La façade principale. Les apôtres Pierre et Paul, Gennaro et Ludovico de Tolosa avec l’Assomption et le Christ.
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St Paul.
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St Pierre.
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Portail est.
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L’intérieur, à croix latine avec un ample transept, a un plan basilical à trois nefs. Il comporte douze autels baroques outre le maître autel, la plupart datant de la fin du XVIIe siècle et étant fortement ouvragés. De nombreux tableaux de l'école de Lecce des XVIIe et XVIIIe siècles (dont des toiles de Oronzo Tiso) viennent enrichir le tout.
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Le plafond à caissons de la nef centrale est orné de toiles des XVIIe et XVIIIe siècles.
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Les toiles du plafond sont des oeuvres de Giuseppe de Brindisi et de Carlo Rosa. La Cène.
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L'Assomption.
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La Prédication de Sant'Oronzo.
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Le martyre et le patronage de Sant'Oronzo
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Plafond du transept.
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Les nefs latérales sont couvertes d’une voûte à arêtes décorées avec des stucs.
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nef latérale.
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L'autel du choeur.
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Fonts baptismaux.
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Fonts baptismaux.
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Chapelle st Jean Baptiste. L'autel fut réalisé par Giuseppe Zimbalo. La statue plolychrome provient de la cathédrale médièvale.
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Chapelle de la Nativité. L'autel à baldaquin fut réalisé par Giuseppe Cino pour accueillir la statue en pierre de Lecce de la Nativité, oeuvre du sculpteur Gabriele Ricciardi, provenant de la cathédrale antique. Sur le baldaquin, il y a une crèche en pierre, avec la Chevauchée des Mages et l'Adoration des Bergers.
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Chapelle de saint Fortuné (1674).
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Chapelle saint Antoine de Padoue. L'autel fut réalisé en 1674 par Gaspare Lecciso. L'agraffe cite les pemières paroles de l'antique hymne du Saint "Si quaeris miracula..".
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Chapelle de l'Immaculée. L'autel de 1670 est l'oeuvre de Zimbalo. En 1692, il fut transformé et embelli de dorures. L'autel en marbre polychrome provient de l'église Santa Croce.
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En 1757, la toile de l'Immaculée fut retirée, et la niche, pour recevoir la statue de l'Assomption, fut créée par Nicola Fumo, sustituée en 1654 par la statue de l'Immaculée en bois d'Ortisei.
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Chapelle saint Filippo Neri. L'autel fut réalisé en 1690. Il provient de l'église de ste Thérèse. Le tableau représente l'Apparition de la Vierge à st Filippo Neri, c'est l'oeuvre de Luca Paciolla, en 1685. Le tableau octagonal au-dessus représente ste Barbara.
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Chapelle saint Filippo Neri.
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Chapelle de la Vierge des douleurs.
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Chapelle de St Giusto. L'autel de 1656 est l'oeuvre de Zimbalo.
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Le tableau, qui représente St Giusto qui convertit St Oronzo, est le fruit de la collaboration entre Giovanni Andrea Coppola et le jeune Antonio Verrio.
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Chapelle de St Charles Borromée. L'autel de 1692 est attribué à Giuseppe Cino. La toile représente St Carlo en adoration de la croix, c'est l'oeuvre d'Antonio del Fiore et provient de la vieille cathédrale. En haut est figuér St Carlo qui reçoit la couronne de Jésus enfant.
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Chapelle de St André l'Apôtre. L'autel fut sculpté en 1687 par Giovanni Andrea Gustapane. Le tableau est l'oeuvre d'un peintre salentin du XVIIe, il représente Le martyre de St André. Le tableau du haut représente Ste Petronille recevant la communion.
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Chapelle de Saint Oronzo. L'autel en marbre est l'oeuvre de Giovanni Andrea Larducci da Salo et de Giuseppe Zimbalo, commencé en 1671 et terminé en 1674.
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La remarquable toile représente le saint, et est due au pinceau de Giovanni Andrea Coppola.
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Chapelle du Crucifix.
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Chapelle du Crucifix.
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St Jacques le Majeur et St Philippe.
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St Matthieu et St Jacques le Mineur.
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St Thadée.
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St Simon.
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St Thomas et St Bartholomée.
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St Jean et St André.
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St Pierre.
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St Paul.
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Le Christ.
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St Jean Baptiste.
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St Joseph.
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Le couronnement de la Vierge.
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L'Eucharistie.
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Le roi David.
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Le saint Esprit
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Le saint Esprit
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Le sacré Coeur de la Vierge.
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Une crypte du XIIe siècle avec des ajouts baroques du XVIIe siècle se trouve sous la cathédrale. Les voûtes reposent sur des colonnes monotithes ornées de magnifique châpiteaux.
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Des anges portent les instruments de la Passion.
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La Visitation. XVIIe.
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Sainte Irène. XVIIe.
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La Madonne du Secours. XVIIe.
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Lecce.
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Lecce.
Les arcades de l'ancien couvent des Théatins, construit au XVIIe siècle.
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Lecce.
L'ancien couvent des Théatins.
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L'ancien couvent des Théatins.
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L'ancien couvent des Théatins.
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L'ancien couvent des Théatins.
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Lecce.
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Lecce.
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Lecce.
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Lecce.
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Lecce.
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Lecce.
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Lecce.
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L'église Santa Chiara
La façade, de style baroque, est organisée en deux niveaux. Le niveau inférieur présente un portail décoré de motifs végétaux. La façade est scandée par des colonnes cannelées qui encadrent des niches vides.
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Lecce.
Son tympan porte en son centre une niche ovale soutenue par des anges souriants, surmontée du blason de l'ordre des Clarisses.
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L'église Santa Chiara
La partie supérieure reprend le décor de colonnes cannelées encadrant des niches vides. Elle présente une large fenêtre en son centre surmontée de deux volutes latérales. Au centre du tympan, un angelot porte une tablette marquée de l'année de l'achèvement de la reconstruction de l'édifice, en 1691.
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L'église Santa Chiara
À l'intérieur, l'édifice présente un plan octogonal allongé, prolongé d'un chœur étroit, assez profond. Au niveau supérieur l'église est éclairée par sept larges fenêtres alternées de niches qui portent les statues de sainte Béatrice d'Assise, sainte Agnès d'Assise, sainte Aimée d'Assise et sainte Ortolana d'Assise.
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L'église Santa Chiara
Les côtés sont rythmés par des colonnes qui encadrent des chapelles peu profondes. Elles abritent des autels surmontés de retables baroques particulièrement travaillés. Richement ornés de colonnes torses portant des anges, des oiseaux, des volutes, des couronnes, ils accueillent des statues en bois de style napolitain de la fin du XVIIe siècle.
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L'église Santa Chiara
Le chœur est caractérisé par un autel monumental, richement décoré, encadré de deux colonnes torses. La niche centrale abrite une statue de sainte Claire d'Assise.
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L'église Santa Chiara
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L'église Santa Chiara
Son plafond est entièrement habillé d'un décor réalisé en papier mâché, l'une des spécialités de Lecce.
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L'église Santa Chiara
L'Immaculée Conception.
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L'église Santa Chiara
Saint Antoine de Padoue.
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L'église Santa Chiara
Saint Pierre d'Alcántara.
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L'église Santa Chiara
Saint François d'Assise.
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L'église Santa Chiara
Saint François d'Assise.
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L'église Santa Chiara
Saint François Xavier.
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L'église Santa Chiara
Saint Biagio (Saint Blaise).
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Lecce.
Le Théâtre romain du IIe siècle avant J.-.C. à l'époque d'Auguste a été mis à jour en 1928.
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Lecce.
Le Théâtre romain.
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Lecce.
La Place Sant'Oronzo, avec au centre la colonne de Sant'Oronzo qui donne son nom à la place, véritable cœur de la ville, bordée jusqu'au début du XXe siècle de palais anciens, datant pour certains du XIIIe siècle, dont la démolition a permis la découverte d'importants vestiges archéologiques, dont l'amphithéâtre romain de l'ancienne Lupiae
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Lecce.
La colonne de Sant'Oronzo, qui se dresse encore aujourd'hui sur la place homonyme, fut érigée par Giuseppe Zimbalo à la demande des autorités de la ville en signe de reconnaissance pour le geste du saint et à la mémoire de la fin de la peste. La partie inférieurei se trouvait originellement à Brindisi, où elle marquait la fin de la Via Appia. Offerte à Lecce en 1528, elle a servi de socle à la statue du saint qui la surmonte, datant de 1739.
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Lecce.
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Lecce.
L'Amphithéâtre romain de Lecce, construit entre le Ie et le IIe siècle, un des témoignages de l'Antiquité les mieux conservés du Salento, partiellement exhumé au début du XXe siècle
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Lecce.
La construction de cet amphithéâtre romain remonte aux premières décennies du IIe siècle apr. J.-C, sous les empereurs romains Trajan ou Hadrien. A l'époque, l'amphithéâtre pouvait accueillir près de 25 000 spectateurs. Pour le moment, les fouilles ont permis de dégager une partie de l'arène et des gradins inférieurs avec les portes d'accès et une section de l'enceinte extérieure, le reste se trouvant encore (et pour longtemps) sous les fondations de divers bâtiments, dont la chapelle Santa Maria délia Grazia, de l'autre côté de la rue.
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Lecce.
L'Amphithéâtre romain.
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Lecce.
L'Amphithéâtre romain. Le Sedile, construction de style Renaissance érigée au XVIe siècle par les Vénitiens sur la place Sant'Oronzo pour marquer leurs accords commerciaux avec la ville.
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Lecce.
Le pouvoir fasciste mussolinien des années 1920-1930 entreprend de grands travaux, notamment sur la place Sant'Oronzo, qui mènent au déblaiement de l'amphithéâtre romain mais aussi à la destruction de palais anciens et à la construction d'édifices modernes dans le style fasciste sur cette place en plein cœur du centre historique.
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Eglise de Saint Irène
L'église de Sant'Irene dei Teatini est dédiée à Sainte Irène, la patronne de la ville jusqu'en 1656. L'église Sant'Irene construite à partir de 1591. C'est un édifice imposant et d'un style baroque romain, plus sévère et classique que celui développé à Lecce.
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Eglise de Saint Irène
En 1717, sur la porte principale fut installé une statue en pierre de ste Irène, oeuvre de Mauro Manieri di Nardo. Au-dessus se trouve l'emblème civique de la louve avec le chêne vert couronné, et, tout en haut, au centre du tympan, les enseignes de l'ordre, ce qui montre le lien entre les Théatins (ordre de clercs fondé en 1524 par saint Gaétan de Thiene) et la cité.
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Eglise de Saint Irène
L'intérieur à croix latine est grandiose, simple et austère. Elle abrite de nombreuses œuvres d'art dont certaines d'Oronzo Tiso et Antonio Verrio ainsi qu'un grand nombre d'autels baroques. Autel dédié à St Etienne. Sur la toile, sa lapidation, attribuée à Antonio Verrio.
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Eglise de Saint Irène
Chapelle st Etienne.
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Chapelle st Etienne.
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Eglise de Saint Irène
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Eglise de Saint Irène
Dans le bras gauche du transept, l'autel de Sant'Irène décoré avec des bustes reliquaires inspirés de l'art des retables espagnols.
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Eglise de Saint Irène
A coté, l'autel dédié à st Oronzo, oeuvre de Francesco Antonio Zimbalo dans la première moitié du XVIIe siècle.
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Sur le mur du fond du choeur, la toile représentant Le Transport de l'Arche Sacrée, exécutée par Oronzo Tiso. Le tabernacle est l'oeuvre de Tiso et des pères théatins Galletti et Caracciolo.
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Eglise de Saint Irène
L'autel de XVIIe de st Gaétan de Thiene.
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Eglise de Saint Irène
La toile représente l'extase de Saint Gaétan de Thiene, fondateur de l'Ordre des Clercs réguliers Théatins. Elle est attribuée à Filippo Maria Galletti, théatin célèbre pour ses nombreux travaux dans les églises de l'ordre. En haut, la Vierge avec l'Enfant. En bas, le saint soutenu par deux anges, lui donne son coeur ardent, lui adressant son regard. Au centre, le coeur est déja en vol, amoureusement accompagné par deux anges. Le coeur, à la frontière de deux mondes, exalte et fait l'intermédiaire entre le ciel et la terre, entre la Vierge et saint Gaétan.
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Autel dédié à Charles Boromée.
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Autel dédié à l'Archange Gabriel du sculpteur Cesare Penna , vers 1642.
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La façade baroque de la Basilique de Santa Croce. Le plus typique et certainement le plus ébouriffant exemple du baroque leccese. Elle fut édifiée sur les ruines d'une église construite en 1353 par le comte de Lecce, Gualtieri VI de Brienne, duc d'Athènes. Son aspect actuel, datant de 1548, est dû à Gabriele Ricardi.
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Lecce.
Ce dernier dessina la partie inférieure de la façade, divisée par six colonnes aux chapiteaux qui figurent un bestiaire fantastique et flanquée d'une jolie frise d'inspiration classique. La travée, au-dessus, aligne des divinités marines et des figures féminines nues d'un côté, des anges au centre et des lions de l'autre côté, symbolisant la foi. Les trois portails sont dus à Antonio Zimbalo, celui de gauche avec les armoiries des Célestins, celui de droite avec la Croix. Les colonnes encadrant le portail central ont leur piédestaux tournés à 45°.
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Les ornements de l'étage supérieur, conçus par Giuseppe Zimbalo et exécutés par C. Penna, sont traités dans un esprit de caricature et d'humour railleur. Le balcon est soutenu par six personnages et sept animaux : des individus aux visages vulgaires, la louve romaine traitée avec peu de respect. Dans les niches, deux statues de saint Benoit, à droite, et saint Pierre Célestin à gauche. Sur les volutes externes, deux personnages allégoriques, la Force et la Foi.
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Hercule, un griffon, la louve de Remus et Romulus...
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L'intérieur conserve des éléments de la Renaissance mais se distingue par son plafond à caissons et par la profusion et la finesse de ses autels baroques, parmi les plus beaux de Lecce, dont un, celui de Saint François, réalisée par Zimbalo lui-même et illustrant la vie du saint.
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Palais des Célestins. Également appelé Palazzo della Provincia, il a été édifié entre 1659 et 1695. Ce palais, accolé à la basilique Santa Croce, réalisé par Giuseppe Cino et Cesare Penna sur un projet de Giuseppe Zimbalo est probablement le plus baroque des palais de la ville. Aujourd'hui il est le siège de l'administration départementale.
