Les environs de Rueil Malmaison

Etang de Saint-Cucufa, la machine de Marly, la maison Fournaise, le château de Monte-Cristo, la datcha de Tourgueniev, Auvers-sur-Oise, la maison de Claude Monet à Giverny.

<center>Etang de Saint-Cucufa. </center> Le bois de Saint-Cucufa avec son étang est la propriété de l’État depuis 1871. À la fin du XIIe siècle, les bénédictins y construisent une chapelle, aujourd’hui disparue, dédiée à saint Cucufa.
Etang de Saint-Cucufa.
Le bois de Saint-Cucufa avec son étang est la propriété de l’État depuis 1871. À la fin du XIIe siècle, les bénédictins y construisent une chapelle, aujourd’hui disparue, dédiée à saint Cucufa.
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<center>Etang de Saint-Cucufa. </center> En avril 1799, Joséphine Bonaparte acquiert la propriété, l’étang et les bois jusqu’au pavillon du Butard. Près de l’étang, elle crée une vacherie et une laiterie. Malgré leur divorce, Napoléon Ier lui laisse le château de Malmaison et les bois environnants de Saint-Cucufa. C'est d'ailleurs en se promenant le long de ce lac, un soir de grand froid et vêtue très légèrement, qu'elle contracta la pneumonie qui l'emporta. Puis, le domaine passe de mains en mains au gré des successions et ventes à des promoteurs-spéculateurs. Napoléon III qui reconstitue patiemment les propriétés chères à Napoléon Ier, reprend possession de la Malmaison et de Saint-Cucufa par un échange de terrains en novembre 1856. L'État se retrouve en possession des bois et de l'étang en 1871. Le bois de Saint-Cucufa est aujourd'hui un lieu privilégié de promenades pour les habitants des alentours.
Etang de Saint-Cucufa.
En avril 1799, Joséphine Bonaparte acquiert la propriété, l’étang et les bois jusqu’au pavillon du Butard. Près de l’étang, elle crée une vacherie et une laiterie. Malgré leur divorce, Napoléon Ier lui laisse le château de Malmaison et les bois environnants de Saint-Cucufa. C'est d'ailleurs en se promenant le long de ce lac, un soir de grand froid et vêtue très légèrement, qu'elle contracta la pneumonie qui l'emporta. Puis, le domaine passe de mains en mains au gré des successions et ventes à des promoteurs-spéculateurs. Napoléon III qui reconstitue patiemment les propriétés chères à Napoléon Ier, reprend possession de la Malmaison et de Saint-Cucufa par un échange de terrains en novembre 1856. L'État se retrouve en possession des bois et de l'étang en 1871. Le bois de Saint-Cucufa est aujourd'hui un lieu privilégié de promenades pour les habitants des alentours.
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<center>Etang de Saint-Cucufa. </center> Nénuphar et héron.
Etang de Saint-Cucufa.
Nénuphar et héron.
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<center>Etang de Saint-Cucufa. </center>
Etang de Saint-Cucufa.
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<center>Etang de Saint-Cucufa. </center> Poule d'eau.
Etang de Saint-Cucufa.
Poule d'eau.
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<center>Etang de Saint-Cucufa. </center>
Etang de Saint-Cucufa.
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<center>La machine de Marly. </center> La machine de Marly à Bougival est un gigantesque dispositif de pompage des eaux de la Seine destiné à l’alimentation hydraulique des jardins du château de Marly et du parc de Versailles. Bâtiment Charles X abritant la machine à vapeur de Cecile et Martin.
La machine de Marly.
La machine de Marly à Bougival est un gigantesque dispositif de pompage des eaux de la Seine destiné à l’alimentation hydraulique des jardins du château de Marly et du parc de Versailles. Bâtiment Charles X abritant la machine à vapeur de Cecile et Martin.
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<center>La machine de Marly. </center> Départ de la canalisation de la première machine de Marly.
La machine de Marly.
Départ de la canalisation de la première machine de Marly.
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<center>La machine de Marly. </center> Site de l'ancienne machine de Marly aujourd'hui, vu de l'aval. L'édifice sur la Seine, vestige de la Machine de Dufrayer. Ce petit édifice, construit au milieu de la Seine, servait à remiser les « aiguilles », lattes de bois de 3,20 m de longueur, posées les unes à côté des autres qui régulaient le débit de la Seine. Alfred Sisley, en 1876, a fait un tableau à partir de cet endroit.
La machine de Marly.
Site de l'ancienne machine de Marly aujourd'hui, vu de l'aval. L'édifice sur la Seine, vestige de la Machine de Dufrayer. Ce petit édifice, construit au milieu de la Seine, servait à remiser les « aiguilles », lattes de bois de 3,20 m de longueur, posées les unes à côté des autres qui régulaient le débit de la Seine. Alfred Sisley, en 1876, a fait un tableau à partir de cet endroit.
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<center>La machine de Marly. </center> Les écluses de Bougival.
La machine de Marly.
Les écluses de Bougival.
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<center>La machine de Marly. </center> Les écluses de Bougival.
La machine de Marly.
Les écluses de Bougival.
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<center>La maison Fournaise. </center> Dès la première moitié du 19ème siècle, la mode du canotage gagne la Seine, d’Argenteuil à Bougival.
En 1837, l’inauguration de la première ligne de chemin de fer française : Paris-Saint-Lazare/Le Pecq, village niché au pied de la terrasse de Saint-Germain-en-Laye, multiplie encore le nombre des Parisiens venus se divertir, le dimanche au bord de l’eau.
La maison Fournaise.
Dès la première moitié du 19ème siècle, la mode du canotage gagne la Seine, d’Argenteuil à Bougival. En 1837, l’inauguration de la première ligne de chemin de fer française : Paris-Saint-Lazare/Le Pecq, village niché au pied de la terrasse de Saint-Germain-en-Laye, multiplie encore le nombre des Parisiens venus se divertir, le dimanche au bord de l’eau.
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<center>La maison Fournaise. </center> En 1857, Alphonse Fournaise, issu d’une famille de mariniers et de charpentiers de bateaux fixée à Chatou, achète à un de ses cousins la première maison Fournaise construite en 1844 au pied de l’ancien pont routier, aujourd’hui disparu.
Très vite, les ventes et locations de bachots et de yoles prospèrent en 1860, Alphonse Fournaise lance l’Hôtel-Restaurant qui porte son nom. Dès lors, il développe les fêtes nautiques, dont de mémorables joutes. Madame Fournaise veille à la cuisine. Alphonse fils aide les dames à embarquer et Alphonsine, bientôt modèle choyé des peintres, soigne l’accueil de la clientèle.
La maison Fournaise.
En 1857, Alphonse Fournaise, issu d’une famille de mariniers et de charpentiers de bateaux fixée à Chatou, achète à un de ses cousins la première maison Fournaise construite en 1844 au pied de l’ancien pont routier, aujourd’hui disparu. Très vite, les ventes et locations de bachots et de yoles prospèrent en 1860, Alphonse Fournaise lance l’Hôtel-Restaurant qui porte son nom. Dès lors, il développe les fêtes nautiques, dont de mémorables joutes. Madame Fournaise veille à la cuisine. Alphonse fils aide les dames à embarquer et Alphonsine, bientôt modèle choyé des peintres, soigne l’accueil de la clientèle.
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<center>La maison Fournaise. </center> En 1868, Pierre- Auguste Renoir qui fuit l’agitation de la Grenouillère, à Croissy-sur- Seine, découvre le restaurant Fournaise sous la conduite du Prince Bibesco. Avide de grand air et envoûté comme ses amis, Claude Monet, Edgar Degas ou Gustave Caillebotte, par les reflets de la lumière sur l’eau, il trouve à Chatou une inspiration toujours neuve. En 1875, Pierre-Auguste Renoir fait le portrait du Père Fournaise et en en 1879, celui d’Alphonsine, aujourd’hui au Musée d’Orsay. L'été 1880 et durant plus de six mois, Pierre-Auguste Renoir travaille à la vaste composition du “Déjeuner des Canotiers” qui semble pourtant prise sur le vif.
La maison Fournaise.
En 1868, Pierre- Auguste Renoir qui fuit l’agitation de la Grenouillère, à Croissy-sur- Seine, découvre le restaurant Fournaise sous la conduite du Prince Bibesco. Avide de grand air et envoûté comme ses amis, Claude Monet, Edgar Degas ou Gustave Caillebotte, par les reflets de la lumière sur l’eau, il trouve à Chatou une inspiration toujours neuve. En 1875, Pierre-Auguste Renoir fait le portrait du Père Fournaise et en en 1879, celui d’Alphonsine, aujourd’hui au Musée d’Orsay. L'été 1880 et durant plus de six mois, Pierre-Auguste Renoir travaille à la vaste composition du “Déjeuner des Canotiers” qui semble pourtant prise sur le vif.
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<center>La maison Fournaise. </center>
La maison Fournaise.
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<center>La maison Fournaise. </center>
La maison Fournaise.
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<center>La maison Fournaise. </center> Vers 1900, la vogue du vélo remplace celle du canot. Alphonse père disparaît en 1905 et Alphonsine ferme le restaurant peu après. Elle décède à son tour en 1937, ruinée dit-on par les emprunts russes et après avoir intenté un procès à la ville de Paris pour la pollution des eaux de la Seine.
En 1914, les derniers feux du Bal de la Grenouillère de Croissy-sur-Seine et du Bal des Canotiers de Bougival s’éteignent à leur tour.
La maison Fournaise.
Vers 1900, la vogue du vélo remplace celle du canot. Alphonse père disparaît en 1905 et Alphonsine ferme le restaurant peu après. Elle décède à son tour en 1937, ruinée dit-on par les emprunts russes et après avoir intenté un procès à la ville de Paris pour la pollution des eaux de la Seine. En 1914, les derniers feux du Bal de la Grenouillère de Croissy-sur-Seine et du Bal des Canotiers de Bougival s’éteignent à leur tour.
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<center>Croissy sur Seine. </center> Chapelle Saint-Léonard-et-Saint-Martin
Croissy sur Seine.
Chapelle Saint-Léonard-et-Saint-Martin
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<center>Le château de Monte-Cristo. </center> Le château de Monte-Cristo est la demeure que l'écrivain Alexandre Dumas se fit construire en 1846 par l'architecte Hippolyte Durand dans un parc de neuf hectares, aménagé dans le style anglais, au Port-Marly. C'est un château dans un style néo-Renaissance, accompagné d'un cabinet de travail (le château d'If) dans un style néogothique, entouré d’un parc à l’anglaise avec de l’eau, des grottes, des rocailles.
Le château de Monte-Cristo.
Le château de Monte-Cristo est la demeure que l'écrivain Alexandre Dumas se fit construire en 1846 par l'architecte Hippolyte Durand dans un parc de neuf hectares, aménagé dans le style anglais, au Port-Marly. C'est un château dans un style néo-Renaissance, accompagné d'un cabinet de travail (le château d'If) dans un style néogothique, entouré d’un parc à l’anglaise avec de l’eau, des grottes, des rocailles.
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<center>Le château d'if. </center> Sur une petite île, Alexandre Dumas se fit construire le Château d'if, qui lui servit de lieu de travail et de refuge. Il est séparé du reste de la maison. Il s'agit d'un minuscule château au style néogothique, érigé sur un petit îlot. Les titres des œuvres de Dumas sont inscrits sur la façade.
Le château d'if.
Sur une petite île, Alexandre Dumas se fit construire le Château d'if, qui lui servit de lieu de travail et de refuge. Il est séparé du reste de la maison. Il s'agit d'un minuscule château au style néogothique, érigé sur un petit îlot. Les titres des œuvres de Dumas sont inscrits sur la façade.
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<center>Le château d'if. </center> Les titres des œuvres de Dumas sont inscrits sur la façade.
Le château d'if.
Les titres des œuvres de Dumas sont inscrits sur la façade.
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<center>Datcha Tourgueniev. </center> À la fin des années 1870, de retour en France, Ivan Tourgueniev se fait construire cette datcha. Il y habite pendant les mois d’été et d’automne, de 1875 jusqu’à ses derniers jours : atteint d’un cancer à la moelle épinière, il meurt dans le cabinet à balcon du premier étage le 3 septembre 1883. Aujourd'hui, elle abrite le musée Ivan-Tourgueniev.
Datcha Tourgueniev.
À la fin des années 1870, de retour en France, Ivan Tourgueniev se fait construire cette datcha. Il y habite pendant les mois d’été et d’automne, de 1875 jusqu’à ses derniers jours : atteint d’un cancer à la moelle épinière, il meurt dans le cabinet à balcon du premier étage le 3 septembre 1883. Aujourd'hui, elle abrite le musée Ivan-Tourgueniev.
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<center>Datcha Tourgueniev. </center>
Datcha Tourgueniev.
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<center>Datcha Tourgueniev. </center>
Datcha Tourgueniev.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. fut rendue mondialement célèbre par Vincent van Gogh qui l'a représentée sur une de ses toiles (aujourd'hui au musée d'Orsay). Cette église vexinoise fut érigée aux XIIe siècle et XIIIe siècle.Le chœur et le transept sont les parties les plus anciennes de l'édifice, la nef fut construite vers 1220. Le chevet fut ensuite repris vers 1260 et ses fenêtres agrandies. En 1822, la municipalité verse les fonds nécessaires à la consolidation des huit arcs-boutants qui menaçaient les voûtes de l'église par leur vétusté. En 1850, la sacristie est ajoutée.
Auvers-sur-Oise.
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. fut rendue mondialement célèbre par Vincent van Gogh qui l'a représentée sur une de ses toiles (aujourd'hui au musée d'Orsay). Cette église vexinoise fut érigée aux XIIe siècle et XIIIe siècle.Le chœur et le transept sont les parties les plus anciennes de l'édifice, la nef fut construite vers 1220. Le chevet fut ensuite repris vers 1260 et ses fenêtres agrandies. En 1822, la municipalité verse les fonds nécessaires à la consolidation des huit arcs-boutants qui menaçaient les voûtes de l'église par leur vétusté. En 1850, la sacristie est ajoutée.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. L’abside à pans coupés est ornée d’une corniche beauvaisine.
Auvers-sur-Oise.
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. L’abside à pans coupés est ornée d’une corniche beauvaisine.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. A la croisée du transept s’élève la tour du clocher carrée, percée sur chaque face de deux baies, avec un toit en bâtière, modèle courant en Ile-de-France.
Auvers-sur-Oise.
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. A la croisée du transept s’élève la tour du clocher carrée, percée sur chaque face de deux baies, avec un toit en bâtière, modèle courant en Ile-de-France.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. Au XVIIe siècle, l'édifice est entouré d'une enceinte qui renforce les murailles existantes et l'escalier extérieur est aménagé
Auvers-sur-Oise.
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. Au XVIIe siècle, l'édifice est entouré d'une enceinte qui renforce les murailles existantes et l'escalier extérieur est aménagé
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<center>Auvers-sur-Oise. </center>
Auvers-sur-Oise.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> La nef est la partie de l’édifice qui présente la plus grande unité. Son élévation de trois niveaux est composée de grandes arcades rythmées par des colonnes monocylindriques à chapiteaux romans feuillagés du XIIe siècle. Au second niveau on retrouve le triforium, fréquent dans les constructions de la première moitié du XIIIe siècle. Le niveau supérieur est éclairé de simples fenêtres. La nef est dallée avec d'anciennes pierres tombales retournées, provenant du cimetière attenant désaffecté.
Auvers-sur-Oise.
La nef est la partie de l’édifice qui présente la plus grande unité. Son élévation de trois niveaux est composée de grandes arcades rythmées par des colonnes monocylindriques à chapiteaux romans feuillagés du XIIe siècle. Au second niveau on retrouve le triforium, fréquent dans les constructions de la première moitié du XIIIe siècle. Le niveau supérieur est éclairé de simples fenêtres. La nef est dallée avec d'anciennes pierres tombales retournées, provenant du cimetière attenant désaffecté.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center>
Auvers-sur-Oise.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> La rosace flamboyante, abîmée par un orage, a été refaite en 1876. Elle  rosace est entourée d'une doucine reliée à un tore, ainsi que d'un rang de crochets. Son remplage néo-gothique de 1876 est formée par douze arcatures à têtes trilobées disposées concentriquement autour d'un oculus central, les écoinçons étant ajourés.
Auvers-sur-Oise.
La rosace flamboyante, abîmée par un orage, a été refaite en 1876. Elle rosace est entourée d'une doucine reliée à un tore, ainsi que d'un rang de crochets. Son remplage néo-gothique de 1876 est formée par douze arcatures à têtes trilobées disposées concentriquement autour d'un oculus central, les écoinçons étant ajourés.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> La chapelle de la Vierge. La statue de la Vierge à l'Enfant remonte au XIVe siècle et était placée longtemps sur le trumeau du portail méridional jusqu'à la Révolution. L’autel est en bois enluminé. Le vitrail représente l'Annonciatio, en bas et la Nativité en haut.
Auvers-sur-Oise.
La chapelle de la Vierge. La statue de la Vierge à l'Enfant remonte au XIVe siècle et était placée longtemps sur le trumeau du portail méridional jusqu'à la Révolution. L’autel est en bois enluminé. Le vitrail représente l'Annonciatio, en bas et la Nativité en haut.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> Le cimetière se trouvait initialement sur le terre-plein immédiatement au sud de l'église. Devenu bien trop exigu pour la population d'alors, il fut déplacé au nord du village en 1858 et les tombes anciennes transférées en 1875. Il est célèbre pour les tombes de Vincent van Gogh et de son frère Théo, situées au fond du cimetière côté nord, contre le mur d'enceinte. Le 30 juillet 1890, Vincent est inhumé au cimetière d’Auvers, entouré de ses proches et de ses amis, dont le Docteur Gachet, Bernard, Lucien Pissarro et le Père Tanguy. Six mois plus tard, Théo, bouleversé et gravement malade, meurt en Hollande.
Johanna le fait enterrer en 1914 aux côtés de Vincent.
Auvers-sur-Oise.
Le cimetière se trouvait initialement sur le terre-plein immédiatement au sud de l'église. Devenu bien trop exigu pour la population d'alors, il fut déplacé au nord du village en 1858 et les tombes anciennes transférées en 1875. Il est célèbre pour les tombes de Vincent van Gogh et de son frère Théo, situées au fond du cimetière côté nord, contre le mur d'enceinte. Le 30 juillet 1890, Vincent est inhumé au cimetière d’Auvers, entouré de ses proches et de ses amis, dont le Docteur Gachet, Bernard, Lucien Pissarro et le Père Tanguy. Six mois plus tard, Théo, bouleversé et gravement malade, meurt en Hollande. Johanna le fait enterrer en 1914 aux côtés de Vincent.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center>
Auvers-sur-Oise.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> Léon Fagel, Monument à Charles-François Daubigny (1906).
Auvers-sur-Oise.
Léon Fagel, Monument à Charles-François Daubigny (1906).
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> Monument à Van Gogh, par Zadkine.
Auvers-sur-Oise.
Monument à Van Gogh, par Zadkine.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> Mairie d'Auvers-sur-Oise, peint par Van Gogh..
Auvers-sur-Oise.
Mairie d'Auvers-sur-Oise, peint par Van Gogh..
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> L'auberge Ravoux et sa façade peinte vit arriver, en mai 1890, Vincent van Gogh qui y loua une petite chambre modeste sous les toits, éclairée uniquement par une lucarne. Il acquittait pour cette chambre et un repas quotidien la somme de 3,50 francs par jour. Il y séjourna les neuf dernières semaines de sa vie. Ramené blessé d'une balle qu'il s'était lui-même tiré en plein champ, le peintre y mourut trois jours plus tard le 29 juillet 1890.
Auvers-sur-Oise.
L'auberge Ravoux et sa façade peinte vit arriver, en mai 1890, Vincent van Gogh qui y loua une petite chambre modeste sous les toits, éclairée uniquement par une lucarne. Il acquittait pour cette chambre et un repas quotidien la somme de 3,50 francs par jour. Il y séjourna les neuf dernières semaines de sa vie. Ramené blessé d'une balle qu'il s'était lui-même tiré en plein champ, le peintre y mourut trois jours plus tard le 29 juillet 1890.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> Le manoir des Colombières.
Auvers-sur-Oise.
Le manoir des Colombières.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> Le pont de la rue Daubigny remonte au XIIe siècle ou XIIIe siècle et constitue l'un des derniers vestiges d'une ancienne ferme seigneuriale. La reine Adèlaïde de Savoie, veuve de Louis le Gros, s'établit sur ce domaine en 1137 avant de se remarier.
Auvers-sur-Oise.
Le pont de la rue Daubigny remonte au XIIe siècle ou XIIIe siècle et constitue l'un des derniers vestiges d'une ancienne ferme seigneuriale. La reine Adèlaïde de Savoie, veuve de Louis le Gros, s'établit sur ce domaine en 1137 avant de se remarier.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> Le musée de l'Absinthe, rue Callé, expose l'histoire de cette boisson interdite en 1915 et qui fut la « muse verte » de nombreux artistes du XIXe siècle.
Auvers-sur-Oise.
Le musée de l'Absinthe, rue Callé, expose l'histoire de cette boisson interdite en 1915 et qui fut la « muse verte » de nombreux artistes du XIXe siècle.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center> La Maison du Pendu, motif peint par Cézanne..
Auvers-sur-Oise.
La Maison du Pendu, motif peint par Cézanne..
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<center>Auvers-sur-Oise. </center>Château d'Auvers ou château de Léry. Le château d'Auvers a été construit en 1635 par un banquier italien, Zaboni Lioni, de la suite de Marie de Médicis. À la fin du siècle, il devient la propriété de Jean de Léry, conseiller du Roi, qui transforme le pavillon à l’italienne en un château à la française. Jean de Léry est à la fois conseiller, maître d'hôtel du roi, et trésorier général de France.  En 1756, le château subit une transformation complète La façade nord de style Louis XIII est maintenue.
Auvers-sur-Oise.
Château d'Auvers ou château de Léry. Le château d'Auvers a été construit en 1635 par un banquier italien, Zaboni Lioni, de la suite de Marie de Médicis. À la fin du siècle, il devient la propriété de Jean de Léry, conseiller du Roi, qui transforme le pavillon à l’italienne en un château à la française. Jean de Léry est à la fois conseiller, maître d'hôtel du roi, et trésorier général de France. En 1756, le château subit une transformation complète La façade nord de style Louis XIII est maintenue.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center>Château d'Auvers ou château de Léry. Au sud, on y adjoint deux pavillons supplémentaires.
Auvers-sur-Oise.
Château d'Auvers ou château de Léry. Au sud, on y adjoint deux pavillons supplémentaires.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center>Château d'Auvers ou château de Léry. En  1997, la façade sud et les jardins à la française seront entièrement redessinés d'après une gravure du XVIIIe siècle, avec ses broderies de buis et ses fontaines.
Auvers-sur-Oise.
Château d'Auvers ou château de Léry. En 1997, la façade sud et les jardins à la française seront entièrement redessinés d'après une gravure du XVIIIe siècle, avec ses broderies de buis et ses fontaines.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center>Château d'Auvers ou château de Léry. En  1997, la façade sud et les jardins à la française seront entièrement redessinés d'après une gravure du XVIIIe siècle, avec ses broderies de buis et ses fontaines.
Auvers-sur-Oise.
Château d'Auvers ou château de Léry. En 1997, la façade sud et les jardins à la française seront entièrement redessinés d'après une gravure du XVIIIe siècle, avec ses broderies de buis et ses fontaines.
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<center>Auvers-sur-Oise. </center>Château d'Auvers ou château de Léry. En  1997, la façade sud et les jardins à la française seront entièrement redessinés d'après une gravure du XVIIIe siècle, avec ses broderies de buis et ses fontaines.
Auvers-sur-Oise.
Château d'Auvers ou château de Léry. En 1997, la façade sud et les jardins à la française seront entièrement redessinés d'après une gravure du XVIIIe siècle, avec ses broderies de buis et ses fontaines.
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<center>Claude Monet à Giverny. </center> En 1890; Claude Monet achète la propriété de Giverny, dans laquelle il crée son jardin et fait creuser un étang en détournant le cours de la petite rivière de l’Epte. Abordés à la fin des années 90, les thèmes de l’eau, de l’étang, des paysages aquatiques et du jardin scandent presque 40 ans de création du peintre.
Claude Monet à Giverny.
En 1890; Claude Monet achète la propriété de Giverny, dans laquelle il crée son jardin et fait creuser un étang en détournant le cours de la petite rivière de l’Epte. Abordés à la fin des années 90, les thèmes de l’eau, de l’étang, des paysages aquatiques et du jardin scandent presque 40 ans de création du peintre.
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<center>Claude Monet à Giverny. </center> Alors que son bail à Poissy se termine en avril 1883, Monet recherche une vaste maison à loyer modique à l'écart de Paris, de ses rivalités et ragots, notamment parce qu'il vit avec une femme mariée, Alice Hoschedé. En visitant les confins du Vexin, il découvre, de la portière du petit train entre Vernon et Gasny, Giverny, un petit village de 279 habitants.
Claude Monet à Giverny.
Alors que son bail à Poissy se termine en avril 1883, Monet recherche une vaste maison à loyer modique à l'écart de Paris, de ses rivalités et ragots, notamment parce qu'il vit avec une femme mariée, Alice Hoschedé. En visitant les confins du Vexin, il découvre, de la portière du petit train entre Vernon et Gasny, Giverny, un petit village de 279 habitants.
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<center>Claude Monet à Giverny. </center> Finalement, il tombe sur une « maison de paysan » au lieu-dit le Pressoir, bordée par la rue du Haut ou du Village et le chemin du Roy. Elle est précédée d'un jardin potager et d'un verger, le Clos normand. L'ensemble clos de murs s'étend sur 96 ares. Son propriétaire, Louis-Joseph Singeot, consent à la louer et Monet s'y installe le 29 avril 1883. Un mois plus tard, il transforme alors le jardin, construit trois serresFinalement, il tombe sur une « maison de paysan » au lieu-dit le Pressoir, bordée par la rue du Haut ou du Village et le chemin du Roy. Elle est précédée d'un jardin potager et d'un verger, le Clos normand. L'ensemble clos de murs s'étend sur 96 ares. Son propriétaire, Louis-Joseph Singeot, consent à la louer et Monet s'y installe le 29 avril 1883. Un mois plus tard, il transforme alors le jardin, construit trois serres.
Claude Monet à Giverny.
Finalement, il tombe sur une « maison de paysan » au lieu-dit le Pressoir, bordée par la rue du Haut ou du Village et le chemin du Roy. Elle est précédée d'un jardin potager et d'un verger, le Clos normand. L'ensemble clos de murs s'étend sur 96 ares. Son propriétaire, Louis-Joseph Singeot, consent à la louer et Monet s'y installe le 29 avril 1883. Un mois plus tard, il transforme alors le jardin, construit trois serresFinalement, il tombe sur une « maison de paysan » au lieu-dit le Pressoir, bordée par la rue du Haut ou du Village et le chemin du Roy. Elle est précédée d'un jardin potager et d'un verger, le Clos normand. L'ensemble clos de murs s'étend sur 96 ares. Son propriétaire, Louis-Joseph Singeot, consent à la louer et Monet s'y installe le 29 avril 1883. Un mois plus tard, il transforme alors le jardin, construit trois serres.
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<center>Claude Monet à Giveeny. </center> Il achète la propriété en 1890. La maison où vit Claude Monet de 1883 à 1926 est réaménagée à ses soins : gardant le crépi rose, il la repeint aux couleurs de sa palette : portes et volets verts ; salle à manger jaune de chrome vif, ornée d'estampes japonaises des XVIIIe et XIXe siècles à la dominante bleue, cuisine avec ses murs carrelés de faïence bleu et blanc en céramique de Rouen, et ses meubles laqués bleu ciel. De même pour le jardin, il fait détourner un bras de l'Epte pour alimenter un étang franchi par le pont japonais.
Claude Monet à Giveeny.
Il achète la propriété en 1890. La maison où vit Claude Monet de 1883 à 1926 est réaménagée à ses soins : gardant le crépi rose, il la repeint aux couleurs de sa palette : portes et volets verts ; salle à manger jaune de chrome vif, ornée d'estampes japonaises des XVIIIe et XIXe siècles à la dominante bleue, cuisine avec ses murs carrelés de faïence bleu et blanc en céramique de Rouen, et ses meubles laqués bleu ciel. De même pour le jardin, il fait détourner un bras de l'Epte pour alimenter un étang franchi par le pont japonais.
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<center>Claude Monet à Giverny. </center>
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<center>Claude Monet à Giverny. </center> Un jardin cultivé à la manière d’un tableau
“ Mon plus beau chef-d’œuvre, c’est mon jardin ”. Claude Monet fonde son art sur là saisie, en pleine nature, d’une impression. Pourtant, lorsqu’il peint son jardin de Giverny, c’est un motif totalement modelé par ses soins qu’il représente. C’est désormais la nature qui, recomposée par l’artiste, ressemble à son art.
Claude Monet à Giverny.
Un jardin cultivé à la manière d’un tableau “ Mon plus beau chef-d’œuvre, c’est mon jardin ”. Claude Monet fonde son art sur là saisie, en pleine nature, d’une impression. Pourtant, lorsqu’il peint son jardin de Giverny, c’est un motif totalement modelé par ses soins qu’il représente. C’est désormais la nature qui, recomposée par l’artiste, ressemble à son art.
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<center>Claude Monet à Giverny. </center>  Il fait supprimer les buis et les épicéas et les remplace par des arceaux métalliques. Il plante le jardin de milliers de fleurs selon un plan rectiligne.
Claude Monet à Giverny.
Il fait supprimer les buis et les épicéas et les remplace par des arceaux métalliques. Il plante le jardin de milliers de fleurs selon un plan rectiligne.
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<center>Claude Monet à Giverny. </center> Il achète en 1883, de l'autre côté du chemin du Roy, un terrain où, après de nombreuses difficultés administratives, il réussit à creuser un étang puis construit le pont japonais en 1895 pour que la lumière passe sous le pont et éclaire l'ombre.
Claude Monet à Giverny.
Il achète en 1883, de l'autre côté du chemin du Roy, un terrain où, après de nombreuses difficultés administratives, il réussit à creuser un étang puis construit le pont japonais en 1895 pour que la lumière passe sous le pont et éclaire l'ombre.
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<center>Claude Monet à Giverny. </center>L'œuvre de Monet témoigne d'une passion pour les jeux de lumière et les reflets des nuages sur l’eau. En 1893, il fait l’acquisition d’un terrain situé au fond du Clos Normand qui deviendra le « Jardin d’eau » passé à la postérité, notamment avec Les Nymphéas, ensemble de toiles monumentales débutées en 1897. Le Jardin d'eau témoigne de la fascination de Monet pour le Japon. Il y fait construire un pont japonais peint en vert et y adjoint des végétaux orientaux
Claude Monet à Giverny.
L'œuvre de Monet témoigne d'une passion pour les jeux de lumière et les reflets des nuages sur l’eau. En 1893, il fait l’acquisition d’un terrain situé au fond du Clos Normand qui deviendra le « Jardin d’eau » passé à la postérité, notamment avec Les Nymphéas, ensemble de toiles monumentales débutées en 1897. Le Jardin d'eau témoigne de la fascination de Monet pour le Japon. Il y fait construire un pont japonais peint en vert et y adjoint des végétaux orientaux
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<center>Claude Monet à Giverny. </center> Tombe de la famille Monet.
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Tombe de la famille Monet.
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<center>Le Moulin de Fourges. </center> Construit en 1790 sur les ruines d’un précédent moulin, le Moulin de Fourges est l’un des plus élégants de la vallée. Les compagnons de l’époque s’inspirent du hameau de la Reine Marie Antoinette de Versailles pour dessiner son architecture. Pendant quelques décennies, il broie consciencieusement les grains qu’on lui confie. Mais il ne résiste pas à l’ère industrielle et à la mécanisation des grands moulins.

Vient alors le temps de l’oubli jusqu’à l’année 1946 où un jeune homme, charmé par la beauté du lieu, le rachète et le transforme en auberge. La famille Defougères tient la barre jusqu’en 1992.

Le 1er avril 1993, il est repris par Jérome Crépatte qui redonne alors un nouveau souffle à ce site classé.
Le Moulin de Fourges.
Construit en 1790 sur les ruines d’un précédent moulin, le Moulin de Fourges est l’un des plus élégants de la vallée. Les compagnons de l’époque s’inspirent du hameau de la Reine Marie Antoinette de Versailles pour dessiner son architecture. Pendant quelques décennies, il broie consciencieusement les grains qu’on lui confie. Mais il ne résiste pas à l’ère industrielle et à la mécanisation des grands moulins. Vient alors le temps de l’oubli jusqu’à l’année 1946 où un jeune homme, charmé par la beauté du lieu, le rachète et le transforme en auberge. La famille Defougères tient la barre jusqu’en 1992. Le 1er avril 1993, il est repris par Jérome Crépatte qui redonne alors un nouveau souffle à ce site classé.
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