Hôtel de Lunas et la Grande Motte

Hôtel de Lunas et la tour Babote à Montpellier, la Grande Motte.

<br>Montpellier.<br> La Dame d'Elche. Pour honorer la poétesse Anne-Marie De Backer qui a chanté Elche et sa palmeraie, la ville d'Elche a offert cette sculpture ibère du IVème siècle à la ville de Montpellier, lieu de naissance du roi Jacques le Conquérant, en 1988, date du 750e anniversaire de la reconquêt de Valence.

Montpellier.
La Dame d'Elche. Pour honorer la poétesse Anne-Marie De Backer qui a chanté Elche et sa palmeraie, la ville d'Elche a offert cette sculpture ibère du IVème siècle à la ville de Montpellier, lieu de naissance du roi Jacques le Conquérant, en 1988, date du 750e anniversaire de la reconquêt de Valence.
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Montpellier. <br>L’immeuble Lonjon, surmonté d’un dôme, est emblématique de la place de la Comédie. La forme originale de cette structure lui a donné son nom : le Scaphandrier. Lonjon était un pinardier qui a investi dans l'immobilier
Montpellier.
L’immeuble Lonjon, surmonté d’un dôme, est emblématique de la place de la Comédie. La forme originale de cette structure lui a donné son nom : le Scaphandrier. Lonjon était un pinardier qui a investi dans l'immobilier
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Montpellier.<br> Sa construction remonte à la fin du XIXe siècle, tout comme l'ensemble du quartier, de la gare Saint-Roch à la place de la Comédie. Le maire de la ville, Jules Pagézy, fortement inspiré des travaux menés par Hausmann dans la capitale, décide de donner à Montpellier un nouvel aspect en faisant de la place de la Comédie le cœur de la ville.
Montpellier.
Sa construction remonte à la fin du XIXe siècle, tout comme l'ensemble du quartier, de la gare Saint-Roch à la place de la Comédie. Le maire de la ville, Jules Pagézy, fortement inspiré des travaux menés par Hausmann dans la capitale, décide de donner à Montpellier un nouvel aspect en faisant de la place de la Comédie le cœur de la ville.
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Montpellier.<br> L’immeuble, qui fait l’angle avec le passage Lonjon, est caractéristique de l’architecture du Second Empire. Il mélange les différents styles : au rez-de-chaussée, mur de refend et mascarons,
Montpellier.
L’immeuble, qui fait l’angle avec le passage Lonjon, est caractéristique de l’architecture du Second Empire. Il mélange les différents styles : au rez-de-chaussée, mur de refend et mascarons,
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Montpellier. <br> colonnes classiques,
Montpellier.
colonnes classiques,
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Montpellier.  <br>le modernisme, avec le toit en ardoise. Sous le dôme, il présente des décorations qui sont le reflet de la richesse de la ville : Bacchus avec un pressoir et un pampre de vigne pour la viticulture, Mercure pour la commerce, avec une locomotive, un caducée pour la médecine et un globe terrestre pour les arts.
Montpellier.
le modernisme, avec le toit en ardoise. Sous le dôme, il présente des décorations qui sont le reflet de la richesse de la ville : Bacchus avec un pressoir et un pampre de vigne pour la viticulture, Mercure pour la commerce, avec une locomotive, un caducée pour la médecine et un globe terrestre pour les arts.
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Montpellier. <br>Petite rue ancienne.
Montpellier.
Petite rue ancienne.
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Montpellier. <br>Petite rue ancienne.
Montpellier.
Petite rue ancienne.
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Montpellier.<br> Dans la cour intérieure, les balcons sont en fer forgé.
Montpellier.
Dans la cour intérieure, les balcons sont en fer forgé.
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Montpellier.
Montpellier.
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Montpellier. <br>Sur les façades, les balcons sont en fonte.
Montpellier.
Sur les façades, les balcons sont en fonte.
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Montpellier.
Montpellier.
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Montpellier.<br> La préfecture. Près de là, il y avait des vacheries.
Montpellier.
La préfecture. Près de là, il y avait des vacheries.
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Montpellier.
Montpellier.
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Montpellier.<br> Hôtel du XIXe.
Montpellier.
Hôtel du XIXe.
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Montpellier.
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Montpellier.
Montpellier.
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Montpellier. <br>Hall d'entrée.
Montpellier.
Hall d'entrée.
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Montpellier. <br>Hall d'entrée. L'architecture est éclectique : antiquité avec les métopes et le triglyphes, renaissance avec les oves et le gothique avec les ogives.
Montpellier.
Hall d'entrée. L'architecture est éclectique : antiquité avec les métopes et le triglyphes, renaissance avec les oves et le gothique avec les ogives.
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Montpellier.
Montpellier.
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Hôtel de Lunas. L'histoire de l'hôtel de Lunas commence en 1550 par la construction d’une « grande maison » et d’une petite maison11 par Denis Fontanon,  médecin et docteur en médecine à la faculté de Montpellier. La famille Fontanon a gardé la « grande maison » durant 89 ans. Le portail est du XVIIe siècle.
Hôtel de Lunas. L'histoire de l'hôtel de Lunas commence en 1550 par la construction d’une « grande maison » et d’une petite maison11 par Denis Fontanon, médecin et docteur en médecine à la faculté de Montpellier. La famille Fontanon a gardé la « grande maison » durant 89 ans. Le portail est du XVIIe siècle.
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Hôtel de Lunas. En 1639, Guillaume d’Hébrard (Sieur de Miravaux) et Marguerite d'Hébrard, veuve de Bocaud, se portent acquéreur des lieux.
Hôtel de Lunas. En 1639, Guillaume d’Hébrard (Sieur de Miravaux) et Marguerite d'Hébrard, veuve de Bocaud, se portent acquéreur des lieux.
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Hôtel de Lunas. Des travaux sont réalisés à partir de 1671. La transformation du bâtiment est constitué de trois corps en forme de « U ». La bâtisse centrale se trouve au fond d’une cour d’honneur, qui donne à l’est sur l’actuelle rue de la Valfère.
Hôtel de Lunas. Des travaux sont réalisés à partir de 1671. La transformation du bâtiment est constitué de trois corps en forme de « U ». La bâtisse centrale se trouve au fond d’une cour d’honneur, qui donne à l’est sur l’actuelle rue de la Valfère.
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Hôtel de Lunas. La grande maison. En 1707, Henry de Bosc (1684-1753), conseiller à la cour des comptes, aides et finances de Montpellier achète l'hôtel de la Valfère qui est renommé hôtel de Bosc.
Hôtel de Lunas. La grande maison. En 1707, Henry de Bosc (1684-1753), conseiller à la cour des comptes, aides et finances de Montpellier achète l'hôtel de la Valfère qui est renommé hôtel de Bosc.
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Hôtel de Lunas. Il fait alors construire une aile d’un étage adossée à la rue de la Valfère, des aménagements au rez-de-chaussée sont réservés aux espaces de service. Au 1er étage, c’est l’espace de réception par excellence, il est entièrement occupé par une grande galerie de bal au décor somptueux.
Hôtel de Lunas. Il fait alors construire une aile d’un étage adossée à la rue de la Valfère, des aménagements au rez-de-chaussée sont réservés aux espaces de service. Au 1er étage, c’est l’espace de réception par excellence, il est entièrement occupé par une grande galerie de bal au décor somptueux.
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Hôtel de Lunas. En 1737, Antoine Jean Viel (1696-1742),  président en la cour des comptes aides et finances, seigneur de Lunas, fait l'acquisition de l'hôtel particulier que l'on nomme alors « Hôtel de Lunas ».
Hôtel de Lunas. En 1737, Antoine Jean Viel (1696-1742), président en la cour des comptes aides et finances, seigneur de Lunas, fait l'acquisition de l'hôtel particulier que l'on nomme alors « Hôtel de Lunas ».
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Hôtel de Lunas. Un parement de façade est apposé dans la cour d’honneur représentant le blason familial des Viel de Lunas : la ville enceinte de murs flanqués de tours, un croissant d'argent, entre deux étoiles, le tout surmonté de la couronne de marquis d'Espeuilles. De chaque coté, une licorne.
Hôtel de Lunas. Un parement de façade est apposé dans la cour d’honneur représentant le blason familial des Viel de Lunas : la ville enceinte de murs flanqués de tours, un croissant d'argent, entre deux étoiles, le tout surmonté de la couronne de marquis d'Espeuilles. De chaque coté, une licorne.
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Hôtel de Lunas. Sans travaux particuliers réalisés durant trente deux années, c'est en 1769 que Guillaume Granier (1732-1817), marchand de laine et fournisseur des armées, achète l'hôtel de Lunas. Guillaume Zoé Granier fils (1788-1856) sera par deux fois maire de Montpellier, puis conseiller municipal et député. Il poursuit l’activité de ses ancêtres « Manufacturier de couvertes ». Son usine est l’une des plus importantes de Montpellier. Au début des années 1830, il emploie 823 ouvriers. En 1826, il devient actionnaire des mines de Molières (canton du Vigan). En 1839 il investit dans la société Usquin qui achète à Germain PELLET les mines et la verrerie du Bousquet-d'Orb.    L’hôtel de Lunas est vaste, en 1841 trois ménages vivent dans cette demeure, servis par 11 domestiques.
Hôtel de Lunas. Sans travaux particuliers réalisés durant trente deux années, c'est en 1769 que Guillaume Granier (1732-1817), marchand de laine et fournisseur des armées, achète l'hôtel de Lunas. Guillaume Zoé Granier fils (1788-1856) sera par deux fois maire de Montpellier, puis conseiller municipal et député. Il poursuit l’activité de ses ancêtres « Manufacturier de couvertes ». Son usine est l’une des plus importantes de Montpellier. Au début des années 1830, il emploie 823 ouvriers. En 1826, il devient actionnaire des mines de Molières (canton du Vigan). En 1839 il investit dans la société Usquin qui achète à Germain PELLET les mines et la verrerie du Bousquet-d'Orb. L’hôtel de Lunas est vaste, en 1841 trois ménages vivent dans cette demeure, servis par 11 domestiques.
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Hôtel de Lunas. À l'intérieur du bâtiment, la cour ouvre sur un escalier d’honneur qui conduit aux salles de réception du 1er étage. Les affaires de Guillaume Zoé Granier, périclitent.  En 1848, Granier démissionne du mandat de député. Ses affaires et celles de son fils Henri sont mises en liquidation.
Son gendre, Félix Sabatier d’Espeyran (1816-1894), l’aide financièrement en rachetant l’hôtel de Lunas pour 200 000 francs, lors de sa vente aux enchères, le 16 mars 1855.
Hôtel de Lunas. À l'intérieur du bâtiment, la cour ouvre sur un escalier d’honneur qui conduit aux salles de réception du 1er étage. Les affaires de Guillaume Zoé Granier, périclitent. En 1848, Granier démissionne du mandat de député. Ses affaires et celles de son fils Henri sont mises en liquidation. Son gendre, Félix Sabatier d’Espeyran (1816-1894), l’aide financièrement en rachetant l’hôtel de Lunas pour 200 000 francs, lors de sa vente aux enchères, le 16 mars 1855.
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Hôtel de Lunas. Grand escalier d'honneur en marbre de Caunes-Minervois. En 1842, Félix Sabatier, qui a épousé Marie Granier, la fille de Zoé Guillaume, achète la maison « Doumergue », située à l’angle des rues de la Valfère et Poitevine. Il fait intégrer ce nouvel achat à l’aile construite dans la rue de la Valfère par Henry de Bosc, à laquelle, il fait ajouter un second étage réservé à la domesticité. Avec l’aide de l’architecte Omer Lazard et de l’ébéniste Monbro, décorateur de Louis Philippe, il fait modifier l'agencement des pièces. La galerie de bal du 1er étage est transformée en deux appartements symétriques pour Marie et Félix Sabatier.
Hôtel de Lunas. Grand escalier d'honneur en marbre de Caunes-Minervois. En 1842, Félix Sabatier, qui a épousé Marie Granier, la fille de Zoé Guillaume, achète la maison « Doumergue », située à l’angle des rues de la Valfère et Poitevine. Il fait intégrer ce nouvel achat à l’aile construite dans la rue de la Valfère par Henry de Bosc, à laquelle, il fait ajouter un second étage réservé à la domesticité. Avec l’aide de l’architecte Omer Lazard et de l’ébéniste Monbro, décorateur de Louis Philippe, il fait modifier l'agencement des pièces. La galerie de bal du 1er étage est transformée en deux appartements symétriques pour Marie et Félix Sabatier.
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Hôtel de Lunas. Les sabatier, marchands drapiers montpelliérains, voient leurs affaires connaître une rapide ascension à partir de 1711, lorsqu’ils se lancent dans la fourniture aux armées de louis XIV de la toile nécessaire aux troupes, tant pour les uniformes que pour les draps, couvertures, et autres toiles de tente.  Au tout début du XIXe siècle, Marie Sabatier laisse sa fortune à son neveu, Jean-Baptiste Félix. Ce dernier, puis ses trois fils, Frédéric, Félix et François, se posent comme des figures de la haute bourgeoisie montpelliéraine. Riches commerçants gravitant dans les plus hautes sphères de la société, les frères Sabatier, esthètes et mécènes, ont croisé le destin des hommes illustres de leur temps.
Hôtel de Lunas. Les sabatier, marchands drapiers montpelliérains, voient leurs affaires connaître une rapide ascension à partir de 1711, lorsqu’ils se lancent dans la fourniture aux armées de louis XIV de la toile nécessaire aux troupes, tant pour les uniformes que pour les draps, couvertures, et autres toiles de tente. Au tout début du XIXe siècle, Marie Sabatier laisse sa fortune à son neveu, Jean-Baptiste Félix. Ce dernier, puis ses trois fils, Frédéric, Félix et François, se posent comme des figures de la haute bourgeoisie montpelliéraine. Riches commerçants gravitant dans les plus hautes sphères de la société, les frères Sabatier, esthètes et mécènes, ont croisé le destin des hommes illustres de leur temps.
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Hôtel de Lunas. Au décès de leur père, les trois frères sont élevés dans la rigueur par l'abbé Roques. Portant les mêmes initiales ils vont se distinguer par des compléments à leurs noms. Le cadet, François Sabatier (1818-1891), s'est fait désigner « Sabatier de la Tour » en référence au château de la Tour de Farges, situé sur la commune de Lunel-Viel. Félix Sabatier (1816-1894) est resté un simple Sabatier. L'ainé, Frédéric Sabatier (1813-1864) s'est fait appeler « Sabatier d’Espeyran », en rapport avec la propriété du château d'Espeyran, qui est situé en Camargue, sur la commune de Saint-Gilles-du-Gard. Guillaume, leur unique descendant, héritera de ses oncles. C'est le père de Pierre, ce dernier ayant transféré au Centre des monuments Nationaux l'Hôtel de Lunas en 1974.
Hôtel de Lunas. Au décès de leur père, les trois frères sont élevés dans la rigueur par l'abbé Roques. Portant les mêmes initiales ils vont se distinguer par des compléments à leurs noms. Le cadet, François Sabatier (1818-1891), s'est fait désigner « Sabatier de la Tour » en référence au château de la Tour de Farges, situé sur la commune de Lunel-Viel. Félix Sabatier (1816-1894) est resté un simple Sabatier. L'ainé, Frédéric Sabatier (1813-1864) s'est fait appeler « Sabatier d’Espeyran », en rapport avec la propriété du château d'Espeyran, qui est situé en Camargue, sur la commune de Saint-Gilles-du-Gard. Guillaume, leur unique descendant, héritera de ses oncles. Son fils Pierre a transféré au Centre des monuments Nationaux l'Hôtel de Lunas en 1974.
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Hôtel de Lunas. A la place de l'ancre marine devaient se trouver les armoiries de Henry de Bosc et de sa femme, Antoinette de Sartre.
Hôtel de Lunas. A la place de l'ancre marine devaient se trouver les armoiries de Henry de Bosc et de sa femme, Antoinette de Sartre.
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Hôtel de Lunas. Porte donnant sur le jardin.
Hôtel de Lunas. Porte donnant sur le jardin.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas. Les sept fenêtres à plein cintre de la grande galerie de bal ouvrent sur le jardin à la française, sept miroirs leur font face. Entre les fenêtres et les miroirs sont encastrés douze panneaux de laque représentant les douze mois de l’année.
Hôtel de Lunas. Les sept fenêtres à plein cintre de la grande galerie de bal ouvrent sur le jardin à la française, sept miroirs leur font face. Entre les fenêtres et les miroirs sont encastrés douze panneaux de laque représentant les douze mois de l’année.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.
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Hôtel de Lunas.  Le rez-de-chaussée est réaménagé par Félix Sabatier dans le goût parisien et devient l’espace de réception avec deux salons et une salle à manger. L’ensemble du mobilier et de la décoration de 1845 est encore en place. Il constitue une rare collection par la qualité des pièces conservées depuis l’origine et témoigne du goût d’un riche bourgeois (prétendant à la noblesse) capable de mettre tous les moyens en œuvre pour aménager à Montpellier une demeure digne des milieux parisiens.
Hôtel de Lunas. Le rez-de-chaussée est réaménagé par Félix Sabatier dans le goût parisien et devient l’espace de réception avec deux salons et une salle à manger. L’ensemble du mobilier et de la décoration de 1845 est encore en place. Il constitue une rare collection par la qualité des pièces conservées depuis l’origine et témoigne du goût d’un riche bourgeois (prétendant à la noblesse) capable de mettre tous les moyens en œuvre pour aménager à Montpellier une demeure digne des milieux parisiens.
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Hôtel de Lunas. La salle à manger.
Hôtel de Lunas. La salle à manger.
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Hôtel de Lunas. Le haut de porte représente une scène de chasse.
Hôtel de Lunas. Le haut de porte représente une scène de chasse.
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Hôtel de Lunas. Tapisserie d'Aubusson du XVIIIe. Jeux à la campagne, avec l'escarpolette.
Hôtel de Lunas. Tapisserie d'Aubusson du XVIIIe. Jeux à la campagne, avec l'escarpolette.
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Hôtel de Lunas. Tapisserie d'Aubusson du XVIIIe. Le jeu de la main chaude où une personne, courbée sur les genoux d’une autre et les yeux fermés, reçoit des coups dans une de ses mains, qu’elle tend derrière elle, et doit deviner qui l’a touchée.
Hôtel de Lunas. Tapisserie d'Aubusson du XVIIIe. Le jeu de la main chaude où une personne, courbée sur les genoux d’une autre et les yeux fermés, reçoit des coups dans une de ses mains, qu’elle tend derrière elle, et doit deviner qui l’a touchée.
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Hôtel de Lunas. Tapisserie d'Aubusson du XVIIIe. Jeu de colin-maillard.
Hôtel de Lunas. Tapisserie d'Aubusson du XVIIIe. Jeu de colin-maillard.
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Hôtel de Lunas. Le premier salon ou salon rouge.
Hôtel de Lunas. Le premier salon ou salon rouge.
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Hôtel de Lunas. Plafond du premier salon.
Hôtel de Lunas. Plafond du premier salon.
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Hôtel de Lunas. Le second salon.
Hôtel de Lunas. Le second salon.
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Hôtel de Lunas. Plafond du second salon.
Hôtel de Lunas. Plafond du second salon.
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Hôtel de Lunas. Plafond du second salon.
Hôtel de Lunas. Plafond du second salon.
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Hôtel de Lunas. L'arrière de l'hôtel où se trouvaient les remparts.
Hôtel de Lunas. L'arrière de l'hôtel où se trouvaient les remparts.
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Hôtel de Lunas. Vue du balcon du jardin, où se trouvait une porte.
Hôtel de Lunas. Vue du balcon du jardin, où se trouvait une porte.
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Montpellier. Place royale du Peyrou.
Montpellier. Place royale du Peyrou.
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Montpellier. Boulevard Ledru-Rollin.
Montpellier. Boulevard Ledru-Rollin.
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Montpellier. Décors en trompe l'oeil.
Montpellier. Décors en trompe l'oeil.
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La tour de la Babote. La tour de la Babotte est un élément des vingt-cinq tours de l'enceinte fortifiée ou « commune clôture » qui protégeait la ville de Montpellier à la fin du XIIe siècle, début du XIIIe siècle. Haute de vingt-six mètres, elle reste un des derniers vestiges avec la porte de la Blanquerie, la Porte du Pila Saint Gély et la tour des Pins.
La tour de la Babote. La tour de la Babotte est un élément des vingt-cinq tours de l'enceinte fortifiée ou « commune clôture » qui protégeait la ville de Montpellier à la fin du XIIe siècle, début du XIIIe siècle. Haute de vingt-six mètres, elle reste un des derniers vestiges avec la porte de la Blanquerie, la Porte du Pila Saint Gély et la tour des Pins.
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La tour de la Babote. Seule, sa partie inférieure est originelle (construite au XIIème siècle). Elle est cosntituée de pierres en bossage. Après la destruction des murs, la Babote a été sauvée, elle mesurait alors une quinzaine de mètres et surplombait un fossé comblé après la Révolution.
Un observatoire y a été installé au XVIIIème siècle par l'Académie Royale des sciences. En 1789, un étage et des tourelles latérales seront ajoutées. Au XIXème siècle la hauteur de la tour atteindra 53m.
La tour de la Babote. Seule, sa partie inférieure est originelle (construite au XIIème siècle). Elle est cosntituée de pierres en bossage. Après la destruction des murs, la Babote a été sauvée, elle mesurait alors une quinzaine de mètres et surplombait un fossé comblé après la Révolution. Un observatoire y a été installé au XVIIIème siècle par l'Académie Royale des sciences. En 1789, un étage et des tourelles latérales seront ajoutées. Au XIXème siècle la hauteur de la tour atteindra 53m.
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La tour de la Babote. Au 19ème siècle, la tour est encore réhaussée ce qui va lui permettre de servir aux services télégraphiques. Le 1er janvier 1832, le télégraphe de Chappe s'installe sur la toiture de l'édifice. Ainsi durant 23 ans, la toiture du bâtiment est couronnée de deux grands bras articulés qui permettaient d'envoyer des messages codés vers Paris, grâce à deux lignes différentes.
La première passait par Nîmes, Avignon, Lyon et Dijon et la seconde par Narbonne, Toulouse, Bordeaux et Tours. Ce télégraphe correspondait également avec Marseille, Toulon et Bayonne. En 1855,  la faculté des sciences qui n'a toujours pas de lieu d'observation, récupère alors le bâtiment après des travaux de remise en l'état.
La tour de la Babote. Au 19ème siècle, la tour est encore réhaussée ce qui va lui permettre de servir aux services télégraphiques. Le 1er janvier 1832, le télégraphe de Chappe s'installe sur la toiture de l'édifice. Ainsi durant 23 ans, la toiture du bâtiment est couronnée de deux grands bras articulés qui permettaient d'envoyer des messages codés vers Paris, grâce à deux lignes différentes. La première passait par Nîmes, Avignon, Lyon et Dijon et la seconde par Narbonne, Toulouse, Bordeaux et Tours. Ce télégraphe correspondait également avec Marseille, Toulon et Bayonne. En 1855, la faculté des sciences qui n'a toujours pas de lieu d'observation, récupère alors le bâtiment après des travaux de remise en l'état.
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La tour de la Babote. En 1890, la faculté s'installera dans de nouveaux locaux et la tour inemployée accueillera en 1899, la Société colombophile de l'Hérault. En 1903, la Babotte recouvre sa vocation astronomique en accueillant la Société Flammarion.
Mais en 1950, le musée du vieux Montpellier s'y installe pendant 30 ans. En 1981, la Fédération d'astronomie populaire amateur du Midi y installe son siège.
La tour de la Babote. En 1890, la faculté s'installera dans de nouveaux locaux et la tour inemployée accueillera en 1899, la Société colombophile de l'Hérault. En 1903, la Babotte recouvre sa vocation astronomique en accueillant la Société Flammarion. Mais en 1950, le musée du vieux Montpellier s'y installe pendant 30 ans. En 1981, la Fédération d'astronomie populaire amateur du Midi y installe son siège.
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La tour de la Babote. C'est une tour à gorge ouverte. En 1795 est ouverte la porte.
La tour de la Babote. C'est une tour à gorge ouverte. En 1795 est ouverte la porte.
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La tour de la Babote. Elle est construite avec la méthode de l'appareil de Montpellier : les pierres sont posées alternativement horizontales et verticales.
La tour de la Babote. Elle est construite avec la méthode de l'appareil de Montpellier : les pierres sont posées alternativement horizontales et verticales.
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La tour de la Babote. Légende ou réalité : le 26 décembre 1783, un certain Sébastien Lenormand, inventeur du parachute aurait testé son invention en s'élançant depuis la tour.
La tour de la Babote. Légende ou réalité : le 26 décembre 1783, un certain Sébastien Lenormand, inventeur du parachute aurait testé son invention en s'élançant depuis la tour.
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La tour de la Babote. Au premier étage, une salle voûtée mesure 6,90 mètres de hauteur.
La tour de la Babote. Au premier étage, une salle voûtée mesure 6,90 mètres de hauteur.
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La tour de la Babote.
La tour de la Babote.
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La tour de la Babote.
La tour de la Babote.
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La tour de la Babote. Au fond, le bâtiment noir est la nouvelle mairie de Montpellier, imaginée par Jean Nouvel et François Fontès.
La tour de la Babote. Au fond, le bâtiment noir est la nouvelle mairie de Montpellier, imaginée par Jean Nouvel et François Fontès.
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La Grande-Motte. <br>Le territoire actuel de la Grande-Motte est une ancienne partie de la commune de Mauguio ; à l'époque, ce territoire était une zone naturelle inhabitée car occupée par un marécage impropre à l'urbanisation. À partir des années 1960 et de la mission Racine, la Grande-Motte devient une station balnéaire créée ex nihilo. À la Grande-Motte, l'architecte Jean Balladur rompt avec la tradition de l'architecture pittoresque des villes balnéaires. Son projet  est très décrié à l'époque car, répondant à la démocratisation du tourisme de masse, un plan de desserte des plages en peigne, des façades perpendiculaires au littoral. Son œuvre est surtout marquée par les immeubles de type ziggourat rappelant les pyramides précolombiennes (Téotihuacan) et les architectures modernes du Brésil qu'il a visitées. L'objectif de ces pyramides à 60° est de fournir des points de vue différent à chaque habitant qui dispose de balcon et terrasse à chaque étage et de réaliser une transition douce entre le littoral et la chaîne montagneuse des Cévennes. Grâce à cette réalisation architecturale, la ville a reçu le label « Patrimoine du XXe siècle » le 19 janvier 2010. Immeuble Le Provence.
La Grande-Motte.
Le territoire actuel de la Grande-Motte est une ancienne partie de la commune de Mauguio ; à l'époque, ce territoire était une zone naturelle inhabitée car occupée par un marécage impropre à l'urbanisation. À partir des années 1960 et de la mission Racine, la Grande-Motte devient une station balnéaire créée ex nihilo. À la Grande-Motte, l'architecte Jean Balladur rompt avec la tradition de l'architecture pittoresque des villes balnéaires. Son projet est très décrié à l'époque car, répondant à la démocratisation du tourisme de masse, un plan de desserte des plages en peigne, des façades perpendiculaires au littoral. Son œuvre est surtout marquée par les immeubles de type ziggourat rappelant les pyramides précolombiennes (Téotihuacan) et les architectures modernes du Brésil qu'il a visitées. L'objectif de ces pyramides à 60° est de fournir des points de vue différent à chaque habitant qui dispose de balcon et terrasse à chaque étage et de réaliser une transition douce entre le littoral et la chaîne montagneuse des Cévennes. Grâce à cette réalisation architecturale, la ville a reçu le label « Patrimoine du XXe siècle » le 19 janvier 2010. Immeuble Le Provence.
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La Grande-Motte. <br> Immeuble Le Provence. Le Week-End et le Reymar sont les premiers immeubles dont les chantiers sont lancés ; mais, alors qu'ils sont encore en construction, les travaux s'interrompent pour laisser se construire le Provence et le Grand Pavois qui sortent de terre sur le quai Pompidou en décembre 1967. Ces Pyramides organisent l’espace dans une relation de « yin » et de « yang » ce qui installe la Ville dans les mythes anciens des civilisations : le « yin » dans la philosophie taoïste chinoise correspond à la notion d’activité tandis que le « yang » représente la notion de passivité.
La Grande-Motte.
Immeuble Le Provence. Le Week-End et le Reymar sont les premiers immeubles dont les chantiers sont lancés ; mais, alors qu'ils sont encore en construction, les travaux s'interrompent pour laisser se construire le Provence et le Grand Pavois qui sortent de terre sur le quai Pompidou en décembre 1967. Ces Pyramides organisent l’espace dans une relation de « yin » et de « yang » ce qui installe la Ville dans les mythes anciens des civilisations : le « yin » dans la philosophie taoïste chinoise correspond à la notion d’activité tandis que le « yang » représente la notion de passivité.
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La Grande-Motte. <br> Cet immeuble, perpendiculaire à la plage, est situé entre Le Provence et Le Grand Pavois (à droite). Cette disposition d'immeubles en peigne est destinée à couper le vent. Ce qui caractérise en premier lieu La Grande Motte, c’est le béton immaculé de tous les immeubles de la ville. Le béton présentait pour Jean Balladur de nombreux atouts ; celui d’être résistant aux embruns, celui d’être économique, et celui de prendre la forme que l’architecte souhaitait.
La Grande-Motte.
Cet immeuble, perpendiculaire à la plage, est situé entre Le Provence et Le Grand Pavois (à droite). Cette disposition d'immeubles en peigne est destinée à couper le vent. Ce qui caractérise en premier lieu La Grande Motte, c’est le béton immaculé de tous les immeubles de la ville. Le béton présentait pour Jean Balladur de nombreux atouts ; celui d’être résistant aux embruns, celui d’être économique, et celui de prendre la forme que l’architecte souhaitait.
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La Grande-Motte. <br>  Les vérandas ajoutées ont enlaidi les immeubles.
La Grande-Motte.
Les vérandas ajoutées ont enlaidi les immeubles.
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La Grande-Motte. <br> La mission Racine, du nom de son responsable, Pierre Racine, est l’un des projets touristiques et urbanistiques les plus importants réalisés en France et en Europe dans la période dite des « 30 glorieuses ». L’objectif de cette mission interministérielle est de construire, en 20 ans,  les stations balnéaires et  les infrastructures nécessaires au développement d’une économie touristique dont manque cruellement cette partie du pays. L’équipe pluridisciplinaire en place est renforcée par une équipe d’architectes auxquels seront confiées chacune des unités touristiques : Georges Candilis réalisera Leucate-Le Barcarès ; Jean Lecouteur le Cap d’Agde ; Raymond Gleize et Edouard Hartané Gruissan. Un sixième projet, à l’embouchure de l’Aude, ne sera pas réalisé et remplacé par l’aménagement de Saint-Cyprien. Jean Balladur se verra confier La Grande Motte.
La Grande-Motte.
La mission Racine, du nom de son responsable, Pierre Racine, est l’un des projets touristiques et urbanistiques les plus importants réalisés en France et en Europe dans la période dite des « 30 glorieuses ». L’objectif de cette mission interministérielle est de construire, en 20 ans, les stations balnéaires et les infrastructures nécessaires au développement d’une économie touristique dont manque cruellement cette partie du pays. L’équipe pluridisciplinaire en place est renforcée par une équipe d’architectes auxquels seront confiées chacune des unités touristiques : Georges Candilis réalisera Leucate-Le Barcarès ; Jean Lecouteur le Cap d’Agde ; Raymond Gleize et Edouard Hartané Gruissan. Un sixième projet, à l’embouchure de l’Aude, ne sera pas réalisé et remplacé par l’aménagement de Saint-Cyprien. Jean Balladur se verra confier La Grande Motte.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br> La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974, date de création de la commune) est ornée d’un labyrinthe initiatique. Cette place est inspirée de celle de Brasilia, imaginée par Niemeyer. Elle accueille : le pouvoir spirituel, l’église Saint-Augustin ; le pouvoir temporel, la mairie et le pouvoir du peuple avec le Centre Culturel (Théâtre de Verdure).
La Grande-Motte.
La place des 3 pouvoirs (actuelle place du 1er octobre 1974, date de création de la commune) est ornée d’un labyrinthe initiatique. Cette place est inspirée de celle de Brasilia, imaginée par Niemeyer. Elle accueille : le pouvoir spirituel, l’église Saint-Augustin ; le pouvoir temporel, la mairie et le pouvoir du peuple avec le Centre Culturel (Théâtre de Verdure).
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La Grande-Motte. <br> Cette belle place est ornée d’une fontaine dessinée par Jean Balladur lui-même qui dit « … deux présences ajoutent du sens à la figure de cette place. Des jeux d’eaux, jaillissant des lèvres ou des vasques de la fontaine placée en fond de décor y font voir les diableries de l’eau. Le dessin d’un labyrinthe tracé par les marbres rouges et blancs du dallage … rappelle aux autorités qui le dominent … l’importance d’un parcours bien choisi . D’autres voient dans cette eau qui jailli des bouches le symbole des cancans et de la vox populi »
La Grande-Motte.
Cette belle place est ornée d’une fontaine dessinée par Jean Balladur lui-même qui dit « … deux présences ajoutent du sens à la figure de cette place. Des jeux d’eaux, jaillissant des lèvres ou des vasques de la fontaine placée en fond de décor y font voir les diableries de l’eau. Le dessin d’un labyrinthe tracé par les marbres rouges et blancs du dallage … rappelle aux autorités qui le dominent … l’importance d’un parcours bien choisi . D’autres voient dans cette eau qui jailli des bouches le symbole des cancans et de la vox populi »
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La Grande-Motte. <br> La mairie est inaugurée le2 décembre 1982. Jean balladur : « J’ai fait trôner sur la place l’Hôtel de Ville … dans l’axe au RDC l’accueil des visiteurs, à l’étage la salle des mariages… En démocratie , les citoyens doivent primer les élus . De part et d’autre de cette primauté axiale, le bureau du maire et la salle du Conseil municipal. La découpe elliptique des baies exprime cette hiérarchie sur la façade… Pour moi un bâtiment public doit être un signal adressé aux habitants comme aux visiteurs ».
La Grande-Motte.
La mairie est inaugurée le2 décembre 1982. Jean balladur : « J’ai fait trôner sur la place l’Hôtel de Ville … dans l’axe au RDC l’accueil des visiteurs, à l’étage la salle des mariages… En démocratie , les citoyens doivent primer les élus . De part et d’autre de cette primauté axiale, le bureau du maire et la salle du Conseil municipal. La découpe elliptique des baies exprime cette hiérarchie sur la façade… Pour moi un bâtiment public doit être un signal adressé aux habitants comme aux visiteurs ».
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La Grande-Motte. <br>  La lampe fée imaginée par Jean Balladur est installée sur la place du 1er octobre 1974 à la Grande Motte. François Azambourg a dessiné pour la ville, en 2011, de nouveaux lampadaires qui ornent les allées, rues et avenues de la ville. Il est également à l’origine du mobilier urbain qui pare depuis 2013 une avenue de l’Europe flambant neuve.
La Grande-Motte.
La lampe fée imaginée par Jean Balladur est installée sur la place du 1er octobre 1974 à la Grande Motte. François Azambourg a dessiné pour la ville, en 2011, de nouveaux lampadaires qui ornent les allées, rues et avenues de la ville. Il est également à l’origine du mobilier urbain qui pare depuis 2013 une avenue de l’Europe flambant neuve.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br> La construction de l'église Saint-Augustin commence en 1975. Son plan est un entrecroisement de paraboles, un trait cher à l'architecte Jean Balladur. Sa conception est ingénieuse elle peut accueillir le surplus de fidèles lors de la saison estivale. En effet, les vitraux de son chœur sont montés sur des gongs et s'ouvrent largement vers l'extérieur permettant au prêtre de célébrer l'office sous les pins parasols.
La Grande-Motte.
La construction de l'église Saint-Augustin commence en 1975. Son plan est un entrecroisement de paraboles, un trait cher à l'architecte Jean Balladur. Sa conception est ingénieuse elle peut accueillir le surplus de fidèles lors de la saison estivale. En effet, les vitraux de son chœur sont montés sur des gongs et s'ouvrent largement vers l'extérieur permettant au prêtre de célébrer l'office sous les pins parasols.
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La Grande-Motte. <br> Eglise St Augustin

« …C’est la raison pour la quelle l’église, qui est la maison de Dieu, s’affirme par le signe de la parabole, qui ouvre ses branches jusqu’à l’infini pour mieux accueillir dans son foyer tous les destins parallèles des hommes qu’elle embrasse… des formes d’une architecture parlent et enseignent aussi par allégories, comme les paraboles de l’Evangile. »
La Grande-Motte.
Eglise St Augustin « …C’est la raison pour la quelle l’église, qui est la maison de Dieu, s’affirme par le signe de la parabole, qui ouvre ses branches jusqu’à l’infini pour mieux accueillir dans son foyer tous les destins parallèles des hommes qu’elle embrasse… des formes d’une architecture parlent et enseignent aussi par allégories, comme les paraboles de l’Evangile. »
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La Grande-Motte. <br> Le clocher de l'église de La Grande Motte accueille une cloche en provenance de Montagnac, petite commune de l'Hérault. Elle date du 17e siècle. On trouve plusieurs inscriptions et sceaux : une phrase tout d'abord, « mon ton appelle le peuple », mais aussi le blason du roi Henri IV. Enfin, on y trouve l'emblème de la ville de Nîmes arborant le palmier et le crocodile et la mention « col nem » (pour çofonia nemosus, littéralement « colonie de Nîmes »). Ces différents sceaux traduisent le déplacement, à plusieurs reprises, de la cloche jusqu'à son installation à La Grande Motte. Une seconde cloche, à droite, a été bénie et installée dans le clocher en octobre 2014 afin de commémorer les 40 ans de la création de la Grande-Motte.
La Grande-Motte.
Le clocher de l'église de La Grande Motte accueille une cloche en provenance de Montagnac, petite commune de l'Hérault. Elle date du 17e siècle. On trouve plusieurs inscriptions et sceaux : une phrase tout d'abord, « mon ton appelle le peuple », mais aussi le blason du roi Henri IV. Enfin, on y trouve l'emblème de la ville de Nîmes arborant le palmier et le crocodile et la mention « col nem » (pour çofonia nemosus, littéralement « colonie de Nîmes »). Ces différents sceaux traduisent le déplacement, à plusieurs reprises, de la cloche jusqu'à son installation à La Grande Motte. Une seconde cloche, à droite, a été bénie et installée dans le clocher en octobre 2014 afin de commémorer les 40 ans de la création de la Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>La vie de St Augustin.
La Grande-Motte.
La vie de St Augustin.
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La Grande-Motte. <br> Statue de St Augustin.
La Grande-Motte.
Statue de St Augustin, bas relief dû à Marius Theulon.
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La Grande-Motte. <br> L'intérieur de l'église Saint-Augustin est une invitation au recueillement. Il est d'une grande simplicité, le béton brut dominant largement.
La Grande-Motte.
L'intérieur de l'église Saint-Augustin est une invitation au recueillement. Il est d'une grande simplicité, le béton brut dominant largement. L'ensemble liturgique (autel, ambon, cuve baptismale, tabernacle et arbre de lumières) est dû à Jean-Jacques Bris.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br> Ilio Signori produit le mobilier en bronze de l’église Saint-Augustin, en particulier la satue du Saint, à gauche.
La Grande-Motte.
Ilio Signori produit le mobilier en bronze de l’église Saint-Augustin, en particulier la satue du Saint, à gauche.
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La Grande-Motte. <br> Les bancs en bois sont dus au crayon de Jean Balladur.
La Grande-Motte.
Les bancs en bois sont dus au crayon de Jean Balladur.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br> Les vitraux de l'église Saint-Augustin sont installés en 1995. Ils sont dus à l'un des grands maîtres verriers de Chartres : Jacques Loire. Son travail, plutôt abstrait, fait cependant référence à la mer et au soleil avec une prédominance de tons bleus et jaunes.
La Grande-Motte.
Les vitraux de l'église Saint-Augustin sont installés en 1995. Ils sont dus à l'un des grands maîtres verriers de Chartres : Jacques Loire. Son travail, plutôt abstrait, fait cependant référence à la mer et au soleil avec une prédominance de tons bleus et jaunes.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte. Ce Christ, d'inspiration gothique, est l'oeuvre des petites soeurs de Bethléem.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br> Jean Balladur s’est entouré dès le début de l’aventure balnéaire d’un paysagiste Pierre Pillet et c’est uniquement après avoir étudié le site et son climat naturel qu’ils ont imaginé la composition de la ville.

Le dessin en peigne des Pyramides a discipliné les vents, permettant de faire de la station un oasis de verdure. Les végétaux ont été choisis en fonction de leur capacité à s’adapter à l’ensoleillement, de leur résistance aux embruns, et de leur besoins en eaux.

Ce sont uniquement des plantes de la région qui ont été plantées selon un emplacement bien spécifique en harmonie avec la forme des immeubles et de leur situation sur le territoire grand-mottois.

Cette large place faite aux boisements et aux plantations a longtemps été considérée comme du gaspillage pour les promoteurs.
La Grande-Motte.
Jean Balladur s’est entouré dès le début de l’aventure balnéaire d’un paysagiste Pierre Pillet et c’est uniquement après avoir étudié le site et son climat naturel qu’ils ont imaginé la composition de la ville. Le dessin en peigne des Pyramides a discipliné les vents, permettant de faire de la station un oasis de verdure. Les végétaux ont été choisis en fonction de leur capacité à s’adapter à l’ensoleillement, de leur résistance aux embruns, et de leur besoins en eaux. Ce sont uniquement des plantes de la région qui ont été plantées selon un emplacement bien spécifique en harmonie avec la forme des immeubles et de leur situation sur le territoire grand-mottois. Cette large place faite aux boisements et aux plantations a longtemps été considérée comme du gaspillage pour les promoteurs.
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La Grande-Motte. <br> Chaque immeuble à un découpage (modénature) en béton différent.
La Grande-Motte.
Chaque immeuble à un découpage (modénature) en béton différent.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br> La Grande Motte est en quelque sorte un lieu saint : Les homme et les femmes viennent y adorer le soleil. Jean Balladur.<br>
Le plan d'aménagement de La Grande Motte a été conçu pour favoriser la déambulation piétonne et cycliste. En attestent les 6 passerelles qui relient le front de mer aux quartiers de l'intérieur sans jamais croiser, ou presque, une seule automobile. Fidèle à son souci de donner du sens à ses créations, Jean Balladur dessine chacune d'entre elles selon un modèle bien distinct.
La Grande-Motte.
La Grande Motte est en quelque sorte un lieu saint : "Les homme et les femmes viennent y adorer le soleil" Jean Balladur.
Le plan d'aménagement de La Grande Motte a été conçu pour favoriser la déambulation piétonne et cycliste. En attestent les 6 passerelles qui relient le front de mer aux quartiers de l'intérieur sans jamais croiser, ou presque, une seule automobile. Fidèle à son souci de donner du sens à ses créations, Jean Balladur dessine chacune d'entre elles selon un modèle bien distinct.
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La Grande-Motte. <br>  Place du souvenir Français. Yves Loyer crée la grande figure penchée du monument au mort.
La Grande-Motte.
Place du souvenir Français. Yves Loyer crée la grande figure penchée du monument au mort.
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La Grande-Motte. <br>  La Passerelle Saint Jean est un hommage au soleil. Jean Balladur a souhaité la régler sur « l’horloge du ciel »…  Chaque année à la même heure, le 21 juin, jour du solstice d’été, les rayons qui traversent l'ellipse ovale de son pylône, dessinent au sol un rond parfait : la passerelle est alors à l’heure du ciel !
La Grande-Motte.
La Passerelle Saint Jean est un hommage au soleil. Jean Balladur a souhaité la régler sur « l’horloge du ciel »… Chaque année à la même heure, le 21 juin, jour du solstice d’été, les rayons qui traversent l'ellipse ovale de son pylône, dessinent au sol un rond parfait : la passerelle est alors à l’heure du ciel !
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La Grande-Motte. <br>  La Passerelle Saint Jean. « La Grande Motte est en quelque sorte un lieu saint : les hommes et les femmes viennent y adorer le soleil . C’est une religion vieille comme le monde qui de nos jours connaît un regain de ferveur. Tous les ans une foule de pèlerin se met en marche vers le Sud dès le début de l’été… A ces noces périodiques il fallait un autel. J’ai donc dressé le grand pylône à l’entrée de la ville comme une porte et je l’ai réglé sur l’horloge du ciel. Tous les ans le jour du solstice d’été il livre la ville au soleil quand l’astre est au plus haut de sa vigueur. Ses rayons pénètrent l’ouverture elliptique qui est percée au faîte de l’ouvrage et en projetant l’image sur le tablier du pont dans la forme parfaite d’un cercle, comme le sceau de la Sainte alliance. Le temps d’un éclair ; La Grande Motte est reconnue par le cosmos Elle devient la fille légitime de l’été. »
La Grande-Motte.
La Passerelle Saint Jean. « La Grande Motte est en quelque sorte un lieu saint : les hommes et les femmes viennent y adorer le soleil . C’est une religion vieille comme le monde qui de nos jours connaît un regain de ferveur. Tous les ans une foule de pèlerin se met en marche vers le Sud dès le début de l’été… A ces noces périodiques il fallait un autel. J’ai donc dressé le grand pylône à l’entrée de la ville comme une porte et je l’ai réglé sur l’horloge du ciel. Tous les ans le jour du solstice d’été il livre la ville au soleil quand l’astre est au plus haut de sa vigueur. Ses rayons pénètrent l’ouverture elliptique qui est percée au faîte de l’ouvrage et en projetant l’image sur le tablier du pont dans la forme parfaite d’un cercle, comme le sceau de la Sainte alliance. Le temps d’un éclair ; La Grande Motte est reconnue par le cosmos Elle devient la fille légitime de l’été. »
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br> Le Palais des Congrès

« …Au passage, nous apercevons les ellipses Palais des Congrès . J’ai voulu que l’enfermement des auditeurs de concerts ou des participants aux congrès et aux conférences, ces prisonniers volontaires, apparaisse à l’angle du port comme le signe de leurs passions ou le réservoir de leur appétit de connaissances. La forme visible du bâtiment emprunte ses proportions et ses courbes aux théâtres antiques. »
La Grande-Motte.
Le Palais des Congrès « …Au passage, nous apercevons les ellipses Palais des Congrès . J’ai voulu que l’enfermement des auditeurs de concerts ou des participants aux congrès et aux conférences, ces prisonniers volontaires, apparaisse à l’angle du port comme le signe de leurs passions ou le réservoir de leur appétit de connaissances. La forme visible du bâtiment emprunte ses proportions et ses courbes aux théâtres antiques. »
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La Grande-Motte. <br> Le Palais des Congrès.
Il est formé de deux
La Grande-Motte.
Le Palais des Congrès. Il est formé de deux "cailloux", correspondant à deux salles.
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La Grande-Motte. <br> Le Palais des Congrès.

Cet aurige est l'oeuvre de SERGIO François.
La Grande-Motte.
Le Palais des Congrès. Cet aurige est l'oeuvre de SERGIO François.
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La Grande-Motte. <br> Le Palais des Congrès.
On y retrouve les trois couleurs de la ville : rouge, noir et blanc.
La Grande-Motte.
Le Palais des Congrès. On y retrouve les trois couleurs de la ville : rouge, noir et blanc.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>
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La Grande-Motte. <br>
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La Grande-Motte. <br> A gauche, entre 1973 et 1974, La Grande Pyramide qui est le reflet inverse du pic Saint-Loup se construit au secteur nord du Port. Jean Balladur divise la ville en deux. Au Levant la rectitude des pyramides et au Couchant les courbes et les conques de Vénus (à gauche de la Grande Pyramide, on aperçoit le Chapeau d'évêque).
La Grande-Motte.
A gauche, entre 1973 et 1974, La Grande Pyramide qui est le reflet inverse du pic Saint-Loup se construit au secteur nord du Port. Jean Balladur divise la ville en deux. Au Levant la rectitude des pyramides et au Couchant les courbes et les conques de Vénus (à gauche de la Grande Pyramide, on aperçoit le Chapeau d'évêque).
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La Grande-Motte. <br> Sur le toit, l'amer de la Grande Pyramide.
La Grande-Motte.
Sur le toit, l'amer de la Grande Pyramide.
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La Grande-Motte. <br> La Grande Pyramide

« Je n’avais plus qu’à donner à ce qui est aujourd’hui la « Grande Pyramide » la forme inverse du Pic St Loup … Il préfigure les courbes du couchant (le coté Yin, féminin) , avance un éperon raide à soixante degrés vers le levant (le coté Yang, masculin) … La Grande Pyramide qui marque aussi l’axe du port et sert d’amer aux navigateurs, domine le paysage ».
La Grande-Motte.
La Grande Pyramide « Je n’avais plus qu’à donner à ce qui est aujourd’hui la « Grande Pyramide » la forme inverse du Pic St Loup … Il préfigure les courbes du couchant (le coté Yin, féminin) , avance un éperon raide à soixante degrés vers le levant (le coté Yang, masculin) … La Grande Pyramide qui marque aussi l’axe du port et sert d’amer aux navigateurs, domine le paysage ».
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La Grande-Motte. <br> La grande pyramide est le bâtiment emblème de La Grande Motte. Avec ses 15 étages, c'est la construction la plus haute de la ville. Elle est dessinée par Jean Balladur qui lui donne la fonction de bâtiment de transition, de césure, entre les deux principaux quartiers de La Grande Motte : d'un côté, le Centre-Ville, avec ses pyramides tronquées, de l'autre, le Couchant, avec ses bâtiments aux formes ondulantes. La grande pyramide est la synthèse de ces formes à la fois masculines et féminines. Albert Marchais, sculpteur et peintre, réalise les médaillons qui ornent les jardins.
La Grande-Motte.
La grande pyramide est le bâtiment emblème de La Grande Motte. Avec ses 15 étages, c'est la construction la plus haute de la ville. Elle est dessinée par Jean Balladur qui lui donne la fonction de bâtiment de transition, de césure, entre les deux principaux quartiers de La Grande Motte : d'un côté, le Centre-Ville, avec ses pyramides tronquées, de l'autre, le Couchant, avec ses bâtiments aux formes ondulantes. La grande pyramide est la synthèse de ces formes à la fois masculines et féminines. Albert Marchais, sculpteur et peintre, réalise les médaillons qui ornent les jardins.
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La Grande-Motte. <br> Jean Balladur souhaite que son architecture instaure un dialogue avec le paysage environnant. Les pyramides tronquées du Centre-Ville ont pour vocation de créer un relief sur un littoral par nature extrêmement plat. Il donne à La grande pyramide la forme inversée du Pic Saint Loup, montagne des Montpelliérains, pour la faire répondre à ce relief dominant l'arrière-pays. Vus depuis la mer, par temps clair, bâtiment et montagne s'épousent et se
complètent parfaitement.
La Grande-Motte.
Jean Balladur souhaite que son architecture instaure un dialogue avec le paysage environnant. Les pyramides tronquées du Centre-Ville ont pour vocation de créer un relief sur un littoral par nature extrêmement plat. Il donne à La grande pyramide la forme inversée du Pic Saint Loup, montagne des Montpelliérains, pour la faire répondre à ce relief dominant l'arrière-pays. Vus depuis la mer, par temps clair, bâtiment et montagne s'épousent et se complètent parfaitement.
131
La Grande-Motte. <br> Aux pieds de la Grande Pyramide, on trouve les œuvres de deux proches collaborateurs de Jean Balladur. Michèle Goalard, sculpteur et coloriste, réalise les « vagues » de briques que l'on trouve du côté Ouest du bâtiment (en bas, à gauche).
La Grande-Motte.
Aux pieds de la Grande Pyramide, on trouve les œuvres de deux proches collaborateurs de Jean Balladur. Michèle Goalard, sculpteur et coloriste, réalise les « vagues » de briques que l'on trouve du côté Ouest du bâtiment (en bas, à gauche).
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La Grande-Motte. <br> L'architecture de la grande pyramide incarne le style de Jean Balladur. A La Grande Motte, il s'éloigne résolument de l'architecture fonctionnaliste de l'époque. Il insuffle rythme et dynamisme à ses créations au travers d'une « modénature » (le décor des façades) très expressive. Le décor de la grande pyramide est une alternance de motifs masculins et féminins, préfabriqués en béton, qui symbolisent les deux personnalités de La Grande Motte.
La Grande-Motte.
L'architecture de la grande pyramide incarne le style de Jean Balladur. A La Grande Motte, il s'éloigne résolument de l'architecture fonctionnaliste de l'époque. Il insuffle rythme et dynamisme à ses créations au travers d'une « modénature » (le décor des façades) très expressive. Le décor de la grande pyramide est une alternance de motifs masculins et féminins, préfabriqués en béton, qui symbolisent les deux personnalités de La Grande Motte.
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La Grande-Motte. <br> Albert Marchais, sculpteur et peintre, réalise aussi les 19 sculptures monumentales, figures de proue fantastiques, installées sur l'avenue Fages.
La Grande-Motte.
Albert Marchais, sculpteur et peintre, réalise aussi les 19 sculptures monumentales, figures de proue fantastiques, installées sur l'avenue Fages.
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La Grande-Motte. <br> Albert Marchais, sculpteur et peintre, réalise aussi les 19 sculptures monumentales, figures de proue fantastiques, installées sur l'avenue Fages.
La Grande-Motte.
Albert Marchais, sculpteur et peintre, réalise aussi les 19 sculptures monumentales, figures de proue fantastiques, installées sur l'avenue Fages.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>
La Grande-Motte.
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La Grande-Motte. <br>Ces bâtiments se nomment Le Nez de de Gaulle, en souvenir de sa visite le 24 octobre 1967.
La Grande-Motte.
Ces bâtiments se nomment Le Nez de de Gaulle, en souvenir de sa visite le 24 octobre 1967.
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La Grande-Motte. <br> Le temple du soleil.
La Grande-Motte.
Le temple du soleil.
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