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Lourdes.
La Pentecôte (Cisterna, 1903).
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Lourdes.
La Pentecôte (Cisterna, 1903).
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Lourdes.
L'Assomption de Marie (Wencker, 1907).
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L'Assomption de Marie (Wencker, 1907).
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Le couronnement de la Vierge (Wencker, 1907).
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Le couronnement de la Vierge (Wencker, 1907).
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Lourdes.
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Lourdes.
Les fontaines d'eau de Lourdes.
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Les fontaines d'eau de Lourdes.
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La source, qui coule près de la grotte depuis les apparitions, aurait des pouvoirs miraculeux. Bernadette Soubirous a déclaré que la Dame lui aurait dit : « Venez boire à la fontaine et vous y laver ». Depuis, les pèlerins boivent cette eau, on peut la collecter à partir de robinets mis en place à gauche de la grotte, ou se baigner dans les piscines situées plus loin à droite de la source.
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Lourdes.
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Devant la grotte de Massabielle. La grotte se situe dans l'espace des Sanctuaires en face du gave de Pau.
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La grotte de Massabielle est peu profonde et correspond plutôt à un renfoncement d'une dizaine de mètres de profondeur dans la paroi rocheuse. La paroi y est lisse et humide par endroits, et on peut y voir la résurgence karstique passer en direction du gave de Pau par un trou dans la roche. Une statue de la vierge vêtue de blanc se situe à 2 mètres de hauteur, en haut à droite de la grotte, dans une cavité secondaire de la roche.
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La grotte de Massabielle.
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La grotte de Massabielle. En 1858, Bernadette Soubirous y relate dix-huit apparitions d'une jeune fille.
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La grotte de Massabielle.
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La grotte de Massabielle.
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La grotte de Massabielle. Une statue de la vierge en marbre de Carrare, sculptée par Joseph-Hugues Fabisch, est placée en haut à droite de la grotte à 2 mètres de hauteur, dans une cavité secondaire de la roche, appelée niche des apparitions. Elle est inaugurée le 4 avril 1864, lors de la première procession officiellement organisée par l'Église qui réunit quelques 20 000 personnes dont 200 prêtres. Le couronnement de la statue a lieu le 3 juillet 1876, en présence du cardinal-archevêque de Paris, de trente-trois archevêques et évêques, sous les regards de près de cent mille fidèles. Au pied de la statue est inscrit en arc de cercle la phrase en occitan « Que soy era Immaculada Counceptiou » (Je suis l'Immaculée Conception) qu'aurait prononcée la Vierge à Bernadette, cette mention ne datant que de 1913. Vêtue d'un voile blanc, d'une robe blanche retenue par une ceinture bleue retombant en deux larges rubans, elle a une rose à la couleur d'or qui s'épanouit sur chaque pied. Un chapelet à chaîne d'or et à grains blancs tombe de ses mains jointes.
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Les brûloirs.
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Les brûloirs.
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Les brûloirs.
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Vue des sanctuaires à droite et du gave de Pau.
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Perspective de l'Esplanade du Rosaire, avec le calvaire breton.
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Le calvaire breton.
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St Michel terrassant le Démon.
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C’est au Moulin de Boly que Bernadette Soubirous naît le 7 janvier 1844. Elle habitera le moulin avec ses parents pendant 10 ans. Elle le surnommera « le moulin du bonheur ».
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La Maison Paternelle dit « Moulin Lacadé » fut la maison des parents de Bernadette après les apparitions. Elle fut offerte par l’Abbé Peyramale, curé de la paroisse.
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Le cachot. La famille Soubirous bascule dans la misère. Durant l’hiver 1857, François est confronté au chômage. La famille est obligée de s’installer au Cachot (ancienne prison jusqu’en 1824), une pièce unique, sombre et froide de 16m² où logera l’ensemble de la famille jusqu’à l’automne 1858. La famille se compose alors de six personnes : François Soubirous, Louise son épouse et leurs quatre enfants, Bernadette (14 ans), Antoinette (11 ans), Jean-Marie (7 ans) et Justin (3 ans). C’est de là que le 11 février 1858 Bernadette partira à la Grotte "Massabielle" pour ramasser des os et du bois mort et vivra une aventure unique
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Rues principale de la ville.
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Rues principale de la ville.
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La château.
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Le château fort de Lourdes, tour à tour résidence principale du comte de Bigorre aux XIe siècle et XIIe siècle, passant de mains en mains aux XIIIe siècle et XIVe siècle siècles, prison royale aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle puis musée pyrénéen (arts et traditions populaires des Pyrénées) à partir de 1921. Le vieux Lourdes se situe entre la Rue Saint-Pierre et le château. Les petites ruelles et placettes ont été rénovées ou sont en cours de rénovation. Les façades ont pour la plupart été joliment restaurées.
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Lourdes.
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Le château fort est situé en position stratégique pour commander les 7 vallées du Lavedan. Son origine est très ancienne, puisqu'il a été un site d'occupation romaine, et la légende relate un siège par Charlemagne, mais les plus anciens vestiges apparents sont les fondations, remontant aux XIe et XIIe siècles. Renforcé aux XIIIe et XIVe, où on éleva le donjon massif. Les aménagements se poursuivirent du XVIIe au XIXe siècles.
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Le pont-levis.
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Autour du pont-levis, des canonnières.
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Le donjon date du XIVe siècle.
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Le donjon date du XIVe siècle.
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Fenêtre de la cuisine béarnaise.
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La cuisine béarnaise. Dans la cheminée, un gâteau à la broche.
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La cuisine béarnaise. À terre, un chauffe-bain : le corps rempli de braise, on le plonge dans le bain. Les deux cheminées servent à diffuser la chaleur. À terre, un chauffe-bain : le corps rempli de braise, on le plonge dans le bain. Les deux cheminées servent à diffuser la chaleur. sur la table, une herrade qui est un seau pour transporter l'eau sur la tête. Munie d'un robinet et d'un bassin, la herrade sert de fontaine.
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Lourdes.
La cuisine béarnaise. Armoire de mariage. En haut est indiqué la date du mariage (1769). Dans les deux carrés du haut, des cœurs percés de flèches. En dessous, les chaînes du mariage.
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La chambre.
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La chambre.
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La chambre.
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Lourdes.
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Un pressoir.
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Planche pour séparer les grains de la paille.
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Un lourquet : il s'agit d'une cire de deuil de forme particulière que l'on trouvait dans quelques villages au Sud de Tarbes (Bigorre). Le lourquet est une véritable dentelle de cire d'une hauteur environ d'un mètre. Il est composé de plusieurs entrelacs de cordons de cire.
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Coiffes.
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Costumes régionaux.
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Haut-Aragon, vallée d'Anso.
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Couserans, vallée de Bethmale.
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Béarn, vallée d'Ossau.
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Bigorre, vallée de Luz.
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Lourdes.
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Lourdes.
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Lourdes.
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Lourdes.
Faïence de Samadet. XVIIIe siècle.
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Faïence de Samadet. XVIIIe siècle.
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Faïence de Samadet. XVIIIe siècle.
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Faïence de Samadet. XVIIIe siècle.
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Surjougs. Le surjoug est un objet en bois tourné, de forme allongée, sculpté et travaillé à la main, placé au centre et au-dessus du joug. C’est un objet ancien, rare, d’origine celtique, très important dans le monde agricole d’autrefois dans le Midi toulousain, et très peu connu. Il y en a eu ailleurs, mais c'est là qu'il a le plus longtemps existé, et qu'il a connu la plus grande évolution stylistique.
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Surjougs.
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Lourdes.
Retable baroque à la chapelle du château, qui ornait l'église Saint-Pierre, reconstruite après les guerres de religion et détruite en 1904.
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Lourdes.
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Lourdes.
Saint Paul, Christ en croix, saint Pierre.
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Charlemagne assiège le château.
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Un aigle laisse tomber une truite. Mirat, le chef de la garnison du château fait croire à Charlemagne que les assiégés ne manquent de rien.
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Reddition de Mirat.
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Ange adorateur.
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Sainte Luce.
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Sainte Catherine.
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Ange agenouillé.
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Ange agenouillé.
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Le monument aux Morts.
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