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La place Royale.
Presque entièrement détruite lors des bombardements de 1943, cette place, conçue au 18e siècle par Mathurin Crucy, est reconstruite à l'identique. Elle respecte les principes de l’architecte : symétrie des façades, rigueur du plan, ouverture des perspectives.
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La place Royale.
Erigée en 1865, la fontaine monumentale, en granit bleu, symbolise la vocation fluviale et maritime de Nantes. La ville, sous les traits d'une femme couronnée, armée du trident de Neptune qui a disparu, veille sur la Loire et ses affluents l'Erdre, la Sèvre, le Cher et le Loiret. Huit génies de l'industrie et du commerce rappellent le rôle majeur du port dans l'économie de la cité.
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La place Royale.
Les statues sont l'œuvre des sculpteurs Daniel Ducommun de Locle (pour la ville et les cours d'eau) et Guillaume Grootaërs (pour les génies), et du fondeur nantais Jean Simon Voruz.
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La place Royale.
La Loire et au-dessu, Nantes..
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La place Royale.
La Sèvre. D'autres statues symbolisent les huit génies de l'industrie et du commerce : soufflant de l'eau au travers de coquillages et juchés sur des dauphins crachant de l'eau par les narines, ils rappellent le rôle majeur du port dans l'économie de la cité
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La place Royale.
Le Cher.
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La place Royale.
Le Loiret.
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La place Royale.
L'Erdre.
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Maison du chocolatier.
Dans cet immeuble est mort, en 1811, Jean-Baptiste Ceineray, grand architecte de la ville. Remarquez les fenêtres, orientées de telle façon que la lumière puisse pénétrer le mieux à l'intérieur. Et au rez-de-chaussée, la confiserie.
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La confiserie Georges Gautier Débotté.
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La confiserie Georges Gautier Débotté.
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La confiserie Georges Gautier Débotté.
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La confiserie Georges Gautier Débotté.
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La confiserie Georges Gautier Débotté.
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La confiserie Georges Gautier Débotté.
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La confiserie Georges Gautier Débotté.
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La confiserie Georges Gautier Débotté.
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Place du Commerce.
Elle est située sur l'ancien port au vin. Le palais de la Bourse fur édifié par Mathurin Crucy au début du XIXe, dans le style néoclassique.
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Place du Commerce.
Ancien palais de la Bourse
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Quai de la Fosse.
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Ancien passage du commerce.
Avant le passage Pommeraye, la rue du puit d'Argent et le passage du commerce faisaient communiquer les immeubles situés à flanc de coteau, au-dessus du quai de la fosse. Ces deux voie étroites étaient mal famées (et bien femmées..) et de véritables coupe-gorge.
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Rue Crébillon.
A gauche, la rue Crébillon, à droite, le passage Pommeraye.
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Le Passage Pommeraye.
Très rares sont les villes d'Europe pouvant se flatter de posséder un passage couvert d'une telle valeur architecturale. Galerie SANTEUIL. On remarque 2 arcades façonnées de paradisiers et lianes en stuc. Le long, cinq baies vitrées décorées de feuilles d'acanthe réalisées par Léopold Hergault. Entre chaque baie 8 médaillons représentent les célébrités locales. Des bustes de CEINERAY et de CRUCY réalisés par Jean De Bay ornent les 2 portiques de la galerie.
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Le Passage Pommeraye.
Sur l’initiative de Louis Pommeraye (1806-1850), notaire, les architectes Jean-Baptiste Buron & Hippolyte Durand-Gasselin conçurent les plans de ce passage ouvert en 1843. La décoration fut l’œuvre des sculpteurs Jean Debay et Guillaume Grootaërs. Construit sur 3 niveaux, il remplace avantageusement l’étroit boyau du Commerce.
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Le Passage Pommeraye.
Ce passage mixte est constitué de commerces et d'habitats. Il relie la rue de la Fosse à la rue Santeuil sur 9 m de dénivelé. La voûte du portique est ornée des caissons à motifs floraux.
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Le Passage Pommeraye.
Créé en 1843, il est entré intact dans le XXIe siècle. S'appuyant contre une forte déclivité il développe sur trois niveaux flanqués de boutiques un escalier monumental à la décoration ouvragée. Ce havre de paix pour piétons en mal de lèche-vitrines a inspiré plus d'un artiste, du cinéaste Demy (Lola, Une Chambre en ville), au dessinateur Tardi (L'Histoire du soldat inconnu) en passant par l'écrivain André Pieyre de Mandiargues issu du mouvement surréaliste.
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Le Passage Pommeraye.
Troisième niveau. Alliant le fer et le verre, il est orné de 16 génies allégoriques (le commerce, l'agriculture, industrie, beaux arts, sciences...) de Jean De Bay illuminant l'obscurité par la fée électricité. L'horloge est encadrée de 2 statues représentant "Le Jour et La Nuit". Celle de droite, toute alanguie, un croissant de lune au front, représente la nuit. Celle de gauche, couronnée d'un soleil, brandissant une torcheest accompagné d'un coq, symbole solaire. Au fond, l'oeil de Boeuf encadré de 2 chevaux ailés de la galerie de la Fosse.
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Le Passage Pommeraye.
Dans les 3 galeries, les décorations des devantures de magasins sont identiques.
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Le Passage Pommeraye.
A chaque angle du troisième niveau, un chérubin porte en équilibre sur son menton une torche.
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Le Passage Pommeraye.
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Le Passage Pommeraye.
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Le Passage Pommeraye.
Deuxième niveau. Jean-Simon Voruz est le créateur de l'escalier.
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Bien qu'éprouvé par les bombardements du dernier conflit mondial il demeure par son unité de style l'un des plus beaux exemples d'urbanisme des XVIIIe et XIXe siècles. Baptisé du nom de son promoteur, Graslin, issu d'une très honorable famille de financiers, il fut développé par les architectes Ceineray et Crucy sur un coteau dominant le quai de la Fosse. Le plan d'ensemble révèle la volonté de mise en scène de la ville: le théâtre domine une place en hémicycle, les façades identiques forment les Premières loges d'un véritable «théâtre urbain». Le théâtre, conçu à l'italienne, est bâti en 1788 dans le style néoclassique. Il s'ouvre par un superbe péristyle à huit colonnes corinthiennes que surmontent huit muses, ses marches sont un lieu de rendez-vous habituel.
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Le Passage Pommeraye.
Deuxième niveau.
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Le Passage Pommeraye.
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Le Passage Pommeraye.
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Le Passage Pommeraye.
Premier niveau. Les trois niveaux de galeries sont soutenus par 16 colonnes cannelées et desservies par un large escalier équipé d'une magnifique rampe en ferronnerie fondue par VORUZ et de marches en bois travaillées par le menuisier LOTZ.
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Le Passage Pommeraye.
Premier niveau.
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Le Passage Pommeraye.
Premier niveau. Galerie de la Fosse.
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La place et le théâtre Graslin.
Bien qu'éprouvé par les bombardements du dernier conflit mondial il demeure par son unité de style l'un des plus beaux exemples d'urbanisme des XVIIIe et XIXe siècles. Baptisé du nom de son promoteur, Graslin, issu d'une très honorable famille de financiers, il fut développé par les architectes Ceineray et Crucy sur un coteau dominant le quai de la Fosse. Le plan d'ensemble révèle la volonté de mise en scène de la ville: le théâtre domine une place en hémicycle, les façades identiques forment les Premières loges d'un véritable «théâtre urbain». Le théâtre, conçu à l'italienne, est bâti en 1788 dans le style néoclassique. Il s'ouvre par un superbe péristyle à huit colonnes corinthiennes que surmontent huit muses, ses marches sont un lieu de rendez-vous habituel.
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La brasserie la Cigale.
Si une horloge arrêtée semble toujours vouloir conditionner le service en fonction des horaires de son vis-à-vis lyrique, cette très belle brasserie, inaugurée en 1895, conserve néanmoins son cadre authentique et des mosaïques charmantes témoins d'un genre quasiment disparu.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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La brasserie la Cigale.
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Le Cours Cambronne.
Etymologiquement, il s'agit d'une avenue servant de promenade. On y entre en effet par des grilles pour y flâner parmi les magnolias autour de la statue du général Cambronne. Il faudra passer côté rue pour apprécier la diversité des entrées de ces immeubles à pilastres tous identiques côté cours. Créé dans la première moitié du 19e siècle, il s'inspire du plan des jardins du Palais Royal à Paris. Anciennement cours Henri IV, il fut baptisé cours Cambronne, après l'inauguration en 1848 de la statue du célèbre général d'Empire, d'origine nantaise.
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Le Cours Cambronne.
Cambronne, général mort en 1842 à Nantes.
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Quartier Graslin.
Rue Voltaire.
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Quartier Graslin.
Rue Voltaire.
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Musée Dobrée Musée d'Archéologie.
Le Palais Dobrée, impressionnant édifice néo-roman, a été construit à partir de 1862 comme demeure pour Thomas Dobrée (1810-1895) et ses collections. Fils et petit-fils d'armateurs nantais et promoteurs de l'industrie baleinière à Nantes, il se trouva très jeune à la tête d'une immense fortune. Il abandonna la tradition familiale du négoce et, devenu collectionneur, il consacra 64 ans de sa vie la "recherche et au culte du passé" acquérant plus de 10.000 oeuvres d'art.
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Musée Dobrée Musée d'Archéologie.
En réponse à la commande d'une vaste "maison romane", Viollet-le-Duc proposa un château gothique. Dobrée construira finalement lui-même le palais qui porte son nom avec l'aide successive des architectes nantais Simon, Boismen, Chenantas et Le Diberder. La forme du bâtiment serait inspirée de celle de la châsse de Saint Calmin, émail limousin du XIIIe siècle, un des joyaux de la collection Dobrée. Thomas Dobrée consacra 100.000 francs-or (245.000 € en 2002) par an pendant 34 ans à la construction de cette "folie Dobrée" destinée à accueillir ses collections et à recevoir la société nantaise. Il n'habita jamais ce palais qui ne fût achevé qu'après sa mort. C'est en 1894 qu'il légua ses collections au Conseil Général. Le musée a ouvert ses portes en 1899. L'édifice actuel reprend le plan général défini par l'architecte Viollet-Le-Duc : un bâtiment longitudinal comportant trois avant-corps et orienté est-ouest, mais il en diffère par l'élévation d'une tour carrée à l'ouest.
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Musée Dobrée Musée d'Archéologie.
La tour carrée sur laquelle Thomas Dobrée a fait graver l'inscription bretonne " Ann dianaf a rog ac'hanoun ", " L'inconnu me dévore " surmonté d'un dragon agrippé à un coeur de pierre rouge. Une tourelle circulaire est déplacée vers l'avant-corps central. L'ensemble juxtapose les styles roman et gothique.
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Musée Dobrée Musée d'Archéologie.
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Muséum d'Histoire naturelle.
19 août 1875 : après 40 ans d'attente, la Municipalité inaugure le Muséum d'histoire naturelle dans un nouveau quartier, à l'ouest de la ville. Ouvert sur une place, l'édifice de style classique, conçu par Gustave Bourgerel, vient prolonger l'ancien Hôtel de la monnaie. L'entrée monumentale en avant-corps, soulignée d'un fronton sculpté par Guillaume Grootaërs, célèbre les progrès de la science symbolisée par le flambeau éclairant le monde au centre des règnes animal végétal et minéral.
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Immeuble de la Compagnie Générale des Accidents.
Immeuble CGA, 1935. Architectes : H. Vié père et fils.
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Immeuble de la Compagnie Générale des Accidents.
La coupole en pavés de verre coloré, style Art déco.
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Immeuble de la Compagnie Générale des Accidents.
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Immeuble de la Compagnie Générale des Accidents.
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Immeuble de la Compagnie Générale des Accidents.
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Maison près du château.
C'est dans cette maison que fut arrêtée la duchesse de Berry, après s'être réfugiée derrière la plaque en fonte de la cheminée.
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La porte Saint-Pierre.
La porte Saint-Pierre était autrefois une des entrées principales, constitutives de l'enceinte médiévale, construite à partir du XIVe siècle. La porte, construite sur des fondations antiques, fut surmontée d'un logis épiscopal au XVIe siècle. C'est un vestige de l'enceinte médiévale remaniée au XVe.
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La porte Saint-Pierre.
La Porte Saint-Pierre, du XVe siècle, qui flanque la cathédrale permet d'accéder à la place Maréchal Foch.
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Place Maréchal Foch.
On la nomme communément place Louis XVI car la colonne érigée en 1790 en son centre porte l'une des rares figures de ce dernier encore visible en France.
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Place Maréchal Foch.
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Le cours St André.
Les cours Saint-Pierre et Saint-André qui s'étendent de part et d'autre offrent au regard de beaux hôtels XVIIIe.
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Le cours St André.
Les cours Saint-Pierre et Saint-André furent aménagés au XVIIIe siècle en promenade publique, selon les plans de l'architecte Ceineray
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Le cours St Pierre.
Chapelle de l'Oratoire.
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Tables mémoriales pour les morts.
Dès 1918, le maire Paul Bellamy souhaite rendre hommage aux Nantais tombés au combat. Il retient le projet de M. Robida, trois tables mémoriales, « monument architectural aux nobles et simples lignes», portant le nom des 7500 soldats morts pour la France. Au centre, un socle trône sans figure. II fut orné pendant 3 ans de la statue de la Délivrance. Placée devant les Tables mémoriales en 1927, l'œuvre du sculpteur Emile Guillaume (produite à11exemplaire) sreprésentant une femme nue avait choqué l'opinion, suscitant les plus vives critiques de l'opposition. Vandalisée 4 mois après son inauguration, il faut attendre 10 ans pour qu'elle soit réinstallée en toute discrétion à bonne distance du monument de la Grande Guerre. Pendant l'Occupation, la statue disparaît. Elle est aujourd'hui installée devant l'Hôtel de Région des Pays de la Loire.
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Services départementaux.
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Services départementaux.
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Services départementaux.
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La préfecture.
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La préfecture.
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L'erdre.
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L'erdre.
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Monument aux cinquante otages et à la résistance.
Monument élevé à la mémoire des résistants fusillés par les nazis, à Nantes, Chateaubriant et Paris, le 22 octobre 1941, sur ordre d’Hitler pour venger le feldkommandant de Nantes Hotz tué par les jeunes résistants deux jours plus tôt.
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Charles de Gaulle.
En faisant de Nantes la première ville Compagnon de la Libération, le général de Gaule rendait l’hommage de la France libre à une cité qui, écrivait-il, « par la sang de ses enfants martyrs, vient d’attester devant la monde entier la volonté Française de Libération Nationale ».
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La porte Sauvetout : vestige du Moyen Âge.
Au 15ème siècle, à la sortie nord de la ville, le châtelet Sauvetout était une petite forteresse composée de deux tours et d'un pont-levis, qui menait au faubourg du Marchix. De cet ensemble défensif, seule la base de la tour Haut-le-pied, en lits de granit et de schiste, est visible aujourd'hui.
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La porte Sauvetout : vestige du Moyen Âge.
Tour Bretagne et anciennes halles. Tour Bretagne : érigée en 1971, 144 m de hauteur, 29 étages, 8 ascenseurs.
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Anciennes halles.
A gauche, St Nicolas.
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L'Hôtel de Ville.
Installé â l'origine dans un petit manoir acheté au 16e siècle, l'hôtel de ville s'étend progressivement au fur et à mesure du développement du pouvoir municipal, par l'acquisition des propriétés voisines. La mairie n'est pas constituée d'un sein bâtiment monumental, mais d'un ensemble d'édifices d'époques et de styles différents. Ici, parties du 15-17-19e siècles. Le blason de la Ville, placé sur la grille d'honneur et en façade, rappelle la vocation maritime et commerciale du port de Nantes. La devise Favet Neptunus Eunti, «Que Neptune favorise le voyageur», évoque l'esprit d'entreprise et d'aventure des Nantais.
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L'Hôtel de Ville.
En face et à droite parties du 17e siècle, au fond du 20e siècle.
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L'Hôtel de Ville.
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Près de la mairie.
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Près de la mairie.
Le Toucan d'Alain Thomas. Alain Thomas est un peintre d'origine nantaise, né en 1942 et dont les débuts dans la vie professionnelle n'annonçaient pas un parcours artistique ; pourtant il décide de se consacrer à la peinture, en autodidacte, et propose sa première exposition en 1963. Il est très connu du grand public nantais grâce surtout à son immense fresque murale de 125m2, « Le Toucan à bec caréné » qui a dès 1996 orné le pignon d'un bâtiment place Aimé-Delrue, pour être ensuite réinstallée rue Fanny Peccot, près de l'Hôtel de Ville, en juin.
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Une rue héritée du Moyen âge.
A la fin du moyen âge, dans les quartiers densément peuplés, aux rues étroites, on construit des maisons en pan de bois, en réservant le rez-de-chaussée au commerce et les étages au logement. Il reste peu d’exemples de ces constructions. En raison des mesures de prévention des incendies, des travaux d’urbanisme, et plus récemment des bombardements de la seconde guerre mondiale, elles ont presque toutes disparu.
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Une rue héritée du Moyen âge.
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Une rue héritée du Moyen âge.
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Une rue héritée du Moyen âge.
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Rue des Carmes.
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La place du Change.
C'est l’une des places historiques de Nantes. C’est ici que se croisaient les grandes rues de la ville au Moyen Age. On y organisait les fêtes populaires et l’animation était assurée régulièrement par de nombreux artistes de rue. La « maison des apothicaires », grande maison à colombages qui date du XVe siècle est probablement la plus belle demeure historique du vieux Nantes.
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La place du Change.
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Place du Pilori.
Il s’agissait, avec la place du Change, du centre de la ville médiévale, un véritable lieu de passage, de commerce et de discussions. Lors des grands travaux qui touchèrent le quartier au XVIIIe siècle, la place du Pilori fut entièrement reconstruite. Il ne reste donc aucune trace antérieure à cette époque.
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Place du Pilori.
En bas, le mascaron Jean qui rit...
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Place du Pilori.
et celui de Jean qui pleure.
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Place du Pilori.
La place du Pilori est restée un lieu de vie important à Nantes. Ses façades élégantes du XVIIIe siècle et ses terrasses de café lui donnent tout son charme. Au premier étage, les quatre saisons encadrent le soleil : l'hiver, le printemps, l'été et l'automne.
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Place du Pilori.
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Galeries Lafayette.
Les galerie Lafayette qu'on continue, ici, à appeler Decré, du nom de l'ancien proprétairede. Architecte : Sauvage (auteur de La Samaritaine à Paris).
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Galeries Lafayette.
Façades aux mosaïques bleues d'Isidore Odorico.
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Rue Haute Casserie.
Maison fondée en 1798. Au fond, St Nicolas.
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Rue Haute Casserie.
Maison fondée en 1798.
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Angle de la rue de la Barillerie.
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Quartier du Bouffay.
Selon son cheminement, on peut y croiser des maisons à colombage....
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Quartier du Bouffay.
ou les vestiges d'une vieille cheminée Renaissance accrochée par le temps au flanc d'un bâtiment.
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Quartier du Bouffay.
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Quartier du Bouffay.
Une des plus vieilles maisons (XV-XVIe siècles), à coté de l'église St Croix.
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La place du Bouffay.
Son petit marché couvert laisse mal supposer que s'y tenaient jadis les tournois, les foires, les processions ou les exécutions, de même qu'il faut deviner que la Loire passait à quelques mètres, du côté ouvert de la place. ici, bel immeuble du XVIIIe.
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La place du Bouffay.
Le marché couvert. Dans une des tours du château, un prisonnier attend la sentence de Louis XIII. Il s'agit d'Henri de Talleyrand, sieur de Chalais, accusé de complot contre la vie du roi et d'intrigue avec les huguenots et Gaston d'Orléans, le frère de Louis XIII. Malgré ses dénégations, il est condamné et décapité sur la place du Bouffay.
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Cours Franklin.
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Quai de la Fosse.
Il est quasi légendaire pour les natifs de la cité des ducs pour la très simple raison que la vie portuaire y charria des siècles durant tant les saveurs que les aventures ramenées de tous les horizons. Plusieurs demeures d'armateurs du XVIIIe aux belles façades s'y égrènent.
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Quai de la Fosse.
Ancien quartier "chaud" de Nantes : on le surnommait quai de la Fesse...
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Quai de la Fosse.
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Statues de Némo et Jules Verne enfant.
Esplanade Jean Bruneau. Ces sculptures installées en 2005 représentent le petit Jules assis sur un banc regardant vers le large dans la même direction que le capitaine Némo, héros de ses futurs romans.
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Statue de Sainte- Anne.
Inaugurée en 1871, elle semble bénir la Loire et ses marins du haut de son rocher tout en serrant contre elle la Vierge enfant. A ses pieds chute littéralement un escalier de 121 marches.
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Musée Jules Verne.
D'un style mauresque assez inattendu pour le quartier cette grande villa se dresse sur la Butte tel un belvédère issu d'un conte oriental. Depuis 1978, elle est dédiée à l’œuvre du grand écrivain.
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Vues du musée Jules Verne.
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Musée Jules Verne.
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Musée Jules Verne.
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Musée Jules Verne.
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Musée Jules Verne.
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Musée Jules Verne.
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Musée Jules Verne.
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Musée Jules Verne.
Le nautilus.
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Musée Jules Verne.
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Fresque des acadiens.
Fresque à la mémoire des Acadiens, déportés du Canada par les Anglais et réfugiés à Nantes, attendant pour la plupart leur embarquement pour la Louisiane. Réalisée par Robert Dafford. Certains restèrent à Nantes et firent souche à Chantenay.
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Fresque des acadiens.
Leur arrivée sur le territoire Américain.
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