Le Palais de la Commune présente un intérêt particulier, car sa structure originelle semble remonter au XVe siècle mais elle a subi de vastes modifications au cours des siècles successifs.
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Diano Castello.
Porche où sont peints à fresque les armoiries de quelques nobles familles du pays .
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Diano Castello.
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Diano Castello.
Armoiries de quelques nobles familles du pays dont les membres, au cours des siècles, ont rendu honneur à la communauté.
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Diano Castello.
Armoiries de quelques nobles familles du pays dont les membres, au cours des siècles, ont rendu honneur à la communauté.
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Diano Castello.
Tableaux dans lesquels sont gravés les noms des localités limitrophes autrefois soumises à la juridiction de Diano Castelio ainsi que la période de cet assujettissement.
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Diano Castello.
Tableaux dans lesquels sont gravés les noms des localités limitrophes autrefois soumises à la juridiction de Diano Castelio ainsi que la période de cet assujettissement.
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Diano Castello.
Tableaux dans lesquels sont gravés les noms des localités limitrophes autrefois soumises à la juridiction de Diano Castelio ainsi que la période de cet assujettissement.
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Diano Castello.
Tableaux dans lesquels sont gravés les noms des localités limitrophes autrefois soumises à la juridiction de Diano Castelio ainsi que la période de cet assujettissement.
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Diano Castello.
Tableaux dans lesquels sont gravés les noms des localités limitrophes autrefois soumises à la juridiction de Diano Castelio ainsi que la période de cet assujettissement.
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Diano Castello.
Tableaux dans lesquels sont gravés les noms des localités limitrophes autrefois soumises à la juridiction de Diano Castelio ainsi que la période de cet assujettissement.
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Diano Castello.
Armoiries de la Commune représentant un griffon ou lion ailé, autrefois symbole de la magnifique Cornmunitas Diani.
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Diano Castello.
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Diano Castello.
Armoiries de la ville.
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Diano Castello.
Au cours du XIIIe siècle, les affrontements entre les républiques marinières de Pise et de Gênes étaient devenus de plus en plus fréquents.
Le personnage clef de cette période fut Benedetto Zaccaria, marchand richissime, qui avec sa galère avait déjà assailli de nombreux bateaux pisans dans la Méditerranée. Le gouvernement génois lui confia la mission d'armer une flotte pour faire plier les adversaires irréductibles. Les combattants furent choisis parmi les marins du Ponant, parmi eux ceux du Castrum Diani. Le 6 août 1284, arriva la bataille décisive.
Les Pisans, avec à leur commandement le Podestat Alberto Morosino, en pensant que la flotte génoise était de dimension limitée, sortirent du port pour livrer bataille. L'affrontement semblait tourner en leur faveur, lorsque sortirent de leur cachette les galères de Benedetto Zaccaria qui de par leur supériorité en nombre déterminèrent la victoire des Génois. Dans les moments les plus intenses des combats, qui furent très sanglants, les hommes de Diano démontrèrent un courage exceptionnel.
Gênes reconnut leur vaillante contribution avec une inscription de mérite dans la salle du Grand Conseil
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Diano Castello.
L'église saint Nicolas de Bari, construite entre 1699 et 1725 par l'architecte Gio Batta Marvaldi et son fils Giacomo Filippo.
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Diano Castello.
Architrave en ardoise du XVie siècle. Au centre, une Vierge à l'Enfant, tandis que les armoiries ont été martelées.
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Piazza Clavesana.
La Piazza Clavesana est presque un joyau avec son pavage richement travaillé.
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Piazza Clavesana.
C'est là que surgissait le Château (Castello) des feudataires de l'endroit, les Marquis de Clavesana.
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Piazza Clavesana.
De sa structure originale, peut-être du XIe siècle, qui semble consister en une tour quadrangulaire avec des murs très épais où s'ouvraient des meurtrières, il ne reste que quelques traces telles que les suites d'arcades qui délimitent un côté de la place et la pierre sculptée peut-être exprès sur la porte principale de l'immeuble.
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Piazza Clavesana.
Le sujet de l'œuvre est plutôt rare: le baptême de Jésus par S. Jean Baptiste. Même la forme des écussons insérés dans les trophées de feuilles est insolite.
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Eglise de l'Assomption.
L'église, en style roman, remonte à la fin du XIIe siècle ou au début du XIIIe. La façade a en revanche été complètement refaite après les dégâts subis par l'église suite au tremblement de terre de 1887.
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Eglise de l'Assomption.
Le clocher est plus tardif et est de style baroque.
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Eglise de l'Assomption.
L'abside est la partie la plus ancienne et est enrichie par une suite d'arcades continues qui se terminent avec des têtes sculptées en haut relief appelées protomés et par trois ouvertures avec un arc en plein cintre (monofore). Dans le tympan, on peut remarquer une petite fenêtre en forme de croix.
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Eglise de l'Assomption.
Suite d'arcades continues qui se terminent avec des têtes sculptées en haut relief, appelées protomés (Ce votif apparaît souvent au cours du moyen-âge et semble être une réminiscence de cultes préhistoriques).
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
Porte latérale .
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Eglise de l'Assomption.
Au-dessus de la porte latérale est inséré un petit panneau en marbre blanc représentant la Vierge avec l'Enfant dont le cadre en pointe est en style gothique fleuri.
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Eglise de l'Assomption.
L'intérieur se présente à nef unique et était, avant la restauration, presque entièrement enduit et peint. Sur le mur de droite, des fresques remontant au XIVe - XVe siècle ont été découvertes, très probablement des œuvres de différents artistes (en particulier d'Antonio Monteregale ?).
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Eglise de l'Assomption.
Dans la zone de l'abside les fresques sont en revanche plus récentes, alors que le bord blanc et noir ainsi que les ouvertures sont sûrement romanes.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
L'assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
Dans la niche qui s'ouvre sur la droite, est peint un faux polyptyque avec la Vierge et l'Enfant avec à leurs pieds une multitude de fidèles orants.
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Eglise de l'Assomption.
Anne, Marie et Jésus.
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Eglise de l'Assomption.
Vierge à l'enfant. A droite, Saint Jean Baptiste. A gauche, sta Claire d'Assise.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
Saint Nicolas.
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Eglise de l'Assomption.
La grande figure de Saint Christophe ressort, alors que plus petites, mais particulièrement suggestives sont les images qui représentent la vie du Christ.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
Assomption et Jésus devant le Sanhédrin.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
Le sermon sur la montagne.
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Eglise de l'Assomption.
La Résurection, avec les soldats endormis.
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Eglise de l'Assomption.
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Eglise de l'Assomption.
Sur le mur du fond se trouvent deux polyptyques : celui sur la gauche est attribué à un peintre du cercle des Brea qui opérèrent dans la seconde moitié du XV° siècle entre la Ligurie du Ponant et la zone de Nice, et représente une Vierge qui allaite l'Enfant, un apôtre et st Jean l'évangéliste.
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Eglise de l'Assomption.
Le polyptyque de droite est attribué au cercle du peintre Agostino Casanova de la première moitié du XVIIe siècle et| représente Sainte Lucie entourée par des saints : saint Jacques le Majeur, saint Roch, saint Sébastien, saint François.
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Eglise de l'Assomption.
Baptême de Jésus.
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Eglise de l'Assomption.
La Visitation.
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Eglise de l'Assomption.
La Vierge du Rosaire avec saint Dominique et sainte Catherine de Sienne.
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Eglise de l'Assomption.
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Diano Castello.
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Diano Castello.
La maison la plus ancienne.
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Diano Castello.
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Diano Castello.
Traces d'une des quatre portes qui s'ouvraient dans le cercle de murs et précisément le Portello de S. Pietro (Petite Porte de St Pierre).
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Diano Castello.
Les portails en ardoise sculptés avec des figures en haut-relief que l'on peut encore admirer présentent un intérêt particulier. Elles sont du XVIe siècle.
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Diano Castello.
Un noble.
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Diano Castello.
Un soldat.
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Diano Castello.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Saint Jean Baptiste et saint Bernardin de Sienne qui présente le monogramme du Christ IHS.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Il remonte au XIIe siècle et est un remarquable exemple d'architecture romane. Dans les parois de l'église, construites avec des pierres équarries s'ouvrent d'étroites fenêtres à une ouverture à arc monolithique.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Il paraît qu'avant l'actuelle, il préexistait une église proto-romane, peut-être du XIe siècle, à trois nefs avec absides qui se sont conservées jusqu'en 1800, quand elles furent abattues pour permettre le passage de la route carrossable. Elle présente maintenant une structure longitudinale à pièce unique qui se termine par une vaste abside semi-circulaire.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Une mandorle avec le Christ bénissant et les apôtres.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Une mandorle avec le Christ bénissant.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Les apôtres: st Pierre, st André...
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Le tympan est décoré avec une fresque de l'Annonciation de la moitié du XVe siècle.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
A l'intérieur, les fermes en bois, datant du XVe siècle, décorée avec goût avec des poutres et des supports, et où sont insérées plusieurs petits tableaux peints représentant le cycle de mois, le travail de l'homme dans la campagne et des représentations de saints, sans doute l'un des rares exemples de ce type existant en Ligurie.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Les plaques, plus de 200, représentent des Saints et des scènes de la vie quotidienne, elles sont donc importantes pour une meilleure connaissance des habitudes et usages de la zone à la moitié du XVe siècle.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Epigraphe qui témoigne l'œuvre méritoire du Podestat Antonio Grimaldi ayant l'objectif d'améliorer, au cours de la deuxième moitié du XVe siècle, la viabilité du village.
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Oratoire de Saint Jean-Baptiste.
Installations pour la coulée des cloches datant du XIVe et XVIIIe siècles.
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Diano Castello.
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Cervo.
Petit village construit au sommet d’une colline, Cervo domine le golfe de Diana.
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Cervo.
Palais Viale, de la première moitié du XVIII siècle.
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Cervo.
Palais Viale, de la première moitié du XVIII siècle.
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Cervo.
Palais de la Méridienne, XVII siècle. Son nom vient du cadran solaire peint sur sa façade.
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Cervo.
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Cervo.
Palais Morchio, XVIIe siècle. Il fut construit pour Falcone Morchio, sénateur de la République de Gênes. La fortune de la famille vient du commerce et de la pêche du corail.
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Cervo.
Palais Morchio.
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Cervo.
Palais Morchio.
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Cervo.
Palais Morchio.
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Cervo.
Palais Morchio. Beau portique de l'étage noble.
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Cervo.
Palais Morchio.
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Cervo.
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Cervo.
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Oratoire Santa Caterina.
L'église fut construite par les Chevaliers de Saint Jean de Jérusalem en 1198 et dédiée à leur protecteur saint Jean Baptiste. Elle fut consacrée en 1641 comme paroisse et en 1762 elle est le siège de confrérie de sainte Catherine.
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Oratoire Santa Caterina.
Sur le chapiteau, on peut voir une tête humaine qui défend l’espace sacré de la menace du mal.
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Oratoire Santa Caterina.
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Oratoire Santa Caterina.
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Oratoire Santa Caterina.
Toile de Francesco Carrega de 1762.
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Oratoire Santa Caterina.
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Oratoire Santa Caterina.
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Oratoire Santa Caterina.
Fresques du Quattrocento et Cinquecento.
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Oratoire Santa Caterina.
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Oratoire Santa Caterina.
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Oratoire Santa Caterina.
Fresques du Quattrocento et Cinquecento.
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Oratoire Santa Caterina.
Fresques du Quattrocento et Cinquecento.
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Oratoire Santa Caterina.
Fresques du Quattrocento et Cinquecento.
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Oratoire Santa Caterina.
Fresque représentant Saint Georges, 1632.
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San Giovanni Battista.
La ville est dominée par la très grande et belle église baroque Giovanni dei Corallini, construite de 1686 à 1734. Réalisée par l’architecte Gio Batta Marvaldi au XVIIème siècle, elle fut financée par les villageois grâce aux richesses apportées par la pèche et le commerce de corail. A la mort de Gio Batta, c'est son fils Giacome Filippo qui prit la suitte. Le clocher a été construit entre 1758 et 1778, suivant le projet de Francesco Carrega.
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San Giovanni Battista.
La décoration de la façade de 1768 est l'oeuvre de Michelle Mazetti. Statues de l'évêque st Nicolas, de saint Jean Baptiste et d'un religieux.
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San Giovanni Battista.
Le cerf dans les armoiries de la ville.
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San Giovanni Battista.
L'église est à nef unique, avec des chapelles de chaque côté.
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San Giovanni Battista.
Autel de l'Assomption, 1937.
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San Giovanni Battista.
Autel dédié à san Nicola da Tolentina, avec au-dessus une toile représentant le saint thaumaturge.
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San Giovanni Battista.
L'autel de la chapelle de st Joseph a été réalisé entre 1779 et 1783 par Gaggino. La toile représente la mort du saint.
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San Giovanni Battista.
Autel des âmes du Purgatoire de Benardo Gaggino, 1772.
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San Giovanni Battista.
Chaire en marbre du XVIe siècle de Gio Maria Pambus.
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San Giovanni Battista.
Saint Jean-Baptiste, une pietà, saint Georges.
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San Giovanni Battista.
Autel de saint Erasmo, patron des marins, est dû à Antonio Pittalunga. Toile représentant La Vierge du Secours, saint Erasme et sainte Claire, exécutée par Gio Lorenzo Bertolotto en 1736.
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San Giovanni Battista.
Autel de saint Antoine de Padoue, réalisé entre 1763 et 1767 par Gaggino. La satue en bois est attribuée à l'école gênoise de XVIIIe siècle.
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San Giovanni Battista.
Les marbres de l'autel du Crucifix furent travaillés par Gaggino en colaboration avec Bernardo Orsatti entre 1761 et 1763. Les colonnes torses en marbre noir encadrent le crucifix d'Anton Maria Maragliano.
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San Giovanni Battista.
L'autel de la Vierge du Rosaire fut réalisé en 1730 par le marbrier Carlo Antonio Rippa di Loano. La statue de la vierge à l'Enfant est due à Ratto, en 1665. Elle est entourée par des écussons qui représentent les Mystères du Rosaire, peint en 1777, probablement par Carlo Giuseppe Aicardi, dit Calafatto.
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San Giovanni Battista.
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San Giovanni Battista.
L'autel a été réalisé par le sculpteur Antonio Pitaluga de Gênes. Les stalles sont du XVIIIe siècle. A gauche, la statue de la Vierge du Rosaire par Anron Maria Maragliano, en 1722-1724.
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San Giovanni Battista.
Crucifix en bois de Maragliano probablement.
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San Giovanni Battista.
Tabernacle des huiles saintes du XVe siècle.
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San Giovanni Battista.
Les fresques de la voûte.
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San Giovanni Battista.
Les fresques de la voûte de la nef ont été réalisées après le tremblement de terre de 1887 par Graffigna de Gênes.
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San Giovanni Battista.
Naissance de saint Jean Baptiste. Il est le fils du prêtre Zacharie et d’Élisabeth.
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San Giovanni Battista.
St Jean Baptiste devant Hérode Antipas, tétrarque de Galilée, et Hérodiade, l'épouse de son demi-frère Hérode.
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San Giovanni Battista.
Décapitation de saint Jean Baptiste. La fille d'Hérodiade, Salomé, demanda pour sa mère la tête de Jean Baptiste présentée sur un plateau.
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San Giovanni Battista.
Saint Georges.
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San Giovanni Battista.
Fresques de l'abside réalisées par Francesco Carrega.
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San Giovanni Battista.
Saint Jean Baptiste indiquant le Christ.
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San Giovanni Battista.
Fonts baptismaux.
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Cervo.
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Château des Clavesana.
Il domine Cervo et constitue un exemple intéressant d'architecture civile et militaire du Moyen Age ligure (XIIesiècle). Aujourd'hui, il héberge l'office du tourisme et le Musée ethnographique du Ponant ligure. Vers la fin du XIIe siècle, Boniface Ier, marquis de Clavesana, fait édifié une forteresse qui englobe une tour carrée préexistante. Au début du XVIIe, une église dédiée à Sainte Catherine d'Alexandrie est réalisée. En 1700, c'est l'hôpital de Chevaliers de Rhodes qui vient s'y installer.
