La Ville de Bordeaux.

Place des Quinquonces, Quartier des Chatrons, les Quais des Chatrons, Quartier Saint-Michel, Porte de Bourgogne, la Grosse Cloche, Rue de la Rousselle, Quai Sainte-Croix, Palais Gallien, Place du Chapelet, Passage Sarget, Place du Parlement, Quartier St Pierre, la Porte Cailhau, Place Camille Jullian, Le Grand Théâtre.

<center>La passerelle Gustave Eiffel</center>A l'origine ce pont était destiné à relier les deux gares Bordelaises, celle du chemin de fer d'Orléans et celle des chemins de fer du Midi. Ce pont de chemin de fer a été dessiné par deux ingénieurs des Ponts et Chaussées Paul Régnault et Stanislas de la Roche Tolay, mais l'histoire se souvient surtout du nom de Gustave Eiffel. C'est en effet lui qui fut le chef de chantier pour cette réalisation d'un pont ferré au dessus de la Garonne. Long d'un peu plus de 500 mètres, ce pont construit entre 1848 et 1860 se caractérise par sa structure métallique et ses croisillons
La passerelle Gustave Eiffel
A l'origine ce pont était destiné à relier les deux gares Bordelaises, celle du chemin de fer d'Orléans et celle des chemins de fer du Midi. Ce pont de chemin de fer a été dessiné par deux ingénieurs des Ponts et Chaussées Paul Régnault et Stanislas de la Roche Tolay, mais l'histoire se souvient surtout du nom de Gustave Eiffel. C'est en effet lui qui fut le chef de chantier pour cette réalisation d'un pont ferré au dessus de la Garonne. Long d'un peu plus de 500 mètres, ce pont construit entre 1848 et 1860 se caractérise par sa structure métallique et ses croisillons
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<center>La passerelle Gustave Eiffel</center>Bien que démontée en 1981 car jugée dangereuse, les Bordelais continueront par habitude à appeler ce pont la
La passerelle Gustave Eiffel
Bien que démontée en 1981 car jugée dangereuse, les Bordelais continueront par habitude à appeler ce pont la "passerelle Eiffel". Si la qualité de l'ouvrage n'a jamais été remise en cause, c'est bien l'importance du trafic qui a conduit à la mise en retraite du pont Eiffel. En effet, au fil des ans, l'étroitesse du pont qui empêchait l'augmentation du nombre de voies est devenu un véritable obstacle au développement ferroviaire. Réseau Ferré de France a donc construit un nouveau pont pour franchir la Garonne, le pont Garonne, dont l'inauguration s'est déroulée le dimanche 11 mai 2008. Dès le mois de juin 2008, le pont Gustave Eiffel s'est vu amputé de ses deux extrémités qui empêchaient l'élargissement du nouveau pont Garonne voisin, c'est une partie de la première travée qui a donc été découpée puis retirée.
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<center>La place des Quinconces</center>Créée au début du XIXe siècle sur l'emplacement du château Trompette, elle est plantée pour moitié d'arbres, dont la disposition en quinconce lui donne son nom. Elle est composée d'une esplanade descendant en pente douce vers la Garonne encadrée au nord et au sud de plantations d'arbres.<br>
La place des Quinconces est aménagée de 1810 à 1828 sur l'emplacement du château Trompette (du nom du ruisseau Tropeyte, qui traversait le quartier détruit pour la construction de la citadelle). Cette fortification avait été construite sous Charles VII initialement pour contenir une ville frondeuse. Cette forteresse améliorée par Vauban durant le règne de Louis XIV, perd son rôle au cours du XVIIIe siècle. Sa destruction est entamée après sa cession à la ville en 1816 sous le règne du roi Louis XVIII.<br>
Le plan de la place est figé en 1816 : une esplanade rectangulaire encadrée par des plantations d'arbres court de l'hémicycle jusqu'à la Garonne. Les arbres sont plantés (en quinconce, d'où le nom de la place) en 1818. En 1829, deux grandes colonnes rostrales, de style néo-classique et célébrant le Commerce et la Navigation, sont édifiées au bout de l'esplanade côté Garonne. Lors de sa séance du 11 août 1821, la ville de Bordeaux, à majorité royaliste, vote le principe d’un monument à ériger à la mémoire du « roi-martyr » Louis XVI et de l’installer sur la place des Quinconces. La place baptisée initialement place Louis XVI puis renommée place Louis-Philippe prend son nom actuel après la Révolution de 1848. Après avoir envisagé plusieurs autres projets au fil des décennies, on décide en 1883 de construire au centre de l'hémicycle un monument à la mémoire des Girondins et célébrant la République.
La place des Quinconces
Créée au début du XIXe siècle sur l'emplacement du château Trompette, elle est plantée pour moitié d'arbres, dont la disposition en quinconce lui donne son nom. Elle est composée d'une esplanade descendant en pente douce vers la Garonne encadrée au nord et au sud de plantations d'arbres.
La place des Quinconces est aménagée de 1810 à 1828 sur l'emplacement du château Trompette (du nom du ruisseau Tropeyte, qui traversait le quartier détruit pour la construction de la citadelle). Cette fortification avait été construite sous Charles VII initialement pour contenir une ville frondeuse. Cette forteresse améliorée par Vauban durant le règne de Louis XIV, perd son rôle au cours du XVIIIe siècle. Sa destruction est entamée après sa cession à la ville en 1816 sous le règne du roi Louis XVIII.
Le plan de la place est figé en 1816 : une esplanade rectangulaire encadrée par des plantations d'arbres court de l'hémicycle jusqu'à la Garonne. Les arbres sont plantés (en quinconce, d'où le nom de la place) en 1818. En 1829, deux grandes colonnes rostrales, de style néo-classique et célébrant le Commerce et la Navigation, sont édifiées au bout de l'esplanade côté Garonne. Lors de sa séance du 11 août 1821, la ville de Bordeaux, à majorité royaliste, vote le principe d’un monument à ériger à la mémoire du « roi-martyr » Louis XVI et de l’installer sur la place des Quinconces. La place baptisée initialement place Louis XVI puis renommée place Louis-Philippe prend son nom actuel après la Révolution de 1848. Après avoir envisagé plusieurs autres projets au fil des décennies, on décide en 1883 de construire au centre de l'hémicycle un monument à la mémoire des Girondins et célébrant la République.
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<center>La place des Quinconces</center>Le monument à la mémoire des Girondins et célébrant la République est constitué d'une colonne haute de 43 mètres et de bassins  situés à son pied.Il est achevé qu'en 1902.
La place des Quinconces
Le monument à la mémoire des Girondins et célébrant la République est constitué d'une colonne haute de 43 mètres et de bassins situés à son pied.Il est achevé qu'en 1902.
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<center>La place des Quinconces</center>Le monument principal de la place est le monument aux Girondins élevé entre 1894 et 1902 à la mémoire des députés Girondins victimes de la Terreur et célébrant la République.
<nr>Il se compose d'un large socle encadré de deux bassins, ornés de chevaux et de groupes en bronze, et surmonté d'une colonne de 43 mètres de haut où culmine (à 54 mètres de hauteur) la statue de la liberté brisant ses fers en bronze vert. La colonne est réalisée par Alphonse Dumilatre et Victor Rich. Le piédestal est de Corgolin.
La place des Quinconces
Le monument principal de la place est le monument aux Girondins élevé entre 1894 et 1902 à la mémoire des députés Girondins victimes de la Terreur et célébrant la République. Il se compose d'un large socle encadré de deux bassins, ornés de chevaux et de groupes en bronze, et surmonté d'une colonne de 43 mètres de haut où culmine (à 54 mètres de hauteur) la statue de la liberté brisant ses fers en bronze vert. La colonne est réalisée par Alphonse Dumilatre et Victor Rich. Le piédestal est de Corgolin.
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<center>La place des Quinconces</center>Cette fontaine que les Bordelais appellent souvent
La place des Quinconces
Cette fontaine que les Bordelais appellent souvent "chevaux des Girondins" revient pourtant de loin. Vendue 30 francs le kilo aux Allemands (le prix de la ferraille à cette époque), elle devait être fondue. Les personnages constituant la fontaine des Girondins, voués à une destruction certaine, seront déboulonnés en 1943. Les 34 sculptures disparaîtront ainsi du paysage Bordelais durant de nombreuses années. Elles seront miraculeusement retrouvées intactes à Angers puis ramenées à Bordeaux ou elles seront longtemps stockées au pied du pont d'Aquitaine. Il faudra tout de même attendre 1982 pour que les célèbres chevaux marins, les allégories, les chars de la République et de la Concorde retrouvent leurs bassins au pied de la colonne.
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<center>La place des Quinconces</center>Vers les Chartrons : le triomphe de la Concorde qui tient à la main un rameau d'olivier. Elle protège la Fraternité symbolisée par les personnages de l'Ouvrier et du Bourgeois qui se parlent.
La place des Quinconces
Vers les Chartrons : le triomphe de la Concorde qui tient à la main un rameau d'olivier. Elle protège la Fraternité symbolisée par les personnages de l'Ouvrier et du Bourgeois qui se parlent.
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<center>La place des Quinconces</center>L'ensemble se termine par le symbole du bonheur de la famille avec le père, la mère et l'enfant jouant avec un dauphin.
La place des Quinconces
L'ensemble se termine par le symbole du bonheur de la famille avec le père, la mère et l'enfant jouant avec un dauphin.
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<center>La place des Quinconces</center>Le quadrige des chevaux marins.
La place des Quinconces
Le quadrige des chevaux marins.
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La place des Quinconces
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<center>La place des Quinconces</center>De chaque coté,  deux groupes de trois enfants. Coté droit, c'est la Prospérité qui encourage les Arts. Coté gauche ils représentent la Paix et la Fraternité qui favorisent le commerce.
La place des Quinconces
De chaque coté, deux groupes de trois enfants. Coté droit, c'est la Prospérité qui encourage les Arts. Coté gauche ils représentent la Paix et la Fraternité qui favorisent le commerce.
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<center>La place des Quinconces</center>Coté gauche ils représentent la Paix et la Fraternité qui favorisent le commerce.
La place des Quinconces
Coté gauche ils représentent la Paix et la Fraternité qui favorisent le commerce.
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<center>La place des Quinconces</center>L'ensemble se termine par le symbole du bonheur de la famille avec le père, la mère et l'enfant jouant avec un dauphin.
La place des Quinconces
L'ensemble se termine par le symbole du bonheur de la famille avec le père, la mère et l'enfant jouant avec un dauphin.
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<center>La place des Quinconces</center>L'ensemble se termine par le symbole du bonheur de la famille avec le père, la mère et l'enfant jouant avec un dauphin.
La place des Quinconces
L'ensemble se termine par le symbole du bonheur de la famille avec le père, la mère et l'enfant jouant avec un dauphin.
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<center>La place des Quinconces</center>L'ensemble se termine par le symbole du bonheur de la famille avec le père, la mère et l'enfant jouant avec un dauphin.
La place des Quinconces
L'ensemble se termine par le symbole du bonheur de la famille avec le père, la mère et l'enfant jouant avec un dauphin.
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La place des Quinconces
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<center>La place des Quinconces</center>Vers la place Tourny : monument élevé à la mémoire des Giroondins.
La place des Quinconces
Vers la place Tourny : monument élevé à la mémoire des Giroondins.
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<center>La place des Quinconces</center>Le monument élevé à la mémoire des Girondins, avec la ville de Bordeaux assise sur la proue d'un navire avec une corne d'abondance. À droite du socle, une allégorie fluviale : la Dordogne et à gauche la Garonne.
La place des Quinconces
Le monument élevé à la mémoire des Girondins, avec la ville de Bordeaux assise sur la proue d'un navire avec une corne d'abondance. À droite du socle, une allégorie fluviale : la Dordogne et à gauche la Garonne.
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<center>La place des Quinconces</center>La Garonne.
La place des Quinconces
La Garonne.
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<center>La place des Quinconces</center>La Dordogne.
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La Dordogne.
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<center>La place des Quinconces</center>Vers le Grand Théâtre : le triomphe de la République (sous les traits de Minerve) qui sur son trône magnifie  le travail (personnage du forgeron), la sécurité et la force (symbolisées par le lion).
La place des Quinconces
Vers le Grand Théâtre : le triomphe de la République (sous les traits de Minerve) qui sur son trône magnifie le travail (personnage du forgeron), la sécurité et la force (symbolisées par le lion).
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<center>La place des Quinconces</center>Les lois de la République sont rappelées de part et d'autre par la présence d'un groupe de 3 enfants : le
La place des Quinconces
Les lois de la République sont rappelées de part et d'autre par la présence d'un groupe de 3 enfants : le "service militaire" coté gauche.
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<center>La place des Quinconces</center>Les lois de la République sont rappelées de part et d'autre par la présence d'un groupe de 3 enfants :
La place des Quinconces
Les lois de la République sont rappelées de part et d'autre par la présence d'un groupe de 3 enfants : "l'éducation obligatoire" du coté droit.
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<center>La place des Quinconces</center>Un char tiré par des chevaux reptiles ou poissons jette dans le précipice les personnages symbolisant le Mensonge (l'homme quise cache le visage), le Vice et l'Ignorance (l'homme aux oreilles d'âne, au centre).
La place des Quinconces
Un char tiré par des chevaux reptiles ou poissons jette dans le précipice les personnages symbolisant le Mensonge (l'homme quise cache le visage), le Vice et l'Ignorance (l'homme aux oreilles d'âne, au centre).
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<center>La place des Quinconces</center>Au pied du char avec chevaux : Ignorance, Mensonge et Vice.
La place des Quinconces
Au pied du char avec chevaux : Ignorance, Mensonge et Vice.
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La place des Quinconces
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<center>La place des Quinconces</center>Vers le fleuve : on trouve la Tribune.
La place des Quinconces
Vers le fleuve : on trouve la Tribune.
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<center>La place des Quinconces</center>La Tribune avec le coq gaulois, à sa droite : l'Histoire et à sa gauche : l'Éloquence.
La place des Quinconces
La Tribune avec le coq gaulois, à sa droite : l'Histoire et à sa gauche : l'Éloquence.
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<center>La place des Quinconces</center>La statue de la liberté brisant ses fers en bronze vert.
La place des Quinconces
La statue de la liberté brisant ses fers en bronze vert.
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<center>La place des Quinconces</center>Les deux colonnes rostrales (21 mètres de haut) situées face à la Garonne, ont été construites par Pierre-Alexandre Poitevin en 1829.
<br>Chaque colonne est ornée au tiers inférieur de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives, œuvre de l’ornemantiste d’origine italienne Florian Bonino. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers. Le décor du fût copie les proues et les ancres figurant sur le modèle de référence du musée du Capitole, mais Poitevin y a ajouté le caducée de Mercure et l’étoile qui guide le marin, attributs du Commerce et de la Navigation.
La place des Quinconces
Les deux colonnes rostrales (21 mètres de haut) situées face à la Garonne, ont été construites par Pierre-Alexandre Poitevin en 1829.
Chaque colonne est ornée au tiers inférieur de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives, œuvre de l’ornemantiste d’origine italienne Florian Bonino. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers. Le décor du fût copie les proues et les ancres figurant sur le modèle de référence du musée du Capitole, mais Poitevin y a ajouté le caducée de Mercure et l’étoile qui guide le marin, attributs du Commerce et de la Navigation.
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<center>La place des Quinconces</center>Le chapiteau supporte un édicule circulaire couvert d’une coupole supportant deux statues du sculpteur Monsau, à l'origine en terre cuite, avant d'être remplacées par des copies de fonte : l'une symbolise le Commerce par Mercure
La place des Quinconces
Le chapiteau supporte un édicule circulaire couvert d’une coupole supportant deux statues du sculpteur Monsau, à l'origine en terre cuite, avant d'être remplacées par des copies de fonte : l'une symbolise le Commerce par Mercure
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<center>La place des Quinconces</center>... et l'autre la Navigation avec un gouvernail.
La place des Quinconces
... et l'autre la Navigation avec un gouvernail.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Cette voie a été ouverte au début du 19° siècle dans le cadre de l’urbanisation des glacis du Château Trompette permise par le démantèlement de ce dernier. La voie portera d’abord le nom de rue Madame Royale, puis après l’arrivée de Louis Philippe sur le trône, celui de Philippe Ferrère, un avocat peu favorable aux Bourbons. Dès 1819, l’ensemble du secteur est loti et les parcelles mises aux enchères. Séparant les deux balcons, un trompe-cocu.
Le quartier des Chartrons
Cette voie a été ouverte au début du 19° siècle dans le cadre de l’urbanisation des glacis du Château Trompette permise par le démantèlement de ce dernier. La voie portera d’abord le nom de rue Madame Royale, puis après l’arrivée de Louis Philippe sur le trône, celui de Philippe Ferrère, un avocat peu favorable aux Bourbons. Dès 1819, l’ensemble du secteur est loti et les parcelles mises aux enchères. Séparant les deux balcons, un trompe-cocu.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Ce quartier doit son nom à la présence d'un couvent de l'ordre des chartreux dès 1381. L'essor de cette zone ancien marécage drainé commence avec l'installation au XVIIe siècle de négociants Anglais, Flamands et Irlandais. Obligés de s'installer hors les murs, car ils étaient protestants, ils créent une aristocratie du vin influente et leur proximité avec le monastère les fait surnommer chartrons par la population bordelaise. Immeuble bourgeois du XVIIIe.
Le quartier des Chartrons
Ce quartier doit son nom à la présence d'un couvent de l'ordre des chartreux dès 1381. L'essor de cette zone ancien marécage drainé commence avec l'installation au XVIIe siècle de négociants Anglais, Flamands et Irlandais. Obligés de s'installer hors les murs, car ils étaient protestants, ils créent une aristocratie du vin influente et leur proximité avec le monastère les fait surnommer chartrons par la population bordelaise. Immeuble bourgeois du XVIIIe.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Rue Xavier Arnozan, anciennement rue du pavé des Chartrons.
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Rue Xavier Arnozan, anciennement rue du pavé des Chartrons.
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<center>Musée d'art contemporain de Bordeaux </center>Devenu dès 1983 le Musée d’art contemporain de Bordeaux, disposant à partir de 1990 des espaces réhabilités d'un ancien entrepôt de denrées coloniales (Entrepôt Lainé) sa mission reste de faire connaître l’art d’aujourd’hui et de familiariser son public avec les formes  changeantes de l’actualité artistique.
Musée d'art contemporain de Bordeaux
Devenu dès 1983 le Musée d’art contemporain de Bordeaux, disposant à partir de 1990 des espaces réhabilités d'un ancien entrepôt de denrées coloniales (Entrepôt Lainé) sa mission reste de faire connaître l’art d’aujourd’hui et de familiariser son public avec les formes changeantes de l’actualité artistique.
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<center>Musée d'art contemporain de Bordeaux </center>La destruction au début du XIXe siècle du Château-Trompette qui séparait ce quartier du centre-ville offre un espace libre. Les Douanes et la Chambre de Commerce y décident la construction d'un entrepôt placé sous leur responsabilité, pour assurer un contrôle plus efficace sur la transaction des marchandises. L'ingénieur des Ponts et Chaussées Claude Deschamps est appelé par la Chambre de Commerce pour la construction du bâtiment. Joseph Louis Joachim Laine, parlementaire, ministre d'état de Louis XVIII aide au lancement des travaux.<br>
A partir du XXe siècle, notamment avec la mise en place des hangars sur les quais, l'entrepôt perd son utilité. Dans les années 1960, il est définitivement fermé et menacé de destruction. C'est par l'intermédiaire d'un groupe de Bordelais opposés à sa démolition que les autorités de la ville prennent conscience de sa valeur architecturale et historique. Il fait l'objet d'une inscription à l'Inventaire des Monuments Historiques et est acquis par la ville en 1973. Celle-ci propose alors de le reconvertir en lieu culturel.
Musée d'art contemporain de Bordeaux
La destruction au début du XIXe siècle du Château-Trompette qui séparait ce quartier du centre-ville offre un espace libre. Les Douanes et la Chambre de Commerce y décident la construction d'un entrepôt placé sous leur responsabilité, pour assurer un contrôle plus efficace sur la transaction des marchandises. L'ingénieur des Ponts et Chaussées Claude Deschamps est appelé par la Chambre de Commerce pour la construction du bâtiment. Joseph Louis Joachim Laine, parlementaire, ministre d'état de Louis XVIII aide au lancement des travaux.
A partir du XXe siècle, notamment avec la mise en place des hangars sur les quais, l'entrepôt perd son utilité. Dans les années 1960, il est définitivement fermé et menacé de destruction. C'est par l'intermédiaire d'un groupe de Bordelais opposés à sa démolition que les autorités de la ville prennent conscience de sa valeur architecturale et historique. Il fait l'objet d'une inscription à l'Inventaire des Monuments Historiques et est acquis par la ville en 1973. Celle-ci propose alors de le reconvertir en lieu culturel.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Le temple. Le pasteur Antoine Vermeil œuvrera dans le quartier des Chartrons de 1824 à 1840. En 1829 il crée un « bureau de charité protestante » et une société de bienfaisance. Il ouvre une école primaire et une salle d'asile. Il est le principal artisan du temple des Chartrons et d'un cimetière protestant.
Le quartier des Chartrons
Le temple. Le pasteur Antoine Vermeil œuvrera dans le quartier des Chartrons de 1824 à 1840. En 1829 il crée un « bureau de charité protestante » et une société de bienfaisance. Il ouvre une école primaire et une salle d'asile. Il est le principal artisan du temple des Chartrons et d'un cimetière protestant.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>le Temple protestant, construit en 1831, est aujourd’hui utilisé comme entrepôt.
Le quartier des Chartrons
le Temple protestant, construit en 1831, est aujourd’hui utilisé comme entrepôt.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Cité mondiale des Chartrons.
Le quartier des Chartrons
Cité mondiale des Chartrons.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Cité mondiale des Chartrons.  Alors que Bordeaux bénéficie depuis fort longtemps d'une réputation mondiale pour la qualité de ses vins, curieusement la ville ne s'était pas encore dotée d'un lieu emblématique à la hauteur de sa renommée. Il y a eu en 1991 une tentative quai des Chartrons avec ce qui s'appelait alors un peu pompeusement la
Le quartier des Chartrons
Cité mondiale des Chartrons. Alors que Bordeaux bénéficie depuis fort longtemps d'une réputation mondiale pour la qualité de ses vins, curieusement la ville ne s'était pas encore dotée d'un lieu emblématique à la hauteur de sa renommée. Il y a eu en 1991 une tentative quai des Chartrons avec ce qui s'appelait alors un peu pompeusement la "La Cité Mondiale du Vin et des Spiritueux de Bordeaux", mais l'expérience a tourné court.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Cité mondiale des Chartrons.  La Cité Mondiale, anciennement cité mondiale du vin, est un bâtiment conçu par Michel Pétuaud-Letang, lors de la réhabilitation du quartier. Ce bâtiment moderne, qui s'intègre avec harmonie dans le paysage, est progressivement devenu un important centre d 'affaires.Sur le parvis des Chartrons, près de cinquante sociétés sont installées.
Le quartier des Chartrons
Cité mondiale des Chartrons. La Cité Mondiale, anciennement cité mondiale du vin, est un bâtiment conçu par Michel Pétuaud-Letang, lors de la réhabilitation du quartier. Ce bâtiment moderne, qui s'intègre avec harmonie dans le paysage, est progressivement devenu un important centre d 'affaires.Sur le parvis des Chartrons, près de cinquante sociétés sont installées.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Façade des anciens bains turcs de la fin du XIXème. Le style décoratif employé est hispano-mauresque. L'étoile de David n'est là que pour le dépaysement, aucun rapport direct avec la religion. Fenêtres avec arcs outrepassés, celles de gauche, geminées, avec l'étoile de David. La cheminée.
Le quartier des Chartrons
Façade des anciens bains turcs de la fin du XIXème. Le style décoratif employé est hispano-mauresque. L'étoile de David n'est là que pour le dépaysement, aucun rapport direct avec la religion. Fenêtres avec arcs outrepassés, celles de gauche, geminées, avec l'étoile de David. La cheminée.
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<center>Eglise Saint-Louis-des-Chartrons.</center>
Eglise Saint-Louis-des-Chartrons.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Elle a été édifiée entre 1874 et 1879. Oeuvre de l'architecte Bordelais Pierre-Charles Brun (1825-1902), c'est un édifice typiquement néogothique. Elle abrite, entre autres, des vitraux de Henri Fleur et de Nicolas Lorin, des autels de Bernard Jabourin et de Victor Lambinet, et des fonts baptismaux en marbre de Carrare.
Le quartier des Chartrons
Elle a été édifiée entre 1874 et 1879. Oeuvre de l'architecte Bordelais Pierre-Charles Brun (1825-1902), c'est un édifice typiquement néogothique. Elle abrite, entre autres, des vitraux de Henri Fleur et de Nicolas Lorin, des autels de Bernard Jabourin et de Victor Lambinet, et des fonts baptismaux en marbre de Carrare.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Place du marché.
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Place du marché.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Place du marché.
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Place du marché.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Bâtie en 1869 par l'architecte municipal Charles Burguet (1821-1879), par ailleurs concepteur des marchés bordelais de Lerme et des Grands- Hommes, la Halle des Chartrons est un témoin précieux de l'architecture métallique de la fin du XIXe siècle. Construit en lieu et place d'un premier marché datant de la Révolution, ce petit édifice octogonal pourvu de dix-huit baies en plein cintre et d'une charpente métallique bénéficie d'une luminosité et d'une ouverture sur l'extérieur tout à fait exceptionnelles. Restaurée en 1998, la Halle est le lieu privilégié de nombreuses manifestations culturelles : concerts, expositions, salons…
Le quartier des Chartrons
Bâtie en 1869 par l'architecte municipal Charles Burguet (1821-1879), par ailleurs concepteur des marchés bordelais de Lerme et des Grands- Hommes, la Halle des Chartrons est un témoin précieux de l'architecture métallique de la fin du XIXe siècle. Construit en lieu et place d'un premier marché datant de la Révolution, ce petit édifice octogonal pourvu de dix-huit baies en plein cintre et d'une charpente métallique bénéficie d'une luminosité et d'une ouverture sur l'extérieur tout à fait exceptionnelles. Restaurée en 1998, la Halle est le lieu privilégié de nombreuses manifestations culturelles : concerts, expositions, salons…
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<center>Le quartier des Chartrons</center>L'urbanisation du quartier est marquée par l'activité vinicole. Le quartier s'organise de façon géométrique. De longues rues étroites se croisant à angle droit découpent des secteurs dans lesquels s'inscrivent les chais.
Le quartier des Chartrons
L'urbanisation du quartier est marquée par l'activité vinicole. Le quartier s'organise de façon géométrique. De longues rues étroites se croisant à angle droit découpent des secteurs dans lesquels s'inscrivent les chais.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Le Musée du Vin et du Négoce de Bordeaux dans l'immeuble du courtier royal de Louis XV.
Le quartier des Chartrons
Le Musée du Vin et du Négoce de Bordeaux dans l'immeuble du courtier royal de Louis XV.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Organigramme du négoce : Propriété    Courtage   Négoce    Consommateur.<br> Le courtier est l'intermédiaire commercial entre un vendeur, le propriétaire du château et un acheteur, le négociant. Le négociant va
Le quartier des Chartrons
Organigramme du négoce : Propriété Courtage Négoce Consommateur.
Le courtier est l'intermédiaire commercial entre un vendeur, le propriétaire du château et un acheteur, le négociant. Le négociant va "élever" son vin, le travaillant avec soin pour satisfaire le goût de son client et assurer le vieillissement pour les trois ans qui précèdent la vente en fûts ou en bouteilles. Il crée ainsi sa "marque".
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<center>Le quartier des Chartrons</center>LE PRIVILEGE DES VINS DE BORDEAUX
Les bourgeois de Bordeaux protègent leurs intérêts.
Le roi d'Angleterre leur reconnaît un privilège commercial appelé le privilège des vins de Bordeaux.
Seuls les vins provenant des propriétés des bourgeois de Bordeaux peuvent entrer dans la ville.
Les vins extérieurs à la juridiction de Bordeaux, appelés vins de haut pays, sont soumis à des taxes très importantes.
Ces vins descendent la Garonne depuis la région de Langon et sont conservés hors des murs de la ville.
<br>LA CHAMBRE DE COMMERCE
Dès le Moyen Age, les commerçants se regroupent pour défendre leurs intérêts et régler les conflits.
La Chambre de Commerce de Bordeaux est créée en 1705.
C'est dans son enceinte que se tient la bourse où se rencontrent les négociants. <br>
LE CLASSEMENT DE 1855
En 1855, un classement est établi à la demande de Napoléon III pour l'Exposition Universelle qui se tient à Paris.
Le classement de 1855 comprend 5 classes pour 61 châteaux du Médoc.
27 châteaux de Sauternes y sont aussi représentés.
<br>LES AUTRES CLASSEMENTS
Deux autres classements interviennent un siècle plus tard pour les vins de Graves et de Saint Emilion. Le classement des vins de Saint Emilion, révisable tous les dix ans, comprend 3 catégories :
les premiers grands crus classés, au nombre de 13,
les grands crus classés au nombre de 46,
les grands crus.
La dernière révision date de 2006.
Le classement des vins de Graves, établi en 1959, comprend 16 crus classés. Tous appartiennent maintenant à l'appellation Pessac Léognan
Le quartier des Chartrons
LE PRIVILEGE DES VINS DE BORDEAUX Les bourgeois de Bordeaux protègent leurs intérêts. Le roi d'Angleterre leur reconnaît un privilège commercial appelé le privilège des vins de Bordeaux. Seuls les vins provenant des propriétés des bourgeois de Bordeaux peuvent entrer dans la ville. Les vins extérieurs à la juridiction de Bordeaux, appelés vins de haut pays, sont soumis à des taxes très importantes. Ces vins descendent la Garonne depuis la région de Langon et sont conservés hors des murs de la ville.
LA CHAMBRE DE COMMERCE Dès le Moyen Age, les commerçants se regroupent pour défendre leurs intérêts et régler les conflits. La Chambre de Commerce de Bordeaux est créée en 1705. C'est dans son enceinte que se tient la bourse où se rencontrent les négociants.
LE CLASSEMENT DE 1855 En 1855, un classement est établi à la demande de Napoléon III pour l'Exposition Universelle qui se tient à Paris. Le classement de 1855 comprend 5 classes pour 61 châteaux du Médoc. 27 châteaux de Sauternes y sont aussi représentés.
LES AUTRES CLASSEMENTS Deux autres classements interviennent un siècle plus tard pour les vins de Graves et de Saint Emilion. Le classement des vins de Saint Emilion, révisable tous les dix ans, comprend 3 catégories : les premiers grands crus classés, au nombre de 13, les grands crus classés au nombre de 46, les grands crus. La dernière révision date de 2006. Le classement des vins de Graves, établi en 1959, comprend 16 crus classés. Tous appartiennent maintenant à l'appellation Pessac Léognan
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Le Musée du Vin et du Négoce de Bordeaux.
Le quartier des Chartrons
Le Musée du Vin et du Négoce de Bordeaux.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Le Musée du Vin et du Négoce de Bordeaux.
Le quartier des Chartrons
Le Musée du Vin et du Négoce de Bordeaux.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>LE PLAN TYPE OU CHAI DES CHARTRONS
Une architecture longue et étroite, organisée en bandes parallèles et dont les dimensions sont liées à celles des barriques. Un
Le quartier des Chartrons
LE PLAN TYPE OU CHAI DES CHARTRONS Une architecture longue et étroite, organisée en bandes parallèles et dont les dimensions sont liées à celles des barriques. Un "courroir" est positionné le long du mur de pierres pour permettre de circuler dans le chai.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>LES FAMILLES DE NÉGOCIANTS<br>
LES ORIGINES FAMILIALES
Quatre étapes dans l'implantation des familles de négociants à Bordeaux
XVIIème - début XVIIIème : les Hollandais. ï
Première moitié du XVIIIème : les Anglais et les Irlandais.
À partir de 1730 : les Allemands et les Hanséates.
À partir de 1821 : les Français (centre de la France et région lyonnaise).<br>
LES RESEAUX
Les réseaux familiaux et nationaux sont très forts. 
Les négociants établissent de bonnes relations commerciales avec leurs compatriotes restés au pays.
Le lien avec le pays d'origine est toujours maintenu par des alliances matrimoniales et l'emploi de commis dans les comptoirs.<br>
LES NEGOCIANTS DEVIENNENT PROPRIETAIRES
Au cours des XVIIIe et XIXe siècles, de nombreux négociants deviennent propriétaires de domaines viticoles dans le Médoc et dans les Graves où ils font construire des châteaux.
Le quartier des Chartrons
LES FAMILLES DE NÉGOCIANTS
LES ORIGINES FAMILIALES Quatre étapes dans l'implantation des familles de négociants à Bordeaux XVIIème - début XVIIIème : les Hollandais. ï Première moitié du XVIIIème : les Anglais et les Irlandais. À partir de 1730 : les Allemands et les Hanséates. À partir de 1821 : les Français (centre de la France et région lyonnaise).
LES RESEAUX Les réseaux familiaux et nationaux sont très forts. Les négociants établissent de bonnes relations commerciales avec leurs compatriotes restés au pays. Le lien avec le pays d'origine est toujours maintenu par des alliances matrimoniales et l'emploi de commis dans les comptoirs.
LES NEGOCIANTS DEVIENNENT PROPRIETAIRES Au cours des XVIIIe et XIXe siècles, de nombreux négociants deviennent propriétaires de domaines viticoles dans le Médoc et dans les Graves où ils font construire des châteaux.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>LA REVOLUTION DU SOUFRE
Jusqu'au début du XVIIIème siècle, les méthodes de conservation du vin sont encore méconnues.
Les Hollandais introduisent l'usage du soufre pour aseptiser les barriques. C'est le début de l'élevage des vins en barrique et l'apparition d'un nouveau type de vin : le « new French claret ».<br>
LA BARRIQUE
La taille de la barrique bordelaise en chêne merrain, utilisée dès le Moyen Age, ne sera fixée par décret qu'en 1858. Elle contient 225 litres soit 300 bouteilles de 75cl.
Au XVIIIème siècle, près de 500 tonneliers forment une communauté à part entière.<br>
LE VIELLISSEMENT DU VIN
Le travail dans les chais
-L'ouillage : combler le vide provoqué par l'évaporation dans la barrique en versant du vin.
-Le soutirage : transvaser du vin d'une barrique à une autre pour ôter les lies et nettoyer les barriques.
 -Le collage : clarifier le vin. On utilise des blancs d'œufs qui sont battus et introduits dans la barrique.
Le quartier des Chartrons
LA REVOLUTION DU SOUFRE Jusqu'au début du XVIIIème siècle, les méthodes de conservation du vin sont encore méconnues. Les Hollandais introduisent l'usage du soufre pour aseptiser les barriques. C'est le début de l'élevage des vins en barrique et l'apparition d'un nouveau type de vin : le « new French claret ».
LA BARRIQUE La taille de la barrique bordelaise en chêne merrain, utilisée dès le Moyen Age, ne sera fixée par décret qu'en 1858. Elle contient 225 litres soit 300 bouteilles de 75cl. Au XVIIIème siècle, près de 500 tonneliers forment une communauté à part entière.
LE VIELLISSEMENT DU VIN Le travail dans les chais -L'ouillage : combler le vide provoqué par l'évaporation dans la barrique en versant du vin. -Le soutirage : transvaser du vin d'une barrique à une autre pour ôter les lies et nettoyer les barriques. -Le collage : clarifier le vin. On utilise des blancs d'œufs qui sont battus et introduits dans la barrique.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>LA MISE EN BOUTEILLE
La bouteille est une invention anglaise du XVIe siècle. La première fabrique de bouteilles à Bordeaux est créée au XVIIIe par un Irlandais, M. Mitchell, dans le quartier des Chartrons.<br>
L’ETIQUETTE
Apparue au XIXe siècle comme simple support de la marque, l'étiquette s'est progressivement enrichie des nombreuses mentions légales obligatoires, jusqu'à devenir aujourd'hui l'image de la stratégie commerciale.<br>
LES PREMIERES ROUTES D'EXPORTATION
Au Moyen Age, l'Angleterre est le premier marché des vins de Bordeaux, avec plus de 50 000 tonneaux soit 45 000 000 litres chaque année. Avec l'installation à Bordeaux de négociants hanséates, le commerce du vin se développe considérablement au cours du XVIIIème siècle et le vignoble bordelais devient également le principal fournisseur des Provinces-Unies et des Pays Baltiques.
Au cours du XVIIIème siècle, les destinations de l'exportation se diversifient. Alors que l'Angleterre perd sa prépondérance, du fait de nombreuses guerres avec la France, les ports d'Europe du Nord reçoivent la majeure partie des vins bordelais.<br>
LES AUTRES DEBOUCHES
A la fin du XVIIIème siècle, un nouveau marché s'ouvre pour les vins de Bordeaux avec les colonies françaises, les Etats d'Amérique du Nord et l'Inde.<br>
LA MISE EN BOUTEILLE AU CHATEAU
Après la Première Guerre Mondiale, le groupe des 5 grands crus classés est créé. Il prend l'initiative en 1924 de rendre obligatoire la mise en bouteille au château.
Le quartier des Chartrons
LA MISE EN BOUTEILLE La bouteille est une "invention" anglaise du XVIe siècle. La première fabrique de bouteilles à Bordeaux est créée au XVIIIe par un Irlandais, M. Mitchell, dans le quartier des Chartrons.
L’ETIQUETTE Apparue au XIXe siècle comme simple support de la marque, l'étiquette s'est progressivement enrichie des nombreuses mentions légales obligatoires, jusqu'à devenir aujourd'hui l'image de la stratégie commerciale.
LES PREMIERES ROUTES D'EXPORTATION Au Moyen Age, l'Angleterre est le premier marché des vins de Bordeaux, avec plus de 50 000 tonneaux soit 45 000 000 litres chaque année. Avec l'installation à Bordeaux de négociants hanséates, le commerce du vin se développe considérablement au cours du XVIIIème siècle et le vignoble bordelais devient également le principal fournisseur des Provinces-Unies et des Pays Baltiques. Au cours du XVIIIème siècle, les destinations de l'exportation se diversifient. Alors que l'Angleterre perd sa prépondérance, du fait de nombreuses guerres avec la France, les ports d'Europe du Nord reçoivent la majeure partie des vins bordelais.
LES AUTRES DEBOUCHES A la fin du XVIIIème siècle, un nouveau marché s'ouvre pour les vins de Bordeaux avec les colonies françaises, les Etats d'Amérique du Nord et l'Inde.
LA MISE EN BOUTEILLE AU CHATEAU Après la Première Guerre Mondiale, le groupe des "5 grands crus classés" est créé. Il prend l'initiative en 1924 de rendre obligatoire la mise en bouteille au château.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Meuble servant dans les maisons de négoce à entreposer les échantillons.
Le quartier des Chartrons
Meuble servant dans les maisons de négoce à entreposer les échantillons.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Bouteilles d'échantillon.
Le quartier des Chartrons
Bouteilles d'échantillon.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Bouteilles d'échantillon.
Le quartier des Chartrons
Bouteilles d'échantillon.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Etampes servant à marquer les barriques ou les caisses portant les noms des différentes appellations. Inscriptions particulières : fragile, fût à retourner, vin de table français.
Le quartier des Chartrons
Etampes servant à marquer les barriques ou les caisses portant les noms des différentes appellations. Inscriptions particulières : fragile, fût à retourner, vin de table français.
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<center>Le quartier des Chartrons</center>Pierres lithographiques servant à la fabrication des étiquettes.
Le quartier des Chartrons
Pierres lithographiques servant à la fabrication des étiquettes.
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<center>Sur les quais des Chatrons</center>
Sur les quais des Chatrons
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<center>Sur les quais des Chatrons</center>Au fond, la flèche Saint Michel.
Sur les quais des Chatrons
Au fond, la flèche Saint Michel.
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<center>Sur les quais des Chatrons</center>Au fond, la flèche Saint Michel, à gauche, le pont de Pierre.
Sur les quais des Chatrons
Au fond, la flèche Saint Michel, à gauche, le pont de Pierre.
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<center>Sur les quais des Chatrons</center>La flèche Saint Michel et le pont de Pierre.
Sur les quais des Chatrons
La flèche Saint Michel et le pont de Pierre.
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<center>Sur les quais des Chatrons</center>Le Cité du VIn et le pont Chaban Delmas.
Sur les quais des Chatrons
Le Cité du VIn et le pont Chaban Delmas.
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<center>Le pont Chaban Delmas.</center>La partie centrale peut s'élever.
Le pont Chaban Delmas.
La partie centrale peut s'élever.
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<center>Le pont Chaban Delmas.</center>Inauguré en 2013 le nouveau pont de Bordeaux effectue plus de 40 manœuvres chaque année pour permettre aux navires de croisière ou vieux gréements d'accéder au port de la lune. Situé entre pont d'Aquitaine et pont de pierre, c'est un pont urbain qui permet de relier la rive gauche depuis le quai de Bacalan au quartier de la Bastide sur la rive droite via le quai de Brazza. Ce qui singularise ce pont, outre le fait qu'il est le plus récent, est sa travée centrale levante qui permet aux navires de croisières et autres grands voiliers d'accéder au port de la lune. On doit cette réussite au cabinet d'architectes LAVIGNE et CHERON.
Le pont Chaban Delmas.
Inauguré en 2013 le nouveau pont de Bordeaux effectue plus de 40 manœuvres chaque année pour permettre aux navires de croisière ou vieux gréements d'accéder au port de la lune. Situé entre pont d'Aquitaine et pont de pierre, c'est un pont urbain qui permet de relier la rive gauche depuis le quai de Bacalan au quartier de la Bastide sur la rive droite via le quai de Brazza. Ce qui singularise ce pont, outre le fait qu'il est le plus récent, est sa travée centrale levante qui permet aux navires de croisières et autres grands voiliers d'accéder au port de la lune. On doit cette réussite au cabinet d'architectes LAVIGNE et CHERON.
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<center>Cité du Vin.</center>Une architecture audacieuse surplombant la Garonne.<br>
Cep noueux de la vigne, vin qui tourne dans le verre, remous de la Garonne, l'édifice résolument moderne de plus de 13 000 m2 imaginé par Anouk Legendre et Nicolas Desmazieres, de l'agence XTU architects, est une évocation de l'âme du vin.
Cité du Vin.
Une architecture audacieuse surplombant la Garonne.
Cep noueux de la vigne, vin qui tourne dans le verre, remous de la Garonne, l'édifice résolument moderne de plus de 13 000 m2 imaginé par Anouk Legendre et Nicolas Desmazieres, de l'agence XTU architects, est une évocation de l'âme du vin.
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<center>L'ancienne base sous-marine.</center>Construite en 1942 par les ouvriers du Génie de l’Armée italienne. Cet imposant vestige de la Seconde Guerre mondiale (qui a reçu de nombreux sous-marins allemands, italiens et japonais pendant le conflit), indestructible, abrite aujourd’hui un espace culturel très visité.
L'ancienne base sous-marine.
Construite en 1942 par les ouvriers du Génie de l’Armée italienne. Cet imposant vestige de la Seconde Guerre mondiale (qui a reçu de nombreux sous-marins allemands, italiens et japonais pendant le conflit), indestructible, abrite aujourd’hui un espace culturel très visité.
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<center>L'ancienne base sous-marine.</center>
L'ancienne base sous-marine.
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<center>Quartier St Michel</center>
Quartier St Michel
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<center>Quartier St Michel</center>
Quartier St Michel
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<center>Quartier St Michel</center>Frise d'inspiration médièvale.
Quartier St Michel
Frise d'inspiration médièvale.
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<center>Quartier St Michel</center>
Quartier St Michel
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<center>Quartier St Michel</center>
Quartier St Michel
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Quartier St Michel
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Quartier St Michel
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Quartier St Michel
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Quartier St Michel
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<center>Quai des Salinières.</center>
Quai des Salinières.
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<center>Quai des Salinières</center>
Quai des Salinières
102
<center> La place Bir-Hakeim. </center>
La place Bir-Hakeim.
103
<center>La porte de Bourgogne.</center>Egalement connue sous le nom de
La porte de Bourgogne.
Egalement connue sous le nom de "porte des Salinières", elle a été érigée au XVIIIe siècle (1750-1755). On la doit aux architectes Ange Jacques Gabriel et Nicolas Portier.
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<center>La porte de Bourgogne.</center>Egalement connue sous le nom de
La porte de Bourgogne.
Egalement connue sous le nom de "porte des Salinières", elle a été érigée au XVIIIe siècle (1750-1755). On la doit aux architectes Ange Jacques Gabriel et Nicolas Portier.
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<center> La place Bir-Hakeim. </center>
La place Bir-Hakeim.
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<center>Quai Richelieu</center>
Quai Richelieu
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<center>Quartier St Michel.</center>
Quartier St Michel.
108
<center></center>Dernière maison à colombages qui ont été retaurés.
Dernière maison à colombages qui ont été retaurés.
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<center></center>Dernière maison à colombages qui ont été retaurés.
Dernière maison à colombages qui ont été retaurés.
110
<center>Cours Victor Hugo</center>
Cours Victor Hugo
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<center>Cours Victor Hugo</center>
Cours Victor Hugo
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<center></center>
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<center>La Grosse Cloche</center>Ce monument à l'origine incorporé aux remparts du XIIIe siècle a subi de nombreuses modifications qui se sont étalées du XIVe au XVIIIe siècle. Clocher de l'ancien hôtel de ville, la grosse Cloche figure sur les armoiries de Bordeaux.
La Grosse Cloche
Ce monument à l'origine incorporé aux remparts du XIIIe siècle a subi de nombreuses modifications qui se sont étalées du XIVe au XVIIIe siècle. Clocher de l'ancien hôtel de ville, la grosse Cloche figure sur les armoiries de Bordeaux.
114
<center>La Grosse Cloche</center>C'est un des rares monuments civils (avec la porte Cailhau) que la ville conserve du Moyen Âge. Elle a été édifiée au XVe siècle sur les restes de l'ancienne Porte Saint-Éloy (dite aussi porte Saint James) du XIIIe siècle (adossée à l’église Saint-Éloi du XIIe siècle), ouverte sur le rempart du XIIIe siècle et sous laquelle passaient les pèlerins de Saint-Jacques en route pour Compostelle. Elle est composée de deux tours circulaires de 40 mètres de haut reliées par un bâtiment central et dominée par le léopard d'or.
La Grosse Cloche
C'est un des rares monuments civils (avec la porte Cailhau) que la ville conserve du Moyen Âge. Elle a été édifiée au XVe siècle sur les restes de l'ancienne Porte Saint-Éloy (dite aussi porte Saint James) du XIIIe siècle (adossée à l’église Saint-Éloi du XIIe siècle), ouverte sur le rempart du XIIIe siècle et sous laquelle passaient les pèlerins de Saint-Jacques en route pour Compostelle. Elle est composée de deux tours circulaires de 40 mètres de haut reliées par un bâtiment central et dominée par le léopard d'or.
115
<center>La Grosse Cloche</center>La cloche, « Armande-Louise » de son nom de baptême, que l'on peut voir et entendre aujourd'hui n'est pas la cloche d'origine, ce serait même la sixième à occuper l'emplacement. Elle a pris la place de la cloche précédente qui se serait fêlée en sonnant le tocsin pour signaler un incendie en mars 1774. Au centre de la grille en fer forgé (XVIIIe siècle) qui ferme la baie dans laquelle se trouve la cloche, un écusson représente les armes de la ville. L'horloge construite en 1759 d'après les plans du mathématicien et astronome Paul Larroque a remplacée celle de 1567 exécutée par Raymond Sudre. Au-dessus d'elle se trouve un cadran à équation solaire.
La Grosse Cloche
La cloche, « Armande-Louise » de son nom de baptême, que l'on peut voir et entendre aujourd'hui n'est pas la cloche d'origine, ce serait même la sixième à occuper l'emplacement. Elle a pris la place de la cloche précédente qui se serait fêlée en sonnant le tocsin pour signaler un incendie en mars 1774. Au centre de la grille en fer forgé (XVIIIe siècle) qui ferme la baie dans laquelle se trouve la cloche, un écusson représente les armes de la ville. L'horloge construite en 1759 d'après les plans du mathématicien et astronome Paul Larroque a remplacée celle de 1567 exécutée par Raymond Sudre. Au-dessus d'elle se trouve un cadran à équation solaire.
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<center>La Grosse Cloche</center>
La Grosse Cloche
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<center>La Grosse Cloche</center>La grosse cloche est surmontée par une girouette avec un animal dont on nous dit souvent qu'il s'agit du léopard d'or symbole de la Guyenne. Plus vraisemblablement, ce léopard serait en fait celui hérité des rois d'Angleterre pendant la domination anglaise de Bordeaux.
La Grosse Cloche
La grosse cloche est surmontée par une girouette avec un animal dont on nous dit souvent qu'il s'agit du léopard d'or symbole de la Guyenne. Plus vraisemblablement, ce léopard serait en fait celui hérité des rois d'Angleterre pendant la domination anglaise de Bordeaux.
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<center>Eglise St Eloi.</center>
Eglise St Eloi.
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<center>La Grosse Cloche</center>Face nord, des gargouilles grimaçantes du XVe siècle subsistent avec, au-dessous, des inscriptions gravées sur marbre noir et datées de 1592.
La Grosse Cloche
Face nord, des gargouilles grimaçantes du XVe siècle subsistent avec, au-dessous, des inscriptions gravées sur marbre noir et datées de 1592.
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<center>La Grosse Cloche</center>Face Nord.
La Grosse Cloche
Face Nord.
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<center>Maison de Simon Millanges.</center>Simon Millanges était le célèbre imprimeur du roi qui, en 1580, publie la première édition des Essais de Montaigne.
Maison de Simon Millanges.
Simon Millanges était le célèbre imprimeur du roi qui, en 1580, publie la première édition des Essais de Montaigne.
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<center>Place Fernand Lafargue</center>C’est sur la Place du Vieux Marché, aujourd’hui Place Fernand Laffargue qu’officiait principalement le bourreau. Le pilori n’était que l’une des peines infligées par le Pendard sous le contrôle de la Jurade. Ainsi un voleur après le pilori, se voyait couper l’oreille en cas de récidive, et la troisième fois, était condamné à la potence.
Place Fernand Lafargue
C’est sur la Place du Vieux Marché, aujourd’hui Place Fernand Laffargue qu’officiait principalement le bourreau. Le pilori n’était que l’une des peines infligées par le Pendard sous le contrôle de la Jurade. Ainsi un voleur après le pilori, se voyait couper l’oreille en cas de récidive, et la troisième fois, était condamné à la potence.
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<center>Place Fernand Lafargue</center>
Place Fernand Lafargue
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<center>Place Fernand Lafargue</center>Un très beau trompe-cocu. Les cabochons en cuivre de l'éclairage rappellent les phares. L'éclairage existe depuis 718 ans.
Place Fernand Lafargue
Un très beau trompe-cocu. Les cabochons en cuivre de l'éclairage rappellent les phares. L'éclairage existe depuis 718 ans.
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<center>Rue Sainte-Colombe </center>
Rue Sainte-Colombe
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<center>Rue de la rousselle.</center>
Rue de la rousselle.
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<center>Rue de la Rousselle.</center>
Rue de la Rousselle.
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<center>Rue de la Rousselle.</center>
Rue de la Rousselle.
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<center>Rue de la Rousselle.</center>
Rue de la Rousselle.
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<center>Rue de la Rousselle.</center>
Rue de la Rousselle.
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<center>Rue de la Rousselle.</center>C'est  dans cette rue, le 25 mars 1923, à deux pas de la maison familiale de Montaigne qu'est né Maurice Baillet. Son père y tenait une papeterie-imprimerie au rez-de-chaussée. Il y mourut le 4 février 1998 à l'âge de 75 ans et Bordeaux n'a jamais su qu'elle avait abrité l'un des plus grands spécialistes des manuscrits de la mer Morte.
Après de brillantes études à l'école Saint-Genès où il obtient à seize ans son baccalauréat de philosophie, il fut ordonné prêtre en 1947.
Licencié ès sciences bibliques et devenu grand spécialiste des langues et dialectes anciens du Moyen-Orient, le père Baillet fut dépêché en 1952 à Jérusalem pour déchiffrer avec trois autres savants, les célèbres manuscrits de Qumran découverts en 1947 en Judée dans les grottes désertiques des collines bordant la mer Morte.
Rue de la Rousselle.
C'est dans cette rue, le 25 mars 1923, à deux pas de la maison familiale de Montaigne qu'est né Maurice Baillet. Son père y tenait une papeterie-imprimerie au rez-de-chaussée. Il y mourut le 4 février 1998 à l'âge de 75 ans et Bordeaux n'a jamais su qu'elle avait abrité l'un des plus grands spécialistes des manuscrits de la mer Morte. Après de brillantes études à l'école Saint-Genès où il obtient à seize ans son baccalauréat de philosophie, il fut ordonné prêtre en 1947. Licencié ès sciences bibliques et devenu grand spécialiste des langues et dialectes anciens du Moyen-Orient, le père Baillet fut dépêché en 1952 à Jérusalem pour déchiffrer avec trois autres savants, les célèbres manuscrits de Qumran découverts en 1947 en Judée dans les grottes désertiques des collines bordant la mer Morte.
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<center>Rue de la Rousselle.</center>Maison familiale de Montaigne.
Rue de la Rousselle.
Maison familiale de Montaigne.
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