C'est le second ensemble archiépiscopal après le Palais des papes d'Avignon, il est composé du palais vieux d'origine romane et du palais neuf de style gothique. Le passage de l'ancre relie la place de l'Hôtel de Ville au cloître de la cathédrale. Sa façade comporte trois tours carrées datant des XIIIe et XIVe siècles. Deux tours encadrent le palais Neuf et la façade néogothique aménagée par Viollet-le-Duc pour y loger l’Hôtel de Ville dès 1845 : à gauche, l’imposant donjon Gilles Aycelin (fin XIIIe s.), de l’autre côté, plus petite, la tour Saint Martial (1347). A droite, le passage de l’Ancre, dont le nom évoque les droits perçus par les archevêques sur le littoral, sépare le palais Neuf, du palais primitif d’origine romane (Palais vieux) et communique avec le cloître et la cathédrale. Puis, la lour et ancienne chapelle de la Madeleine (1273)
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Le palais des archevêques
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Le palais des archevêques
Cette fontaine se trouve au pied du donjon Gilles Aycelin.
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Le palais des archevêques
Cette fontaine se trouve au pied du donjon Gilles Aycelin.
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Donjon Gilles Aucelin.
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Donjon Gilles Aucelin.
Haute de 42 mètres et couronnée d’échauguettes, cette puissante tour carrée, construite de 1295 à 1306 par l’Archevêque Gilles Aycelin à l’angle sud-est du Palais Neuf, offre un point de vue exceptionnel sur la ville. Ses murs renferment quatre salles desservies par un escalier à vis de 162 marches : salle hémisphérique, salle dite du Trésor, chambre du roi et salle de défense.
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Donjon Gilles Aycelin.
Salle voûtée d'ogives.
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Donjon Gilles Aycelin.
Salle voûtée d'ogives.
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Donjon Gilles Aycelin.
Salle voûtée d'ogives.
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Donjon Gilles Aycelin.
Salle voûtée d'ogives.
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Donjon Gilles Aycelin.
Salle voûtée d'ogives.
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Place de l'hôtel de ville, avec une portion de la voie Domitia. C'est un vestige de la première grande route romaine tracée en Gaule à partir de 120 av. J.-C. par le proconsul Cneus Domitius Ahenobarbus deux ans avant la fondation de la Colonia Narbo Martius, deuxième colonie romaine en Gaule, après Aix-en-Provence. La voie Domitienne reliait l’Italie à l’Espagne romanisée.
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Palais des archevêques.
Le Palais Vieux, le palais primitif d’origine romane. A droite, le bâtiment du Synode (XIVe).
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Palais des archevêques.
Le Palais Vieux, le palais primitif d’origine romane.
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Palais des archevêques.
Le Palais Vieux, le palais primitif d’origine romane.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
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AQ droite, le clocher de Théodard, avec derrière, le donjon Gilles Aycelin. A gauche, la tour de l'ancienne chapelle de la Madeleine cachant, à moiti', la tour Saint Martial.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
A gauche, en bas, la cour de la Madeleine, avec le magnifique réemploi d’un portail roman en marbre blanc.
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Le cloitre.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
Le cloitre et le clocher de l'église de Thèodard, qui est le seul élément visible de la cathédrale carolingienne.
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Le clocher de l'église de Thèodard
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Le clocher de l'église de Thèodard.
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Le clocher de l'église de Thèodard et la cour de la Madeleine. A droite, la chapelle de l'Annonciade.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
Le cloitre. Ce cloître gothique relie le Palais des Archevêques au chœur fortifié de la cathédrale. Il fut construit à l’emplacement de la nef de l’ancienne cathédrale préromane dont la tour, dite “de Théodard”, est le seul vestige visible. Les travaux commencent vers 1350 (galeries nord, est et ouest) puis, après une interruption, reprennent en 1417 (galerie et porte sud – côté Palais).
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Le cloitre.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
Le cloitre. Ses quatre galeries voûtées d’ogives sont éclairées chacune par cinq arcades en arc brisé. Le cloître communique à l’est avec la chapelle de l’Annonciade (XVe s.) à laquelle on accède depuis la cathédrale. Lesgaleries ont également servi de cimetière comme en témoignent les enfeux logés dans l’épaisseur des parois sud et ouest.
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Le cloitre. Sur la droite, le jardin des achevêques.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
Le cloitre. Sur la droite, le jardin des achevêques.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
Le maître-autel date de 1694 à 1695 par Laurel, sur les dessins de Jules Hardouin-Mansart. En 1752, l'autel fut refait par Joseph Gitard, et en 1841, Viollet-le-Duc fit le tabernacle et le retable.
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La chapelle de Notre-Dame-de-Bethléem. Elle permet de voir l'ancien retable en pierre sculptée polychrome du XIIIe siècle découvert en 1847 mais restauré seulement à partir de 1954. La statue de la vierge à l’enfant en albâtre au centre du groupe est indépendante du reste de la composition. Elle mesure 1,80 m de hauteur, dans le style du Maître de Rieux, et date probablement du 3e quart du XIVe siècle. La documentation des monuments historiques retient l'hypothèse d'un don de Monseigneur François de Conzié, archevêque de Narbonne de 1391 à 1433.
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La chapelle de Notre-Dame-de-Bethléem. La statue de la vierge à l’enfant en albâtre
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La chapelle de Notre-Dame-de-Bethléem.
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La chapelle de Notre-Dame-de-Bethléem.
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Gisant de l'archevêque Guillaume Briçonnet.
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La chapelle Saint-Martin.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
La chapelle Saint-Martin. Le centre du retable est orné d'un tableau de Carle van Loo, La résurrection de Lazare, copie de l'œuvre de Sebastiano del Piombo commandée par Jules de Médicis cardinal-archevêque de Narbonne devenu pape sous le nom de Clément VII. Vers 1720, le Régent décide de l'inclure dans ses collection et envoie en dédommagement la copie de Van Loo.
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La chapelle Saint-Martin. Elle abrite des reliques de saint Martin à gauche de l'autel.
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De dimensions impressionnantes (hauteur : 21 m, largeur : 13 m, tribune à 14 m du sol), l'orgue est accroché au mur du fond en porte-à-faux au-dessus des stalles. Construit par Christophe Moucherel, facteur d'orgues originaire de Toul, il a été terminé en 1742 puis régulièrement entretenu par la suite, notamment par Jean-François Lépine entre 1766 et 1770 puis par Théodore Puget entre 1856 et 1858.
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Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur
De tous les buffets d'orgues français du XVIIIe siècle, celui de la cathédrale de Narbonne est sans conteste un des plus beaux. Le buffet se compose de trois parties: en bas le gigantesque piédouche, sur lequel semblent reposer le positif de dos et la balustrade, enfin " le grand corps " de l'orgue dominant l'ensemble.
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Église Saint-Paul de Narbonne
C'est une ancienne collégiale également appelée basilique Saint-Paul-Serge. Première église gothique de Narbonne et l'une des plus anciennes du Midi. Bâtie sur le tombeau du premier évêque de Narbonne, Saint-Paul, sa crypte correspond à l'ancien cimetière paléochrétien (IIIe-IVe siècles). Le clocher date du XVIè; il est haut de 40m
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Église Saint-Paul de Narbonne
Le chevet. Les absidioles sont éclairées par trois fenêtres étroites avec embrasures très évasées, décorées de 4 colonnes, surmontées d’arcs brisés ; les dernières des colonnes reçoivent des arcs plus larges, ceux bandés d’une chapelle à l’autre. Les chapelles, par ces arcs, sont ainsi toutes réunies sous un même comble en appentis. Sous chaque étage de toiture : corniche à modillons.
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
Le décor de certains chapiteaux de la nef représentent des damnés dévorés par des monstres.
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
Le maître hôtel en baldaquin du XVIIIè a une chasse d'apparât qui contenait le corps de Saint Paul jusqu'à la révolution.
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Église Saint-Paul de Narbonne
Les 4 colonnes de marbre rouge proviennent des carrières de Caumes Minervois
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
Les ogives de style roman.
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
Au XVIè siècle, les piliers sont consolidés et trois arcs, dits arcs diaphragmes, sont rajoutés.
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Église Saint-Paul de Narbonne
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Maison des Trois Nourrices
L'édifice est construit vers le XIIe siècle. C'est à l'époque un bâtiment de commerce abritant des boutiques en rez-de-chaussée et des habitations à l'étage.
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Maison des Trois Nourrices
Au XVIe siècle, l'édifice appartient à une famille bourgeoise de Narbonne, les Guissane, dont certains membres sont consuls de la ville. Les étages et la façade sont alors modifiés dans un style Renaissance vers 1558. On y ajoute notamment deux croisées à l'étage, dont une ornée de cinq cariatides formant les montants et les meneaux. Elle est alors désignée sous le nom de maison des Trois Nourrices, par analogie avec l’hôtel des Trois Rois situé non loin et disparu depuis, mais aussi à cause des tois cariatides aux formes opulentes. Elles sont réalisées sur le modèle de la statue de Diane à Ephèse et sont surmontées d'un linteau à consoles végétales entre lesquelles prennent place des têtes de lions qui tiennent des guirlandes de fruits dans la gueule.
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Maison des Trois Nourrices
La façade ouest quant à elle est pourvue de baies flanquées de colonnes corinthiennes surmontées de guirlandes soutenues par des têtes de béliers. Plus haut, ceinturant le bâtiment, la corniche très saillante surplombe une frise de rinceaux qui alternent avec des pierres taillées en pointe de diamant.
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Maison des Trois Nourrices
Ceinturant le bâtiment, la corniche très saillante surplombe une frise de rinceaux qui alternent avec des pierres taillées en pointe de diamant.
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Maison des Trois Nourrices
Sous la fenêtre, la date de 1558.
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Maison des Trois Nourrices
Lors de la restauration de la maison entre 2005 et 2006, l'archiecte des monuments Historiques Régis Martin a souhaité une rénovation dans l'esprit, pas dans la forme; la municipalité a demandé à l'artiste et académicien Pierre CARRON, d'en imaginer le décor. Ce dernier élève de Balthus, s'est inspiré du thème des enfants et des nourrices.
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Maison des Trois Nourrices
Les trois nourrices. Les vitaux réalisés par Pierre CARRON comme sous la renaissance à partir de grisailles. Il s'agit de véritables vitraux, les verres sont cuits une fois peints.
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Maison des Trois Nourrices
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
Cette église de style gothique flamboyant a été construite de 1436 à 1456 comme chapelle, pour recevoir le chapitre de Saint-Étienne de l'église de la Major, sous l'épiscopat de Jean d'Harcourt. La tradition narbonnaise veut que l'église ait été construite avec des pierres provenant du Capitole romain, en souvenir de saint Sébastien qui - originaire de Gaule narbonnaise - serait né à Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
Dans le tympan du portail un relief de bois décrivant le martyre de saint Sébastien.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
La façade a été retouchée au XIXe siècle dans le goût néo-gothique, avec une rosace surmontée d'un petit clocher.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
Le campanile se dressait autrefois sur la seconde travée ainsi que l'indique la lunette dans la voûte. Il a été remplacé par un clocher-arcade élevé sur la façade au XIXe siècle.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
L'autel de marbre est surmonté d'un retable aux colonnes de marbre rose flanquant un tableau de la Crucifixion. Au-dessus se trouve un vitrail représentant le saint devant l'empereur romain et à gauche, la sagitation du saint.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
A gauche, la sagitation du saint. Sur la clé de voûte, les armes de l'archevêque Jean d'Harcourt.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
A droite, le saint devant l'empereur romain.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
En haut, la sagitation du saint.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
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Église Saint-Sébastien de Narbonne.
La nef unique est à deux travées surmontées d'ogives.
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Les remparts.
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Les remparts. Passage voûté.
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Stèle en marbre. 60/80 ap. J.-C. ou Licinia Pallas a été enseveli et où il a pu élever cette statue.
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Pont des Marchands
Son origine remonte à l'époque romaine. Il franchit le canal de la Robine et a la particularité d'être un des rares ponts encore habités de France.
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Pont des Marchands
Le pont romain est très bien conservé mais est de nos jour difficilement perceptible car ses six ou sept arches et rampes d’accès sont noyées dans le bâti environnant, servant de caves aux maisons qui surmontent le pont depuis l’époque médiévale et qui ont transformé la chaussée en rue continue, ne donnant plus de visibilité sur le cours d’eau.
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Pont des Marchands
Le Canal de la Robine passant sous l’unique arche encore visible, est un vestige de l’ancien lit de l’Aude, dont le parcours s’est modifié au cours de l’antiquité tardive puis au Moyen Âge.
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Canal de la Robine.
Le canal mesure 32 km de long et commence, en son point le plus haut, au bord de l'Aude et se dirige vers Narbonne. Son point de départ est l'écluse de garde de Moussoulens, qui protège Narbonne en cas de crue. Le canal passe sous le pont des Marchands à Narbonne qui est l'un des rares ponts habités de France. Il longe ensuite les étangs de Bages et de Sigean et la réserve naturelle de l'Île-Sainte-Lucie. Il termine sa course dans la mer Méditerranée au port de commerce de Port-la-Nouvelle. Six écluses jalonnent son parcours rachetant une dénivellation de 8,3 m. Il est alimenté par la prise d'eau de Moussoulens sur l'Aude. Le chemin de halage est aménagé en voie verte du centre de Narbonne jusqu'à Port-la-Nouvelle
