Neuilly-sur-Seine, Notre-Dame de Bonne-Délivrance, Hôtel Arturo Lopez, la Folie Saint-James, Parc de Bagatelle.
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La salle des buffets. Adjacente à la salle des coquillages, cette salle servait de pièce des buffets lors des fabuleux bals donnés par le couple Lopez. Son décor évoque le château de Fontainebleau, notamment par les figures de femmes encadrant les portes, dans la manière des artistes Rosso et Primatice.
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La salle des buffets. Adjacente à la salle des coquillages, cette salle servait de pièce des buffets lors des fabuleux bals donnés par le couple Lopez. Son décor évoque le château de Fontainebleau, notamment par les figures de femmes encadrant les portes, dans la manière des artistes Rosso et Primatice.
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Maisons Jaoul En 1951, les maisons A et B sont commandées par l'industriel et grand amateur d'art, André Jaoul et son fils Michel, à l'architecte Charles-Edouard Jeanneret-Gris dit Le Corbusier (1887-1965). Bien qu'elles n'aient été construites qu'entre 1953 et 1955, en association avec les architectes André Wogenscky, German Samper et Jacques Michel, les maisons Jaoul ont été imaginées dans les années 30. Elles sont l'un des premiers exemples du courant brutaliste des années 50 et s'appuient sur le principe du « Modulor ». Construites en briques, bois et béton sur un terrain de 1000 m2, les deux maisons, de plan assez semblable, ont des logements séparés mais sont reliées par des parties communes : un sous-sol composé d'un garage, de caves et du chauffage central, une terrasse et un jardin. Perpendiculaires l'une à l'autre, elles sont désignées par les lettres A et B. La maison A, qui donne sur la rue, est prévue pour André Jaoul et son épouse, tandis que la maison B, sur l'arrière, est destinée à son fils cadet, Michel, et à sa famille. Les façades et les couvertures des deux maisons ont été inscrites au titre des Monuments Historiques par arrêté du 29 juin 1966. En 1987, les maisons sont vendues par la famille Jaoul à un millionnaire anglais, Lord Palumbo, qui les fait restaurer quelques années plus tard. Revendues à la fin des années 1990, elles sont aujourd'hui encore des propriétés privées.
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Neuilly-sur-Seine
Maison Charcot Dissimulée parmi les arbres, cette demeure est celle de Jean-Martin Charcot (1825-1893), illustre neurologue, précurseur de la psychopathologie et professeur de Sigmund Freud, ainsi que de son fils Jean-Baptiste Charcot (né à Neuilly-sur-Seine en 1867-décédé en 1936), médecin et explorateur des zonés polaires où il mena des recherches océanographiques. La maison, construite au début du XIXe siècle, est louée dès 1867, puis acquise en 1883 par Jean-Martin Charcot. Il transforme la petite propriété en une grande et belle villa, dont le style anglo-normand témoigne du goût architectural de la bourgeoisie du XIXe siècle. L'architecte René Simonet construit un avant-corps à pan de bois sur la façade ouest. Du mobilier et de nombreux souvenirs du professeur Charcot et de son fils Jean-Baptiste sont conservés à l'intérieur. La maison est inscrite au titre des Monuments Historiques en 1987.
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Pavillon d'entrée du Bois de Boulogne de Davioud.
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Pavillons d'entrée du Bois de Boulogne de Davioud.
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La Folie Saint-James
Claude Baudard de Vaudésir, baron de Sainte-James (sur Loire), trésorier général de la Marine et des Colonies (1738-1787) achète le domaine de la Chambre en 1772. La demeure de briques et de pierres habillée d'une façade de style néoclassique qu'il fait réaliser est sans doute l'œuvre de l'architecte Jean-Michel Chevotet et de son gendre, Jean-Baptiste Chaussard. Afin de rivaliser avec le château de Bagatelle construit pour le comte d'Artois, le baron de Sainte-James fait appel lui aussi à l'architecte François-Joseph Bélanger. Ce dernier conçoit un magnifique jardin, typique des folies du XVIIIe siècle, qui s'étendait sur 12 hectares, de part et d'autre de l'actuelle rue de Longchamp.
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La Folie Saint-James
Au XIXe siècle, le domaine, morcelé puis loti, disparaît peu à peu. En 1844, le docteur Casimir Pinel, spécialiste des maladies nerveuses, installe une maison de santé dans la propriété. Le peintre Toulouse-Lautrec y séjourne d'ailleurs en 1899. Les descendants du médecin, les Sémelaigne, poursuivent son œuvre jusqu'en 1920, quand la famille Lebel acquiert le domaine.
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La Folie Saint-James
En 1922, le site est classé au titre des Monuments Historiques. Le jardin clos du Temple de l'Amour est alors aménagé. En 1952, l'Etat rachète le domaine et un lycée y est construit entre 1956 et 1959. La Folie Saint-James et son parc sont aujourd'hui la propriété du Conseil général des Hauts-de-Seine.
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La Folie Saint-James
Façade arrière, côté parc.
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La Folie Saint-James
Une rivière agrémentée de ponts et de cascades serpentait dans le parc où étaient édifiées de nombreuses fabriques : temple, rocher artificiel, grotte, belvédère, laiterie, pavillons chinois et gothiques, etc.. Le pont dit palladien est le seul pont qui subsiste des treize ponts du jardin dessiné par François-Joseph Bélanger.
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La Folie Saint-James
Le pont qu'imagina et dessina Palladio, Andréa di Pietro délia Gondola (dit Andréa Palladio), dans son traité d'architecture, n'a pas manqué de séduire les créateurs de jardins du XVIIIe par sa noblesse, la rigueur de ses formes et la richesse de son architecture.
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La Folie Saint-James
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La Folie Saint-James
Le Grand Rocher, fabrique remarquable âgée de plus de deux siècles et qui abrite un temple dorique.
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La Folie Saint-James
Le Grand Rocher, fabrique remarquable âgée de plus de deux siècles et qui abrite un temple dorique. Les blocs de pierre viennent de Fontainebleau.
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Le Grand Rocher, fabrique remarquable âgée de plus de deux siècles et qui abrite un temple dorique.
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L'île de la Jatte.
Rendue célèbre par les peintres impressionnistes du XIXe siècle, en particulier Seurat, Monet, van Gogh et Sisley, l'île a connu plusieurs vies : d'abord populaire avec ses guinguettes, puis ancien site industriel automobile et aéronautique, aujourd'hui l'île est un quartier résidentiel chic et cossu : des immeubles de standing et quelques maisons ou hôtels particuliers, c'est aussi un lieu très apprécié des joggeurs et promeneurs.
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L'île de la Jatte.
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L'île de la Jatte.
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L'île de la Jatte.
Temple de l'Amour, XVIIIe.
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L'île de la Jatte.
Temple de l'Amour, XVIIIe.
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L'île de la Jatte.
La Défense.
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L'île de la Jatte.
La Défense.
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Parc de Bagatelle.
Enceinte du parc le long de la Route de Sèvres-à-Neuilly.
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Parc de Bagatelle.
Le parc et le château de Bagatelle1, également dénommé la « Folie d'Artois », ont été construits en soixante-quatre jours seulement, à la suite d'un pari entre Marie-Antoinette et le comte d'Artois, acquéreur du domaine en 1775. François-Joseph Bélanger a conçu le parc et Thomas Blaikie a assuré sa réalisation dans un style anglo-chinois, très en vogue à l'époque. Après avoir failli disparaître sous la Révolution française, le parc a été doté de l'orangerie, de la grille d'honneur et des écuries en 1835, puis des pavillons des gardes, du Trianon et des deux terrasses en 1870.
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Parc de Bagatelle.
. En 1835, le domaine est racheté par un aristocrate anglais, Lord Seymour, marquis d'Hertford. Il l'agrandit de 10 ha et fait redessiner le parc par Varé, dans le style à l'anglaise, typique de cette époque. Héritier de Lord Seymour, Richard Wallace habitera le domaine jusqu'à sa mort en 1890. La Ville de Paris le rachète en 1905 et confie la réhabilitation du parc au conservateur du bois de Boulogne, Jean-Claude Nicolas Forestier. La création du concours de roses en 1907 contribuera à la renommée de Bagatelle dans le monde entier. Au fil des ans, le parc, un des quatre sites du Jardin botanique de la Ville de Paris, s'enrichit de plusieurs collections horticoles et botaniques pour s'étendre sur 25 hectares.
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Parc de Bagatelle.
Les anciennes écuries, qui datent de 1864, sont aujourd'hui le restaurant Les Jardins de Bagatelle.
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Parc de Bagatelle.
Les anciennes écuries, qui datent de 1864, sont aujourd'hui le restaurant Les Jardins de Bagatelle.
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Parc de Bagatelle.
Cour circulaire. Les statues ont été retrouvées il y a quelques années au château de Bonnemare, dans l'Eure. Elles ont été acquises, restaurées et rapportées à Bagatelle apres un siècle d'absence grâce à feu l'Association des Amis de Bagatelle qui en a fait don à la ville de Paris.
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Cour circulaire.
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Parc de Bagatelle.
En 1775, le comte d'Artois (futur Charles X), frère de Louis XVI, acquiert un petit château construit vers 1720 dans le bois de Boulogne, et qui avait été un lieu de libertinage bien connu, d'où son surnom. Le comte paria avec Marie-Antoinette 100 000 livres qu'il ferait reconstruire le château en deux mois. Commencé le 21 septembre 1777, neuf cents ouvriers travailleront nuit et jour sur le chantier, le comte dépensera plus d’un millions de livres, le chantier fut achevé à temps pour l'inauguration le 26 novembre. Le château fut dessiné par Bélanger.
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Originellement, un pavillon des pages avait été bâti à cet emplacement par Louis-Alexandre Bélanger, l'architecte du Comte d'Artois, peu apres l'achèvement de la Folie. Il était plus vaste que le chateau et abritait les services et les dépendances. Restauré par Lord Seymour, son fils adoptif, Sir Richard Wallace l'a fait détruire pour agrandir le cour d'honneur et l'a fait remplacer par les deux pavillons actuels, construits par Léon de Sauge ou Desanges, ainsi que le Trianon et les deux terrasses. L'un porte une rose des vents,
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l'autre une horloge.
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Parc de Bagatelle.
La cour d'honneur. A une certaine époque, deux pelouses (amovibles) ornaient le centre de la cour. Six sphinx et sphinges gardent trois côtés de la cour, devant le château, le trianon et l'escalier. Un autre duo de sphinges se trouve derrière le château. A coté de chaque pavillon se trouve deux arbres remarquables, un Platane commun - Platanus x acerifolia, à droite et un Platane d'Orient - Platanus orientalis à gauche. Notez la différence dans le contour des deux arbres. Le tronc du platane d'Orient est plus tortueux.
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Sir Wallace fit faire, par Montebianco, d'importants travaux en 1872, et fit construire pour son fils unique ou pour abriter ses collections ce bâtiment appelé « Le Trianon ».
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L'arrière du trianon.
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L'arrière du trianon.
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Le château que vous pouvez admirer aujourd'hui n'est pas exactement tel que le visita Marie-Antoinette. L'un des propriétaires du domaine, le Marquis d'Hertford, a fait modifier le premier étage et les combles au XIXème siècle. L'attique a été surélevée. Si on se réfère aux aquarelles de l'architecte Bélanger telles qu'elles furent approuvées par le conte d'Artois en 1777, la folie avait, à l'origine un toit plus triangulaire côté cour d'honneur, et l'attique était plus dégagée, mise plus en valeur. Si certains spécialistes considèrent que ces travaux on cassé l'harmonie de l'ensemble, l'aspect extérieur du chateau reste néanmoins très agréable.
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Un des deux sphinx d'une des terrasses latérales qui sont des moulages conçus pour réaliser un ensemble symétrique. Ceux devant le trianon portent une plaque expliquant que cette paire de sphinx a été commandée à Lhuillier en 1778 par Bélanger, architecte du conte d'Artois, pour le perron du château de Bagatelle, et que Lhuillier en sous-traita la sculpture à Phillippe-Laurent ROLAND (1746-1816). Ils furent livrés en 1781.
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Un des deux sphinx du devant le château
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Le château avec ses motifs floraux .
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L'inscription latine figurant sur la façade du chateau "Parva sed apta", "Petite mais commode".
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L'arrière de la folie est également très beau, faisant face à un jardin à la française.
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Une des maîtresses du prince, Rosalie Duthé, de l'Opéra, souvent court vêtue, aurait prêté ses traits à l'une des deux sphinges en marbre ornant la façade sur jardin. Chaque sphinge est chevauchée par un amour.
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Une des maîtresses du prince, Rosalie Duthé, de l'Opéra, souvent court vêtue, aurait prêté ses traits à l'une des deux sphinges en marbre ornant la façade sur jardin. Chaque sphinge est chevauchée par un amour.
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Le Jardin francais, juste derrière la Folie de Bagatelle, est un espace rectangulaire, bordé de bancs et d'un massif d'un coté, et ouvrant sur la grande pelouse de l'autre. L'espace central est composé d'une pelouse bordée de plantes et de fleurs, dont la composition et l'arrangement varie selon les saisons, avec une petite pièce d'eau au centre. On peut parcourir ce jardin par une petite allée longeant les bordures dont les compositions florales sont souvent renouvellées, en accord avec la saison.
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Pièce d'eau des nymphéas.
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L'art du jardin vivait alors de profonds changements, en réaction à l'extrême rigorisme des jardins à la française du 17e siècle. On inventait des paysages théâtraux inspirés des peintures oniriques de Nicolas Poussin ou du Lorrain. Les commerçants, ou les missionnaires jésuites qui revenaient de Chine, rapportaient des images de pagodes chinoises, que l'on voulait immédiatement retrouver dans son jardin.
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Le parc de Bagatelle est ponctué de petits jardins regroupant les fleurs par espèces : le jardin des iris, le jardin des plantes vivaces, le jardin des Présentateurs, où ont lieu des expositions horticoles.
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La cascade du Grand Rocher.
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Grotte des 4 vents.
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Pièce d'eau des oies du Magellan.
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Fausses ruines de l'abbaye de Longchamp.
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La pagode de style chinois datant du 19e siècle. Lors de la vente des objets et des oeuvres d'art du jardin en 1906, elle fut achetée par un anglais, lord Astor, qui l'installa dans sa propriété de Cliveden, près de Windsor. C'est là-bas qu'il fallut en refaire les plans pour la reconstruire à l'identique il y a quelques années.
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le Jardin des Présentateurs est situé entre la maison du chef jardinier et les anciennes écuries qui abrite aujourd'hui un restaurant. Vous y trouverez des rosiers grimpants, des clématites, des glycines, des lavandes, des asters ... l'arrangement floral des parterres change très souvent. Les asters offrent de belles fleurs très décoratives et peuvent être présentés en bordure, massif, pot, jardinière... Ce sont des plantes vivaces à feuillage caduc. La collection d'asters de Bagatelle est à floraison automnale. Elle est présentée dans cette partie du jardin de la mi-septembre à la mi-novembre, le long du mur de gauche (quand vous faites face à la maison du chef-jardinier).
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C'est dans le Jardin des Présentateurs que, depuis Forestier, l'on présente les nouvelles variétés de plantes vivaces ou annuelles. Son style est inspiré des jardins de la Renaissance.
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Le Jardin des Présentateurs.
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Le Jardin des Présentateurs. Aconit.
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La maison du chef jardinier. Elle sépare le jardin des présentateurs et le potager. Elle a été construite vers 1860 pendant la période anglaise de Bagatelle
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La maison du chef jardinier. Elle sépare le jardin des présentateurs et le potager. Elle a été construite vers 1860 pendant la période anglaise de Bagatelle
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La maison du chef jardinier. Elle sépare le jardin des présentateurs et le potager. Elle a été construite vers 1860 pendant la période anglaise de Bagatelle
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Le parc fut racheté par la Ville de Paris en 1905, qui confia sa réhabilitation au conservateur des jardins de Paris, Jean-Claude-Nicolas Forestier. Il s'attacha à faire du parc un jardin de collections botaniques, sans détruire l'harmonie des aménagements précédents. Il transforma les zones vivrières en jardins de présentation, pour y exposer des collections de roses, d'iris, de plantes vivaces, de clématites, de pivoines. C'est à lui que nous devons la célèbre roseraie de Bagatelle, qui donne lieu chaque année à un concours international, et cela depuis 1907.
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Kiosque de l'impératrice.
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L'orangerie date de 1865.
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L'orangerie date de 1865.
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