Béziers
Les arènes modernes, le musée Taurin, l'hôtel Bergé, le théâtre municipal, l'abbaye de Fontcaude.
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Les arènes de Béziers.
Les arènes de Béziers sont un édifice construit en 1897 à l'initiative du mécène Castelbon de Beauxhotes, en pleine période de prospérité viticole du Biterrois. Son architectureest calquée sur celle des arènes espagnoles, accueillant des corridas et divers spectacles.
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Les arènes de Béziers.
1898: création de la tragédie Déjanire, créée par Camille Saint-Saëns, sur un livret de Louis Gallet. 1899 : création de Prométhée de Gabriel Fauré. 1901 : Les créatures de Prométhée de Ludwig van Beethoven. Présenté les 25 et 27 août 1901. 1903: Parysatis, drame en trois actes et un prologue de Jane Dieulafoy, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Avril 1905: meeting socialiste avec Jean Jaurès. 1905: Les Hérétiques, opéra en trois actes d'André-Ferdinand Herold et Charles-Gaston Levadé. 1906: La Vestale, tragédie lyrique en trois actes de Gaspare Spontini. 1910: Héliogabale, opéra de Déodat de Séverac. 2000: Alternative de Sébastien Castella.
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Hommage à Nimeño II.
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Fers des différents élevages de taureaux.
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Vomitoire.
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La capacité est de 13 096 places. Il s'agit des plus grandes arènes de ce type en France.
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En haut, l'emplacement du directeur et de ses deux assesseurs, qui, par des mouchoirs de différentes couleurs, donnent les ordres.
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En face, emplacement des fanfares.
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Emplacement des fanfares.
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Entrée extérieur du toril.
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Vomitoire.
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Loges et chapelle des toreros.
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Trappes donnant sur l'intérieur du toril.
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Porte d'un box où sont parqués les taureaux.
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Le toril.
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L'église de l'Immaculée-Conception.
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Les arènes de Béziers.
De gauche à droite : la cathédrale Saint-Nazaire ; l'église de la Madeleine ; la basilique Saint-Aphrodise.
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L'église de la Sainte-Famille.
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Musée Taurin à Béziers.
Les Dominicains font construire ici, au XVIe siècle, sur les terrains d'un ancien hôpital, un couvent ainsi qu'une église aux vastes proportions. Le couvent est en partie détruit à la Révolution et remplacé par des habitations, au milieu desquelles subsiste une partie de l'ancienne église qui abritera par la suite les collections archéologiques et ethnographiques du Musée du Vieux Biterrois. En 1991, ce lieu devient un lieu d'expositions d'art contemporain baptisé « Espace Riquet », Depuis 2015, il abrite le Musée Taurin et les collections de l'Union Taurine Biterroise, dont les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya.
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Musée Taurin à Béziers.
Le Musée Taurin de Béziers est installé dans les salles qui subsistent de l’église du couvent des Frères Dominicains (XVIème siècle). Au XIXème, les salles (cœur et transept) ont été transformées par la création d’un étage. Les collections de l’Union Taurine Biterroise y sont présentées depuis juin 2015.
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Reproduction d'un cheval de picador équipé du matelas protecteur : caparaçon ou peto.
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Nicanor Villalta. Matador de toros, alternative 1922. 599 corridas — 1236 toros. Torero fameux de Madrid et Zaragoza. Feria à Béziers : 1915-1927 -1932. Dépôt de la Famille Pujol-Perez.
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Corrida de la ré-inauguration des arènes de Béziers 29 mai 1921. Luis Freg, Saleri II, Limeño, Toros de Veragua.
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Peinture du XVIIème siècle « La vie de Saint-Dominique ».
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Peinture du XVIIème siècle « La vie de Saint-Dominique ».
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Peinture du XVIIème siècle « La vie de Saint-Dominique ».
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Peinture du XVIIème siècle « La vie de Saint-Dominique ».
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Epées de matadors célèbres : Luis Miguel Dominguin (1926-1969), Juan Bautista (1981), Descabello.
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Présentation d’une chapelle symbolique présente dans toutes les arènes. Petit cadre représentant la Vierge « Macarena » Coll. U.T.B. Vierge en bois doré XVIIe. Coll. Musée du Biterrois Crucifix XIXe s. Coll. Musée du Biterrois Don de M. Brunel. Prie-Dieu XIXe s. Coll. Musée du Biterrois.
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Petit cadre représentant la Vierge « Macarena » Coll. U.T.B. Crucifix XIXe s. Coll. Musée du Biterrois Don de M. Brunel.
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Vierge en bois doré XVIIe. Coll. Musée du Biterrois
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Peintures de l’artiste biterrois Jean de Label. Le costume des toreros a connu très peu de modifications depuis la fin du XVIIIème siècle. L’Habit de Lumières du Matador (traje de laces), est appelé ainsi pour les dorures, ornements et paillettes qui le recouvrent, suivant des dessins qui varient avec le choix des toreros et des ateliers de couture spécialisés qui les réalisent. Cet habit, de couleurs très variables en fonction du goût de chacun, est très pesant (10 kg environ), ce qui ne facilite pas la gestuelle et les déplacements parfois brusques que sont amenés à faire les toreros. Il se décompose en plusieurs parties et peut coûter plus de 5 000 € ! Sur une chemise blanche brodée et une cravate de couleur vive, le gilet (chaleco) de soie court et apprêté au buste du torero, est orné et brodé sur le devant ; la culotte (taleguilla) : très moulante, brodée sur les parties latérales. Les jambes se terminent par un lacet orné de glands (machos) et se prolongent par des bas roses ; le boléro (chaquetilla) : surchargé de broderies, glands et épaulettes ornées de cabochons (lourd et encombrant) ; la montera, couvre-chef typique, noir, à l'origine en astrakan ; la coleta petit chignon postiche est l'insigne de la profession en souvenir des catogans du XVIIIe siècle. Quand le torero arrête sa carrière, il coupe sa coleta publiquement.
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Habit du picador français Michel Bouix.
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Costume goyesque offert à la Ville de Béziers par le matador biterrois Sébastien Castella le 15 juin 2015. La soie qui fait partie de sa composition le rend brillant, attirant, tissu noble cousu sur du jersey permettant les multiples mouvements du torero, c'est son costume qui se dévoile sous nos yeux. Sa veste (chaquetilla), moderne, respirant les heures de travail qui lui avait été dédié ., avait un côté glorieux et courageux. Le pantalon (taleguilla) avait de somptueuses broderies. Elles attiraient l'œil, et formaient des cœurs plus délicats les uns que les autres.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Antiguos espanoles van a caballo a la caza de toros salvajes.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Los mismos espanoles cazan los toros a pie.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Haciendo caso omiso de las supersticiones del Coran, los moros asentados en Fspana, hacen suya esta caza. Estando el toro en un cercado los moros le torean de capa. El valiente moro Gazul fue el primero que toreo siguiendo ciertas réglas. En una plaza de toros, los moros utilizan sus capas arabes a modo de capote. Origen de las banderillas. Un moro es victima de una cornada. Un caballero espanol, habiendo perdido su caballo durante la lucha, mata al toro con su espada.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Origen de las banderillas. Un moro es victima de una cornada. Un caballero espanol, habiendo perdido su caballo durante la lucha, mata al toro con su espada. Carlos V toréa a caballo en la plaza de Valladolid.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Un caballero espanol, habiendo perdido su caballo durante la lucha, mata al toro con su espada. Carlos V toréa a caballo en la plaza de Valladolid. El Cid Campeador hace lo mismo.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Un caballero espanol coloca los venablos sin ayuda. El estudiante de Falces, un habil esgrimidor, évita la embesdda del toro con un simple quiebro. El famoso Martincho coloca las banderillas al quiebro. El mismo Martincho toreando un toro en la plaza de Madrid. Para defenderse del toro, los moros utilizaban burros en forma de barrera.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Audacia y temeridad de Martincho en la plaza de Zaragoza. Otra loca extravagancia de Martincho en la misma plaza. Salto de garrocha de Juanito Apinani en la plaza de Madrid.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Desafortunado accidente en la plaza de Madrid y muerte del Akalde deTorrejon. Demostracion de arrojo y valor de Pajuelera en la Plaza de Zaragoza Mariano Ceballos apodado "El Indio" mata un toro desde lo aho de su caballo.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. En la plaza de Madrid, Ceballos se monta en un toro, atacando a otro con venablos. Los perros son lanzados contra el toro. Un picador cæ de su caballo debajo del toro. El célébré picador Fernando del Toro, espera con su puya la embes- tida del toro.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. El vigoroso picador Rendon picando al toro que le costo la vida en la plaza de Madrid. Pepe-Hillo recortando un toro. Pedro Romero matando un tort) parado. Banderillas de fuego.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Dos cuadrillas de picadores acosan a un solo toro. Muerte de Pepe-Hillo en la plaza de Madrid. Un «caballero en plaza» pone una jabalina con la ayuda de sus sirvientes.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Un «caballero en plaza» pone una jabalina con la ayuda de sus sirvientes. Peligroso ataque de un toro corpulento. Unos perros atacan a un toro. Un picador, a lomos de un hombre, pica al toro.
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Les 40 eaux fortes de la série La Tauromaquia de Goya. Muerte de Pepe-Hillo (primera variante). Muerte de Pepe-Hill Hillo (segunda variante). Solemne mascarada.
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NIMENO II (Christian Montcouquiol) Né à Spire (Allemagne) le 10 mars 1954 Mort à Caveirac (30) le 25 novembre 1991 Alternative à Nîmes 28 mai 1977 : Angel Teruel — José Maria Manzanares Confirmation à Mexico 28 janvier 1979 : Manolo Martinez — Damaso Gonzalez Confirmation à Madrid 21 mai 1979 : Rafael de Paula — Angel Teruel
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Richard MILIAN Né à Canohès (66) le 31 mars 1960 Alternative à Dax 5 juillet 1981 : Paco Camino — El Cordobès Confirmation à Madrid 24 juillet 1984 : J. A. Espla — Luis Reina Confirmation à Mexico 16 novembre 1997 : H. Flores - Denis Loré - El Conde
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Victor MENDES Né à Santarem (Portugal) le 14 février 1959 Alternative à Barcelone 13 septembre 1981 : Palomo Linares — JM. Manzanares Confirmation à Madrid 16 mai 1982 : L.F. Espla — Morenito de Maracay Confirmation à Mexico 27 avril 1986 : Mariano Ramos — Manolo Mejia.
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Sébastien CASTELLA Né à Béziers le 31 janvier 1983 Alternative à Béziers 12 août 2000 : Enrique Ponce - José Tomas Confirmation à Mexico 18 février 2001 : Rafaël Ortega - El Tato Confirmation à Madrid 28 mai 2004 : Enrique Ponce — Mafias Tejela En 2020, a décidé d’interrompre sa carrière.
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Musée Taurin à Béziers.
Francisco Rivera Pérez dit « Paquirri » était un matador espagnol né à Zahara de los Atunes (Espagne, province de Cadix) le 5 mars 1948, blessé mortellement à Pozoblanco le 26 septembre 1984. Enfant chéri de Béziers où il toréa de nombreuses fois.
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Musée Taurin à Béziers.
Costume de lumières offert par le torero Mexicain FERMIN RIVERA à Jules DURAND président du Club (Oncle de Jean Cavallés (le peintre Jean de Label, ” PERDIGON " pour son nom de plume) frère de sa mère) et décédé en 1956 ou 1958). Il assistait avec des amis (M. et Mme Campano) à une corrida avec RIVERA au cartel. Celui-ci fait son brindis à MM. Durand et Campano et offre son costume au cours du dîner chez Meur Durand.
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Musée Taurin à Béziers.
Portrait de Manolete. peint par Harry Rolnick, artiste anglais offert à Marie-Clotilde Grimai, présidente de 1TJTB de 2008 à 2012 et secrétaire pendant plus de 20 ans. Déposé au Musée le 11 janvier 2000 Offert par Mme Grimai au Musée en décembre 2021.
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Musée Taurin à Béziers.
Christian MONTCOUQUIOL dit NIMENO II 1954-1991 Premier français à s’être réellement imposé dans le milieu taurin. Il a rivalisé avec les plus grands toreros espagnols. Catalogué banderillero de talent puis grand estoqueador, il s’est peu à peu forgé une réputation de Maestro. Il triompha à Nîmes, sa ville natale, en 1989 devant des Guardiola très dangereux. Sa carrière fut stoppée par un terrible accident, quelques mois plus tard à Arles, devant un Miura.
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Musée Taurin à Béziers.
Manuel RODRIGUEZ, dit MANOLETE (1917 - 1947) Baigné dès le plus jeune âge dans la tauromachie, sa situation de famille très précaire le poussa à accompagner une troupe de toreros comiques afin d’assurer la partie sérieuse du spectacle. Il revêtit le costume de lumière pour la toute première fois en Arles, en 1933, mais par la suite il ne toréa plus jamais en France. Bien qu’ayant un répertoire plutôt limité ( corto), il insufflait à ses prestations une émotion presque unique provenant de son admirable courage. Il poussait jusqu’à la limite du possible l’attente qui précède la charge de la bête. Il trouva la mort dans l’arène le 28 août 1947 face à un Miura.
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Musée Taurin à Béziers.
Cape de paseo du Matador de Toros Roberto DOMINGUEZ, né à Valladolid en 1951 Alternative le 28 août 1972 Toréa 7 corridas à Béziers de 1978 à 1992 100 corridas en 1990 — Triomphateur à Séville et Madrid Dernière corrida à Béziers le 11 août 1990 : 2 oreilles Cape offerte par Maître Michel MARCHERON au Club Taurin Perdigon en 1987 Remise le 15 décembre 2020 au Musée Taurin
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Musée Taurin à Béziers.
MEJORCITO II - Agustin FEREZ ORTEGA (1936) Picador historique — Alternative en 1962. Il se retire en 1995 après une carrière importante aux ordres des Maestros Curro «ROMERO, ESPARTACO, ORTEGA CANO, NIMENOII, • Victor MENUES... 1988 : Meilleur picador San Isidro — 1989 : Prix « Agujetas » à Nîmes —1995 : Trophée de la Peña Taurina « El Puyazo » de Madrid pour l’ensemble de sa carrière.
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Costume de lumières de Luis Mazzantini Y Eguia (1882)
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Architecte Jean Rey, 1910.
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Place Saint Cyr.
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Saint Aphrodise
Apôtre et premier évêque de Béziers, martyrisé en ce lieu sous Néron.
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Les coques de Béziers.
Présentées par le boulanger Mr Cadelard.
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Les coques de Béziers.
La coque de Béziers est une brioche traditionnelle de Béziers que l'on déguste pour la saint Aphrodise. Pour fabriquer cette brioche, il faut de la farine, du sucre, du beurre, des œufs, du lait, du sel, de la levure de boulanger et de la fleur d'oranger.
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L'îlot des Chaudronniers
Les plus anciennes traces d'occupations observées lors des sondages remontent à l'âge du Bronze. Il n'a pas été retrouvé de structures de cette période mais l'importance du nombre de tessons de céramiques exhumés (plus de 600) atteste d'une réelle occupation qu'il reste à mieux définir. C'est aussi le cas de la période grecque. L'îlot des Chaudronniers se trouve dans l'emprise de la ville grecque La prédominance de matériel couvrant la période du VIème au IVème siècle avant notre ère, témoigne bien d'une occupation grecque.
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L'îlot des Chaudronniers
Le quartier des Chaudronniers se situe aussi dans le périmètre de la ville celtique du IIème siècle avant notre ère. Cette appartenance est marquée par un mobilier toujours abondant mais surtout par la présence d'un fossé. L'emplacement de ce dernier est réoccupé par un rempart de l'époque romaine. Chronologiquement, des restes de bâtiments lui sont rattachés. Il s'agit de portions de murs en Opus vittatum (appareil fait de petits moellons de pierre disposés en assises régulières et alternées). Les parements de 1,1 m en moyenne, donc épais pour l'époque, pourraient correspondre aussi bien à des bâtiments publics qu'à de l'habitat en insulae, c'est à dire de l'habitat urbain à étage. Ces différentes portions de murs nous permettent d'esquisser une première trame urbaine.
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Hôtel Bergé
C’est une demeure patricienne du XIXème siècle, siège de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers Acquis en 1918 à la famille Bouniol de la Gineste, l'hôtel sera légué à la ville par le docteur Bergé en 1979 pour y installer la Société archéologique, l'Eperon biterrois et le Musée des arts décoratifs.
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Hôtel Bergé
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Hôtel Bergé
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Hôtel Bergé
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Hôtel Bergé
Son jardin domine la plaine de l'Orb.
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Hôtel Bergé
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Hôtel Bergé
Salle du conseil.
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Salle du conseil. Meuble où on conservait les monnaies anciennes.
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Hôtel Bergé
Salle du conseil.
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Hôtel Bergé
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Hôtel Bergé
Plafond de l'escalier.
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Hôtel Bergé
Salle Jean-denis Bergasse, anciennes cuisines.
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Salle Jean-denis Bergasse, anciennes cuisines.
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Salle Jean-denis Bergasse, anciennes cuisines.
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Salle Jean-denis Bergasse, anciennes cuisines.
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Salle Jean-denis Bergasse, anciennes cuisines.
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Hôtel Bergé
Salle Jean-denis Bergasse, anciennes cuisines. Evier en marbre.
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Le monument à Casimir Péret.
Le 2 décembre 1851, le président de la République Louis-Napoléon Bonaparte dirige un coup d'État destiné à rétablir l'empire. Dans les villes républicaines, des milliers d'habitants se soulèvent ; à Béziers, environ 6000 personnes, menées par l'ancien maire Casimir Péret, se rassemblent sur cette place. L'armée, obéissant aux ordres, tire sur la foule, provoquant la mort de 70 insurgés et faisant de nombreux blessés. Tous les citoyens suspectés d'avoir participé à la manifestation sont arrêtés et déportés en Guyane ou en Algérie. Casimir Péret est envoyé au bagne de Cayenne, où il meurt lors d'une tentative d'évasion. En 1884, un monument dédié à Casimir Péret ainsi qu'aux déportés du Second Empire est érigé au centre de la place. Réalisé par le sculpteur biterrois Jean-Antoine Injalbert, il est composé d'une Marianne sur une colonne, d'un médaillon figurant Casimir Péret et d'une statue en bronze, allégorie de la ville, tenant une épée républicaine brisée. Fondue lors de la seconde guerre mondiale, cette partie en bronze a été recréée en 2016 grâce à une souscription publique lancée par la ville en partenariat avec la Fondation du Patrimoine.
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La cathédrale Saint-Nazaire.
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Béziers.
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Le théâtre municipal
Il est situé au bout des allées Paul-Riquet, construit par l'architecte Charles Isabelle de 1842 à 1844. C'est un théâtre à l'italienne qui a une capacité de 500 places. Pour financer les travaux, il a fallu construire des boutiques autour de l'édifice et demander des dons aux notables de la ville qui eurent en échange la jouissance d'une loge. La façade principale se compose d’un étage surmonté par un fronton rectangulaire à volute. Le rez-de-chaussée est percé de trois portes en plein cintre dont les écoinçons sont sculptés de trophées de musique et de masques antiques. Le premier étage est scandé par une double colonnade : corinthienne à 24 cannelures et chapiteaux à feuilles d’acanthes délimitant trois baies et entre les baies vitrées, dorique à colonnes engagées.
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Le théâtre municipal
Les frises latérales sont décorées de deux bas-reliefs dus à David d’Angers. Ces bas-reliefs représentent des allégories relatives aux comédies et aux tragédies les plus célèbres. À gauche : Œdipe roi de Sophocle (personnages se lamentant et Œdipe soutenu par sa fille Antigone) et le Cid. Ce bas-relief est encadré par deux médaillons représentant Sophocle et Corneille.
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Le théâtre municipal
Bas-reliefs en terre cuite de David d'Angers. À droite : les Nuées d’Aristophane (Strépiade met le feu à l’école de Socrate) et le Tartuffe de Molière. Médaillons représentant Aristophane et Molière.
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Le théâtre municipal
Le rez-de-chaussée est percé de trois portes en plein cintre dont les écoinçons sont sculptés de trophées de musique et de masques antiques. le médaillon de droite : Beaumarchais.
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Le théâtre municipal
Médaillons : à gauche, Racine et à droite Berton, un compositeur de musique.
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Le théâtre municipal
A gauche Vadé, un chansonnier et dramaturge français.
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Le théâtre municipal
Le hall d'entrée, avec ses piliers en trompe-l'œil imitant le marbre qui sont en réalité du plâtre avec à l’intérieur un tronc d'arbre.
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A l'étage, une salle de réception, appelée "foyer", qui était à l'époque un endroit de partage très vivant où les personnes venaient s’asseoir, discuter, fumer.
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Le théâtre municipal
La salle est disposée en plusieurs balcons qui forme un U, le balcon du haut était appelé en Italie le pigeonnier, et qui s'est transfomé en poulailler, pour le peuple. Ensuite il y a le deuxième balcon, le premier balcon, la corbeille pour la basse, la moyenne et la haute bourgeoisie, puis les fauteuils d'orchestre, ce sont les sièges tout en bas situés au milieu. Juste devant la scène, la fosse d'orchestre accueille l'orchestre. Puis sur les côtés les loges d'avant-scène réservées aux personnes importantes.
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Musiciens et leurs oeuvres. Mozart.
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Le théâtre municipal
Musiciens et leurs oeuvres. Herold, Pré aux Clercs et Zampa.
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Musiciens et leurs oeuvres. Weber, Freischutz et Oberon.
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Le théâtre municipal
Musiciens et leurs oeuvres. Boeldiev, Dame Blanche et Jean de Paris.
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Le théâtre municipal
Musiciens et leurs oeuvres. Bellini, La Norma et Les Puritains.
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Le théâtre municipal
Musiciens et leurs oeuvres. A. Adam, Le Postillon et Le Chalet.
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Le théâtre municipal
Musiciens et leurs oeuvres. Halevy, L'Eclair et La Juive.
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Le théâtre municipal
Musiciens et leurs oeuvres. Auber, La Muette et Domino Noir.
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Le théâtre municipal
Musiciens et leurs oeuvres. Rossini; Guillaume Tell et Le Barbier.
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Donizetti.
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Le théâtre municipal
Dans la mythologie grecque, les Muses sont les neuf filles de Zeus et de Mnémosyne. Leurs filles sont des déesses de la mémoire. C'est Platon (dans Ion) vers 401 av. J.-C., puis les néo-platoniciens, qui font des neuf Muses les médiatrices entre le dieu et le poète ou tout créateur intellectuel.
Euterpe, musique.
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Le théâtre municipal
Terpsichore, danse, chant choral.
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Le théâtre municipal
Melpomène, tragédie.
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Le théâtre municipal
Clio, histoire.
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Le théâtre municipal
Érato, poésie lyrique et chorale.
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Le théâtre municipal
Thalie, comédie.
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Le théâtre municipal
Calliope, éloquence, poésie épique.
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Le théâtre municipal
Polymnie, rhétorique.
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Le théâtre municipal
Uranie, astronomie.
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Le théâtre municipal
Des célébrités de Béziers : Riquet, ingénieur et entrepreneur ; Jean-Jacques Dortous de Mairan,mathématicien, astronome ; Pelisson, historiographe du roi ; Gaveaux, chanteur et compositeur français.
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Le théâtre municipal
Le plafond est décoré de fresques, ce plafond est conçu pour laisser la chaleur s'évacuer et à l'époque le théâtre était éclairé à la bougie. Le lustre qu'on aperçoit n'est malheureusement pas le lustre d'origine car, pendant la Seconde Guerre mondiale, il fut volé par les Allemands et fondu, ce lustre est un don fait par les élèves du lycée Mermoz.
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Le théâtre municipal
La poésie. Dans des cartouches, des noms d'auteurs et de musicines. Molière à gauche, Gretry à droite. Il ya aussi mehul et Corneille.
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Le théâtre municipal
La peinture.
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Le théâtre municipal
La musique.
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Le théâtre municipal
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Le théâtre municipal
Mehul.
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Le théâtre municipal
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Le théâtre municipal
Une des loges récemment rénovées mais qui ne s’accordent pas du tout avec le style du théâtre.
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Le théâtre municipal
Les coulisses sont derrière la scène et une fois sur scène, deux sorties et entrées sont accessibles sur le côté, il y a le côté cour à gauche et le côté jardin à droite.
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Le théâtre municipal
La salle vue de la scène.
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Le théâtre municipal
La salle vue de la scène.
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Le théâtre municipal
La salle vue de la scène.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Une bretelle des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle passant par l'abbaye, elle y accueille la fraternité Jacquaire de Septimanie depuis le 13 mars 1995.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude est une ancienne abbaye de Prémontrés du XIIe siècle. Le nom signifie « fontaine chaude» en occitan.
A partir du 14 septembre 1154, un groupe de chanoines vint s’ établir après avoir quitté leur prieuré de VALCROSE, près de l’ abbaye d’ ANIANE, pour trouver la paix en s’ éloignant des exigences autoritaires de son abbé.La communauté s’ installe d’ abord sur la rive droite du ruisseau de FONTCAUDE alors partie du diocèse de BEZIERS, alors que la rive gauche relève du diocèse de NARBONNE. A partir de 1165, une dissension interne menace la stabilité du prieuré, tandis que des chanoines appartenant à l’ ordre nouveau PREMONTRE, et venant de l’ abbaye de COMBELONGUE (Commune de RIMONT, ARIEGE) sont appelés par certains à venir les rejoindre. Bientôt, deux communautés en viennent à rivaliser de part et d’ autre du ruisseau. Le différend porte sur le mode de vie canonial et sur sa plus ou moins grande austérité. En 1179, un accord est passé entre le Prieur de VALCROSE et l’ abbé de COMBELONGUE. L’ année suivante, en 1180, le pape ALEXANDRE III approuve cet accord et toute la communauté est regroupée sous les statuts de l’ ordre PREMONTRE. FONTCAUDE est érigée en abbaye. Les chanoines vont dès lors demeurer sur l’ autre rive du ruisseau, sur le territoire du diocèse de NARBONNE. Le premier abbé fut BERNARD de FONTCAUDE. Celui-ci se distingue par son combat doctrinal contre le valdéisme dès les années 1184 -1185. Il est resté célèbre notamment par son fameux traité Contre les Vaudois et les Ariens qui fera plus tard encore l’ admiration de BOSSUET. C’ est lui qui entreprend la construction des bâtiments et de l’ église abbatiale. Le patrimoine de l’ abbaye (granges, terres, domaines, maisons, moulins...) se constitue très rapidement par donations, legs ou achats dès la première moitié du XIII° s.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
En 1204, les chanoines de FONTCAUDE fondent l’ abbaye N.D. D’ HUVEAUNE près de Marseille. En 1318, à la suite de la crise cathare et de la croisade, le diocèse de NARBONNE est démembré, et FONTCAUDE est rattachée au nouveau diocèse de SAINT-PONS. Au cours du XIV° s. se développe la pratique de la commende, et les abbés de FONTCAUDE seront désormais nommés par le Pape ou plus tard par le Roi, ce qui va de pair avec le déclin de la vie religieuse. L’ insécurité engendrée par la Guerre de Cent Ans conduit au dépeuplement de l’ abbaye. La période des Guerres de Religion verra le malheur s’ abattre sur l’ abbaye. De nombreux biens doivent être aliénés pour aider le Roi de France (1563-1570) et, pire encore, en 1577, des bandes pillardes conduites par le “capitaine” BACON, issu du village voisin de PIERRERUE, ravagent l’ abbaye au nom du protestantisme. La vie religieuse ne reprendra que très timidement quelque temps plus tard. Tout au long du XVII° et XVIII° s. , la communauté, réduite à six chanoines, vivote dans ses bâtiments en partie ruinés. L’ abbatiat d’ Etienne SALVAN D’ HAUTERIVE (1732- 1769), après un début prometteur, confirme l’ inévitable dégradation de la vie conventuelle. L’ abbé est déposé en 1756 et l’ abbaye est mise en “économat”, c’ est à dire en liquidation judiciaire. En 1782, la situation financière est enfin expurgée, et LOUIS XVI, peut nommer un abbé, le dernier, Aimé des MOULINS DE L’ ISLE (1784-1791). A partir de 1791, l’ abbaye est aliénée comme “Bien National” et vendue aux enchères publiques. L’ ensemble se démembra au cours du XIX°s. et était partagé entre neuf propriétaires lorsqu’ en 1969, l’ association des AMIS DE FONTCAUDE entreprit de reconstituer l’ espace canonial et de restaurer les bâtiments.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
L’ église de FONTCAUDE constitue l’ élément architectural le plus brillant de l’ abbaye. Elle fut bâtie dans les dernières années du XII° s.. Elle peut être considérée comme le dernier ouvrage roman en LANGUEDOC.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Le chevet.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Absidiole. On peut voirun corbeau en forme de tonneau.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Le Cloître.
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Le Cloître.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Le Cloître. L’ emplacement du cloître avait totalement disparu aux regards en raison du comblement de son niveau d’ origine, de son utilisation par endroits comme jardin, et surtout de la broussaille luxuriante qui dominait. Aujourd'hui cet emplacement est devenu parfaitement lisible grâce aux travaux effectués depuis 1969.
Au fond, les bâtiments conventuels (bâtiment de l'ancienne salle capitulaire).
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Les bâtiments conventuels (bâtiment de l'ancienne salle capitulaire).
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Le Cloître.
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Le Cloître.
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Le Cloître.
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Le roi Saül et Agag.
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Chevauchée des mages.
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Résurrection des morts.
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Dormition de la Vierge.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Ste Catherine de Sienne entre son juge et son bourreau.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Face latérale gauche. On voit, en haut, l'ange brisant la roue dentée, tandis que les bourreaux, en bas, sont écrasés par celle-ci.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Têtes : soldat, vieillard, jeune fille.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Reine.
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Soldat.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Vieillard.
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Jeune fille.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Massacre des innocents.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Saint Jacques. Sur les faces latérales, on distingue Saint Jacques debout, vêtu en pèlerin, couvert du grand chapeau, ceint de la besace chargée de la fameuse coquille. Il tient dans sa main droite le bourdon ou bâton de pèlerin, la main gauche devait sans doute soutenir le livre.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
De chaque côté de l'apôtre, les pèlerins sont représentés ployant pieusement le genou, la tête respectueusement découverte, le chapeau rejeté en arrière et retenu par un cordon autour du cou. On aperçoit en outre, à leur ceinture, un petit barillet.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
La fonderie de cloches a été retrouvée “in situ” en 1973. Datée des dernières années du XVI° s. elle est un exemple presque unique en France.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Le moulin à huile.
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La meule.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Emplacement de la roue du moulin.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Absidiole de droite.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Le choeur. L'abside est voûtée en cul-de-four. Sa nef, qui comprenait trois travées, a été dévastée par un incendie au XVIe siècle. Le transept et le chevet sont restés à peu près intacts.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Absidiole de gauche, dédiée à saint Laurent.
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Le choeur.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Retable reconstitué d'après les indications contenues dans un inventaire de l'abbaye de Fontcaude du XIVème s. conservé aux Archives Départementales de l'Hérault. Deux anges en bois sculpté portant les instruments de la Passion, aux extrémités des courtines (Sculptures de Denis Piccolo).
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Pierre d'autel moulurée du XIIIème siècle. Chandeliers en bronze moulé sur un original du XVIIIème s., offerts à l'Abbaye de Fontcaude par la Fonderie du Libron (1995).
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Statue de Notre Dame de l'Assomption : patronne principale de l'abbaye : bois polychrome, fin du XIVème s. Le pied de la Vierge repose sur un croissant de lune (Apocalypse, 12.1 ).La statue de N.D est posée sur une colonne de bois sculpté (XVIIIème s.), et surmontée d'un dais étoile à l'intérieur. Tabernacle : Colombe eucharistique suspendue au-dessous de la Vierge, d'usage courant au Moyen-âge.
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L'abside est éclairée par trois larges baies encadrées de colonnettes à chapiteaux.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Vitraux en grisaille avec fragments enchâssés des XVème et XVIème s.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Vitraux en grisaille avec fragments enchâssés des XVème et XVIème s.
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L'abbaye Sainte-Marie de Fontcaude
Au milieu du chœur, copie d'un lutrin en bois du XVème s. Stalles de chœur provenant de l'église des Dominicains de Montpellier.
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Siège chauffant.
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Pieta de l'abbaye de Fontfroide. Moulage.
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