<center>Sainte Radegonde. </center> la Crucifixion, saint Charles Borromée...

Sainte Radegonde. la Crucifixion, saint Charles Borromée...

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<center>Sainte Radegonde. </center> La Crucifixion (XVIIe siècle)

Sainte Radegonde. La Crucifixion (XVIIe siècle)

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<center>Sainte Radegonde. </center> Le Miracle des Avoines (XVIIe siècle).

Sainte Radegonde. Le Miracle des Avoines (XVIIe siècle).

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<center>Sainte Radegonde. </center> L'orgue a été reconstruit par Jean-Loup Boisseau et inauguré en 1997.

Sainte Radegonde. L'orgue a été reconstruit par Jean-Loup Boisseau et inauguré en 1997.

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<center>Sainte Radegonde. </center> Radegonde, née vers 520, fille du roi de Thuringe, est emmenée en captivité par le roi franc Clotaire, fils de Clovis, qui l'épousera lorsqu'elle sera devenue adulte. Radegonde assure pleinement son rôle d'épouse et de reine pendant quelques années, mais déjà désire se consacrer à Dieu. Elle finit par obtenir de Clotaire qu'il la laisse suivre sa vraie vocation, et elle se retire à Poitiers où elle fait construire un monastère de femme entre le baptistère Saint-Jean et les remparts de la ville. Lorsqu'elle aura obtenu de l'empereur de Constantinople une relique de la Vraie Croix, ce sera l'abbaye Sainte-Croix. Après une trentaine d'années de vie de simple moniale Radegonde meurt en 587. Comme il était alors interdit d'enterrer à l'intérieur des murs d'une ville, elle avait fait construire, en dehors de l'enceinte une église, Sainte Marie, où son corps fut déposé, et qui sera vite appelée Sainte-Radegonde. Dès le début de nombreux miracles auront lieu auprès du tombeau de la sainte reine. Pendant des siècles et jusqu'à nos jours l'église Sainte-Radegonde sera l'église du tombeau de Radegonde - de nombreux ex-voto en témoignent - où l'on viendra prier et demander l'intercession de la sainte.

Sainte Radegonde. Radegonde, née vers 520, fille du roi de Thuringe, est emmenée en captivité par le roi franc Clotaire, fils de Clovis, qui l'épousera lorsqu'elle sera devenue adulte. Radegonde assure pleinement son rôle d'épouse et de reine pendant quelques années, mais déjà désire se consacrer à Dieu. Elle finit par obtenir de Clotaire qu'il la laisse suivre sa vraie vocation, et elle se retire à Poitiers où elle fait construire un monastère de femme entre le baptistère Saint-Jean et les remparts de la ville. Lorsqu'elle aura obtenu de l'empereur de Constantinople une relique de la Vraie Croix, ce sera l'abbaye Sainte-Croix. Après une trentaine d'années de vie de simple moniale Radegonde meurt en 587. Comme il était alors interdit d'enterrer à l'intérieur des murs d'une ville, elle avait fait construire, en dehors de l'enceinte une église, Sainte Marie, où son corps fut déposé, et qui sera vite appelée Sainte-Radegonde. Dès le début de nombreux miracles auront lieu auprès du tombeau de la sainte reine. Pendant des siècles et jusqu'à nos jours l'église Sainte-Radegonde sera l'église du tombeau de Radegonde - de nombreux ex-voto en témoignent - où l'on viendra prier et demander l'intercession de la sainte.

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<center>Sainte Radegonde. </center> Statue de la sainte, commandée en 1650 au sculpteur Nicolas Legendre par la régente Anne d'Autriche, et qui possède en fait certains des traits de cette reine.

Sainte Radegonde. Statue de la sainte, commandée en 1650 au sculpteur Nicolas Legendre par la régente Anne d'Autriche, et qui possède en fait certains des traits de cette reine.

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<center>Sainte Radegonde. </center> Autel et tombeau de St Agnès qui était une compagne de Sainte Radegonde à la cour. Elle l'a accompagnée dans la vie monastique, et fut la première abbesse de l'abbaye Sainte-Vroix.

Sainte Radegonde. Autel et tombeau de St Agnès qui était une compagne de Sainte Radegonde à la cour. Elle l'a accompagnée dans la vie monastique, et fut la première abbesse de l'abbaye Sainte-Vroix.

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<center>Sainte Radegonde. </center> Tonbeau de St Junien qui était un abbé poitevin ayant vécu au même siècle que Sainte Radegonde.

Sainte Radegonde. Tonbeau de St Junien qui était un abbé poitevin ayant vécu au même siècle que Sainte Radegonde.

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<center>Sainte Radegonde. </center> La chapelle Sainte-Marie-Madeleine ou de la Madeleine a souvent été dite salle capitulaire ou la sacristie. Elle est aussi de style Plantagenêt. Sa structure et son décor renvoient à de nombreux édifices construits dans la région de Saumur et Angers pendant la première moitié du XIII ème siècle, et l'insèrent dans un groupe de chapelles ou salles de clocher voûtées de la même façon

Sainte Radegonde. La chapelle Sainte-Marie-Madeleine ou de la Madeleine a souvent été dite salle capitulaire ou la sacristie. Elle est aussi de style Plantagenêt. Sa structure et son décor renvoient à de nombreux édifices construits dans la région de Saumur et Angers pendant la première moitié du XIII ème siècle, et l'insèrent dans un groupe de chapelles ou salles de clocher voûtées de la même façon

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<center>Sainte Radegonde. </center> A la clé centrale, un Christ bénissant.

Sainte Radegonde. A la clé centrale, un Christ bénissant.

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<center>Sainte Radegonde. </center> Les huit nervures principales sont réunies deux à deux par des arcs, dont certains coupent les quatre angles en formant des sortes de trompes; la voûte repose sur des tronçons de colonnes et des motifs sculptés pittoresques dont le rôle est essentiel : quatre personnages couronnés, un chevalier avec haubert, un évêque, un montreur d’ours, un homme se tirant la langue de la bouche, un masque grimaçant….

Sainte Radegonde. Les huit nervures principales sont réunies deux à deux par des arcs, dont certains coupent les quatre angles en formant des sortes de trompes; la voûte repose sur des tronçons de colonnes et des motifs sculptés pittoresques dont le rôle est essentiel : quatre personnages couronnés, un chevalier avec haubert, un évêque, un montreur d’ours, un homme se tirant la langue de la bouche, un masque grimaçant….

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<center>Sainte Radegonde. </center> Aux angles, les évangélistes avec à leurs pieds leurs symboles (homme, bœuf, lion, aigle). Au-dessous des symboles, sur les nervures axiales un oiseau qui est sûrement le Saint-Esprit et une femme tenant un livre pourrait être l’Eglise, les deux autres ont disparu.

Sainte Radegonde. Aux angles, les évangélistes avec à leurs pieds leurs symboles (homme, bœuf, lion, aigle). Au-dessous des symboles, sur les nervures axiales un oiseau qui est sûrement le Saint-Esprit et une femme tenant un livre pourrait être l’Eglise, les deux autres ont disparu.

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Sainte Radegonde.

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Sainte Radegonde.

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Sainte Radegonde.

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Sainte Radegonde. De la même époque date un parvis exceptionnellement bien conservé : ses murets s'appuient sur des lions, animaux symboliques associés aux fonctions de Justice du lieu (ici la justice du chapitre de chanoines). le petit parvis pavé entouré de murs, précieux et rare témoignage d'une cour de justice du Moyen-âge, avec le siège du juge en face de l'entrée.

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Sainte Radegonde.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> A l'origine, l'église n'était qu'un simple oratoire destiné à abriter le tombeau qu'Hilaire se serait fait construire de son vivant. Bâtie sur les plans de Gautier Coorland, elle a été reconstruite au XIe grâce à deux femmes : Emma, reine d'Angleterre, fille du duc Richard de Normandie, et Agnès de Bourgogne, veuve de Guillaume le Grand.

Saint-Hilaire-le-Grand. A l'origine, l'église n'était qu'un simple oratoire destiné à abriter le tombeau qu'Hilaire se serait fait construire de son vivant. Bâtie sur les plans de Gautier Coorland, elle a été reconstruite au XIe grâce à deux femmes : Emma, reine d'Angleterre, fille du duc Richard de Normandie, et Agnès de Bourgogne, veuve de Guillaume le Grand.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> A l'époque de la dédicace, en 1049, l'église actuelle ne comportait pas de bas-côtés. Le clocher, d'abord isolé, fut joint à l'église.

Saint-Hilaire-le-Grand. A l'époque de la dédicace, en 1049, l'église actuelle ne comportait pas de bas-côtés. Le clocher, d'abord isolé, fut joint à l'église.

103

<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> A l’extérieur, le choeur se distingue par ses quatre petites chapelles rayonnantes engagées dans le mur circulaire du déambulatoire et par son riche décor sculpté.

Saint-Hilaire-le-Grand. A l’extérieur, le choeur se distingue par ses quatre petites chapelles rayonnantes engagées dans le mur circulaire du déambulatoire et par son riche décor sculpté.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> A gaudhe, une des deux chapelles du transept.

Saint-Hilaire-le-Grand. A gaudhe, une des deux chapelles du transept.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> Une des deux chapelles du transept.

Saint-Hilaire-le-Grand. Une des deux chapelles du transept.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Une des deux chapelles du transept.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> Une des quatre chapelles rayonnantes.

Saint-Hilaire-le-Grand. Une des quatre chapelles rayonnantes.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Une des quatre chapelles rayonnantes.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> Le bas du clocher est du XIe. Une des fenêtres murées était le porche d'entrée car l'église était plus longue et la façade donnait directement sur la falaise.

Saint-Hilaire-le-Grand. Le bas du clocher est du XIe. Une des fenêtres murées était le porche d'entrée car l'église était plus longue et la façade donnait directement sur la falaise.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> En janvier 1590, le clocher, ébranlé par les bombardements des guerrede religion, s'effondra entraînant avec lui une partie de la voûte. A l'exception de la dernière travée, toute la nef a été reconstruite au XIXe siècle.

Saint-Hilaire-le-Grand. En janvier 1590, le clocher, ébranlé par les bombardements des guerrede religion, s'effondra entraînant avec lui une partie de la voûte. A l'exception de la dernière travée, toute la nef a été reconstruite au XIXe siècle.

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Saint-Hilaire-le-Grand.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Le transept et le choeur sont surélevés.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> L'intérieur est une forêt de colonnes, car quand on a remplacé la toiture charpentée par une voûte en pierre, il a fallu la consolider en doublanr les colonnes. L'église avait des bas-cotés, pas des colatéraux, et eux aussi ont été doublés. Il y a donc 7 vaisseaux.

Saint-Hilaire-le-Grand. L'intérieur est une forêt de colonnes, car quand on a remplacé la toiture charpentée par une voûte en pierre, il a fallu la consolider en doublanr les colonnes. L'église avait des bas-cotés, pas des colatéraux, et eux aussi ont été doublés. Il y a donc 7 vaisseaux.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Le chœur est fermé par huit colonnes de 6 m de haut et alignées en un demi-cercle.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Remarquable décor peint de la fin du XIe siècle, représentant les premiers évêques de Poitiers.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Chapiteaux historiés. La mort de Saint Hilaire.

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Saint-Hilaire-le-Grand.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Les chapelles rayonnantes sont ornées de peintures retraçant la vie de saint Martin, très vénéré dans le Poitou. Ici, il partage son manteau.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Scènes de l'Apocalypse dans le cul-de-four de l'abside

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Saint-Hilaire-le-Grand.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Les vitraux sont du XIX siècle. Vie de Saint-Hilaire.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> Le mariage de Marie et de Joseph, la fuite en Egypte, la mort de Jodeph.

Saint-Hilaire-le-Grand. Le mariage de Marie et de Joseph, la fuite en Egypte, la mort de Jodeph.

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Saint-Hilaire-le-Grand.

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Saint-Hilaire-le-Grand. En bas saint Hilaire.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> Vitrail du Christ en majesté. Statue représentant la Trinité.

Saint-Hilaire-le-Grand. Vitrail du Christ en majesté. Statue représentant la Trinité.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> Construit en 1884 par Georges Wenner, l'orgue restauré exprime à merveille le répertoire du XIXe.

Saint-Hilaire-le-Grand. Construit en 1884 par Georges Wenner, l'orgue restauré exprime à merveille le répertoire du XIXe.

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Saint-Hilaire-le-Grand.

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Saint-Hilaire-le-Grand. Statues en pierre de la Vierge, de saint Hilaire et de sainte Radegonde dans une chapelle du transept. Elles font référence à la légende du Miracle des clés.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> ableau de l'Adoration des Mages aux armes de Flandrine de Nassau, abbesse de l'abbaye Sainte-Croix date du XVIIe siècle.

Saint-Hilaire-le-Grand. ableau de l'Adoration des Mages aux armes de Flandrine de Nassau, abbesse de l'abbaye Sainte-Croix date du XVIIe siècle.

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<center>Saint-Hilaire-le-Grand. </center> Enfeu (tombe encastrée dans l'épaisseur du mur d'un édifice religieux) du XIe siècle sur le mur sud de l'église .

Saint-Hilaire-le-Grand. Enfeu (tombe encastrée dans l'épaisseur du mur d'un édifice religieux) du XIe siècle sur le mur sud de l'église .

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<center>Portail du doyenné Saint-Hilaire. </center>A quelques mètres du chevet s'élève le portail latéral du Doyenné Saint-Hilaire.

Portail du doyenné Saint-Hilaire. A quelques mètres du chevet s'élève le portail latéral du Doyenné Saint-Hilaire.

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<center>Portail du doyenné Saint-Hilaire. </center>L'arc en anse de panier, le front orné d'une frise de palmettes et de spires, et, de chaque côté, des amours armés d'un arc et des têtes feuillagées, sont dans le goût du début du XVIe siècle.. Sur le cartouche : école normale primaire, ancien doyenné du chapitre royal de Saint-Hilaire. le Grand.

Portail du doyenné Saint-Hilaire. L'arc en anse de panier, le front orné d'une frise de palmettes et de spires, et, de chaque côté, des amours armés d'un arc et des têtes feuillagées, sont dans le goût du début du XVIe siècle.. Sur le cartouche : école normale primaire, ancien doyenné du chapitre royal de Saint-Hilaire. le Grand.

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<center>Hôtel Geoffroy d'Estissac, ancien doyenné Saint Hilaire. </center>Ce logis a été érigé vers 1525, par le doyen de Saint-Hilaire, ami et protecteur de Rabelais. Sa façade est d'inspiration italienne, sur une srtucture d'ensemble gothique.

Hôtel Geoffroy d'Estissac, ancien doyenné Saint Hilaire. Ce logis a été érigé vers 1525, par le doyen de Saint-Hilaire, ami et protecteur de Rabelais. Sa façade est d'inspiration italienne, sur une srtucture d'ensemble gothique.

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