Salies, Château de Laàs, Sauveterre.

<center>Salies-de-Béarn</center>Exploité à Salies-de-Béam (Pyrénées-Atlantiques) depuis l'âge de Bronze, ce sel «gemme» est naturellement présent en profondeur dans des sources salées protégées par la montagne : les Pyrénées. La source «Reine Jeanne d'Oraàs» d'une pureté incomparable produit une eau dix fois plus salée que l'eau de mer. Le sel de Salies-de-Béarn est obtenu par simple évaporation de ces eaux souterraines selon une méthode ancienne : dans une poêle à sel. Il s'agit donc d'un sel 100% naturel, exceptionnellement riche en oligo-éléments
Salies-de-Béarn
Exploité à Salies-de-Béam (Pyrénées-Atlantiques) depuis l'âge de Bronze, ce sel «gemme» est naturellement présent en profondeur dans des sources salées protégées par la montagne : les Pyrénées. La source «Reine Jeanne d'Oraàs» d'une pureté incomparable produit une eau dix fois plus salée que l'eau de mer. Le sel de Salies-de-Béarn est obtenu par simple évaporation de ces eaux souterraines selon une méthode ancienne : dans une poêle à sel. Il s'agit donc d'un sel 100% naturel, exceptionnellement riche en oligo-éléments
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<center>Salies-de-Béarn</center>Sous l'effet du soleil et du vent, des pétales fins et légers apparaissent à la surface de la poêle à sel et forment la Fleur de Sel de Salies-de-Béam. Elle est issue de la première cristallisation du sel et récoltée à la main. Le Sel Gros. Les qualités gustatives du sel de Salies-de-Béam sont appréciées des gastronomes et des plus grandes toques pour une cuisine raffinée.
Salies-de-Béarn
Sous l'effet du soleil et du vent, des pétales fins et légers apparaissent à la surface de la poêle à sel et forment la Fleur de Sel de Salies-de-Béam. Elle est issue de la première cristallisation du sel et récoltée à la main. Le Sel Gros. Les qualités gustatives du sel de Salies-de-Béam sont appréciées des gastronomes et des plus grandes toques pour une cuisine raffinée.
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<center>Salies-de-Béarn</center>La poêle à sel est remplie d'eau de la source salée. L'évaporation de l'eau permet la production de fleur de sel et de sel gros. Après récolte du sel gros, il reste une eau minérale très concentrée: les eaux-mères. Riche en calcium, mais aussi en magnésium, en lithium, en fer, ce concentré d'eau thermale possède de nombreuses vertus médicinales. Les eaux-mères sont exploitées depuis 1855 pour le thermalisme. Au XIXème siècle, on soignait déjà les chevaux destinés à la compétition de haut niveau avec les eaux-mères de la source salée.
Les eaux-mères sont réceptionnées et stockées dans des cuves spécifiques. Elles sont ensuite acheminées vers l'Établissement Thermal de Salies-de-Béarn et alimentent les bains des curistes.
Salies-de-Béarn
La poêle à sel est remplie d'eau de la source salée. L'évaporation de l'eau permet la production de fleur de sel et de sel gros. Après récolte du sel gros, il reste une eau minérale très concentrée: les eaux-mères. Riche en calcium, mais aussi en magnésium, en lithium, en fer, ce concentré d'eau thermale possède de nombreuses vertus médicinales. Les eaux-mères sont exploitées depuis 1855 pour le thermalisme. Au XIXème siècle, on soignait déjà les chevaux destinés à la compétition de haut niveau avec les eaux-mères de la source salée. Les eaux-mères sont réceptionnées et stockées dans des cuves spécifiques. Elles sont ensuite acheminées vers l'Établissement Thermal de Salies-de-Béarn et alimentent les bains des curistes.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Hôtel de France et d'Angleterre, ruiné par un incendie.
Salies-de-Béarn
Hôtel de France et d'Angleterre, ruiné par un incendie.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Rond-Point Du Sanglier. Créé en 1997 sur l'emplacement du pont de chemin de fer de la ligne Puyoo-Mauléon-Saint-Palais, il fut décidé qu'il devait rendre hommage à
Salies-de-Béarn
Rond-Point Du Sanglier. Créé en 1997 sur l'emplacement du pont de chemin de fer de la ligne Puyoo-Mauléon-Saint-Palais, il fut décidé qu'il devait rendre hommage à "l'inventeur" de Salies, le sanglier de la légende. Réalisé par Monsieur Guy ROUX artiste Biarrot, il a été fondu dans les ateliers de Monsieur Charles BERTONI à Mauléon. Selon la légende, Salies-de-Béarn aurait été découverte suite à une partie de chasse. Un sanglier traqué aurait échappé à ses poursuivants. La bête blessée aurait été retrouvée dans un marécage quelques jours plus tard en train d’agoniser, les soies couvertes de cristaux de sels. Dans un dernier souffle de vie, le sanglier leur aurait déclaré en béarnais "Si you nou eri mourt, arres n'y bibéré" : « Si je n'y étais pas mort, personne n'y vivrait.". c’est ainsi que les hommes auraient découvert la présence de l’eau salée à Salies-de-Béarn et s’y seraient installés.
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<center>Salies-de-Béarn</center>L'hôtel du Parc, casino de Salies. Construit en 1893 par Pierre SAINT GUILY au profit de Monsieur GABRIEL GRANER dont les initiales figurent encore sur la façade, l'exploitation hôtelière se poursuivit jusqu'en 1978 date à laquelle il fut acheté par la commune de Salies-de-Béarn. Il est devenu le nouveau casino de la station thermale en décembre 1999.
Salies-de-Béarn
L'hôtel du Parc, casino de Salies. Construit en 1893 par Pierre SAINT GUILY au profit de Monsieur GABRIEL GRANER dont les initiales figurent encore sur la façade, l'exploitation hôtelière se poursuivit jusqu'en 1978 date à laquelle il fut acheté par la commune de Salies-de-Béarn. Il est devenu le nouveau casino de la station thermale en décembre 1999.
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<center>Salies-de-Béarn</center>L'hôtel du Parc, casino de Salies.
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L'hôtel du Parc, casino de Salies.
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<center>Salies-de-Béarn</center>L'hôtel du Parc, casino de Salies.
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L'hôtel du Parc, casino de Salies.
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<center>Salies-de-Béarn</center>L'hôtel du Parc, casino de Salies, est remarquable par son hall à trois galeries couvertes et par sa magnifique verrière. Pour le casino :  Hiriart Joseph (architecte), Tribout Georges (architecte), Beau Georges (architecte)
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L'hôtel du Parc, casino de Salies, est remarquable par son hall à trois galeries couvertes et par sa magnifique verrière. Pour le casino : Hiriart Joseph (architecte), Tribout Georges (architecte), Beau Georges (architecte)
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<center>Salies-de-Béarn</center>L'hôtel du Parc, casino de Salies, est remarquable par son hall à trois galeries couvertes et par sa magnifique verrière.
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L'hôtel du Parc, casino de Salies, est remarquable par son hall à trois galeries couvertes et par sa magnifique verrière.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Les thermes de Salies et  jardin public.L'architecte des Thermes est Lagarde Adrien.
Salies-de-Béarn
Les thermes de Salies et jardin public.L'architecte des Thermes est Lagarde Adrien.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Les thermes de Salies et kiosque du jardin public.
Salies-de-Béarn
Les thermes de Salies et kiosque du jardin public.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Les thermes de Salies et kiosque du jardin public. Kiosque réalisé en 1894 par l'architecte orthésien Bourdette. Le soubassement est couronné d'une plate-forme composée d'un plancher en coeur de pin reposant, au moyen de lambourdes en chêne, sur des poutrelles en fer à I. Au-dessous de ce plancher se trouve un sous-sol sous solive, formant une chambre d'harmonie. Un escalier en pierre de neuf marches permet d'accéder à la plate-forme. La toiture en zinc, surmontée d'une coupole, est supportée par huit fermes en fer reposant sur un poinçon central et sur huit colonnes en fonte posées sur les contreforts du soubassement. Une grille en fer forgé formant garde-corps est placée sur le couronnement du soubassement, entre les colonnes en fonte. En 1895, l'électricité y est installée.
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Les thermes de Salies et kiosque du jardin public. Kiosque réalisé en 1894 par l'architecte orthésien Bourdette. Le soubassement est couronné d'une plate-forme composée d'un plancher en coeur de pin reposant, au moyen de lambourdes en chêne, sur des poutrelles en fer à I. Au-dessous de ce plancher se trouve un sous-sol sous solive, formant une chambre d'harmonie. Un escalier en pierre de neuf marches permet d'accéder à la plate-forme. La toiture en zinc, surmontée d'une coupole, est supportée par huit fermes en fer reposant sur un poinçon central et sur huit colonnes en fonte posées sur les contreforts du soubassement. Une grille en fer forgé formant garde-corps est placée sur le couronnement du soubassement, entre les colonnes en fonte. En 1895, l'électricité y est installée.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le Saleys.
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Le Saleys.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le Saleys.
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Le Saleys.
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<center>Salies-de-Béarn</center>LA MUDE. Prauba Muda, tostemps tonuda! Pauvre muette toujours tondue, (Cri de désespoir des parts-prenants lorsque des puissants les privaient d'une partie de leur
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LA MUDE. Prauba Muda, tostemps tonuda! Pauvre muette toujours tondue, (Cri de désespoir des parts-prenants lorsque des puissants les privaient d'une partie de leur "compte de sauce"). Statue allégorique évoquant la Fontaine Salée de Salies, œuvre du sculpteur Jean-Lucien TISNE de SALLES-MONGISCARD (1875), elle fut inaugurée le 14 juillet 1920 par le ministre Léon BERARD et restaurée récemment.
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<center>Salies-de-Béarn</center>MAISON DARREMOUNDINE. Construction caractéristique de la première moitié du XVIIème siècle avec un premier étage à pan de bois en encorbellement. Restaurée en 1992 par l'Association des Amis du Vieux Salies avec reconstitution de la façade (croisée de pierre et coulédé). Elle fait revivre un atelier de façonneur de sel semblable à ceux qui ont fonctionné à SALIES DE BÉARN pendant plusieurs siècles.
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MAISON DARREMOUNDINE. Construction caractéristique de la première moitié du XVIIème siècle avec un premier étage à pan de bois en encorbellement. Restaurée en 1992 par l'Association des Amis du Vieux Salies avec reconstitution de la façade (croisée de pierre et coulédé). Elle fait revivre un atelier de façonneur de sel semblable à ceux qui ont fonctionné à SALIES DE BÉARN pendant plusieurs siècles.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Chaque maison est collée à sa voisine et l'ensemble s'enroule comme une coquille d'escargot autour de la source salée.
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Chaque maison est collée à sa voisine et l'ensemble s'enroule comme une coquille d'escargot autour de la source salée.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Encorbellements et balcons en dentelle de bois.
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Encorbellements et balcons en dentelle de bois.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Maison à colombages.
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Maison à colombages.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le seul coulédé d'époque. L’acheminement de l’eau salée a joué un rôle déterminant dans l’architecture de la ville qui a adopté une configuration dite « en escargot » à partir du lieu de l’actuelle Place du Bayaà : source d’origine. 
Dans ce bassin à ciel ouvert, l’eau était puisée selon un rituel très réglementé.
À certaines heures de la journée, les « tiradous » (porteurs) s’emparent des « sameaux » (cuves) et courent à travers la cité pour en déverser le contenu d’eau salée dans les « coulédés » (auges de pierre) qui se trouvent devant les maisons des fabricants de sel.
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Le seul coulédé d'époque. L’acheminement de l’eau salée a joué un rôle déterminant dans l’architecture de la ville qui a adopté une configuration dite « en escargot » à partir du lieu de l’actuelle Place du Bayaà : source d’origine. Dans ce bassin à ciel ouvert, l’eau était puisée selon un rituel très réglementé. À certaines heures de la journée, les « tiradous » (porteurs) s’emparent des « sameaux » (cuves) et courent à travers la cité pour en déverser le contenu d’eau salée dans les « coulédés » (auges de pierre) qui se trouvent devant les maisons des fabricants de sel.
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<center>Salies-de-Béarn</center>La place du Bayaà, où se situait la fontaine salée.
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La place du Bayaà, où se situait la fontaine salée.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le temple de l’église réformée. Cet édifice fut inauguré le 9 mai 1849, sur les bases du premier qui fut détruit par ordre royal en 1684 Sa façade, avec ses colonnes d'ordre dorique, son fronton triangulaire, évoque un temple prostyle grec classique.
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Le temple de l’église réformée. Cet édifice fut inauguré le 9 mai 1849, sur les bases du premier qui fut détruit par ordre royal en 1684 Sa façade, avec ses colonnes d'ordre dorique, son fronton triangulaire, évoque un temple prostyle grec classique.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le temple de l’église réformée. Cet édifice fut inauguré le 9 mai 1849, sur les bases du premier qui fut détruit par ordre royal en 1684 Sa façade, avec ses colonnes d'ordre dorique, son fronton triangulaire, évoque un temple prostyle grec classique.
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Le temple de l’église réformée. Cet édifice fut inauguré le 9 mai 1849, sur les bases du premier qui fut détruit par ordre royal en 1684 Sa façade, avec ses colonnes d'ordre dorique, son fronton triangulaire, évoque un temple prostyle grec classique.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Au fond, une des plus vielles maisons.
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Au fond, une des plus vielles maisons.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Pour réglementer l'usage du sel on créa  la Corporation des «Part-Prenants» de la Source Salée, codifiée à partir de 1526 puis inscrite définitivement au Livre noir de la cité en 1587. Les habitants, groupés autour de cette richesse naturelle, voulaient éviter que règne la loi du plus fort pour la distribution de l'eau. Encore aujourd'hui, les habitants de Salies sont propriétaires de leur source salée. Les Salisiens
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Pour réglementer l'usage du sel on créa la Corporation des «Part-Prenants» de la Source Salée, codifiée à partir de 1526 puis inscrite définitivement au Livre noir de la cité en 1587. Les habitants, groupés autour de cette richesse naturelle, voulaient éviter que règne la loi du plus fort pour la distribution de l'eau. Encore aujourd'hui, les habitants de Salies sont propriétaires de leur source salée. Les Salisiens "Part-Prenants" jouissent d'un privilège perpétué depuis 1587.
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<center>Salies-de-Béarn</center>LES PUITS DU GRIFFON. Fin XIXème siècle, pour répondre aux besoins en eau salée de la station thermale en plein essor, les Puits du Bayàa et d'ORAAS se révèlent insuffisants. Il faut donc mettre en service de nouveaux puits : Dondats et Griffon. Ce dernier est foré à une dizaine de mètres *de profondeur. Il est couvert par une construction cylindrique à toit conique et délivre 40m3 d'eau salée d'une densité de 1,127, un peu plus faible que celle du Bayàa. L'eau est dirigée vers les Thermes par une conduite qui franchit le Saleys. Pour éviter une baisse sensible de la concentration en chlorure de sodium la durée de pompage était limitée à 5 heures. L'exploitation de ce puits cessera dans les années qui précédent la deuxième guerre mondiale.
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LES PUITS DU GRIFFON. Fin XIXème siècle, pour répondre aux besoins en eau salée de la station thermale en plein essor, les Puits du Bayàa et d'ORAAS se révèlent insuffisants. Il faut donc mettre en service de nouveaux puits : Dondats et Griffon. Ce dernier est foré à une dizaine de mètres *de profondeur. Il est couvert par une construction cylindrique à toit conique et délivre 40m3 d'eau salée d'une densité de 1,127, un peu plus faible que celle du Bayàa. L'eau est dirigée vers les Thermes par une conduite qui franchit le Saleys. Pour éviter une baisse sensible de la concentration en chlorure de sodium la durée de pompage était limitée à 5 heures. L'exploitation de ce puits cessera dans les années qui précédent la deuxième guerre mondiale.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le Saleys.
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Le Saleys.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le Saleys.
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Le Saleys.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le Saleys et l'église Saint-Vincent. La tour est la partie la plus ancienne car elle servait de guet. Longtemps l'église a fait partie du système de fortification qui défendait la source salée.
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Le Saleys et l'église Saint-Vincent. La tour est la partie la plus ancienne car elle servait de guet. Longtemps l'église a fait partie du système de fortification qui défendait la source salée.
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<center>Salies-de-Béarn</center>L'église Saint-Vincent. Il existait déjà une chapelle au XIe siècle. Agrandie du XIVe au XVIe siècles, elle recèle dans ses murs, les stigmates des guerres subies par le Béarn. En 1523, deux armées espagnoles de Charles Quint mettent à sac et incendient la ville et les églises. En 1530, l’abside est reconstruite dans le style gothique flamboyant. Fin du XVIe siècle, les fenêtres sont murées et la tour de défense (le clocher) est percée de meurtrières.
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L'église Saint-Vincent. Il existait déjà une chapelle au XIe siècle. Agrandie du XIVe au XVIe siècles, elle recèle dans ses murs, les stigmates des guerres subies par le Béarn. En 1523, deux armées espagnoles de Charles Quint mettent à sac et incendient la ville et les églises. En 1530, l’abside est reconstruite dans le style gothique flamboyant. Fin du XVIe siècle, les fenêtres sont murées et la tour de défense (le clocher) est percée de meurtrières.
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<center>Salies-de-Béarn</center>La nef, à deux travées égales, est du XVe siècle.
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La nef, à deux travées égales, est du XVe siècle.
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<center>Salies-de-Béarn</center>L'autel est du XVe siècle sculpté à la main et doré à la feuille d'or. Il fait partie du Retable du même style qui se trouve derrière l'Autel.
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L'autel est du XVe siècle sculpté à la main et doré à la feuille d'or. Il fait partie du Retable du même style qui se trouve derrière l'Autel.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Au milieu du Retable : le Tabernacle. De chaque côté : deux panneaux. Ceux de gauche représentent l'Agonie et le Baiser de Judas ou Arrestation, ceux de droite représentent la Flagellation et la chute du Christ. Deux anges adorateurs en bois.
Salies-de-Béarn
Au milieu du Retable : le Tabernacle. De chaque côté : deux panneaux. Ceux de gauche représentent l'Agonie et le Baiser de Judas ou Arrestation, ceux de droite représentent la Flagellation et la chute du Christ. Deux anges adorateurs en bois.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Des vitraux à bornes, en verre antique de couleur, montage plomb, ont remplacés les verres peints.
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Des vitraux à bornes, en verre antique de couleur, montage plomb, ont remplacés les verres peints.
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<center>Salies-de-Béarn</center>St Augustin.
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St Augustin.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Le Sacré-Coeur.
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Le Sacré-Coeur.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Saint Michel.
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Saint Michel.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Peinture de TREBUCHET (Prix de ROME), représentant la sainte famille dans l'atelier de  Saint Joseph.
Salies-de-Béarn
Peinture de TREBUCHET (Prix de ROME), représentant la sainte famille dans l'atelier de Saint Joseph.
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<center>Salies-de-Béarn</center>L'Annonciation.
Salies-de-Béarn
L'Annonciation.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Orgue neuf construit en 1932 par Victor GONZALEZ. Complément de jeux par le même facteur en 1934. Relevage et pose d'un plafond au grand orgue par Maurice PUGET en 1957.
Salies-de-Béarn
Orgue neuf construit en 1932 par Victor GONZALEZ. Complément de jeux par le même facteur en 1934. Relevage et pose d'un plafond au grand orgue par Maurice PUGET en 1957.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Une belle cuve en pierre massive, usée par les ans et les services rendus dans une ferme béarnaise. Ce genre de cuve en forme ronde est fort rare dans le pays. Son socle est un rouleau de pierre utilisé dans les travaux des champs
Salies-de-Béarn
Une belle cuve en pierre massive, usée par les ans et les services rendus dans une ferme béarnaise. Ce genre de cuve en forme ronde est fort rare dans le pays. Son socle est un rouleau de pierre utilisé dans les travaux des champs
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<center>Salies-de-Béarn</center>A droite une petite cuve du XIVe siècle.
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A droite une petite cuve du XIVe siècle.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Tableau : Ecce Homo. Le Christ au manteau rouge est entouré de deux soldats ; au pied la foule rest epoussée par d'autres soldats. De René-Marie Castaing, 1927, 1928.
Salies-de-Béarn
Tableau : Ecce Homo. Le Christ au manteau rouge est entouré de deux soldats ; au pied la foule rest epoussée par d'autres soldats. De René-Marie Castaing, 1927, 1928.
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<center>Salies-de-Béarn</center>Sainte Anne et Marie.
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Sainte Anne et Marie.
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<center>Le château de Laàs</center>Le domaine du château de Laàs se compose de terres agricoles et de leurs dépendances, d'une collection de jardins et d'une gentilhommière érigée au 18e siècle richement meublée.
La richesse de la seigneurie de Laàs venait de ses droits à prélever une redevance pour le passage du cours d'eau, le gave d'Oloron, avec la nau, le bac, et sur la production des picharrèrs, les potiers du village. En récompense des services militaires rendus à la fin du 16e siècle par Jean de Laàs aux côtés du futur Henri IV, la seigneurie devient l'une des 14 baronnies du Béarn en 1610.
Le château de Laàs
Le domaine du château de Laàs se compose de terres agricoles et de leurs dépendances, d'une collection de jardins et d'une gentilhommière érigée au 18e siècle richement meublée. La richesse de la seigneurie de Laàs venait de ses droits à prélever une redevance pour le passage du cours d'eau, le gave d'Oloron, avec la nau, le bac, et sur la production des picharrèrs, les potiers du village. En récompense des services militaires rendus à la fin du 16e siècle par Jean de Laàs aux côtés du futur Henri IV, la seigneurie devient l'une des 14 baronnies du Béarn en 1610.
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<center>Le château de Laàs</center>Pendant les deux siècles qui suivent, le château est transmis de génération en génération jusqu'en 1806. Plusieurs propriétaires privés vont alors se succéder jusqu'aux derniers, en 1946 qui auront à cœur de faire partager l'ensemble de leur patrimoine au plus grand nombre. En 1981, le Conseil général des Pyrénées-Atlantiques a accepté de reprendre le legs de Louis et Madeleine Serbat, décédés quelques années plus tôt. C'est alors une extraordinaire collection de plus de 1 500 œuvres d'art qui est entrée dans le domaine public.
Le château de Laàs
Pendant les deux siècles qui suivent, le château est transmis de génération en génération jusqu'en 1806. Plusieurs propriétaires privés vont alors se succéder jusqu'aux derniers, en 1946 qui auront à cœur de faire partager l'ensemble de leur patrimoine au plus grand nombre. En 1981, le Conseil général des Pyrénées-Atlantiques a accepté de reprendre le legs de Louis et Madeleine Serbat, décédés quelques années plus tôt. C'est alors une extraordinaire collection de plus de 1 500 œuvres d'art qui est entrée dans le domaine public.
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<center>Le château de Laàs</center>En écho aux œuvres du château-musée, une collection de jardins a été réinventée au début du 21e siècle par des architectes paysagistes.  Jardin régulier à la française.
Le château de Laàs
En écho aux œuvres du château-musée, une collection de jardins a été réinventée au début du 21e siècle par des architectes paysagistes. Jardin régulier à la française.
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<center>Le château de Laàs</center>Jardin Italien.
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Jardin Italien.
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<center>Le château de Laàs</center>Orangerie.
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Orangerie.
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<center>Le château de Laàs</center>Le Gave d'Oloron.
Le château de Laàs
Le Gave d'Oloron.
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<center>Le château de Laàs</center>Le Gave d'Oloron.
Le château de Laàs
Le Gave d'Oloron.
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<center>Le château de Laàs</center>Sentiers romantiques pour descendre vers le Gave.
Le château de Laàs
Sentiers romantiques pour descendre vers le Gave.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>L'arsenal - salpêtrerie où l’on entreposait les armes durant les guerres de religion a été bâti aux alentours des XaltIIe-XIIIe siècles. La tour est rectangulaire. Son toit est intérieur. Remarquez la naissance de ses créneaux, son chemin de ronde ; sur cette tour et sur le mur qui la prolonge, les portes et les trous qui recevaient les hourds de défense ; les meurtrières à double ébrasement, système qui fera école deux siècles plus tard, nous dit Raymond Ritter.
Sauveterre-de-Béarn
L'arsenal - salpêtrerie où l’on entreposait les armes durant les guerres de religion a été bâti aux alentours des XaltIIe-XIIIe siècles. La tour est rectangulaire. Son toit est intérieur. Remarquez la naissance de ses créneaux, son chemin de ronde ; sur cette tour et sur le mur qui la prolonge, les portes et les trous qui recevaient les hourds de défense ; les meurtrières à double ébrasement, système qui fera école deux siècles plus tard, nous dit Raymond Ritter.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le pigeonnier de Coulomme qui date de 1640.
Sauveterre-de-Béarn
Le pigeonnier de Coulomme qui date de 1640.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Eglise Saint-André. Le style roman s'affirme dans l'examen de tout l'édifice. Les formes harmonieusement élevées séduisent et font de la paroissiale une construction unique en Béarn.
Sauveterre-de-Béarn
Eglise Saint-André. Le style roman s'affirme dans l'examen de tout l'édifice. Les formes harmonieusement élevées séduisent et font de la paroissiale une construction unique en Béarn.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Eglise Saint-André. Le chevet semi-circulaire s'adapte bien dans ses proportions à l'ensemble architectural ; par contre les deux absidioles paraissent bien modestes dans leur nudité. Très peu de décorations extérieures, seules trois fenêtres longues et étroites percent le mur ; la fenêtre centrale à meneau est surmontée d'un petit remplage quadrilobé.
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Eglise Saint-André. Le chevet semi-circulaire s'adapte bien dans ses proportions à l'ensemble architectural ; par contre les deux absidioles paraissent bien modestes dans leur nudité. Très peu de décorations extérieures, seules trois fenêtres longues et étroites percent le mur ; la fenêtre centrale à meneau est surmontée d'un petit remplage quadrilobé.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Eglise Saint-André. Construction de l'église dans la 2e moitié du 12e siècle (chevet) et le 1er quart du 13e siècle (transept, nef, bas-côtés). Première mention de l'église en 1251. Au 16e siècle, l'édifice est dévasté par les armées espagnoles et souffre du passage des troupes protestantes en 1569. De 1867 à 1869, restauration de la façade occidentale, construction du porche et de la sacristie, réfection totale et reconstitution du portail principal par l'architecte Auguste Lafollye (attribution par source).
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Eglise Saint-André. Construction de l'église dans la 2e moitié du 12e siècle (chevet) et le 1er quart du 13e siècle (transept, nef, bas-côtés). Première mention de l'église en 1251. Au 16e siècle, l'édifice est dévasté par les armées espagnoles et souffre du passage des troupes protestantes en 1569. De 1867 à 1869, restauration de la façade occidentale, construction du porche et de la sacristie, réfection totale et reconstitution du portail principal par l'architecte Auguste Lafollye (attribution par source).
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Eglise Saint-André et le monument au mort  réalisé par le sculpteur Ernest Gabard.
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Eglise Saint-André et le monument au mort réalisé par le sculpteur Ernest Gabard.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Sur la plaque ;
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Sur la plaque ; "Femmes séchez vos paupières. Et soyez fortes si Dieu vous le prend. Rien ne coûte au coeur vaillant Pour faire la France plus belle." Louis Biarnès. 1914.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Une absidiole.
Sauveterre-de-Béarn
Une absidiole.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Eglise Saint-André. Au-dessus de la croisée s'élève une imposante tour carrée qui semble avoir servi de donjon aux époques de trouble. La tour carrée élevée sur la croisée de la nef et du transept est percée sur chacune de ses faces de trois baies plein cintre divisées en deux par une colonnette de marbre. La surélévation percée de trous carrés ne semble pas se rattacher à la construction primitive.
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Eglise Saint-André. Au-dessus de la croisée s'élève une imposante tour carrée qui semble avoir servi de donjon aux époques de trouble. La tour carrée élevée sur la croisée de la nef et du transept est percée sur chacune de ses faces de trois baies plein cintre divisées en deux par une colonnette de marbre. La surélévation percée de trous carrés ne semble pas se rattacher à la construction primitive.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Eglise Saint-André. Sur la croisée du transept à huit voûtains, clocher autrefois fortifié avec terrasse crénelée.
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Eglise Saint-André. Sur la croisée du transept à huit voûtains, clocher autrefois fortifié avec terrasse crénelée.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Eglise Saint-André. La porte des cagots, (aussi appelés chrestiaas), catégorie de population reléguée tout en bas de l'échelle sociales mais admise dans la communauté des chrétiens.
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Eglise Saint-André. La porte des cagots, (aussi appelés chrestiaas), catégorie de population reléguée tout en bas de l'échelle sociales mais admise dans la communauté des chrétiens.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Eglise Saint-André. Port Ouest. En avant du portail, un porche a été construit par Lafolhye, architecte du palais de Pau.
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Eglise Saint-André. Port Ouest. En avant du portail, un porche a été construit par Lafolhye, architecte du palais de Pau.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Tympan de l'église Saint-André. Le portail occidental est formé d'une double arcature sans meneau central, le sommier commun aux deux arcs formant une clef pendante. Les deux arcs latéraux plein-cintre reposent sur cette clef et sur les piédroits du portail. Le tympan, divisé en neuf claveaux, est décoré d'un Christ bénissant entouré des symboles des quatre Evangélistes. Le soleil et la lune y figurent également, symboles de la lumière et des ténèbres. Dix anges décorent l'unique voussure qui entoure ce tympan, huit sont assis et deux agenouillés. Les colonnettes décorant le large ébarsement qui précède la porte devaient supporter d'autres voussures qui ont été détruites.
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Tympan de l'église Saint-André. Le portail occidental est formé d'une double arcature sans meneau central, le sommier commun aux deux arcs formant une clef pendante. Les deux arcs latéraux plein-cintre reposent sur cette clef et sur les piédroits du portail. Le tympan, divisé en neuf claveaux, est décoré d'un Christ bénissant entouré des symboles des quatre Evangélistes. Le soleil et la lune y figurent également, symboles de la lumière et des ténèbres. Dix anges décorent l'unique voussure qui entoure ce tympan, huit sont assis et deux agenouillés. Les colonnettes décorant le large ébarsement qui précède la porte devaient supporter d'autres voussures qui ont été détruites.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Tympan de l'église Saint-André.
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Tympan de l'église Saint-André.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Piédestaux et chapiteaux entre lesquels existaient autrefois les apôtres détruits par Jeanne d'Albret en 1563, remplacés aujourd'hui par des colonnes.
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Piédestaux et chapiteaux entre lesquels existaient autrefois les apôtres détruits par Jeanne d'Albret en 1563, remplacés aujourd'hui par des colonnes.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Châpiteau du porche.
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Châpiteau du porche.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Plan en croix latine. Aucune adjonction importante ou de transformation n'a modifié la régularité du plan à trois nefs orientées, terminées à l'est par une abside et deux absidioles. Les bras du transept voûtés d'ogives dépassent légèrement les absidioles.  Les trois travées de la nef et des bas-côtés sont voûtées d'ogives.
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Plan en croix latine. Aucune adjonction importante ou de transformation n'a modifié la régularité du plan à trois nefs orientées, terminées à l'est par une abside et deux absidioles. Les bras du transept voûtés d'ogives dépassent légèrement les absidioles. Les trois travées de la nef et des bas-côtés sont voûtées d'ogives.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Les voûtes sont montées sur croisées d’ogives : c’est la période gothique. Mais le roman apparaît encore à l’examen des piliers : colonnes engagées, bases attiques et supports cylindriques ou octogonaux. A l’intersection de la nef centrale et du transept, la voûte est divisée en huit compartiments.
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Les voûtes sont montées sur croisées d’ogives : c’est la période gothique. Mais le roman apparaît encore à l’examen des piliers : colonnes engagées, bases attiques et supports cylindriques ou octogonaux. A l’intersection de la nef centrale et du transept, la voûte est divisée en huit compartiments.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>L’arc triomphal qui repose sur des piles à ressaut et comporte des colonnes côté chœur et côté transept a été manifestement surélevé sur une base romane. En effet, les colonnes de la première campagne de construction sont coiffées de chapiteaux servant de base à une deuxième colonne elle-même coiffée d’un chapiteau qui reçoit l’arc brisé. Plus loin deux colonnes sans chapiteaux servent aussi de base à deux colonnettes, tandis que deux autres colonnettes complètent ce système de rehaussement : c’est la deuxième période de construction en vue de recevoir la voûte gothique.
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L’arc triomphal qui repose sur des piles à ressaut et comporte des colonnes côté chœur et côté transept a été manifestement surélevé sur une base romane. En effet, les colonnes de la première campagne de construction sont coiffées de chapiteaux servant de base à une deuxième colonne elle-même coiffée d’un chapiteau qui reçoit l’arc brisé. Plus loin deux colonnes sans chapiteaux servent aussi de base à deux colonnettes, tandis que deux autres colonnettes complètent ce système de rehaussement : c’est la deuxième période de construction en vue de recevoir la voûte gothique.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Abside voûtée d'ogives. Les deux autres colonnettes qui complètent le système de rehaussement.
Sauveterre-de-Béarn
Abside voûtée d'ogives. Les deux autres colonnettes qui complètent le système de rehaussement.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>En 1872, l'abbé Xavier Montaut, peintre oloronais, exécute un ensemble de peintures décoratives dans l'abside et la nef.
Sauveterre-de-Béarn
En 1872, l'abbé Xavier Montaut, peintre oloronais, exécute un ensemble de peintures décoratives dans l'abside et la nef.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>En 1872, l'abbé Xavier Montaut, peintre oloronais, exécute un ensemble de peintures décoratives dans l'abside et la nef. Tableau du Christ et Saint Jean-Baptiste du XVIIIe siècle. A gauche, Saint Louis.
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En 1872, l'abbé Xavier Montaut, peintre oloronais, exécute un ensemble de peintures décoratives dans l'abside et la nef. Tableau du Christ et Saint Jean-Baptiste du XVIIIe siècle. A gauche, Saint Louis.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>A droite, tableau de Sainte Madeleine au désert du XVIIe siècle. A gauche, Saint André. Au centre, Vierge à l'Enfant.
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A droite, tableau de Sainte Madeleine au désert du XVIIe siècle. A gauche, Saint André. Au centre, Vierge à l'Enfant.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Vierge à l'Enfant.
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Vierge à l'Enfant.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le chapiteau, sur le pilier gauche à l’entrée du chœur, montre deux personnages, l’un tient sa langue longue et pendante de ses deux mains, l’autre mord ses deux mains dans une bouche démesurément grande : voici le mensonge et la gourmandise.
Sauveterre-de-Béarn
Le chapiteau, sur le pilier gauche à l’entrée du chœur, montre deux personnages, l’un tient sa langue longue et pendante de ses deux mains, l’autre mord ses deux mains dans une bouche démesurément grande : voici le mensonge et la gourmandise.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le chapiteau, sur le pilier gauche à l’entrée du chœur, montre deux personnages, l’un tient sa langue longue et pendante de ses deux mains, l’autre mord ses deux mains dans une bouche démesurément grande : voici le mensonge et la gourmandise.
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Le chapiteau, sur le pilier gauche à l’entrée du chœur, montre deux personnages, l’un tient sa langue longue et pendante de ses deux mains, l’autre mord ses deux mains dans une bouche démesurément grande : voici le mensonge et la gourmandise.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Un deuxième chapiteau sur une petite colonne du mur gouttereau Nord, à hauteur et à l’arrière du premier pilier, représente une nativité : la Vierge couchée, Joseph à ses pieds et, tel une momie près de l’Enfant enveloppé de bandelettes, les têtes de l’âne et du bœuf
Sauveterre-de-Béarn
Un deuxième chapiteau sur une petite colonne du mur gouttereau Nord, à hauteur et à l’arrière du premier pilier, représente une nativité : la Vierge couchée, Joseph à ses pieds et, tel une momie près de l’Enfant enveloppé de bandelettes, les têtes de l’âne et du bœuf
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Deux absidioles voûtées en cul-de-four, arc doubleau en plein cintre, on est bien dans une construction romane. Chapelle de Saint-Joseph.
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Deux absidioles voûtées en cul-de-four, arc doubleau en plein cintre, on est bien dans une construction romane. Chapelle de Saint-Joseph.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Deux absidioles voûtées en cul-de-four, arc doubleau en plein cintre, on est bien dans une construction romane. Chapelle de la Vierge.
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Deux absidioles voûtées en cul-de-four, arc doubleau en plein cintre, on est bien dans une construction romane. Chapelle de la Vierge.
102
<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Fourniture vers 1930 des deux roses historiées du transept par Paul Louzier (attribution par signature). Martyre de saint André sur la croix.
Sauveterre-de-Béarn
Fourniture vers 1930 des deux roses historiées du transept par Paul Louzier (attribution par signature). Martyre de saint André sur la croix.
103
<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Saint André et Jésus au lac de Tibériade.
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Saint André et Jésus au lac de Tibériade.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Sur la face Nord du transept, la petite porte est surmontée d'un tympan que timbre un chrisme à faible relief. Le support du chrisme est un cercle représentant l'univers.
L'espace défini par le cercle est occupé par les deux premières lettres du mot Christ, en grec Christos : ce sont le Khi (C) et le Rho (R) majuscules. Remarquez aussi les deux symboles, ici inversés : Alpha (A) et Oméga (W) majuscules également. Sur la barre verticale du R, le S de Sauveur. Ce graphisme est remarquable par la densité de sa signification.
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Sur la face Nord du transept, la petite porte est surmontée d'un tympan que timbre un chrisme à faible relief. Le support du chrisme est un cercle représentant l'univers. L'espace défini par le cercle est occupé par les deux premières lettres du mot Christ, en grec Christos : ce sont le Khi (C) et le Rho (R) majuscules. Remarquez aussi les deux symboles, ici inversés : Alpha (A) et Oméga (W) majuscules également. Sur la barre verticale du R, le S de Sauveur. Ce graphisme est remarquable par la densité de sa signification.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Gave d'Oloron.
Sauveterre-de-Béarn
Le Gave d'Oloron.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Gave d'Oloron qui entoure l'île de la Glère.
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Le Gave d'Oloron qui entoure l'île de la Glère.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Pont de la Légende.
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Le Pont de la Légende.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Fontaine du Touroun.
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Fontaine du Touroun.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>La tour Monréal. Bâtie aux XIIe-XIIIe siècles, reliée par une courtine au château vicomtal, elle constituait un élément majeur de la défense de la cité et du pays de Béarn. Sa masse est imposante : elle forme un rectangle de 14m x 10. Cependant sa hauteur de 33 m et la faible épaisseur de ses murs qui ne dépassent guère 85 cm lui confèrent une austère élégance.
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La tour Monréal. Bâtie aux XIIe-XIIIe siècles, reliée par une courtine au château vicomtal, elle constituait un élément majeur de la défense de la cité et du pays de Béarn. Sa masse est imposante : elle forme un rectangle de 14m x 10. Cependant sa hauteur de 33 m et la faible épaisseur de ses murs qui ne dépassent guère 85 cm lui confèrent une austère élégance.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>La tour Monréal. Sur la partie supérieure, des corbeaux intérieurs devaient supporter un chemin de ronde, merlons et créneaux. Dans le mur Est, les « terribles » meurtrières, au 1er étage et dans la partie haute, permettaient de balayer de leurs flèches l’ennemi voulant gravir le ravin.
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La tour Monréal. Sur la partie supérieure, des corbeaux intérieurs devaient supporter un chemin de ronde, merlons et créneaux. Dans le mur Est, les « terribles » meurtrières, au 1er étage et dans la partie haute, permettaient de balayer de leurs flèches l’ennemi voulant gravir le ravin.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>La tour Monréal. Dans le mur Sud, les portes, les boulins, les corbeaux, attestant la présence de hourds et de balcons. La belle baie géminée pendant de celles de l’église éclairait le deuxième étage, la tour était aussi lieu d’habitation.
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La tour Monréal. Dans le mur Sud, les portes, les boulins, les corbeaux, attestant la présence de hourds et de balcons. La belle baie géminée pendant de celles de l’église éclairait le deuxième étage, la tour était aussi lieu d’habitation.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Pont de la Légende. Ce pont fortifié est dit
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Le Pont de la Légende. Ce pont fortifié est dit "Pont de la Légende" depuis qu'en 1170, la reine Sancie veuve de Gaston V, vicomte de Béarn, est accusée, par la rumeur publique, d’avoir tué son enfant nouveau-né. Elle nie ce crime abominable. Où est la vérité ? Elle subit le jugement de Dieu par l’eau. Elle est conduite sur le pont en robe blanche, les pieds et les mains liés. Devant trois mille personnes, elle est jetée dans l’eau… Un grand cri ! Elle disparaît… mais le courant la pousse doucement sur la rive à « trois portées de flèches ». Sancie est vivante, Sancie est innocente.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Pont de la Légende. Ceci est une légende, mais Gaston VII Moncade va fortifier ce pont. Il le bâtit avec sa tour couverte et son escalier à vis, son arche de pierre.
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Le Pont de la Légende. Ceci est une légende, mais Gaston VII Moncade va fortifier ce pont. Il le bâtit avec sa tour couverte et son escalier à vis, son arche de pierre.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Pont de la Légende. On peut remarquer la chambre des gardes, les trous carrés qui reçoivent les solives du hourd ou bretèche de défense.  Deux tabliers de bois sur pile de pierre prolongeaient le pont, il reliait la rive droite à l'île de la Glère.
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Le Pont de la Légende. On peut remarquer la chambre des gardes, les trous carrés qui reçoivent les solives du hourd ou bretèche de défense. Deux tabliers de bois sur pile de pierre prolongeaient le pont, il reliait la rive droite à l'île de la Glère.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Pont de la Légende. Jusqu’au XIVe siècle il n’y avait pas de pont-levis lié aux portes. Puis vient Gaston III de Foix-Béarn, Gaston Fébus, qui fait installer le pont-levis comme le  montrent les deux corbeaux situés sur la face avant. La chambre des gardes devient chambre de manœuvre.
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Le Pont de la Légende. Jusqu’au XIVe siècle il n’y avait pas de pont-levis lié aux portes. Puis vient Gaston III de Foix-Béarn, Gaston Fébus, qui fait installer le pont-levis comme le montrent les deux corbeaux situés sur la face avant. La chambre des gardes devient chambre de manœuvre.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le pont de la Légende fut d’abord appelé « Pont Mayor », puis « Pont de l’Hôpital », car il débouchait près de l’hôpital des pèlerins de Saint-Jacques. Ce pont participait d'un système de trois ponts qui permettaient de rejoindre la rive Sud du gave au quartier Oreyte. A droite, l'ancien Hôpital Saint-Jacques des pèlerins de Compostelle..
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Le pont de la Légende fut d’abord appelé « Pont Mayor », puis « Pont de l’Hôpital », car il débouchait près de l’hôpital des pèlerins de Saint-Jacques. Ce pont participait d'un système de trois ponts qui permettaient de rejoindre la rive Sud du gave au quartier Oreyte. A droite, l'ancien Hôpital Saint-Jacques des pèlerins de Compostelle..
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Pont de la Légende.
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Le Pont de la Légende.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Pont de la Légende.
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Le Pont de la Légende.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Le Pont de la Légende. La salle des gardes.
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Le Pont de la Légende. La salle des gardes.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Restes d’une des piles du pont de la Réclusy, le pont des Reclus, qui permettait de rejoindre sur la rive gauche le quartier d’Oreyte au lieu dit « La Justice », où les criminels se balançaient aux hideuses fourches patibulaires. Les tabliers de bois de ce pont reposaient sur deux piles de pierre.
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Restes d’une des piles du pont de la Réclusy, le pont des Reclus, qui permettait de rejoindre sur la rive gauche le quartier d’Oreyte au lieu dit « La Justice », où les criminels se balançaient aux hideuses fourches patibulaires. Les tabliers de bois de ce pont reposaient sur deux piles de pierre.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Vue sur la cité médiévale depuis le Pont de la Légende.
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Vue sur la cité médiévale depuis le Pont de la Légende.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Fontaine du Sénéchal.
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Fontaine du Sénéchal.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>La porte de Lester, sans pont-levis, s’ouvrait sur le quartier Pléguignou. Une élégante passerelle a remplacé l’arc ogival d’autrefois dont on peut remarquer encore les logements. Nul doute, une bretèche devait défendre cette entrée. Restent encore, quelques gonds de sa lourde porte de bois et, dans le mur très épais, les encoches recevant la barre de fermeture
Sauveterre-de-Béarn
La porte de Lester, sans pont-levis, s’ouvrait sur le quartier Pléguignou. Une élégante passerelle a remplacé l’arc ogival d’autrefois dont on peut remarquer encore les logements. Nul doute, une bretèche devait défendre cette entrée. Restent encore, quelques gonds de sa lourde porte de bois et, dans le mur très épais, les encoches recevant la barre de fermeture
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>La porte du Datter qui ouvrait la cité vers l’Ouest. D’une ogive très pure, elle possède encore dans ses murs les logements des gonds et les encoches qui recevaient la barre de fermeture de cette lourde porte. Un pont-levis franchissait le fossé. Une bretèche devait le défendre. Il a été remplacé plus tard par le « pont de Claquepaà ».
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La porte du Datter qui ouvrait la cité vers l’Ouest. D’une ogive très pure, elle possède encore dans ses murs les logements des gonds et les encoches qui recevaient la barre de fermeture de cette lourde porte. Un pont-levis franchissait le fossé. Une bretèche devait le défendre. Il a été remplacé plus tard par le « pont de Claquepaà ».
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>La Maison Forte surveillait la montée vers le château et les portes de Lester et du Datter. Le crépi actuel empêche de voir les ouvertures et les meurtrières.
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La Maison Forte surveillait la montée vers le château et les portes de Lester et du Datter. Le crépi actuel empêche de voir les ouvertures et les meurtrières.
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<center>Sauveterre-de-Béarn</center>Restes du château de Montréal. Marguerite d’Angoulême, « la Marguerite des marguerites » comme l’appelait son frère François 1er, épouse d’Henri d’Albret, roi de Navarre et seigneur de Béarn, aurait peut-être écrit, en la cour de son château de Sauveterre, quelques pages de son Heptaméron…
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Restes du château de Montréal. Marguerite d’Angoulême, « la Marguerite des marguerites » comme l’appelait son frère François 1er, épouse d’Henri d’Albret, roi de Navarre et seigneur de Béarn, aurait peut-être écrit, en la cour de son château de Sauveterre, quelques pages de son Heptaméron…
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