.
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Fontaine des Danaïdes.
Le point de départ de ce monument est un plâtre de Jean Hughes exposé au Salon des artistes français de 1903. L'iconographie présente le destin des cinquante filles du roi Danaos condamnées à remplir un tonneau sans fond pour expier le meurtre de leur époux au cours de leur nuit de noce. Le plâtre est acheté à part égale par l'Etat et la Municipalité en novembre 1904. Le groupe sculpté est achevé en 1907.
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Fontaine des Danaïdes.
Fontaine des Danaïdes. Le financement conjoint du monument rend obligatoire la présence d’un membre du gouvernement à la cérémonie inaugurale. Or, les élus marseillais s’avèrent incapables de réunir les officiels requis. Le 19 septembre 1913, le maire Amable Chanot écrit une nouvelle fois au malheureux artiste : « Le séjour de M. Poincaré à Marseille sera de trop courte durée pour qu’on puisse espéré qu’il y soit ajouté l’inauguration de la fontaine des Danaïdes. » Ainsi, le seul monument public érigé par la Ville à cette époque-là est-il également le seul à n’avoir jamais connu de consécration.
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Fontaine des Danaïdes.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Les travaux de construction de l'église débutèrent en 1849, sur l'emplacement de l'ancienne chapelle du couvent des Augustins réformés. Le premier architecte a été François Reybaud, auquel succéda l'abbé Guillaume Joseph Pougnet.
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Eglise des Réformés ou de saint-Vincent-de-Paul.
Les travaux de construction de l'église débutèrent en 1849, sur l'emplacement de l'ancienne chapelle du couvent des Augustins réformés. Le premier architecte a été François Reybaud, auquel succéda l'abbé Guillaume Joseph Pougnet.
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