Exposition au Musée Granet.

Exposition Camoin au musée Granet et la collection Planque à la chapelle.

<center>Les Pins au bord de Peau au Trayas </center>CHARLES CAMOIN
1905 [1910]
Huile sur toile
Collection privée Beaumont, Texas, États-Unis
Les Pins au bord de Peau au Trayas
CHARLES CAMOIN 1905 [1910] Huile sur toile Collection privée Beaumont, Texas, États-Unis
1
<center>Port de Cassis</center>CHARLES CAMOIN
1900
Huile sur toile
Collection particulière
Port de Cassis
CHARLES CAMOIN 1900 Huile sur toile Collection particulière
2
<center>Jeune Créole</center>CHARLES CAMOIN
1904
Huile sur carton
Le Havre, MuMa -musée d'Art moderne André Malraux.
Jeune Créole
CHARLES CAMOIN 1904 Huile sur carton Le Havre, MuMa -musée d'Art moderne André Malraux.
3
<center>Le Pont Royal</center>CHARLES CAMOIN
1905
Huile sur toile
Collection particulière
Le Pont Royal
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile Collection particulière
4
<center>Au Restaurant </center>CHARLES CAMOIN
1898 [1903]
Huile sur toile Collection particulière
Au Restaurant
CHARLES CAMOIN 1898 [1903] Huile sur toile Collection particulière
5
<center>Portrait de ma mère dans son salon </center>CHARLES CAMOIN
1897
Huile sur toile
Musée d'Art moderne de la Ville de Paris
Portrait de ma mère dans son salon
CHARLES CAMOIN 1897 Huile sur toile Musée d'Art moderne de la Ville de Paris
6
<center>Madame Matisse faisant de la tapisserie</center>CHARLES CAMOIN
1904-1905
Huile sur toile. Strasbourg, musée d'Art moderne et contemporain.<br>
Cette toile de Camoin constitue l'un des temps forts de ces séances de peinture côte à côte que pratiquent les artistes du groupe Moreau. La scène prend place dans l'appartement-atelier de Matisse au 19, quai Saint-Michel. Installée à sa table, au milieu des toiles accumulées contre les murs, Amélie tisse une tapisserie, peut-être celle qu'elle pense exposer au prochain Salon des Indépendants, d'après un carton réalisé par André Derain. C'est le sculpteur Maillol qui avait initié Amélie Matisse à cette pratique après qu'elle a dû abandonner son commerce de modiste. Madame Matisse y figure vêtue du peignoir japonais aux motifs ondoyants qui apparaît dans plusieurs tableaux de Matisse en 1905. Marquet est aussi présent ce jour-là, et donne de la scène une interprétation très proche de celle de Camoin.
Madame Matisse faisant de la tapisserie
CHARLES CAMOIN 1904-1905 Huile sur toile. Strasbourg, musée d'Art moderne et contemporain.
Cette toile de Camoin constitue l'un des temps forts de ces séances de peinture côte à côte que pratiquent les artistes du groupe Moreau. La scène prend place dans l'appartement-atelier de Matisse au 19, quai Saint-Michel. Installée à sa table, au milieu des toiles accumulées contre les murs, Amélie tisse une tapisserie, peut-être celle qu'elle pense exposer au prochain Salon des Indépendants, d'après un carton réalisé par André Derain. C'est le sculpteur Maillol qui avait initié Amélie Matisse à cette pratique après qu'elle a dû abandonner son commerce de modiste. Madame Matisse y figure vêtue du peignoir japonais aux motifs ondoyants qui apparaît dans plusieurs tableaux de Matisse en 1905. Marquet est aussi présent ce jour-là, et donne de la scène une interprétation très proche de celle de Camoin.
7
<center>Portrait d'Albert Marquet</center>CHARLES CAMOIN
1904
Huile sur toile. Paris Centre Pompidou, MNAM - C.  Don de Madame Albert Marquet en 1951, dépôt au musée Fabre, Montpellier, 2006.<br>
Camoin peint son ami Marquet dans la pose des portraits de paysans de Cézanne qu'il a probablement pu voir à l'atelier des Lauves lors de ses visites au Maître. C'est une attitude similaire qu'adopte Cézanne dans le célèbre portrait photographique que fit de lui Emile Bernard en 1904. Camoin en possédait un tirage acquis auprès de Vollard. Ce tableau témoigne donc de l'importance qui était alors accordée à l'exemple cézannien parmi les artistes du groupe fauve, Camoin ayant été le passeur de sa parole et de sa doctrine picturale. Les portraits mutuels sont alors couramment pratiqués par les artistes fauves qui perpétuent ainsi ceux échangés par Gauguin et Van Gogh. Retrouvé après la mort de son mari par Marcelle Marquet, le portrait fut d'abord considéré comme un autoportrait avant que Camoin ne l'identifie comme son œuvre.
Portrait d'Albert Marquet
CHARLES CAMOIN 1904 Huile sur toile. Paris Centre Pompidou, MNAM - C. Don de Madame Albert Marquet en 1951, dépôt au musée Fabre, Montpellier, 2006.
Camoin peint son ami Marquet dans la pose des portraits de paysans de Cézanne qu'il a probablement pu voir à l'atelier des Lauves lors de ses visites au Maître. C'est une attitude similaire qu'adopte Cézanne dans le célèbre portrait photographique que fit de lui Emile Bernard en 1904. Camoin en possédait un tirage acquis auprès de Vollard. Ce tableau témoigne donc de l'importance qui était alors accordée à l'exemple cézannien parmi les artistes du groupe fauve, Camoin ayant été le passeur de sa parole et de sa doctrine picturale. Les portraits mutuels sont alors couramment pratiqués par les artistes fauves qui perpétuent ainsi ceux échangés par Gauguin et Van Gogh. Retrouvé après la mort de son mari par Marcelle Marquet, le portrait fut d'abord considéré comme un autoportrait avant que Camoin ne l'identifie comme son œuvre.
8
<center>Nature morte au paravent vert </center>CHARLES CAMOIN
1905 
Huile sur toile Collection particulière
Nature morte au paravent vert
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile Collection particulière
9
<center>Jeune marseillaise [Jeune Paysanne d'Aix]</center>CHARLES CAMOIN
1904-1905
Huile sur toile
The Art Institute of Chicago. Don de R. Stanley et Ursula Johnson
Jeune marseillaise [Jeune Paysanne d'Aix]
CHARLES CAMOIN 1904-1905 Huile sur toile The Art Institute of Chicago. Don de R. Stanley et Ursula Johnson
10
<center>Paysage de Provence (ou du Cap Brun) </center>CHARLES CAMOIN
1907-1908
Huile sur toile
Musée d'Art de Toulon
Paysage de Provence (ou du Cap Brun)
CHARLES CAMOIN 1907-1908 Huile sur toile Musée d'Art de Toulon
11
<center></center>
12
<center>La Passerelle </center>CHARLES CAMOIN
1906
Huile sur toile
Libéré de son service militaire en septembre 1903, Camoin retourne à plusieurs reprises voir Cézanne lors de ses séjours dans le Midi. En septembre 1906, il séjourne à Aix et peint dans les environs. La Passerelle est l'un des rares témoignages connus d'un paysage aixois par Camoin datant de cette période. Il s'agit d'une des passerelles de métal enjambant la rivière de l'Arc, prise dans l'axe du viaduc du chemin de fer tel qu'il est représenté dans les Sainte-Victoire de Cézanne des années 1880-1885 depuis la vallée de l'Arc. Le 26 septembre 1906, Cézanne écrit à son fils : « J'ai vu hier le vaillant marseillais Carlos Camoin qui est venu me montrer un lot de toiles et me demander mon appréciation, ce qu'il fait est bien, il progresserait plutôt. » Un peu moins d'un mois plus tard, le 23 octobre, Cézanne s'éteignait.
Aix-en-Provence, musée Granet,
La Passerelle
CHARLES CAMOIN 1906 Huile sur toile Libéré de son service militaire en septembre 1903, Camoin retourne à plusieurs reprises voir Cézanne lors de ses séjours dans le Midi. En septembre 1906, il séjourne à Aix et peint dans les environs. La Passerelle est l'un des rares témoignages connus d'un paysage aixois par Camoin datant de cette période. Il s'agit d'une des passerelles de métal enjambant la rivière de l'Arc, prise dans l'axe du viaduc du chemin de fer tel qu'il est représenté dans les Sainte-Victoire de Cézanne des années 1880-1885 depuis la vallée de l'Arc. Le 26 septembre 1906, Cézanne écrit à son fils : « J'ai vu hier le vaillant marseillais Carlos Camoin qui est venu me montrer un lot de toiles et me demander mon appréciation, ce qu'il fait est bien, il progresserait plutôt. » Un peu moins d'un mois plus tard, le 23 octobre, Cézanne s'éteignait. Aix-en-Provence, musée Granet,
13
<center>Femme à la voilette </center>CHARLES CAMOIN
1905
Huile sur toile
Collection particulière
Femme à la voilette
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile Collection particulière
14
<center>Marseille, rue Bouterie </center>CHARLES CAMOIN
1904
Huile sur toile
Alors qu'il est à Marseille, Camoin fréquente parfois le quartier du Panier, connu à l'époque pour être un des lieux de la prostitution avant d'être dynamité sous l'Occupation. La rue Bouterie était le boyau principal de ce qu'André Suarès nommait « le grand lupanar », et qu'on appelait « La Fosse », fréquenté par les marins de tous horizons. Le tableau de Camoin restitue l'ambiance du quartier, les bars louches et les prostituées campées sur le trottoir dans l'attente du client. La scène n'a toutefois rien de lugubre puisque l'artiste s'attache à restituer la pleine lumière qui se reflète sur les façades de l'étroite ruelle. Cette toile fut acquise par Paul Signac, peu de temps avant d'être exposé au Salon des Indépendants de 1905.
Collection particulière
Marseille, rue Bouterie
CHARLES CAMOIN 1904 Huile sur toile Alors qu'il est à Marseille, Camoin fréquente parfois le quartier du Panier, connu à l'époque pour être un des lieux de la prostitution avant d'être dynamité sous l'Occupation. La rue Bouterie était le boyau principal de ce qu'André Suarès nommait « le grand lupanar », et qu'on appelait « La Fosse », fréquenté par les marins de tous horizons. Le tableau de Camoin restitue l'ambiance du quartier, les bars louches et les prostituées campées sur le trottoir dans l'attente du client. La scène n'a toutefois rien de lugubre puisque l'artiste s'attache à restituer la pleine lumière qui se reflète sur les façades de l'étroite ruelle. Cette toile fut acquise par Paul Signac, peu de temps avant d'être exposé au Salon des Indépendants de 1905. Collection particulière
15
<center>La Fille endormie [La Saltimbanque au repos]</center>CHARLES CAMOIN
 1905
Huile sur toile
Camoin rejoint Marquet et Manguin à Saint-Tropez dans le courant du mois de juin 1905. Cette scène de bordel a été peinte au Bar des roses, bar louche du port. Il écrit à Matisse qui séjourne alors à Collioure avec Derain : « C'est à Cassis que je me suis arrêté ces jours passés et je n'y ai fait qu'une seule toile. [...] Nous y avons fait avec Marquet des parties de rires impayables et difficiles à décrire. Nous te raconterons cela par nos croquis et l'étude que nous avons entreprise. Marquet pense l'exposer l'année prochaine aux Indépendants sous ce titre : La nouvelle Olympia. Je crains que la censure nous l'interdise. » (Camoin à Matisse, 28 juin 1905, Archives Matisse). Camoin écrit à Marquet qu'il a montré à Cézanne quelques-unes de ses études et qu'« il a beaucoup aimé le portrait d'une putain me disant que c'était là ma voie... » (Camoin à Marquet, 14 juin 1906, Archives Wildenstein Institute).
Musée d'Art moderne de la Ville de Paris.
La Fille endormie [La Saltimbanque au repos]
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile Camoin rejoint Marquet et Manguin à Saint-Tropez dans le courant du mois de juin 1905. Cette scène de bordel a été peinte au Bar des roses, bar louche du port. Il écrit à Matisse qui séjourne alors à Collioure avec Derain : « C'est à Cassis que je me suis arrêté ces jours passés et je n'y ai fait qu'une seule toile. [...] Nous y avons fait avec Marquet des parties de rires impayables et difficiles à décrire. Nous te raconterons cela par nos croquis et l'étude que nous avons entreprise. Marquet pense l'exposer l'année prochaine aux Indépendants sous ce titre : La nouvelle Olympia. Je crains que la censure nous l'interdise. » (Camoin à Matisse, 28 juin 1905, Archives Matisse). Camoin écrit à Marquet qu'il a montré à Cézanne quelques-unes de ses études et qu'« il a beaucoup aimé le portrait d'une putain me disant que c'était là ma voie... » (Camoin à Marquet, 14 juin 1906, Archives Wildenstein Institute). Musée d'Art moderne de la Ville de Paris.
16
<center>La Petite Lina </center>CHARLES CAMOIN
1905
Huile sur toile	
Marseille, musée Cantini.
La Petite Lina
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile Marseille, musée Cantini.
17
<center>La Seine, le Louvre et le Pont des Arts vus du Pont Neuf</center>CHARLES CAMOIN
1904-1905
Huile sur toile
Camoin emménage courant 1904 dans un atelier surplombant la Seine et le Pont Neuf, au 28 place Dauphine. C'est de la petite terrasse de cet immeuble XVIIIe qu'il peint cette vue de (a Seine. Ce type de paysages très architectures dans leur composition est alors également pratiqué par Matisse qui peint de nombreuses vues depuis son atelier du quai Saint-Michel ou par Marquet, qui emménage dans un atelier voisin de Camoin en 1906. Camoin est alors très marqué par ses rencontres régulières depuis 1900 avec Cézanne qui l'exhorte à « composer comme l'ont fait les maîtres, non pas comme les impressionnistes qui découpent un morceau de nature au hasard » (lettre de Camoin à Matisse, 2 décembre 1905, Archives Matisse). Camoin applique ce conseil dans ces paysages dont les plans et les axes de profondeur sont clairement définis.
Collection Galerie Alexis Pentcheff
La Seine, le Louvre et le Pont des Arts vus du Pont Neuf
CHARLES CAMOIN 1904-1905 Huile sur toile Camoin emménage courant 1904 dans un atelier surplombant la Seine et le Pont Neuf, au 28 place Dauphine. C'est de la petite terrasse de cet immeuble XVIIIe qu'il peint cette vue de (a Seine. Ce type de paysages très architectures dans leur composition est alors également pratiqué par Matisse qui peint de nombreuses vues depuis son atelier du quai Saint-Michel ou par Marquet, qui emménage dans un atelier voisin de Camoin en 1906. Camoin est alors très marqué par ses rencontres régulières depuis 1900 avec Cézanne qui l'exhorte à « composer comme l'ont fait les maîtres, non pas comme les impressionnistes qui découpent un morceau de nature au hasard » (lettre de Camoin à Matisse, 2 décembre 1905, Archives Matisse). Camoin applique ce conseil dans ces paysages dont les plans et les axes de profondeur sont clairement définis. Collection Galerie Alexis Pentcheff
18
<center>Jeune Napolitaine </center>CHARLES CAMOIN
1906
Huile sur toile
Avec ce portrait, probablement celui exposé sous le titre La Bohémienne au Salon d'Automne de 1906, Camoin souscrit au genre du portrait costumé alors répandu dans les expositions. Les couleurs chatoyantes du costume, le fond de papier peint fleuri parsemé de roses produisent un accord audacieux qui n'est pas sans rappeler les portraits de Van Gogh ou de Gauguin. Un portrait de Camoin de la même période, La Cabaretière de Marnes-la-Coquette (vers 1900, Art Gallery of New South Wales) fut d'ailleurs pendant un temps attribué à Gauguin. Remarqué par l'artiste dans une publication en 1948, il en retrouva la paternité.
Association des Amis d Petit-Palais, Genève.
Jeune Napolitaine
CHARLES CAMOIN 1906 Huile sur toile Avec ce portrait, probablement celui exposé sous le titre La Bohémienne au Salon d'Automne de 1906, Camoin souscrit au genre du portrait costumé alors répandu dans les expositions. Les couleurs chatoyantes du costume, le fond de papier peint fleuri parsemé de roses produisent un accord audacieux qui n'est pas sans rappeler les portraits de Van Gogh ou de Gauguin. Un portrait de Camoin de la même période, La Cabaretière de Marnes-la-Coquette (vers 1900, Art Gallery of New South Wales) fut d'ailleurs pendant un temps attribué à Gauguin. Remarqué par l'artiste dans une publication en 1948, il en retrouva la paternité. Association des Amis d Petit-Palais, Genève.
19
<center>La Place aux Herbes à Saint-Tropez</center>CHARLES CAMOIN
1905
Huile sur toile
L'Annonciade, musée de Saint-Tropez
La Place aux Herbes à Saint-Tropez
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile L'Annonciade, musée de Saint-Tropez
20
<center>Saint-Tropez, les bateaux à la Ponche</center>HENRI MANGUIN
1904
Huile sur toile Collection particulière
Saint-Tropez, les bateaux à la Ponche
HENRI MANGUIN 1904 Huile sur toile Collection particulière
21
<center>Port de Cassis</center>CHARLES CAMOIN
1904-1905
Huile sur toile
Collection particulière
Port de Cassis
CHARLES CAMOIN 1904-1905 Huile sur toile Collection particulière
22
<center>Port de Cassis avec deux tartanes </center>CHARLES CAMOIN
vers 1905
Huile sur toile
Collection Carmen Thyssen-Bornemisza en prêt au Thyssen-Bornemisza Muséum, Madrid
Port de Cassis avec deux tartanes
CHARLES CAMOIN vers 1905 Huile sur toile Collection Carmen Thyssen-Bornemisza en prêt au Thyssen-Bornemisza Muséum, Madrid
23
<center>Port de Cassis</center>CHARLES CAMOIN
1905
Huile sur toile
Collection particulière
Port de Cassis
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile Collection particulière
24
<center>Port de Cassis </center>CHARLES CAMOIN
1905
Huile sur toile
Collection particulière, Allemagne Courtesy Galerie Jacques de la Béraudière
Port de Cassis
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile Collection particulière, Allemagne Courtesy Galerie Jacques de la Béraudière
25
<center>Coucher de soleil à Saint-Tropez.</center>Henry Manguin
Automne 1904.
Collection particulière.
Coucher de soleil à Saint-Tropez.
Henry Manguin Automne 1904. Collection particulière.
26
<center>Port de Marseille, Notre-Dame-de-la-Garde</center>CHARLES CAMOIN
1904
Huile sur toile
Alors qu'il fréquente régulièrement Cézanne, entre 1904 et 1906, Camoin peint une série de vues du port de Marseille qui porte l'empreinte du Maître d'Aix dans la solidité des plans et la construction colorée de l'espace pictural. Dans chacune des versions, le célèbre plan d'eau s'y révèle selon des tonalités variées d'un bleu profond, alors que les mâtures des grands voiliers se dressent dans l'atmosphère limpide encadrant la basilique Notre-Dame-de-la-Garde perchée sur sa colline de l'autre côté du port. Ces vues sont exposées au Salon d'Automne de 1906, puis lors de l'exposition monographique que la Galerie Kahnweiler consacre à l'artiste en avril 1908, puis à nouveau lors de l'exposition du Cercle de l'Art Moderne au Havre en 1908. Collection particulière
Port de Marseille, Notre-Dame-de-la-Garde
CHARLES CAMOIN 1904 Huile sur toile Alors qu'il fréquente régulièrement Cézanne, entre 1904 et 1906, Camoin peint une série de vues du port de Marseille qui porte l'empreinte du Maître d'Aix dans la solidité des plans et la construction colorée de l'espace pictural. Dans chacune des versions, le célèbre plan d'eau s'y révèle selon des tonalités variées d'un bleu profond, alors que les mâtures des grands voiliers se dressent dans l'atmosphère limpide encadrant la basilique Notre-Dame-de-la-Garde perchée sur sa colline de l'autre côté du port. Ces vues sont exposées au Salon d'Automne de 1906, puis lors de l'exposition monographique que la Galerie Kahnweiler consacre à l'artiste en avril 1908, puis à nouveau lors de l'exposition du Cercle de l'Art Moderne au Havre en 1908. Collection particulière
27
<center>Port de Marseille</center>CHARLES CAMOIN
1904
Huile sur toile
Le Havre, MuMa - musée d'Art moderne André Malraux
Port de Marseille
CHARLES CAMOIN 1904 Huile sur toile Le Havre, MuMa - musée d'Art moderne André Malraux
28
<center>Port de Marseille, Notre-Dame-de-la-Garde</center>CHARLES CAMOIN
vers 1904-1905
Huile sur toile
Collection particulière
Port de Marseille, Notre-Dame-de-la-Garde
CHARLES CAMOIN vers 1904-1905 Huile sur toile Collection particulière
29
<center>Port de Cassis </center>CHARLES CAMOIN
1905
Huile sur toile
Fondation Bemberg, Toulouse
Port de Cassis
CHARLES CAMOIN 1905 Huile sur toile Fondation Bemberg, Toulouse
30
<center>Port de Saint Tropez </center>ALBERT MARQUET
1905
Huile sur toile
Paris, Centre Pompidou, MNAM-CCI. Legs de M. Georges Grammont à l'Etat français en 1959, dépôt à L'Annonciade, musée de Saint-Tropez en 1972
Port de Saint Tropez
ALBERT MARQUET 1905 Huile sur toile Paris, Centre Pompidou, MNAM-CCI. Legs de M. Georges Grammont à l'Etat français en 1959, dépôt à L'Annonciade, musée de Saint-Tropez en 1972
31
<center>La Place au manège</center>CHARLES CAMOIN
1907
Huile sur toile
Marseille, musée Cantini
La Place au manège
CHARLES CAMOIN 1907 Huile sur toile Marseille, musée Cantini
32
<center>Paysage d'Espagne [Rue à Séville] </center>CHARLES CAMOIN
1907
Huile sur toile
Durant l'été 1907, Camoin séjourne en Espagne, à Madrid, Séville, Grenade puis Barcelone. Il en rapporte un ensemble de tableaux dont la plupart seront présentés en avril 1908 lors de sa première exposition personnelle dans la galerie du jeune marchand allemand, futur marchand des peintures cubistes Daniel-Henri Kahnweiler, au 28 rue Vignon à Paris. Charles Morice note dans son compte-rendu . « M. Camoin reste fidèle à l'exemple que Cézanne a donné par son attitude devant la nature mais il borne, semble borner son dessein au tableau de chevalet ; ses toiles ne sont pas des ébauches ou des échantillons de compositions vastes ; elles constituèrent l'objet précis des désirs de l'artiste : elles sont dans leurs proportions limitées, et autant qu'il est en lui, définitives. » (Charles Morice, « Exposition Charles Camoin », Mercure de France, mal 1908).
Stuttgart, Kunsthaus Buhler
Paysage d'Espagne [Rue à Séville]
CHARLES CAMOIN 1907 Huile sur toile Durant l'été 1907, Camoin séjourne en Espagne, à Madrid, Séville, Grenade puis Barcelone. Il en rapporte un ensemble de tableaux dont la plupart seront présentés en avril 1908 lors de sa première exposition personnelle dans la galerie du jeune marchand allemand, futur marchand des peintures cubistes Daniel-Henri Kahnweiler, au 28 rue Vignon à Paris. Charles Morice note dans son compte-rendu . « M. Camoin reste fidèle à l'exemple que Cézanne a donné par son attitude devant la nature mais il borne, semble borner son dessein au tableau de chevalet ; ses toiles ne sont pas des ébauches ou des échantillons de compositions vastes ; elles constituèrent l'objet précis des désirs de l'artiste : elles sont dans leurs proportions limitées, et autant qu'il est en lui, définitives. » (Charles Morice, « Exposition Charles Camoin », Mercure de France, mal 1908). Stuttgart, Kunsthaus Buhler
33
<center>Femme à la bergère </center>CHARLES CAMOIN
1908
Huile sur toile Collection particulière
Femme à la bergère
CHARLES CAMOIN 1908 Huile sur toile Collection particulière
34
<center>La Belle endormie </center>CHARLES CAMOIN
1904
Huile sur toile
Collection particulière
La Belle endormie
CHARLES CAMOIN 1904 Huile sur toile Collection particulière
35
<center>Paysage de Corse aux trois chèvres </center>CHARLES CAMOIN
1908 [1910]
Huile sur toile
Collection particulière, Allemagne Courtesy Galerie Jacques de la Béraudière
Paysage de Corse aux trois chèvres
CHARLES CAMOIN 1908 [1910] Huile sur toile Collection particulière, Allemagne Courtesy Galerie Jacques de la Béraudière
36
<center>Le Golfe vu entre les pins </center>CHARLES CAMOIN
1908 [1910]
Huile sur toile
Collection particulière
Le Golfe vu entre les pins
CHARLES CAMOIN 1908 [1910] Huile sur toile Collection particulière
37
<center>Piana, Corse</center>EMILIE CHARMY
1906 [1910]
Huile sur toile marouflée sur carton
Villefranche sur Saône, musée Paul-Dini, musée municipal. Donation Muguette et Paul Dini
Piana, Corse
EMILIE CHARMY 1906 [1910] Huile sur toile marouflée sur carton Villefranche sur Saône, musée Paul-Dini, musée municipal. Donation Muguette et Paul Dini
38
<center>L'artiste dans son atelier [Emilie a son chevalet]</center>CHARLES CAMOIN
vers 1908 Huile sur toile
Dallas. Muséum of Art Foundation for the Arts.
Collection Alfred et Juanita Bromberg, legs de Juanita K. Bcomberg.
L'artiste dans son atelier [Emilie a son chevalet]
CHARLES CAMOIN vers 1908 Huile sur toile Dallas. Muséum of Art Foundation for the Arts. Collection Alfred et Juanita Bromberg, legs de Juanita K. Bcomberg.
39
<center>La Gitane</center>CHARLES CAMOIN
 vers 1908
Huile sur toile
Ce grand portrait en pied de femme assise représente Élise Téclar, une cantatrice, qui pose également pour La Femme à la voilette et avec laquelle Camoin est en relation jusqu'en 1908. Elle pose ici costumée en mauresque. Le tableau est remarquable pour le contraste qui s'établit entre le fond vigoureusement brossé et les nuances délicates de gris et de rose du costume. Il est parmi les tableaux de l'artiste qui circulent dans les grandes manifestations internationales d'avant-garde en Europe, présenté au Salon d'automne à Paris en 1909, à la Société Manès de Prague en 1910 puis à la Sécession de Berlin en 1911.
Association des Amis du Petit-Palais, Genève.
La Gitane
CHARLES CAMOIN vers 1908 Huile sur toile Ce grand portrait en pied de femme assise représente Élise Téclar, une cantatrice, qui pose également pour La Femme à la voilette et avec laquelle Camoin est en relation jusqu'en 1908. Elle pose ici costumée en mauresque. Le tableau est remarquable pour le contraste qui s'établit entre le fond vigoureusement brossé et les nuances délicates de gris et de rose du costume. Il est parmi les tableaux de l'artiste qui circulent dans les grandes manifestations internationales d'avant-garde en Europe, présenté au Salon d'automne à Paris en 1909, à la Société Manès de Prague en 1910 puis à la Sécession de Berlin en 1911. Association des Amis du Petit-Palais, Genève.
40
<center>Notre-Dame vue du Pont de l'Archevêché</center>CHARLES CAMOIN
vers 1908
Huile sur toile Collection particulière
Notre-Dame vue du Pont de l'Archevêché
CHARLES CAMOIN vers 1908 Huile sur toile Collection particulière
41
<center>L'Extérieur du Moulin-Rouge [Le Moulin-Rouge aux fiacres]</center>CHARLES CAMOIN
1910
Huile sur toile
Paris. Centre Pompidou. MNAM-CCI. Donation de M. Charles Wakefield-Mori en 1939, dépôt au musée des Beaux-Arts de Menton. 1961
L'Extérieur du Moulin-Rouge [Le Moulin-Rouge aux fiacres]
CHARLES CAMOIN 1910 Huile sur toile Paris. Centre Pompidou. MNAM-CCI. Donation de M. Charles Wakefield-Mori en 1939, dépôt au musée des Beaux-Arts de Menton. 1961
42
<center>L’Indochinoise </center>CHARLES CAMOIN 
1904[1908]
Huile sur toile
Collection particulière
L’Indochinoise
CHARLES CAMOIN 1904[1908] Huile sur toile Collection particulière
43
<center>Paysage de Corse </center>CHARLES CAMOIN
1910
Huile sur toile
Collection Dr. Michael Noth, Fine Art, Ansbach, Allemagne
Paysage de Corse
CHARLES CAMOIN 1910 Huile sur toile Collection Dr. Michael Noth, Fine Art, Ansbach, Allemagne
44
<center>Voilier dans le port de Cassis </center>CHARLES CAMOIN
vers1913
Huile sur toile Collection particulière
Voilier dans le port de Cassis
CHARLES CAMOIN vers1913 Huile sur toile Collection particulière
45
<center>Baie de Porquerolles</center>CHARLES CAMOIN
vers 1906 [vers 1908]
Huile sur toile
Collection particulière, Allemagne
Baie de Porquerolles
CHARLES CAMOIN vers 1906 [vers 1908] Huile sur toile Collection particulière, Allemagne
46
<center>Les Calanques de Piana </center>CHARLES CAMOIN
1910
Huile sur toile Collection
Les Calanques de Piana
CHARLES CAMOIN 1910 Huile sur toile Collection
47
<center>Marocains dans une rue </center>CHARLES CAMOIN
1913
Huile sur toile
Collection particulière
Marocains dans une rue
CHARLES CAMOIN 1913 Huile sur toile Collection particulière
48
<center>Minaret à Tanger</center>CHARLES CAMOIN
1913
Huile sur toile
Musée de Grenoble. Legs Agutte-Sembat, 1923
Minaret à Tanger
CHARLES CAMOIN 1913 Huile sur toile Musée de Grenoble. Legs Agutte-Sembat, 1923
49
<center>Plage à Tanger </center>CHARLES CAMOIN
1912-1913
Huile sur toile
Durant son séjour à Tanger, Camoin peint de nombreuses vues de la vieille ville ainsi que de la grande plage. Elle est ici l'occasion d'une transposition colorée qui restitue tout à la fois l'atmosphère lumineuse presque « poudrée » du lieu et étage les plans de manière dynamique. Par comparaison, la Vue de la baie de Tanger par Matisse, prise des hauteurs, nettement plus panoramique, accorde plus d'importance à l'architecture de la ville et à l'emboîtement des toits dans la profondeur. Elle correspond à la vue qui apparaît à l'arrière-plan du grand tableau de Delacroix, L'Entrée des Croisés à Constantinople (1840, musée du Louvre, Paris). Delacroix demeure en effet pour Camoin, comme pour Matisse, une référence constante, surtout lors de leur séjour au Maroc où séjourna l'artiste en 1832 avec la mission du Comte de Mornay.
Paris, musée du Quai Branly. Dépôt au musée des Années Trente, Boulogne-Billancourt
Plage à Tanger
CHARLES CAMOIN 1912-1913 Huile sur toile Durant son séjour à Tanger, Camoin peint de nombreuses vues de la vieille ville ainsi que de la grande plage. Elle est ici l'occasion d'une transposition colorée qui restitue tout à la fois l'atmosphère lumineuse presque « poudrée » du lieu et étage les plans de manière dynamique. Par comparaison, la Vue de la baie de Tanger par Matisse, prise des hauteurs, nettement plus panoramique, accorde plus d'importance à l'architecture de la ville et à l'emboîtement des toits dans la profondeur. Elle correspond à la vue qui apparaît à l'arrière-plan du grand tableau de Delacroix, L'Entrée des Croisés à Constantinople (1840, musée du Louvre, Paris). Delacroix demeure en effet pour Camoin, comme pour Matisse, une référence constante, surtout lors de leur séjour au Maroc où séjourna l'artiste en 1832 avec la mission du Comte de Mornay. Paris, musée du Quai Branly. Dépôt au musée des Années Trente, Boulogne-Billancourt
50
<center>Campagne d’Aix</center>vers 1960 Aquarelle et encre sur papier
Campagne d’Aix
vers 1960 Aquarelle et encre sur papier
51
<center>Route</center>vers 1960 Aquarelle sur papier
Route
vers 1960 Aquarelle sur papier
52
<center>Plage</center>vers 1930 Aquarelle sur papier
Plage
vers 1930 Aquarelle sur papier
53
<center>Soldat</center>1914-1916
Pastel sur papier
Soldat
1914-1916 Pastel sur papier
54
<center>Les Tartanes, voiles au sec dans le port de Saint-Tropez</center>CHARLES CAMOIN
1925
Huile sur toile Collection particulière
Les Tartanes, voiles au sec dans le port de Saint-Tropez
CHARLES CAMOIN 1925 Huile sur toile Collection particulière
55
<center>Saint-Tropez, la Place des Lices et le Café des Arts </center>CHARLES CAMOIN
vers 1923
Huile sur toile
L’Annonciade. Musée de Saint-Tropez.
Saint-Tropez, la Place des Lices et le Café des Arts
CHARLES CAMOIN vers 1923 Huile sur toile L’Annonciade. Musée de Saint-Tropez.
56
<center>Le Printemps </center>CHARLES CAMOIN
1921
Huile sur toile Collection particulière
Le Printemps
CHARLES CAMOIN 1921 Huile sur toile Collection particulière
57
<center>Ma Chambre au Brusc</center>CHARLES CAMOIN
vers 1920
Huile sur toile Collection particulière
Ma Chambre au Brusc
CHARLES CAMOIN vers 1920 Huile sur toile Collection particulière
58
<center>Lola à l'ombrelle jaune </center>CHARLES CAMOIN
1920
Huile sur toile
Marseille, musée Cantini
Lola à l'ombrelle jaune
CHARLES CAMOIN 1920 Huile sur toile Marseille, musée Cantini
59
<center>Tempête à Nice </center>HENRI MATISSE
1919-1920
Huile sur toile
Nice, musée Matisse. Legs de Madame Henri Matisse 1960.
Tempête à Nice
HENRI MATISSE 1919-1920 Huile sur toile Nice, musée Matisse. Legs de Madame Henri Matisse 1960.
60
<center>Sur la Terrasse à Valflor </center>CHARLES CAMOIN
1921
Huile sur toile Collection particulière
Sur la Terrasse à Valflor
CHARLES CAMOIN 1921 Huile sur toile Collection particulière
61
<center>Lola sur la terrasse </center>CHARLES CAMOIN
1920
Huile sur toile
Nous sommes durant l'hiver 1920-1921 à Toulon, l'Hôtel Bellevue dont les fenêtres donnent sur la mer. Camoin vient de se marier avec Charlotte rencontrée à Paris quelques mois auparavant, juste après sa démobilisation. Le couple ne tarde pas à gagner le Midi et séjourne d'abord dans les environs de Cannes et Toulon. Ce petit tableau très lumineux marque le retour dans ces années 1920 à la veine intimiste de la période 1900. Installé à Nice depuis 1917, Matisse développe dans ses intérieurs de chambres d’hôtel aux grandes persiennes ouvertes sur le bleu marin une veine tout à fait proche.
Collection particulière
Lola sur la terrasse
CHARLES CAMOIN 1920 Huile sur toile Nous sommes durant l'hiver 1920-1921 à Toulon, l'Hôtel Bellevue dont les fenêtres donnent sur la mer. Camoin vient de se marier avec Charlotte rencontrée à Paris quelques mois auparavant, juste après sa démobilisation. Le couple ne tarde pas à gagner le Midi et séjourne d'abord dans les environs de Cannes et Toulon. Ce petit tableau très lumineux marque le retour dans ces années 1920 à la veine intimiste de la période 1900. Installé à Nice depuis 1917, Matisse développe dans ses intérieurs de chambres d’hôtel aux grandes persiennes ouvertes sur le bleu marin une veine tout à fait proche. Collection particulière
62
<center>Terrasse à Saint-Tropez</center>CHARLES CAMOIN
1937.
Centre national des arts plastiques. Dépôt au musée des Beaux-Arts de Nice, 1952.
Terrasse à Saint-Tropez
CHARLES CAMOIN 1937. Centre national des arts plastiques. Dépôt au musée des Beaux-Arts de Nice, 1952.
63
<center>Saint-Tropez, voilier blanc dans la baie des Canoubiers </center>CHARLES CAMOIN
1939
Collection particulière
Saint-Tropez, voilier blanc dans la baie des Canoubiers
CHARLES CAMOIN 1939 Collection particulière
64
<center>Baie de Saint-Tropez, le Favouillou </center>CHARLES CAMOIN
1941
Huile sur toile
Collection particulière
Baie de Saint-Tropez, le Favouillou
CHARLES CAMOIN 1941 Huile sur toile Collection particulière
65
<center>Plat de fruits et branche d'oranges</center>CHARLES CAMOIN
1908
Huile sur toile Collection particulière
Plat de fruits et branche d'oranges
CHARLES CAMOIN 1908 Huile sur toile Collection particulière
66
<center>Chapelle des pénitents blancs des Carmes.</center>
Chapelle des pénitents blancs des Carmes.
67
<center>Chapelle des pénitents blancs des Carmes.</center>
Chapelle des pénitents blancs des Carmes.
68
<center>Bouquet de fleurs.</center>Vincent Van Gogh, 1853 – 1890. Été 1886.
Huile sur toile.
Bouquet de fleurs.
Vincent Van Gogh, 1853 – 1890. Été 1886. Huile sur toile.
69
<center>Le Sauvetage.</center>PABLO PICASSO 1881-1973
1933. Huile sur toile
Le Sauvetage.
PABLO PICASSO 1881-1973 1933. Huile sur toile
70
<center>Affiche dédicacée à Jean Planque</center>PABLO PICASSO 1881-1973
1970
CRAYONS DE COULEUR SUR LITHOGRAPHIE SUR PAPIER
Affiche dédicacée à Jean Planque
PABLO PICASSO 1881-1973 1970 CRAYONS DE COULEUR SUR LITHOGRAPHIE SUR PAPIER
71
<center>Femme au corsage</center>PABLO PICASSO 1881-1973
1958. Lithographie.
Femme au corsage
PABLO PICASSO 1881-1973 1958. Lithographie.
72
<center>Femme au miroir</center>PABLO PICASSO 1881-1973
1959. Huile et ripolin sur toile
Femme au miroir
PABLO PICASSO 1881-1973 1959. Huile et ripolin sur toile
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<center>Le pont de Meulan.</center>Roger de la Fresnaye 1885 – 1925.
1911 – 1912. Huile sur toile.
Le pont de Meulan.
Roger de la Fresnaye 1885 – 1925. 1911 – 1912. Huile sur toile.
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<center>L'Escalier du Cannet</center>PIERRE BONNARD 1867-1947
1946 HUILE ET CRAYON SUR PANNEAU
Ce tableau était l'un des préférés de Jean Planque. Il l'aimait par-dessus tout parce que s'y trouvaient réunis tout ensemble l'enfance, la lumière de l'été et l'abondance des fleurs : « Ce matin-là, écrit-il, le Bonnard m'est apparu tout miraculeux de ce paradis terrestre enfantin retrouvé. Bonnard a peint mon
L'Escalier du Cannet
PIERRE BONNARD 1867-1947 1946 HUILE ET CRAYON SUR PANNEAU Ce tableau était l'un des préférés de Jean Planque. Il l'aimait par-dessus tout parce que s'y trouvaient réunis tout ensemble l'enfance, la lumière de l'été et l'abondance des fleurs : « Ce matin-là, écrit-il, le Bonnard m'est apparu tout miraculeux de ce paradis terrestre enfantin retrouvé. Bonnard a peint mon "Paradis terrestre" [...] On y sent l'émotion vraie d'une admirable nature émotive de l'œil. [...] Tout est lumière et bonheur. Exaltation de l'émotion créatrice d'accords colorés extraor¬dinaires. Le plaisir que l'on prend à regarder ces œuvres est tel, qu'on en est tout plein de grâce, comme si la lumière était en nous. Nous devenons lumière. »
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<center>Retour au logis</center>JEAN DUBUFFET 1901-1985
1959
HUILE SUR TOILE (ASSEMBLAGE DE MORCEAUX DE TOILES DÉCOUPÉES)
Retour au logis
JEAN DUBUFFET 1901-1985 1959 HUILE SUR TOILE (ASSEMBLAGE DE MORCEAUX DE TOILES DÉCOUPÉES)
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