Gênes 2018

Cimetière de Staglieno, Place de Ferrari, Eglise de Jésus, Palais Ducal, Cathédrale, Place Banchi, Eglise San Pietro, Palais Saint Georges, Église des Vignes, Palais Spinola – Grillo, Place Campetto

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L'hôpital de la Commenda de San Giovanni, daté de 1180, compte parmi les édifices les plus anciens de Gênes.
L'hôpital de la Commenda de San Giovanni, daté de 1180, compte parmi les édifices les plus anciens de Gênes.
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Porte de la Vacca.
Porte de la Vacca.
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Muraille médiévale.
Muraille médiévale.
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Muraille médiévale.
Muraille médiévale.
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Maisons médièvales.
Maisons médièvales.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Le cimetière est situé le long du torrent Bisagno, dans le quartier de Staglieno.
Cimetière monumental de Staglieno.
Le cimetière est situé le long du torrent Bisagno, dans le quartier de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> torrent Bisagno.
Cimetière monumental de Staglieno.
Torrent Bisagno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> on projet remonte à 1835 à la suite du climat créé par l'édit du gouvernement de Napoléon, signé à Saint-Cloud et entré en vigueur le 2 juin 1804, dans lequel on interdisait à l'avenir les sépultures dans les églises et dans les centres habités, au profit de cimetières nouveaux installés en dehors du centre des villes.

Le projet original de l'architecte Carlo Barabino fut approuvé par la Commune de Gênes. Barabino toutefois mourut la même année à cause de l'épidémie de choléra qui avait frappé la ville et le projet fut transmis à son collaborateur et élève Giovanni Battista Resasco (la place de l'entrée secondaire du Camposanto rappelle aujourd'hui son nom).
Cimetière monumental de Staglieno.
Son projet remonte à 1835 à la suite du climat créé par l'édit du gouvernement de Napoléon, signé à Saint-Cloud et entré en vigueur le 2 juin 1804, dans lequel on interdisait à l'avenir les sépultures dans les églises et dans les centres habités, au profit de cimetières nouveaux installés en dehors du centre des villes. Le projet original de l'architecte Carlo Barabino fut approuvé par la Commune de Gênes. Barabino toutefois mourut la même année à cause de l'épidémie de choléra qui avait frappé la ville et le projet fut transmis à son collaborateur et élève Giovanni Battista Resasco (la place de l'entrée secondaire du Camposanto rappelle aujourd'hui son nom).
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Le quartier de Staglieno sembla le plus indiqué pour la construction d'un cimetière puisqu'il était peu habité et, en même temps, extérieur et peu éloigné du centre ville.

Les travaux commencèrent en 1844 et l'ensemble fut ouvert au public en 1851. Après divers agrandissements au fil du temps, il comprend aujourd'hui une surface d'environ 330 000 m2
Cimetière monumental de Staglieno.
Le quartier de Staglieno sembla le plus indiqué pour la construction d'un cimetière puisqu'il était peu habité et, en même temps, extérieur et peu éloigné du centre ville. Les travaux commencèrent en 1844 et l'ensemble fut ouvert au public en 1851. Après divers agrandissements au fil du temps, il comprend aujourd'hui une surface d'environ 330 000 m2
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Le panthéon de style romain et devant, la statue de la Foi de Santo Varni
Cimetière monumental de Staglieno.
Le panthéon de style romain et devant, la statue de la Foi de Santo Varni
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe de la famille Appiani, sculpteur Demetrio Paernio, 1910.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe de la famille Appiani, sculpteur Demetrio Paernio, 1910.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe de la la famille Gaggero, sculpteur, A. Noris.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe de la la famille Gaggero, sculpteur, A. Noris.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>  Tombe de Pietro Badaracco, sculpteur, Giovanni Battista Cevasco, .
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe de Pietro Badaracco, sculpteur, Giovanni Battista Cevasco, .
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Sculpteur D. Carli, 1892. De ces vieux couples respectables, un beau groupe de la galerie frontale nous offre une illustration sur le thème des retrouvailles dans l’au-delà : statufiés en pied, sortant dirait-on chacun d’une porte, mari et femme se rencontrent cérémonieusement, l’épouse porteuse de son voile de veuve, une main sur le cœur, l’autre placée dans celle du mari, avec lequel elle semble échanger un bouquet de fleurs. L’attitude de l’homme est plus théâtrale, qui brandit de la main gauche un crucifix en guise de bienvenue : le thème des retrouvailles individuelles s’inscrit ici sans heurt dans une atmosphère de religiosité traditionnelle.
Cimetière monumental de Staglieno.
Sculpteur D. Carli, 1892. De ces vieux couples respectables, un beau groupe de la galerie frontale nous offre une illustration sur le thème des retrouvailles dans l’au-delà : statufiés en pied, sortant dirait-on chacun d’une porte, mari et femme se rencontrent cérémonieusement, l’épouse porteuse de son voile de veuve, une main sur le cœur, l’autre placée dans celle du mari, avec lequel elle semble échanger un bouquet de fleurs. L’attitude de l’homme est plus théâtrale, qui brandit de la main gauche un crucifix en guise de bienvenue : le thème des retrouvailles individuelles s’inscrit ici sans heurt dans une atmosphère de religiosité traditionnelle.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Sculpteur D. Carli, 1892. De ces vieux couples respectables, un beau groupe de la galerie frontale nous offre une illustration sur le thème des retrouvailles dans l’au-delà : statufiés en pied, sortant dirait-on chacun d’une porte, mari et femme se rencontrent cérémonieusement, l’épouse porteuse de son voile de veuve, une main sur le cœur, l’autre placée dans celle du mari, avec lequel elle semble échanger un bouquet de fleurs. L’attitude de l’homme est plus théâtrale, qui brandit de la main gauche un crucifix en guise de bienvenue : le thème des retrouvailles individuelles s’inscrit ici sans heurt dans une atmosphère de religiosité traditionnelle.
Cimetière monumental de Staglieno.
Sculpteur D. Carli, 1892. De ces vieux couples respectables, un beau groupe de la galerie frontale nous offre une illustration sur le thème des retrouvailles dans l’au-delà : statufiés en pied, sortant dirait-on chacun d’une porte, mari et femme se rencontrent cérémonieusement, l’épouse porteuse de son voile de veuve, une main sur le cœur, l’autre placée dans celle du mari, avec lequel elle semble échanger un bouquet de fleurs. L’attitude de l’homme est plus théâtrale, qui brandit de la main gauche un crucifix en guise de bienvenue : le thème des retrouvailles individuelles s’inscrit ici sans heurt dans une atmosphère de religiosité traditionnelle.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe Casella, 1884, sculpteur Benetti. Une veuve avec ses deux enfants visite l’effigie du père.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe Casella, 1884, sculpteur Benetti. Une veuve avec ses deux enfants visite l’effigie du père.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe Giuseppe Benedetto Badaracco
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe Giuseppe Benedetto Badaracco
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe Erba, 1883, sculpteur Santo Saccomanno. La tombe de Carlo Erba, commerçant et politicien affirmé, a été commandée par un parent. Ce monument présente les formes d’une cathédrale néogothique ; à l’intérieur, sur le sarcophage, estnassise une femme avec des graines de pavot, un symbole païen de l’oubli éternel, entre les doigts de sa main droite, abandonnée sur son giron. Sa veste qui glisse le long de son bras découvre son épaule, lui conférant ainsi un brin de sensualité insolite pour l’époque, qui a donné lieu à beaucoup de polémiques. Cette personnification du Sommeil Éternel transpose l’image de la mort dans une dimension pré-symboliste, voire laïque, malgré la présence d’une grande croix au fond, et elle met en évidence sa partie liée au mystère et au vide.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe Erba, 1883, sculpteur Santo Saccomanno. La tombe de Carlo Erba, commerçant et politicien affirmé, a été commandée par un parent. Ce monument présente les formes d’une cathédrale néogothique ; à l’intérieur, sur le sarcophage, estnassise une femme avec des graines de pavot, un symbole païen de l’oubli éternel, entre les doigts de sa main droite, abandonnée sur son giron. Sa veste qui glisse le long de son bras découvre son épaule, lui conférant ainsi un brin de sensualité insolite pour l’époque, qui a donné lieu à beaucoup de polémiques. Cette personnification du Sommeil Éternel transpose l’image de la mort dans une dimension pré-symboliste, voire laïque, malgré la présence d’une grande croix au fond, et elle met en évidence sa partie liée au mystère et au vide.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe de la famille Celesia, sculpteur Demetrio Paernio, 1899.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe de la famille Celesia, sculpteur Demetrio Paernio, 1899.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombeau Amerigo, 1890, G. Moreno sculpteur. L’enfant est le compagnon naturel de la veuve : ces grandes compositions sans l’ignorer lui réservent un rôle accessoire – exprimer l’émotion que les adultes refrènent, embrassant le défunt ou la défunte, prier avec componction comme un jeune aveugle et une fillette orpheline qui expriment leur reconnaissance envers leur bienfaiteur.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombeau Amerigo, 1890, G. Moreno sculpteur. L’enfant est le compagnon naturel de la veuve : ces grandes compositions sans l’ignorer lui réservent un rôle accessoire – exprimer l’émotion que les adultes refrènent, embrassant le défunt ou la défunte, prier avec componction comme un jeune aveugle et une fillette orpheline qui expriment leur reconnaissance envers leur bienfaiteur.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombeau Amerigo, 1890, G. Moreno sculpteur. L’enfant est le compagnon naturel de la veuve : ces grandes compositions sans l’ignorer lui réservent un rôle accessoire – exprimer l’émotion que les adultes refrènent, embrassant le défunt ou la défunte, prier avec componction comme un jeune aveugle et une fillette orpheline qui expriment leur reconnaissance envers leur bienfaiteur.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombeau Amerigo, 1890, G. Moreno sculpteur. L’enfant est le compagnon naturel de la veuve : ces grandes compositions sans l’ignorer lui réservent un rôle accessoire – exprimer l’émotion que les adultes refrènent, embrassant le défunt ou la défunte, prier avec componction comme un jeune aveugle et une fillette orpheline qui expriment leur reconnaissance envers leur bienfaiteur.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe de Luigi Priario, sculpteur Demetrio Paernio, 1881. Au pied de l’orateur, c’est bien l’épouse dans ses atours aux dentelles minutieusement ciselées qui exprime sa douleur, comme le précise l’épitaphe.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe de Luigi Priario, sculpteur Demetrio Paernio, 1881. Au pied de l’orateur, c’est bien l’épouse dans ses atours aux dentelles minutieusement ciselées qui exprime sa douleur, comme le précise l’épitaphe.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe de la famille Pellegrini, sculpteur D. Carli, 1888. Ce tombeau mêle le thème de la famille à celui de la charité pour les pauvres: le soin avec lequel sont représentés le pauvre, la petite fille et leurs vêtements est saisissant.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe de la famille Pellegrini, sculpteur D. Carli, 1888. Ce tombeau mêle le thème de la famille à celui de la charité pour les pauvres: le soin avec lequel sont représentés le pauvre, la petite fille et leurs vêtements est saisissant.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Sculpteur Gaetano Olivari, 1924.
Cimetière monumental de Staglieno.
Sculpteur Gaetano Olivari, 1924.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Caterina Campodonico (Cattainin, en ligure), appelée aussi la Paesana ou la Nocciolaia, (Gênes 1804 - Gênes 7 juillet 1882), est une femme connue pour avoir économisé toute sa vie en vendant des colliers de noisettes et des Canestrelli dans divers sanctuaires pour se faire construire une sculpture funéraire dans le Cimetière monumental de Staglieno, sculpture qui est l'œuvre de Lorenzo Orengo  en 1881. Figée dans le marbre « pour l'éternité » parmi d'autres sculptures célèbres, elle est représentée de plain-pied avec beaucoup de réalisme et de minuties dans les gestes quotidiens de son travail et dans ses derniers habits. À sa mort elle n'avait pas payé entièrement le sculpteur et le solde a été rassemblé par des donations populaires.

Elle est également connue pour avoir assisté gratuitem
Cimetière monumental de Staglieno.
Caterina Campodonico (Cattainin, en ligure), appelée aussi la Paesana ou la Nocciolaia, (Gênes 1804 - Gênes 7 juillet 1882), est une femme connue pour avoir économisé toute sa vie en vendant des colliers de noisettes et des Canestrelli dans divers sanctuaires pour se faire construire une sculpture funéraire dans le Cimetière monumental de Staglieno, sculpture qui est l'œuvre de Lorenzo Orengo en 1881. Figée dans le marbre « pour l'éternité » parmi d'autres sculptures célèbres, elle est représentée de plain-pied avec beaucoup de réalisme et de minuties dans les gestes quotidiens de son travail et dans ses derniers habits. À sa mort elle n'avait pas payé entièrement le sculpteur et le solde a été rassemblé par des donations populaires. Elle est également connue pour avoir assisté gratuitem
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Tombe Chiappelle Erba, 1880, sculpteur D. Carli.
Cimetière monumental de Staglieno.
Tombe Chiappelle Erba, 1880, sculpteur D. Carli.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Le panthéon de style romain
Cimetière monumental de Staglieno.
Le panthéon de style romain
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> Le panthéon de style romain  avec son très beau pronaos de colonnes en style dorique, flanqué de deux statues de marbre représentant les prophètes bibliques Job et Jérémie.
Cimetière monumental de Staglieno.
Le panthéon de style romain avec son très beau pronaos de colonnes en style dorique, flanqué de deux statues de marbre représentant les prophètes bibliques Job et Jérémie.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br> La statue de la Foi de Santo Varni,  haute de neuf mètres.
Cimetière monumental de Staglieno.
La statue de la Foi de Santo Varni, haute de neuf mètres.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Cimetière monumental de Staglieno. <br>
Cimetière monumental de Staglieno.
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Théâtre Carlo Felice et Statue de Garibaldi, œuvre du sculpteur italien Augusto Rivalta,  sur la place Ferrari à Gênes. La place est dédiée au  duc de Galliera, Raffaele De Ferrari qui était un homme d'affaires, financier et philanthrope italien, fondateur du Crédit mobilier avec les frères Pereire, rivaux des Rothschild.
Théâtre Carlo Felice et Statue de Garibaldi, œuvre du sculpteur italien Augusto Rivalta, sur la place Ferrari à Gênes. La place est dédiée au duc de Galliera, Raffaele De Ferrari qui était un homme d'affaires, financier et philanthrope italien, fondateur du Crédit mobilier avec les frères Pereire, rivaux des Rothschild.
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Théâtre Carlo Felice sur la place Ferrari à Gênes, avec son pronaos néo-classique conçu par l'architecte italien Carlo Barabino (1828). Avant le théâtre se trouvait un couvent dominicain.
Théâtre Carlo Felice sur la place Ferrari à Gênes, avec son pronaos néo-classique conçu par l'architecte italien Carlo Barabino (1828). Avant le théâtre se trouvait un couvent dominicain.
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À la fin du 19e siècle, Gênes fut le principal centre financier de l’Italie avec Milan et la Piazza De Ferrari était l’endroit où de nombreuses institutions ont été créées, comme la bourse, le Credito Italiano, les succursales de la Banque de l’Italie. Le bâtiment de la Bourse, construit en 1912 par l'architecte Alfredo Coppedè. A droite, Le palais du Duc de Galliera, Raffaele De Ferrari.
À la fin du 19e siècle, Gênes fut le principal centre financier de l’Italie avec Milan et la Piazza De Ferrari était l’endroit où de nombreuses institutions ont été créées, comme la bourse, le Credito Italiano, les succursales de la Banque de l’Italie. Le bâtiment de la Bourse, construit en 1912 par l'architecte Alfredo Coppedè. A droite, Le palais du Duc de Galliera, Raffaele De Ferrari.
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L'ancienne Bourse.
L'ancienne Bourse.
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Le Palazzo Ducale (Palais des Doges) A gauche, le siège de la Région Ligurie, l’ancien Palazzo Italia di Navigazione.
Le Palazzo Ducale (Palais des Doges) A gauche, le siège de la Région Ligurie, l’ancien Palazzo Italia di Navigazione.
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Le Palazzo Ducale (Palais des Doges).
Le Palazzo Ducale (Palais des Doges).
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Le palais de l'académie attenant au Théâtre Carlo Felice.
Le palais de l'académie attenant au Théâtre Carlo Felice.
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Chiesa del Gesù.<br> La première église – dédiée à saint Ambroise - remonte au VIe siècle lorsque le clergé milanais, fuyant les persécutions lombardes, s’établit à Gênes avec son évêque Honoré Castiglioni qui en 569 y établit provisoirement son siège, près de la cathédrale Saint-Laurent. L’exil génois dure plus d’un siècle. Durant la seconde moitié du VIIe siècle Giovanni Bono retourne à Milan La présence des Milanais avait nécessité la construction d’une église qui fut placée sous le patronage de saint Ambroise
Chiesa del Gesù.
La première église – dédiée à saint Ambroise - remonte au VIe siècle lorsque le clergé milanais, fuyant les persécutions lombardes, s’établit à Gênes avec son évêque Honoré Castiglioni qui en 569 y établit provisoirement son siège, près de la cathédrale Saint-Laurent. L’exil génois dure plus d’un siècle. Durant la seconde moitié du VIIe siècle Giovanni Bono retourne à Milan La présence des Milanais avait nécessité la construction d’une église qui fut placée sous le patronage de saint Ambroise
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Chiesa del Gesù.<br> La création de la basilique, ses formes actuelles et son nom de Chiesa del Gesù sont liés à la grande reconstruction du XVIe siècle voulue par la Compagnie de Jésus, sur un projet de Giuseppe Valeriano, peintre, architecte et père jésuite. L’église est consacrée aux Saints Ambroise et André, car l’originale, datant du VIe siècle, était consacrée à Ambroise, évêque de Milan, qui s’était réfugié à Gênes pour fuir le pillage lombard du roi Alboïn.
Chiesa del Gesù.
La création de la basilique, ses formes actuelles et son nom de Chiesa del Gesù sont liés à la grande reconstruction du XVIe siècle voulue par la Compagnie de Jésus, sur un projet de Giuseppe Valeriano, peintre, architecte et père jésuite. L’église est consacrée aux Saints Ambroise et André, car l’originale, datant du VIe siècle, était consacrée à Ambroise, évêque de Milan, qui s’était réfugié à Gênes pour fuir le pillage lombard du roi Alboïn.
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Chiesa del Gesù.<br> La façade est refaite durant la seconde moitié du XIXe siècle, après la démolition de l’arcade qui mettait en communication directe le palais ducal avec l'église du Gesù, par sa façade, prenant pour modèle d’anciens projets de Pierre-Paul Rubens. Terminée en 1894, elle est enjolivée des statues de saint Ambroise (à droite) et de saint André (à gauche, avec sa croix), œuvres de Michele Ramognino
Chiesa del Gesù.
La façade est refaite durant la seconde moitié du XIXe siècle, après la démolition de l’arcade qui mettait en communication directe le palais ducal avec l'église du Gesù, par sa façade, prenant pour modèle d’anciens projets de Pierre-Paul Rubens. Terminée en 1894, elle est enjolivée des statues de saint Ambroise (à droite) et de saint André (à gauche, avec sa croix), œuvres de Michele Ramognino
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Chiesa del Gesù.<br> Avec sa profusion d’ors, stucs et marbres polychromes, les perspectives audacieuses des fresques des frères Giovanni et Giovan Battista Carlone, l’intérieur de l’église est un exemple prestigieux du baroque génois, à une époque où les plus importantes familles aristocratiques de la ville demandaient aux plus célèbres artistes de décorer les chapelles de famille.
Chiesa del Gesù.
Avec sa profusion d’ors, stucs et marbres polychromes, les perspectives audacieuses des fresques des frères Giovanni et Giovan Battista Carlone, l’intérieur de l’église est un exemple prestigieux du baroque génois, à une époque où les plus importantes familles aristocratiques de la ville demandaient aux plus célèbres artistes de décorer les chapelles de famille.
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Chiesa del Gesù.<br> La nef centrale et la coupole sont ornées de fresques de Giovanni Bernardo Carlone (1624), ce dernier étant l’auteur de la fresque des Quatre Évangélistes se trouvant au pied de la coupole. Les quatre grandes statues sont des œuvres du sculpteur Francesco Biggi.
Chiesa del Gesù.
La nef centrale et la coupole sont ornées de fresques de Giovanni Bernardo Carlone (1624), ce dernier étant l’auteur de la fresque des Quatre Évangélistes se trouvant au pied de la coupole. Les quatre grandes statues sont des œuvres du sculpteur Francesco Biggi.
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Chiesa del Gesù.<br>La nef centrale et la coupole sont ornées de fresques de Giovanni Bernardo Carlone (1624), ce dernier étant l’auteur de la fresque des Quatre Évangélistes se trouvant au pied de la coupole.
Chiesa del Gesù.
La nef centrale et la coupole sont ornées de fresques de Giovanni Bernardo Carlone (1624), ce dernier étant l’auteur de la fresque des Quatre Évangélistes se trouvant au pied de la coupole.
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Chiesa del Gesù.<br> Fresques de Giovanni Bernardo Carlone.
Chiesa del Gesù.
Fresques de Giovanni Bernardo Carlone.
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Chiesa del Gesù.<br> Fresques de Giovanni Bernardo Carlone.
Chiesa del Gesù.
Fresques de Giovanni Bernardo Carlone.
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Chiesa del Gesù.<br> Fresques de Giovanni Bernardo Carlone.
Chiesa del Gesù.
Fresques de Giovanni Bernardo Carlone.
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Chiesa del Gesù.<br> Fresques de Giovanni Bernardo Carlone.
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Fresques de Giovanni Bernardo Carlone.
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Chiesa del Gesù.<br> Au-dessus du maître-autel se trouve la Circoncision de Pierre-Paul Rubens (1608). Les candélabres de bronze sont d'Annibale Busca et, entre les colonnes, les statues des saints Pierre et Paul sont de Giuseppe Carlone.
Chiesa del Gesù.
Au-dessus du maître-autel se trouve la Circoncision de Pierre-Paul Rubens (1608). Les candélabres de bronze sont d'Annibale Busca et, entre les colonnes, les statues des saints Pierre et Paul sont de Giuseppe Carlone.
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Chiesa del Gesù.<br> La Circoncision de Pierre-Paul Rubens  (1577-1640).
Chiesa del Gesù.
La Circoncision de Pierre-Paul Rubens (1577-1640).
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Chiesa del Gesù.<br> Dans le choeur se trouve aussi  la Fuite en Égypte de Domenico Piola (1627-1703).
Chiesa del Gesù.
Dans le choeur se trouve aussi la Fuite en Égypte de Domenico Piola (1627-1703).
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Chiesa del Gesù.<br> Dans le choeur se trouve aussi le Massacre des Innocents de Giovanni Battista Merano
Chiesa del Gesù.
Dans le choeur se trouve aussi le Massacre des Innocents de Giovanni Battista Merano
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale gauche.
Chiesa del Gesù.
Nef latérale gauche.
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Chiesa del Gesù.<br>Nef latérale gauche.
Dans la première chapelle : des fresques de Lorenzo De Ferrari et un saint François-Borgia de A. Pozzo.
Chiesa del Gesù.
Nef latérale gauche. Dans la première chapelle : des fresques de Lorenzo De Ferrari et un saint François-Borgia de A. Pozzo.
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Chiesa del Gesù.<br> Dans la première chapelle : des fresques de Lorenzo De Ferrari
Chiesa del Gesù.
Dans la première chapelle : des fresques de Lorenzo De Ferrari
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Chiesa del Gesù.<br>Nef latérale gauche. Dans la deuxième chapelle, le Martyre de saint Jean-Baptiste, une fresque de Bernardo Castello, le Baptême du Christ de Domenico Passignano et les statues représentant Élisabeth et Zacharie de Taddeo Carlone.
Chiesa del Gesù.
Nef latérale gauche. Dans la deuxième chapelle, le Martyre de saint Jean-Baptiste, une fresque de Bernardo Castello, le Baptême du Christ de Domenico Passignano et les statues représentant Élisabeth et Zacharie de Taddeo Carlone.
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale gauche. Le Baptême du Christ de Domenico Passignano (1560-1636).
Chiesa del Gesù.
Nef latérale gauche. Le Baptême du Christ de Domenico Passignano (1560-1636).
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Chiesa del Gesù.<br>Nef latérale gauche.  Dans la deuxième chapelle, le Martyre de saint Jean-Baptiste, une fresque de Bernardo Castello, le Baptême du Christ de Domenico Passignano et les statues représentant Élisabeth et Zacharie de Taddeo Carlone.
Chiesa del Gesù.
Nef latérale gauche. Dans la deuxième chapelle, le Martyre de saint Jean-Baptiste, une fresque de Bernardo Castello, le Baptême du Christ de Domenico Passignano et les statues représentant Élisabeth et Zacharie de Taddeo Carlone.
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale gauche. Dans la troisième chapelle se trouve l'œuvre de Pierre-Paul Rubens : Saint Ignace guérit un possédé ou le miracle de Saint Ignace de Loyola. A droite, dans la quatrième chapelle, une peinture illustrant le Martyre de saint André de Teramo Piaggio (1532).
Chiesa del Gesù.
Nef latérale gauche. Dans la troisième chapelle se trouve l'œuvre de Pierre-Paul Rubens : Saint Ignace guérit un possédé ou le miracle de Saint Ignace de Loyola. A droite, dans la quatrième chapelle, une peinture illustrant le Martyre de saint André de Teramo Piaggio (1532).
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale gauche. Dans la troisième chapelle se trouve l'œuvre de Pierre-Paul Rubens : Saint Ignace guérit un possédé ou le miracle de Saint Ignace de Loyola .
Chiesa del Gesù.
Nef latérale gauche. Dans la troisième chapelle se trouve l'œuvre de Pierre-Paul Rubens : Saint Ignace guérit un possédé ou le miracle de Saint Ignace de Loyola .
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Chiesa del Gesù.<br>Nef latérale droite. Dans la première chapelle de la nef latérale droite on peut voir - dans la petite coupole – une fresque de Giuseppe Galeotti et une peinture représentant Saint Ambroise chassant l’empereur Théodose Ier, œuvre de Giovanni Andrea De Ferrari (158-1669, disciple de Bernardo Strozzi).
Chiesa del Gesù.
Nef latérale droite. Dans la première chapelle de la nef latérale droite on peut voir - dans la petite coupole – une fresque de Giuseppe Galeotti et une peinture représentant Saint Ambroise chassant l’empereur Théodose Ier, œuvre de Giovanni Andrea De Ferrari (158-1669, disciple de Bernardo Strozzi).
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Chiesa del Gesù.<br>Nef latérale droite. Dans la petite coupole de la seconde chapelle se trouve une fresque de Lorenzo de Ferrari et une Crucifixion de Simon Vouet (1622).
Chiesa del Gesù.
Nef latérale droite. Dans la petite coupole de la seconde chapelle se trouve une fresque de Lorenzo de Ferrari et une Crucifixion de Simon Vouet (1622).
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Chiesa del Gesù.<br>Nef latérale droite. Crucifixion de Simon Vouet (1622).
Chiesa del Gesù.
Nef latérale droite. Crucifixion de Simon Vouet (1622).
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale droite. Sous l'autel : une crèche sculptée de Tommaso Orsolino (1590).
Chiesa del Gesù.
Nef latérale droite. Sous l'autel : une crèche sculptée de Tommaso Orsolino (1590).
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale droite. Sous l'autel : une crèche sculptée de Tommaso Orsolino.
Chiesa del Gesù.
Nef latérale droite. Sous l'autel : une crèche sculptée de Tommaso Orsolino.
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale droite. Fresque de Lorenzo de Ferrari.
Chiesa del Gesù.
Nef latérale droite. Fresque de Lorenzo de Ferrari.
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale droite. Dans le grand arc de la troisième chapelle : des fresques du peintre Lorenzo de Ferrari et la toile de Guido Reni illustrant l’Assomption de Marie. Dans les niches, les rois David et Saül de Carlone (1677).
Chiesa del Gesù.
Nef latérale droite. Dans le grand arc de la troisième chapelle : des fresques du peintre Lorenzo de Ferrari et la toile de Guido Reni illustrant l’Assomption de Marie. Dans les niches, les rois David et Saül de Carlone (1677).
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Chiesa del Gesù.<br> Nef latérale droite. L’Assomption de la Vierge de Guido Reni (1575-1642).
Chiesa del Gesù.
Nef latérale droite. L’Assomption de la Vierge de Guido Reni (1575-1642).
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Chiesa del Gesù.<br> L'Immaculée et Saint Stanislas d'Andrea Pozzo (1642-1709).
Chiesa del Gesù.
L'Immaculée et Saint Stanislas d'Andrea Pozzo (1642-1709).
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Chiesa del Gesù.<br>
Chiesa del Gesù.
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Palais Ducal <br> Une partie du bâtiment médiéval (Palais Fiesch du XIVei) est encore visible à l'emplacement de la Tour du Peuple, (la Grimaldina) sous laquelle subsistent encore les prisons de l'époque.
Palais Ducal
Une partie du bâtiment médiéval (Palais Fiesch du XIVei) est encore visible à l'emplacement de la Tour du Peuple, (la Grimaldina) sous laquelle subsistent encore les prisons de l'époque.
92
Palais Ducal <br> Depuis 1294, La république de Gênes possédait le Palais Fieschi, un édifice médiéval qui fut intégré à la construction du Palazzo Ducale lors de la domination économique et militaire génoise en Méditerranée suite aux batailles navales contre les Pisans (1284) et les Vénitiens (1298). Il a été bâti afin de montrer la puissance de Gênes.

Aux XIVe et XVe siècles le palais fut agrandi et restructuré, effaçant pratiquement l'ancien aspect médiéval, lui donnant un aspect majestueux lui permettant d'accueillir avantageusement les institutions la nouvelle république oligarchique génoise.
Palais Ducal
Depuis 1294, La république de Gênes possédait le Palais Fieschi, un édifice médiéval qui fut intégré à la construction du Palazzo Ducale lors de la domination économique et militaire génoise en Méditerranée suite aux batailles navales contre les Pisans (1284) et les Vénitiens (1298). Il a été bâti afin de montrer la puissance de Gênes. Aux XIVe et XVe siècles le palais fut agrandi et restructuré, effaçant pratiquement l'ancien aspect médiéval, lui donnant un aspect majestueux lui permettant d'accueillir avantageusement les institutions la nouvelle république oligarchique génoise.
93
Palais Ducal <br> En 1591 l’architecte Andrea Ceresola, surnommé le Vannone, restructura de nouveau le palais et en fit un « édifice monumental ». En 1777, Le palais, qui avait brûlé, nécessita une reconstruction par l'architecte Simone Cantoni, un architecte suisse qui l'aménagea en style néoclassique.
Palais Ducal
En 1591 l’architecte Andrea Ceresola, surnommé le Vannone, restructura de nouveau le palais et en fit un « édifice monumental ». En 1777, Le palais, qui avait brûlé, nécessita une reconstruction par l'architecte Simone Cantoni, un architecte suisse qui l'aménagea en style néoclassique.
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Palais Ducal <br>
Palais Ducal
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Palais Ducal <br>
Palais Ducal
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Palais Ducal <br> En 1999, Lorenzo Garaventa accepta de réaliser la reconstruction des statues des Doria (détruites par les Jacobins en 1797), situées à l'entrée du Palazzo Ducale. Il termina la statue d'Andrea Doria de Giovanni Angelo Montorsoli, et démarra celle de Giovanni Andrea Doria, mais sa mort en 2003 l'empêcha de terminer l'œuvre.
Palais Ducal
En 1999, Lorenzo Garaventa accepta de réaliser la reconstruction des statues des Doria (détruites par les Jacobins en 1797), situées à l'entrée du Palazzo Ducale. Il termina la statue d'Andrea Doria de Giovanni Angelo Montorsoli, et démarra celle de Giovanni Andrea Doria, mais sa mort en 2003 l'empêcha de terminer l'œuvre.
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Palais Ducal <br> En 1999, Lorenzo Garaventa accepta de réaliser la reconstruction des statues des Doria (détruites par les Jacobins en 1797), situées à l'entrée du Palazzo Ducale. Il termina la statue d'Andrea Doria de Giovanni Angelo Montorsoli, et démarra celle de Giovanni Andrea Doria, mais sa mort en 2003 l'empêcha de terminer l'œuvre.
Palais Ducal
En 1999, Lorenzo Garaventa accepta de réaliser la reconstruction des statues des Doria (détruites par les Jacobins en 1797), situées à l'entrée du Palazzo Ducale. Il termina la statue d'Andrea Doria de Giovanni Angelo Montorsoli, et démarra celle de Giovanni Andrea Doria, mais sa mort en 2003 l'empêcha de terminer l'œuvre.
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Palais Ducal <br>
Palais Ducal
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Palais Ducal <br> A l'intérieur du palais, un vaste atrium couvert, flanqué par deux cours bordées d'arcades.
Palais Ducal
A l'intérieur du palais, un vaste atrium couvert, flanqué par deux cours bordées d'arcades.
100
Palais Ducal. <br>Sous la Grimaldina subsistent encore les prisons de l'époque.
Palais Ducal.
Sous la Grimaldina subsistent encore les prisons de l'époque.
101
Cathédrale San Lorenzo <br> Côté droit.
Cathédrale San Lorenzo
Côté droit.
102
Cathédrale San Lorenzo <br> Côté droit. En 1522, fut construite la petite loge sur la tour nord-est, sur la façade, avec les formes typiques du maniérisme. Ell est décorée des symboles des quatre évangélistes.
Cathédrale San Lorenzo
Côté droit. En 1522, fut construite la petite loge sur la tour nord-est, sur la façade, avec les formes typiques du maniérisme. Ell est décorée des symboles des quatre évangélistes.
103
Cathédrale San Lorenzo <br> Côté droit. Portail roman orné d'une loggia garnie de quatre colonnes.
Cathédrale San Lorenzo
Côté droit. Portail roman orné d'une loggia garnie de quatre colonnes.
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Cathédrale San Lorenzo <br> Côté droit.
Cathédrale San Lorenzo
Côté droit.
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Cathédrale San Lorenzo <br>Côté gauche.
Cathédrale San Lorenzo
Côté gauche.
106
Cathédrale San Lorenzo <br>Sur le côté extérieur gauche de la cathédrale, de curieuses pierres gravées et sculptées, incorporées aux murs de l’édifice : ce sont des parois de sarcophages romains des IIIe, IVe et Ve siècles réemployées.
Cathédrale San Lorenzo
Sur le côté extérieur gauche de la cathédrale, de curieuses pierres gravées et sculptées, incorporées aux murs de l’édifice : ce sont des parois de sarcophages romains des IIIe, IVe et Ve siècles réemployées.
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Cathédrale San Lorenzo <br>Sur le côté extérieur gauche de la cathédrale, de curieuses pierres gravées et sculptées, incorporées aux murs de l’édifice : ce sont des parois de sarcophages romains des IIIe, IVe et Ve siècles réemployées.
Cathédrale San Lorenzo
Sur le côté extérieur gauche de la cathédrale, de curieuses pierres gravées et sculptées, incorporées aux murs de l’édifice : ce sont des parois de sarcophages romains des IIIe, IVe et Ve siècles réemployées.
108
Cathédrale San Lorenzo <br> Consacrée par le pape Gélase II en 1118, elle est dédiée à Saint Laurent, archidiacre de l'Église de Rome martyrisé en 258 sur la via Tiburtina. Après l’incendie de 1296, le bâtiment fut en partie restauré et en partie reconstruit en style gothique : entre 1307 et 1312, la majestueuse façade à rayures blanches et noires fut achevée, la contre-façade décorée de fresques et les colonnes intérieures furent reconstruites avec de nouveaux chapiteaux et l’ajout de faux balcon
Cathédrale San Lorenzo
Consacrée par le pape Gélase II en 1118, elle est dédiée à Saint Laurent, archidiacre de l'Église de Rome martyrisé en 258 sur la via Tiburtina. Après l’incendie de 1296, le bâtiment fut en partie restauré et en partie reconstruit en style gothique : entre 1307 et 1312, la majestueuse façade à rayures blanches et noires fut achevée, la contre-façade décorée de fresques et les colonnes intérieures furent reconstruites avec de nouveaux chapiteaux et l’ajout de faux balcon
109
Cathédrale San Lorenzo <br> Construite aux alentours de 1098 sur l'emplacement d’une précédente basilique datant du Ve-VIe siècle puis agrandie au fil des siècles sous des formes solennelles et précieuses, la cathédrale dédiée à Saint Laurent Martyr abrite les cendres du saint patron de la ville, Saint Jean-Baptiste, apportées à la fin de la première croisade, en 1098.
Cathédrale San Lorenzo
Construite aux alentours de 1098 sur l'emplacement d’une précédente basilique datant du Ve-VIe siècle puis agrandie au fil des siècles sous des formes solennelles et précieuses, la cathédrale dédiée à Saint Laurent Martyr abrite les cendres du saint patron de la ville, Saint Jean-Baptiste, apportées à la fin de la première croisade, en 1098.
110
Cathédrale San Lorenzo <br> L'alternance du gris et du blanc sur la façade, procédé assez commun dans la Ligurie et d'origine pisane, appuie l'aspect massif de l'ensemble, et la rapprocherait du style roman, tandis que les trois portails ornés de multiples statues la rapprochent des cathédrales gothiques de France. Les alternances se portent également sur les colonnes. L'escalier majestueux est entouré de deux murs portant des lions.
Cathédrale San Lorenzo
L'alternance du gris et du blanc sur la façade, procédé assez commun dans la Ligurie et d'origine pisane, appuie l'aspect massif de l'ensemble, et la rapprocherait du style roman, tandis que les trois portails ornés de multiples statues la rapprochent des cathédrales gothiques de France. Les alternances se portent également sur les colonnes. L'escalier majestueux est entouré de deux murs portant des lions.
111
Cathédrale San Lorenzo <br> Les tailleurs de pierre sont d'originz normande ou de l'ïle de Ftrance. Au-dessus des portails, à gauche, la Vierge avec Jésus dans ses bras, à droite, Saint Joseph.
Cathédrale San Lorenzo
Les tailleurs de pierre sont d'originz normande ou de l'ïle de Ftrance. Au-dessus des portails, à gauche, la Vierge avec Jésus dans ses bras, à droite, Saint Joseph.
112
Cathédrale San Lorenzo <br> Vierge à l'Enfant.
Cathédrale San Lorenzo
Vierge à l'Enfant.
113
Cathédrale San Lorenzo <br>Un des lions de l'escalier central.
Cathédrale San Lorenzo
Un des lions de l'escalier central.
114
Cathédrale San Lorenzo <br> Dans le portail du centre, le Christ bénissant, portant un livre doté d'une inscription, est entouré d'une mandorle ; il semble s'éveiller du tombeau, dont on voit la couche derrière lui. Le reste de ce niveau est agrémenté des quatre animaux de l'Apocalypse dans lesquels la tradition chrétienne reconnaît habituellement les quatre Évangélistes.

Dans le niveau inférieur, une frise horizontale présente le martyre de saint Laurent, sur un gril entouré de deux bourreaux qui attisent les flammes avec des soufflets. À gauche, on reconnaît l'empereur, barbu et qui d'un doigt impérieux commande l'exécution.
Cathédrale San Lorenzo
Dans le portail du centre, le Christ bénissant, portant un livre doté d'une inscription, est entouré d'une mandorle ; il semble s'éveiller du tombeau, dont on voit la couche derrière lui. Le reste de ce niveau est agrémenté des quatre animaux de l'Apocalypse dans lesquels la tradition chrétienne reconnaît habituellement les quatre Évangélistes. Dans le niveau inférieur, une frise horizontale présente le martyre de saint Laurent, sur un gril entouré de deux bourreaux qui attisent les flammes avec des soufflets. À gauche, on reconnaît l'empereur, barbu et qui d'un doigt impérieux commande l'exécution.
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Cathédrale San Lorenzo <br>
Cathédrale San Lorenzo
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Cathédrale San Lorenzo <br>À gauche du portail sont présentées des scènes de la vie du Christ : Annonciation, Visitation, Nativité, adoration des mages, présentation de Jésus au temple, massacre des inocents et Fuite en Égypte.
Cathédrale San Lorenzo
À gauche du portail sont présentées des scènes de la vie du Christ : Annonciation, Visitation, Nativité, adoration des mages, présentation de Jésus au temple, massacre des inocents et Fuite en Égypte.
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Cathédrale San Lorenzo <br>
Cathédrale San Lorenzo
118
Cathédrale San Lorenzo <br> À droite du portail, l'arbre de Jessé présente des scènes décrivant les ancêtres de chaque étape de l'histoire du peuple élu, jusqu'à Marie, surmontée du Père qui tient le Fils en croix de ses deux bras, alors que de sa bouche surgit la colombe du Saint-Esprit, rejoignant la tête du Fils.
Cathédrale San Lorenzo
À droite du portail, l'arbre de Jessé présente des scènes décrivant les ancêtres de chaque étape de l'histoire du peuple élu, jusqu'à Marie, surmontée du Père qui tient le Fils en croix de ses deux bras, alors que de sa bouche surgit la colombe du Saint-Esprit, rejoignant la tête du Fils.
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Cathédrale San Lorenzo <br> Côté droit. Le
Cathédrale San Lorenzo
Côté droit. Le "rémouleur".
120
Cathédrale San Lorenzo <br> L'intérieur est médiéval. L'ensemble se divise en trois nefs, assez lumineuses, dont les voûtes sont dénuées de tout ornement avant le transept. A droite, la chaire, réalisée en 1526 est de P. Scala da Carona.
Cathédrale San Lorenzo
L'intérieur est médiéval. L'ensemble se divise en trois nefs, assez lumineuses, dont les voûtes sont dénuées de tout ornement avant le transept. A droite, la chaire, réalisée en 1526 est de P. Scala da Carona.
121
Cathédrale San Lorenzo <br> L'ensemble se divise en trois nefs, assez lumineuses, dont les voûtes sont dénuées de tout ornement avant le transept.
Cathédrale San Lorenzo
L'ensemble se divise en trois nefs, assez lumineuses, dont les voûtes sont dénuées de tout ornement avant le transept.
122
Cathédrale San Lorenzo <br> Roman en haut, gothique en bas.
Cathédrale San Lorenzo
Roman en haut, gothique en bas.
123
Cathédrale San Lorenzo <br> Fresque du Maestro Constantinopolitano di San salvatore in Chora, environ 1312. La justice Finale. Au centre, la Vierge intercède pour les âmes des défunts. En dessous, la Christ entre deux chérubins. Dans la lunette, deux sérafins. De chaque côté, un ange souffle dans la trompe de la Justice. A gauche, L'hétimasia (?) représente un trône vide, symbolisant l'attente du retour du Christ de la Seconde Parousie. A droite, le fleuve de feu entraîne les damnés.
Cathédrale San Lorenzo
Fresque du Maestro Constantinopolitano di San salvatore in Chora, environ 1312. La justice Finale. Au centre, la Vierge intercède pour les âmes des défunts. En dessous, la Christ entre deux chérubins. Dans la lunette, deux sérafins. De chaque côté, un ange souffle dans la trompe de la Justice. A gauche, L'hétimasia (?) représente un trône vide, symbolisant l'attente du retour du Christ de la Seconde Parousie. A droite, le fleuve de feu entraîne les damnés.
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Cathédrale San Lorenzo <br>
Cathédrale San Lorenzo
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Cathédrale San Lorenzo <br>
Cathédrale San Lorenzo
126
Cathédrale San Lorenzo <br> Juste au-dessus de la statue du cardinal Pietro Boetto (1938-1945), une fresque de la Dernière cène de Lazzaro Tavarone réalisée en 1626.
Cathédrale San Lorenzo
Juste au-dessus de la statue du cardinal Pietro Boetto (1938-1945), une fresque de la Dernière cène de Lazzaro Tavarone réalisée en 1626.
127
Cathédrale San Lorenzo <br> Les stalles du  chœur sont en bois sculpté, gravé et marqueté : Anselmo De’ Fornari, Gio Michele de Pantaloni et Giovanni Piccardo 1527, Domenico et Francesco Zambelli 1540, Gaspari Forlani 1565.
Cathédrale San Lorenzo
Les stalles du chœur sont en bois sculpté, gravé et marqueté : Anselmo De’ Fornari, Gio Michele de Pantaloni et Giovanni Piccardo 1527, Domenico et Francesco Zambelli 1540, Gaspari Forlani 1565.
128
Cathédrale San Lorenzo <br> Vitraux : Pompéo Bertini a représenté Saint Jean-Baptiste Saint Georges Saint Laurent San Siro (1870). Au-dessus, trois statues de Lazzaro Tavarone qui représentent Saint Jean-Baptiste, Saint-Georges, Saint-Sébastien.
Cathédrale San Lorenzo
Vitraux : Pompéo Bertini a représenté Saint Jean-Baptiste Saint Georges Saint Laurent San Siro (1870). Au-dessus, trois statues de Lazzaro Tavarone qui représentent Saint Jean-Baptiste, Saint-Georges, Saint-Sébastien.
129
Cathédrale San Lorenzo <br> A gauche, au niveau des vitraux, statues de Saint-Jean l’évangéliste (1547) Giovannangelo Montorsoli et Saint Mathieu (1547. Gian Maria Cattaneo da Passallo. A droite, Saint Luc (1531) et Saint Marc Gian Giacomo Della Porta. Au milieu du sanctuaire, trône la statue de la Madone de la Cité, proclamée reine de Gènes le 25 mars 1637 par les Sérénissimes collèges de la république de Gênes, par Domenico Fiasella et Gio Battista Bianco, datée de 1637. Assise sur des nuages elle tient l’Enfant qui lui confie la Città représentée dans la base. Elle a ceci de particulier que deux anges tiennent une couronne au-dessus de la tête de la Madone en donnant l'impression de n'être appuyés sur rien.
Cathédrale San Lorenzo
A gauche, au niveau des vitraux, statues de Saint-Jean l’évangéliste (1547) Giovannangelo Montorsoli et Saint Mathieu (1547. Gian Maria Cattaneo da Passallo. A droite, Saint Luc (1531) et Saint Marc Gian Giacomo Della Porta. Au milieu du sanctuaire, trône la statue de la Madone de la Cité, proclamée reine de Gènes le 25 mars 1637 par les Sérénissimes collèges de la république de Gênes, par Domenico Fiasella et Gio Battista Bianco, datée de 1637. Assise sur des nuages elle tient l’Enfant qui lui confie la Città représentée dans la base. Elle a ceci de particulier que deux anges tiennent une couronne au-dessus de la tête de la Madone en donnant l'impression de n'être appuyés sur rien.
130
Cathédrale San Lorenzo <br> La voûte du sanctuaire est décorée d'un ensemble de stucs et de médaillons entourant deux grandes fresques de Lazzaro Tavarone présentant l'une Le martyre de saint Laurent, l'autre Saint Laurent portant les richesses de l'Église, c'est-à-dire les pauvres, à l'empereur.
Cathédrale San Lorenzo
La voûte du sanctuaire est décorée d'un ensemble de stucs et de médaillons entourant deux grandes fresques de Lazzaro Tavarone présentant l'une Le martyre de saint Laurent, l'autre Saint Laurent portant les richesses de l'Église, c'est-à-dire les pauvres, à l'empereur.
131
Cathédrale San Lorenzo <br> Lazzaro Tavarone a représenté au centre le martyre de Saint Laurent. (1622 – 1624).
Dans la lunette absidiale, Lazzaro Tavarone a représenté Saint Laurent, qui  après avoir vendu le patrimoine de L’Eglise pour le distribuer aux pauvres et aux malades,  indique à Valérien que le vrai trésor de l’Eglise est les nécessiteux. A gauche, Lazzaro Tavarone a représenté Saint Bernard de Chiaravall et Saint-Laurent dans les panneaux et  Zacharie, Salomon, Daniel par des statues en stuc doré. A droite, il a représenté Saint Étienne et Saint Michel l’Archange, et en statues Ezechiel, David, Isaïe.
Cathédrale San Lorenzo
Lazzaro Tavarone a représenté au centre le martyre de Saint Laurent. (1622 – 1624). Dans la lunette absidiale, Lazzaro Tavarone a représenté Saint Laurent, qui après avoir vendu le patrimoine de L’Eglise pour le distribuer aux pauvres et aux malades, indique à Valérien que le vrai trésor de l’Eglise est les nécessiteux. A gauche, Lazzaro Tavarone a représenté Saint Bernard de Chiaravall et Saint-Laurent dans les panneaux et Zacharie, Salomon, Daniel par des statues en stuc doré. A droite, il a représenté Saint Étienne et Saint Michel l’Archange, et en statues Ezechiel, David, Isaïe.
132
Cathédrale San Lorenzo <br>
Cathédrale San Lorenzo
133
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. La superbe chapelle située dans la nef gauche, dans laquelle sont conservées les cendres de Saint Jean Baptiste, véritable chef d'œuvre de l'art du XVe siècle. La chapelle fut construite suivant la volonté de la Confraternité de Saint Jean-Baptiste pour accueillir les reliques du précurseur transportées à Gênes par Mira da Guglielmo Embriaco en 1098. Après avoir la cathédrale, on décide la construction d’un monument pour honorer le Saint protecteur de Gênes.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. La superbe chapelle située dans la nef gauche, dans laquelle sont conservées les cendres de Saint Jean Baptiste, véritable chef d'œuvre de l'art du XVe siècle. La chapelle fut construite suivant la volonté de la Confraternité de Saint Jean-Baptiste pour accueillir les reliques du précurseur transportées à Gênes par Mira da Guglielmo Embriaco en 1098. Après avoir la cathédrale, on décide la construction d’un monument pour honorer le Saint protecteur de Gênes.
134
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste.  L’œuvre fut commanditée par Philippe Doria, neveu d’Andréa Doria, en 1530, en qualité de protecteur de la Congrégation de Saint-Jean, le baldaquin montre la volonté du commanditaire d’exalter le triomphe de Sant Jean sur le péché. L'autel de marbre blanc est surmonté d'un baldaquin, lui aussi en marbre blanc, soutenu par des colonnes de porphyre.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. L’œuvre fut commanditée par Philippe Doria, neveu d’Andréa Doria, en 1530, en qualité de protecteur de la Congrégation de Saint-Jean, le baldaquin montre la volonté du commanditaire d’exalter le triomphe de Sant Jean sur le péché. L'autel de marbre blanc est surmonté d'un baldaquin, lui aussi en marbre blanc, soutenu par des colonnes de porphyre.
135
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. La décoration de la chapelle commencée autour de 1460, et après divers remaniements et réorganisations, fut terminée par les revêtements en marbre et en stuc doré de la voûte et de la chapelle en 1608. La vierge avec Jésus Enfant d’Andréa Contucci (1467-1529), à gauche, et à droite, Jean-Baptiste d’Andréa Contucci.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. La décoration de la chapelle commencée autour de 1460, et après divers remaniements et réorganisations, fut terminée par les revêtements en marbre et en stuc doré de la voûte et de la chapelle en 1608. La vierge avec Jésus Enfant d’Andréa Contucci (1467-1529), à gauche, et à droite, Jean-Baptiste d’Andréa Contucci.
136
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Guido Galetti. L’autel (1950).
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Guido Galetti. L’autel (1950).
137
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Guido Galetti. L’autel (1950). De gauche à droite : Saint Jeanrteproche à Hérode d
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Guido Galetti. L’autel (1950). De gauche à droite : Saint Jeanrteproche à Hérode d"avoir épousé la femme de son demi-frère ; la fille d'Hérodiade demanda pour sa mère la tête de Jean Baptiste ; décollation de Saint Jean ; lamentations des disciples de Saint Jean à la découverte de son corps.
138
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. L’urne fut projetée pour être placée après l’autel de Saint-Jean : elle a la forme d’un édifice religieux avec le toit en pignon. Le devant et les côtés représentent des scènes tirées des Évangiles de Marc et de Matthieu qui raconte la vie du Saint. Le trou central quadrilobé permet la vision des reliques.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. L’urne fut projetée pour être placée après l’autel de Saint-Jean : elle a la forme d’un édifice religieux avec le toit en pignon. Le devant et les côtés représentent des scènes tirées des Évangiles de Marc et de Matthieu qui raconte la vie du Saint. Le trou central quadrilobé permet la vision des reliques.
139
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Gian Giacomo Della Porta avec Guglielmo et Nicolo Corte, baldaquin de l’autel (1532-1541)
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Gian Giacomo Della Porta avec Guglielmo et Nicolo Corte, baldaquin de l’autel (1532-1541)
140
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Le programme iconographique veut illustrer l'histoire du Salut de l'humanité, des origines (Adam et Eve), à travers les paroles des prophètes (les prophètes du futur Messie Abuc et Isaïe), pour arriver à la rédemption (Zacharie et Élisabeth) et au salut (Vierge et Saint Jean). Les statues de Matteo Civitali (milieu du XVe) : Isaïe, Saint Élisabeth, Eve et la vierge avec Jésus Enfant d’Andréa Contucci (1467-1529).
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Le programme iconographique veut illustrer l'histoire du Salut de l'humanité, des origines (Adam et Eve), à travers les paroles des prophètes (les prophètes du futur Messie Abuc et Isaïe), pour arriver à la rédemption (Zacharie et Élisabeth) et au salut (Vierge et Saint Jean). Les statues de Matteo Civitali (milieu du XVe) : Isaïe, Saint Élisabeth, Eve et la vierge avec Jésus Enfant d’Andréa Contucci (1467-1529).
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Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Au-dessus des statues, de Giovanni d’Adria : appartement d’Hérode et martyre de Saint Jean (marbre sculpté).
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Au-dessus des statues, de Giovanni d’Adria : appartement d’Hérode et martyre de Saint Jean (marbre sculpté).
142
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Au-dessus des statues, de Giovanni d’Adria : appartement d’Hérode et martyre de Saint Jean, la découverte et la récupération du corps de St Jean par ses disciples. (marbre sculpté).
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Au-dessus des statues, de Giovanni d’Adria : appartement d’Hérode et martyre de Saint Jean, la découverte et la récupération du corps de St Jean par ses disciples. (marbre sculpté).
143
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Les statues du même sculpteur : Adam, Zacharie, Abacuc (marbre blanc sculpté) et Jean-Baptiste d’Andréa Contucci
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Les statues du même sculpteur : Adam, Zacharie, Abacuc (marbre blanc sculpté) et Jean-Baptiste d’Andréa Contucci
144
Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Au-dessus des statues, de Gerolamo Viscardi, le Baptême de Jésus (marbre sculpté).
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Au-dessus des statues, de Gerolamo Viscardi, le Baptême de Jésus (marbre sculpté).
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Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Au-dessus des statues, de Gerolamo Viscardi, les prédications, le Baptême de Jésus (marbre sculpté).
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Au-dessus des statues, de Gerolamo Viscardi, les prédications, le Baptême de Jésus (marbre sculpté).
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Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Maître de l’arche du Baptiste (première moitié du XIIIe). Arche des reliques de Saint Jean-Baptiste (1225). Au-dessus de l’imposte de l’arche, dans les médaillons, à gauche l'Archange Gabriel et à droite la Vierge lors de l'Annonciation.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Maître de l’arche du Baptiste (première moitié du XIIIe). Arche des reliques de Saint Jean-Baptiste (1225). Au-dessus de l’imposte de l’arche, dans les médaillons, à gauche l'Archange Gabriel et à droite la Vierge lors de l'Annonciation.
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Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. La décoration de la chapelle commencée autour de 1460, et après divers remaniements et réorganisations, fut terminée par les revêtements en marbre et en stuc doré de la voûte et de la chapelle en 1608.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. La décoration de la chapelle commencée autour de 1460, et après divers remaniements et réorganisations, fut terminée par les revêtements en marbre et en stuc doré de la voûte et de la chapelle en 1608.
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Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste. Dans les pendentifs, les quatre évangélistes : en bas, Saint Marc, à gauche, Saint Matthieu, à droite, Saint Luc et en haut, Saint Jean.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Dans les pendentifs, les quatre évangélistes : en bas, Saint Marc, à gauche, Saint Matthieu, à droite, Saint Luc et en haut, Saint Jean.
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Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Cathédrale San Lorenzo <br> Tableau de l'Annonciation de Giovanni Battista Paggi.
Cathédrale San Lorenzo
Tableau de l'Annonciation de Giovanni Battista Paggi.
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Cathédrale San Lorenzo <br>
Cathédrale San Lorenzo
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Cathédrale San Lorenzo <br> Sarcophage du cardinal Laurent Flisco.
Cathédrale San Lorenzo
Sarcophage du cardinal Laurent Flisco.
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Cathédrale San Lorenzo <br> Un gisant.
Cathédrale San Lorenzo
Un gisant.
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Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Lercari. La chapelle est nommée d'après la famille Lercari, famille de patriciens génois dont la célébrité remonte au moins au XVIe siècle. Chapelle du Saint-Sacrement : la chapelle est composée de deux niveaux dans un ensemble, séparé du reste de la cathédrale par un premier niveau d'escaliers, puis par une table de communion en marbre en double arc de cercle qui distingue le sanctuaire du reste. L'autel est de Carlo Barabino,
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Lercari. La chapelle est nommée d'après la famille Lercari, famille de patriciens génois dont la célébrité remonte au moins au XVIe siècle. Chapelle du Saint-Sacrement : la chapelle est composée de deux niveaux dans un ensemble, séparé du reste de la cathédrale par un premier niveau d'escaliers, puis par une table de communion en marbre en double arc de cercle qui distingue le sanctuaire du reste. L'autel est de Carlo Barabino,
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Cathédrale San Lorenzo <br> Chapelle Lercari. La voûte de cette partie a été décorée par Giovanni Battista Castello le Bergamasque, présentant l'Assomption de la Vierge, dans la fresque couvrant la partie circulaire de l'abside, et le Couronnement de la Vierge dans le médaillon du plafond de la partie centrale, tandis que les deux côtés proposent une galerie de saints qui assistent au triomphe. L'ensemble est agrémenté de stucs dorés qui donnent du relief aux fresques.
Cathédrale San Lorenzo
Chapelle Lercari. La voûte de cette partie a été décorée par Giovanni Battista Castello le Bergamasque, présentant l'Assomption de la Vierge, dans la fresque couvrant la partie circulaire de l'abside, et le Couronnement de la Vierge dans le médaillon du plafond de la partie centrale, tandis que les deux côtés proposent une galerie de saints qui assistent au triomphe. L'ensemble est agrémenté de stucs dorés qui donnent du relief aux fresques.
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La basilique de San Lorenzo devint une cathédrale à partir du IXe siècle, et remplaça la basilique des Dodici Apostoli, consacrée au VIe siècle à San Siro, évêque de Gênes, et qui à cette époque se trouvait à l'extérieur de l'ancien centre de la ville. 

Avec le transfert de la cathédrale et la construction des remparts, le quartier de San Lorenzo devint le cœur de la ville en plein essor : dans une ville sans places, le parvis de San Lorenzo offre, pendant tout le Moyen-âge, une scène fondamentale pour la vie politique et civile.
La basilique de San Lorenzo devint une cathédrale à partir du IXe siècle, et remplaça la basilique des Dodici Apostoli, consacrée au VIe siècle à San Siro, évêque de Gênes, et qui à cette époque se trouvait à l'extérieur de l'ancien centre de la ville. Avec le transfert de la cathédrale et la construction des remparts, le quartier de San Lorenzo devint le cœur de la ville en plein essor : dans une ville sans places, le parvis de San Lorenzo offre, pendant tout le Moyen-âge, une scène fondamentale pour la vie politique et civile.
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Ancienne façade baroquisée.
Ancienne façade baroquisée.
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Ancienne façade baroquisée.
Ancienne façade baroquisée.
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Façade peinte renaissance.
Façade peinte renaissance.
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Façade peinte renaissance.
Façade peinte renaissance.
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Façade médièvale.
Façade médièvale.
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Place des écoles Pie. Eglise baroque de 1712.
Place des écoles Pie. Eglise baroque de 1712.
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Piazza delle cinque lampadi.
Piazza delle cinque lampadi.
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Une des Madonnette, ces anciennes niches votives que les corporations de marchands et d’artisans faisaient construire sur les maisonx. Vierge couronnée à l'Enfant.
Une des Madonnette, ces anciennes niches votives que les corporations de marchands et d’artisans faisaient construire sur les maisonx. Vierge couronnée à l'Enfant.
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Place Banchi. Située à deux pas du plus important quai de débarquement de la ville, cette place accueillait l'ancien marché du blé. Elle fut ensuite rebaptisée piazza “dei banchi” (XIIe siècle), en raison des comptoirs des agents de change installés sous les arcades des palais.
Place Banchi. Située à deux pas du plus important quai de débarquement de la ville, cette place accueillait l'ancien marché du blé. Elle fut ensuite rebaptisée piazza “dei banchi” (XIIe siècle), en raison des comptoirs des agents de change installés sous les arcades des palais.
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Place Banchi.
Place Banchi.
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Place Banchi.  La place fut dévastée par un terrible incendie en 1398 et c'est seulement au XVIe siècle que fut terminée la restauration de ses édifices, qui comprenait la construction d'une Loggia dei mercanti (Loggia des marchands) selon un projet d'Andrea Ceresola dit le Vannone, destinée à donner un toit aux banquiers et aux agents de change qui travaillaient dans le quartier. Elle est construite entre 1589 et 1595 pour répondre à la florissante économie de sa république. La loggia était composée d'un unique local à plan rectangulaire avec des ouvertures à arcades délimitées de colonnes jumelées. À l'extérieur, la façade présente des sculptures de mascarons placées aux centres d'arcs surmontés de bas-reliefs aux motifs ornementaux (casques, blasons, trophées guerriers). 

A partir de 1855, elle devint le siège de la première Borsa Merci e Valori (Bourse d'échange de marchandises et de valeurs) en Italie, transférée en 1922, piazza De Ferrari.
Place Banchi. La place fut dévastée par un terrible incendie en 1398 et c'est seulement au XVIe siècle que fut terminée la restauration de ses édifices, qui comprenait la construction d'une Loggia dei mercanti (Loggia des marchands) selon un projet d'Andrea Ceresola dit le Vannone, destinée à donner un toit aux banquiers et aux agents de change qui travaillaient dans le quartier. Elle est construite entre 1589 et 1595 pour répondre à la florissante économie de sa république. La loggia était composée d'un unique local à plan rectangulaire avec des ouvertures à arcades délimitées de colonnes jumelées. À l'extérieur, la façade présente des sculptures de mascarons placées aux centres d'arcs surmontés de bas-reliefs aux motifs ornementaux (casques, blasons, trophées guerriers). A partir de 1855, elle devint le siège de la première Borsa Merci e Valori (Bourse d'échange de marchandises et de valeurs) en Italie, transférée en 1922, piazza De Ferrari.
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Place Banchi. l'Eglise San Pietro in Banchi, est un exemple unique de bâtiment religieux construit au-dessus de commerces; un étrange mélange entre sacré et profane. L'église fut construite grâce aux produits dérivant de la vente des espaces consacrés à l'exercice du commerce, et était le fruit d' un compromis entre la volonté de la famille Lomellino – qui souhaitait destiner ces espaces à un usage commercial – et le désir de la population de construire une église afin de répondre à un vœu pour la cessation de la peste de 1579, comme le cite l’épigraphe inscrit sur la toile de la Vierge.
Place Banchi. l'Eglise San Pietro in Banchi, est un exemple unique de bâtiment religieux construit au-dessus de commerces; un étrange mélange entre sacré et profane. L'église fut construite grâce aux produits dérivant de la vente des espaces consacrés à l'exercice du commerce, et était le fruit d' un compromis entre la volonté de la famille Lomellino – qui souhaitait destiner ces espaces à un usage commercial – et le désir de la population de construire une église afin de répondre à un vœu pour la cessation de la peste de 1579, comme le cite l’épigraphe inscrit sur la toile de la Vierge.
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Place Banchi. Eglise Saint Pierre. Une tradition ancienne, confirmée par Jacopo da Varagine, veut que les premiers évangélistes de Ligurie, Nazario et Celso, arrivaient par la mer précisément dans ce lieu et entamaient ici la prédication de l'Evangile...
En outre, en continuité à cette origine
Place Banchi. Eglise Saint Pierre. Une tradition ancienne, confirmée par Jacopo da Varagine, veut que les premiers évangélistes de Ligurie, Nazario et Celso, arrivaient par la mer précisément dans ce lieu et entamaient ici la prédication de l'Evangile... En outre, en continuité à cette origine "missionaire", dans les années les plus récentes, jusqu'en 1982, l'église fut confiée aux Missionaires de la Consolata et Gênes fut le lieu de départ pour beaucoup d'évangélistes.
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Place Banchi. Une stimulation forte et quasiment un défi, la présence séculaire à proximité de l'Eglise de San Pietro, l'ancien siège du Banco San Giorgio, premier siège mondial du mouvement financier moderne.
La juxtaposition historique des deux Temples - celui du
Place Banchi. Une stimulation forte et quasiment un défi, la présence séculaire à proximité de l'Eglise de San Pietro, l'ancien siège du Banco San Giorgio, premier siège mondial du mouvement financier moderne. La juxtaposition historique des deux Temples - celui du "Dio Trino cristiano" et celui du "dio quattrino" - semble vouloir continuer même au présent, un défi jamais terminé entre le paganisme matérialiste et la vision intégrale de l'homme.
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Place Banchi.
Place Banchi.
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Place Banchi.
Place Banchi.
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Place Banchi.
Place Banchi.
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Place Banchi. A l’intérieur, le revêtement de marbre blanc est un bel exemple d’harmonie et d’équilibre classique.
Place Banchi. A l’intérieur, le revêtement de marbre blanc est un bel exemple d’harmonie et d’équilibre classique.
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Place Banchi. Précieux sont les marbres de la table de l’autel principal près du crucifix du dix-septième siècle aux harmonieuses formes esthétiques et son intense expressivité.
Place Banchi. Précieux sont les marbres de la table de l’autel principal près du crucifix du dix-septième siècle aux harmonieuses formes esthétiques et son intense expressivité.
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Place Banchi. Remarquables sont tes plâtres de la calotte absidiale, chef d’œuvre de Marcello Sparzo : ils représentent les moments de la Passion du Christ, la Sainte Trinité et la remise de la clé à S. Pietro, propriétaire de l’Eglise.
Place Banchi. Remarquables sont tes plâtres de la calotte absidiale, chef d’œuvre de Marcello Sparzo : ils représentent les moments de la Passion du Christ, la Sainte Trinité et la remise de la clé à S. Pietro, propriétaire de l’Eglise.
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Place Banchi. Harmonieux est l’intérieur de la coupole de base octogonale et dont les pendentifs présentent les quatre évangélistes avec leur attribut respectif. En bas, Saint Jean et son aigle, et Saint Luc et son taureau. En haut, Saint Marc et son lion, et Saint Matthieu et son homme.
Place Banchi. Harmonieux est l’intérieur de la coupole de base octogonale et dont les pendentifs présentent les quatre évangélistes avec leur attribut respectif. En bas, Saint Jean et son aigle, et Saint Luc et son taureau. En haut, Saint Marc et son lion, et Saint Matthieu et son homme.
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Place Banchi. Saint Marc et Saint Jean.
Place Banchi. Saint Marc et Saint Jean.
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Place Banchi. Saint Luc et Saint Matthieu.
Place Banchi. Saint Luc et Saint Matthieu.
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Place Banchi. Sur la gauche, la splendide chapelle  de l’Immaculée avec la toile de A. Sémino de 1588,
Place Banchi. Sur la gauche, la splendide chapelle de l’Immaculée avec la toile de A. Sémino de 1588,
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Place Banchi. et les statues des Saints Giovanni Battista et Sebastiano
Place Banchi. et les statues des Saints Giovanni Battista et Sebastiano
186
Place Banchi. et Giorgio et Rocco. Saints Giovanni Battista et Giorgiosont les patrons de l’ancienne République de Gênes, et Rocco et Sebastianosont invoqués contre la peste. Les statues sont de T. Carlone et D. Casella, début XVIIe.
Place Banchi. et Giorgio et Rocco. Saints Giovanni Battista et Giorgiosont les patrons de l’ancienne République de Gênes, et Rocco et Sebastianosont invoqués contre la peste. Les statues sont de T. Carlone et D. Casella, début XVIIe.
187
Place Banchi. Dans la chapelle de droite, dédiée à S. Giovanni Battista, la précieuse toile du martyre du Saint précurseur, patron de la ville, œuvre du peintre maniériste Lucquois Benedetto Brandimarte, fin XVIe.
Place Banchi. Dans la chapelle de droite, dédiée à S. Giovanni Battista, la précieuse toile du martyre du Saint précurseur, patron de la ville, œuvre du peintre maniériste Lucquois Benedetto Brandimarte, fin XVIe.
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Place Banchi. Décollation de Saint Jean-Baptiste. A côté, les statues de marbre de  S. Elisabetta et S. Zaccaria.
Place Banchi. Décollation de Saint Jean-Baptiste. A côté, les statues de marbre de S. Elisabetta et S. Zaccaria.
189
Place Banchi. Les statues de marbre de S. Stefano et S. Elisabetta.
Place Banchi. Les statues de marbre de S. Stefano et S. Elisabetta.
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Place Banchi. S. Zaccaria et S. Giovanni Evangelista. Les statues sont de T. Carlone et D. Casella, début XVIIe.
Place Banchi. S. Zaccaria et S. Giovanni Evangelista. Les statues sont de T. Carlone et D. Casella, début XVIIe.
191
Place Banchi. L'assomption de la Vierge.
Place Banchi. L'assomption de la Vierge.
192
Palais du capitaine du Peuple. Le capitaine du peuple est une figure politique de l'administration locale historique des cités italiennes ; il semble qu'il était plutôt en opposition aux familles nobles.
Palais du capitaine du Peuple. Le capitaine du peuple est une figure politique de l'administration locale historique des cités italiennes ; il semble qu'il était plutôt en opposition aux familles nobles.
193
Palais Saint Georges.
Palais Saint Georges.
194
Palais Saint Georges..Construit en 1260 par l'architecte cistercien Oliverio sur ordre de Guglielmo Boccanegra, oncle de Simone Boccanegra, le premier doge de Gênes, les matériaux de sa construction proviennent de la démolition de l'ambassade vénitienne de Constantinople, obtenus de l'empereur byzantin Michel VIII pour l'aide génoise contre l'empire latin. Le palais, prévu pour la création d'un centre civil et politique (palazzo del Capitano del Popolo), était destiné à élever la puissance temporelle du gouvernement de la république de Gênes en face de la puissance religieuse du clergé portée au Duomo di San Lorenzo.

En 1262, Guglielmo Boccanegra forcé à l'exil, le palais est transformé en prison et Marco Polo en fut un illustre résident où il dicta ses mémoires en 1296 à Rustichello de Pise qui devinrent Le Dévisement du monde aussi connu comme le Livre des Merveilles.
Palais Saint Georges..Construit en 1260 par l'architecte cistercien Oliverio sur ordre de Guglielmo Boccanegra, oncle de Simone Boccanegra, le premier doge de Gênes, les matériaux de sa construction proviennent de la démolition de l'ambassade vénitienne de Constantinople, obtenus de l'empereur byzantin Michel VIII pour l'aide génoise contre l'empire latin. Le palais, prévu pour la création d'un centre civil et politique (palazzo del Capitano del Popolo), était destiné à élever la puissance temporelle du gouvernement de la république de Gênes en face de la puissance religieuse du clergé portée au Duomo di San Lorenzo. En 1262, Guglielmo Boccanegra forcé à l'exil, le palais est transformé en prison et Marco Polo en fut un illustre résident où il dicta ses mémoires en 1296 à Rustichello de Pise qui devinrent Le Dévisement du monde aussi connu comme le Livre des Merveilles.
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Palais Saint Georges. En 1408, le palais est devenu le siège de la banque Saint-Georges ou Office de Saint Georges.

En 1481-1482 Le peintre Carlo Braccesco orne les façades de fresques en trompe-l'œil.

Le palais est agrandi en 1571 et ensuite plusieurs fois restauré.

Il est, depuis 1903, le bureau des autorités portuaires de Gênes.
Palais Saint Georges. En 1408, le palais est devenu le siège de la banque Saint-Georges ou Office de Saint Georges. En 1481-1482 Le peintre Carlo Braccesco orne les façades de fresques en trompe-l'œil. Le palais est agrandi en 1571 et ensuite plusieurs fois restauré. Il est, depuis 1903, le bureau des autorités portuaires de Gênes.
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Palais Saint Georges.
Palais Saint Georges.
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Le port. Quai Falcone Borsellino.
Le port. Quai Falcone Borsellino.
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Le port.
Le port.
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Le port. A droite, l'aquarium avec sa biosphère.
Le port. A droite, l'aquarium avec sa biosphère.
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Le port. A droite, l'aquarium avec sa biosphère. Au fond, le Crayon.
Le port. A droite, l'aquarium avec sa biosphère. Au fond, le Crayon.
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Le port. A droite, l'aquarium avec sa biosphère. Au fond, le Crayon.
Le port. A droite, l'aquarium avec sa biosphère. Au fond, le Crayon.
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Palazzo Lercari Spinola ou Palazzo de Gio. Maria Spinola (XVIe siècle). Via degli Orefici, 7
Palazzo Lercari Spinola ou Palazzo de Gio. Maria Spinola (XVIe siècle). Via degli Orefici, 7
203
La basilique Santa Maria delle Vigne, originairement « Sancta Maria en Vineis » est une des plus anciennes basiliques catholiques de Gênes, en Italie. La façade est géométrique, mais d’une géométrie qui manque d’harmonie dans la partie supérieure, avec ses 3 fenêtres semi-circulaires.
La basilique Santa Maria delle Vigne, originairement « Sancta Maria en Vineis » est une des plus anciennes basiliques catholiques de Gênes, en Italie. La façade est géométrique, mais d’une géométrie qui manque d’harmonie dans la partie supérieure, avec ses 3 fenêtres semi-circulaires.
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La basilique Santa Maria delle Vigne. Les plus anciens documents, qui en attestent la présence, datent du Xe siècle même s'il est plausible qu'elle ait été édifiée sur les fondations d'un bâtiment du VIe siècle.
Elle s'élève sur un terrain qui correspondait aux vignes du roi, d'où son nom. Architectures romane et néoclassique. La façade est de 1842, et l'intérieur du XVIe. Dans la partie basse l’architecte a gardé les colonnes de la restauration précédente.
La basilique Santa Maria delle Vigne. Les plus anciens documents, qui en attestent la présence, datent du Xe siècle même s'il est plausible qu'elle ait été édifiée sur les fondations d'un bâtiment du VIe siècle. Elle s'élève sur un terrain qui correspondait aux vignes du roi, d'où son nom. Architectures romane et néoclassique. La façade est de 1842, et l'intérieur du XVIe. Dans la partie basse l’architecte a gardé les colonnes de la restauration précédente.
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Place des vignes. Palazzo Spinola – Grillo ( XIII siécle). Façade médiévale.
Place des vignes. Palazzo Spinola – Grillo ( XIII siécle). Façade médiévale.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Le Palais Grillo. La salle est peinte à fresque par Castello Bergamasco, le sujet est le festin donné à Enée par Didon.
Le Palais Grillo. La salle est peinte à fresque par Castello Bergamasco, le sujet est le festin donné à Enée par Didon.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Le Palais Grillo.
Le Palais Grillo.
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Place Campetto. La forme allongée de cette place remonte au Moyen Age. Elle est entourée par d'importants palais : Palazzo Imperiali au n° 8 et Palazzo Casareto ou del Melegrano, au n°2. Au centre de la place, une fontaine en hauteur aux armes de la ville (1643) permettait de se servir de l'eau sans avoir à se baisser.
Place Campetto. La forme allongée de cette place remonte au Moyen Age. Elle est entourée par d'importants palais : Palazzo Imperiali au n° 8 et Palazzo Casareto ou del Melegrano, au n°2. Au centre de la place, une fontaine en hauteur aux armes de la ville (1643) permettait de se servir de l'eau sans avoir à se baisser.
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Place Campetto. Palazzo Casareto ou del Melegrano, baptisé ainsi en raison du grenadier qui pousse au premier étage, au n°2. Il est le siège aujourd'hui d'un grand magasin.
Place Campetto. Palazzo Casareto ou del Melegrano, baptisé ainsi en raison du grenadier qui pousse au premier étage, au n°2. Il est le siège aujourd'hui d'un grand magasin.
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Dans ce magasin, la statue d'Hercule du XVIIe siècle qui abat l'hydre. Filippo Parodi (1630-1702), influence évidente de Puget.
Dans ce magasin, la statue d'Hercule du XVIIe siècle qui abat l'hydre. Filippo Parodi (1630-1702), influence évidente de Puget.
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Patisserie Pietro Romanengo fu Stefano. Pietro Romanengo fu Stefano SRL est une
Patisserie Pietro Romanengo fu Stefano. Pietro Romanengo fu Stefano SRL est une "confiserie" au sens du dix-huitième siècle : une entreprise constituée d'un laboratoire artisanal, où les fruits, les fleurs, le cacao, le sucre, les épices et de prestigieuses boutiques génoises , dont l'une est liée au ministère de l' Héritage culturel et de l'environnement, meublées avec des meubles en bois et ornées de hauts-reliefs en marbre sur la façade extérieure. Depuis 1780 , Stefano SRL était l’approche du marché par Pietro Romanengo, à l’instar des vieux confiseurs, qui combinaient des produits raffinés avec des paquets précieux dans des magasins élégants.
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Patisserie Pietro Romanengo fu Stefano
Patisserie Pietro Romanengo fu Stefano
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Tabernacle de Saint Jean-Baptiste, XVIIe-XVIIIe
Tabernacle de Saint Jean-Baptiste, XVIIe-XVIIIe
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Tabernacle de Saint Jean-Baptiste, XVIIe-XVIIIe
Tabernacle de Saint Jean-Baptiste, XVIIe-XVIIIe
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Dessus de porte représentant Saint Georges terrassant le démon, XIIIe.
Dessus de porte représentant Saint Georges terrassant le démon, XIIIe.
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Piazza delle Fontane Marose, où se trouvait notre hôtel.
Piazza delle Fontane Marose, où se trouvait notre hôtel.
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